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Facteurs de pianos en France
1800 à 1829

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Nom

Date de fond.

Logo | Signature

Ville

Adresses

Quantité de pianos

Commentaires

Médailles

         

DIETZ Johann Christian

(1778 - 1845)

 

 

PeriodPiano

 

 

Patrick-Collon.org

 

1801

 

Melodion n° 357 ca. 1805-13, Museum für Musikinstrumente der Universität Leipzig, Allemagne
Claviharpe ca. 1814, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
Claviharpe ca. 1820, German National Museum, Allemagne
Clavi-harpe, ancienne photo, Gallica
Clavi-Harpe ca. 1821, et sa signature, (probablement détruit pendant la Seconde Guerre mondiale) Musikhistorisches Museum von Wilhelm Heyer, Cologne, Allemagne
Piano-harpe ca. 1820, Stiftung Lebensfarben, Berlin, Germany

Claviharpe ca. 1821, Museum für Musikinstrumente der Universität Leipzig, Allemagne
Claviharpe ca. 1840, Musée municipal, Etampes, France
Claviharpe 'Chrétien Dietz' ca. 1872, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
Clavi-Harpe ca. 1880, Ad Libitum, France  
Claviharpe 'Chrétien Dietz' ca. 1888, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
Claviharpe ca. 1890, et sa signature, Ex-Musikhistorisches Museum von Wilhelm Heyer, Cologne, maintenant : Museum für Musikinstrumente der Universität Leipzig, Allemagne
'Harpe à clavier' ou 'Claviharpe' de Christian Dietz ca. 1890, Chris Maene Collection, Ruiselede, Belgique
Harmonium ca. ??, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique

DIETZ
sur ce site

EXPOSITIONS

BIOGRAPHIE

BREVETS

Pour lire les commentaires sur les expositions, cliquer sur le lien ci-dessus.

 

Paris

Batignolles

Bruxelles

6, rue Notre-Dame-de-Nazareth (1819)(**1820)(arr.3)

9, rue Vivienne, dépôt chez M. Galle (**1820)(arr.2)

1, rue Colbert (**1820)(arr.2)

36, rue des Petits Champs (?)

34, rue de Echiquier (*1825)(***1828)(arr.10)

26, rue de Bondy (*1827)(x1827)(*1828)(x1828)(arr.10)

13, rue Neuve des Capucines (xxx1833)(1834)(z1835)(***1836)(arr.1)

23, rue Neuve Saint-Augustin (x1828)(*1829)(y1829)(x1829)(x1832)(**1850)(arr.2)

33, rue Fontaine-Saint-Georges (1855)(xx1857)(arr.9)

à Paris

8, rue Saint-Thérèse (*1858)

à Batignolles

225, rue des Palais (1880)

17, rue de La Presse (1889)

à Bruxelles, Belgique

 

30 ouvriers en 1839 (⁶)

 

Facteur de pianofortes, clavi-harpes et pianos à queue ca. 1819-89

D'origine viennoise, la famille DIETZ s'installe à Darmstadt en Allemagne où va naître Johann Christian en 1778. Il s'installe à la frontière franco-allemande à Emmerich, puis rejoint assez rapidement Paris au tout début du siècle où il invente plusieurs instruments expérimentaux qui n'ont pas tout le succès qu'il escomptait.

En 1819 il quittera Paris pour s'installer à Bruxelles et se consacrer à d'autres inventions mécaniques. Mais son fils, (Jean) Chrétien, à un très jeune âge, garde la boutique parisienne et va imposer son savoir faire dans la capitale où il connaitra de grands succès en particulier dans les années 1830 et 1840.

"Bordin de la Grange, associé à Dietz, facteur de pianos, 23, rue Neuve Saint-Augustin. Scelles après faillite, 26 mai 1829." Recherches sur la musique française classique, Volume 13, 1973, p. 185

1828 - "Une nombreuse et brillante réunion assistait à la sixième soirée musicale donnée samedi dernier par M. Dietz. Plusieurs artistes distingués s'y sont fait entendre. [...] Mais ce qui a paru mériter tous les éloges, c'est un duo pour piano et violon, exécuté d'une manière très-brillante par MM Litz [sic] et Ebner; [..] et enfin une fantaisie pour piano, dans laquelle M. Litz a déployé toute la légèreté, toute la grâce toute la vigueur, toute la hardiesse qui distinguent son talent. Les pianos de M. Dietz, dont l'excellence est reconnue, ont produit les plus merveilleux effets sous les doigts de ce jeune et habile artiste." Le Figaro, 27/02/1828, p. 3 (gallica.bnf.fr)

1829 - "S. A. R. MADAME, duchesse de Berry a daigné visiter hier les salons de M. Dietz fils fabricant de piano rue Neuve Saint Augustin, n° 23 S. A. R. a paru très satisfaite des instrumens que M. Paer a eu l'honneur de toucher devant elle. Les pianos de nouvelle forme, destines à remplacer les pianos à queue, ont par leur élégance, la beauté et l'étendue de leur son, attiré particulièrement attention de S. A. R. Le polyplectron, nouvel instrument de l'invention de M. Dietz, et qui reproduit tous les sons des intrumens à archet, a paru faire un très grand plaisir à S. A. R. qui a bien voulue exprimer sa satisfaction dans les termes es plus flatteurs." Journal des débats politiques et littéraires, 09/03/1829, p. 3 (gallica.bnf.fr)

"Dietz fils, r. N.-St.-Augustin, 23, ci-devant r. de Bondy, 26. Facteur de pianos de toutes espèces. Auteur de l'organo diapase, nouvel instmm. à frottemens. Brev. d'invention pour le clavi-harpe et pour un piano à forme nouvelle, destiné à remplacer celui à queue dans un salon de moyenne grandeur. On lui doit plusieurs perfectionnemens, entre autre l'emploi des sommiers de fonte de fer. Méd. d'arg. 1827." Répertoire du commerce de Paris, ou Almanach des commerçans, banquiers, négocians, manufacturiers, fabricans et artistes de la capitale, 1828, p. 566 (gallica.bnf.fr)

"En nous dirigeant vers la galerie de droite, nous arrivons dans la salle réservée aux pianos et aux instruments de musique. Beaucoup de succès pour les pianos à queue verticaux, de Dietz fils, un nom bien connu des anciens facteurs de pianos de Paris. Ces nouveaux instruments, qui ne tiennent pas plus de place que les pianos droits et qui rappellent la forme de la harpe, ont toute la sonorité des pianos à queue horizontaux, si embarrassants pour nos petits appartements. C'est un véritable progrès." Le Gaulois, 05/08/1880, p. 3 (gallica.bnf.fr)

Liste des exposants Paris, 1819 | Jury d'admission Paris, 1823 | Médaille d'argent Paris, 1827 | Brevet de 1827 | Liste des exposants Paris, 1834 | Liste des exposants Paris, 1855 | Médaille d'argent Paris, 1890 | Médaille d'or Paris, 1897

LAMBERTY
| LAMBERTIJ

1801

 

Piano carré ca. 1801, Eric Feller Early Keyboard Instruments Collection, Allemagne

 

Paris

[16], rue des
Vieux-Augustins  (1801)(
arr.6)

'Facteur de pianos'carrés ca 1801

"Papiers d'origine privée. Volume 6 : papiers de Lamberty, facteur de pianos à Paris, originaire du diocèse de Liège." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

 
ENDRES Jean Pierre 'Père'

(ca. 1763 - 1842)(¹⁰)

 

 

 

 

1802

 

Piano carré ca. 1802, Collection privée, France
Piano carré ca. 1814, Collection privée, France

PHOTOS EXTRA

Piano carré de 1802

Piano carré de 1814

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Paris

 

282, rue de Cléry (*1802)(*1803-1804)(*1805)(arr.2)

 32, rue du Faubourg Saint-Honoré (*1813)(*1815)(*1816)(arr.8)

9, rue de Miromesnil faubourg St. Honoré (S1814)(arr.8)

18, rue Saint-Nicolas près la Chaussée d'Antin (1814)(**1820)(*1822)(arr.9)

45, rue Neuve des Mathurins (1832)(¹⁰)(xxx1833)(z1835)(***1836)(**1837)(x1837)(arr.9)

35, rue de la Chaussée d'Antin (1842)(¹⁰)(x1843)(arr.9)

 

'Luthier' et puis 'Facteur de pianos et harpes' (*1816), 'Facteur et accordeur de pianos' (*1822), 'Facteur de pianos' (¹⁰), compositeur et éditeur de musique ca. 1802-43

Il épouse Marie Madeleine HALLARD ou MALLARD (¹⁰). Il est mort en 1842.

ENDRES Père (x1837)

Son fils ENDRES Jean-Jacques (°1826) lui succèdera en 1827, voir plus bas sur cette page. Il a eu également d'autres descendants qui ont continué la facture d'instruments, voir ENDRES Frères.

 
MONGELARD Jean-Claude

(1766 - 1857)(¹⁰)

 

 

 

 

 

Piano carré de 1802 - Collection privée

 

 

 

1802

 

Piano carré de 1802, Collection privée, France
Piano carré de 1802, Collection privée, Palma de Mallorca, Espagne
Piano carré de 1807, Collection privée (?), avant chez alte-tasteninstrumente.de

Et un piano non daté, avec une étendue de 5 octaves et demi, vendu en 2008 à l'Hôtel Drouot, localisation actuelle inconnue. La table d'harmonie est signée Mongelard (avec l'adresse rue du Faubourg du Temple) et une autre signature (celle d'un restaurateur dénommé Pellet?) peut se lire sous les touches du clavier.

PHOTOS EXTRA

Piano-forte carré de 1802

   

   

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Un autre piano Mongelard de 1802 aujourd'hui à Palma de Majorque et hier joué peut-être par Chopin....? 

"Piden el estudio de un piano que «la tradición oral» vincula al de Chopin
Hace sólo unos días, una sentencia determinaba que aquel 'viejo piano mallorquín' al que se refería George Sand en sus cartas a Charlotte Mariani a finales de 1838, no es el que hasta en la actualidad se exhibía en la celda 2 de la Cartoixa de Valldemossa. Ahora, una familia de Manacor, los Caldentey-Ferrer, quieren que algún experto analice un piano forte parisino de 1802 que tienen en propiedad y reconstruya sus más de dos siglos de vida. ¿Por qué? «Mi suegro, Joan Ferrer Joan, siempre contaba la historia de este instrumento y él creía que podría ser aquel piano que desapareció y que tocó Chopin», explica la familia. Tan convencido estaba, apuntan, que en alguna ocasión se acercó a explicar la historia a la Cartoixa, pero nadie le creyó.
Según subrayaron los dueños del instrumento, ellos no confirman esta tesis, ya que «nosotros lo sabemos por tradición oral», así que «abrimos las puertas a quien quiera estudiarlo». La pieza, que se encuentra bastante deteriorada, se realizó en la casa parisina Mongelard en 1802. Expertos consultados describen la pieza como un piano forte típico de la burguesía catalana y mallorquina de finales del XVIII.
Los propietarios sostienen que, según les contaron, el piano «había venido desde el norte de Mallorca, desde Valldemossa», y había recorrido Pollença y Artà antes de llegar a sus manos y trasladarlo a Porto Cristo. Ahora ya está en Palma."
Piden el estudio de un piano que «la tradición oral» vincula al de Chopin (05/02/2011)

 

 

 

95, rue Vieille-du-Temple (1793)(¹⁸)(arr.3)

9, rue du Faubourg du Temple (1802)(x1810)(*1811)(arr.11)

10, rue du Faubourg du Temple (*1809)(*1812)(*1813)(*1814)(*1816)(**1818)(*1819)(*1820)(**1820)(x1822)(x1823)(x1825)(x1827)(arr.11)

67, rue du Faubourg du Temple (x1829)(arr.10)

53, rue Meslay (xxx1833)(arr.3)

Pianos carrés

'Facteur de pianos et harpes' ca. 1793-1833; (*1816)

"Il est issu d'une famille de menuisiers installés à Grémévillers depuis plusieurs générations : son grand-père, Claude Firmin (1701-1781), son père Eléonor (1737-1787) puis son frère aîné, Eléonor Firmin (1762-1823). Il a un autre frère, plus jeune, Charles, qui meurt en bas–âge, et deux sœurs.

Jean-Claude MONGELARD épouse Marie-Catherine Guiot le 9 septembre 1792 dans sa ville natale. Précisément un an après leur mariage, le couple s'installa à Paris au n° 95, Vieille rue du Temple, misant sans doute sur le succès commercial grandissant de la fabrication de piano forte. Sur la fiche de sûreté établie le 25 novembre 1793 par la Section des Droits de l'Homme, il est encore identifié comme menuisier mais dès 1802, date à laquelle il est installé au n°9, rue du Faubourg du Temple, il a déjà réalisé plusieurs piano forte (deux exemplaires datant de cette année-là nous sont parvenus) qui trahissent une indéniable maîtrise. Chez quel facteur plus établi a-t-il acquis cette maîtrise pendant les années 1790 ?

MONGELARD a eu deux enfants : Jean-Baptiste né en 1803 et Jeanne Alexandrine, née en 1805. L'adresse de MONGELARD, entre 1812 et 1825, devient le n° 10, puis le n° 67 au moins à partir de 1829, sans que ceci ne signale pas forcément un local différent car les changements de numérotation des rues de Paris ne sont pas rares à cette période. Par ailleurs, le commerce de MONGELARD a dû péricliter puisqu'il va finir sa vie, veuf depuis longtemps, à l'Hôtel des Invalides où il décèdera le 22 novembre 1857 (Microfilm 5Mi1/1538, Fichier Alphabétique des décès de la Reconstitution de l'Etat Civil de 1872, Archives de Paris)."  D. Girard. Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois » et (¹⁸): Infos généalogiques sur MONGELARD

 

 L'acte de décès de Mongelard

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PÉRONARD Pierre Melchior

(1762 - 1818)

1802

RÉF

(¹) Voir J . De la Tynna, Almanach du commerce de Paris, 1809, p. 104 ; ibidem, 1811, p.118, ou encore Almanach des 25000 adresses de Paris, 1817, p. 460.
(²) La plupart des informations provient de l’étude des tables du bureau ancien des successions des 5° et 6° arrondissements anciens de Paris.
(³) Voir par exemple Explication des ouvrages de peinture… des artistes vivans [sic] exposés au Musée Royal (Paris : Chez Vinchon, 8, rue J.J. Rousseau, 1840), p. 143, dans lequel on peut admirer la reproduction N°1279, « Moralité du peuple (étude) Le père montre a son fils qu’il faut rendre ce que l’on a trouvé et ne pas le garder pour soi ».

VOIR AUSSI ...

  PÉRONARD (°1771) et MALADE (°1774)

Paris

188, rue du faubourg Saint-Martin &  350, rue Saint-Martin (*1802)(arr.3)

10, rue Coquenard (1807-17)(*1811)(*1813)(*1814)(*1815)(arr.9)

 

'Facteur de pianos' ca. 1802-15

L’adresse du père Balthazard PÉRONARD (devenue le n°350, rue du Faubourg St Martin) restera celle du fils aîné, Pierre Melchior Péronard, professeur de musique puis facteur de pianos lui-même, et un autre frère, Marie Gaspard, menuisier de son état. Un Péronard (ayant pour adresse le 10, rue Coquenard) est par ailleurs connu à Paris comme accordeur de pianos (au moins de 1807 à 1817)(¹), s’agit-il de Pierre Melchior lui-même ou d’un de ses neveux (fils du menuisier Marie Gaspard ou du militaire Jean-Victor) ?

Marié à 40 ans à la jeune Adélaïde Françoise Allan (Paris, 01.12.1776 – 08.07.1824), Pierre Melchior aura au moins trois enfants : deux filles Emilie et Calixte, et un fils Melchior qui deviendra artiste graveur. A sa naissance de ce dernier en 1805, le couple habite encore le domicile des parents Péronard, au 188, rue du Faubourg St. Martin mais après la mort de Pierre Melchior en 1818 alors qu’ils habitent carré de la Porte St. Denis, le petit-fils (Melchior) habitera ensuite avec sa mère, Adélaïde Françoise, et sa grand-mère, Marie Geneviève Dunand (veuve Allan avant 1800, et divorcée de J.P. Garnot épousé en secondes noces) la maison maternelle au n°10, rue Bourbon-Villeneuve (d’autres sources donnent le n°23 dans cette même rue, et dans laquelle d’ailleurs le facteur
Jean-Jacques MALADE avait son atelier)(²).

La troisième génération des Péronard n’a plus d’activités directement liées avec la facture d’instruments. Le plus célèbre des trois enfants de Pierre Melchior Péronard, Melchior de son prénom, est né le 6 janvier 1805 (Archives de Paris, 5Mi1 / 129) au 188 rue Faubourg St Martin, et baptisé en la paroisse St. Laurent deux jours plus tard. Il deviendra artiste graveur avec une certain succès
(³)(son atelier sera situé au 55, rue St André des Arts). Il épousa à vingt ans, le 27 janvier 1825 (Archives de Paris, 5Mi1 / 2042), une Rouennaise plus âgée que lui, Anne Catherine Gastebois dite Delacroix (née le 23.07.1797) avec qui il eut au moins deux enfants, Emilie Virginie (baptisée à St Sulpice le 10 avril 1836) et Ernest Alexandre (baptisé à Notre Dame de Lorette, le 6 janvier 1843).

On ne sait rien sur sa soeur Calixte Péronard, baptisée à la Paroisse St Laurent le 25 août 1808, mais sa soeur aînée, Emilie, baptisée en la même paroisse 5 ans plus tôt le 9 septembre 1803, épousera Stanislas Savary (né à Nantes le 09.11.1797) le 19 mai 1831. Elle eut de lui au moins une fille mais devenue veuve Savary, elle la prostitua à un Sieur Perrin, comme l’atteste le rejet de révision de procès qu’elle implora en 1853 et qui la fit ensuite croupir en prison pour son attitude envers sa fille mineure.

D. Girard. Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

 

 

 

TIBON

Piano carré ca. 1800 - Photo : Gérard Blot, photographe

 

1803

 

Piano carré ca. 1800, et sa signature, Musée-Maison Bonaparte, Ajaccio, Corse, France  

[TIBON | Wien Londres et Paris | au Palais royal 17]

 

Paris

17, rue du  Palais Royal (?)

18 [13 ?], rue du Palais Royal (³⁰)

'Facteur de pianos'carrés ca. 1803

 

ROLLER Jean Johann, père

(1762 - 1835)

1804

Piano carré ca. 1804 Roller, et sa signature, Cité de la Musique, Paris, France (Collection Geneviève Thibault de Chambure)

 

PARIS - "668 M. Roller, rue de Paradis-Poissonnière, n. 27. Un piano à sommier de métal isolé." et "315 M. Dietz, rue de l'Échiquier, n° 34 - 316 M. Koska, rue de Richelieu, n°10. - 317 M. Roller, rue de Paradis-Poissonnière, n°27. Le jury a cru ne pas devoir séparer ces trois fabricans qui ont présenté des pianos d'une excellente exécution; il appelle sur leurs produits l'attention particulière du jury central." Rapport du Jury d'admission des produits de l'industrie du Département de la Seine, 1825, Expo 1823, p. 71 et 169

PARIS - "1654 M. Roller et Compagnie, breveté, rue du Paradis, n°. 27 : Pianos et Pianos transpositeurs." Exposition Publique Des Produits De L'Industrie Francaise, 1823, p. 185

PARIS - "M. Roller, à Paris, rue de Paradis, n° 27, A presenté un piano transpositeur et vocal, ayant l'avantage de ménager les voix, en permettant à chacune de se maintenir dans le diapason qui lui est naturel. Au moyen d'une transcription convenable, et qui peut être facilement opérée en faisant mouvoir le clavier, on exécute sur cet instrument d'anciennes partitions que l'on met à la portée des voix peu étendues, et qu'on juge tort avoir été écrites trop haut, à cause de l'élévation exagérée du diapason actuel. Le jury a décerné à M. Roller une médaille d'argent."  Exposition nationale. Paris. 1823. Rapport, p. 351

PARIS - "Auf der gegenwärtigen Ausstellung der Erzeugnisse des Gewerbfleißes zu Paris werden zwei Pianos, welde Hr. Roller ausgestellt hat, von der Menge der Neugieriger hesonders bewundert. Die Einen sind von der guten wir. kung der inlåndisden Holzer, woraus sie verfertigt, und wele dhe glänzender, als die ausländisden sind, entzückt; die andern bewundern den aufgehängten Wirbelbaden (Sommier), welcher den Klangkasten mehr Schwingung und Umfang gibt, und eine Arbeit der richtigsten mechanischen Verbindung ist. Der Künstler lobt den reinen glänzenden und vollen Ton dieser Instrumente. Der Sänger endlich sieht mit Vergüngen, wie die Tastenreihe (Claviatur) mittelst eines Schlüssels um einen oder mehrere halbe Töne herauf und herabgeschohen werden kann, ohne daß die Reinheit der Stimmung dadurch verleft werde. Dadurch kann dieses Instrument dem Stimmumfang jedes Sängers, und der Stimmung jedes andern Instrumente obne Beschwerniß angepaßt werden, und man darf dem Hrn. Roller Glück wünschen, daß er die Unannehmlichteiten der Transposition beseitigt, und so die Erlernung der Gesangkunst unendlich erleichtert. Hr. Roller hat die pianos so vervolltommnet, daß er, obschon noch jung, den Ruhm der ältesten Klaviermacher verdunkelt." Flora: ein Unterhaltungs-Blatt, 07/10/1823, p. 632

Brevet de 1820 : piano transpositeur, ROLLER - "En 1820, Roller construisit un piano pouvant à volonté changer de ton, c'est-à-dire que chacune de ses notes pouvait, au même instant et d'un seul mouvement, monter ou descendre par degré de demi-ton jusqu'à une octave. Ce changement avait lieu par le déplacement du clavier, au moyen d'un mécanisme qui, en faisant monter ou descendre un châssis sur lequel était posé le clavier, faisait changer de corde chacun des marteaux.

Le mécanisme se composait d'un arbre vertical dont l'extrémité supérieure portait une forte aiguille, et l'extrémité inférieure était armée d'une roue dentée, engrenant une crémaillère assemblée au châssis qui renfermait le clavier. De sorte que cette crémaillère pouvait avancer soit à droite, soit à gauche, par l'action de la main qui, en tournant l'aiguille, faisait jouer la roue dentée. Ce changement était combiné avec une précision concordante avec chacune des divisions de la plate-forme métallique sur laquelle tournait l'aiguille, de manière que la distance d'une division à l'autre, soit en montant, soit en descendant, ne changeait le ton que d'un demi-ton." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861  - autre texte dans Journal des débats politiques et littéraires, 07/12/1820, p. 4 (gallica.bnf.fr)

ÉLÈVES de ROLLER

"L'atelier de Roller a fourni de nombreux facteurs ; MM. Boutron, Guerber, Moniot, Thomas, Souffletto, Mercier, Gibaut, Bernard, Mermes [Mermet], etc., etc., sont de jeunes facteurs, tous Français qui ont fait chez lui leur apprentissage ; plusieurs d'entre eux figuraient avec distinction à l'exposition." Lucas Al. Panorama de l'industrie française publié par une société d'artistes et d'industriels sous la direction de M. Al. Lucas, 1839, p. 97 

et HANTICH, ex-associé et gendre

"Roller, Piano-transpositeur, Vieille rue du Temple, n°. 6. - Au moyen d'un mécanisme aussi simple qu'ingénieux, dont M. Roller est l'inventeur, ce facteur a su faire marcher le clavier sous les cordes, de sorte que la touche qui frappait les cordes qui sonnent l'ut passe sous l'ut dièse ou ré bémol, et donne ainsi un autre système tonal, sans que le doigté éprouve le moindre changement. Pour baisser le ton, il suffit de porter le clavier de droite à gauche, et alors, selon le nombre de degrés qu'on lui fait parcourir, la gamme d'ut, et par conséquent le système entier de ce ton, se changent en ceux de si, de si bémol, de ré, de la bémol, de sol, de fa dièse, de fa . On peut obtenir les mêmes tons à l'aigu. Le mécanisme, qui porte le clavier à droite ou à gauche, est mis en jeu par une clé de la nature de celles des pendules ; chaque tour de clé donne un degré de plus, si c'est en haut; et un degré de moins, si c'est en bas. Chacun de ces deux degrés est un demi ton; et, à quelque de gré que l'on s'arrête, le clavier se trouve invariablement fixé. Des signes mis sur le clavier qui change de place, et sur le devant du piano, qui est d'une parfaite immobilité, montrent, sur-le-champ à ceux qui n'auraient pas l'oreille assez exercée pour s'en rendre raison, si le clavier est dans sa position naturelle, ou s'il a été porté d'un ou plusieurs degrés à droite ou à gauche. Il est inutile de faire remarquer que, si la transposition opérée par le clavier mobile porte l'ut aune quarte au-dessus, et à une quinte au-dessous de son ton naturel, les pianos transpositeurs, dont le clavier représente six octaves, doivent nécessairement en avoir sept à cordes pour pouvoir faire face au clavier, dans quelque position qu'il se trouve. Ce mécanisme applanit toutes les difficultés de la transposition. Cet instrument est bien précieux pour les pianistes qui accompagnent sur la partition, et pour ceux qui exécutent des duos, des trios, des quatuors, etc., avec des instrumens à vent, et doit assurer un succès complet à cette découverte." Bazar Parisien, ou Annuaire raisonné de l'industrie des premiers artistes et ..., 1821, p. 429-430

 

Paris 174, rue de Charenton (1797)(¹⁰)(arr.12)

722, Vieille rue du Temple (P1805)(arr.3)

90, rue Vieille du Temple (*1809)(x1810)(*1811)(*1812)(*1813)(*1814)(*1815)(*1816)(*1817)(**1818)(**1819)(**1820)(x1820)(arr.3)

6, rue Vieille du Temple (1808)(**1821)(*1822)(arr.4)

27, rue de Paradis Poissonière  (*1822)(1823)(x1826)(arr.10)

6, rue Saint-Louis (1835)(¹²)(arr.4)

 

'Facteur de pianos et harpes' ca. 1797-1835

Johan (Jean) ROLLER Père est né à Haupstul, duché du Wurtemberg, Allemagne en 1762.

Il s'installe à Paris rue de Charenton, 174, comme ébéniste et peintre, plus tard comme facteur de pianos, aux lendemains de la période révolutionnaire, et meurt à Paris le 5 septembre 1835. La principale invention de Johann Roller est un système perfectionné qui permet au clavier d'un pianoforte de se mouvoir pour permettre "automatiquement" les transpositions.

Il eut pour épouse Henriette Mangin dont un fils, lui-même prénommé Jean (1797-1877), lui succédera et fondera plus tard la célèbre manufacture ROLLER & BLANCHET (°1826), voir plus bas sur cette page.

1826 - ROLLER Fils : "Le 17/2/1826, dans un acte notarié compettant dissolution entre le dit et BIRON Alexandre employé qui ont déclaré dissoudre la société à compter du 01/01/1826, société verbale qui existait depuis le 00/04/1821 pour la fabrication et la vente de pianos, établie à rue de Paradis Poissonnière, n° 27." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »


(la suite)

Brevet de 1823 : "ROLLER (Jean), fabricant de pianos, à Paris, rue de Paradis, n°. 27, faubourg Poissonnière. Le 17 avril 1823, brevet, de 5 ans, pour un sommier-de métal dans les pianos."  Annales de l'industrie nationale et étrangère, ou Mercure technologique : recueil de mémoires sur les arts et métiers, les manufactures, le commerce, l'industrie, l'agriculture, etc..., 1824, p. 312 (gallica.bnf.fr)

"ROLLER adapte au piano un sommier de métal, ayant l'avantage de donner de l'âme et de la vibration à la partie de la table qui ne pouvait en recevoir par l'ancienne disposition, parce que cette table était alors collée sur le sommier des chevilles, et que les vibrations étaient ainsi interrompues à partir de l'endroit collé jusqu'à la paroi latérale de la caisse de l'instrument." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

Brevet de 1825 : "M. Roller, à Paris, a inventé un piano qui a l'avantage de ménager les voix, en permettant à chacune de se maintenir dans le diapason qui lui est naturel. Au moyen d'une transposition convenable et qui peut être facilement opérée en faisant mouvoir le clavier, on exécute sur cet instrument d'anciennes partitions-, qu'on met à la portée des voix peu étendues, et qu'on juge à tort avoir été écrites trop haut, à cause de l'élévation exagérée du diapason actuel." Bulletin de La Societe D'Encouragement pour L'Industrie Nationale Vingt, 1825, p. 53

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(¹³)

1826 - "All our instrument-makers have since adopted the same principles, and carried them into effect with more or less success, merely introducing some variations in the mechanism, or in the accessory parts, with a view to some particular point of utility. For instance, M. Roller having observed the difficulty experienced by all amateurs, and even by some professors, of instantly transposing from one tone into another the accompaniment of certain pieces, either too high or too low for the voice, has endeavoured to facilitate the same, by reducing the whole to a simple mechanical operation.

He has rendered his key-board moveable, in order that it may be transposed at pleasure a half-tone, a tone, or a tone and a half lower, or a halftone higher, so that the performer executing the music as it is written, may at once transpose it, without troubling his mind about a difficult calculation. M. Pfeiffer has improved this mechanism by the addition of a pedal; but his pianos merely transpose half a tone lower, which is sufficient for general purposes. The idea of transpositionpianos was not, however, new : MM. Erard and Pfeiffer had manufactured instruments, in which the soundingboard consisted of a vertical column, upon which the strings were stretched, and which could be turned at pleasure, so that the hammer could be made to strike any given note. But the necessity of straining the wood in order to make it take a cylindrical form, so far interfered with the vibration, that only defective sounds could be obtained. The invention was, therefore, obliged to be given up." The Harmonicon, Volumes 4-5, 1826, p. 159


(la suite)

"Voici les prix des pianos de M. ROLLER."

"Pianos ordinaires : 2 cordes, petit format, 6 octaves, 2 pédales, 600 fr.  -  Idem., 4 pédales, 680 fr.  -  Idem, longue table de mécanique à échappement, 1000 fr.  -  Idem, 3 cordes, 6 octaves, 4 pédales, 1050 fr.  -  Idem, longue table de mécanique à échappement, 1200 fr.

Pianos transpositeurs, deux cordes, petit format, 6 octaves, 4 pédales, longue table, 750 fr.  -  Idem, grand format, 950 fr.  -  Idem, longue table de mécanique à échappement, 1200 fr.  -  Idem, 3 cordes, 6 octaves, 4 pédales, 1300 fr.  -  Idem, longue table de mécanique à échappement, 1500 fr.  Ces mêmes instrumens avec une cinqième pédale, tambour à clochettes, en plus, 50 fr.  -  Les pédales en cuivres montées dans une lyre élevée sur une estrade, en plus, 120 fr." Bibliographie musicale de la France et de l'étranger, ou, Répertoire générale systématique de tous les traités et oeuvres de musique vocale et instrumental: imprimés ou gravés en Europe ..., France, César Gardeton, Chez Niogret, 1822, p. 72 (gallica.bnf.fr)

"ROLLER, rue de Paradis, faub. Poissonnière, n. 27.
La transposition des morceaux de musique d'un ton dans un autre est une des difficultés qui embarrassent le plus les personnes qui exécutent et celles qui accompagnent. Le piano transpositeur, inventé par M. Roller, a entièrement aplani cette difficulté. Au moyen d'un mécanisme simple et facile à Faire mouvoir, cet instrument peut à volonté changer de ton, c'est-à-dire que toutes les notes que le clavier indique, peuvent au même instant, et d'un seul mouvement, monter ou descendre.

Ce piano transpositeur, déformé et dimension ordinaire, présente d'ailleurs sous beaucoup de rapports de précieux avantages pour les pianistes qui accompagnent la partition, ou qui exécutent des duo, des trio, des quator avec des instrumens à vent, et même pour l'étude et l'exercice de la voix ; car on peut, en baissant les morceaux de chant, presque toujours trop hauts pour les moyens d'élève, les lui rendre plus faciles, et le faire arriver graduellement à les chanteurs le ton où ils sont écrits, sans risquer de bâter ni d'altérer sa voix. Il est bon d'ajouter que le prix de ces pianos diffère très peu de celui des pianos ordinaires. Cet artiste est aussi inventeur breveté du sommier de métal isolé, découverte impmortante et aussi simple qu'ingénieuse.

A l'Exposition de 1823, les pianos de M. Pape feront obtenu la A [médaille d'argent]. Les suffrages du public, les félicitations des premiers artistes de la capitale, et les encouragemens flatteurs de tous les membres du la famille Royale, lui ont, en cette circonstance, été prodigués." Bazar parisien, ou Annuaire raisonné de l'industrie des premiers artistes et fabricans de Paris : offrant l'examen de leurs travaux, fabrications, découvertes, produits, inventions, etc., 1826, p. 442-443 (gallica.bnf.fr)

 

 Médaille d'argent Paris, 1823

DE GIRARD Philippe

(1775 - 1845)

1805

 

DE GIRARD
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EXPOSITIONS

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  "Brevet 25 janvier 1804. ~ Moyen de Construire des orgues dont on pourra à volonté baisser ou enfler les sons par P. et F. Girard, rue de la Révolution, Hôtel Britannique. Terme 5 années." Annales des arts et manufactures: ou mémoires technologiques sur ..., Volume 24, 1806, p. 291

'Piano Trémolophone', fait par GIRARD, à Paris, en 1842. Dictionnaire des instruments de musique, Jacquot, 1886

Brevet de 1841 : "N° 234  veuve Girard- Romagnac (Marie-Louise), demeurant à Paris, rue du Faubourg-Saint-Honoré, n° 76, à laquelle il a été délivré, le 16 septembre dernier, le certificat de sa demande d'un brevet d'addition et de perfectionnement à son brevet d'importation et de perfectionnement de quinze ans, en date du 17 octobre 1841, pour un perfectionnement apporté à clavecin ou piano-forte." Mémoires et proces-verbaux, 1843, p. 770

Brevet de 1844 : "19° Le certificat d'addition dont la demande a été déposée, le 28 octobre 1844 au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par la dame veuve de Girard, née Marie-Louise Romagnac, et se rattachant au brevet d'invention de quinze ans qui lui a été délivré, le 27 octobre i84i, pour un perfectionnement apporté au clavecin ou piano-forte; laquelle addition consiste en divers modes d'application des principes brevetés aux pianos existants et en un mécanisme nouveau." Bulletin des lois de la République française, 07/1845, p. 899 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1845 : "Girard (Philippe) imagina un piano octaviant dont le système a été depuis repris par Blondel. Chaque note de l'instrument, dit trêmolophone, était montée de cinq cordes; quand le clavier était à sa place, trois cordes seulement étaient frappées par un seul marteau. Dans cette position l'instrument n'octaviait pas, mais si on pressait une certaine pédale, celle-ci faisait faire un léger mouvement au mécanisme et au clavier, alors un levier supplémentaire faisait agir un marteau auxiliaire sur l'octave inférieure ou supérieure et frappait sur deux cordes accordées à l'unisson des trois autres. Schenei, vers 1785, avait déjà construit une espèce de clavecin avec tremblement ou trémolo, ressemblant à une suite d'échos très précipités." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

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(¹³)

(Wien.) Hr. Wilczek, ein Schüler der Prager Conservatoriums, seit vielen Jahren in Warschau einheimisch, widmete sich seit Längeren dem Studium des vom Franzosen Girard erfundenen. nach ihm Girardeon oder Tremolopbon benannten Fortepiano. Im Jahre 1841 wurde ihm die Ehre zn Theil, von Seiner Majestät dem russischen Kaiser. der ihn bei seinem Besuche in Warschau durch drei Viertel Stunden auf dem genannten Instrumente zugehört, mit einem kostbaren Brillantring beschenkt zu werden, Der Kaiser sprach in buldvollen Worten seine Zufriedenheit aus. Später, im Jahre 18-12 wurde ihm auch die Ehre zn Theil, von Seiner Hoheit dem Großfürsten Michael die Einladung zu erhalten, sich von ihm auf dem "Girardeon" zu produzieren. - diese neue Erfindung wurde auf der grossen National-Industrie-Ausstellung in Paris im v. Jahre mit einer goldenen Ehrenmedaille gekrönt. - Sollte Hr. Wilczek, der sich gegenwärtig hier befindet, Gelegenheit haben sich offentlich zu produzieren, so behalten wir uns vor, unsern Lefern näheren Ausschluss über die Wesenheit seines neue Instrumentes zu Lieferen." Der Wanderer, 14/08/1845, p. 775

 

Paris 76, rue du Faubourg-Saint-Honoré (**1844)(arr.8)  

'Inventeur', ingénieur ca. 1844

"La vie de Philippe de Girard et de ses inventions utiles et bienfaisantes a été décrite par J. J. Ampère, de l'Académie française (Voyez le Journal des Débats, du 15 octobre 1845). On se bornera ici à entretenir le lecteur des découvertes précieuses de Girard dans l'art de prolonger le son du piano, des améliorations dans la construction des orgues et des instruments à percussion. Né en 1775, à Lourmarin, sur les bords de la Durance, Philippe de Girard descendait d'une famille noble et considérée qui avait marqué dans le pays. Il montra dès son jeune âge l'aptitude pour la peinture, la poésie, la musique et la mécanique; mais il dut quitter la France à l'époque de la révolution, et nous le voyons bientôt occupé à utiliser ses talents à l'étranger. Rentré en France et obligé de s'expatrier encore, il se livra entièrement à l'industrie, et enrichit la science d'utiles découvertes. Sa filature du lin par machines attira l'attention du public sur lui; mais cette admirable invention n'a pu conjurer les événements. La France n'était plus habitable pour l'ingénieur inventeur : il partit pour Vienne, fit prospérer l'industrie en Allemagne, et obtint la place d'ingénieur en chef des mines dans le royaume de Pologne, en 1826. Au milieu de ses grands travaux, il s'occupa de perfectionnement des orgues et de prolongement du son dans le piano. Déjà, en 1803, il prit un brevet pour des moyens de construire des orgues, dont on peut renfler ou diminuer les sons à volonté sans en changer la nature ou le ton. Il eut le premier l'idée de donner au piano la faculté de prolonger les sons par la seule pression d'une touche. Il obtint cet effet au moyen de tremendo, qui consiste à mettre la corde en vibration par un simple mécanisme. [...]" Les musiciens polonais et slaves anciens et modernes: dictionnaire biogr. Wojciech Sowiński, 1857, p. 210-214

"GIRARD (Chevalier de Philippe), un célèbre ingénieur français, inventeur de nouveaux instruments de musique, devrait avoir une place ici comme vivant en Pologne, où il a donné à entendre votre instrument, ainsi nommé Trémelophone.
Les plus importants détails et travaux de P. Girard sont dans l'édit français de ce dictionnaire (¹). Nous plaçons seulement ici à propos de ses instruments inventés à Varsovie et de la relation entre P. Girard et Drozdowski. P. Girard, ingénieur en chef des mines, invente quelques mécaniciens en Pologne et, après de longues délibérations, il songe à étendre le ton au piano. Pour accomplir une si grande tâche, il se rendit chez Drozdowski, le pianiste de Varsovie. Notre compatriote n'était qu'un entrepreneur de l'idée de Girard. Bientôt, un nouveau cylindre a été fabriqué à Norblin, et il était censé étendre le ton, et cela a bien fonctionné, parce que le nouvel instrument de Trémolophon, Girardeon, semblait très beau et fort, et a été exposé en 1811. Joué par Fr. Wilczka, il fait une grande impression, car l'artiste prend deux notes ensemble, le ton de Girardonne remplace l'orchestre dans certains passages. Plus tard, le même instrument a été entendu au spectacle de Paris, en 1844, où Liszt, malgré son succès, Girard ne put disséminer son instrument, car après sa mort en 1845, il fut arrêté de parler. Il se termine souvent par les meilleures inventions, quand la coïncidence ne leur donne pas un élan heureux." (Google-translation) Słownik muzyków polskich : dawnych i nowoczesnych kompozytorów, wyrtuozów ..., Albert Sowiński, 1874, p. 123

GIRARD-ROMAGNAC Marie-Louise Vve était la femme de Frédéric de GIRARD, frère de Philippe GIRARD (*1804)(²), elle était la réprésentante et successeur de cet inventeur 'de GIRARD').

VOIR AUSSI ...

... autres fabricants avec ce nom: GIRARD Hyacinthe Joseph (°1842) et GIRARD  (vers 1900) et un GIRARD à Paris ca. 1848.

INFO EXTRA

Une page sur Philippe de GIRARD (Wikipedia)

Vie et inventions de Philippe de Girard, inventeur de la filature mécanique du lin (2e éd.), par Gabriel Desclosières, 1881 (gallica.bnf.fr), p. 139, 140, 153

 

Mention honorable Paris, 1844

GRUS Alphonse-Jean

(1785 - ?)(¹⁰)

 

 

Eric Feller Early Keyboard Instruments Collection, Allemagne

 

 

1805

 

Pianos droits et pianos carrés

Piano carré de 1820, Eric Feller Early Keyboard Instruments Collection, Allemagne
Pianino, ca. 1835, 6,5 octaves, Collection Hansjosten, Allemagne

GRUS
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EXPOSITIONS

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Brevet de 1832 : "Grus, crut remarquer que la longueur de la table d'harmonie contribuait puissamment à l'excellence des pianos, et que la largeur ne servait à rien, et que même souvent elle était nuisible, les basses étant toujours trop fortes en comparaison des dessus; il chercha à éviter cet inconvénient en faisant la table de toute la largeur de l'instrument; elle était à jour par derrière, et étant au-dessus des marteaux elle pouvait se relever facilement en cas de rupture, la table n'était pas collée sur la garniture. (B. F.)" Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861 - "Patents for five years. [...] Grus, Alphonse, Jean, piano tuner of Paris, for improvements in the construction of pianos." The London Journal of Arts and Sciences, and Repertory of Patent Inventions, 1832, p. 267

Brevet de 1855 : "28954. B. de 15 ans, pris le 1er septembre, par GRUS, à Paris, rue Saint-Louis-au-Marais, 58. Système de pianos droits à répétition indéfinie (¹⁷)." Catalogue des brevets d'invention, 1856, p. 225

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(¹³)

GRUS par MONTAL

"Il y a long-temps que M. Grus, facteur de Paris, a construit des pianos carrés dont la moitié supérieure du clavier avait quatre cordes, et l'autre moitié trois seulement. Mais ce genre de piano a toujours été abandonné, d'abord à cause de la difficulté d'accorder les quatre cordes à l'unisson, et ensuite parce que le son n'augmentait pas dans la proportion de trois à quatre, la table d'harmonie n'étant pas agrandie dans la même proportion, et le marteau ne frappant que difficilement avec une égale force chacune des quatre cordes du même unisson."  L' art d'accorder soi-même son piano: d'après une méthode sûre, simple et ..., Claude Montal, 1836, p. 224

 

Paris 26, rue de la Lune (*1809)(arr.2)

36, rue de la Lune (x1810)(arr.2)

25, rue des Filles-du-Calvaire (*1811)(arr.3)

60, rue Turenne (*1813)(*1814)(arr.3)

60, rue Saint-Louis au Marais (**1818)(**1819)(*1820)(**1820)(x1822)(x1823)(*1825)(x1825)(x1827)(x1828)(*1829)(x1829)(*1832)(xxx1833)(**1835)(z1835)(***1836)(**1837)(x1837)(xx1839)(yy1839)(**1840)(***1841)(*1842)(**1843)(x1843)(xx1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(arr.4)

56, rue Saint-Louis au Marais (x1839)(x1840)(arr.4)

 6, rue Saint-Louis, au Marais (1849)(arr.4)

58, rue Saint-Louis au Marais (*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(***1855)(z1855)(xx1856)(arr.4)

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1809-56

'Grus A., fact. et acc. de forte-pianos'

GRUS Jean-Joseph (1834)

Il est né le 22/02/1785 (¹⁰)

GRUS Père & Fils (x1839)(xx1839)

GRUS Alex. ou  GRUS Aîné ou GRUS Fils (**1835)(**1843)(x1844)(***1861), éditeur de musique, boulevard Bonne Nouvelle, 31.

Probablement le fils aîné de Alphonse GRUS. Puis Léon GRUS, éditeur de musique et son successeur. 

"Grus ainé, r. St. Louis, 60, au Marais." Almanach général des commerçans de Paris et des départemens : contenant plus de 100,000 adresses vérifiées à domicile, 1839, p. 679

1844 - "MUSIQUE. Piano. Le grand défaut, en chantant au piano, a toujours été la dureté saccadée du son qui, au lieu d'aider le chanteur, écrase constamment sa voix. Un habite mécanicien allemand, HERMAN VYGEN, qui dirige la fabrique de pianos de la maison GRUS, a trouvé un moyen bien simple pour remédier à cet inconvénient. On peut apprécier cette notable amélioration, en passant au dépôt, dans le magasin de musique, 4, place de la Madeleine, où l'on trouve la collection complète des belles scènes de Chéret, pour piano et chant." La Presse, 07/02/1844, p. 4 (gallica.bnf.fr) - Voir Herman VYGEN

GRUS Alph. (***1855)

1857 - Repris par VYGEN Jeune vers 1857 : "Vygen jeune, succ. d'Alphonse Grus, vente, location, échange, réparation et accords, Hauteville, 12." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1857, p. 795 (gallica.bnf.fr)

1863 - Mariage de sa fille en 1863 : "Fougeras-Lavergnolle, négociant en soieries, rue de Cléry, 13. Mlle. Grus, chez ses père et mère, rue Saint-Louis, Marais, 58." L'Indicateur des mariages, 01/11/1863, p. 1 (gallica.bnf.fr)

"Grus (Alex.), pianos A vendre et A louer, r. Saint-Louis, 60, (Marais)." Agenda musical, Paris, 1837 (gallica.bnf.fr)

"Grus aîné (Alexandre), éditeur et Md de musique, boulevart Bonne-Nouvelle, 31, vis-à-vis le Gymnase. Cette maison, qui possède l'un des plus beaux magasins de musique de Paris, et qui a pris un si grand accroissement par sa vente en France et à l'étranger, et surtout par son abonnement de lecture musicale, l'un des plus complets en ce genre, vient d'acquérir la propriété de la Méthode de piano et des oeuvres dansantes de Henri-Bolhman-Sauzeau, ce compositeur qui compte autant de succès que de quadrilles ; parmi eux, nous citerons l'Enfer, le Chevaleresque, Jeanne d'Arc, le Tintamarre, la Boulangère, la Noce bretonne, et tant d'autres, dont 20 à 30 mille exemplaires vendus, sont bien loin d'avoir épuisé une vogue inouïe jusqu'à ce jour." Annuaire musical... : contenant les noms et adresses des amateurs, artistes et commerçants en musique de Paris, des départemens et de l'étrange, 1845, p. 269

"Grus (Alph.), breveté (sans garantie du gouvernement), fabricant, vend, loue et accorde, M. H. 1839, placé le troisième sur 27 pianos qui ont été admis an grand concours rapport du jury, rue St-Louis-au-Marais, 60: location de pianos deputsi fr. jusqu'à 15 fr. par mois, spécialité pour pianos droits à cordes obliques, M. H. 1844." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1846, p. 558-559 (gallica.bnf.fr)

 

Liste des exposants Paris, 1823 | Mention honorable Paris, 1827 | Liste des exposants Paris, 1834 | Mention honorable Paris, 1839 | Mention honorable Paris, 1844 | Liste des exposants Paris, 1849

DUPOIRIER Nicolas

(1757 - 1832)(¹²)(¹⁰)

1806

 

 

PARIS - "M. DUPOIRIER, facteur de piano, rue Bergère, n.°21 à Paris, a présenté un piano d'un nouveau genre, dans lequel il a changé la disposition des cordes; ce changement a donné plus de résonnançe a la table, plus d'égalité au son et plus de durée à l'accord. Le jury a vu avec satisfaction cette amélioration dans un instrument dont la fabrication alimente un commerce important à l'intérieur et à l'extérieur. Le jury décerne a M. Dupoirier, une médaille d'argent de 2e classe." Expo Paris Rapport du jury sur les produits de l'industrie française, présenté à S. E. M. de Champagny, ministre de l'intérieur, précédé du procès verbal des opérations du jury, 1806 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "M. Dupoirier, rue Bergère, n.° 21 : piano-forte, d'un nouveau genre, dont le mécanisme est en sens contraire des autres instrumens de cette nature, et qui a déjà obtenu l'approbation de la Société d'encouragement de l'industrie nationale." Notices sur les objets envoyés à l'exposition des produits de l'industrie ..., 1806, p. 283

 

Paris 21, rue Bergère (**1806)(**1807)(*1808)(arr.9)

14, rue du Faubourg-Saint-Denis (1820)(arr.10)

71, rue du faubourg Saint-Denis (1832)(¹⁰)(¹²)(arr.10)

 

'Facteur de pianos' - 'luthier' ca. 1806-32; (**1807)

1820 - "1820, 3 avril. Mariage de Nicolas Dupoirier, facteur d'instruments de musique, 14, rue du Faubourg-Saint-Denis, avec Marie Charlotte Dorothée Deplane, 14, rue Neuve-Saint-Eustache. MC/ET/XXVIII/747." Documents du Minutier central des notaires de Paris cancernant L'Histoire économique et sociale (1800-1830), Archives nationales, 1999, p. 168

Veuf de DEPLANAT Marie Charlotte Dorothée. (¹²)(¹⁰)

Il est mort le 29/10/1832. (Archives de Paris DQ8/596)

DUPOIRIER
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INVENTIONS

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Médaille d'argent Paris, 1806

PFEIFFER & PETZOLD

1806

 

Cabinet piano ca. 1806 - 1814, Malmaison, châteaux de Malmaison et Bois-Préau, France
Fortepiano ca. 1824, Collection Radbon, Allemagne

"De toutes les formes, bréveté et encouragé de S. M. l'Empéreur et Roi." Almanach du commerce de Paris, des départemens de l'empire français et des ..., Jean de La Tynna, p. 259-260

PFEIFFER & PETZOLD
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INVENTIONS

EXPOSITIONS

BIOGRAPHIE PETZOLD

BIOGRAPHIE PFEIFFER

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PETZOLD par MONTAL

"En 1805, M. Petzold, en venant se fixer à Paris, apporta ces innovations en France et les perfectionna; il s'associa avec M. Pfeiffer, et en 1806 ils exposèrent un piano carré à cinq octaves et demie, à table prolongée et à échappement de Vienne, un piano triangulaire pour être placé dans le coin des appartements, et un piano vertical à six octaves et à table prolongée, qui furent accueillis par tous les artistes et méritèrent à l'auteur l'honneur d'être couronné parle ministre de l'intérieur.

Quelque temps après MM. Petzold et Pfeiffer abandonnèrent l'échappement de Vienne pour y substituer un autre mécanisme, dans lequel l'échappement était dans la touche, à la manière de l'échappement anglais. Depuis lors M. Petzold n'a cessé d'améliorer les pianos à table prolongée, et tous les autres facteurs se sont empressés d'en construire d'après leur système, en les modifiant plus ou moins, chacun suivant son génie. [...] En 1814 M. Petzold se sépara de M. Pfeiffer, et imagina cette année son nouveau mécanisme, représenté tel qu'on l'emploie généralement encore aujourd'hui sous le nom d'échappement de Petzold." L'art d'accorder soi-même son piano, C. Montal, 1836, p. 216, 218

dans un courant belge

"MM. PFEIFFER et PETZOLDT, facteurs de pianos à Paris, brevetés et encouragés par Sa Majesté Empereur et Roi, ont l'honneur d'annoncer à MM. les amateurs et artistes qu'ils sont arrivés en cette ville avec un assortiment de pianos à queues triangulaires et quarrés de differens prix, ils ont aussi un piano vertical dont les cordes ont la direction parpendiculaire, formant un très-beau meuble, qui peut se placer dans le plus petit cabinet comme dans les plus grands salons. D'après les suffrages qu'ils ont reçus des plusieurs amateurs et artistes d'Anvers et autres villes de la Belgique, ils osent espèrer que les personnes qui personnes qui pourroient avoir besoin de ces instrumens, leur accorderont toute confiance. Ces Messieurs garantissent la bonté et la solidité de leurs instrumens aux vœux des acheteurs ; ils sont logés hotel de la cour de brabant, marché aux souliers, où on pent les voir tous les jours." Feuille d'affiches, annonces, et avis divers de la ville d'Anvers, chef-lieu ..., 03/09/1812, p. 4

 

Paris

7, rue Neuve Saint-Martin (1806)(*1807)(*1808)(arr.3)

14, rue Vivienne (x1808)(*1809)(x1810)(*1811)(*1812)(*1813)(*1814)(*1815)(arr.2)

 

'Facteur de pianos' ca. 1806-15

PFEIFFER & Cie (1806) dans le catalogue du Exp. Nationale.

PFEIFFER & PETZOLD & Comp. (x1808)

1808 - "CHANGEMENT DE DOMICILE. Par brevet d'invention, perfectionnement & encouragement du gouvernement, PFEIFFER, PEZOLD & Compagnie, facteurs de FORTE PIANO, ont l'honneur d'annoncer aux artistes & amateurs, qu'ils viennent de transférer leur établissement rue Vivienne, n.° 14." Journal de Paris, 13/04/1808, p. 724

1808 - "Pfeiffer, ein Deutscher Pianomacher, hat nun den Französen auch ein Orphicon geliefert. In seinem geräumigen Magazin, Rue Vivienne, versammelt sich Sonntags Alles, was in Paris auf Musikkenntniß Anspruch macht; man singt daselbst, und executirt neue Stücke. Unlängst sind wieder neue Deutsche Pianomacher angekommen, und es ist kein Zweifel, daß sie auch ihr Glück machen werden. Wie eins in unserm Deutschlande kein Kleid ( wenigstens für Damen) schön war, das nicht eine Französinn machte, so ist nun hier kein Piano gut, das nicht aus dem Magazine eines Deutschen kommt. Erhard, Freudenthaler bis jetzt die berühmtesten, sind Deutsche, und stehen sich sehr gut." Extrablatt der Nordische Miszellen, 09/11/1808, p. 304

Les associés ont établi leurs propres ateliers en 1814. Voyez plus loin ci-dessous.

PFEIFFER & PETZOLD par Fétis

"Ceux-ci semblaient être condamnés à rester désormais dans leur état d'imperfection, lorsque MM. Pfeiffer et Petzold, alors associés, changèrent tout à coup les principes de leur construction, et obtinrent les plus heureux résultats. La table sonore, qui précédemment n'occupait qu'une partie de la longueur de l'instrument, fut prolongée d'un bout à l'autre; la caisse fut élargie et permit de donner à la courbe du chevalet une direction telle que la longueur des cordes fut notablement augmentée, surtout dans le haut ; un nouveau mécanisme, soigné dans tous ses détails, fut calculé pour donner un levier considérable au marteau, afin qu'il frappât les cordes avec plus de force et en tirât plus de son. Mais l'augineritation de force dans l'action du marteau, jointe à celle de la longueur des cordes, obligeait à donner à celle-ci un diamètre plus considérable ; or, plus les cordes sont grosses, plus elles montent difficilement, et conséquemment, plus leur tension fatigue l'instrument dans le sens de sa longueur. Il faut donc proportionner la résistance de la caisse à l'action exercée sur elle : tout cela fut fait avec une sagacité et une précision remarquables, et pour prix de leurs efforts, MM. Pfeiffer et Petzold obtinrent des instrumens excellens, dont ils ont successivement perfectionné les détails, et qui satisfont maintenant les artistes les plus exigeans, soit sous le rapport du son, soit sous celui du mécanisme.
Depuis lors, tous les facteurs adoptant les mêmes principes, et les mettant en pratique avec plus ou moins de succès, y ont seulement introduit quelques variétés, soit dans le mécanisme, soit dans des accessoires qui ont un but d'utilité spéciale." Revue Musicale, 1827, p. 34-35

Y'a-t-il un lien de parenté entre J. PFEIFFER né à Trêves en 1769 et   Jean François Antoine PFEIFFER, 'facteur de piano', né 10 juillet 1772 à Perl en Sarre allemande ?

Mention honorable Paris, 1806

BECKERS Jean
| BECQUERS

(1772 - 1839)(¹⁰)

 

 

1807

"Beckers -  Facteur de Forte-pianos & Harpes - Gendre et successeur de M. Mercken - Rue du Roule 16 A Paris - 1822"

Piano carré de 1822, propriétaire non connu

"Beckers, Pianos et Harpes, rue du Roule, n° 3. - Cette maison, connue si avantageusement pendant plus de quarante ans, sous le nom de M. Mercken, et depuis plus de quinze ans dirigée par M.Beckers, son gendre, qui joint de plus à la facture des pianos celle des harpes. M. Beckers est connu surtout pour le goût extraordinaire qu'il met dans ses ouvrages; il les orne de fleurs en marqueterie, en nacre et en bois; de claviers en nacre, du plus beau choix; de colonnes ornées de chapitaux corinthiens, ciselés en bronze doré au mat; de bas-reliefs et sujets mythologiques, ciselés et dorés de même; le tout est confectionné par M. Beckers. Lors de l'Exposition de 1819, les instrumens de M. Beckers ont été offerts aux regards du roi, dont ce facteur a reçu l'accueil le plus flatteur, ainsi que de plusieurs princes étrangers. Le magasin de M. Beckers renferme des instrumens vraiment curieux et dignes de l'attention des amateurs les plus distingués; leur prix est de six cents fr., à mille fr., et de cinq, six, huit et vingt mille francs. M. Beckers a inventé, depuis 1808, une harpe en harmonica, avec laquelle on peut exécuter les grands morceaux dans tous les tons, sans augmenter la difficulté : le mécanisme étant disposé à cet effet. On peut ne produire que trois octaves de sons harmoniques, ou tien les six octaves à-la-fois, le tout à volonté." Bazar Parisien, ou Annuaire raisonné de l'industrie des premiers artistes et ..., Bureau du Bazar Parisien (París), 1821, p. 28-29 et un texte presque le même dans Annuaire raisonné de l'industrie des premiers artistes et fabricans de Paris : offrant l'examen de leurs travaux, fabrications, découvertes, produits, inventions, etc. : ouvrage utile à toutes les classes de la société, 1822-23, p. 27-28 (gallica.bnf.fr)   et presque le même texte en 1822 : Bazar parisien, ou Annuaire raisonné de l'industrie des premiers artistes et fabricans de Paris : offrant l'examen de leurs travaux, fabrications, découvertes, produits, inventions, etc., 1822, p. 27 (gallica.bnf.fr)

 

Paris 89, rue Saint-Honoré (*1809)(x1810)(*1811)(*1812)(*1813)(*1814)(*1815)(arr.8)

3, rue de la Monnaie (*1816)(arr.1)

3, rue de Roule (*1817)(**1818)(**1819)(*1820)(**1820)(*1822)(x1822)(x1823)(*1825)(x1825)(x1827)(x1828)(*1829)(arr.1)

 18, rue des Francs-Bourgeois Saint-Michel (x1832)(xxx1833)(yy1834)(z1835)(***1836)(**1837)(yyy1838)(arr.4)

51, rue Saint-André-des-Arts (*1838)(x1839)(xx1839)(1839)(¹⁰)(x1840)(arr.6)

 

'Facteur de harpe' (*1811), 'Facteur de pianos et de harpes' (**1819)(*1820), 'Facteur de la harpe et harmonica, inventeur de la harpe en harmonica'. (*1822)

Époux de MERCKEN Marie Adelaide, la fille de MERCKEN (°1770)(¹⁰).

Gendre de MERCKEN (°1770) il lui succéda en 1807 (⁹)

"Les facteurs ne furent pas moins diligents, et J. K. Mercken est peut-être le premier qui construisit régulièrement des forte-piano à Paris. Il y a aux Arts-et-Métiers un de ces instruments, de forme rectangulaire, marqué « Johannes Kilianus Mercken, Parisiis 1770 » et Castil-Blaze a cité celui de son père, daté de 1772. Mercken ne figure qu’à partir de 1776 parmi les membres de la communauté, mais comme beaucoup d’autres il avait travaillé antérieurement dans les lieux privilégiés, n’étant pas en état de satisfaire aux charges imposées par les règlements de la corporation. A la faveur de l’édit de 1776, il quitta les Quinze-Vingt pour se fixer rue du Chantre où il resta jusqu’en 1789 ; en 1791 il était butte Saint-Roch, puis en l’an VIII, rue Saint-Honoré ; son gendre Beckers lui succéda vers 1825." Constant Pierre, Les facteurs d'instruments de musique

Il y a un autre 'facteur de pianos et de harpes' avec le même nom à Paris : un certain G. BECKERS, rue du faubourg Montmartre, 25 vers 1836-38, et 25, rue des Fontaines du Temple 1841-45.

PARIS - "653 M. Beckers, rue du Roule, n. 3. Trois pianos, dont un à queue, et trois harpes, dont une dite harmonica." Expo 1824 Rapport du Jury d'admission des produits de l'industrie du Département de la Seine, 1825, p. 70

PARIS - "M. Beckers, à Paris, rue du Roule, n.° 3.
Pour pianos et harpes d'une construction très soignée.
"
Rapport sur les produits de l'industrie française, 1828, p. 391-395

PARIS - "M. Pape produced a piano made of ivory, which is a chef-d'oeuvre of cabinet-making, certainly. But something better was expected from him. He now places himself on a level with a M. BECKERS, who announces that he has pianos which will serve as objects of curiosity!" The Harmonicon, 1828, p. 6  - Voir Henri PAPE 1815) plus bas sur cette page.

PARIS - "Nous rencontrons d'abord les pianos de M. Beckers qui expose aussi plusieurs harpes. Il y en a une qui rend des sons admirables, même dans les tons élevés qui sont ordinairement un peu secs et criards sur cet instrument. Les pianos du même facteur nous ont paru fort inférieurs, sous ce rapport, malgré le luxe avec lequel ils sont décorés. Répétons à M. Beckers que, lorsqu'on fabrique un piano, il faut travailler pour les yeux beaucoup moins que pour les oreilles." Histoire de l'exposition des produits de l'industrie française en 1827, 1827, p. 212-213

PARIS - "1458 (1338). M. Beckers, rue des Francs-Bourgeois, n° 18, à Paris. Pianos et harpes, dont l'exécution nous a paru bien soignée." Le musée artistique et industriel : exposition 1834, p. 188

PARIS - "Nous arrivons à M. Beckers. Pour porter un jugement équitable sur ses harpes, il faudrait bien connaître leur âge; car il est certain qu'elles n'ont pas été faites pour l'exposition de cette année. Elles sont étrangères aux progrès de cet instrument, et il se pourrait bien qu'elles eussent déjà figuré à plusieurs expositions précédentes, comme ses pianos, que nous avons très bien reconnus pour les avoir vus en 1834. Que deviendrait le but de ces concours, si tous les exposants suivaient l'exemple de M. Beckers, en envoyant des objets déjà présentés à plusieurs reprises, et qui ne devraient trouver leur place qu'à une exposition rétrograde ? " Revue et gazette musicale de Paris, Volume 6, 1839, p. 181

 

Jury d'admission Paris, 1823 |  Médaille de bronze Paris, 1827 | Liste des exposants Paris, 1834 | Liste des exposants Paris, 1839

FROST Mathias ou Mathieu
| FROCHT | Martin

(1765 - 1836)

 

 

Pianoforte ca. 1840, Musée de Tissus Mulhouse, France

 

 

Le 'Sirénois'

 

 

 

 

 

 

1807

 

'Fabrique de Pianos' (y1843)

Piano carré de Frost n° 1445 ca. 1839, (Sylter Heimatmuseum, Keitum, Sylt)Deutsches Museum, München, Allemagne
Piano carré de Frost, Mathieu (père) & Jean-Jacques (fils) ca. 1840, Musée du papier-peint de Rixheim, Mulhouse-Rixheim, France  
Piano carré, n° 3550 de 1846, Collection Gisclard à Saint-Bauzille, France  (³)
Piano carré ca. 1845, piano carré [?] de 1857, Musée d'Unterlinden, Colmar, France  

PHOTO EXTRA

Forte-piano de 1845

Cliquez sur l'image pour l'agrandir

STRASBOURG - "103 Frost, à Strasbourg: Un piano carré." Expo Strasbourg 1840 -  Relation complète des fêtes de Gutenberg, célébrées à Strasbourg, les 24, 25 ..., 1841, p. 142

MULHOUSE - "M. J. Frost, de Strasbourg, a exposé deux pianos carrés et un autre à queue." Bulletin de la Société industrielle de Mulhouse, Volume 15, 1841, p. 256  

"Pitois (madame, née Frost)[fille du facteur Mathieu FROST], éditeur de diverses mus. cordes harm, des fabr. d'Italie, cordes métall., grav. et impr. de mus.; commission p. la France et l'étranger, dép. de la Libr. music. pl. Broglie, 1." Agenda Musicale, 1837, p. 253 (gallica.bnf.fr)

"Frost, fact. d'instr. breveté pour pianos A secrétaire." Agenda Musicale, 1837, p. 253 (gallica.bnf.fr)

INFO EXTRA

sur le Blog de Réné Pierre

Stras-bourg

rue du Foulon (?)(1807)

87, rue du Vieux-Marché-au-Vin (1836)

Place Saint-Pierre-le-Jeune (y1843)

1264 pianos vers 1837

2432 pianos vers 1847

 

'Facteur de forté-pianos' : pianos carrés, pianos à queue (**1841) p. 256, 'Facteur de harpes'

FROST Mathias (Mathieu) ou FROST Père, facteur de pianos.

D'origine hongroise, Mathias né en 1765 à Pest. En 1795 il est déjà installé à Strasbourg puisqu'il y épouse Marie-Louise BLASDOERFFER le 12 septembre, ils auront 6 enfants, 3 filles et 3 garçons dont Jean-Ignace (1801-1849) qui sera son principal successeur à la manufacture de pianos. Ce dernier et Victor (Vite) PFORTNER seront les témoins qui signeront l'acte de décès du père à Strasbourg le 31 décembre 1836. (¹⁶)

FROST Fils ou Jean Ignace (1801 - 1849)(**1841)(¹³), fils de Mathias.

'Frost, fact. d'instr. breveté pour pianos à sécretaire' (1837)

PFORTNER, FROST & Cie associés ca. 1850-51. Probablement c'est PFORTNER Vite ou Victor, professeur de musique, né en 1805 à Haslau et gendre de Mathias FROST (¹⁶).    Voyez aussi Alfred PFORTNER (*1903).

1829 - "Strassburg [...] Dem Bedürfnisse nach guter Musik aus dem In- und Auslande verdanken wir daher neben der immer reichlich versehenen alten Musikalien-Handlung des Hrn. Storck, eine zweyte, unter der Firma : L. Pitois und S. Frost, woselbst die Liebhaber der Gesang- und Instrumententalmusik ihre Neugierde befriedigen können. Die Dem. S. Frost ist die ausgezeichnete Harfenspielerin, wovon oben gesprochen worden; Mad. L. Pitois, eine geschickte Klavier spielerin, ist ihre Schwester: beyde sind Töchter des rühmlich bekannten hiesigen Klaviermachers, Hrn. Frost, dessen vortreffliche Instrumente nach Paris und anderen Gegenden versendet werden." Allgemeine Musikalische Zeitung, 30/09/1829, p. 6 (digipress.digitale-sammlungen.de)

Brevet de 1828 : 'Piano droit, nommé Sirémois' (Serène'), 1828 (était le reproduite de l'innovation de Promberger, consistait dans l'isolement de la table d'harmonie et par suite, dans un nouveau mode d'attaches des cordes dans 'Catalogue de La Collection d'Instruments de Musique',  C. C. Snoeck)

"Piano imité de celui de RAMBERGER" - "SIRENION. Piano d'une forme et d'une construction particulière, établi en 1828, par Frost, de Strasbourg, qui avait imité dans cet instrument celui que construisit, en Allemagne, Pramberger." Dictionnaire de musique théorique et historique, 1872, p. 436 (gallica.bnf.fr) 

"174. A MM. Frost père (Mathieu) et Frost fils (Jean), à Strasbourg (Bas-Rhin), un brevet d'importation et de perfectionnement de dix ans, pour un piano droit appelé sirene, inventé à Vienne par Ramberger. (Du 13 août.)" Archives des découvertes et des inventions nouvelles: faites dans ..., Volume 21, 1829, p. 519

"Harpes D'eole Perfectionnées Par M. Frost et par L'auteur De Cet Ouvrage.— La harpe d'Eole dont l'auteur de cet ouvrage s'est servi pour ses expériences a été construite par feu Frost, facteur de pianos à Strasbourg. Elle se compose d'une caisse rectangulaire, avec deux tables d'harmonie portant chacune huit cordes de boyau; en tout seize cordes. Pour limiter le courant d'air et le faire arriver avec plus de force sur les cordes, deux ailes sont adaptées près des faces minces opposées au vent, en sorte que le courant arrive sur chaque chœur de cordes, en passant par l'ouverture étroite qui lui est ménagée entre l'aile inclinée obliquement et le corps de l'instrument. [...]." La Harpe d'Éole et la musique cosmique: Études sur les rapports des ..., Georges Kastner, 1856, p. 82

Pour voir le brevet original
voyez le site
INPI
(¹³)

 

 

Liste des exposants Strasbourg, 1840 | Liste des exposants Mulhouse, 1841

FÉVROT
| PRÉVOT

 

 

 

 

Deux images de pianofortes modèles PAPE dans une facture de MOLTER-FREVOT, à Lyon, 1845-49; Voir PAPE sur cette page (°1815)

1807

FÉVROT
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TÊTES DE FACTURES

Facture ca. 1845-49 : MOLTER-FEVROT

Facture ca. 1860 : Adrien REY, successeur

Lyon  

3, rue Puits-Gaillot (***1819)

rue Clermont (x1833)

26, rue Louis-le-Grand (y1846)

4, rue Lafond (xxx1843)(y1845)(y1846)(1847)(x1853)(yy1855)(xx1857)(***1860)(z1862)(***1863)

4 et 6, rue Lafond (1863)

17, rue Impériale (xx1867)

17, rue de Lyon (ex rue Impériale)(**1857)(**1869)(*1873)(*1875)(*1876)

17, rue de la République (1884)(F1886)(*1893)(*1896)(*1897)(*1899)

 

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos et orgues et éditeur

Fils d'un luthier actif de 1780 à 1813, celui-ci continua l'activité au 3, rue du Puits Gaillot, il était également marchand de musique (*1810) et développa son activité dans les années 1830 avec JACQUET, comme marchands de pianos.

L. FEVROT Fils Aîné (**1808), fils d'un luthier, actif de 1780-1813.

FEVROT (*1810), marchand de musique et luthier.

JACQUET & FEVROT (1835)(**1838)(xxx1843), voir JACQUET.

Mme Veuve FEVROT (1842)

MOLTER-FÉVROT (yy1843)(y1845)(x1853)(1855)(XX1857)

Adrien REY (éditeur et marchand de musiques) a repris la maison MOLTER-FÉVROT à Lyon. (1857)(***1860)(z1862)(***1863)(fact.1863)(*1897) Voir REY.

REY Fils (*1893)(*1897)

Repris par MAROKY Michel vers 1902

 

 

Diplôme de médaille d'or Lyon, 1894

PLEYEL Ignace

(1757 - 1831)

 

 

 

1807

 

NUMÉROS de SÉRIE !

Pour trouver la correspondance entre un numéro de série et l'année de fabrication, consultez les archives historiques de  PLEYEL, établies à partir des livres de fabrication et des livres de vente. (Site: Musée de la Musique, Paris)

TITRES

"Facteur d'instruments, breveté de S.M. le roi de Westphalie." (1811)

"Facteurs de pianos et de harpes du roi et de SM la reine de Portugal." (1834)

Nommé chevalier de la légion d'honneur, 1834 'Croix de la Légion d'honneur', Camille Pleyel (1834) Discours du Roi, 1834, p. 16 (gallica.bnf.fr)

Piano carré n° 58 ca. 1809, sa signature, Cité de la Musique, Paris, France
Piano carré n° 282 ca. 1813, appartenu à Letizia Bonaparte, Cité de la Musique, Paris, France
Piano carré ca. 1816, Musée des Arts décoratifs, Bordeaux, France

Piano carré n° 692 de 1820, Collection particulière, Paris, France
Piano carré n° 917 ca. 1827, Collection Ad Libitum, Etobon, France
Piano carré 'Unicorde' n° 923 ca. 1827, Historisches Museum Sammlung alter Musikinstrumente, Basel, Allemagne
Piano à queue n° 1244 ca. 1829, Collection Ad Libitum, Etobon, France  

Piano à queue n° 1555 ca. 1830,
Cité de la Musique, Paris, France

Piano carré n° 2435 ca. 1833, Kolthoorn Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas

Piano à queue n° 2608 ca. 1833, Cité de la Musique, Paris, France
Piano à queue n° 2976 ca. 1834, Palazzo Nazionale Queluz, Sintra, Portugal

  Piano carré n° 3523 ca. 1835, Collection Ad Libitum, Etobon, France  

PHOTOS EXTRA

Forte-piano n° 692

     

Cliquez sur les images pour les agrandir

Brevet de 1810 : "Piano à tambourin. Dire qu'un instrument sort des ateliers de M. Pleyel, c'est annoncer sa perfection; mais tant qu'on n'a pas entendu le Piano à Tambourin on ne peut pas se faire une idée du charme que cette addition prête au Piano pour l'exécution des airs de danse, marches, militaires et autres morceaux de ce genre. Depuis long-tems nous avions vu des Piano organisés et des Orgues d'église dans lequels on avait placé une caisse qu'à l'aide d'une pédale on frappait à volonté et sur laquelle on faisait aussi le roulement : nous croyons même qu'on y avait joint des cymbales : mais cette caisse ne pouvait être adaptée qu'à un Piano organisé qui permettait de lui consacrer un espace assez étendu.
Le procédé employé par M. Pleyel est beaucoup plus ingénieux : il ne change rien aux dimensions ordinaires du Piano-Forté, et en outre le Tambourin a l'avantage d'être toujours au ton dans quelque moment que l'on en fasse usage et quelque soit le morceau qu l'on exécute. Une pédale mise en mouvement avec plus ou moins de force suffit pour obtenir du tambourin et de ses clochettes, des effets aussi variés qu'agréables et qui s'unissent harmonieusement aux sons du Piano."
Montechi, Les Tablettes de Polymnie, Nummers 1-33, 1811, p. 11-12

Brevet de 1810 : "22° Le Sr. Ignace Pleyel, demeurant à Paris, boulevard Bonne-Nouvelle, n.° 8, auquel il a été délivré, le 3 décembre 1810, le certificat de sa demande d'un brevet d'importation de quinze ans, pour des procédés employés à la fabrication des cordes blanches et jaunes métalliques, à l'usage des facteurs d'instrumens de musique." Bulletin des lois de la République française, 01/1811, p. 81 (gallica.bnf.fr) et L'Esprit des journaux, françois et étrangers, Nummers 7-8, 1811, p. 186-192

Dès 1815 PLEYEL importe des Wornum, inventeur des petits pianos, et PLEYEL était le premier en France en 1829 avec le
pianino, ou piano droit, qui ne cessera de se perfectionner jusqu'à nos jours.

Brevet de 1819 : "Il faut donc que les patrons soient raisonnables et ne calculent pas uniquement les salaires selon les bénéfices rapportés, mais bien sur la chèreté plus ou moins grande des objets de consommation; c'est ainsi que l'avait compris Pleyel, dans l'organisation de sa fabrique de pianos, c'est ainsi que l'ouvrier et le patron se trouveront moralement liés. Ce dernier est forcé ment conduit à régler la rétribution due au travail, non-seulement snr le service qui lui est rendu, mais bien encore sur le besoin de l'ouvrier, sur ceux de sa famille. Tant que cette loi sera respectée, la solidarité des deux classes de la société se maintiendra avec fermeté : mais l'ordre public sera compromis dès que cette impérieuse nécessité cessera d'être satisfaite, car il faut, avant toutes choses, que l'ouvrier puisse vivre et soutenir les siens du fruit de son travail." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

'Piano unicorde', construit par PLEYEL, en 1825. Dictionnaire des instruments de musique, Jacquot, 1886  - "PLEYEL Père et Fils Ainé (Ignace et Camille), facteurs de pianos, à Paris, leur piano à une corde, appelé piano unicorde, importé d'Angleterre et perfectionné." (*1831) p. 394 - "Pleyel imagina, en 1825, la construction d'un piano dont chaque note se composait d'une seule corde, en employant une corde plus grosse. Après bien des essais, on ne parvint entin à monter ces cordes, qui toutes se cassaient sur les pointes, au diapason des petites, qu'en se servant de très-grosses pointes sur le chevalet et sur le sommier, en diminuant la longueur des cordes et en allégeant la table d'harmonie du poids dont elle était chargée dans les pianos ordinaires. Pleyel était arrivé, par ces moyens, à faire rendre le fa le plus aigu d'un piano unicorde à six octaves, à une corde d'acier 6/0 de Nuremberg, employée ordinairement, pour l'extrême basse. Pleyel employait un cadre en fer et un sommier de pointes en cuivre, afin d'augmenter, par cette addition, la durée de l'accord, et de supprimer entièrement le fond des caisses." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

Pour voir le brevet original
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(¹³)

Ignace PLEYEL
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PLEYEL, fabrique de cordes (1811)

BIOGRAPHIE & BIBLIOGRAPHIE

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Piano carré n° 2515

"Piano de Garafa. - Ce piano droit à 2 cordes et d'une étendue de 6 octaves est d'Ignace Pleyel et Cie. Il porte le n° 2515 et fut acheté en mars 1833. C'est l'instrument dont Michel Carafa (Naples, 1785; — Paris, 1872) s'est servi pour écrire ses derniers ouvrages, y compris son chef-d'œuvre la Prison d'Edimbourg (20 juillet 1833). Sur le devant de ce pianino se trouve une* plaque en cuivre sur laquelle on lit : « Piano de Carafa. » Offert au Musée du Conservatoire de musique par son neveu et fils adoptif, Michel d'Aubenton Carafa." Le musee du Conservatoire national de musique : catalogue descriptif et raisonne, 1884

 

Paris

Londres

39, rue du faubourg Saint-Martin (1808)

8, boulevard de Bonne-Nouvelle (1805)(1807)(x1809)(x1810)(*1811)(*1812)(*1813)(*1814)(arr.2)

13, rue neuve des Petits Champs (Dépot)(1808)(x1809)(x1810)(*1811)(*1812)(*1813)(arr.2)

Fabrique de cordes : 12, rue Chabanais (*1813)

boulevard Montmartre (arr.9), au coin de la rue Grange-Batelière (*1817)(arr.9)

1, rue Grange-Batelière (**1819)(arr.9)

13, rue Grange-Batelière (**1820)(*1822)(*1827)(arr.9)

2-13, rue Grange-Batelière (x1822)(x1823)(x1825)(arr.9)

Magasin : 16, boulevard Montmartre (**1819)(*1820)(*1822)(x1822)(x1823)(x1825)(arr.9)

9, rue Cadet (y1829)(arr.9)

à Paris

 

Dépot: 2 et 13, rue Grange-Batelière (*1820)(arr.9) et 18, boulevard Montmartre (*1842)(*1846)(arr.9)

La succursale : 2, rue Drouot (ex-rue Grange-Batelière)(1850)(yy1851)(**1852)(arr.9)

Ateliers de construction: 9, rue des Récollets (1850)(**1852)(arr.10)

Ateliers de construction: 13, rue des Récollets (**1858)(arr.10)

Les chantiers et la scierie: 40, rue des Portes- Blanches (1850)(arr.18)

à Paris

170, New Bond Street, W. - Sole agents I. BERROW & CO (***1882)(**1891)

à Londres, Angleterre, U.K.

 

50 instruments dans le premier année

563 pianos en 1833

Après 10 ans d'activités, Pleyel est devenu le rival le plus important de la maison Erard

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1805-52

"Ignaz Joseph Pleyel est né le 18 juin 1757 à Ruppersthal, près de Vienne, le 24ème enfant d'un couple dont le mari était professeur et la femme venait d'un milieu social privilégié. Il reçut ses premiers cours de son père mais bientôt fut l'élève de Jean-Baptiste Vanhall à Vienne. Il devint enfin l'élève de Joseph Haydn par l'intermédiaire de son mécène, et on lui confia le poste de maitre de chapelle de Ladislav Erdödy à Ebereau. Il peaufina son éducation avec quelques voyages en Italie et dès 1784 on le retrouve à Strasbourg où il seconde François-Xavier Richter, génial mais vieillissant maître de chapelle de la Cathédrale. C'est dans la ville alsacienne pendant près de 10 ans qu'il composera la majeure partie de l'oeuvre musicale qui le rendit si célèbre à travers l'Europe. Chef d'orchestre, violoniste et pianiste, il écrira dans un style résolument viennois des symphonies qui seront joués régulièrement un peu partout et bien entendu aux Concerts des amateurs dirigés depuis 1781 par le Maître de Chapelle du Temple Neuf, Jean-Philippe Schoenfeld. Pleyel a écrit bien d'autres pièces de musique de chambre remarquables mais ce sont surtout ses "sinfonies" qui feront sa gloire populaire. En 1790 il aura succédé à l'un et à l'autre de ses protecteurs alsaciens, ira faire une saison à Londres - invité par les concerts Solomon - où il jouera en rival de son maître toujours admiré, Haydn, et reviendra à Strasbourg fréquenter les salons du maire Dietrich et Rouget de Lisle dont il met en musique un Hymne à la liberté, éxécuté pour la première fois sur la place d'Armes le 25 septembre 1791, lors de la Fête de la Proclamation de l'Acte Constitutionnel. Depuis son retour d'Angleterre en 1791, il a acheté le château d'Ittenwiller dans le Haut-Rhin, où il vit avec sa femme Françoise Gabrielle, née LEFEBVRE (le mariage en janvier 1788 a eu lieu en l'église St Louis de Strasbourg, Registre des Mariages 1773-1788, Archives de Strasbourg, M 38, p. 290) et leur premier fils Joseph Stephen Camille nait le 18 décembre de la même année. Souvent inquiété par le Comité de Salut Public, mais jamais inculpé ou malmené, Pleyel sort de toutes les situations avec brio et séduction (il est devenu citoyen français en 1792), entouré de l'amitié et de l'admiration de tous; aucun événement ou orientation politique ne saurait arrêter sa fièvre créatrice." (Informations rassemblées grâce à Geneviève Honegger) Voir également la BIOGRAPHIE D'IGNACE PLEYEL.

"En 1795, il quitta l'Alsace et se rendit à Paris, où il exerça le métier d' auteur et de marchand de musique, et exploita un magasin. Des extraits de sa correspondance soulignent ses multiples activités il s'associa, entre autres, avec Niedermayer." Revue historique (Paris), 07/1990, p. 256 (gallica.bnf.fr)

C'est en 1795 en effet qu'Ignace Pleyel s'installe à Paris et ouvre sa maison d'édition musicale en 1797 qui va pendant presque quarante ans faire connaitre au monde (il inventera même la partition de poche en 1802) les oeuvres d'Adam, Boccherini, Beethoven, Clementi, Cramer, Dussek, Hummel, Kalkbrenner, et Onslow et peu s'en faut l'édition complète des quatuors de son idole, Joseph Haydn (en 1801).

Il semblerait que cette même année, Pleyel s'est rapproché d'un facteur de pianos bien connu, Charles Lemmé (voir LEMME (°1799)) et qu'il envisage avec lui de nouvelles techniques et mécaniques pour mieux répondre aux besoins et exigences des compositeurs qu'il édite par ailleurs. Il faut savoir que le nom de Pleyel apparait déjà dans l'Almanach de 1799-1800 parmi les "luthiers." de la capitale. C'est sans doute ce premier rapprochement avec Lemmé qui donnera l'idée à Pleyel de se lancer dans la manufacture de pianos, chose qui se matérialisera réellement après un retour pour un assez long séjour à Vienne pendant l'année 1805.

Fondation de PLEYEL, qui est l' inventeur du grand cadre métallique, et non Babcock. En 1806 Ignace PLEYEL s' associa avec Charles LEMMÉ (°1799) pour la fabrication des pianos.  Désireux d’adapter les instruments aux nouvelles exigences des compositeurs et interprètes de son époque, Ignace PLEYEL fonde en 1807 la manufacture de pianos PLEYEL et, dès lors ne se consacre plus qu’à cette nouvelle activité. PLEYEL fonda, en 1811, une fabrique de cordes métalliques pour les pianos.  Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861, p. 117

"MEHUL l'aida à fonder une fabrique de pianos en lui prêtant 10.00 livres. Le 28 octobre 1808, Ignace Pleyel s'installe boulevard Bonne-Nonvelle. La maison avait du mal à prendre sa place, car en 1817, à la mort de MEHUL, il fallut rembourser les 10.000 livres, et cela causa un ralentissement marqué dans l'achat des œuvres a éditer. Ce fut le succès croissant des pianos Pleyel qui détourna à peu le facteur de la composition et de l'édition." Encyclopédie de la musique et dictionnaire du conservatoire, 1927, p. 2077 (gallica.bnf.fr)

"Faesi, qui avait émigré à Paris, chez Fessard en 1808, pour entrer chez Pleyel en 1810, revient s'installer en Suisse en 1816, comme facteur de pianos. Il ira enfin à Fribourg où il mourra en 1874." Histoire du piano: de 1700 à 1950, Mario Pizzi, 1983, p. 118 - FESSARD (°1780) et FEASI à Zurich

"Pleyel père, compositeur de musique, boulevart Bonne-Nouvelle, 8. Pleyel Fils, et facteur d'instruments, breveté de S.M. le roi de Westphalie, boulevart Bonne-Nouvelle, 8, et rue Neuve-des-Petits-Champs, 13." Almanach du commerce de Paris, des départemens de l'empire français, 1811

Ignace Pleyel dans une lettre de 1813 a écrit : "J'ai un piano Erard à la maison et j'ai cherché pourquoi il a une octave et demie en haut très bonne et je crois en avoir trouvé la cause. De cette manière, je viens de faire un plan à trois cordes de cinq octaves et demie dans le genre d'Erard où j'ai réuni son octave et demie à ma basse et mon médium infiniment supérieur au sien."

En 1813, six ans après la fondation de son atelier de facteur, Ignace Pleyel écrivait à son fils Camille « J'arriverai facilement à 50 pianos cette année-ci, et peut-être au delà. » La Salle Pleyel, 1893, p. 108 (gallica.bnf.fr)

1815 - PLEYEL Ignace & Fils Aîné

En 1815, Ignace Pleyel commercialise le premier piano droit-vertical et il est secondé dans cette entreprise par d'une part son fils aîné Joseph-Etienne-Camille (1788-1855) qui commence à travailler dans l'entreprise familiale, et un autre des futurs génie de la manufacture de pianos au 19ème siècle, Jean-Henri PAPE qui travailla chez lui de 1811 à 1818. Plus tard, en 1828, Pape a encore amélioré le piano droit-vertical avec la monte de cordes croisées permettant d’augmenter la longueur de celles-ci. Malgré le succès grandissant de la manufacture de pianos qui lui laisse de moins en moins de temps pour l'édition musicale (il ne compose plus du tout), Pleyel va tout de même publier de nombreuses méthodes de pianoforte qui restent encore aujourd'hui des documents trop peu exploités pour comprendre le jeu singulier et subtil à adopter pour ces claviers, en particulier en 1820, la 'Méthode pour Apprendre le Piano-Forte à l'aide du Guide-mains' de F. Kalkbrenner.

"M. Pleyel a composé depuis dans un style plus travaillé, mais il n'a pas donné le jour encore à çes nouveaux enfans de son heureux génie. Cet homme, estimable, plus envieux encore de le montrer excellent père qu'excellent compositeur, voyant qu'il avoit perdu de sa vogue par une cabale puissante & par les progrès des lumières, s'est mis à la tête d'une fabrique de pianos : il s'occupe lui-même à se garnir les marteaux pour en perfectionner le son. Cela me rappelle, ce me semble, ces généraux romains que déposoient le glaive pour prendre la charrue." Musique, Volume 2, 1818, p. 298

'Marchand de musique et facteur de pianos' (**1819)

C'est en 1824 qu'Ignace Pleyel va se retirer une fois pour toutes des affaires qu'il aura si bien conduites toute sa vie durant pour passer les sept dernières années de sa vie dans son domaine de Saint-Prix, près de Montmorency, où ses seules préoccupations étaient devenues l'agriculture et le jardinage. Il meurt à Paris le 14 novembre 1831.  

1826 - "Le barrage des ces pianos, construits par MM. Pleyel est entièrement en fer." (Journal des Débats. 21 novembre 1826.)

1826 - "16/05/1826 - MC/ET/CVII/753 Vente par Ignace Pleyel, ancien fabricant de pianos, demeurant rue Grange-Batelière, n°13, et Françoise-Gabrielle Lefèvre, sa femme, à Pierre Lejosne, officier en retraite, chevalier de la Légion d'honneur, demeurant à Saint-Ouen, d'une maison de campagne à Saint-Ouen, moyennant 17000 francs." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1827 - " S. A. R. Mr le duc d'Orléans vient de faire l'acquisition d'un des nouveaux pianos de MM. J. Pleyel et C., rue Cadet, n° 39. Ces instrumens, dont le barrage est en fer fondu, semblent, par la solidité de leur construction et la beauté de leur son, rivaliser avec tous les pianos qu'on faits jusqu'à ce jour." Journal des débats politiques et littéraires, 23/10/1827, p. 3 (gallica.bnf.fr)

L'essor de la marque débute en 1827 avec l'obtention de leur première médaille d'or attribuée à l'occasion de l'exposition nationale des produits de l'industrie.

1829 - "Par brevet du 31 juillet dernier, MM. IGNACE PLEYEL et compagnie, fabricans de pianos, à Paris, rue Cadet, n. 9, et boulevard Montmartre, qui, à l'exposition de 1827, obtinrent la médaille d'or, ont été nommés facteurs du Roi et de sa maison." La Semaine : journal hebdomadaire : sciences, arts, littérature, spectacles, spectacles, tribunaux, industrie, annonces, etc., 04/10/1829, p. 3 (gallica.bnf.fr)

En 1831 Ignace PLEYEL meurt.

Pleyel jouissait d'une très grande réputation internationale de son vivant et à sa mort des nécrologies furent publiés dans tous les coins du monde.

LA SUITE

Camille PLEYEL en 1824, plus bas sur cette page.

  'La notice d'utilisation éditée par Pleyel en 1855'  (Musiques vivantes)

Chronologie des pianos de la maison PLEYEL

'Le centenaire de la Maison PLEYEL' : dans 'L'Art décoratif'. Revue de la Vie artistique ancienne et moderne, janvier-juin 1909, p. 175-188.

  'Pleyel à Strasbourg', acte de mariage, etc.

 

 Cordes métalliques, 1811 | Cordes métalliques, 1811 | Brevet, 1825.11.17 | Médaille d'or Paris, 1827

1808    

- Lettre sur une nouvelle manière d'accorder les forte-pianos ou plus généralement les instruments à clavier, adressée à M. Millin, 1808, par P.-J. Lasalette (gallica.bnf.fr)

 

         
DE FREY François-Joseph
| FREY

(1770 - 1844)(¹⁰)

1809  

 

Barre d'adresse de 1813

  Barre d'adresse de 1826

TITRES

"[...] l'ordre Royal et militaire de Saint-Louis, et Fils, facteurs brévetés de l'ordre royal et militaire de St. Louis, et fils, facteurs brévetés de S. A. R. Monsieur, comte d'Artois; de S. A. R. Madame, duchesse d'Angoulème, et de S. A. R. la duchesse douairière d'Orléans [...]" Affiches, annonces judiciaires, avis divers du Mans, et du Département de la Sarthe, Le Mans (France), 1816, p. 181

"De Freij Père et Fils, Breveté de leurs Attesses Royales Monsieur Frère du Roi Madame Duchesse d'Angoulème Madame Duchesse de la Berry de S. A. R. Madame de Duchesse douairière d'Orléans." Bibliographie musicale de la France et de l'étranger, ou, Répertoire générale systématique de tous les traités et oeuvres de musique vocale et instrumental: imprimés ou gravés en Europe ..., France, César Gardeton, Chez Niogret, 1822

"Breveté du Roy, de Mod. la Dauphine, et de Madame." Almanach du commerce de Paris..., Duverneuil, 1829, p. 142 (gallica.bnf.fr)

FREY Jph.

Piano carré de 1811, et sa signature, Period Piano Compagny, Biddenden, Angleterre, U.K.

DE FREY Père & Fils

Piano carré de 1813, l'Art du Pianoforte, France
Piano carré n° 2009 de 1817, Collection Maxime Schleyer, Allemagne
Piano carré n° 3309 ca. 1826, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique

Piano carré n° 3353 ca. 1829, Kolthoorn Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas

"Le sieur FREY, marchand - facteur de pianos, résidant à Paris, ayant des dépôts de cet instrument dans plusieurs grandes villes, telles que Lyon, Marseille, Montpellier, Bordeaux, Toulouse, offre maintenant à son passage à Toulouse, cinq pianos très-ornés, de différens formats, & tous de cinq octaves & demie ; ces pianos, que l'on garantit pour dix ans, & donc on se défaire à un prix modique, sont visibles à toute heure chez le sieur Labadens, rue Saintes-Scarbes, n.° 893.
L'on trouvera en tout temps de ces pianos chez le sieur Labadent, au plus jolie prix.
Le sieur Frey ne doit séjourner dans cette ville que quelques jours; il demeure à Paris, rue Saint-Denis, n.° 350, vis-à-vis celle du Caire." Journal de la Hte - Garonne, 25/04/1811, p 4 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)

"Manufacture de forté-pianos et de harpes, DE FREY Père, chevalier de l'ordre Royal et militaire de Saint-Louis, et Fils,  facteurs brévetés de l'ordre royal et militaire de St. Louis, et fils, facteurs brévetés de S. A. R. Monsieur, comte d'Artois; de S. A. R. Madame, duchesse d'Angoulème, et de S. A. R. la duchesse douairière d'Orléans, vieille rue du Temple, n° 51, hôtel des Ambassadeurs de Hollande, à Paris. On répond des pianos pendant 10 ans. S'adresser au Mans, à M. Coindon fils, rue St. Vincent, n° 75." Affiches, annonces judiciaires, avis divers du Mans, et du Département de la Sarthe, Le Mans (France), 1816, p. 181

"Les sieurs de Frey père et fils, facteurs de pianos et de harpes, demeurant vielle rue du Temple, n° 51, où est leur fabrique, brevetés de LL. AA. RR. Monsieur, frère du Roi, Madame, duchesse d'Angoulême, la duchesse de Berry, et de S. A. S. la duchesse douairière Orléans, ont l'honneur de prevenir le public que leurs plus petits pianos, comme les plus grands, ont six octaves completes, et qu'ils viennent d'y ajouter une sixième pédale de leur invention.  - Leur magasin est sur le boulevart, au coin de la rue Grammont, chez M. Lemaire, marchand de meubles el de nouveautés, n° 27. (18.25.)" Bulletin de commerce, 25/06/1818, p. 308 (gallica.bnf.fr)

"Frey (de), facteur de pianos et de harpes, breveté du duc et de la duchesse d'Angoulème, de la duchesse de Berri, et de la duchesse douairière d'Orléans, Vieille rue du Temple, n. 51." Annales de la musique ou Almanach musical: de Paris, Volume 1, 1819, p. 47

"Manufacture de Forte-Piano. 6. MM. De FREY pêre et fils, facteurs brévetés de LL. AA. RR. Monsieur comte d'Artois, Madame duchesse d'Angoulème, Mme la duchesse de Berry, et de S. A. S. la duchesse douairière d'Orléans, ont l'honneur d'informer le public qu'ils viennent de faire un dépôt de leurs Pianos à M. Meurger, pianiste, professeur on cette ville, rue de l'Epée, no. 9. Le succes toujours croissant qu'obtiennent les instrumens de MM. de Frey, tant à Paris que dans beaucoup d'autres villes de France, où ils ont des dépôts, leur fait espérer que MM. les amateurs de cette ville leur rendront la même justice qu'on leur accorde partout ailleurs. Les personnes qui désireraient voir ces Pianos peuvent s'adresser chez W. MEURGER, tous les jours, depuis cinq heures jusqu'à neuf heures du soir." Le Journal de Rouen, 25/08/1823, p. 4

(lire la suite )

 

Paris 62, rue de la Verrerie (*1809)(arr.4)

rue Saint-Denis, Passage du Grand Cerf (x1810)(arr.3)

350, rue Saint-Denis [au Grand Cerf] (P1802)(*1811)(*1812)(*1813)(*1814)(*1816)(arr.3)

51, Vieille rue du Temple, Hôtel des Ambas-sadeurs d'Hollande (*1817)(**1818)(**1819)(*1820)(**1820)(*1822)(x1822)(x1823)(x1825)(x1826)(x1827)(x1828)(*1829)(x1829)(xxx1833)(1835)(¹⁰)(z1835)(*1836)(**1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(x1840)(x1841)(*1842)(**1843)(x1843)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(arr.4)

[n°41], Vieille rue du Temple (yy1839)(xx1841)

à Paris

* 76, rue de Richelieu (***1813)

* 8, Place des Victoires (**1813)(*1815)(*1816)(**1819)(***1829)(x1837)(arr.1)(comme 'music-seller')

à Paris

 

'Facteur de pianos et harpes'

Né à Colmar en 1770 (¹⁰), François-Joseph de Freÿ s'installa dans la capitale à la fin du siècle où il fut apprenti dans la manufacture ERARD. Dans les années 1810, il se mit à son compte et fonda avec son fils la maison De Frey et Fils dès 1813.

Époux de CROCQ Cathérine (1829)(¹⁰)

DE FREY François Joseph (1790)(¹⁰)

De FREY Père & Fils (1813)(1818)(x1822)(z1835)(***1836)(*1838)(xx1839)

'Facteur de pianos et de harpes, brevété du duc et de la duchesse d'Angoulême, de la duchesse de Berri, et de la duchesse douairière d'Orléans'' (**1819)

1835 - "128. Defrey (François-Joseph), fabricant de pianos, âge de 65 ans, né à Colmar (Haut- Rhin), demeurant à Paris, Vieille-rue-du-Temple, n" 51. Defrey avait été signalé comme pouvant n'être pas étranger au complot du 28 juillet dernier. Une perquisition a été faite â son domicile et suivie de l'arrestation de l'inculpé. L'instruction a établi que Defrey ne se mêlait d'aucune intrigue politique, et qu'il consacrait son temps à des œuvres de bienfaisance et de charité. Il a donc été remis en liberté." Cour des pairs. Attentat du 28 juillet 1835, 1835, p. 376

De FREY Vve. (**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)

Sur un barre d'adresse de M. FREY datant de 1811, on trouve sous le nom "FREY Jph" "élève du plus grand maître" de qui s'agit-il ? Erard, le célèbre facteur de piano ? Ou quelqu'un qui avait son atelier dans la même rue, comme Taskin, Goermans, Blanchet ou Zimmermann ? Ou voulait-il dire quelqu'un d'autre ? "COUPERIN (Armand Louis), fils de Nicolas Couperin [...] ll a été nommé arbitre pour la réception de tous les orgues qui ont été faits à Paris de son vivant. Il a épousé mademoiselle Blanchet, fille du fameux facteur de clavecins de ce nom. Madame Couperin, avant d'être mariée, avait déjà une grande célébrité sur l'orgue et le clavecin. [...] De son mariage sont nés trois enfans. [...] COUPERIN (Gervais - François) [...] Il s'est marié, en 1792, avec, mademoiselle Frey, son élève, douée d'une superbe voix, fille de M. Frey, chevalier de Saint-Louis et lieutenant-colonel du régiment Suisse de Salis-Samade, de laquelle il a eu une fille." Dictionnaire historique des musiciens, artistes et amateurs, morts ou vivans ..., 1817, p. 162


(la suite)

"MM. DE FREY père et fils ont l'honneur de rappeler au souvenir de MM. les amateurs de musique, qu'ils contiunent d'avoir un dépôt de PIANOS rue de l'Epée, n° 9, à Rouen, chez M. MEURGER fils, pianiste, professeur de cette ville. Tous les Pianos de leur fabrique sont vendus à garantie." Le Journal de Rouen, 24/01/1824, p. 4

"DE FREY et fils, rue Vieille-du-Temple, n. 51 ; hôtel des ambassadeurs de Hollande. Facteurs brevetés du Roi, de S. A. R. mad. la Dauphine, de S. A. R. mad. duchesse de Berri, et de S. A. R. madame la duchesse douairière d'Orléans, fabriquent des pianos carrés ordinaires, et à queue, grands et petits formats à six octaves, et de quatre à sept pédales ; ces instrumens, de l'exécution la pl[illisible] soignée, sont, même les plus simples, en bois d'acajou intérieurement com[illisible] extérieurement; ainsi que des harpes sans soupape d'après les modèles nouveaux. Les amateurs apprécient les instrumens qui sortent de cette maison." Bazar parisien, ou Annuaire raisonné de l'industrie des premiers artistes et fabricans de Paris : offrant l'examen de leurs travaux, fabrications, découvertes, produits, inventions, etc., 1826, p. 438 (gallica.bnf.fr)

"DE FREY et fils. Facteurs brev. du Roi, de S. A., R. la Dauphine, de S. A. R. Madame duchesse de Berri, fab. des pianos en acajou à l'intérieur comme à l'extérieur, ainsi que des harpes sans soupapes, etc.; r. V.-du-Temple, 51." Répertoire du commerce de Paris, ou Almanach des commerçans, banquiers, négocians, manufacturiers, fabricans et artistes de la capitale, 1829, p. 622 (gallica.bnf.fr)

"De Frey et fils, r. Vieille-du-Temple, 51. Facteurs brev. du Roi, de S. A. R. Madame la Dauphine, de S. A. R. Madame, duchesse de Berry, fab. des pianos en acajou à l'intérieur comme à l'extérieur, ainsi que des harpes sans soupapes, etc." et "Frey (de) père et fils, r. Vieille-du-Temple, 55 [sic]. Brev. du Roi, de Madame la Dauphine et de Madame." Répertoire du commerce de Paris, ou Almanach des commerçans, banquiers, négocians, manufacturiers, fabricans et artistes de la capitale, 1828, p. 566 (gallica.bnf.fr) et Répertoire du commerce de Paris, ou Almanach des commerçans, banquiers, négocians, manufacturiers, fabricans et artistes de la capitale, 1829, p. 622 (gallica.bnf.fr)

FREY J.

marchand de musique et éditeur

* Vers 1811 et 1837, il y avait un autre  FREY Jacques Joseph, [successeur d' une association de 6 compositeurs pour vendre leurs partitions :
Boieldieu, Kreutzer, Cherubini, Kreutzer, Nicolo et Méhul (*1813)] marchand de musique et d'instr., éditeur, place des Victoires, 8 [ci-devant rue Richelieu], avant rue de la Loi, 268 (aujourd'hui rue de Richelieu).

"Frey (J.), marchand de musique et d'instrumens, alto de l'orchestre de l'Opéra, place des Victoires, n. 8 - Le Laurier et la Charrue ou Le Soldat fermier." Annales de la musique ou Almanach musical de Paris, Volume 1, 1819, p. 47

VOIR AUSSI ...

... un facteur avec le même nom FREY à Genève, Suisse (°1816), un FREY à Anvers, Belgique, vers 1895-97

 

 

 

MARTIN Jean Grégoire Casimir & Basile

 

Piano 'boudoir' sur l'Exposition de 1844 à Paris

 

 

Piano 'niche de chien'

1810

 

Pianos carrés, pianos droits, pianos verticaux ou, pianos à queue

Piano pédalier n° 5128 (mécanique à lâmes, bayonettes à l'arrière) au Musée du piano, Limoux, France

MARTIN
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Brevet de 1839 : "système de suspension de sommier prolongé, appliqué à la construction des pianos grand format, six octaves et sept octaves, à deux et trois cordes." (¹³) 

 "7046. Brevet d'invention de cinq ans en date du 6 janvier 1840, sieur Martin et compagnie, à Toulouse, pour une suspension de sommiers de piano." Description des machines et procédés spécifiés dans les brevets d'invention, 1845, p. 76

'Chirogymnaste' : "Pour l'appareil auquel il a donné le nom de chirogymnaste, qui sert à exercer les doigts du pianiste, sans fatiguer son oreille et sans user le mécanisme du piano." Rapport du Jury central ..., Paris Jury central, Imprimerie de Fain et Thunot, 1844

Brevet de 1844 : "341° Le sieur Martin (Jean-Grégoire-Casimir), facteur de pianos, demeurant à Paris, place de la Bourse, n° 13, auquel a été délivré, le 28 septembre dernier, le certificat de sa demande d'un brevet d'invention de cinq ans, pour un piano contenant un secrétaire." Bulletin des lois de la République française, 01/1845, p. 168 (gallica.bnf.fr)

Pour voir le brevet original
voyez le site
INPI (¹³)

 

 

Toulouse

Paris

 

72, rue de la Pomme (**1828)(z1834)(***1837)

Ateliers : 1, Boulevard Napoléon (xx1835)

Manufacture : 2, boulevard Napoléon (1836)(***1837)(*1841)

à Toulouse

24, rue Vivienne (*1843)(x1843)(xx1844)(arr.2)

13, Place de la Bourse (*1843)(**1844)(arr.2)

13, rue des Files-Saint-Thomas (x1843)(xx1844)(**1845)(arr.2)

26, boulevard Poissonnière (**1846)(x1847)(arr.9)

13, rue Jusienne (xx1856)

à Paris

Plus de trente ouvriers allemands, prussiens, anglais et français, 1838

Plus de cent pianos par année, 1838

 

'Facteur de pianos' ca. 1828-56

Les frères Martin, Basile l'aîné et son frère génial inventeur Jean-Grégoire Casimir, étaient originaires de Toulouse. Leurs activités sont authentifiées dès 1810.

"Martin [aîné], marchand de musique, successeur de M. Crosilhes-Calvet, à Toulouse." Journal politique et littéraire, 17/12/1822, p. 4 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr) et Journal des artistes, 1827, p. 588 (gallica.bnf.fr)

L'aîné était le successeur de CROSILHES-CALVET (Journal de Toulouse, 27/12/1822), mais dans les années 1830 (à partir de 1836 selon les connaissances actuelles), la manufacture est dénommée MARTIN Frères (1834, 1835) puis MARTIN Casimir & Comp. (1836)(***1837)(*1843)(**1846)(x1847), sans doute lorsqu'ils sont établis à Paris. Dans les années 1840, au sommet de son succès, Casimir MARTIN va fermer boutique en France pour aller s'installer à Madrid.

1841 - "La dissolution de la société C. Martin et comp., facteurs de pianos, devant avoir lieu le 1er avril prochain, les personnes qui ont des comptes à régler avec cette maison, sont priées de se présenter avant cette époque, boulevart Napoléon, n° 2, à l'entresol, depuis midi jusqu'à 2 heures. Nota. Une grande quantité de pianos neufs, ainsi que des pianos de hasard, seront vendus à très-bon marché, pour cause de cette dissolution." Le Journal de Toulouse, 24/03/1841, p. 4 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)

1842 - "En 1842, cette maison a cessé de fabriquer, pour ne s’occuper que de la vente des pianos de Paris; par conséquent, elle n’a pu présenter de ses produits aux Expositions de 1845 et de 1850. Ce n’est qu’en 1851, après des études spéciales sur la fabrication des pianos, que cette maison a ouvert ses ateliers à un grand nombre d’ouvriers d’élite." Histoire de l'exposition des beaux-arts et de l'industrie de Toulouse en 1858, 1858, p. 209-210 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)

1844 - "Grâce à Martin fils aîné dont le frère, Casimir MARTIN, inventeur du Chirogymnaste avait exposé un piano secrétaire en 1844 avant de s’établir à Madrid, elle eut sa manufacture de pianos vers 1840 et elle figura avec honneur aux expositions de Londres en 1862 (prize medal) et de Paris en 1867 et 1878 (méd. d’argent). A cette dernière, la raison sociale était devenu Martin et Cie." Les facteurs d'instruments de musique: les luthiers et la facture instrumentale : précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893

La manufacture rouvrira ses portes en France sous l'impulsion d'un decendant, Paul, puis sera reprise par tout une lignée de MARTIN jusqu'au 20ème siècle.

SES SUCCESSEURS

MARTIN (Paul) Fils Ainé (1855)(1864)

MARTIN & Cie (xxx1878)

- SOCIETE ANONYME MARTIN dès 1900 (*1913)

- MARTIN-GAUTIÉ Réunies à 1923. C'était GAUTIÉ P. & Fils, facteurs d'instruments.

- MARTIN, GAUTIÉ & ROUGET (ca. 1930), voyez   GAUTIÉ et ROUGET (1930).

- GAUTIÉ Frères Réunies vers 1930 ?, les successeurs de MARTIN.

TÊTE D'UNE FACTURE

Facture ca. 1876

 

Médaille de bronze Toulouse ?, 1835 | Citation favorable Paris, 1844  

SOUCHETTE 1811

 

"Le sieur Souchete, facteur et marchand-luthier à Angers, place des Halles, n.° 14, est arrivé dans cette ville avec un assortiment de musique et toutes espèces d'instrumens; savoir; Violons de toutes qualités ; Guitares idem, en bois des îles et à mécanique ; Clarinettes de tous les tons, en buis et ébène; Flûtes idem, à pompe et à plusieurs clefs ; Flageolets idem, et à la nouvelle mode ; Cannes à clarinette, flûte et flageolet ; Cors d'harmonie; Trompettes idem ; Trompettes de cavalerie, Trompes de chasse; Trombonnes; Serpens; Cymbales turques ; Ophicléïdes dans tous les tons ; Buccins; Pavillons chinois ; Trompettes ou Bugles à clefs, dans tous les tons ; Clairons à clefs et sans clefs, dans tous les tons ; cornets de poste ; Serpens-Bassons, etc. ; Diapasons et Clefs pour accorder les Pianos et les Harpes ; Bassons ; Serinettes de toutes qualités ; Orgues à cylindres de toutes grandeurs, perfectionnées, tant pour le salon que pour les églises. Toutes espères de Chevilles, Chevalets, Cordiers, etc, pour Basses, Violons et Guitares ; Archets de toutes qualités; Cordes de Naples et autres qualités, pour Violons, Guitares, etc. Il se charge de fournir tout autres instrumens, et fait la commission. Il répare toutes espèces de Serinettes et Orgues à cylindres, et y pose des airs au choix des amateurs. On trouve au magasin du sieur Souchette, à Angers, toutes espèces de Pianos, et il en expédie, lorsqu'on lui fait des demandes. Nota. Il tient également un assortiment de papier rayé pour musique et cartons pour musique militaire, ainsi qu'un dépôt de tailleplumes perfectionnés. Il est dèballè près l'hôtel du Dauphin, place des Halles, au Mans, pour la foire seulement. Le sieur Souchette prévient les amateurs qu'étant en relation avec les principaux éditeurs de Paris, il peut donner toute la musique que l'on peut désirer, romances pour piano et guitare de tous les auteurs, Album de Penceron, Romagnési, etc." Affiches, annonces judiciaires, avis divers du Mans, et du Département de la ..., 02/11/1832, p. 762 - et -  Affiches, annonces judiciaires, avis divers du Mans, et du Département de la Sarthe, 1833, p. 357 et Affiches, annonces judiciaires, avis divers du Mans, et du Département de la Sarthe, 1834, p. 323 (la suite )

 

Angers 14, place des Halles (xx1832)(xx1833)(xx1834)(***1836)

'Facteur et marchand-luthier' ca. 1811-54

SOUCHETTE Jeune (?)

SOUCHETTE Fils (xx1854)(*1876)

Repris par Arthur METZNER en 1883.


(la suite)

"Facteur de pianos et magasin de musique et accordeur de pianos fait et répare tout ce qui concerne la lutherie." Almanach-Bottin du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales villes du monde...', part. 2, par Séb. Bottin, 1842 (gallica.bnf.fr)

"Souchette fils, magas. de pianos droits et carrés à vendre et à louer, orgues expressifs et à cylindre pour églises et salons; magasin de musique et d'instruments, luthier et accordeur, fait toutes espèces de réparations." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1854, p. 1711 (gallica.bnf.fr)

 

 

PETZOLD Guillaume-Lebrecht

(1784 - 1847)(¹⁰)

 

 

 

1814

 

Signature d'un piano carre de 1823, Collection Amato/Parisi, Palermo, Italie

TITRES

'Facteur de pianos du Duc de Berry, membre de l'Athénée' (*1820)

'Petzold, facteur de la reine et des princesses, rue Grange-Batelière, 1.' (xxx1833)(***1836)

'Petzold, de la Reine et des Princesses' (**1837)(*1838)

Piano console n° 418 ca. 1820, Kolthoorn Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas
Piano carre de 1823, Collection Amato/Parisi, Palermo, Italie

Piano carré ca. 1825, autre photo, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique

Piano caré de 1826 sur lequel Chopin a donné ses leçons à la jeune Clémence de Marquet, seconde épouse d'un aïeul du Comte de la Panousse, Chateau de Thoiry, France
Piano carré de 1832, Conservatoire de Musique, Thionville, France
Piano carré mentionné dans les archives de vente de PLEYEL de 1830, p. 75

PARIS - "510 M. Petzold, rue d'Orléans-Saint-Honoré, n. 13. Les nouveaux pianos de M. Petzold sont surtout remarquables par une très-belle qualité de son, qui est due au soin extrême qu'apporte cet habile facteur à maintenir une exacte proportion de flexibilité dans chaque partie de la table d'harmonie, et au travail particulier pratiqué dans cette table pour adoucir les tons élevés. Les instrumens de M. Petzold sont très-recherchés, et parmi les personnages éminens qui en font usage, nous citerons LL. AA. RR. Madame, duchesse de Berry, et Madame la duchesse d'Orléans." Expo 1823 Rapport du Jury d'admission des produits de l'industrie du Département de la Seine à l'Exposition du Louvre en 1823, 1825, p. 169

PARIS - "1073 M. Pethold [sic], à Paris, rue d'Orleans-St.-Honoré n°. 13 : Forté-Piano." Exposition Publique Des Produits De L'Industrie Francaise, 1823, p. 107

 

Paris

1, rue de la Saint-Nicaise (pub de 1814)(**1818)(arr.1)

13, rue d'Orléans-Saint-Honoré (**1819)(*1820)(**1820)(*1822)(x1822)(x1823)(x1825)(*1825)(x1826)(x1827)(***1828)(arr.1)

 1, rue Grange-Batelière (x1828)(*1829)(x1829)(*1832)(xxx1833)(*1835)(z1835)(**1837)(*1838)(***1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(**1843)(x1843)(arr.9)

41, rue des Martyrs (1847)(¹⁰)(arr.9)

 

'Facteur de pianos'carrés, pianos à queue ca. 1814-47

Voir ci-dessus PETZOLD-PFEIFFER (° 1806) la notice biographique par Fétis consacrée à Guillaume-Lebrecht PETZOLD. Celui-ci s'est séparé de son associé en 1814 (à l'occasion du lancement d'un nouveau mécanisme d'échappement) et a continué ses activités en solo en ajoutant de bien singulières inventions dans l'histoire du piano.

"Son but était d'augmenter la quantité de bruit, mais l'arrangement a augmenté la taille des cordes et la plus grande action exigée accroissent que l'action carrée anglaise pourrait fournir. PETZOLD a substitué une variation d'une action grande anglaise avec un déversoir détraqué et de différentes brides de marteau, mais les coups plus lourds qu'il a permis ficeler plus lourd exigé, qui au tour a exigé des armatures plus fortes. Ces changements ont donné à ses places une plénitude et une capacité sans précédent pour l'expression, et ont indiqué la direction des changements suivants pour lesquels aurait lieu dans l'art de la construction, aussi bien que l'inscription et l'exécution sur des pianos." (¹¹)

En 1843, après la cessation de PETZOLD, KNERINGER Simon (°1843) qui a travaillé 25 ans pour PETZOLD commence pour sa propre compte.

BIO

"Petzold, Wilhelm-Lebereght (Petzhold), facteur de pianos, né à Lichtenhain, en Saxe, le 2 juil. 1784, fut associé de 1806 à 1814 avec J. Pfeiffer, à Paris (date de mort inconnue); il a donné une puissante impulsion au perfectionnement de la construction des pianos-tables et indirectement des pianos à queue, car il introduisit l'usage des cordes plus longues et plus fortes et en general une construction plus sonde destinée à favoriser la formation d'un son plus plein et plus puissant; ses pianos-tables étaient fort recherchés, jusqu'à l'apparition de Pape." Riemann Humbert Dictionnaire de musique 1899, p. 613 (Archive.org)

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INFO EXTRA

Lettre de Petzold à Monsieur Cottin, 12 mars 1824

 

Médaille d'argent (à l'Athénée) 1817 | Médaille d'argent Paris, 1823 | Jury d'admission Paris, 1823 | Brevet de 1829

PFEIFFER Jean François Antoine

(1772 - 1839 ?)(³¹)

 

 

Pianos-Thiell

 

 

 

 

 

 

1814

 

Pianos carrés, orgues, harpes et harmoniums

TITRES

'Facteur de pianos de SAR Mgr. le Dauphin'

'Facteur de pianos et de harpes du Duc d'Angoulème'

Piano carré ca. 1818, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
Piano carré n° 747 ca. 1824, Clavier am Main, Sammlung Michael Günther, Schloss Homburg, Allemagne
Piano carré ca. 1825, Musée du piano, Thiell, Metz, France

JURISPRUDENCE

PLANE CONTRE BRIMMEYER ET PFEIFFER, De la législation et de la jurisprudence concernant les brevets d'invention, 1825, p. 250

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Brevet de 1830 : "220 MM. Brimmeyer (Françoise-Xavier), mécanicien, et Pfeiffer (Jean-François-Antoine), facteur de pianos, demeurant à Paris, rue Montmartre, n° 18, auxquels il a été délivré, le 25 août dernier, le certificat de leur demande d'un brevet d'invention de dix ans pour un nouvel instrument qu'ils nomment dit al harpe." Bulletin des lois de la République française, 25/07/1830, p. 262

Brevet de 1838 : "Pfeiffer, appliqua sur les pianos carrés un barrage en fer avec un arc boutant de même matière; il imagina également une nouvelle mécanique appropriée à la nouvelle construction de la caisse; les étouffoirs se trouvaient logés dans l'intérieur de la caisse, derrière les marteaux de manière à laisser sortir le son libre; par ce moyen la mécanique était moins sujette à se déranger. (B. F.)" Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

Pour voir le brevet original
voyez le site
INPI
(¹³), parfois sous le nom 'PFEIFFER'

"Ceux-ci semblaient être condamnés à rester désormais dans leur état d'imperfection, lorsque MM. Pfeiffer et Petzold, alors associés, changèrent tout à coup les principes de leur construction, et obtinrent les plus heureux résultats. La table sonore, qui précédemment n'occupait qu'une partie dela longueur de l'instrument, fut prolongée d'un bout à l'autre; la caisse fut élargie et permit de donner à la courbe du chevalet une direction telle que la longueur des cordes fut notablement augmentée, surtout dans le haut; un nouveau mécanisme, soigné dans tous détails, fut calculé pour donner un levier considérable au marteau, afin qu'il frappât les cordes avec plus de force et en tirât plus de son. Mais l'augmentation de force dans l'action du marteau, jointe à celle de la longueur des cordes, obligeait à donnera celle-ci un diamètre plus considérable; or, plus les cordes sont grosses, plus elles montent difficilement, et conséquemment, plus leur tension fatigue l'instrument dans le sens de sa longueur. Il faut donc proportionner la résistance de la caisse à l'action exercée sur elle : tout cela fut fait avec une sagacité et une précision remarquables, et pour prix de leurs efforts, MM. Pfeiffer et Petzold obtinrent des instrumens excellons, dont ils ont successivement perfectionné les détails, et qui satisfont maintenant les artistes les plus exigeans, soit sous le rapport du son, soit sous celui du mécanisme. Depuis lors, tous les facteurs adoptant les mêmes principes, et les mettant eu pratique avec plus ou moins de succès, y ont seulement introduit quelques variétés, soit dans le mécanisme, soit dans des accessoires qui ont un but d'utilité spéciale. Par exemple, M. Roller, aujourd'hui associé à M. Blanchet, ayant remarqué la difficulté qu'éprouvent tous les amateurs et même quelques professeurs à transposer sur-le-champ d'un ton dans un autre l'accompagnement de certains morceaux qui sont trop élevés ou trop bas pour les voix, M. Roller, dis-je, a voulu venir à leur secours en réduisant le tout à une simple opération mécanique. Il a rendu son clavier mobile, afin qu'on pûl le transporter à volonté un demi-ton, un ton, ou un ton et demi plus bas, ou enfin un demi-ton plus haut, en sorte que l'exécutant jouant la musique telle qu'elle est écrite transpose sans occuper son esprit d'un calcul difficile. M. Pfeiffer a perfectionné ce mécanisme eu y appliquant une pédale; mais ses pianos ne transposent qu'à un demi-ton au-dessous, ce qui suffît dans l'usage le plus habituel. L'idée des pianos - transpositeurs n'était pas nouvelle. MM. Erard et Pfeiffer en avaient exécuté autrefois dans lesquels la table sonore était une colonne verticale sûr laquelle les cordes étaient tendues, et qu'on pouvait tourner à volonté, de manière que le même marteau frappât telle note voulue. Mais l'obligation de contraindre le bois pour lui faire prendre la forme cylindrique le privait de vibration, et l'on n'obtenait qu'un son défeçtueux. On avait donc été forcé d'abandonner cette invention."  Fétis, Revue musicale, Volume 1, 1827, p. 35-36

Paris

7, rue Neuve Saint-Martin (**1806)(**1807)(arr.4)

14, rue Vivienne (*1816)(*1817)(**1819)(arr.2)

29, rue du Mail (**1818)(arr.2)

18, rue Montmartre (*1822)(x1822)(x1823)(x1825)(x1826)(x1827)(***1828)(*1829)(x1829)(*1832)(x1832)(arr.2)

28, rue Montmartre (*1825)(***1828)(x1828)(arr.2)

7, Place des Victoires (*1833)(arr.1)

5, Place des Victoires (xxx1833)(1834)(z1835)(arr.1)

20, rue neuve Saint Augustin (*1835)(**1837)(***1838)(arr.2)

6, rue du chemin Vert (***1836)(arr.11)

132, rue Montmartre (xxx1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(x1840)(x1841)(arr.2)

3, rue J. J. Rousseau (**1843)(arr.1)

35 ouvriers en 1827

 

'Facteur de pianos' ca. 1814-43

Voir ci-dessus PETZOLD-PFEIFFER (°1806) la notice biographique par Fétis consacrée à J. PFEIFFER. Celui-ci s'est séparé de son associé en 1814 (à l'occasion du lancement d'un nouveau mécanisme d'échappement inventé par Petzold) et a continué ses activités en solo en tant que facteur de pianos carrés et de harpes.

PFEIFFER Jean François Antoine est né le 10/07/1773 (¹⁰)

PFEIFFER N. (**1817)

1822 - "BB/11/191 - Dossier n°3681 B5 - PEIFFER ; PFEIFFER, Jean François Antoine - Né(e) le 10 juillet 1772 à Perl (Sarre) Qualité : facteur de pianos - Objet : naturalisation - Ouverture du dossier : 21 mai 1822." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1823 - "(N.° 14,530.) Ordonnance du Roi qui accorde des Lettres de déclaration de naturalité au S.r Pfeiffer dit Peiffer ( Jean-François-Antoine), né le 10 juillet 1772 à Perl, ci devant département de la Sarre, facteur de piano, demeurant à Paris, 19 février 1823." Bulletin des lois de la République Française, Volume 16, 1823, p. 341

"Séparé de PETZOLD, en 1814, PFEIFFER se fit alors une honorable réputation par ses pianos carrés à deux cordes. Vers 1830, il a fait connaître un petit instrument de son invention, sous le nom deHarpolyre; il le croyait destiné à remplacer avantageusement la guitare, parce qu'il était aussi portatif et offrait plus de ressources et des sons plus puissants : cependant, la harpolyre n'a point eu de succès. PFEIFFER a aussi inventé uninstrument nouveau, imitation du piano, et appelé Harmomelo. PFEIFFER a exhibé ses instruments dans les diverses expositions des produits de l'industrie française, et a fait imprimer un Mémoire adressé à MM. les membres composant le jury de l'exposition de 1823 (Paris), où il rendait compte de ses travaux depuis 1800. PFEIFFER est mort à Paris, vers 1838." Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique, François-Joseph Fétis, 1870, p. 21

PFEIFFER Jean (1829)

PFEIFFER & Cie (1838)

1838 - "PFEIFFER Jean François Antoine, Fabricant breveté du Roi de piano forte et de harpes ditales, rue Montmartre, n° 132.  Le 22/08/1838, dans un acte notarié en commandite entre ledit, membre de la Société d'encouragement de l'industrie nationale, et toutes les personnes qui y adhéreraient pour l'exploitation d'un nouveau système en nom collectif pour Monsieur PFEIFFER et en commandite pour les autres sous la raison PFEIFFER et Compagnie et dont le siège est à son domicile. Source : D31u3-80/Pièce 1525." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1838 - "PARIS. Fabrication, vente et location de pianos et harpes. Raison sociale PFEIFFER et comp. siëge rue Montmartre. 132; fonds social 300,000 fr. en 600 actions de 500 fr.; durée: 10 ans, du moment ou moitié des actions auront été souscrites. (Acte not. du 22 août 1838.)" La Presse, 03/09/1838, p. 4 (gallica.bnf.fr) et Aristarque catholique: revue critique de tous les ouvrages nouveaux, 1838, p. 35-36 (gallica.bnf.fr)

1838 - "Société en commandite pour l'exploition des pianos Pfeiffer et autres. Siége de la société, rue Montmartre 132." La Presse, 01/10/1838, p. 4 (gallica.bnf.fr) et La Presse, 23/09/1838, p. 4 (gallica.bnf.fr)

1839 - Faillite de la manufacture déclarée le 9 août 1839. (¹²)

1839 - "COMPAGNIE POUR L'EXPLOITATION DES PIANOS PFEIFFER ET AUTRES.
Siège à Paris, rue Montmartre, n° 132.  -  Société fondée en août 1838.  -  Raison sociale : Pfeiffer et compagnie.  -  Fonds social : 800,000 fr., divisé en 600 actions de 500 fr. chacune." (Sociétés en commandites) Annuaire des sociétés par actions anonymes, civiles et en commandite, 1839, p. 248-249 (gallica.bnf.fr)

SUCCESSEURS

Contemporain de Jean François Antoine, N. (1817) travailalit peut-être avec lui. Son fils, PFEIFFER E. était établi à Versailles (au moins de 1834 à 1841) également comme facteur de pianos, on ne sait si c'est lui également qui s'installa plus tard à Bruxelles entre 1859 et 1870), C'est un descendant, Henry, qui fonda la Pfeiffer & Cie dès 1885.

RAISON SOCIALE

1838 - "PFEIFFER ET COMP. SIÉGE DE LA SOCIÉTÉ : rue Montmartre, 132. DEUXIÈME MAGASIN, Bazar Bonne-Nouvelle.- SOCIÉTÉ EN COMMANDITE DUREE DE LA SOCIETE : DIX ANS.   EXPLOITATION DES FIAIS PFEIFFER ET AUTRES. Acte du 22 août 1858.— Me CADET DE CHAMBINE, notaire à Paris. FONDATEUR ET GÉRANT SEUL RESPONSABLE, M. PFEIFFER, fabricant de Pianos et de Harpes depuis 1808, membre de la Société d'encouragement de l'Industrie nationale, importateur en France des Pianos droits, honoré, par le jury de l'exposition de l'Industrie nationale en 1819 et en 1824, des premières médailles d'argent, confirmées par brevet nouveau en 1826; trois fois breveté, ancien facteur du duc d'Angoulême, honoré de récompenses nationales, etc.; rue Montmartre, 132, à Paris. CAPITAL SOCIAL : 300,000 francs, en 600 actions au porteur, de 500 francs chaque, payables par dixièmes : le premier lors de la souscription, et chacun des autres quand les besoins de la Société l'exigeront, et seulement un mois après l'approbation, par le conseil de surveillance, de la demande qu'en aura faite le Gérant. — Il ne pourra être demandé plus d'un dixième à la fois. DROIT DES ACTIONS. —1°Intérêt à 5 pour cent des versemens effectués; 20 part proportionnelle à l'actif social et aux bénéfices annuels. Ces bénéfices, d'après l'expérience par M. Pfeiffer de trente-cinq ans d'un commerce honorable, excéderont 60,000 francs par an, ou le cinquième du capital social, dont le cinquième seulement des actions en numéraire aura été versé, et sera garanti par des Pianos ou des matières premières; 3°la faculté de prendre à prix de revient, plus nn dixième de ce prix, un ou plus d'un Pianos de la Société, en donnant en paiement les dixièmes versés sur l'action ou les actions dont on est porteur; 4° la faculté de payer de la même manière le prix de la location des pianos de la Société. — Toutes les garanties possibles sont données aux actionnaires. S'adresser pour les renseignemens à Me CADET DE CHAMBINE, notaire, rue du Bac, 27, ou à M. PFEIFFER, rue Montmartre, 132." Le Vendeur : journal spécial des ventes et acquisitions d'immeubles, fonds de commerce, actions industrielles, ... 18/11/1838, p. 4 (gallica.bnf.fr)

VOIR AUSSI ...

... un PFEIFFER à Bruxelles (Belgique) entre 1859-70 (¹⁷)

Liste des exposants Paris, 1806 | Médaille d'argent Paris, 1819 | Médaille d'argent Paris, 1823 | Jury d'admission Paris, 1823 | Rappel de Médaille d'argent Paris, 1827 | Brevet de 1838 | Rappel de Médaille d'argent Paris, 1839

PAPE Jean-Henri
| Johann Heinrich

(1789 - 1875)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cité de la Musique

 

 

 

 

1815

 

Piano à queue 19e (Charles X), Musée de la Musique, Paris, France
Piano à queue n° 669, et sa signature, Musée de la Musique, Paris, France
Piano ca. 1820, Musée vivante du Piano, Lyon
, France
Piano carré ca. 1823, et sa signature, a appartenu à Luigi Cherubini, Musée de la Musique, Paris
, France
Piano carré ca. 1824, Musée vivante du Piano, Lyon
, France
Piano cabinet ca. 1825-35, Musical Instruments Museum, Poznań, Pologne
Piano carré ca. 1826, Museo Castello del Buonconsiglio, Trento, Italie
Piano carré n° 1243 ca. 1827, Collection privée, France
Piano carré n° 1252, Villa Medici Giulini, Briosco, Italie
Piano carré en acajou flammé n° 1343 ca. 1827, Collection Gisclard, Bessan, France
Piano carré ca. 1828, Collection Christopher Clarke, France
Piano carré n° 1343 ca. 1827 et n° 1425 ca. 1828, Collection Gisclard, Bessan

Piano carré de 1828, Musée des Beaux-Arts, Chartres, France
Piano carré (mécanique anglaise)(3ème cartouche) n° 1878 ca. 1829, Musée de Limoux
Piano carré en acajou flammé ca. 1829, Collection Gisclard, Bessan, France
Piano carré ca. 1829, Musée municipal A.-G. Poulain, Vernon, France
Piano à queue ca. 1830, Musée municipal A.-G. Poulain, Vernon, France
Piano carré n° 1890 ca. 1830, Pascal Herpin, Montpellier
, France
Piano carré ca. 1830, Palazzo del Turismo, Riccione, Italie
Piano carré n° 2000 ca. 1830, Collection privée, France
Piano sans cordes ca. 1830, Stiftung Lebensfarben, Berlin, Allemagne
Piano sans cordes ca. 1830, Stiftung Lebensfarben, Berlin, Allemagne

Piano carré ca. 1833, autre photo, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
Piano droit n° 2196, museum Vleeshuis, Anvers, Belgique

Piano à queue n° 2494 ca. 1833, Kenneth G. Fiske Museum, Claremont, U.S.
Piano à queue n° 2531 ca. 1833, Collection Ad Libitum, Etobon, France
Piano carré ca. 1834, museum Vleeshuis, Anvers, Belgique
Piano-console ca. 1834, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
Piano carré n° 2654 de 1834 (4ème cartouche), Musée de Limoux
, France
Piano carré n° 2958 ca. 1835,
Sammlung Dohr, Pianomuseum Haus Eller, Bergheim, Cologne, Allemagne
Piano carré n° 2961 ca. 1835, Sammlung Dohr, Pianomuseum Haus Eller, Bergheim, Cologne,
Allemagne

Piano carré n° 2968 ca. 1831, Sweelinck Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas
Piano droit n° 3122 ca. 1835, Toccata, Le petit musée du clavier de Tarare, France
Piano carré n° 3190, Musée de la Musique, Paris
, France
Piano hexagonal n° 3537 ca. 1835, Musée de la Musique, Paris, France
Piano carré ca. 1835-40, Chris Maene Pianomuseum, Ruislede, Belgique
Piano à queue n° 3868, et sa signature, Musée de la Musique, Paris, France
Console pianoforte ca. 1835, Stiftung Lebensfarben, Berlin,
Allemagne
Piano à queue ca. 1835, L'atelier Pianoforte Ad Libitum, Etobon
, France
Piano carré ca. 1835-40, Museo degli Strumenti Musicali, Castello Sforzesco, Milano, Italie
Piano-console ca. 1835, Stiftung Lebensfarben, Berlin, Allemagne

Piano carré ca. 1836, autre photo, Ex-Musikhistorisches Museum von Wilhelm Heyer, Cologne, maintenant : Université de Leipzig, Leipzig, Allemagne
Piano carré ca. 1836, et sa signature, Musée de la Musique, Paris
, France
Piano 'downstriker' ca. 1837, Cantos Music Collection, Calgary, Canada
Piano carré ca. 1837, Chris Maene Collection, Ruiselede, Belgique
Piano armoire ca. 1838, Musée de la Musique, Paris
, France
Piano à queue ca. 1838, Chris Maene Collection, Ruiselede, Belgique
Piano à queue ca. 1838, et sa signature, Musée de la Musique, Paris
, France
Piano-console n° 4005 ca. 1838, et sa signature, Musée de la Musique, Paris
, France
Piano console ca. 1839, Osborne House, East Cowes, Wight, England, U.K.

Piano-console de 1839, Musée de la Musique, Paris, France
Piano droit ca. 1840, Accademia Bartolomeo Cristofori, Firenze, Italie
Piano hexagonal ca. 1840, Museo degli Strumenti Musicali, Castello Sforzesco, Milano, Italie
Piano-console ca. 18??, Palazzo del Turismo, Riccione, Italie
Piano-console ca. 1840, Germanisches Nationalmuseum, Nürnberg, Allemagne
Piano carré ca. 1840, Germanisches Nationalmuseum, Nürnberg, Allemagne
Piano console ca. 1840, Musée du piano, Thiell, Metz
, France
Mécanique de piano guéridon ca. 1840, Musée des arts et métiers, Paris
, France
Piano carré de 1840, Maison de Pierre Loti, Rochefort, France
Piano-console ca. 1840, Musée du Palais Lascaris, Nice
, France
Piano-console n° 4518 ca. 1840, Musée d'Art et d'Histoire, Nice, France
Piano de concert n° 4540 ca. 1840, collection privée, France

Pianino ca. 1841, Germanisches Nationalmuseum, Nürnberg, Allemagne
Piano droit ca. 1841, Kunitachi College of Music, Tokyo, Japon
Piano-console n° 4633 ca. 1841, Musée vivante du Piano, Lyon
, France
Piano-console n° 4688 ca. 1841, Finchcocks Living Museum of Music, Kent, Angleterre, U.K.
Piano table n° 4771 ca. 1842, et sa signature, Musée de la Musique, Paris
, France
Piano console n° 5039 ca. 1842,  Pianomuseum Haus Eller, Bergheim, Allemagne
Fortepiano n° 5083, Piano Kelterborn, Neuchâtel, Suisse
Piano à queue n° 5123 ca. 1843, et sa signature, Musée de la Musique, Paris
, France
Piano-console n° 5360 ca. 1843, Finchcocks Living Museum of Music, Kent, Angleterre, U.K.
Piano-console n° 5364 ca. 1843, Fondation La Ménestrandie, Genève, Suisse
Piano-console ca. 1843, Germanisches Nationalmuseum, Nürnberg, Allemagne
Piano-console ca. 1843, Musée Cevenol, Le Vigan, France
  
Piano-console ca. 1844,  Hangszermúzeum (Musée des instruments de musique), Budapest, Hongrie

Piano-console ca. 1844, Haendel Haus, Halle, Allemagne
Piano console n° 5700 ca. 1845,  Pianomuseum Haus Eller, Bergheim, Allemagne
Piano vertical ca. 1845, Cantos Music Collection, Calgary, Canada
Pianino ca. 1848, Nydahl Collection, Stockholm, Suède

Piano à queue avant 1849, autre photo, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique

Piano-console ca. 1853, Musée municipal A.-G. Poulain, Vernon
, France
Piano-console n° 6041 de 1850, Musée du piano, Limoux, France

Piano console n° 6588 ca. 1855, Sweelinck Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas

Piano-console n° 6314 ca. 1858, Lucien Parent Pianos Showroom, Magill, Australie
Piano-console n° 6593 ca. 1855, Collection privée, Madrid, Espagne

PHOTOS EXTRA

Piano carré n° 1243 de 1827

Cliquez sur l'image pour l'agrandir

Piano carré n° 2000 de 1830

 

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Piano carré de 1830

Cliquez sur l'image pour l'agrandir

 

Paris

 

 Londres

Bruxelles

7, rue Montesquieu (**1819)(1820)(⁷)(arr.1)

1, Cour des Fontaines (**1820)(*1822)(x1822)(x1823)(*1825)(x1825)(arr.1)

et 23, rue Croix-des-Petits-Champs (*1822)(x1822)(x1823)(*1825)(x1825)(arr.1)

1 et 21, Cour des Fontaines (1823)(***1828)(arr.1)

19, rue des Bons-Enfants (*1827)(x1827)(x1828)(*1819)(x1829)(*1832)(x1832)(xxx1833)(A1834)(*1835)(z1835)(**1837)(*1838)(x1838)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(x1843)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(**1852)(x1853)(***1855)(***1855)(z1855)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(yy1864)(arr.1)

 10, rue de Valois [Palais Royal](x1827)(x1828)(*1829)(xxx1833)(1834)(*1835)(z1835)(**1837)(***1838)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(**1843)(x1843)(x1847)(*1848)(x1853)(z1855)(xx1856)(arr.1)

49 [?], rue des Bons-Enfants (**1844)(arr.1)

10, rue 24 Février (x1849)(*1850)(*1851)(**1852)(arr.??)

12, rue de Valois (xx1860)(arr.1)

ateliers : 3, 5, 7, Ruelle Pelés (*1859)(xx1860)(xx1861)(arr.11)

6, Place de la Bourse (*1867)(arr.2)

9, Place de la Bourse (**1864)(*1867)(arr.2)

8, rue Denis-Papin(**1870)

26, avenue de Courbevoie (**1870)(arr.16)

48, rue Rodier (**1883)(arr.9)

17, rue du faubourg Montmartre (1885)(arr.9)

à Paris

SUCCURSALE

67, Fth Street Soho Square (**1837)(*1838)

Great Portland Street (yy1841)

75, Lower Grosvenor Street (*1845)

106, New Bondstreet (x1843)(**1846)(x1847)(*1848)

33, Soho-square (x1849)(*1850)(*1851)(x1853)(z1855)

Little Newport Street, Leicester Square

à Londres, Angleterre, U.K.

SUCCURSALE

85, rue de la Madeleine (y1842)(x1843)(*1845)(**1846)(x1847)(*1848)(1000B)

46, rue du Bois-Sauvage (1847)(1000B)

16, rue du Bois-Sauvage (x1849)(*1850)(*1851)(x1853)(1000B)

à Bruxelles, Belgique

 

80 ouvriers  vers 1827

 

 

150 ouvriers vers 1834 et 400 pianos par année

 

 

300 painos en 1842 et 80 ouvriers

 

 

'Facteur de pianos' à queue, pianos carrés, pianos verticaux, et orgues à marteaux [depuis 1815 (z1902)]

Jean Henri Pape est né à Hanovre, Sarstedt. Son père, Conrad Heinrich Papen était cultiveur, et sa mère, Marie Elisabeth FISCHER, n'avait pas de profession. (³²)

Époux de FISCHER Lélie (ou Zélie) (¹⁰), soeur de FISCHER Pierre Frédéric, donc, beaufrère de PAPE. Il avait aussi l'aide de son frère, dont vous trouvez un article dans Journal.

1851 - "MC/ET/XCVIII/1048 - 22 janvier 1851 - Obligation, emprunt, 15000f. Informations complémentaires :
Intervenant 1, en première partie : Nom, qualité : (M.) Pape, Jean Henri. Profession : facteur de pianos, Paris (Paris). Domicile : Paris (Paris) rue des Bons-Enfants, 19.
Intervenant 2, en deuxième partie : Nom, qualité : (M.) Decagny, Antoine. Profession : avocat, Paris (Paris). Domicile : Paris (Paris) place de l'Ecole, 1." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1851 - "MC/ET/XCVIII/1048 - 22 janvier 1851 - Quittance, remboursement d'emprunt, 15000f. Informations complémentaires :
Intervenant 1, en première partie : Nom, qualité : (Mme ou Mlle) Delchet, Anne Pauline Julie. Domicile : Paris (Paris) boulevard Bonne-Nouvelle, 26. Relations : créancier(e) de l'intervenant 3, veuve de l'intervenant 2.
Intervenant 2, indirect : Nom, qualité : (M.) Borda, Louis Etienne. État civil : décédé . Profession : propriétaire. Domicile : Paris (Paris) rue le Peletier, 6.
Intervenant 3, en deuxième partie : Nom, qualité : (M.) Pape, Jean Henri.
Profession : facteur de pianos, Paris (Paris). Domicile : Paris (Paris) rue des Bons-Enfants, 19. Relations : débiteur de l'intervenant 1." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1851 - "MC/ET/XCVIII/1050 - 18 août 1851 - Obligation, emprunt, 10000f. Informations complémentaires :
Intervenant 1, en première partie : Nom, qualité : (M.) Pape, Jean Henri. Profession : facteur de pianos, Paris (Paris). Domicile : Paris (Paris) rue des Bons-Enfants, 19.
Intervenant 2, en deuxième partie : Nom, qualité : (M.) Buhrel, Valentin. Profession : propriétaire. Domicile : Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine)." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

PAPE Henry (***1863)

PAPE Henri & Cie, facteurs de pianos (**1870)

1883 - Archives nationales : "Notoriété par Albert-Joseph Jacobi, dessinateur, Albert-Frédéric Wilhelm Brussow, facteur de pianos, tous deux sujets allemands, concernant Charles Pape, à la requête de Frédéric-Eugène Pape, fabricant de pianos, rue Rodier n° 48, pour lui et autres héritiers Pape demeurant en Allemagne, et Auguste Pape, représentant de commerce, demeurant à Londres, 37 King William street, suivant procuration passé devant maître Adolf Weinhagen, notaire à Hildesheim." FranceArchives.fr - Voir BRUSSOW et Charles PAPE et Frédéric-Eugène PAPE (°1851)

Johann Heinrich PAPEN (que l'on connait en France sous le nom de Henri PAPE) est né en 1789 (²³) dans la province du Hanovre en Allemagne. En 1809 (certaines sources indiquent 1807), il émigre à Paris où il collabora bientôt avec Ignace PLEYEL (°1807) (et son jeune fils Camille (°1824)) dans sa manufacture jusqu'à l'année 1815.

"Nous faisons bon marché des instruments en forme de meubles usuels, tels que le piano-table, le piano rond (1834) le piano-console, comme du piano sans cordes dans lequel ces dernières étaient remplacées par des ressorts (1825-34-40); mais nous devons citer son système de marteaux en dessus des cordes (1827-35), son piano vertical d’un mètre de hauteur (1828), son système de montage des cordes tendant à diminuer le tirage (1838), et surtout l’emploi du feutre pour la garniture des marteaux, d’où résulta une égale intensité de son, telle que cette matière a été adoptée universellement depuis (1826)."
Les facteurs d'instruments de musique: les luthiers et la facture instrumentale : précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893

"Très controversé pour ses idées très avancées il s'endetta, perdit son usine puis mourut ruiné et dans la détresse en 1875.
A Paris, c'est la grande facture de pianos qui a perdu son doyen, Jean-Henri Pape, chevalier de la Légion d'honneur, décédé à l'âge de 83 ans. Jusqu'à son dernier soupir, ce facteur, justement célèbre en son temps, ne cessade penser au perfectionnement des pianos français qui lui doivent tant." Le Ménestrel, 07/02/1875, p. 7 (gallica.bnf.fr)

"M. H. Pape, le facteur de pianos bien connu, chevalier de la Légion d'honneur, vient de mourir à l'âge de 86 ans." La Presse, 04/02/1875, p. 3 (gallica.bnf.fr)

On peut également consulter une notice sur
La vie d'Henri Pape dans 'Les artisans illustres', par Édouard Foucaud; sous la dir. de MM. le baron Ch. Dupin et Blanqui aîné, 1841, p. 554-559 (gallica.bnf.fr)  

Parmi les descendendants de Henri Pape, ses fils
PAPE Frédéric Eugène Fils (°1851) et Jean Louis qui formeront la société PAPE & DELOUCHE (1872-1885).

On trouve à Londres en 1883  :  Auguste PAPE, représentant de commerce à Londres, n° 37 King William street, on trouve également le nom décès de Eric-Charles-Christophe-Louis Pape, car son décès en 1883. Il avait la  même adresse de PAPE Frédéric Eugène (°1851) (³¹)

PAPE sur PAQUEBOT

"Il a été décidé qu'un piano serait envoyé à bord de tous les paquebots français, pour distraire les voyageurs, charmer les ennuis d'une longue navigation et combattre le mal de mer. Ce monstrueux approvisionnement d'instrumens a eu lieu par soumissions cachetées. C'est notre célèbre facteur M. Pape qui a obtenu la préférence. M. Pape est nommé fournisseur-général de nos pianos de mer. Il les livrera au prix de 750 francs pièce. Pour ce prix, seront passables, sinon parfaits.

Du reste, M. Pape serait désolé que ses pianos fussent parfaits, puisqu'il les perfectionne depuis trente ans et les perfectionnera jusqu'à la fin de sa vie. Un pianiste distingué sera attaché à chaque paquebot. Voilà un débouché tout naturel pour tous les petits Thalberg qui pullulent dans nos salons. C'est un bon débarras pour la capitale. Ainsi nous allons avoir de la musique sur terre et sur mer. Nos messageries parcourront la France en jouant des airs de piston, et nos paquebots fendront les flots avec accompagnement de fantaisies et de variations. Ce sera un concert perpétuel sur tous les points cardinaux du globe. Les personnes qui n'aiment pas la musique ne sauront plus où se réfugier. Mais celles-ci méritent-elles d'avoir un asyle sur terre?" Le Ménestrel, 20/11/1842, p. 2 (gallica.bnf.fr)

Henri PAPE
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BIOGRAPHIE
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ARTICLES

 ... en ce qui concerne sa fabrication de pianos

 

INVENTIONS

EXPOSITIONS

JOURNAL

... nécrologie, incendies, etc

SALLE DE MUSIQUE

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MOSCHELES

Isaak Ignace Moscheles : 'I prefer to play on a Pape or a Petzold'

ÉLEVE de PAPE

BECHSTEIN (Euterpe: ein musikalisches Monatsblatt für Deutschlands Volksschullehrer, 1868, p. 160)

INFO EXTRA

Notice sur les inventions et les perfectionnements de H. Pape, 1845, 61 pages et avec images (gallica.bnf.fr)

Jean Henri Pape (1789-1875), 'Du piano au brevet', par Cathérine Michaud-Pradeilles

Jean-Henri Pape, facteur de pianos. Bibliographie critique, par Cathérine Michaud-Pradeilles

Les pianos de H. PAPE dans la quotidien Le Ménestrel, 28/02/1847, par Fétis, p. 2-3 (gallica.bnf.fr)

- Notice de M. H. Pape, fabricant de pianos, à Paris, Imp. Ancienne Maison Benard, 1862 - 8 pp.

TÉLÉ

Dans le journal : Un Pape trouvé dans un marché aux puces

 

Médaille d'argent Paris, 1823 | Jury d'admission, 1823 | Brevet, 1825.11.24 | Brevet de 1826.05.12 | Brevet de 1826.12.29 | Brevet de 1827 | Brevet de 1827 | Rappel de médaille d'argent Paris, 1827 | Brevet de 1828.04.16 | Nouveaux pianos, 1830 | Brevet de 1831 |  Brevet de 1831.01.25 | Nouveaux pianos carrés, 1832 | Nouvelle médaille d'or Paris, 1834 | Brevet de 1834.11.22 |  Brevet de 1834.12.11 | Liste des exposants Toulouse, 1835 | Brevet, 1837.08.23 | Construction des pianos, 1838 | Brevet de 1838.07.25 |  Rappel de médaille d'or Paris, 1839 | Patent, 1839.07.02 | Patent, 1841.02.01 | Patent, 1842.04.2 | Rappel de médaille d'or Paris, 1844 |  Prize medal, 1851 | Patent, 1854.09.01 | Patent, 1854.09.01 | Patent, 1854.10.14 | Patent, 1855.01.22 |  Patent, 1860.07.28 |  Hors concours Paris, 1855 | Liste des exposants Londres, 1862

BIERSTEDT Jean Frédéric Guillaume

(1780 - ?)(³¹)

 

 

 

 

 

 

1816  

Pianos 'niche de chien', pianos carrés, pianos verticaux et orgues ....

Piano carré vers 1830, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
Piano carré vers 1830, Vleeshuis, Anvers, Belgique

"BIERSTEDT, rue Meslay, n. 31. Il a présenté au Louvre en 1823, un nouveau mécanisme dans les pianos verticaux, pratiqué de maniere à donner plus de vivacité aux marteaux (ce qui leur [illisible] cure un son plus agréable et plus harmonieux ), et à faire marcher le clavier à solide [?] d'une pédale pour monter à volonté ou descendre un demi-ton. Le facteur a perfectionné aussi les pianos carrés, surtout ceux à deux cordes, autrefois si faibles et si maigres de ton. lia trouvé le moyen de les faire rivaliser avec avec ceux à trois cordes et même de les surpasser." Bazar parisien, ou Annuaire raisonné de l'industrie des premiers artistes et fabricans de Paris : offrant l'examen de leurs travaux, fabrications, découvertes, produits, inventions, etc., 1826, p. 437 (gallica.bnf.fr)

"Bierstedt, r. des Enfans-Rouges, 2. Fab. les pianos carrés à deux cordes, rivalisant ceux à trois, mécanismes aux pianos verticaux donnant plus de vivacité aux marteaux; expos. en 1827." Répertoire du commerce de Paris, ou Almanach des commerçans, banquiers, négocians, manufacturiers, fabricans et artistes de la capitale, 1828, p. 566 (gallica.bnf.fr) et Répertoire du commerce de Paris, ou Almanach des commerçans, banquiers, négocians, manufacturiers, fabricans et artistes de la capitale, 1829, p. 622 (gallica.bnf.fr)

"Pianos verticaux et ordinaires, et orgues, r. des enfans rouge, 2." Almanach du commerce de Paris, Duverneuil, 1829, p. 142 (gallica.bnf.fr)

"Nous nous empressons d'annoncer l'arrivée de M. Bierstedt, accordeur de pianos, chargé chargé des réparations. S'adresser hotel de Bourgogne, rue Thouret." Le Journal de Rouen, 01/05/1836, p. 3

 

Paris

Bruxelles

15, rue Neuve Saint-Etienne,  boulevard Bonne Nouvelle  (P1818)(arr.2)

31, rue Meslay (x1825)(x1826)(x1827)(arr.3)

2, rue des Enfants-Rouges (1827)(x1828)(*1829)(x1829)(arr.3)

1, rue du Faubourg- Poissonnière (x1822)(x1823)(1825)(x1832)(arr.9)

26, rue Bourbon-Villeneuve (xxx1833)(arr.2)

127, rue Montmartre (1834)(*1835)(z1835)(*1836)(**1837)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(***1841)(xx1841)(arr.2)

1, Place des Italiens (x1841)(arr.9)

à Paris

SUCCURSALE

85, rue de la Madelane (y1842)(1000B)

à Bruxelles, Belgique

 

 

'Facteur de pianos,  harpes et autres instruments' ca. 1818-41

Ancien ouvrier chez PLEYEL :

Il y a une pétition en faveur d'un luthier allemand nommé Bierstadt [sic], accusé par Pleyel, son employeur, d'un vol de bois. Novembre 1809. art. C2 474 de BB18 790, archives nationales, p. 19 et Les Etrangers en France: guide des sources d'archives publiques et privées : XIXe-XXe siècles, 2005, p. 229

BIERSTEDT W. (xxx1833)(xx1839), facteur de pianos et facteur d'orgues

BIERSTEDT & Cie (*1835)(x1839) 'et facteur d'orgues'

BIERSTEDT M. Am. B. (yy1839)(xx1841)

Jean Frédéric Guillaume Bierstedt est né en 1780 (³¹) à Lentzen, alors en Prusse, il a demandé sa naturalisation en 1831 et vers 1841-42 avait probablement une sucursale à Bruxelles, avec la même adresse de la sucursale de Henri PAPE.

1831 - "BB/11/318, Dossier n°7233 B7. BIERSTEDT, Jean Frédéric Guillaume. Né(e) le 18 octobre 1780 à Lentzen (Prusse). Qualité : facteur de pianos. Objet : naturalisation. Ouverture du dossier : 29 avril 1831." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

PARIS - "1209 M. Bierstedt, à Paris, rue du faubourg Poissonnière, n°. 1 : Piano à deux cordes six octaves. Un autre à trois cordes." Exposition Publique des Produits De L'Industrie Francaise, 1823, p. 119

PARIS - "654 M. Bierstedt, rue du Faubourg-Poissonnière, n. 1. Deux pianos, dont un à touches en nacre." Expo 1824 Rapport du Jury d'admission des produits de l'industrie du Département de la Seine, 1825, p. 70

PARIS - "1461 (1256). M. Biasted [Bierstedt] à Paris, rue Montmartre, n° 127, qui avait fait admettre un piano sur la place de la Concorde, fut mentionné honorablement en 1827. Il est à regretter que le jury qui a eu connaissance de cette distinction accordée précédemment, ne l'ait pas rappelée à son avantage." Le musée artistique et industriel: exposition 1834, p. 188

VALENCIENNES - "M. BIERSTAEDT, Facteur de pianos et de harpes, rue Montmartre, n° 127, à Paris. - N°4. — Il a exposé un piano carré, dont les sons moelleux et flatteurs ont souvent charmé les nombreux amateurs qui se sont occupés de la partie instrumentale de notre exposition. On eût désiré trouver à cet instrument plus d'éclat, et il faut espérer que cet avantage, si nécessaire à un instrument destiné a être entendu dans un salon, se développera, lorsqu'il aura été joué pendant quelque tems. (Médaille de bronze.)" Mémoires de la Société d'agriculture, des sciences et des arts, de l'arrondissement de Valenciennes, 1835, p. 88 (gallica.bnf.fr)

VALENCIENNES - "Les pianos se multiplient comme les grains de blé ; outre ceux de MM. Bernhard, Bierstedt et Souffleto [sic], déjà connus à Valenciennes par les dépôts de MM. Noël, Caulier et Mailliol, bijoutier, on en a vu à notre exposition provenant de nouveaux facteurs MM. Rogez et Leblanc, et très-remarquables comme jolis meubles." Mémoires de la Société d'agriculture, 1841, p. 74

JOURNAL

"Hier, dans une des salles de l'exposition des produits de l'industrie, Mlle Louise Rousseau, qui a remporté le premier prix d'orgue avec Mlle Letourneur, s'est fait entendre sur un excellent piano de la fabrique de MM. Bierstedt. Elle a remporté les suffrage de la foule d'amateurs qui s'était jéunie autour d'elle." Le Figaro, 26/08/1827, p. 475 (gallica.bnf.fr)

 

Jury d'admission Paris, 1823 | Mention honorable Paris, 1827 | Médaille de bronze, Cambrai, 1828 | Médaille de bronze Valenciennes, 1835 | Liste des exposants Paris, 1834 | Liste des exposants Paris, 1839  | Liste des exposants Valenciennes, 1841

PRILIPP Léon Geoffroy
| Jean
1816

PARIS - "M. PRILIPP (Jean), à Paris, rue de la Chaussée d'Antin, 35 -  deux pianos à trois cordes, quatre pédales en forme de lyre." Histoire de l'Exposition des produits de l'industrie française en 1827, Adolphe-Jérôme Blanqui, A la Librairie du commerce, chez Renard, 1827

 

Paris  

35, rue de la Chaussée d'Antin (**1819)(*1820)(x1822)(x1823)(x1825)(*1827)(x1827)(x1828)(*1829)(x1829)(***1836)(*1837)(arr.9)

31, rue de Clichy (xxx1833)(z1835)(***1836)(**1837)(arr.9)

21, rue de la Paix (x1837)

18, Boulevard Montmartre (x1837)(arr.9)

19, Boulevard des Italiens (*1842)(1848)(***1852)(arr.9)

12, Boulevard des Italiens (arr.9)(1856)

 

'Facteur de Forte-piano' et 'éditeur de musique' ca. 1834-76.

Travaillait comme un des premiers ouvriers chez PLEYEL (°1807).

PRILIPP Jean (*1827), facteur de pianos

PRILIPP L., éditeur, rue de la Paix, 21 (*1837)

PRILIPP & Comp. (*1837) : "Prilipp et comp., éditeurs, acquéreurs d'une partie du fonds d'Ign. Pleyel, boulevard Montmartre, 18." (*1837)

PRILIPP Camille (ca. 1810-1889)(***1852), était éditeur mais aussi compositeur sous le pseudonyme suivant :

'Camille SCHUBERT' a vendu également des pianos. "Schubert (Camille). Les nombreux morceaux de musique de danse et autres publiés sous ce nom avaient pour auteur leur éditeur même, M. Camille Prilipp, alors marchand de musique au boulevard des Italiens." Dictionnaire des pseudonymes, 1887, p. 402 (gallica.bnf.fr)

Liste des exposants Paris, 1827

KÖCHLY

1818  

BOURGES - "Médaille de bronze  - [...] 8° M. KOCHLY, facteur de pianos, pour le piano à queue dont la facture appartient tout entière à ses ateliers." L'Art en province. 1849, p. 29 (gallica.bnf.fr)

BOURGES - "Bourges, facteur de pianos : MM. Kochly, médaille à l'exposition centrale." Annuaire spécial des artistes musiciens, 1863, p. 146 (gallica.bnf.fr)

BOURGES - "MM. KOCHLY, Bourges. — Pianos, Instruments cuivre et bois."Bourges exposition, 15 mai- 15 juillet 1897. Commerce, industrie, beaux-arts, enseignement, horticulture, 1897, p. 118

 

Quentin

Bourges

 

Quentin

rue Bourbonneux (*1875)

21, rue des Arènes (*1898)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913)(**1921)(*1922)

à Bourges

 

'Facteur de pianos' droits, harmoniums et violons et éditeur de musique [depuis 1818 (x1906)(x1912)]

KOCHLY-QUENTIN  (x1843)(***1845)(*1851)(x1853)(xx1854)

KOCHLY J. (xx1857)(xx1859) à Quentin

KOCHLY J. (x1906)(x1912), à Bourges

'Musikal.- u. Piano-Handlung u. Reparatur-Werkstatt' (x1906)

'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.' (x1912)

KÖCHLY J. & CHEDIN H. (1910-1923), H. CHEDIN (vers 1910)

VOIR AUSSI ...

... un KÖCHLY à Paris et plus tard à Caen

Diplôme d'honneur Bourges, 1848 | Médaille de bronze Exposition régionale du Centre, Bourges, 1849 | Médaille Bourges, 1863 |  Diplôme d'honneur Bourges, 1870 | Diplôme d'honneur Bourges, 1897

SCHOTT 1818  

"SCHOTT (les frères), éditeurs de musique, et facteurs d'instruments à Mayence, possèdent un des établissements les plus considérables de l'Allemagne et même de l'Europe. Bernard Schott, chef de cette famille, établit cette maison vers 1780 : dix ans après, elle jouissait déjà de beaucoup de considération par l'importance de ses affaires et l'étendue de ses relations. La guerre, dont l'Allemagne du Rhin, et particulièrement Mayence, fut le théâtre, par suite de la révolution française, vint ensuite paralyser les efforts de Bernard Schott pendant plusieurs années; mais le retour de la tranquillité ramena l'activité dans cette maison, dont les progrès et le développement ont été constants depuis quarante ans. Après la mort de Bernard Schott, ses fils (J. et A. Schott), héritiers de son énergie et de sa persévérance, imprimèrent aux affaires de une activité remarquable; publiant une énorme quantité de musique, et fondant successivement des succursales à Anvers, à Paris et à Bruxelles. Ils furent les premiers qui appliquèrent avec succès la lithographie à l'impression de la musique, et tels furent les progrès de ce genre d'impression, concurremment avec la gravure, que vingt presses sont maintenant en activité dans la maison des fils de B. Schott, et qu'elles impriment chaque jour six mille feuilles, ou environ vingt-cinq mille planches. [...] En 1818, les frères Schott avaient ajouté la fabrication des instruments à leurs opérations du commerce de musique. Parmi les produits de leur fabrique on a cité particulièrement avec éloges les bassons d'Almenraeder, et les hautbois de Foreit. (la suite )

VOIR AUSSI ...

SCHOTT à Anvers et Bruxelles, Belgique

et B. SCHOTT à Mainz, Allemagne

 Autre marque SCHOTTE Frères (°1850)

 

Mayenne

Paris

Bruxelles | Anvers

Londres

 

SUCCURSALE : Mayenne, Allemagne

SUCCURSALES :

17, rue Bourbon (yy1826)(arr.6)

1, Place des Italiens (**1828)(yy1829)(arr.9)

1, rue Auber (Maison du Grand Hôtel)(*1865)(yy1869)(arr.9)

6, rue du Hasard (yy1872)(*1875)(arr.1)

 19, boulevard Montmartre (yy1887)(yy1889)(yy1894)(arr.9)

 70, rue du faubourg Saint-Honoré (xx1890)(*1897)(*1898)(**1898)(*1909)(*1910)(arr.8)

à Paris

MAISON PRINCIPALE à Bruxelles

SUCCURSALE :  Anvers

SUCCURSALE : Londres, Angleterre

 

Editeurs de musique et facteurs d'instruments à vent et pianos droits

Les Fils de B. SCHOTT (1818-57)

Les deux frères J. et A. SCHOTT qui jouèrent un rôle majeur dans le commerce lié à la vie musicale du 19ème siècle étaient les descendants de Bernard (Bernhard) SCHOTT, facteur d'instruments et éditeur musical à Mayence, Allemagne. Ils avaient le sens du commerce et ont développé leurs activités de manière spectaculaire à Paris avec l'édition musicale tout d'abord (voir article reproduit ci-contre) la facture d'instruments, puis à partir de 1826 la facture de pianos. Ils ouvrent des succursales à Londres et à Bruxelles, déjà vers 1830.

SCHOTT Frères (1857)(*1865)

Maison SCHOTT (yy1887)

 En 1891, ils vendent leur magasin de la rue du Faubourg St Honoré mais un descendant, P. SCHOTT & Cie (*1909) continue le commerce familial au 20ème siècle.

SCHOTT & Co (xx1890), 'Pianohandlung'

KNOTH & SEDANE (*1891)

1891 - "Vendeur : Schott - Acquéreur : Knoth et Sedane - Domicile élu pour les oppositions : au fonds - Entrée en jouissance : de suite - Fonds vendu : Pianos et oeuvres musicales, faub. St-Honoré, 70." Archives commerciales de la France, 11/03/1891, p. 293 (gallica.bnf.fr) - Voir KNOT & SEDANE.

Et puis repris par QUEREUIL & LAUDY (°1890), etc.

Repris par QUEREUIL (**1898)


(la suite)

 En 1826, la fabrication des pianos vint encore augmenter l'importance de leur établissement : les instruments de ce genre, sortis de leur maison, ont obtenu depuis lors une réputation méritée en Allemagne. Les frères Schott se sont aussi rendus recommandables par la publication de quelques bons ouvrages de théorie musicale, à la tête desquels se placent les œuvres de G. Weber, et l'excellent recueil de critique musicale intitulé Caecilia. De grandes maisons succursales de celles de Mayence ont été établies par les frères Schott à Bruxelles, à Paris et à Londres; les affaires du commerce de musique y sont considérables." Biographie Universelle des Musiciens et bibliographie générale de la musique deuxième édition  F. J. FÉTIS

 

Diplôme d'honneur Bourges, 1848 | Médaille de bronze, exp. région. du centre, 1849 | Diplôme d'honneur Bourges, 1870 | Diplôme d'honneur Bourges, 1897

AUCHER Jean-François-Louis & Jules, Frères

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1820

 

'AUCHER BROTHERS', signature, un piano droit ca. 1870 vendu par un certain Henry William PALING et son frère que fondaint leur maison en 1853, à Sydney et Melbourne, Australie. Ces marchands de pianos étaient les fils de J. H. PALING à Woerden, Rotterdam.

"Auchet [sic], fact. de caisses de pianos, r. Ste.-Avoye, 47." Répertoire du commerce de Paris, ou Almanach des commerçans, banquiers, négocians, manufacturiers, fabricans et artistes de la capitale, 1828, p. 567 (gallica.bnf.fr)

"Aucher, fab. et magas. de pianos, bondy, 40, pianos carrés à deux ou trois cordes, à agrafes dans toute la longueur du sommier, pianos obliques et pianos droits dans les genres les plus modernes." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1846, p. 558 (gallica.bnf.fr)

"PIANOS DROITS - Excellente facture.— Solidité à toute épreuve,— prix modérés. — AUCHER frères, rue de Bondy, 44." Le Luth français. Journal de la facture instrumentale, 1856, p. 8 (gallica.bnf.fr)

"Pianos - Aucher Jules, boulevard de Belleville, 25 et 27. Exportation. - 14 Médailles aux expositions." Journal officiel de l'Empire français, 04/10/1869, p. 1306 (gallica.bnf.fr)

 

 Paris 47, rue Sainte Avoye (x1828)(*1829)

60, rue Amelot (xxx1833)(arr.11)

rue de Bercy (1837)(¹⁰)(arr.12)

2, Impasse Saint-Claude (1839)(¹⁰)(**1840)(***1841)(arr.3)

40, rue de Bondy (**1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(arr.10)

44, rue de Bondy (*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(z1855)(**1856)(xx1856)(xx1857)(z1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(1862)(yy1864)(arr.10)

15-17, chemin de ronde de la Barrière Ménilmontant (xx1858)(xx1859)(xx1860)(arr.6)

9, rue Albony [de l'Alboni] (*1851)(xx1857)(z1857)(arr.16)

[15] & 17, boulevard des Trois-Couronnes (xx1861)(xxx1862)(***1863)(**1864)(zz1864)(arr.11)

15, boulevard de Belleville (*1867)(arr.11)

27, boulevard de Belleville (***1874)(xx1889)(arr.11)

25-27, boulevard de Belleville (***1869)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(**1888)(y1889)(x1890)(xx1890)(1893)(arr.11)

 

'Facteur des caisses de pianos'  (x1828)(*1829)(**1840)(***1841)

Puis 'Facteur de pianos' droits, harmoniums et orgues ca. 1841-93

Jean-François-Louis et Jules AUCHER  étaient l'un des premiers fabricants d'un piano à clavier pliant, caractéristique des pianos de bateau; (1850)(*1855)(***1863)(**1888)

"Le fondateur de cette maison, M. Aucher père, était un praticien éclairé et un négociant des plus recommandables. Il avait acquis une juste célébrité dans la fabrication des caisses, à tel point qu'il fut surnommé le Pleyel des caissiers.

En 1843, il s'associa avec ses fils, dont il avait dirige les premiers travaux, et entreprit avec eux la fabrication des pianos droits. Forts du concours actif de MM. Aucher fils, la nouvelle maison ne tarda pas à se classer au premier rang; ses produits furent accueillis avec une faveur marquée.

Enfin, en 1854, après une exploitation qui avait produit les plus heureux résultats, M. Aucher père céda à ses deux fils sa fabrique et son magasin de pianos. Voilà pour l'historique de cet établissement." La France Musicale, 1855, p. 249-250 (gallica.bnf.fr)

Dès 1850 [?] ils achetaient également leurs pianos chez Victor MANGEOT (1850)(encore établi à Bar-le-Duc. Leurs activités ne cesseront que dans les années 1930.)

AUCHER Louis & Jules (zz1860)

1862 - "Atelier de M. Aucher. - MM. Focké, Dorillat, Bonneroy, Fransoureau, Mery, Bocquart." Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862, p. 54 (gallica.bnf.fr)

Dans les archives de Paris, nous trouvons AUCHER Louis Achille, également facteur de pianos, habitant chemin de ronde des Trois Couronnes, n° 11 en 1865, célibataire, mort le 30/01/1865, âgé de 28 ans; et un AUCHER Louis Victor, facteur de pianos, habitant boulevard de Bonne Nouvelle, n° 37, mort, le 23/11/1868. (¹⁰)

1869 - AUCHER Jules dans les annonces de pianos. (**1870)

"L. Aucher, facteur de pianos, boul. de Belleville, 27. (Acte M. Mas, not., 2 mai.)" Journal officiel de la République française, 08/06/1874, p. 3848 (gallica.bnf.fr)

AUCHER Frères (xx1890), 'Pianofabrikant'

AUCHER
sur ce site

EXPOSITIONS

Pour lire les commentaires sur les expositions, cliquer sur le lien ci-dessus.

Brevet de 1850 : "Aucher construisit un piano à barrage mixte avec un système d'agrafes posé sur le chevalet pour compenser la charge de la corde. (B. F., 40,033)." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861  

"Brevet d'invention de quinze ans, en date du 12 juin 1850, au sieur AUCHER, à Paris, pour un barrage de piano. Ce barrage est mixte et composé de barres de fer et de montants en bois." Description des machines et procédés, 1854, p. 291

" 366° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 11 juin 1850, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Aucher (Jean-François-Louis), à Paris, rue de Bondy, n° 44, pour un piano de barrage mixte." Bulletin des lois de la République française, 07/1851, p. 431 (gallica.bnf.fr)

1880 - "L'INCENDIE DE BELLEVILLE - Au milieu de nombreuses constructions occupées par des ménages d'ouvriers se trouvent, au n° 25 du boulevard de Belleville, les ateliers de MM. Aucher frères, facteurs de pianos. Chaque soir, avant de fermer les portes, le concierge de l'établissement fait une ronde dans tous les locaux de l'usine. Hier soir à neuf heures, comme il arrivait dans l'atelier de la menuiserie il aperçut une épaisse fumée qui s'échappait d'un tas de copeaux et de fragments de bois. Il appela aussitôt au secours Des voisins accoururent à son appel et commencèrent à organiser quelques secours car l'incendie s'était subitement déclaré violent et terrible. A cause de la grande quantité de bois de toutes sortes entassés dans les ateliers, on craignait un sinistre effroyable. [...]" Le Petit Parisien, 20/05/1880, p. 3 (gallica.bnf.fr) et Gil Blas, 20/05/1880, p. 2 (gallica.bnf.fr)

COLETTE

Le piano de Colette, célèbre romancière française, était un Aucher tardif.

 

 Médaille de bronze Paris, 1849 | Médaille d'argent, Toulouse, 1850 | Official Catalogue, 1851 | Médaille de 2ème classe Paris, 1855 |  Médaille d'or Montpellier, 1860 | Médaille d'argent, Troyes, 1860 |  Liste des exposants Metz, 1861 |  Médaille d'or Londres, 1862 | Médaille d'argent Bayonne, 1864 | Médaille de bronze Paris, 1867 | Médaille d'argent Paris, 1889

THOMAS & AVISSEAU

&

THOMAS Frédéric

 

 

 

 

1820

 

Brévet de 1844 : "B. d'inv. et de perf. de cinq ans délivré le 27 avril 1844 à Thomas et Avisseau (Céleste-Michel et Clémént Charles), facteurs de pianos, à Paris, rue Saint-Denis, n. 101 : Disposition de pianos droits permettant d'agrandir la table d'harmonie, d'avoir sept octaves et trois cordes, ce qui donne des sons très-forts et très-harmonieux." Bulletin des lois de la République française, 07/1844, p. 1271 (gallica.bnf.fr)

Pour voir le brevet original
voyez le site
INPI
(¹³)

"Avisseau aîné (ancienne maison Thomas), breveté, fabr. de pianos garnis en fer, nouveau système perfectionné, résistant à toutes les temperatures; pianos spéciaux pour l'exportation, St-Denis. 101." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1852, p. 680-681 (gallica.bnf.fr)

"Pianos. AVISSEAU ae, bte, 24, bd St-Denis. Vente et location. A sommier fer prolg de 1re solidité, orgues expressives du 1er mérite." Gazette des Tribunaux, 28/11/1853, p. 4 (data.decalog.net)

"Avisseau aîné, neveu et successeur (ancienne maison Thomas, fondée en 1820), breveté, fab. de pianos en tous genres, et aussi garnis en fer pour l'exportation, grand choix pour location ; échanges, réparations et accord, boul. St-Denis, 24." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1857, p. 794 (gallica.bnf.fr)

"Avisseau aîné, exposition de ses instruments depuis 1844 jusqu'en 1855. Fabrique, location, échange, exportation, accord, faubourg Saint-Denis, 8." Annuaire spécial des artistes musiciens, 1863, p. 115 (gallica.bnf.fr)

"Avisseau (C.) aîné, (B) et (A) aux expositions, fournisseur des Écoles et Établissements de la Ville de Paris, exportation, assortiment pour location, réparations, accords, Bondy, 52." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1878, p. 1348 (gallica.bnf.fr)

"AVISSEAU, [MH][B][A][O] 1855-67-84-89, maison fondée en 1820, fournisseur du ministère de l'Intérieur, des Ecoles de la Ville de Paris, vente, location, échanges, réparations, accords, pianos d'occasion, r. de Bondy, 52." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1898, p. 2145-2148 (gallica.bnf.fr)

 

Paris 101, rue Saint-Denis, en face la cour Batave (1834)(z1835)(*1844)(xx184)(**1845)(**1846)(***1847)(1848)(x1849)(*1850)(*1851)(**1852)(¹²)(arr.1)

21, rue et île Saint-Louis (après 1848)(¹²)

24, boulevard Saint-Denis (yy1851)(**1853)(**1854)(***1855)(z1855)(xx1856)(xx1857)(z1857)(xx1860)(arr.10)

12, boulevard Poissonnière (xx1859)(arr.9)

8, boulevard Saint-Denis (xx1858)(*1859)(xx1861)(xxx1862)(z1862)(***1863)(**1864)(yy1864)(x1868)(arr.10)

9, boulevard Saint-Denis (*1867)(arr.10)

52, rue de Bondy (**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(**1876)(**1877)(**1878)(xxx1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(**1888)(xx1889)(y1889)(x1890)(xx1890)(*1894)(**1898)(z1900)(z1902)(**1904)(x1906)(arr.10)

 

'Facteur de pianos' droits, pianos carrés ca. 1844-1906

THOMAS était l'ancienne maison, où AVISSEAU était neveu, l'associé et plus tard le successeur.

"La plus ancienne est celle fondée en 1820 par Clément-Charles Aviseau. Son histoire est brève : un seul brevet pour divers changement au piano droit est à enregistrer (1844), mais les instruments sont avantageusement connus des amateurs pour leur sonorité et leur solidité.

Céleste-Michel Avisseau, né à Nogent-le-Rotrou, le 21 juillet 1820, succéda au fondateur vers 1867, il est actuellement secondé par son fils Charles-Philippe-Etienne, né à Paris, le 10 mai 1860." Les facteurs d'instruments de musique: les luthiers et la facture instrumentale : précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893

"AVISSEAU Céleste Michel - Fabricant de pianos, rue Saint Denis. Époux de REITZ Charlotte Sophie - Cité lors du mariage dudit, le 04/11/1848, paroisse Saint Louis en l'Isle. Source : AP/D6j/760/JOLY Patrick." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

THOMAS (z1835), voir THOMAS

On retrouve cette marque en 1834 et 1839 seule sur l'adresse 101, rue Saint-Denis

THOMAS Jean Pierre André & AVISSEAU Celeste Michel & AVISSEAU Clément Charles (**1844)(1845) 

Alors, probablement deux frères Avisseau et un autre THOMAS ! Voir aussi AVISSEAU Clément-CharlesMembre actif de la loge les amis de l'Ordre. (¹⁰)

THOMAS & AVISSEAU Aîné (**1847)

En 1848, on trouve deux facteurs de pianos avec le nom AVISSEAU qui ont été épousé la même année :

- AVISSEAU, 'Facteur de pianos', Époux de BOURGEOIS, lingère (1848)(¹⁰) dans 19, rue Barre du Bec (1848)(¹⁰)(¹²), et puis à 3, rue de la Réale (1848)(¹⁰)(¹²), à Paris

- AVISSEAU, 'facteur de pianos', époux de REITZ (1848)(¹⁰) dans 101, rue Saint-Denis (arr.1), et puis à 25, rue et île Saint Louis (1848)(¹⁰)(¹²), à Paris

AVISSEAU C. Aîné, neveu et successeur de THOMAS (1849)(*1851)(**1852)(***1855)(xx1860)(***1863)(yy1864)(1867)(**1877)(**1878)

AVISSEAU Aîné, neveu et succ. (xx1859)(xxx1862)

AVISSEAU C. M. (1855), était le neveu et successeur. Céleste-Michel AVISSEAU, né à Nogent-le-Rotrou, le 21 juillet 1820, succéda au fondateur vers 1867, il était secondé par son Fils Charles-Philippe-Etienne, né à Paris, le 10 mai 1860.

AVISSEAU Aîné, Neveu (*1859)

AVISSEAU Aîné (**1864)

AVISSEAU C. Aîné (**1871)

AVISSEAU E. Aîné (*1875)

AVISSEAU C. Aîné (**1876)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)

AVISSEAU & Fils (**1884)(**1886)(**1888)(xx1889)(y1889)(xx1890)

'Pianofabrikant' (xx1890)

AVISSEAU (z1900)(z1902)(x1906)

'Piano-Handlung' (x1906)

PARIS - "AVISSEAU (C.M.), à Paris, Bd St. Denis, 24 - Piano de bois chène sculpté." Expo 1855 -  Quinze visites musicales à l'Exposition universelle de 1855, Juste Adrien La Fage, Adrien, 1856 - Catalogue officiel publié par ordre de la Commission Impériale, 1855, p. 199

PARIS - "M. Avisseau est déjà avantageusement connu dans la facture. Les pianos verticaux qu'il livre aux amateurs sont des instruments d'une bonne sonorité et d'une grande solidité. Nous avons vu M. Avisseau en 1844 imaginer une nouvelle disposition du piano droit permettant d'agrandir la table d'harmonie et d'avoir sept octaves à trois cordes." Catalogue général, H. Welter (Firm : Publisher : Paris, Jules Rainal Frères (Paris), E. Dentu, 1867

PARIS - "Nous avons vu un véritable bijou sorti des ateliers de M. Avisseau. Caisse simple et élégante, décorée avec un goût exquis d'emblèmes musicaux en marquetterie. Il ressortait admirablement au milieu de plusieurs meubles surchargés d'ornements lourds et massifs. C'est un oblique dont la partition est remarquable par l'égalité et l'homogénéité des sons, grâce à une table d'harmonie dont les différentes parties ont été combinées par la main habile de M. Avisseau lui-même; mais nous ne pouvons en donner le secret qui ne nous appartient pas." Etudes sur l'exposition de 1867 ou les Archives de l'industrie au ..., Volume 3, Eugène Lacroix, p. 224

PARIS - "M. AVISEAU [sic]. - M. Avisseau est déjà avantageusement connu dans la facture. Les pianos verticaux qu'il livre aux amateurs sont des instruments d'une bonne sonorité et d'une grande solidité. Nous avons vu M. Avisseau en 1844 imaginer une nouvelle disposition du piano droit permettant d'agrandir la table d'harmonie et d'avoir sept octaves à trois cordes. [...]" La musique à l'Exposition universelle de 1867, Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant, p. 60

PARIS - "10. AVISSEAU et Fils, à Paris, rue de Bondy, 52. — Piano droit." Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, p. 2 (gallica.bnf.fr)

 

Liste des exposants Paris, 1839 |  Liste des exposants Paris, 1844 | Liste des exposants Paris, 1849 | Liste des exposants Paris, 1855 | Liste des exposants Dijon, 1858 | Liste des exposants Paris, 1867 | Liste des exposants Paris, 1878 | Mention honorable Paris, 1889

BAUER Jacques Frédéric

(1801 - ?)(¹⁶)

 

 

 

 

 

 

1820  

SIGNATURES sur la table d'harmonie

Piano à queue ca. 1840, Collection Sébastien Roué, France
Piano droit ca. 1860, Musikhistorische Sammlung, Albstadt, Allemagne
Piano droit ca. 1860, Musée des Arts décoratifs de Strasbourg, France

 

Stras-bourg 126, Grande Rue (x1854)

81, Grande Rue (*1869)

 

'Facteur de pianos' ca. 1854-69

Pianos à queue et pianos droits 'avec tablette', ou modèle 'pianino' avec un caisse comme les pianinos de PLEYEL.

BAUER Jacques Frédéric (1801-?)(¹⁶) ; (x1854)

BAUER Jacques Frédéric, facteur de pianos, né en 08/06/1801 à Lomersheim (¹⁶)? Probablement la même personne, ou le fils de ci-dessous.

1870  - "Grand'rue : un obus a pénétré dans la maison de M. Bauer, facteur de pianos, a déchiré le plancher et une poutre du plafond du 3e étage ; les éclats sont tombés sur un lit qui, heureusement, n'était pas occupé; le globe de la pendule a seul été cassé." Souvenirs du bombardement et de la capitulation de Strasbourg, récit critique de tout ce qui s'est passé dans cette ville du 25 juillet au 28 septembre 1870, par P. Raymond-Signouret, p. 140 (gallica.bnf.fr)

Repris par RIEGEL à Strasbourg.

Brevet de 1868 :  "83,309. Brevet de quinze ans, 7 décembre 1868 Bauer, Grande-Rue, n° 81, Strasbourg (Bas-Rhin). Système de barrage de piano en fer et bois, dit système de barrage Bauer." Bulletin des lois de la République française, 07/1872, p. 834 (gallica.bnf.fr)

"Bauer, Fréd., Grand'rue, 126; facteur de pianos." Almanach alsacien : répertoire commercial, industriel, administratif et ..., 1854, p. 163

PHOTO

Une photo de Marie Jaëll devant un piano fabriqué par Bauer (Riegel ?) de Strasbourg

VOIR AUSSI ...

... autres facteurs/marchands avec le nom BAUER

 

 
BONNEL

 

 

1820  

TÊTE D'UNE FACTURE

"BONNEL (jeune), musique, pianos, orgues, instruments, dépôt de pianos Erard, Pleyel et Hertz, vente et location, médaille d'argent 1854, 57, 58, 59, maison à Rouen, r. Ganterie, 50, r. Impériale, 3, Rennes." Almanach des 40,000 adresses des fabricants de Paris et du département : contenant les noms et domiciles des principaux fabricants, 1864, p. 492 (gallica.bnf.fr)  et de nouveau en 1873 :  Almanach des 40,000 adresses des fabricants de Paris et du département : contenant les noms et domiciles des principaux fabricants, 1873, p. 466 (gallica.bnf.fr)

"BONNEL et neveu, rue Nationale, 3, représentant de la maison Erard, fabrique de pianos et violons, réparation de tous instruments. Diplôme d'honneur, médaille d'or." Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1893, p. 448, (gallica.bnf.fr)

"BOSSARD-BONNEL, rue Nationale, 3, représentant de la maison Erard, fabrique de pianos et violons, réparation de tous instruments. Diplômes d'honneur, médailles d' or." Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1895  p. 503 (gallica.bnf.fr)

 

Rennes

Rouen

3, rue Impériale (***1859)(yy1864)(x1873)

3, rue Nationale (xx1890)(F1892)(*1893)(*1895)(*1896)(*1898)

1-3, rue Nationale (x1906)(x1912)(*1913)(**1921)

à Rennes

SUCCURSALE :

50, rue Ganterie (***1859)(yy1864)(x1873)

à Rouen

Luthier et 'Facteur de pianos' ??? et marchand de pianos, violons et instruments de cuivres ca. 1859-1921 [depuis 1830 (x1906) ou depuis 1820 (x1912)]

Originaire de Dommartin sur Vraine.

BONNEL Emile (1835-1891) ou 'BONNEL Jeune', fils et successeur de son père au moins dès 1873.

BOSSARD-BONNEL (xx1890)(*1895)(*1896)(*1898)(x1906)(fact. 1911)(**1921) - Site généalogique sur BONNEL

'Musikal.-, Piano- u. Instr.-Handlung' (xx1890)

BONNEL & Neveu (F1892)(*1893)

BOSSARD (?-1896), nevue et associé, et plus tard son successeur.

Plus tard, Théodore Husson, ex-première main avec MOUGENOT à Bruxelles est devenu chef-fabricant, sous la direction de L. Bossard-Bonnel, neveu et successeur. L'entreprise est plus tard gérée par le fils de ce dernier, Marius Bossard-Bonnel, 3, rue Nationale.

BOSSARD Vve. dès 1896

'Geigenbauer, Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Händler u. -Reparateur' (x1906)

BOSSARD Marius, fils, et successeur dès 1907

'BOSSARD-BONNEL' (x1912), 'Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Händler'

Ils vendaient, à la fin, beaucoup de pianos d'autres facteurs avec l'addition de leur nom.

SALLE de MUSIQUE

Voyez sa salle de musique à Rennes

INFO EXTRA

Archives, musique, facteurs, marchands, luthiers, de Pierre René.

VOIR AUSSI ...

... autres avec le nom BONNEL

 
PERDRIX Jules

 (1798 - ?)

 

&

 

CÔTE Jeune

(1810 - ?)

 

&

 

CÔTÉ Charles, l'aîné

 

 

 

1820  

'Facteur de pianos du roi' (*1848)

Piano carré ca. 1840, Kolthoorn Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas

CÔTE
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INVENTIONS

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VOIR AUSSI ...

  CÔTÉ Père à Lyon et CÔTÉ Fils à Lyon.

 

Lyon

Paris

 

3, rue St.-Côme (*1827)

rue Confort (x1837)

21, rue Neuve (xxx1829)(***1832)(xxx1838)

16, rue Mullet (zz1839)

1, rue de Sèze (yy1842)

2, rue Lafont (yy1842)

1, rue Clermont (**1842)(***1843)

rue Buisson (*1850)

2, place Louis-le-Grand (*1868)(*1875)

à Lyon

21, rue Grange-Batelière (*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(arr.9)

35, rue Neuve Vivienne (1839)(¹⁰)(y1839)(x1840)(arr.2)

4, rue du Faubourg Montmartre (x1841)(*1842)(**1843)(x1843)(**1844)(**1845)(**1846)(x1847)(1847)(¹⁰)(arr.9)

[[25] ou [28], rue Ponceau ci-devant] 2, rue Saint-Apolline (*1848)(x1849)(*1850)(arr.2)

25, rue Saint-Apolline (*1851)(**1852)(arr.2)

à Paris

 

 

'Facteur de pianos' carrés et pianos droits ca. 1827-52

Jules PERDRIX, jurassien, et Charles CÔTE, bourguignon (celui-ci avait commencé à travailler avec le lyonnais KLEPFER (°1821) sur cette page, le dernier, futur associé d'Henri HERZ), ont collaboré dans les années trente avec leur manufacture de pianos à Lyon sous le nom CÔTE et PERDRIX au moins de 1832 à 1841. Vous trouvez vers 1850 PERDRIX père & fils à Lyon. A partir de septembre 1842, ils ne sont plus rue de Clermont lors du recensement annuel de Lyon (³⁵). On les retrouve à Paris, au moins jusqu'en 1852. En qui concerne M. Charles CÔTÉ aîné, il y a deux faillites ont été enregistrées, le 4 novembre 1839 et le 19 février 1847 (¹⁰).

CÔTÉ (*1827)(xxx1829)

'Facteur de forté-piano, bréveté de'invention et de perfectionnement' (xxx1829)

CÔTÉ Jne & PERDRIX Jules (***1832)(***1834)

1839 - "COTE Charles, aîné, Gérant, fabricant de pianos, associé, à Paris, actuellement à Lyon, Rhône. Le 11/03/1839, dans un acte notarié comportant dissolution entre ledit et PERDRIX Jules, demeurant à Lyon, rue de la Vieille Monnaie, passage Thiaffart, et COTE Charles, cadet, demeurant aussi à Lyon, rue Neuve, n° 11. Société qui existe entre eux pour la fabrication de pianos, suivant acte du 26/04/1835 et qui existe depuis le 15/05/1835. Source : D31u3-83/Pièce 469." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1839 - "Tribunal de commerce de la seine. Déclarations de faillites. [...] Coté ainé, fabricant de pianos, rue Neuve-Vivienne, 35. Juge-comm., M. Renouard; syndic-prov., M. Grenier, rue Feydeau." La Presse, 06/11/1839, p. 4 (gallica.bnf.fr)

CÔTÉ Frères & PERDRIX (*1838)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(**1842)(***1843)

1842 - "Vente aux enchères, et en détail, de huit pianos. Provenant de la liquidation du commerce des sieurs Coté jeune et perdrix, qui étaient facteurs de pianos à Lyon, rue Clermont, n° 1. Le mardi treize décembre 1842, à l'heure de dix du matin, il sera procédé, par le ministre de l'un de MM. les commissaires-priseurs de cette ville, à la vente aux enchères publiques et en détail de huit pianos dont six neufs, bois acajou, et en bon état. Cette vente a lieu à la requête de M. Fleury Chevillard, arbitre de commerce à Lyon, liquidateur du susdit commerce par jugement en date du vingt-un octobre 1842. Il sera perçu cinq centimes per franc en sus de chaque adjucation, applicables aux frais." Le Censeur : journal de Lyon, politique, industriel et littéraire, 10/12/1842, p. 4 (voir aussi les annonces, lien ci-dessous)

CÔTÉ Aîné Charles (1847)(¹⁰)

 

Nouveau piano, 1834 | Médaille 1e classe [où ?], 1838 | Médaille de bronze Paris, 1839 | Liste des exposants Paris, 1844

FRINCKEN Charles Ferdinand
| FRINKEN | FRANKEN | FUNKEN

(1808 - ?)(¹²)(³¹)

 

1820

 

 

Pianos carrés, et pianos droits et pianos à queue et piano-jouets (plus tard avec 5 octaves)

"Frincken, fabrique et magasin de pianos droits et carrés, échange et location, Guénégaud, 7." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étranger, 1844, p. 516 (gallica.bnf.fr)

"FRINCKEN (Ch.) (petit-fils et fils succrs). Pianos garantis 20 ans. Pianos Erard et Pleyel, etc., depuis 200 francs. Maison fondée en 1820. Rue Guénégaud, 7 (Pont-Neuf)" Paris-adresses : annuaire général de l'industrie et du commerce, 1902, p. 1495 (gallica.bnf.fr)

VOIR AUSSI ...

 ... un COURTOIS, Lillois d'origine (une manufacture Courtois là est répertoriée en 1837)

&

FUNCKEN, facteur de pianos, à Paris, Impasse Bourdonnais, 3, ca. 1839-43 et FRANKEN, même page.

 

Paris

Deauville-sur-Mer

 

28, rue des Fossés-Saint-Germain-l'Auxerrois (*1834)(***1836)(arr.1)

17, rue des Bourdonnais (***1836)(**1837)(*1838)(xx1839)(arr.1)

7, rue Guénégaud [Pont Neuf] (x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(x1843)(xx1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(x1855)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(**1888)(y1889)(xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(**1898)(z1900)(*1902)(z1902)(*1903)(**1904)(x1906)(**1907)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(*1922)(z1931)(arr.6)

à Paris

SUCCURSALE :

10, avenue de l'Hippodrome (**1921)

à Deauville-sur-Mer

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1834-1931 [depuis 1820 (z1900)]

Né le 18 août 1808 à Paris de parents étrangers. (¹²).

Un décès d'un FRINCKEN, 7, rue Guénégaud, 15 avril 1842, Gazette des Tribunaux, 20/04/1842, p. 4 (data.decalog.net)

1852 - "BB/11/625, Dossier n°8104 X5 - FRINCKEN, Charles Ferdinand. Né(e) le 18 août 1808 à Paris (Seine). Qualité : facteur de pianos. Objet : admission à domicile. Ouverture du dossier : 29 avril 1852." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

Vers 1867, son fils a repris les activités familiales en s'associant à un certain COURTOIS sous le nom FRINCKEN & COURTOIS.

Mariage en 1867 - "18e Arrondissement (Buttes Montmartre) [...] Courtois, employé, chaussée des Martyrs, 22. Mlle Frinken [sic], rue Guénégaud, 7." L'Indicateur des Mariages, 04/08/1867, p. 4 (gallica.bnf.fr)

1880 - "Vendeur : Frincken et Courtois - Acquéreur : Frincken fils - Domicile élu pour les oppositions : Rue Guénégaud, 7 - Entrée en jouissance : 1er juill. 80 - Fonds vendu : F. facteur de pianos, r. Guénégaud, 7." Archives commerciales de la France, 03/10/1880, p. 1305 (gallica.bnf.fr)

FRINCKEN-BELLANGER,  Guénégaud, 7 - 'Ornaments funéraires pour modes' et sur la même adresse FRINCKEN,  'facteur de pianos' Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers : Firmin Didot et Bottin réunis, 1885, p. 2193 (gallica.bnf.fr)

FRINCKEN (xx1890), 'Pianohandlung'

FRINCKEN Ch. (z1900)(z1902), 'Petit-fils et fils successeurs'

'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912)

Selon une des signatures il était 'élève de Gaveau' ? Mais il doit s'agir d'un fils ou petit-fils de FRINCKEN.

PARIS - "FRINCKEN, facteur de pianos; rue des Fossés-St. Germain-Auxerrois, n° 28. Ce fabricant expose un piano carré à six octaves en bois de palissande; les perfèctionnemens qu'il a apportés dans le mécanisme de cet instrument ont surtout pour resultat de fendre les sons plus forts et plus énergiques. - Il fabrique toute espèce de Pianos." Notice des produits de l'industrie française, précédée d'un historique des expositions antérieures et d'un coup d'oeil général sur l'Exposition actuelle: Exposition des produits de l'industrie française, Éverat, imp., 1834

PARIS - "1478 (756). Cette observation s’applique à celui exposé par M. Frincken, rue des Fossés-Saint-Germain-Auxerrois, n° 28, à Paris; ajoutons seulement qu’il était carré, à six octaves, et contenu dans une caisse de palissandre." Le musée artistique et industriel : exposition 1834, p. 191

 

Liste des exposants Paris, 1834

GAIDON Jean Marie, Jeune

 

 

1820

 

La planche du piano carré de 1842, Photo : Claude Germain - © Musée de la Musique - Paris

Pianos droits et obliques, et des pianos carrés

Piano pont n° 260 ca. 1841, Musée du Palais Lascaris, Nice, France
Piano carré ca. 1842, et sa signature, Musée de la Musique, Paris, France

GAIDON
sur ce site
EXPOSITIONS

Pour lire les commentaires sur les expositions, cliquer sur le lien ci-dessus.

Brevet de 1849 : "Gaidon imagina un mécanisme donnant au clavier les avantages du double échappement." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

"Il s'est glissé une erreur dans l'almanach du Commerce de 1835, au préjudice de ce dernier, qu'on vient ici rectifier ; car c'est lui qui a obtenu la médaille en 1834, et non M. Gaidon ainé, comme le porte ledit almanach. Celui-ci est un des bons facteurs, mais M. Gaidon jeune mérite des éloges pour les soins qu'il apporte à la confection de ses instrumens ; il vient de perfectionner une mécanique de pianos droits, qui n'est sujette à aucun dérangement." Almanach général des commerçans de Paris et des départemens : contenant plus de 100,000 adresses vérifiées à domicile, 1839, p. 615 (gallica.bnf.fr)  -  Voir GAIDON Aîné

"Gaidon jeune, c'est lui qui a obtenu la médaille en 1834 et non M. Gaidon aîné comme l'avait indiqué l'Almanach du Commerce, édition de 1835, M. Gaidon jeune mérite des éloges pour les soins qu'il apporte à la confection de ses instrumens : il vient de perfectionner un mécanisme de piano droit qui n'est susceptible d'aucun dérangem., Montmartre, 121.
Almanach général de la France et de l'étranger ..., 1839, p. 735

 

 

Paris

354, rue Saint-Denis (x1828)(*1829)(arr.3)

121, rue Montmartre (1834)(1836)(**1837)(x1837)(*1838)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(**1843)(x1843)(**1844)(**1845)(**1846)(*1850)(arr.2)

89, rue du faubourg Saint-Denis (*1848)(x1849)(arr.10)

54, rue de Paradis-Poissonnière ci-devant rue Montmartre 121 (*1850)(z1855)(arr.10)

52, rue de Paradis-Poissonnière (yy1851)(**1852)(**1854)(1855)(*1856)(xx1856)(arr.10)

Usine : 54, rue de Paradis-Poissonnière (*1851)(**1852)(**1854)(***1855)(arr.10)

54, rue du faubourg Poissonnière (***1867)(arr.9)

64, rue du Faubourg-Poissonnière (*1859)(***1863)(**1864)(*1867)(**1870)(**1871)(arr.9)

15, rue du Four Saint-Germain (xx1857)(xx1858)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(arr.6)

9, rue du Four Saint-Germain (yy1864)(arr.6)

101, avenue d'Eylau (*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(arr.16)

74, rue Saint-Lazare (**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(arr.9)

2, rue Légendre (**1886)(**1888)(arr.17)

 

'Facteur de pianos' ca. 1828-88

"Les frères Gaidon fondèrent chacun une maison; l’aîné obtint une mention en 1827 et 1855; le jeune (Marie) qui avait créé sa manufacture en 1820 et obtenu des méd. de bronze en 1834-39, et d’argent en 1844-49, s’est distingué par l’invention d’un mécanisme tendant à donner au clavier les avantages du double échappement (1849); en 1855 il eut une médaille de 1ère classe, et il présenta en 1867 un piano à sons prolongés; puis en 1878 un modèle de grand  piano vertical pouvant devenir instantanément un piano à queue." Les facteurs d'instruments de musique: les luthiers et la facture instrumentale : précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893

"GAIDON aîné et GAIDON jeune créèrent une manufacture en 1820 [?], inventèrent en 1849 un mécanisme donnant presque les mêmes avantages que le double échappement et, en 1875, un grand piano vertical pouvant instantanément se transformer en piano à queue." Encyclopédie de la musique et dictionnaire du conservatoire, 1927, p. 2078 (gallica.bnf.fr)

GAIDON Père (xx1856)

Voyez son frère: GAIDON Ainé

Et son neveu, GAIDON E. Neveu


(la suite)

"Gaidon jeune, auteur de plusieurs inventions et perfectionn. aux pianos carrés et droits, Montmartre, 121; B. 1834, 1839. «Il expose deux pianos carrés à trois cordes et à sommier prolongé, disposition de son invention. Les instruments qui sortent des ateliers de M. Gaidon sont d'un travail bien soigné ; ils présentent beaucoup de solidité et offrent, par conséquent, des garanties de durée. L'un des deux pianos carrés exposés par, M. Gaidon a mérité d'être placé en cinquième ligne, et c'est un grand honneur dans un concours où l'on ne comptait pas moins de cinquante-trois pianos." Rap. du jury C." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1841, p. 499 (gallica.bnf.fr)

"Gaidon jeune, auteur de plusieurs inventions et perfectionn. aux pianos carrés et droits, (B 1834, 1839; le rapport dit jury de 1834 place ses pianos les premiers après Pleyel, et celui de 1839 les premiers après Pape; Montmartre, 121." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1844, p. 516 (gallica.bnf.fr)

"Gaidon. Voir les rapports du jury des expositions nationales de 1834-1839 et 1844, qui classe les pianos de ce facteur les premiers après ceux qui ont obtenu la médaille d'or et la croix, les récompenses qu'il a reçu à chaque exposition sont la seule médaille de bronze accordé aux pianos en 1834. La première des 9 médailles de bronze en 1839. La deuxième des 5 médailles d'argent en 1844. Et ses nouveaux succès de 1849 lui ont valu la première des 10 médailles d'argent accordées à la facture des pianos, Paradis-Poissonnière, 54." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1851, p. 655 (gallica.bnf.fr)

"Gaidon jeune, Paradis-Poissonnière, 52; Fab. au 54. — (A) 1849. Extrait du rapport du jury de l'Exposition nationale 1851) : Les pianos droits et les pianos carres de M. Gaidon jeune ont obtenu le deuxième rang dans leurs catégories respectives. Son piano carré est remarquable par la vigueur des sons. Son piano droit a soutenu sans trop de désavantage la lutte avec le n° 1, appartenant à M. Wolfel, quoiqu'il fût beaucoup plus peque ce dernier ; et, dans ce genre d'instruments où le peu de longueur des cordes de basses est un obstacle à leur sononté, il y a beaucoup de mérite à obtenir un résultat aussi satisfaisant, mécanisme ingénieux applicable aux pianos droits de toute dimension. pour donner à leurs claviers les avantages du double échappement." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1854, p. 751 (gallica.bnf.fr) - Voir WÖLFEL (°1834)

"Gaidon jeune, ® 1844 et 1849,(1re) méd. de 1re M. à l'exp. univ. 1855. Tous les instruments qui sortent des ateliers de M. Gaidon sont remarquables par leur bonne exécution et le fini du travail, ils sont très-appréciés des artistes et amateurs de bons pianos, Faub.-Poissonnière, 64." Annuaire et almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l ..., 1859

 

Nouvelle médaille de bronze Paris, 1834 | Liste des exposants Paris, 1836 | Nouvelle médaille de bronze Paris, 1839 | Médaille d'argent Paris, 1844 | Médaille d'argent Paris, 1849 | Médaille de 1e classe Paris, 1855 | Liste des exposants Paris, 1867 |  Médaille d'argent Paris, 1878

LAENGER Pierre
| LÄNGER | LANGER | LENHER

(1773 - 1848)

1820

 

METZ - "M. Langer, de Metz. Mention honorable. - Il a exposé un fort beau piano de 1200 francs, dont le jeu est facile et les sons très-moëlleux. Ce facteur a fait aussi quelques modifications heureuses à la construction ordinaire, et l'exécution de ses instrumens est extrêmement soignée." Mémoires de l'Académie nationale de Metz, Volume 10, 1829, p. 95

METZ - "M. Langer, Médaille de deuxième classe - Artiste fixe a Metz depuis 14 ans, et qui s' est toujours empressé d'études à (?) limiter les perfectionnements qu'il remarquait dans les pianos venus de la capitale, a exposé, cette année, deux pianos exécutés par lui, qui ont fait juger les produits actuels de cet habile luthier de beaucoup supérieurs à ses premiers essais. Une médaille de 2e classe est décernée à M. Langer." Expo 1834, Mémoires de l'Académie royale de Metz, Volume 15, 1834,  p. 55

METZ - "Médaille de 1re Classe [...] M. Langer . Piano de grande forme, d’une excellente facture ; les sons du médium et ceux de la basse surtout, ont du moelleux et de la force." L'Indépendant de la Moselle, 25/09/1837, p. 2 (kiosque.limedia.fr)

METZ - "M. Langer, de Metz, Médaille de Première classe. A exposé un piano de grande forme, d'une excellente facture. Les sons du medium, et ceux de la basse surtout, ont du moelleux et de la force. L'instrument présente des progrès réels de la part de ce facteur, qui, à la précédente exposition, ayant obtenu la médaille de seconde classe, a été jugé digne, cette année, d'une médaille de première classe." Expo 1837 - Mémoires de l'Académie royale de Metz, Volume 19, 1838, Académie royale de Metz, 1838, p. 57

VOIR AUSSI ...

Autres facteurs à Metz du même temps sont CAYE HENRY, LANGER (°1820), LEROY, THIRION, et REITER

 

Metz

rue du Commerce (x1836)

4, rue du Marché- Couvert (xx1836)(**1838)(zzz1839)

 

'Facteur de pianos' ca. 1836-61; (**1842)

LAENGER Pierre (1822?), facteur d'orgues et pianos."Pierre Laenger fut accordeur de pianos et facteur d'orgues vers 1822" Orgues de Lorraine: Sch à Z, François Ménissier, Christian Lutz, p. 2023

LAENGER Mathieu dès 1847 à Nancy, dès 1848 à Metz - Voir LAENGER Mathieu à Metz - même adresse

"Langer, fabricant d'instrumens à cordes." Agenda musical pour l'année 1836 : contenant tous les renseignements utiles aux amateurs de musique et aux artistes, Volume 3, 1836 et Agenda musical, Paris, 1837 (gallica.bnf.fr)

"PIANOS. - Le sieur Langer, facteur de pianos, a l’honneur de prévenir MM. les amateurs qu’il fait, dans ses ateliers, tous les genres de pianos que l’on peut désirer. Tous les pianos fabriqués par lui seront garantis pendant deux ans, et on peut hardiment les comparer aux meilleurs pianos de Paris et Strasbourg. Le sieur Langer prévient les amateurs qui voudront bien lui accorder leur confiance, que la remise d'usage leur sera faite, et qu’ils seront servis avec toute l’exactitude et la perfection qu'ils pourront désirer. Il fait aussi des échanges contre de vieux pianos. - Rue du Marché-Couvert, n° 4, à la grande grille de fer." Courrier de la Moselle, 11/05/1839, p. 3 (kiosque.limedia.fr)

 

Mention honorable Metz, 1829 | Médaille d'argent Metz, 1834 | Médaille d'or Metz, 1837

 

PRESTEL J. Antoine

(1810 - ?)(¹²)

 

 

 

 

1820

 

"Prestel, Ant., rue des Echasses, 10; fabricant de pianos droits, carrés et à queue. Envois en France et à l'étranger." Almanach alsacien: répertoire commercial, industriel, administratif et ..., 1854, p. 163

"PRESTELZ [sic] (Antoine), 6, rue des Juifs, Strasbourg (Bas-Rhin). — Fabricant de pianos. Adresse Télégr. : Prestel - Strasbourg. Tél. : 2264. Maison fondée en 1820, la plus ancienne d'Alsace. Vente et location. Accord et réparation, grand choix de pianos d'occasion." Annuaire de l'Union fraternelle du commerce et de l'industrie, 1924, p. 241 (gallica.bnf.fr)

 

Stras-bourg 10, rue des Echasses (x1854)(x1855)

3, Stelzen-gässchen (y1878)(xx1890)

3, rue des Echasses (1860)(*1893)(*1896)(*1897)

6, rue des Juifs [Judengasse] (**1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(*1910)(x1912)(*1920)(**1921)(*1922)(**1924)

 

Famille de facteurs de pianos d'Alsace  [depuis 1820 (x1912)]

1844 - "BB/11/494, Dossier n°9774 X3 - PRESTEL, Antoine. Né(e) le 27 juillet 1810 à Strasbourg (Bas-Rhin). Qualité : facteur de pianos. Objet : naturalisation. Ouverture du dossier : 26 novembre 1844." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

"Le sieur Antoine Prestel, né d'un père bavarois, le 17 juillet 1810, à Strasbourg (Bas-Rhin), facteur de pianos, demeurant en ladite ville." Bulletin des lois de la République francaise, Nummers 793-820, 1846, p. 12

PRESTEL Antoine, facteur de pianos (x1854) et PRESTEL George, accordeur de pianos (x1854), même adresse.

PRESTEL Antoine (*1861) ?

PRESTEL Père & Fils (**1874)

1874 - "Prestel père & fils, Pianofortefabrik. Gründer und Inhaber : Antoine Prestel sen. und Antoine jun.." Handbuch der Leistungsfähigkeit der gesammten Industrie Deutschlands, Oesterreichs Elsass-Lothringens und der Schweiz, 1874, p. 114

PRESTEL A. (xx1890)(**1903)(*1905)(*1906)

PRESTEL Anton (x1906)(x1912)

'Piano-Fabrik u. Harmonium-Handlung' (x1912)

PRESTEL André (1920)(¹) 

Antoine PRESTEL fut suivi par trois autres générations de descendants ayant pour prénom Antoine. Au 20ème siècle, la maison Prestel a eu également commercialisé la marque HORUGEL. Il y a aussi une marque HORUGEL en Allemagne.

Il y a aussi un PRESTEL à Paris

METZ - "1265. Prestel (Antoine), Strasbourg (Bas-Rhin). Pianos droits." Ville de Metz. Exposition universelle de 1861, p. 159 - Exposition universelle de 1861 sous le patronage de S. M. l'Impératrice ..., Ville de Metz, 1861, p. 159

PARIS - "Les instruments de M. Prestel sont d'une construction excessivement soignée; le mécanisme surtout demande à être examiné avec attention, car il est perfectionné dans plusieurs de ses parties; les pianos de M. Prestel possèdent sonorité et solidité." La musique à l'Exposition universelle de 1867, Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant, p. 162

PARIS - "Pianoforti verticali. - [...] Prestel, Knake, Bresler, Irmler, Prouw-Aubert, avevano dei pianoforti verticali di merito;" Il Pianoforte, guida pratica per costruttori, accordatori, etc., Sievers, 1868, p. 226-227

 

 

Mention honorable Metz, 1861 | Médaille de bronze Paris, 1867

 

1820

   Facteurs de pianos à Paris
1821 1837 1847 1855 1873 1892
30 75 180 120 80 55
     

 

"Ces chiffres sont ceux de la statistique fait par la Chambre de Commerce de Paris; ils ne se rapportent qu’au facteurs de cette ville." (Constant Pierre 1893)

 

 
KLEPFER Henri Jacques
| KLOEPFER

(1792 - ? )

 

 

 

 

 

 

1821

 

'Breveté du Roi des Français et du Roi de Wurtenberg'

Piano pont n° 421, Musique Vivantes, Lyon, France
Piano pont ca. 1830, et sa signature, Cité de la Musique, Paris, France

"L'accord était aussi très difficile à faire. Le premier imitateur de Kohl fut Klepfer, facteur suisse établi à Lyon, qui vint s'établir à Paris vers 1824. Il avait compris quels étaient les inconvénients du système de Kohl, et s'était proposé de les éviter. Pour atteindre ce résultat, il imagina une charpente rendue mobile par des charnières, et sur laquelle la table était assujettie et collée. Cet appareil, qui s'isolait entièrement de la caisse en se soulevant sur ses charnières, présentait la forme d'une harpe couchée, le mécanisme du clavier et des marteaux posait au fond de la caisse. En plaçant le châssis sur lequel la table était assujettie dans une position verticale, on mettait les cordes à découvert : ces cordes étaient fixées par un bout à des chevilles semblables à celles de la harpe. Ces chevilles traversaient le sommier d'outre en outre, et l'opération de l'accord se faisait sans voir les cordes. La difficulté consistait à distinguer, entre plusieurs cordes qu'on ne voyait ni ne touchait, celle qui avait besoin d'être montée ou descendue. Kohl avait imaginé de rendre le clavier mobile pour accorder d'abord une-corde, puis deux, et enfin trois; mais Klepfer avait préféré le moyen inventé en 1806 par Schmidt, facteur allemand, établi à Paris, lequel consistait à étouffer une ou deux cordes par une pédale. Quelques années après l'Exposition de 1827, Klepfer trouva dans son association avec M. Herz toutes les conditions de succès désirables, à savoir : l'expérience d'un maître et d'un artiste pour la qualité du son et l'égalité du loucher, et de plus une grande fortune pour fournir à toutes les dépenses de l'établissement. Malheureusement, Klepfer n'avait pas les qualités d'un facteur d'invention ; encore moins celle d'un bon ouvrier. L'entreprise ne prospéra pas entre ses mains, et M. Herz fut obligé de se séparer de ce malencontreux associé, et de chercher en lui-même des ressources pour l'amélioration de ses instruments. C'est ainsi qu'abandonnant l'idée de la charpente mobile sur des charnières, il l'a rendue fixe et a débarrassé le piano du fond qui le fermait autrefois. Si une corde casse, ce qui est rare en l'état actuel de l'art de les fabriquer et de la construction des instruments, l'accordeur est la seule victime du système ; car pour remettre cette corde, il devra se coucher sur le dos entre les pieds du piano. A l'égard de l'accord, il se fait sans difficulté, les chevilles se trouvant en face de l'accordeur lorsqu'il est assis devant le clavier." Revue et gazette musicale de Paris, Volume 18, 1851

PARIS - "MM. Henri Klepfer et compagnie, à Paris, rue du Faubourg Poissonnière, n.° 5, Pour pianos présentant une disposition nouvelle, disposition qui consiste en ce que les cordes sont attachées au couvercle de l'instrument." Rapport sur les produits de l'industrie française, 1828, p. 391 - 395

PARIS - "M. Kepler produced many good instruments, but their internal mechanism will make it difficult to use them." The Harmonicon, 1828, p. 6

PARIS - "Les instrumens auxquels M. Klepfer  donne le nom d' harmonicordes contiennent 7 octaves, c'est-à-dire une quarte au grave et une quinte à l'aigu de plus que les pianos ordinaires à 6 octaves, et ne le cèdent à aucun autre instrument pour la force et la qualité du son." Journal des artistes, Paris, 1827 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "HARMONICORDES. - Les instrumens auxquels M. Klepfer (Rue du Faubourg Poissonnière, n. 5.) donne le nom d' harmonicordes contiennent 7 octaves, c'est-à-dire une quarte au grave et une quinte à l'aigu de plus que les pianos ordinaires à 6 octaves, et ne le cèdent à aucun autre instrument pour la force et la qualité du son. Nous pouvons citer à l'appui de notre assertion le rapport très favorable de MM. Chérubini, Adam, Pradher et Zimmerman, chargés par l'Ecole royale de l'examen de ces instrumens, et le témoignage de MM. Rossini, Hummel, Herz, Pixis, Litz [sic] et autres pianistes distingués." Journal des artistes, 06/07/1828 (gallica.bnf.fr)

PARIS - ""Les pianos harmonicordes de MM. Ktepferet compagnie méritent une attention particulière, parce qu'ils sont en quelquesorte le renversement du piano carré ordinaire. Ces pianos sont d'origine suisse. M. Kohl, leur inventeur, considérant le désavantage qu'il y a à laisser un côté de la table libre, comme dans le piano carré, et de frapper la corde en la soulevant de son point d'appui, a imaginé de fixer les cordes dessous la table et de la frapper conséquemment contre la table, au lieu de les pousser en haut. De cette manière, la table est collée et appuyée avec une égale solidité sur tous ses côtés.
Mais des inconvéniens bien graves entraient en balance avec les avantages dans le piano de M. Kohl, qui depuis s'est établi à Vienne, car lorsqu'une corde cassait, on ne pouvait la remettre qu'en ouvrant les trapes qui se trouvaient sur les différens côtés de l'instrument, et en étant le clavier. Cette opération embarrassante, même pour un facteur, était à peu près impossible pour un amateur, et même pour un accordeur ordinaire.
M. Klepfer, qui avait d'abord établi ses ateliers à Lyon, et qui a fondé un établissement à Paris depuis plusieurs années, a senti la nécessité de perfectionner l'invention de M. Kohl, et de la débarrasser d'une partie de ses défauts. Le point important était de pouvoir mettre facilement à découvert les cordes et leurs points d'attache aux pointes et aux chevilles; c'est ce qu'il a obtenu en établissant une charpente rendue mobile au moyen d'une charnière, et sur laquelle la table est assujétie et collée sur tous ses côtés. Cet appareil, qui s'isole entièrement de la caisse en se soulevant sur la charnière, présente la forme d'une harpe couchée; le mécanisme du clavier et des marteaux pose au fond de la caisse. En plaçant le châssis sur lequel la table est assujétie dans une position verticale, on met à découvert les cordes, qui sont fixées par un bout à des chevilles semblables à celles de la harpe.
Ces chevilles traversent le sommier d'outre en outre, et s'accordent sans qu'on puisse voir les cordes, lorsque le châssis et la table sont placés dans leur position horizontale ordinaire. Mais on sent que la difficulté consiste à distinguer entre plusieurs cordes, qu'on ne peut pincer à volonté, celle qu'il faut monter ou descendre. M. Kohi avait imaginé de rendre le clavier mobile, afin qu'on pût à volonté ne toucher qu'une corde à la fois; mais les variations de l'atmosphère pouvaient empêcher quelquefois le clavier d'avancer ou de reculer; M. Klepfer a préféré d'employer un procédé imaginé il y a environ vingt ans par M. Smith [SCHMIDT], facteur de Paris, lequel consiste à étouffer une ou deux cordes au moyen d'une pédale. On voit qu'une idée dominante (celle de faire frapper les cordes en dessus par les marteaux) a préoccupé plusieurs facteurs exposant cette année, et notamment MM. Klepfer, Roller et Bumler. M. Streicher, facteur à Vienne, a tenté de la réaliser dans les pianos à queue, il y a plusieurs années, et l'on dit que M. Pape doit exposer aussi un piano de même espèce. L'application de cette idée présente plusieurs avantages incontestables ; mais on ne peut disconvenir qu'elle a aussi des inconvéniens très graves. Le plus réel est celui de forcer à interrompre l'exécution d'un morceau de musique lorsqu'une corde casse, car cette corde restant flottante sur les autres rendrait cette exécution insupportable. Lorsqu'un accident de cette espèce arrive aux pianos carrés ou à queue, on peut facilement enlever la corde pendant que le morceau continue; mais dans les pianos de MM. Klepfer, Roller et Bumler, il faut séparer momentanément les cordes des marteaux, ou les marteaux des cordes, en sorte que l'exécution devient impossible. Quel que soit d'ailleurs le mérite de ces instrumens, je pense que ce défaut est si considérable qu'il suffira pour s'opposer à ce qu'ils obtiennent un succès populaire." Revue musicale, 1827, p. 102-104

  1824, nouvel échappement pour les pianos, par KLEPFER-DUFAUT, de Lyon. - "Klepfer-Dufaut, de Lyon, imagina, en 1824, un nouveau mécanisme à échappement pour les pianos, à l'aide duquel le marteau agissait avec une très-grande vitesse et n'exigeait pas un grand enfoncement de la touche; les cadences, sur cet instrument, s'exécutaient avec beaucoup de facilité." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

"Pour un nouveau mécanisme à échappement qui s'adapte aux forté-pianos (*1830) autre info:  Description des machines et procédés spécifiés dans les brevets d'invention, 1834, p. 5-7 et l'image p. 377

Brevet de 1825 : forte-piano d'une nouvelle construction. (¹³)

[Brevet de 1851 : "43. For an Improvement in Upright Piano-Fortes,- Henry Klepfer, Cincinnati, Ohio, March 25. Claim. — "What I claim is the arrangement of the sounding board in upright pianos, between the strings and the performer, substantially in the manner described." Journal of the Franklin Institute, Volume 51, 1851, p. 311 + images du brevet]

Pour voir le brevet original
voyez le site
INPI (¹³)

INFO EXTRA

Henri KLEPFER sur le site de René PIERRE

 

Lyon

Paris

Strasbourg

Nancy

20, Place de Louis-le-Grand (au deuxième étage)(y1821)(*1822)(*1824)(***1825)(**1826)(*1832)?, Lyon (maintenant place Bellecour)

à Lyon

et plus tard à Paris : 23, rue de Richelieu (maison Beauvilliers) (x1827)(arr.1)

3, Impasse des Filles Dieu (1829)(¹⁰)(arr.2)

5, rue du Faubourg-Poissonnière (1827)(x1828)(*1829)(1829)(¹⁰)(x1829)(arr.9)

4, boulevard Poissonnière (xx1829)(arr.9)

1, rue du faubourg Poissonnière (xx1829)(x1832)(arr.9)

8, rue Royale Saint-Honoré (1834)(arr.8)

1, boulevard Montmartre (xxx1833)(*1835)(z1835)(***1836)(**1837)(*1838)(x1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(+ Salons)(***1841)(**1843)(arr.9)

1-3, boulevard Montmartre (xx1839)(arr.9)

4, boulevard Montmartre (18??)(arr.9)

à Paris

SUCCURSALE : 4, rue du Bouc (1836-42)(¹⁶)

à Strasbourg

58, rue des Quiatres Eglises (yy1830)

2, rue Montesquieu au premier étage (y1831)

Dépôt  chez BOUSQUET-TOURNY : 30, place Carrière (y1837)

à Nancy

 

 

'Facteur de pianos' droits et 'harmonicordes' ca. 1821-43

KLEPFER (*1822)

Il était né à Winnenden dans le royaume de Würtemberg en Allemagne le premier février 1792 (¹⁶), et a fait son apprentissage à Vienne (Autriche) et chez des facteurs de pianos à Paris.

KLEPFER, mentionné comme 'musicien' dès 1821, et comme 'facteur de pianos' dès 1823, domicile du 20, place Louis le Grand (maintenant place Bellecour).

1821 : Henri Klepfer, 29 ans, musicien, marié, 1 domestique + 1 autre personne, au 2e étage, appartement de 4 pièces (valeur locative 400 francs pour son habitation uniquement, pas mention de commerce ou d'activité commerciale) NOTA : en 1818 et 1819, cet appartement est vide. (³⁵)

1822
: idem. (+ 1 enfant)(³⁵)

1823 : Henri Klepfer-Duffault, 30 ans, facteur et marchand de pianos, marié 1 enfant 1 domestique et 3 ouvriers, appartement de 7 pièces au 2e étage
(valeur locative du commerce de 300 francs et 400 pour l'habitation) pas de mention de boutique, il travaillait donc en étage comme beaucoup d'artisan de l'époque. (³⁵)

KLEPFER-DUFAUT Henri (*1824)(**1825)(*1832)

1824 et 1825 : idem mais seulement 6 pièces au 2e étage (valeur locative du commerce 200 et habitation 225, le prix a été diminué car il y a mention qu'une seule pièce donne sur la place)(³⁵).

1826 : François GONELLE, 27 ans, facteur de piano, payant la patente de Mr Klepfer a qui il a succédé (NOTA: 1827 et 1828 : l'appartement est vide.)(³⁵)

L'activité de facteur de piano a donc été très courte à cette adresse de Lyon pour Klepfer (1823-25 ou début 1826) et pour Gonelle (1826)(³⁵)

KLEPFER aurait travaillé avec un certain COTÉ (°1820) de Lyon, selon Clincscale. Après son départ pour Paris il est Repris par un certain François GONELLE à Lyon. (³⁵)

1826 - "Entré dans une association pour la fabrication de pianos avec KLEPFER, ancien facteur de Lyon établi depuis quelque temps a Paris, Henri HERZ (°1825), sur cette page, ci-desous, y perdit de l'argent, parce que les instruments de ce facteur n'eurent pas de succes. C'était vers 1825 (*1866). Lisez la première publicité sur la page de HERZ PUBLICITÉ

1829 - "HERZ Henri, pianiste et compositeur, rue du faubourg Poissonnière, n° 5. Cité le 08/06/1829, dans un acte notarie comportant dissolution, entre le dit et KLEPFER Henry, facteur de pianos, même adresse, lesquels s'étaient associés depuis le 20/10/1826, comme fabricants de pianos et aussi impasse des Filles Dieu, n° 3, lesquels décident que la société est et demeure dissoute à compter de ce jour." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1835 - "KLEPER Henry, Facteur de pianos patenté, associé, boulevard Montmartre, n° 1er mais domicilié à Mulhouse [?] Haut Rhin, Le 24/02/1835, dans un acte notarié, comportant société entre le dit et FERY Auguste, marchand d'instruments, boulevard Saint Martin, n° 15 et dont le siège sera rue de Richelieu, n° 100, lesquels se sont associés en nom collectif pour le commerce de pianos, vente, location et échange, qui commencera dans le local occupé par Monsieur KLEPER sous la raison KLEPER et FERY." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

KLEPFER K. (**1837)(*1838)

1835-36 - "Il arrive à Strasbourg le 25 juin 1835 et habite au 4 rue du Bouc ; il repart le 25 juin 1835 pour Stuttgart en Allemagne. (Source archives de Strasbourg). Il était témoin au second mariage d’Henri MATHIEU, facteur de pianos à Strasbourg le 13 octobre 1838. Ce facteur devait travailler pour Michel AIPLE (1774/94-1854) fabricant de pianos à Strasbourg.
D’autre part son mariage est annulé le 2 août 1836 à Lyon : « …d’après une ordonnance du roi de Wurtemberg du 4 septembre 1808. Le mariage est nul et nul effet ». (Archives de Lyon)"
Facteurs et Marchands de Musique de l'Est de la France, René Pierre;
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr, p. 178; gw.geneanet.org, Aiplé Michel

KLEPFER C. (yy1839)(**1840)(***1841)

1850 - Selon René Pierre (¹⁶), Henri KLEPFER a émigré aux États Unis à Cincinnati en 1851, où il était accordeur de pianos.

"Le sieur Klepfer donne avis à MM. les amateurs, qu'il vient d'établir dans son domicile, Place Louis-le-Grand, n.° 20, à Lyon, une fabrique de Pianos dans le genre le plus nouveau. Ayant appris son état à Vienne (en Autriche), et depuis, l'ayant perfectionné chez les facteurs de pianos les plus distingués de Paris, il ose se flatter d'offrir aux personnes qui voudront bien s'adresser à lui, tout ce qu'on peux désirer, soit pour la bonté, soit pour la beauté, et aux prix les plus modéré des facteurs de Paris. Les bois dont il se sert étant vieux, le mettent à même de garantir la solidité de son travail, déjà éprouvé par les instrumens qu'il a fabriqués. On trouvera dans ses magasins des Pianos en bois d'acajou choisi, pieds à colonne, six octaves et demie, à grandes et petites tables d'harmonie, à deux ou trois cordes, et en général, dans tous les genres qu'on pourrait désirer. Il reprend aussi de vieux pianos en échange, ajoute une demi-octave aux petits instrumens de cinq octaves. Il se charge de toutes les réparations et des accords, il en loue au mois et à l'année. Les éloges qu'il a reçu jusqu'à présent de MM. les artistes de cette ville, et les soins assidus qu'ils apporté à son travail, lui font espérer qu'on lui accordera la confiance qu'il s'empressera de mériter." Le Précurseur, 18/12/1821, p. 4

"Pour cause de départ, plusieurs piano neufs en acajou, à six octaves et à trois cordes, à quatre et cinq pédales, que l'on céderait à un prix modéré : s'adressera M. Klepfer, facteur de piano, breveté, place Louis-le-Grand, n.° 20, au deuxième étage, qui a aussi à vendre neuf établis, dont six sont avec des presses allemandes, et: plusieurs autres outils propres pour menuisiers et ébénistes." Le Moniteur judiciaire de Lyon : organe des tribunaux et des annonces légales, 13/07/1826, p. 45

"FABRIQUE DE PIANOS - D'après le desir manifesté par les plus célèbres pianistes d'étendre les claviers des pianos à sept octaves complètes, plusieurs des premiers facteurs ont fait des essais plus ou moins heureux mais qui n'avoient jamais atteint le but propose. La difficulté presqu' insurmontable de cette augmentation de sons a été vaincue par M. Klepfer et comp. demeurant à Paris rue du Faubourg-Poissonnière, n° 5. Les pianos à table renversée de ce facteur nommés HARMONICORDES. La cause de leurs sons harmonieux, et pour lesquels il a obtenu un brevet d'invention et la première médaille accordée aux pianos carrés à l'exposition de 1827, sont seuls susceptibles du perfectionnement que les pianistes demandaient. La table d'harmonie n'ayant besoin d'aucune ouverture pour le passage des marteaux et gagnant par conséquent beaucoup en surface, donne plus de force aux sons et facilité prodigieusement la vibration des cordes de la septième octave. Quant aux pianos carrés ordinaires et aux pianos à queue barrés en fer de fonte leur construction est telle qu'ils ne laissent rien à désirer. Aussi, l'Ecole royale de Musique a fait sur ces instrumens le rapport le plus avantageux, et les frères Herz et MM. Pixis et Listz [sic] les ont choisis de préférence pour le brillant concert que M. Herz jeune a donne le jour de Noël au Théâtre de MADAME." Journal des débats politiques et littéraires, 14/01/1828, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"M. Klepfer, breveté du Roi, vient de confectionner un piano vertical d’un genre magnifique. Ce piano, dont le son est admirable et d’une bonté rare, joue alternativement et comparativement avec un de choix, se fait remarquer surtout dans le timbre, dans la promptitude et dans la percussion des marteaux. S’adresser, pour le voir, chez M. Bardy, rue des Quatre-Eglises, n. 58, près la Salpétrière." Journal de la Meurthe, 25/04/1830, p. 3 (kiosque.limedia.fr)

"Avis. Le dépôt des excellens pianos de Klepfer, Fabricant bréveté de Paris, vient d’être établi chez M.me veuve Bidault, rue Montesquieu, n.02, au premier étage. Les personnes, qui voudront l’honorer de leur confiance trouveront, chez elle, un choix de ces instrumens dont l’élégance, la qualité et la solidité sont parfaites." Journal de la Meurthe, 25/02/1831, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

"M. Henry, organiste de la Cathédrale, demeurant rue Fontaine-Saint-Jacques, n.° 32 [à Metz], a l’honneur de prévenir MM. les amateurs que le sieur Klepfer, fabricant de pianos à Paris et à Stuttgard, breveté du roi, a déposé chez lui deux pianos de forme, verticale ayant le double avantage d’avoir un son très-volumineux et d’occuper moins d’emplacement que les pianos ordinaires; leur longueur est de 4 pieds 6 pouces, et leur hauteur est de 3 pieds 1 pouce. Ces pianos ont un tel avantage, sur tous ceux qui ont paru jusqu’aujourd'hui, que MM. les membres du conservatoire de musique, d’après un examen scrupuleux, lui ont délivré un certificat qui en constate la supériorité. On peut les voir à toute heure du jour. " L'Indicateur de l'Est, 31/05/1831, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

"Klepfer (K.), breveté du roi, et du roi de Wurtemberg, boulevart Montmartre, 1." Agenda musical pour l'année 1836 : contenant tous les renseignements utiles aux amateurs de musique et aux artistes, Volume 3, 1836

"Meubles de toute nature à tous usages, sièges, fauteuils Voltaire, etc., un bon piano vertical de Klepfer, une lyre." Journal des Artistes, 1838 (gallica.bnf.fr)

 

Médaille de bronze Paris, 1827 | Liste des exposants Paris, 1834

SYSTERMANS Frères
| SIJSTERMANS

 

 

 

 

Eric Feller Early Keyboard Instruments Collection, Allemagne

1821

Leonard Systermans - rue Notre Dame de Nazareth n° 26 à Paris 1824

Leonard Systermans - rue Notre Dame de Nazareth n° 26 à Paris 1829

Systermans Frères - rue Notre Dame de Nazareth n° 30 à Paris 1836-38

Piano carré ca. 1824, Stewart Symonds Antique Piano Collection, Sydney, Australie
Piano carré ca. 1824, Civico Museo Teatrale Fondazione Carlo Schmidl, Trieste, Italie
Piano carré ca. 1824, Western Australian Academy of Performing Arts, Edith Cowan University, Perth, W.A., Australia
Piano carré ca. 1825, Collection privée, Amsterdam, Pays Bas
Piano carré n° 1032 ca. 1825
, Collection musiques Vivantes, Lyon, France
Pianoforte de 1828 « Leonard Sÿstermans rue Madame (sic) de Nazareth n°26 à Paris 1821 », n° 1145 Paris 1828 modèle n°3 sur la table d’harmonie, placage acajou, quatre pieds colonnes à bagues de laiton. 6 octaves, ogerblanchet.fr
Piano carré n° 2187 ca. 1829, Eric Feller Early Keyboard Instruments Collection, Allemagne

"A vendre, un très-beau et bon piano, à deux octaves, quatre pédales et deux cordes de Systermans. Cet instrument, fabriqué en 1824, a très-peu servi, et sous le rapport de la qualité peut être considéré comme neuf.
La boîte en acajou superbe, les pieds de forme moderne et ornés le dorures, en font en outre un très-beau meuble, capable de décorer l'appartement dans lequel on voudra le placer, s'adresser chez Mlle Couriot, rue Thoré, n° 16." Affiches, annonces judiciaires, avis divers du Mans, et du Département de la Sarthe, 1836, p. 389

"M. Systermans et Coppini, fabricants de pianos à Paris, rue Notre-Dame de Nazareth, n° 28, et rue Meslée, n° 21, déballeront, sous la rotonde de la Halle, plusieurs pianos de leur fabrique, et un assortiment complet d'instruments et de musique. Ils achètent les vieux pianos et toutes sortes d'instruments. Ils se chargent aussi de toutes les réparations." Affiches, annonces judiciaires, avis divers du Mans, et du Département de la Sartre, 1839, p. 331-332

VOIR AUSSI ...

... autres avec le même nom SYSTERMANS, HERMAN & SYSTERMANS, PETITCLERC & SYSTERMANS, et Léonard SYSTERMANS (°1785)

INFO EXTRA

Les SYSTERMANS à Paris, par Jean-Marc STUSSI

 

Paris

26, rue Notre-Dame de Nazareth (x1822)(x1823)(1824)(x1825)(x1826)(x1827)(x1828)(*1829)(x1829)(x1841)(*1842)(x1843)(xx1844)(**1845)(**1846)(**1847)(x1847)(arr.3)

30, rue Notre-Dame de Nazareth (***1836)(***1838)(arr.3)

21, rue Meslée [Meslay] (xxx1839)(**1846)(***1847)(x1847)(arr.3)

28, rue Notre-Dame de Nazareth (xxx1833)(z1835)(***1836)(**1837)(*1838)(*1839)(xxx1839)(x1839)(yy1839)(x1840)(**1843)(arr.3)

28-30, rue Notre-Dame de Nazareth (**1840)(***1841)(arr.3)

 

 

'Facteurs de pianos' droits et carrés ca. 1822-43; (**1840)

 SYSTERMANS Frères (x1823)(x1829)(***1836)(yy1839)(**1840)(***1841) ou :

SYSTERMANS François, l'aîné (1790 - 1864)(⁵), le fils aîné de Léonard SYSTERMANS (°1785), marié avec CHERRIER (?-1835) et puis avec VANDREZANNE Marie Louise Pauline (1814-1874)(⁵)

SYSTERMANS Jean-Philippe, jeune (1792 - 1878), le fils jeune de Léonard SYSTERMANS (°1785), marié avec Victoire Hortense LETAILLEUR (⁵)

1830 - "28/04/1830 - XV MC/CM//1 963 Dépôt du contrat de mariage sous le régime de la communauté de biens entre Jean Philippe Systermans, fabricant de pianos, 26, rue Notre Dame de Nazareth, et Victoire Hortense Letailleur, 40, rue des Deux Ponts, ile Saint-Louis, passé devant Me Forqueray le 28 avril 1830." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

SYSTERMANS & COPPINI (*1839), même deux adresses comme SYSTERMANS Frères

HERMANN & SYSTERMANS (1844), voir HERMANN

"A la mort de leur père Jean Léonard SYSTERMANS (1764-1821) (°1785) les deux frères Systermans ont renoncé à la succession dans un premier temps sans doute pour des raisons de rivalité entre les deux frères pour prendre la direction de la manufacture. Mais on retrouve pourtant des pianos «SYSTERMANS Frères» toujours annoncés dans la presse spécialisée entre 1823 et 1836 rue Notre Dame de Nazareth (avec des numéros variables, qui vont du 26 au 28, quand ce n'est pas le n° 30). Mais ce n'est que vers la fin des années 30 que les deux frères prennent des chemins parallèles.

François, l'Aîné, né en 1791, a épousé une demoiselle Nunckele (son beau-frère est un bijoutier qui a boutique dans la même rue que la famille SYSTERMANS, au n°28). On le retrouve rue Meslay ou Meslée (la rue où se trouve également le facteur RODUWART) au n°21 en 1839, qui deviendra le 48 (et même 50) entre 1859 et 1876.

Ils auront un fils prénommé Louis Philippe, qui épousera Mlle Delavier en 1865. Celui-ci s'installera peut-être au 21, rue Fontaine du Roi, puis plus durablement rue du Faubourg Poissonière (au 8 en 1844, au 20 en 1849, au 75 en 1959 - date à laquelle il s'associe avec PETITCLERC - mais ce sera l'épouse qui, une fois séparée de son mari en 1878, continuera l'affaire qui maintenant a pour adresse le n°4
(¹), puis n°6 en 1897 quand une nouvelle passation aura lieu entre Amélie et Jeanne SYSTERMANS. (²)

(Jean)-Philippe, Le Jeune, né le 25 novembre 1792 épousa Victoire Letailleur (née en 1798) le 1er mai 1830 dans une paroisse du 9ème arrondissement ancien.

1830 - "MC/CM//1, 963 - Dépôt du contrat de mariage sous le régime de la communauté de biens entre Jean Philippe Systermans, fabricant de pianos, 26, rue Notre Dame de Nazareth, et Victoire Hortense Letailleur, 40, rue des Deux Ponts, ile Saint-Louis, passé devant Me Forqueray le 28 avril 1830." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1849 - On le retrouve Jean-Philippe SYSTERMANS installé au n°1 Boulevard St. Martin, qui deviendra le n° 20 en 1949, date à laquelle il s'est sans doute associé à Hermann pour former la firme HERMANN et SYSTERMANS dès 1844, le n° 15 en 1859, et même le n°47 à une date inconnue.

On trouve également des documents signalant des facteurs de piano prénommés Pierre et Aimable mais sans aucune certitude sur leur parenté, leur adresse ou période d’activité."
Infos données par D. GirardInformations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

RÉF.

(¹) Voir Archives commerciales de la France 09/09/1875, p. 814 et 18/07/1878, p. 915 sur le jugement rendu le 11 et 17 juillet de la même année. Archives commerciales de France (5ème année, n°81) 1878, p. 1303

(²) Archives commerciales de France (24ème année, n°85) 1897, p. 1318

 

 

MUSSARD Jean-Louis Émile

(1793 - ?)(¹)

 

 

 

 

 

 

 

 

1822

 

Piano carré ca. 1822, et sa signature, Cité de la Musique, Paris, France
Piano carré n° 375 de 1832, Fonds Pierre-Bassot, Hôtel de Conny, Moulins, France
Piano carré ca. 1847-50, et sa signature, Musée Bernard d'Agesci, Niort, France

PARIS - "Voilà un piano d'une forme nouvelle et singulière ; il est à double clavier et à cordes verticales ; nous n'osons prédire à M. Mussard le succès de son innovation." Le moniteur universel, Volume 71, 13/10/1823, p. 1210

PARIS - "Mr MUSSARD, Émile, Facteur de pianos, Genevois établi à Paris, rue aux Ours. - Un piano carré, grande table, à trois cordes, sis octaves, quatre pédales, estrade à échappement." Livret soit catalogue explicatif des objets qui font partie de l'Exposition, Société des arts de Genève, 1828, p. 1

"Mussard (Emile), fab. pianos carrés, pianos droits, pianinos, r. Barbette, 12." Almanach du commerce de Paris, 1837, p. 171 (gallica.bnf.fr)

 

Saint Ouen Paris 82, rue Saint-Martin (1822)(arr.4)

23, rue aux Ours (x1825)(x1827)(*1828)(x1828)(*1829)(x1829)(arr.3)

34, rue Neuve-Saint-Eustache (xxx1833)(z1835)(arr.18)

24, rue Neuve-Saint-Eustache (z1838)(arr.18)

12, rue Barbette (***1836)(*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1837)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(x1843)(xx1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(1850)(¹⁰)(**1852)(**1854)(***1855)(z1855)(arr.3)

40.000 (ca. 1930)

 

'Fabricant de pianos' droits et pianos carrés ca. 1822-84 [depuis 1822 (*1922)]

Jean Louis Emile MUSSARD, [- fils de Jacob Pierre MUSSARD (Suisse) - ], est né en 1793 en Suisse, est installé à Paris à partir d'au moins 1822. Il a alors au moins deux fils qui vont lui succéder (au moins à partir de 1844 sous le nom de MUSSARD et Fils) : Emile François Marc, né le 23 mai 1820 et Adolphe Eugène né lui aussi à Paris le 4 mai 1825. Les deux frères demanderont leur naturalisation française en 1850. Un des frères était marié en 1850 avec Mme. BOLLAND, et habitait au moins à partir de cette date au 138, quai de Jemappes, (arr.10)(¹⁰). On trouve également des traces de Jacob Pierre MUSSARD et de Jean Louis Emile MUSSARD. La dynastie MUSSARD ne s'éteindra pas avec le siècle, bien au contraire : de nouvelles générations, MUSSARD Frères mais aussi MUSSARD & Cie, MUSSARD & FOCKE, seront acifs jusqu'au milieu du 20ème siècle.

MUSSARD & Fils (ca. 1844)

1849 - "MUSSARD Emile François, Fabrication et vente de pianos, rue Barbette, n° 12. Cité le 01/03/1849, dans un acte sous seing privé comportant société entre ledit et MUSSARD Eugène, en nom collectif pour achat, vente et fabrication de pianos, laquelle commence ce jour. Source: D31u3-156/Pièce 331." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

Voir ses successeurs

MUSSARD selon MONTAL

"Vers 1825, M. Careyre, amateur, fit exécuter par M. Mussard un piano vertical à deux claviers opposés l'un à l'autre, et qui permettaient à deux personnes placées l'une en face de l'autre de se voir à travers les cordes en exéculant. Ce piano, d'environ six pieds de haut, avait deux tables d'harmonie placées verticalement l'une derrière l'autre, et qui ne s'élevaient qu'à une certaine hauteur ; chacune d'elles avait sa monture de cordes, sạ mécanique, son clavier : ce qui constituait par conséquent deux instruments réunis en un seul. C'était, comme on le voit, l'idée du clavecin vis-à-vis d'André Stein, appliquée au piano. Le mauvais son de cet instrument l'empêcha de produire aucun effet dans le monde musical, malgré sa commodité pour jouer des duos de piano." L' art d'accorder soimême son piano: d'après une méthode sûre, simple et ..., Claude Montal, 1836, p. 237-238

 

 Liste des exposants, Genève, 1828 | Liste des exposants Paris, 1834 | Liste des exposants Paris, 1839 | Liste des exposants Paris, 1844 | Médaille de bronze Paris, 1849 |  Liste des exposants N.Y., 1853 | Liste des exposants Bordeaux, 1854 |  Mention honorable Paris, 1855 | Liste des exposants Toulouse, 1858

CLUESMAN Jean-Baptiste Chretien

 

 

 

 

 

 

 

 

1823  

Piano à queue ca. 1836, Sammlung Dohr, Pianomuseum Haus Eller, Cologne, Allemagne
Pianoforte ca. 1836, Musée des Beaux Arts, Agen, France

CLUESMAN
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EXPOSITIONS

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ARTICLES

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Paris Fabrique : 48, rue de la Grande-Truanderie  (1827)(1828)(¹⁰)(*1829)(arr.1)

5, rue des Fossés-Montmartre (1827)(x1828)(arr.2)

5, rue Neuve-des-Petits-Champs (passages des Trois Pavillons), près le Palais-Royal (*1829)(x1829)(P1829)(y1830)(P1831)(1832)(yy1851)(***1855)(arr.2)

 4, rue Favart [ancien Manège] (1834)(***1836)(**1837)(*1838)(***1838)(**1839)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(1842)(¹⁰)(**1843)(x1843)(**1846)(arr.2)

3, rue des Couronnes (x1839)(arr.20)

23, rue Cadet [ancien Manège, ci-devant rue Favart, 4] (après 1842)(xx1844)(**1845)(**1846)(x1847)(1847)(¹⁰)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(**1852)(xx1857)(*1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(***1863)(yy1864)(arr.9)

20, place Montholon (xx1858)(arr.9)

 4, rue Papillon (**1858)(xx1858)(xx1859)(arr.9)

 

60 ouvriers en 1839 (¹) et 100 pianos par an

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1827-64

CLUESMAN était un facteur autrichien qui s'installait à Paris.

'Fabricant de pianos breveté, associé'

Époux de FAURE Elisa Eléonore (¹⁰)

1828 - "Le 01/05/1828, dans un acte notarié comportant société, puis le 26/05/1828, comportant dissolution entre GLUSMAN Jean Baptiste [sic], Fabricant de pianos breveté, associé, rue des Fossés Montmartre, puis rue de la Grande Truanderie, n° 48 et MAZET Pierre, rentier, rue d'Albouy, n° 2, lesquels se sont associés pour créer une société sous les conditions suivantes à compter de ce jour sous la raison GLUSMAN et Compagnie. Puis le même jour, lesquels précisent qu'entre ledit, passage des Petits Pères, n° 5 [arr.2] et GLUSMAN [sic], rue de la Grande Truanderie, n° 48, MAZEL ou MAZET rendra compte à Monsieur GLUSMAN [sic] (...) et de ne point s'opposer à ce qu'il traite avec le sieur GERMAIN N..., un de ses ouvriers pour la fabrication de pianos."  Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1834 - CLUESMAN présente un mécanisme au moyen duquel on peut accorder son piano soi-même sur l'exposition de 1834.

CLUESMAN a construit des pianos à vis dépression en 1834. L'art d'accorder soi-même son piano, C. Montal p. 234

1836 - Croix de la Légion d'honneur en 1836.

1842 - "PLANTAREDE [PLANTADE] Charles François, Facteur de pianos du Roi et de présent, juge arbitral, boulevard Montmarte, n° 8. Cité le 27/01/1842, dans un acte du tribunal de commerce, comportant jugement arbitral, où est également nommé : PLANTAREDE [PLANTADE] François Pierre, aussi facteur de pianos, rue Richer, n° 33, aussi CLUESMANN Jean Baptiste Chrétien, facteur de pianos, rue Favart, n° 4, tant en son nom que porteur des droits de son épouse, etc. Source : D31u3-102/Pièce 355." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois » - Voir les PLANTADE

1844 - Incendie - Voir aussi les ARTICLES

1847 - Faillite en 07/07/1847 (¹⁰).

INFO EXTRA

 Texte sur les archives de vente de Cluesman, par A. Esprit, dans
Bulletin de la Société archéologique, historique & artistique le Vieux papier, 01/1917, p. 173 (gallica.bnf.fr)

 Le piano Cluesman de Victor Hugo, par Leo Claretie, dans La Rampe, 14/03/1918, p. 7 (gallica.bnf.fr)

 Le piano de Juliette, par Pierre Dufay, Mercure de France, 16/05/1918, p. 370-372 (gallica.bnf.fr)

 

Mention honorable Paris, 1827 | Mention honorable Paris, 1834 | Nouveau mode de tension, 1835 | Médaille de bronze Acad. Ind. 1835 | Médaille d'argent, 1836 | S. E. 1836 | Mention honorable Paris, 1839

KOSKA Joseph

 

 

1823

KOSKA
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EXPOSITIONS

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"KOSKA, rue Richelieu, n. 10. On doit à cet artiste ingénieux un piano à queue de nouvelle forme et à sept octaves ; un procédé pour garantir la table d'harmonie de l'humidité, et augmenter la qualité des sons; un perfectionnement dans le mécanisme des pianos, qui rend la touche beaucoup plus agréable; la construction nouvelle d'une caisse qu'il garantit pour deux ans ; enfin, l'heureux emploi dans la confection les pianos, d'un bois français, qui peut ainsi être employé avec succès dans toute ébénisterie. Les produits de ce facteur ont été admis à l'Exposition de 1823."  Bazar parisien, ou Annuaire raisonné de l'industrie des premiers artistes et fabricans de Paris : offrant l'examen de leurs travaux, fabrications, découvertes, produits, inventions, etc., 1826, p. 439 (gallica.bnf.fr)

"Koska, mag. de pianos à sept octaves, r. Richelieu, 10." Almanach du commerce de Paris, Duverneuil, 1829, p. 142 (gallica.bnf.fr)

"Déjà nous avons signalée les titres de quelques-uns des plus célèbres fabricans de pianos; en dehors de ce cercle de hautes réputations, se trouvent encore des talens estimés des artistes, qu'il est de notre devoir de faire connaître ; de ce nombre est M. KOSKA (rue des Vieux-Augustins, n. 18), qui a placé à l'exposition des pianos carrés qui passent pour être comparables aux pianos à queue, soit pour la puissance, soit pour la pureté et l'égalité des sons. Ces instrumens sont à échappement droit, comme ceux de Pleyel, et le marteau est doublé en cuivre ; aussi, ne sent-on pas le contre-coup sous le doigt, et la solidité de ce mécanisme est-elle à toute épreuve; un des fabricans de pianos les plus renommés a annoncé qu il fallait plaquer les tables en cuivre pour les empêcher de jouer. M. KOSKA ne double pas les siennes, et cependant elles ne jouent pas." Le Flâneur, 17/07/1834, p. 3 (gallica.bnf.fr)

 

Paris

8, rue de Richelieu (**1823)(arr.1)

10, rue de Richelieu(*1825)(¹⁰)(**1825)(x1825)(x1826)(x1827)(***1828)(x1828)(*1829)(arr.1)

18, rue des Vieux-Augustins (xxx1833)(1834)(z1835)(arr.6)

14, rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie (***1836)(**1837)(*1838)(**1839)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(arr.4)

13, rue neuve Sainte-Catherine (*1842)(**1843)(arr.4)

6, rue du Foin-Saint-Louis [au Marais] (x1843)(**1844)(**1845)(arr.3)

88, rue du Faubourg-Poissonnière (**1846)(x1847)(*1848)(arr.9)

92, rue du Faubourg-Poissonnière (x1849)(*1850)(*1851)(arr.9)

2, rue de Navarin (**1854)(z1855)(xx1856)(arr.9)

29 ouvriers en 1834 (⁶)

9 ouvriers en 1839 (⁶) ou 4 selon (**1839)

15 à 18 pianos par an et 4 ouvriers (1844)

 

'Facteur de pianos' carrés, pianos à queue, pianinos et pianos droits ca. 1823-56

Un facteur de piano originaire de Moravie, époux de KUCHER Jeanne Marie Françoise (1801-1825)(¹⁰).

Brevet de 1839 : "Perfectionnements ajoutés aux pianos; par M. Koska. - L'auteur est parvenu à obtenir une amélioration sensible dans la position de l'échappement droit et dans la pilote qui, se trouvant à double mouvement, empêche de faire sentir à la touche le contre-coup des élouffoirs; ensuite, ayant éloigné des cordes leurs marteaux beaucoup plus que dans les autres pianos, tout en leur conservant une même force de jeu par suite de la disposition de ces échappemens, il est arrivé à donner à ses pianos carrés autant de son qu'aux pianos à queue; enfin, il est arrivé à pouvoir obtenir des vibrations égales dans les cordes remplaçant les pointes du sommier et du chevalet, de manière qu'il y ait toujours unisson entre les vibrations des cordes et l'unisson du son, avantage propre à faciliter l'accord de l'instrument." Archives des découvertes et des inventions nouvelles: faites dans les ..., 1839, p. 195


(la suite)

"FABRIQUE DE PIANOS, Rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, n. 14. M. Koska a obtenu une mention honorable à l'exposition de 1834, pour avoir amélioré sensiblement la fabrication des pianos carrés auxquels il est parvenu à donner autant au son qu'aux pianos à queue, avantage immense, vu le prix élevé de ces derniers et l'embarras de leur volume. — M. Koska se charge également de tout ce qui concerne la vente, la réparation, l'accord et les échanges. On trouve aussi dans ses magasins un assortiment de pianos d'occasion." Le Ménestrel 15/01/1837, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"Koska, r. Ste.-Croix-de-la-Bretomierie, 14; (B) 1839. «Il expose un piano carré à trois cordes et un pianino également à trois cordes qui a obtenu le second rang au concours. M. Koska est un habile ouvrier qui apporte beaucoup de soins dans la construction de ses instruments. Son pianino se faisait remarquer par la disposition du clavier et des marteaux qui forment un système qu'on peut enlever et replacer à volonté, et aussi par plusieurs pcrfectionnements de détail. M. Koska occupe ordinairement quatre ouvriers ; il confectionne ses caisses et ses mécanismes. » Rapp. du jury C." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1841, p. 499 (gallica.bnf.fr)

 

Jury d'admission Paris, 1823 | Mention honorable Paris, 1834 | Médaille d'argent de l'Académie de l'Industrie Paris, 1837 | Médaille d'argent Paris, 1838 | Médaille de bronze Paris, 1839 | Rappel du Médaille de bronze Paris, 1844 | Médaille de bronze Paris, 1849

ROBLOT & ESLINE

 

 

 

 

1823

Piano droit ca. 1910, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique

"Roblot, facteur, accordeur de pianos (maison fondée en 1823 par feu son père), ancien ouvrier de la maison J. Pleyel et Cie, spéc. de location avec grand choix pour la ville et la campagne, vente, échange et réparations, Faub.-St-Denis, 62." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1873, p. 1241 (gallica.bnf.fr)

Paris  

12, rue Sainte-Barbe (18??)(arr.?)

27, rue du Faubourg-Saint-Antoine (18??)(arr.12)

64, rue du Faubourg Saint-Denis (*1829)(1834)(¹⁰)(x1836)(**1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(x1843)(xx1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(arr.10)

52, rue du Faubourg Saint-Denis (x1864)(arr.10)

62, rue du Faubourg Saint-Denis (*1850)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(yyy1855)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1883)(arr.10)

27, rue de Sevigné (**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(xx1890)(arr.3)

22, rue du faubourg Saint-Denis (**1881)(arr.10)

33, boulevard Henri IV (*1894)(**1904)(x1906)(arr.4)

 

'Facteur de pianos' ca. 1829-1904

ROBLOT Pierre Louis Barthelémy, (? - 1834).  

1824 - "1824, 18 août. Mariage de Pierre Louis Barthélémy Roblot, accordeur de pianos. 12, rue Sainte-Barbe, avec Louise KINTZ. 27, rue du Faubourg-Saint-Antoine." Documents du Minutier central des notaires de Paris cancernant L'Histoire économique et sociale (1800-1830), Archives nationales, 1999, p. 168 (siv.arch-nat.culture.gouv.fr - MC/ET/XXVIII/789)

ESLINE (x1836)

ROBLOT & ESLINE (?)

ESLINE & Veuve ROBLOT (x1836)(*1838)(**1840)(***1841)(*1842)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)

ROBLOT Vve. & Cie (x1839)(xx1839)

ROBLOT Vve. (yy1851)(**1854)(yyy1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(yy1864)

ROBLOT Mme. (***1863)

ROBLOT Vve. (**1864)

1864 - "Roblot, fabricant de pianos, faubourg Saint-Denis, n. 52., Mlle Gravois, chez ses père et mère, rue Culture Sainte-Catherine, 27." L'Indicateur des mariages de Paris, 02/10/1864, p. 3 (gallica.bnf.fr)

ROBLOT (**1870)(**1871)(**1873)(**1876)(**1877)(**1880)(**1884)(*1894)(**1904)(x1906), 'accordeur de pianos'

Selon Malou Haine, Roblot fondait sa maison déjà vers 1823.

 
BERNHARDT Pierre-Antoine-Daniel

(1800 - ?)(¹⁰)

 

 

 

 

 

 

1824

 

TITRE

"Facteur du Roi"

Piano carré n° 1157 ca. 1830, Sweelinck Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas
Piano carré n° 351 ca. 1830, Kolthoorn Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas
Piano carré n° 1458 ca. 1835, Kolthoorn Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas
Piano carré ca. 1835, Collezione Fondazione Musicale Masiero e Centanin, Padova, Italie
Piano droit ca. 1845, Centraal Museum, Utrecht, Pays Bas
Piano droit avec clavier abattant ca. 1850, Centraal Museum, Utrecht, Pays Bas
Piano droit ca. 1850, Andrzej Szwalbe Collection, Ostromecko Palace, Bydgoszcz, Pologne
Piano droit ca. 1860, Stiftung Lebensfarben, Berlin, Allemagne
 



BERNHARDT
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EXPOSITIONS

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Brevet de 1840 : "7150. Brevet d'invention de cinq ans en date du 22 juin 1840, Au sieur Bernhardt (Pierre-Antoine-Daniel), à Paris, Pour un mécanisme de piano frappant les cordes en dessus. Cette construction rend la caisse plus solide quoique plus légère, puisque, le tirage des cordes étant plus près des masses et la table d'harmonie n'étant pas coupée pour donner passage aux marteaux, les barres formant masses pourront arc-bouter contre le sommier des chevilles et laisseront la faculté de supprimer les barres de fer employées pour empêcher les parties de se rapprocher par le tirage des cordes." Description des machines et procédés spécifiés dans les brevets : Volume 56, N° 7025-7217, p. 320 et (¹³)

Pour voir le brevet original
voyez le site
INPI
(¹³)

VOIR AUSSI ...

  BERNHARDT A. Fils & Cie (*1852) à Paris et Louis BERNHARDT à Paris

 

Paris

16, rue de Touraine (*1827)(x1828)(*1829)(arr.4)

6, rue de Touraine (x1827)(x1829)(x1832)(xxx1833)(arr.4)

28, rue du Faubourg Poissonnière (1834)(*1835)(***1836)(**1837)(***1838)(arr.9)

ateliers : 17, rue Saint-Maur Faubourg du Temple (1834)(z1835)(**1837)(*1838)(yy1839)(x1839)(*1842)(x1843)(1844)(**1846)(x1847)(*1848)(arr.11)

71, rue Saint-Maur-Popincourt (xx1839)

17, rue Buffault (*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(x1843)(**1845)(*1846)(**1846)(x1847)(*1848)(1848)(¹⁰)(*1849)(salle BERNHARDT)(arr.9)

19, rue Saint-Maur (x1840)(arr.11)

 

40 ouvriers et vers 150 pianos par an (1834)

60 ouvriers  (1839)

70 ouvriers en 1841

 300 pianos par an (x1841)(**1844)

 

 

'Facteur de pianos' droits, pianos à queue et pianos carrés ca. 1827-49

P. BERNHARDT, 'Facteur du Roi Paris' (xxx1833)(**1844)

Époux de POUGEOIS Marie Anne (?-1856)(¹⁰)

Élève de ROLLER (°1808)

1840 - "M. Bernhardt, facteur de pianos, rue Buffault, 17, vient d'être nommé facteur du roi." La Presse, 26/08/1840, p. 3 (gallica.bnf.fr)

BERNHARDT Pierre Antoine David, faillite dudit, le 29/06/1848 (¹²)

BERNHARDT Louis (***1855)(*1859)(yy1864), voyez BERNHARDT Louis

"Bernhardt, r. de Touraine, 16. Méd. de br. en 1827 pour un pianos [sic] à trois cordes, six octaves, quatre pédales et à estrade." Répertoire du commerce de Paris, ou Almanach des commerçans, banquiers, négocians, manufacturiers, fabricans et artistes de la capitale, 1828, p. 566 (gallica.bnf.fr)

"Bernhardt (P.), facteur de pianos. Le jury ayant reconnu que ses instrumens réunissaient à la solidité, à l'élégance, à l'harmonie, un prix modéré, lui a décerné une médaille de bronze à l'exposition de 1827, - rue de Touraine, 6, Marais." Almanach des 25000 adresses des principaux habitans de Paris, 1832, p. 50

"CHANGEMENT DE DOMICILE. - Fabrique de Pianos, Ci-devant rue de Touraine, au Marais, MM. P. BERNHARDT a l'honneur de prévenir M. les amateurs et professeurs, qu'il vient d'établir de vastes ateliers rue Saint-Maur, n°17, faubourg du Temple, et de transférer ses magasins rue du Faubourg-Poissonnière, n° 28, où l'on trouvera toujours un choix très varié de pianos droits en tous genres, carrés et autres." L'Indépendant, 02/10/1834, p. NP (gallica.bnf.fr)

"M. BERNHARTS [sic], Facteur de pianos, ci-devant rue de Touraine, au Marais, vient de transporter ses magasins de pianos faubourg Poissonnière, n. 28, et ses ateliers rue Saint-Maur-du-Temple, n. 17." Le Flâneur, 19/10/1834, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"LA MANUFACTURE DE PIANOS - De BERNARD, est actuellement rue Buffault, n° 17, où l'on y trouve un grand assortiment de Pianos en tous genres." L'Indépendant, 19/07/1838, p. NP (gallica.bnf.fr)

"BERNHARDT débute en 1824. Homme de talent et de conscience, le mérite de ses produits est bientôt apprécié. Les  amateurs, les professeurs les plus distingués remarquent principalement la vigueur sonore de ses tables de harmonie, le jeu facile de ses claviers, la perfection de ses pianos carrés, ils applaudissent aux améliorations qu'il fait au pianino vertical. Plussieurs médailles sont décernées à cet artiste; son établissement devient un des importans de la capitale." Revue de Paris, 1839, p. 34

"FACTEUR DU ROI. - Les magasins rue de Buffault, 17, faubourg Montmartre. On trouve dans cet établissement un choix de pianos de toutes formes à des prix modérés. On garantit la solidité de ces instruments auxquels d'ailleurs quinze .années d'expérience ont acquis une haute réputation.—La mème maison se charge des reparations et locations de pianos." Le Ménestrel, 18/04/1841, p. NP (gallica.bnf.fr)

"Bernhart [sic], r. St. Maur 17, faub. du Temple, et r. Buffaut, 17; M. 1827, 1834, 1839. «Cet artiste distingué occupe soixante-dix ouvriers et confectionne, chaque année, trois cents pianos de tout genre qu'il livre à des prix très-modérés. Honoré de la médaille de bronze en 1827 et en 1834 ; le jury le jugé digne d'une nouvelle récompense du même genre.» Rapp. au jury C." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1841, p. 498 (gallica.bnf.fr)

"Parmi les progrès de l'industrie, il faut citer ceux de la fabrication des pianos et compter au nombre des facteurs les plus habiles de l'époque, le nom de M. Bernhard. Fondée depuis vingt ans à Paris, sa fabrique a toujours été en bonne voie. A l'exposition de 1827, il obtint la médaille de bronze et depuis cette époque il a apporté pour sapart de grandes améliorations dans la construction des pianos. Tout le mondea admiré à Paris, à l'exposition de 1844, le piano droit verticalet le piano à queue petit format que cet habile facteur avait presentés au concours. C'est par la constance de ses efforts à toujours bien faire, etpar la bonne qualité de ses pianos, que M., BERNHARD est si bien connu du monde artistique et qu'il jouit à l'étranger d'une belle réputation. M. BERNHARD a établi un dépôt de ces beaux pianos à Amsterdam et à Rotterdam, ouses instruments, fort appréciés de nos artistes et de nos amateurs, lui ont assuré les relations les plus avantageuses." De Nederlandsche kunst-spiegel, 1845, p. 178

1839 - "L'atelier de Roller a fourni de nombreux facteurs ; MM. Boutron, Guerber, Moniot [Monniot], Thomas, Souffletto [Soufléto], Mercier, Gibaut, Bernard [Bernhardt], Mermes [Mermet], etc., etc., sont de jeunes facteurs, tous Français qui ont fait chez lui leur apprentissage ; plusieurs d'entre eux figuraient avec distinction à l'exposition." Lucas Al. Panorama de l'industrie française publié par une société d'artistes et d'industriels sous la direction de M. Al. Lucas, 1839, p. 97  - Voir ROLLER (°1808) et ROLLER & BLANCHET (°1826), sur cette page

 

Médaille de bronze Paris, 1827 | Médaille de bronze Paris, 1834 | Liste des exposants Toulouse, 1835 |  Médaille d'argent Valenciennes, 1835 | Médaille de bronze Paris, 1839 | Liste des exposants Valenciennes, 1841 | Médaille de bronze Paris, 1844

PLEYEL Camille Joseph Etienne

(1788 - 1855)

 

 

 

 

  Musée de la Musique, Paris, France

 

Pianino PLEYEL

 

 

 

 

 

 

 

1824

 

'Magasin de pianos et de musique, rue Royale, 32 à Lille (Nord), Dépôt général de la maison Pleyel & Cie, abonnement de musique' ca. 1840-50

TITRE

'Facteur du Roi et du Duc d'Orléans' (xxx1833)

Nommé chevalier de la légion d'honneur, 1834 'Croix de la Légion d'honneur', Camille Pleyel (1834) Discours du Roi, 1834, p. 16 (gallica.bnf.fr)

Piano à queue n° 1559 de 1830, Musée du piano, Limoux, France
Piano à queue ca. 1831, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
Piano à queue avant 1831, autre photo, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles
Piano à queue n° 1738 ca. 1831, Collection Ad Libitum, Etobon, France
  Piano cabinet n° 2379 ca. 1832, Cité de la Musique, Paris, France
Piano à queue n° 2369 ca. 1833, Collection Ad Libitum, Etobon
Pianino n° 2692 ca. 1833 et piano carré, Accademia Bartolomeo Cristofori, Firenze, Italie
Piano carré n° 2910 ca. 1834, Collection Gisclard, Château de Saint Bauzille, France
Pianino n° 81 (?) ca. 1829 unicorde, Musée du piano, Limoux, France
Pianino n° 3748 ca. 1835, Collection Finchcocks Musical Museum, Kent, Angleterre, U.K.
Piano à queue n° 4629 ca. 1835, Collection Ad Libitum, Etobon, France
Piano à queue ca. 1830-35, autre photo, Quartier les Hospices, Fondation Raspail, Cachan, Val de Marne, France
Piano à queue de 1835, The Keyboards Collection of Musica Kremsmünster, The castle of Kremsegg, Autriche
Piano carré n° 5078, Musée Bernard d'Agesci, Niort
, France
Piano carré n° 5289 ca. 1835, Musée du piano, Limoux
, France
Pianino ca. 1835, Collection Ad Libitum, Etobon
, France
Pianino n° 5514, Cité de la Musique, Paris, France
Piano à queue n° 5612 de 1837, Association Pleyel Chopin de Croissy, France
Pianino n° 5998, Collection Christopher Clarke, France

Piano à queue n° 6745 ca. 1838, Collection Ad Libitum, Etobon
, France
Piano à queue ca. 1838, Collection Gisclard, Château de Saint Bauzille
, France
Piano à queue
ca. 1838, Collection Gisclard, Château de Saint Bauzille
, France
Piano à queue n° 7267 de Chopin, Cité de la Musique, Paris
Pianino n° 7904, Collection Christopher Clarke
, France
Pianino n° 8144 ca. 1840, Musée du piano, Limoux
, France
Piano carré n° 8343 ca. 1840, Kolthoorn Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas

Piano à queue n° 9037 ca. 1841, Chris Maene Collection, Ruiselede, Belgique

Piano à queue n° 9038 ca. 1840, Ringve Musikkmuseum, Norvège
Piano à queue n° 9250 A ca. 1840-41, Cité de la Musique, Paris
, France
Piano à queue avant 1843, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
Pianino n° 9425 ca. 1841, Cité de la Musique, Paris
, France
Piano à queue n° 9840 ca. 1841, Collection Ad Libitum, Etobon
, France
Piano à queue n° 9861 ca. 1843, Chris Maene Collection, Ruiselede, Belgique
Piano à queue ca. 1841-42, Schweizer National Landesmuseum, Zürich, Suisse
Piano à queue ca. 1842, Collection Finchcocks Musical Museum, Kent, Angleterre, U.K.
Pianino n° 10561 ca. 1843, Museum of Fine Arts, Boston, U.S.
Piano à queue n° ? ca. 1843, Jean Haury Collection, France ?
Piano à queue ca. 1844, Rijksmuseum, Amsterdam, Pays Bas
Piano à queue ca. 1844 (Rossini), Civico Museo Bibliografico Musicale, Bologna, Italie
Piano à queue n° 11316 ca. 1845, Frederic Historic Piano Collection
, France
Piano carré ca. 1845, Collection Gisclard, Château de Saint Bauzille
, France
Piano à queue n° 12480 ca. 1845 (Chopin), Stiftelsen Musikkulturens Främjande, Stockholm, Suède
Pianino ca. 1845-50, Sverresborg Trøndelag Folkemuseum, Norvège
Piano carré n° 12769 ca. 1846, Ringve Musikmuseum, Norvège
Piano à queue n° 12792 ca. 1846, Germanisches Nationalmuseum Nuremberg, Allemagne (voir l'article 'Ein Hammerflügel ... ' chez info extra ci-dessous)

Piano à queue n° 13006 de 1846, Collection Xavier Bontemps, Bordeaux
, France
Pianino n° 13338 ca. 1846, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
Piano à queue n° 13503 de 1846, Fryderyk Chopin Institute, Varsovie, Pologne
Pianino n° 13555 ca. 1846, Fryderyk Chopin Institute, Varsovie, Pologne
Pianino n° 13837, Cité de la Musique, Paris
, France
Piano à queue n° 14743, Musée du piano, Limoux
, France
Piano à queue n° 14810 de 1848, Fryderyk Chopin Institute, Varsovie, Pologne
Pianino ca. 1849, Musik & Teatermuseet, Stockholm, Suède
Pianino ca. 1850, Aust-Agder museum og arkiv, Norvège

Piano à queue n° 17409 ca. 1852, Museo Nacional del Romanticismo, Madrid, Espagne

Pianino n° 19302 de 1853, Association Pleyel Chopin de Croissy, France

Piano à queue n° 20042 de 1854, Fryderyk Chopin Institute, Varsovie, Pologne
Pianino n° 20107, Ringve Musikkmuseum, Norvège
Pianino n° 20732 ca. 1854, Sweelinck Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas

Pianino n° 22698 ca. 1856, Geelvinck Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas

Piano carré n° 6548

"(609). Tafelklavier von J. Pleyel in Paris (die 1098 No. 6548 tragend) aus dem Besitze von Giacomo Meyerbeer, für den es als Reiseklavier mit abschraubbaren Füssen hergestellt ist. Geschenk von Frau Baronin von Korff, Tochter Meyerbeers. Elegant im Bau, Stosszungenmechanik. Schutzdecke über dem Saitenbezug, links Lager für Stimmhämmer, Schlüssel u. s. w. Auf dem Deckel Messingschild mit dem Namen „Meyerbeer“. Umfang 5 Oktaven (F-f). Ignaz Pleyel (° 1757 bei Wien † 1831) war als Componist und ausübender Musiker von grosser Berühmtheit. Nach seinem Tode führte sein Sohn Camille und nach dessen Tode (1855) Aug. Wolf die Fabrik weiter (vgl. Nr. 1206)." Führer durch die Sammlung alter Musik-Instrumente, 1892, p. 123

Camille PLEYEL
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TÊTE D'UNE FACTURE

FEUTRE

Voir la page La garniture des marteaux

INFO EXTRA

Archives historiques PLEYEL

«Pleyel, la manufacture de pianos», livre de Turgan, Cnum

«La notice d'utilisation éditée par Pleyel en 1855» (Musiques vivantes)

«Chronologie des pianos de la maison PLEYEL»

«Camille PLEYEL is dead», un article dans 'The Ladies' Compagnon', Bradbury and Evans, 1855

 «PIANINO PLEYEL» d'Olivier FADINI

«La découverte d’un piano Pleyel joué par Chopin», par Alain Kohler

«Les pianos Pleyel chez Chopin pendant sa relation avec George Sand», (part 1844-45), par Alain Kohler

«Ein Hammerflügel von Pleyel-Chopins propre son», par Ralf Ketterer, Monats Anzeiger, 11/2002, Nr. 260, p. 8-9 en ce qui concerne le piano à queue n° 12792 ca. 1846

LA SUITE

 

Paris

2 & 13, rue de la Grange Batelière (X1826)(x1827)(x1828)(arr.9)

16, boulevard Montmartre (x1826)(arr.9)

9, rue Cadet (x1828)(xxx1833)(z1835)(**1837)(*1838)(***1840)(arr.9)

Fabrique : 9, rue des Récollets (xxx1833)(z1835)(**1837)(*1838)(arr.10)

5, rue Bleue (1834)(1839)(arr.9)

37, rue de Bellefond (z1839)(arr.9)

18, rue Montholon (x1839)(x1840)(arr.9)

20, rue Roche-chouart (**1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(x1840)(***1841)(x1843)(*1846)(x1847)(*1848)(x1849)(**1852)(arr.9)

18, boulevard Montmartre (*1829)(**1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(x1840)(***1841)(**1843)(x1843)(**1845)(arr.9)

magasin : 2[22], rue de la Grange Batelière (***1840)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(arr.9)

chantier et scierie : 5bis, quai d'Austerlitz (x1847)

38, rue de Charonne (1847)(¹⁰)(arr.11)

97, rue de Richelieu (**1854)(arr.2)

22, rue Roche-chouart (*1851)(x1855)(*1861)(arr.9)

 et succursale à Lille (Nord) :

 32, rue Royale (ca. 1840-50)

1000 pianos par an en 1834 et 250 ouvriers

350 à 360 ouvriers - 1500 pianos par an en 1836

*

15.194 pianos en juin 1849

17.500 pianos en 1850

 

'Facteur de pianos' ca. 1826-61

Fils d'Ignace Pleyel (1757-1831), Joseph Etienne Camille PLEYEL est né le 18 décembre 1788 à Strasbourg. Il entre dans l'entreprise familiale en 1815, et en reprend la direction en 1824, avec l'associé KALKBRENNER (1785-1849) (Voir page BIOGRAPHIE de KALKBRENNER). Camille Pleyel non seulement continue à fabriquer et inventer de nouveaux pianos mais il se révèle également être un chef d'entreprise hors pair. L'essor de la marque débute en 1827 avec l'obtention de leur première médaille d'or attribuée à l'occasion de l'exposition nationale des produits de l'industrie.

1829 - "PLEYEL Ignace, Editeur en musique et et marchand de musique et loueur de pianos, associé, rue Cadet, n° 9. Le 14/04/1829, dans un acte sous seing privé, comportant société, entre ledit et PLEYEL Camille, son fils aîné, aussi éditeur de musique, même adresse, mais aussi KALBRENNER Frédéric, compositeur, rue Chantereine, n° 33, se sont associés et ont contracté une société en nom collectif à l'égard des deux premiers et en commandite à l'égard du troisième pour le commerce de musique et de location de pianos, société qui a commencé le 01/01/1829, sous la raison Ignace PLEYEL et Compagnie." et "PLEYEL Camille, Fabricant de pianos, rue Cadet, n° 9. Le 19/09/1829, dans un acte sous seing privé, comportant société, entre ledit et DIZI F., compositeur, rue Pigale, n° 24 et aussi KALBRENNER G.F. aussi compositeur, rue Cadet, n° 9 lesquels sesont associés dans une société pour la fabrication et la vente des harpes à double et simple mouvement, dont le siège est rue Cadet sous la raison Camille PLEYEL et Compagnie." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois ». (Archives de Paris 01/06/1829 - 30/06/1829 | AN ET-CVIII-1036)

1829 - "A N N O N C E S. - Par brevet du 31 juillet dernier, MM. Ignace Pleyel et compagnie, fabricant de pianos, à Paris, rue Cadet, n.° 9, et boulevard Montmartre, qui à l’exposition de 1827, obtinrent la médaille d’Or, ont de nommés facteurs du Roi et de sa maison." Journal, affiches, annonces et avis divers du département de la Meurthe, 25/09/1829, p. 6 (kiosque.limedia.fr)

1830 - Dans les années 1830 il créera deux salles de concerts, rue Cadet, 9, ancêtres de la future Salle PLEYEL : d'abord, à partir de 1830, un salon de cent cinquante places, puis, à partir de 1838, une salle de cinq cent places, près de la manufacture PLEYEL. En 1834, Pleyel s'associera pour fonder une nouvelle société : PLEYEL & DIZI (*1834).

1831 - "LEFEBVRE Françoise Gabrielle, marchande de pianos associée, rue des Récollets, n° 9. Veuve de PLEYEL Ignace, vivant, facteur de pianos. Le 30/12/1831, dans un acte sous seing privé entre la veuve dudit et PLEYEL Camille, son fils, rue du faubourg Poissonnière, n° 41 et aussi KALBRENNER W. Guillaume Frédéric, compositeur de musique, rue Cadet, n° 9, lesquels avaient établi une société sous seing privé le 14/1/1829 entre lesdits en nom collectif et Monsieur KALBRENNER pour la commandite, laquelle société est dissoute à compter du 14/01/1832." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

Camille entretint une forte amitié avec le pianiste-compositeur d’origine polonaise Frédéric CHOPIN (1810-1849) qui a écrit 129 compositions pour piano. La préférence de Frédéric CHOPIN pour les pianos PLEYEL est connue mais d'autres compositeurs qui furent publiés en leur temps par son père (Cramer, Moscheles, Kalkbrenner, Steibelt etc.) ont possédé un ou plusieurs PLEYEL comme le révèlent les registres de fabrication et vente de la maison PLEYEL.

1831 - "MC/ET/XXVI/1051 - 5 avril 1831 - Contrat de mariage entre Joseph-Etienne-Camille Pleyel, fabricant de pianos, demeurant rue Grange-Batelière, n°2, fils d'Ignace Pleyel, compositeur de musique, et Camille-Marie-Denise Moke, professeur de piano." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1832 - "6 décembre 1832, cession à la société veuve Ignace Pleyel, Camille Pleyel et compagnie, rue du Faubourg-Poissonnière, n° 41, à Paris." Catalogue des brevets d'invention, 01/01/1842, p. 351 (gallica.bnf.fr)

1832 - "A vendre ensemble ou séparément, le Magasin de Musique et le Fonds de Commerce de Locations de Pianos Ignace Pleyel et Compagnie, sis à Paris, rue Grange-Batelière, n. 2.
Le Bail n'expire qu'en 1837. S'adresser à Me Gondouin, notaire à Paris, rue Neuve-des-Petits Champs, n. 97." Bibliographie de la France, ou, Journal général de l'imprimerie ..., 19/05/1832, p. 281

 
1834 - Camille a été nommé Chevalier de l'Ordre Impérial de la Légion d'honneur en 13 juillet 1834 et la même année, il vendit son fonds d'éditeur musical : "Le magasin de musique de MM. Pleyel et Cie vient d'être vendu, MM. Pleyel se voueront entièrement à la fabrication de pianos. Les divers ouvrages composant se vaste fond, ont été acquis par divers éditeurs, il n'est point sans importance pour nos lecteurs de leur faire connaître les noms des maisons qui sont devenues propriétaires des ouvrages principaux." Gazette musicale de Paris, Volume 1, 1834, p. 212

PLEYEL & DE LA BRILLANTAIS (1834-40)

1834 - DE LA BRILLANTAIS MARION Louis Marie était l'associé, dès 1834 jusqu'à 1840,  de Camille PLEYEL. Voir pour la dissolution en 1840 : Gazette des Tribunaux, 27/06/1840, p. 4 (data.decalog.net) et Gazette des Tribunaux, 12/07/1840, p. 4 (data.decalog.net)

PLEYEL & PROBST (1834-39)(¹⁰)

1834 - "PLEYEL Camille, Fabricant de pianos, associé, rue Bleue, n° 5. Le 26/09/1834, dans un acte sous seing privé, comportant société entre ledit et PROBST Honoré Albert, boulevard Montmartre, n° 14 mais aussi deux commanditaires non nommés,
lesquels se sont associés dans une société en nom collectif dont l'objet est la location et la vente des pianos, laquelle n'a rien à voir avec un autre site, rue Cadet, n° 9 sous la raison Ignace PLEYEL et Compagnie." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

PLEYEL, LEFEBVRE & KALKBRENNER (1834)(¹⁰)

"PLEYEL Camille, Fabricant de pianos, associé, rue Bleue, n° 5. Le 21/10/1834, dans un acte notarié comportant société entre ledit et LEFEBVRE Françoise Gabrielle, veuve de PLEYEL Ignace, même adresse, étant au lieu que lui et KALBRUNER Guillaume Frédéric, compositeur de musique, rue Cadet, n° 9, lesquels ont contracté une société à compter du 01/07/1834, laquelle existait pour la fabrication et la vente depianos en nom collectif à l'égard de PLEYEL Ignace, remplacé par sa veuve et PLEYEL Camille son fils, et en commandite par Monsieur KALBRENNER Guillaume Frédéric sous la raison de Ignace Guillaume et Compagnie." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

Comme chacun sait, les pianos de Camille Pleyel ont connu un immense succès à travers l'Europe. A Leipzig, par exemple, Breitkopf & Härtel les ont entendu pour la première fois et en 1834, Härtel a demandé à Probst de voir un dessin de la structure des pieds en X inventée par Pleyel pour ses pianos carrés dès 1829 (Breitkopf Und Hartel in Paris, Heinrich Probst, 1990, p. 8-10) dont il s'est ensuite inspiré (comme la manufacture Erard en France) pour la facture de ses propres pianos. Sensible par ailleurs au grand succès du pianino PLEYEL  (Breitkopf Und Hartel in Paris, Heinrich Probst, 1990, p. 3), la maison Breitkopf & Härtel a diffusé dans toute l'Allemagne d'innombrables versions de ces instruments populaires pianino de 1837 de BREITKOPF & HÄRTEL (Museum für Musikinstrumente der Universität Leipzig).

1836 -  DE LA BRILLANTAIS déposait en janvier 1836 un brevet 'chevalet compensateur' pour la firme PLEYEL.

PLEYEL & PROBST (1838)(¹⁰), voir PROBST Henri Albert

1838 - "ÉTUDE DE Me AMÉDÉE LEFEBVRE, Avocat-agrée, rue Vivienne, 34. D'un acte sous signatures privées fait quadruple à Paris, le 7 janvier 1839, et enregistré en ladite ville le 12 du même mois, par Frestier, qui a reçu les droits ; Entre M. Camille PLEYEL, fabricant de pianos, demeurant à Paris, rue Bleue, 5 ci-devant, et actuellement rue Rochechouart, 20 ; M. Henri-Albert PROBST, demeurant à Paris, boulevart Montmartre, 14 ; Et deux commanditaires dénommés audit acte; Il appert : Que la société contractée sous la raison PLEYEL et Cie entre les susnommés et leurs commanditaires par acte sous seings privés en date, à Paris, du 26 septembre 1834, enregistré à Paris, le 3 octobre suivant par Gobert, qui a reçu les droits, ayant pour objet unique et spécial la location et la vente des pianos, dont le siège est à Paris, boulevart Montmartre, au rez-de-chaussée donnant sur le boulevart et au coin de la rue Grange-Batelière, 2, et dont la durée était fixée à six ans à partir du 1er juillet 1834, a été dissoute d'un commun accord dès le 1er juillet 1838; Que le sieur Camille Pleyel est nommé liquidateur de ladite société. Pour extrait conforme, Amédée LEFEBVRE." Gazette des Tribuneaux, 20/01/1839, p. 4 (data.decalog.net)

1839 - "Fabricant de pianos, associé. Ci-devant, rue Bleue, n° 5 et actuellement rue de Rochechouart, n° 20, le 07/01/1839, dans un acte sous seing privé entre ledit et PROBST Henri Albert, boulevard Montmartre, n° 4, le second, commanditaire noté à l'acte original, laquelle société créée le 26/09/1834, est dissoute à ce jour. Source : D31u3-82/Pièce 111." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois » - et - Gazette des Tribunaux, 20/01/1839, p. 4 (data.decalog.net) - Voir PROBST

1839 - "CHANGEMENT DE DOMICILE, - MANUFACTURE DE PIANOS D'IGNACE PLEYEL ET Cie. La maison IGNACE PLEYEL et Cie vient de transférer ses magasins de la rue Cadet à la RUE ROCHECHOUART, 20. — Dans ce nouvel établissement, elle a réuni à ses principaux ateliers une vaste galerie et des salons qui offriront au public tous les avantages de la centralisation et la plus grande latitude dans le choix des instrumens de cette manufacture. — Elle conserve toujours son dépôt et sa maison de location BOULEVART MONTMARTRE, 18." Gazette des Tribunaux, 03/06/1839, p. 4 (data.decalog.net)

1839 - "DE LA BRILLANTAIS Louis Marin, Fabricant de pianos, gérant, associé, à Paris. Cité le 01/03/1839, dans un acte notarié, comportant modifications de société entre ledit et KALBRENNER Frédéric ; PLEYEL Camille ; et Madame veuve de PLEYEL Ignace, disant que le premier a cessé de gérer la société qui est confiée à Monsieur PLEYEL Camille. Source : D31u3-82/Pièce 149." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois » - Voir DE LA BRILLANTAIS

1840 - "PLEYEL Camille, Fabricant de pianos, associé, rue de Rochechouart, n° 20. Cité le 22/05/1840, dans un jugement arbitral entre ledit et Monsieur MARION DE LA BRILLANTAIS, banquier, rue de Bellefonds, n° 25, qui déclare la société dissoute, mais seulement à l'égard du second; société existant entre-eux : le sieur PLEYEL Camille et KALBRENNER et la dame veuve PLEYEL. Source : D31u3-92/Pièce 1075." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois » - Voir DE LA BRILLANTAIS

1840 - "Etude de M. Durmont, agrée, rue Montmartre, 160. D'un acte sous signatures privées, fait triple à Paris, le 1er juillet 1840, enregistré audit lieu, le 9 juillet 1840, folio 72, verso, cases 1re à 4, reçu 5 fr. 50 cent., dixième compris, signé Texier, Entre M. Camille Pleyel, fabricant de pianos, demeurant à Paris, rue Rochechouart, 20; M. Guilliaume - Frédérick Kalkbrenner, compositeur de musique, demeurant à Paris, rue du Faubourg-Poissonnière, 52; Et Mme veuve Pleyel, rentière, demeurant à Paris, rue Bleue, 10; Il appert qu'il y a société de commerce entre les parties pour la fabrication, la vente et la location des pianos. Cette société est en nom collectif à l'égard de M. Camille Pleyel, et en commandité seullement à l'égard de M. Kalkbrenner et de Mme veuve Pleyel. La durée de cette société est fixée à trois ans, à partir du 1er juillet 1840. La raison est Pleyel et Cie. Le siège sera à Paris, rue Rochechouart, 20, et partout où le gérant le transporterait s'il y avait lieu. Le capital de la société est fixé à un million et sera fait de la manière suivante, savoir : 500,000 par M. Camille Pleyel. 250,000 par M. Kalkbrenner. Et 250,000 fr. par Mme veuve Pleyel. M. Camille Pleyel est seul gérant responsable de la société et aura seul la signature sociale, néanmoins il ne devra en user que pour les besoins et affaires de la société, à peine de toutes peines, depens, dommages et intérêts envers les co-associés, Pour extrait : B. Durmont." Gazette des Tribunaux, 15/07/1840, p. 4 (deca.decalog.net)

Liste des sociétaires de l'Association des artistes musiciens, 1845-53 (²⁵)

PLEYEL & KALKBRENNER (1845)(¹⁰)

1845 - "PLEYEL Camille, Facteur de pianos, rue de Rochechouart, n° 20. Cité le 30/08/1845, dans un acte sous seing privé comportant société entre ledit, gérant responsable et KALBRENNER Frédéric, compositeur de musique, rue du faubourg Poissonnière, n° 52, lui, à titre de commanditaire pour la fabrication, la vente et la location de pianos, dont le siège est à cette adresse. Source : D31u3-126/Pièce 1378." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1846 - "MC/ET/XXVI/1120 - 13 juin 1846 - 15 juin 1846 - Vente par Pierre Jean Denoyelle, négociant, demeurant 55, rue de Grenelle-Saint-Honoré, à la société Pleyel, représentée par Frédéric Guillaume Kalkbrenner, compositeur de musique, demeurant 52, rue du Faubourg-Poissonnière, et Joseph Etienne Camille Pleyel, facteur de pianos, demeurant 20, rue de Rochechouart, concernant une pièce de terre située sur la commune de Montmartre, au lieu-dit la Croix-Moreau." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

PLEYEL & GARAND (1847)(¹⁰)

1847 - "PLEYEL Camille, Fabricant de pianos, rue de Charonne, n° 38. Cité le 10/02/1847, dans un acte sous seing privé comportant société en nom collectif et en commandite sous la raison Camille PLEYEL er Compagnie dont le siège est à cette adresse, à partir de ce jour pour l'exploitation d'une fabrique de bois de placage des bois des îles et autres d'après le brevet d'invention de Monsieur GARAND et pour la vente en gros et en détail de ces bois en gros ou fabriqués entre Joseph Etienne Camille PLEYEL, facteur de pianos, rue Rochechouart, n° 20 et Florentin GARAND, négociant, rue de Charonne, n° 38, associés en nom collectif et un autre commanditaire nommé dans l'acte. Source : D31u3-140/Pièce 356." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1848 - "PLEYEL Camille, Gérant de la société de facteur de pianos, à Paris, rue de Rochechouart, n° 20. Cité le 21/12/1848, dans un acte du tribunal de commerce, comportant sentance arbitrale, entre ledit, gérant de la société sous le nom de Camille PLEYEL et Compagnie, pour l'exploitation du système de placage continu, inventé par le sieur GARAUD Florentin et BRIERE, négociant, rue Saint Martin, n° 151 ; PELTIER, même adresse ; MENNET-POSSOZ, négociant (référencé), rue du Sentier, n° 1er ; HOUZEAU-MIRIEUX négociant, rue du faubourg Montmartre, n° 41 ; DE GUER DE HERVE, négociant, rue des Petites Ecuries, n° 44 ; FROIDOT, négociant, rue de Paradis Poissonnière, n° 9 ; ARMANGAUD, rue Saint Sébastien, n° 19 ; GARAUD Sébastien, négociant, rue de Charonne, n° 38 et Monsieur FOUQUIER, clerc de notaire, demeurant à Béthune, (62) Pas de Calais, résultant d'un acte non enregistré, etc. Source : D31u3-155/Pièce n° 48 (avant n° 1652 et autres)." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1851 - Les ateliers de Pleyel, célèbre facteur de pianos, ont été détruits, en 1851, par un violent incendie (voir PLEYEL Fabrique)

1851 - "MC/RE/XXVI/25 - 15 février 1851 - Quittance, paiement d'un bois, 36000f, Eaubonne (95) Luat (le).
Intervenant 1, en première partie : Nom, qualité : (M.) Burgaud, Pierre Joseph Auguste. Profession : propriétaire. Domicile : Eaubonne (95).
Intervenant 2, en deuxième partie : Nom, qualité : (M.) Pleyel, Joseph Etienne Camille. Profession : facteur de pianos, Paris. Domicile : Paris (Paris) Rochechouart, 22." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1851 - "MC/ET/XXVI/1154 - 27 mai 1851 - Vente, bois et terre, 16000 f, Eaubonne (95) Bois du Luat. Intervenant 1, en première partie : Nom, qualité : (M.) Pleyel, Joseph Etienne Camille. Profession : facteur de pianos, Paris. Domicile : Paris (Paris) rue Rochecouart, 22.
Intervenant 2, en deuxième partie : Nom, qualité : (Mme ou Mlle) Osborn, Emma. Profession : rentiere. Domicile : Paris (Paris)  rue de la Reforme, 8." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1851 - "MC/ET/XXVI/1156 - 19 juillet 1851 - Prorogation, delai de remboursement d'emprunt, 30000f. -
Intervenant 1, en première partie : Nom, qualité : (Mme ou Mlle) Fauvelle, Emilie Francoise. Domicile : Paris (Paris) rue Charlot, 33. Relations : veuve de l'intervenant 2.
Intervenant 2, en deuxième partie : Nom, qualité : (M.) Pleyel, Joseph Etienne Camille. Profession : facteur de pianos, Paris. Domicile : Paris (Paris) rue Rochecouart, 22.
Intervenant 3, en deuxième partie : Nom, qualité : (Mme ou Mlle) Estaing D', Marie. Profession : propriétaire. Domicile : Paris (Paris) rue de la Paix, 21. Relations : veuve de l'intervenant 4.
Intervenant 4, indirect : Nom, qualité : (M.) Kalkbrenner, Frederic Guillaume.
État civil : décédé." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1855 - Camille PLEYEL décède à Paris le 4 mai 1855. Son associé Auguste WOLFF, gendre de Kalkbrenner, reprenant la compagnie PLEYEL.
Pendant la première moitié du XIXème siècle les pianos sont exportés dans plusieurs pays européens et les registres mentionnent des expéditions dans le nouveau monde, à New York et à la Nouvelle-Orléans. La manufacture Pleyel a joui d'une hégémonie sans pareil dans le monde jusqu'à nos jours. Voir (ce que vous mettez à la fin de l'entrée sur bien d'autres périodes).

1855 - "MC/ET/LXVIII/1067 - 7 mai 1855 - Dépôt judiciaire des testament et codicille de Joseph Etienne Camille Pleyel, facteur de pianos, demeurant 22, rue Rochechouart." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1855 - "MC/ET/LXVIII/1067 - 10 mai 1855 - Inventaire après décès de Joseph Etienne Camille Pleyel, facteur de pianos, demeurant 22, rue Rochechouart." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

 

Médaille d'or Paris, 1827 | Médaille d'or Paris, 1834 | Liste des exposants Toulouse, 1835 |  Médaille d'or Paris, 1839 | Médaille d'or Paris, 1844 | Médaille d'or Toulouse, 1845 |  Médaille d'or Paris, 1849 | Médaille de bronze N. Y.,  1853 | Médaille d'honneur Paris, 1855

 

HERZ Henri, Jeune

(1803 - 1888)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Piano droit sur l'Exposition de Liège 1905

 

1825

 

TITRE

'Facteur Breveté de S. M. l'Impératrice'

Dactylion ca. 1835, Cité de la Musique, Paris, France
Piano à queue n° 2105 ca. 1844, Maihaugen, Norvège
Piano à queue ca. 1845, Museo degli Strumenti Musicali, Castello Sforzesco, Milan, Italie
Piano à queue renversée ca. 1849, Casa Guevara, Espagne
The Pleshakov
Piano Museum, N.Y., U.S.
Piano à queue ca. 1860, Civico Museo Bibliografico Musicale, Bologna, Italie
Piano à queue ca. 1862, Germanisches Nationalmuseum, Allemagne
Piano à queue ca. 1866, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
Piano à queue n° 18584 ca. 1870, Cité de la Musique, Paris, France
Piano droit n° 22759 ca. 1872, Museum of Industrial History, Opatówek, Pologne
Piano à queue ca. 1900, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique

Henri HERZ
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MENDELSSOHN

"Mendelsohn en 1831 : «La journée d'avant-hier fut employée à des visites musicales, la première au grognon Cherubini, l'autre au souriant Herz. Celle-ci vaut la peine d'être racontée. Comme j'allais entrer, j'aperçois un énorme écusson portant en lettres d'or : Manufacture de pianos de Henri Herz, marchand de nouveautés et de modes. A vrai dire, il y avait deux écussons l'un sur l'autre, mais je ne m'en aperçus pas d'abord, et me précipitai dans un magasin du rez-de-chaussée, où je tombai en plein parmi les fleurs, la gaze et le tulle. J'y faisais sotte figure, et de jolies blondes se mirent à me rire au nez, quand je voulus opérer ma retraite, en demandant après le facteur de pianos. J'obtins pour-tant les renseignements demandés et parvins jusqu'à une salle où des demoiselles, munies de cahiers de musique, attendaient l'œil sévère et l'arrivée du professeur. En attendant qu'il parût, a je m'installai le dos au feu et me mis en devoir de lire les aimables comptes rendus dans lesquels vous me décrivez la manière dont vous avez célébré l'anniversaire de naissance du père. Enfin a la porte s'ouvrit, et le sourire sur les lèvres, et tout rayonnant, entra le petit Cœur. (Herzchen, diminutif de Herz, qui en allemand signifie cœur.) Il commença par donner audience à ses élèves, puis à moi-même. Nous nous fîmes réciproquement des mamours, nous nous cassâmes l'encensoir sur le nez, rappelâmes le temps passé, les bons jours d'autrefois, etc. J'avais vu sur ses pianos : Médaille d'or, Exposition de 1827, ce qui m'en imposa. J'allai de là chez Érard, où j'essayai des pianos sur lesquels je vis également : 1827, Médaille d'or. Mon respect baissait déjà. Enfin, de retour chez moi, je me dépêchai d'ouvrir mon propre piano, un piano de Pleyel, sur lequel on a lisait également : Médaille d'or Paris, 1827. J'en conclus que c'était là a pour les pianos quelque chose comme un titre de conseiller aulique chez nous pour les hommes, un titre purement honorifique et qui n'oblige à rien.» Revue nationale et étrangère, politique, scientifique et littéraire, Charpentier, 1865, p. 415 (gallica.bnf.fr) 

« C'étaient deux enseignes différentes; j'avais cru tout d'abord qu'elles ne faisaient qu'un. Tous les pianos de Herz portent : Médaille d'or, Exposition de 1827. Cela m'imposa. De là j'allai chez Érard ; tous les instruments portaient : Médaille d'or, Exposition de 1827. Je rentrai chez moi ; j'ouvris mon piano de Pleyel; j'y vis : Médaille d'or, Exposition de 1827. C'est quelque chose comme notre titre de conseiller aulique. On dit que la Chambre doit discuter prochainement la proposition suivante : Tous les Français du sexe masculin ont, dès leur naissance, le droit de porter l'ordre de la Légion d'honneur. On ne rencontre presque personne sur la rue qui n'ait un ruban à sa boutonnière »." Le Ménestrel, 08/12/1867, p. 9-10 (gallica.bnf.fr)

 

 

 

Paris

New York, U.S.

Bruxelles, Belgique

5, rue du faubourg Poissonnière (*1827)(1829)(¹⁰)(x1832)(xxx1833)(1834)(z1835)(***1836)(**1837)(***1838)(arr.9)

3, Impasse des Filles Dieu (1829)(¹⁰)(arr.2)

38, rue de la Victoire dès 1837 (*1838)(**1839)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(**1843)(x1843)(xx1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(est devenu n° 48) Salle HERZ (arr.9)

Dépôt : 20, boulevard des Italiens (y1841)(x1843)(xx1844)(**1846)(arr.9)

 48, rue de la Victoire (1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(zzz1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1883)(**1885)(**1888)(x1890)(**1898)(**1914)(arr.9)

39 bis, rue de Châteaudun (*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1883)(**1885)(**1888)(arr.9)

Ateliers : 62, rue de Saussure (**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(y1889)(xx1890) (arr.17)

2, rue Frochot (*1893)(*1895)(*1897)(arr.9)

28, rue Victor Massé dès 1891 (*1893)(1894)(*1895)(*1897)(**1898)(z1900)(arr.9)

Salle de concert : 27, rue des Petits-Hôtels (Place Lafayette) (1900)(*1902)(*1903)(**1904)(*1905)(x1906)(*1907)(**1907)(*1909)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(x1922)(arr.10)

Fabrique à St. Ouen (x1906)

Usine : 45, rue des Haies (**1914)(x1922)(arr.20), semble d'être l'adresse de HERZ PHILIPPE HENRI Neveu (°1863)

à Paris

447, Broadway (xx1848)

à New York

37, boulevard Anspach (xx1897)(B1000)

à Bruxelles, Belgique

50 ouvriers en 1834

100 à150 pianos par an 1835

45 ouvriers, 1839

400 pianos par an (**1844)

19800 (vers 1870)

39.500 (vers 1930)

 

 

 

Facteur/fabrique  de pianos droits, pianos à queue, pianos carrés, pianinos, pianolas, dactylions, orgues, harmoniums et piano-orgues ...  ca. 1827-1922 [depuis 1825 (x1906)(x1912)], et pianiste, compositeur

Henri HERZ (né le 6 janvier 1803 à Vienne et mort le 5 janvier 1888 à Paris) était un pianiste et compositeur autrichien. En 1816, il entre au Conservatoire de Paris, où il étudie la musique chez son Père et Daniel Hünten et sous la direction de Victor Dourlen et d'Antoine Reicha. HERZ a fondé sa propre usine de pianos à Paris avec KLEPFER en 1825 jusqu'à 1829. Voir KLEPFER sur la date de fondation 1821, ci-dessus.

1829 - "HERZ Henri, pianiste et compositeur, rue du faubourg Poissonnière, n° 5. Cité le 08/06/1829, dans un acte notarie comportant dissolution, entre le dit et KLEPFER Henry, facteur de pianos, même adresse, lesquels s'étaient associés depuis le 20/10/1826, comme fabricants de pianos et aussi impasse des Filles Dieu, n° 3, lesquels décident que la société est et demeure dissoute à compter de ce jour." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

Il a construit une salle de concert et enseigné au Conservatoire de Paris entre 1842 et 1874. Mais l'atelier ne survécut pas bien longtemps ; il reprit toutefois cette activité en 1851, mais cette fois en association avec un autre frère, Louis Joseph (d'autres membres de la famille ont été actifs dans la manufacture d'instruments, voir dans la colonne de gauche). En 1856, il prit sous son aile la jeune pianiste alsacienne et future compositrice Marie Jaëll, alors âgée de 10 ans.

Officier de la Légion d'honneur en 1863 (**1914)

1864 - "M. Henri Herz, officier de la Légion d'honneur, vient de recevoir le titre de fournisseur de S. M. l'Impératrice. Cette faveur est une nouvelle récompense due à la perfection des produits de sa manufacture de pianos." Le Ménestrel, 22/05/1864, p. 199 (gallica.bnf.fr)

1865 - "Un décret, dit le journal le Nord, vient d'admettre exceptionnellement comme citoyen français M. Henri Herz, qui était depuis longtemps très-réellement notre compatriote, comme professeur au Conservatoire, et officier de la Légion d'honneur, et comme l'un de nos plus célèbres facteurs de pianos." Le Ménestrelle, 12/11/1865, p. 399 (gallica.bnf.fr)

1868 - "M. Henri Herz jeune, chef de l'importante maison de pianos qui a obtenu la médaille d'or à l'Exposition universelle de 1867, vient de se marier avec Mlle Marie Husson. Le mariage a été célébré mardi dernier à l'église Saint-Pierre de Chaillot, au milieu d'un nombreux concours d'amis, qui avaient voulu témoigner par leur présence de leur sympathie pour les deux jeunes époux et leur famille." La France Musicale, 05/01/1868, p. 196 (gallica.bnf.fr)

1874 - "Vu la similitude de nom, et afin d'éviter toute confusion dans l'esprit du public, M. HENRY HERZ nous prie d'annoncer que sa fabrique de pianos, fondée en 1839, rue de la Victoire, 48, n'a absolument rien de commun avec cette incendiée, rue Marcadet." Journal officiel de la République française, 16/10/1874, p. 7055 (gallica.bnf.fr)  -  Voir HERZ Philippe-Henri Neveu et Cie (°1863).

1876 - " [...] les magasins de M. Herz ont été un instant menacés par l'incendie de la rue Taitbout, 41 bis."  Le Ménestrel, 13/02/1876, p. 86 (gallica.bnf.fr)

1888 - A la mort de Henri Herz la manufacture fut dirigée par sa veuve (Herz Henri Veuve 1889) mais en 1891 la maison est vendue à Amédée THIBOUT (°1840) et devient HERZ-THIBOUT & Cie.

HERZ Henri Vve. (1889)(x1890)

'Pianofabrikant' (xx1890)

1891 - "Nous apprenons que Mme veuve Henri Herz vient de céder sa célèbre manufacture de pianos Henri Herz à M. Amédée Thibout fils, qui se trouve déjà à la tête de l'importante maison Amédée Thibout et Cie. Par ce fait, la maison Henri Herz est transférée 28, rue Victor-Masse." Le Ménestrel, 12/07/1891, p. 224 (gallica.bnf.fr)

HERZ Henri, THIBOUT Amedée, RIMOUX & Cie, successeurs (**1898)(**1911)(**1912)(x1912)(**1913)

Propriétaires : A. THIBOUT & Cie (x1906)

1912 - En 1912 cette dernière maison est rachetée par PLEYEL : "Vendeur : Herz et Thibout et cie - Acquéreur : Pleyel, Lyon et cie - Domicile élu pour les oppositions : Dufour, notaire, 15, b. Poissonnière - Entrée en jouissance : de suite - Fonds vendu : Fabr. de pianos et droits mobiliers, 27, Petits-Hôtels." Archives commerciales de la France, 04/12/1912, p. 1634 (gallica.bnf.fr)

1913 - "MC/ET/XLVIII/1701 - Cahier des charges pour la vente de 1/6e d’un établissement industriel et commercial et des noms et marques des pianos Henri Hertz [sic] et Amédée Thibout et Cie, à la requête de Roger Rimoux, facteur de pianos, demeurant 27, rue des Petits Hôtels, et Léon Victor Grillet, négociant en ivoire, demeurant 61, rue de Bretagne. -- En présence de la société Pleyel, Lyon et Cie. La mise à prix est fixée à 15 180 francs. - À la suite : 1913, 2 avril. Procès-verbal d’adjudication au profit de Prosper Paureau, facteur de pianos, demeurant Roissy, pour la somme principale de 21 200 francs." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹) - Voir Amédée THIBOUT (°1840)

Dactylion

Brevet de 1835 :  'Dactylion' de Henri HERZ (faites attention sur les touches noires !!!) -  "Herz Henri, imagina le daclylion, instrument ayant pour but d'exercer les doigts, au moyen d'un tirage élastique dont on pouvait augmenter ou diminuer à volonté la résistance, et composé d'un certain nombre d'anneaux suspendus à des ressorts de différentes grosseurs. (B. F.)" Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

Brevet de 1843 : "724. M. Herz (H.), rue de la Victoire, 38; perfectionnements dans la construction et la fabrication des pianos. (26 octobre. — 15 ans.)" Bulletin de la Société d'encouragement pour l'Industrie Nationale quarante ..., 1844, p. 525

Brevet de 1844 : "64° Le sieur Herz (Henri), facteur de pianos, représenté à Paris, par le sieur Reynaud, demeurant rue Bleue, n° 16, auquel a été délivré, le 26 octobre dernier, iv, certificat de sa demande brevet d'invention de quinze ans, pour des perfectionnements dans la construction et la fabrication des pianos." Bulletin des lois de la République française, 01/1844, p. 306 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1849 : "Herz (Henri) présenta des instruments dont le mécanisme reposait sur le parquet du clavier; le corps sonore avec le plan des cordes qui y étaient attachées se trouvait renversé sur les marteaux." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

Brevet de 1877 : "92° La cession enregistrée au secrétariat général de la préfecture de département de la Seine, le 8 mai 1877, faite, suivant acte en date du 13 avril de la même année, au sieur Henri Herz, fabricant de pianos, demeurant à Paris, rue de la Victoire, n°48, par le sieur Caldera, du brevet d'invention de quinze ans qu'il a pris le 1er septembre 1875, pour un perfectionnement apporté au moteur et aux organes qui constituent l'instrument musical dit mélopiano Caldera." Bulletin des lois de la République française, 07/1877, p. 993 (gallica.bnf.fr)

Pour voir le brevet original
voyez le site
INPI
(¹³)

DOCUMENTATION

"Lorsqu'au milieu de ses succès d'artiste de M. HERZ voulut devenir facteur de pianos, il eut de grands efforts à faire pour y parvenir, et apporta une extrème ardeur, à son tardif apprentissage. Il fonda d'bord avec Klepfer :  LA FABRIQUE DE PIANOS À SEPT OCTAVES, dont il prit seul ensuite la direction. Il a ouvert à Paris une grande salle de concerts qui porte son nom." Dictionnaire universel des contemporains: contenant toutes les personnes notables de la France et des pays étrangers, Gustave Vapereau, L. Hachette, 1858 - Voir KLEPFER et salle de concerts

TOUS LES HERZ

Il existe un Jacques Simon HERZ, c'était son frère aîné, et Philippe Charles HERZ, et Louis Joseph HERZ, frères, et tous les trois aussi facteurs de pianos et HERZ Philippe-Henri Neveu & Cie (°1863), facteur de pianos.

ATTENTION : Il existe aussi un H. HERTZ avec un 't' et un HERDZ avec un 'd'.

INFO EXTRA

Mes voyages en Amérique, Henri Herz, 1866 (gallica.bnf.fr)

Les Pianistes célèbres : Henri HERZ, dans Le Ménestrel, 17/12/1876, p. 19-21 (gallica.bnf.fr)

Henri Herz et sa manufacture de pianos, Claude Jacquin, 1980, 179 pages

Cataloque Henri HERZ 1905 et autres infos et photos chez Pianos Esther

 

 

Mention honorable Paris, 1839 | Médaille d'or Paris, 1844 |  Médaille d'or exposition 1848 | Médaille d'argent Paris, 1849 | Mention honorable Londres, 1851 |  Grande médaille d'honneur, Paris 1855 | Diplôme d'honneur en or Besancon, 1860 | Dipôme d'honneur Metz, 1861 | Diplôme d'honneur Nantes, 1861 | Prize medal, Londres 1862 | Hors concours, Bayonne 1864 | Médaille d'honneur Porto, 1865 | Médaille d'honneur Bordeaux, 1865 | Hors concours, Paris 1867 | Liste des exposants Le Havre, 1868 |  Médaille d'excellence Amsterdam, 1869 | Hors concours Lyon, 1872 | Hors concours Vienne, 1873 | Diplôme d'Honneur
Medaille d'or - Rappel 1878 | Croix d'officier de la Légion d'honneur, etc.
| Deux médailles Melbourne, 1882 | Médaille d'honneur, Paris 1885 | Médaille d'or Barcelone, 1888 | Médaille d'or Paris, 1889 | Hors Concours Marseille, 1889 | Hors Concours Chicago, 1893 | Diplôme d'honneur Anvers 1894 | Hors concours Paris, 1900 | Grand prix Liège, 1905 | Grand prix Bruxelles, 1910 | Grand prix Turin, 1911


LAUSSEDAT Charles

(1805 - 1881)

 

 

Tête d'une lettre de 1887

 

1825  

Brevet de 1853 : 'Piano vertical', fait par Stodart, à Londres, en 1795, et par LAUSSEDAT, à Clermont-Ferrand, in 1853. Dictionnaire des instruments de musique, Jacquot, 1886  -  "345° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 15 octobre 1853, au secrétariat de la préfecture du département du Puy-de-Dôme, par le sieur Laussedat (Jean-Baptiste), à Clermont-Ferrand, pour un piano vertical." Bulletin des lois de la République française, 01/1855, p. 1049 (gallica.bnf.fr)

CARTE POSTALE

 

Cler-mont-Ferrand rue Domat (**1837)(y1852)(y1855)

ateliers : 15, rue Massillon (**1837)

13, rue Massillon (xx1890)

15, rue Massillon (*1875)(*1876)(*1903)

8, Boulevard Desaix  (*1903)(*1906)(*1909)(*1913)(*1922)

 

'Facteur de pianos et d'orgues', 'marchand luthier', et éditeur de musique ca. 1837-1922.

La famille Laussédat est originaire de Riom.

LAUSSEDAT Fils (1853) ou Jean-Baptiste

LAUSSEDAT & Fils Aîné (1866)(*1876) - Il possèdait une succursale à Vichy.

LAUSSEDAT (xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)

'Musikal.- u. Pianohandlung' (xx1890)

Repris par AURAND-WIRTH (°1830), comme succursale d'AURAND-WIRTH de Lyon déjà avant 1901. (*1903).

Puis AURAND & BOHL de Lyon, comme succursale (*1905)

En 1906 succèdé par MARQUIS (*1906).

Et plus tard par Charles PERRETIERE qui faisait des pianos sous son propre nom. (*1913)

"Laussedat, fact. d'instr., luthier du th. et de là garnison, tient assort, de p., orgues, h. et autres instr., march. de mus., dép. de la Lib. mutic., rue Domat, ateliers rue Massillon." Almanach du commerce de Paris..., 1837, p. 170-172 (gallica.bnf.fr)

"M. LAUSSEDAT, luthier, poteries céramiques, incrustations de Saint-Nectaire, rue Domat." Le vrai Guide de Clermont-Ferrand et de ses environs, 1852, p. 22  et  Guide pittoresque du voyageur à Clermont, 1855, p. 24 (gallica.bnf.fr)

 

 

WETZELS Jean Guillaume Joseph

(1788 – 1858)

 

 

Piano à queue de 1827, Collection Maxime Schleyer, Allemagne

 

 

 

 

 

 

 

?

1825

?

 

Piano à queue de 1827, Collection Maxime Schleyer, Allemagne
Piano carré n° 656 ca. 1839, Kolthoorn Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas

Brevet de 1826 : "Invention du pupître improvisateur. - Avant d'expliquer le mécanisme bien simple de cet instrument, nous devons dire qu'il a été depuis longtemps l'objet de nos recherches. A la fin de 1825, nous avons déposé au secrétariat de l'Institut une lettre cachetée renfermant la description d'un mécanisme destiné à noter l'improvisation sur le piano et dont nous avons confié l'exécution, en 1826, à M. Wetzels, l'un de nos plus habiles facteurs." Méthode d'improvisation musicale : Théorique et pratique, François A. Keller, 1839, p. 95

Brevet de 1833 : "Wetzels, apporta quelques modifications dans la disposition des marteaux; par un nouveau mécanisme simplifiant le système, il remplaçait plusieurs pièces, telles que les barres, les vis de rappel, les attrapes et les ressorts métalliques. Les pièces se trouvaient réduites à la touche, l'échappement et l'étouffoir. Ces pièces n'agissaient plus que par la combinaison de leur poids respectif et de leur engrenage. (B. F.)" Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861  - "A M. WETZELS (J.), rue des Petits-Augustins n. 9, à Paris, un brevet d'invention de cinq ans, pour un système de jeu de marteaux sans ressorts, applicable aux pianos. (Du 20 décembre.)" Archives des découvertes et des inventions nouvelles faites dans les sciences, les arts et les manufactures, 1833 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1838 :  "Piano mélographe, plusieurs facteurs construisirent des instruments de ce genre : Masera, en 1823; PAPE, en 1826; Baudoin, en 1827; Miles Berry, en 1836; Charreyre, en 1837; WETZELS, en 1838." Dictionnaire des instruments de musique, Jacquot, 1886

Pour voir le brevet original
voyez le site
INPI (¹³)

PARIS - "Pianos d'un travail extrèmement soigné." Histoire de l'Exposition des produits de l'industrie française en 1827, Adolphe-Jérôme Blanqui, A la Librairie du commerce, chez Renard, 1827

PARIS - "M. Wetzels, à Paris, quai Malaquais. Pour pianos présentant un moyen simple de régler l'échappement." Rapport du Jury Central sur les Produits de l'Industrie Française, 1827 (1828), p. 395

PARIS - "1517 (984). Nous terminerons enfin, avec satisfaction, notre article, par un facteur qui a eu plus que les honneurs du concours. C'est M. Wetzels rue des Petits-Augustins, n° 9, à Paris. Il exposait quatre pianos, un à queue, deux carrés et un vertical. Un des carrés avait son mécanisme en dessus du plan des cordes. M. Wetzels occupe cinquante ouvriers et fabrique près de 250 pianos par an. Le jury a décidé qu’il méritait le rappel de la médaille de bronze, qui lui fut décernée en 1827. Il fournit, au gré des acheteurs, et dans les formes et dimensions qu’ils ont déterminées par avance, le piano-orchestre qui remplace avec beaucoup de supériorité le grand piano carré et le piano à queue, et qui, soit pour l'usage des concerts, soit pour les chapelles particulières des maisons religieuses et d’éducation, soit pour les petits édifices consacrés au culte, peut suppléer l'orgue avantageusement." Le musée artistique et industriel : exposition 1834, p. 201-202

VOIR AUSSI ...

... un autre WETZELS à Paris, son neveu, avait fondé sa maison en 1850 et un Martin WETZEL à Strasbourg.

INFO EXTRA

généalogique

 

Paris Ateliers et salons : 15, Quai Malaquais (x1825)(x1827)(x1828)(*1829)(x1829)(xxx1833)  (arr.6)

magasin : 9, rue des Petits-Augustins (***1833)(1834)(*1835)(z1835)(**1837)(*1838)(**1839)(x1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(**1843)(**1844)(xx1844)(**1845)(*1846)(**1846)(x1847)(*1848)(arr.6)

7-9, rue des Petits-Augustins (xx1839)(arr.6)

5, rue du Maine (x1841)(arr.14)

8, avenue du Maine (**1846)(arr.15)

Magasin : 7 & [9], rue des Petits-Augustins (x1849)(*1850)(*1851)(**1852)(arr.6)

ateliers : 18, Impasse du Maine (x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(**1852)(**1854)(xxx1855)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(**1864)(*1875)(*1876)(**1881)(**1888)(arr.14)

7, rue Bonaparte (yy1851)(**1854)(z1855)(xx1856)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(x1867)(*1875)(*1876)(**1881)(**1888)(*1891)(arr.6)

 

En 1834, 50 ouvriers et fabrique par an 250 pianos

 

 

En 1844, il a producé 100 pianos par an par 30 ouvriers. (**1844)

 

 

'Facteur de pianos' carrés et pianinos, pianos transatlantiques, pianos à queue ca. 1825-91

Il était marié avec Marie Joséphine FRESON (1791-1861).

Il avait trois enfants (¹⁰). Ou un site mentionne qu'il a eu quatre fils et sept filles. Voir généalogique

Et il avait un beau-frère et élève, FRESON, dès 1825 facteur de pianos et luthier à Orleans.

WETZELS Fils (x1828)(1832)

WETZELS J. G. J. (Jean-Guillaume-Joseph)(1834)(1851)(1855)

WETZELS Guillaume (*1859)(1862)

SES SUCCESSEURS

WETZELS Amédée (xx1858)(*1876)(1878)(**1888)

WETZELS-ESBIN (*1891)


(la suite)

PARIS - "M. Wetzels a exposé deux pianos, dont un à queue, l'autre en forme verticale. Un troisième, que le temps n'avait pas permis d'achever, n'a pu être apporté qu'au Louvre pour les ou mettre au jugement du jury. Nous ignorons, si c'est celui-ci qui a valu à son auteur le rappel de la médaille d'argent mais nous dirons qu'il est pourvu d'une nouvelle mécanique, pour laquelle M. Wetzels a pris un brevet d'invention. Les marteaux frappent en dessus et se relèvent sans le secours de ressorts. M. Wetzels s'occupe dans ce moment d'y mettre la dernière main, et nous nous proposons d'examiner plus tard cet instrument, quand il sera complètement fini. Le piano à queue exposé était d'une bonne facture, mais il était éclipsé par son voisin de forme verticale. Celui-ci, d'un extérieur volumineux, se distinguait par la puissance du son, et c'est ce qui avait engagé M. Wetzels à lui donner un nom particulier que nous ne saurions approuver. Le prospectus annonçait un piano-orchestre, nom qui devait nécessairement induire en erreur les personnes qui le lisaient. Car on devait s'attendre à voir un piano organisé, imitant plusieurs instrumens; ou enfin représentant en quelque sorte un orchestre; tandis que c'était tout bonnement un piano (magnifique, il est vrai,) et que le nom, dans l'intention du constructeur, n'exprimait qu'une force de son capable de lutter contre tout un orchestre. A part, la critique du mot, l'instrument ne mérite que des éloges. En général, M. Wetzels se distingue par ce zèle pour l'art, qui est un sûr garant de progrès." Gazette musicale de Paris, Volume 1, 1834

PARIS - "M. WETZELS, à Paris, rue des Petits Augustins, n° 9. -Il expose quatre pianos, un à queue, deux carrés, un vertical. Parmi les pianos carrés, il en est un dont le mécanisme est en dessus du plan des cordes. M. Wetzels occupe 50 ouvriers et fabrique par an, 250 pianos, dont les prix sont très-modérés. Il mérite le rappel de la médaille de bronze qu'il obtint en 1827." Rapport du jury central sur les produits de l'industrie française exposés en 1834, Charles Dupin, p. 290 

PARIS - "En 1838, M. Wetzels, facteur de pianos, à Paris, s'occupa d'un instrument qui, disait-on, ne devait plus de rien à désirer. Il devait figurer à l'Exposition de l'année suivante, mais il n'y parut pas." Rapports du jury mixte international, Volume 2, Napoléon Joseph Charles Paul Bonaparte, 1839, p. 702

PARIS - "RAPPEL DE MÉDAILLE DE BRONZE. - M. Wetzel, rue des Petits-Augustins, 9. - Il fabrique des pianos de tous genres qu'il livre à des prix très-modérés. Honoré en 1827 d'une médaille de bronze qui lui fut rappelée en 1834, le jury lui accorde de nouveau le rappel de cette distinction." Rapport du Jury Central, Exposition, des produits de l'Industrie Française en 1839, M. Savart, rapporteur, 1839, p. 340

PARIS - "M. WETZELS, à Paris, rue des Petits-Augustins, 9. - M. Wetzels fabrique cent pianos par an et occupe trente ouvriers. Honoré en 1827 d'une médaille de bronze qui lui fut rappelée en 1834 et en 1839, le jury lui accorde de nouveau le rappel de cette distinction." Rapport du Jury central ..., Paris Jury central, Imprimerie de Fain et Thunot, 1844, p. 540

 COURS D'ACCORD DE PIANOS.

1833 - "Un cours d'accord de pianos doit s'ouvrir prochainement dans les salons du facteur distingué Wetzel, rue des Petits-Augustins n° 9, ci-devant quai Malaquais n° 15. Nous croyons rendre service à nos lecteurs en le leur apprenant. La science d'accorder les pianos est restée jusqu'ici, on ne sait trop pourquoi le domaine exclusif d'un certain nombre de personnes connues sous le nom d'accordeurs, tandis que les autres instrumens sont accordés par ceux qui en jouent ; or, à la campagne, ou même à la ville, a-t-on toujours à sa disposition un secours étranger ?
Qu'une société se réunisse pour danser, qu'un concert de famille s'organise, faudra-t-il attendre l'arrivée de l'accordeur, ou si on ne le trouve pas, renoncer au plaisir que L'on s'était promit ? Voilà pour les résultats que doit donner le cours, mais l'enseignement même dont il se composera ne saurait manquer d'être très profitable aux auditeurs. Aussi raisonné que pratique il les initiera à la science la plus intime du tempérament et ne sera pas, comme on pourrait le supposer, une étude sèche et machinale. Faut-il le dire r les accordeurs de profession eux-mêmes, dont la plupart n'opèrent que d'après une heureuse organisation musicale et une longue habitude, pourront désormais asseoir leur pratique sur une méthode suivie et raisonnée. Enfin la certitude étant acquise pour chacun, mçme pour de jeunes élèves de pouvoir entretenir leur piano dans un accord pariait, il en résultera une influence directe et singulièrement heureuse sur la perfectibilité de leurs organes par l'habitude de n'entendre que des sons agréables par leur justesse. Nous indiquerons plus tard l'époque de l'ouverture de ce cours eL les conditions; nous ajouterons seulement qu'il sera fait par un professeur de musique, M. Montal, ancien répétiteur à l'institution des jeunes aveugles, accordeur de pianos de plusieurs établissemens et MM. Adam Zimmermann, Laurent et Gobelin, professeurs au Conservatoire de musique, et de MM. H. P. Schomk, F. Hiller.
Ce qui augmentera l'intérêt, sans diminuer la confiance après les noms que nous avons cités, c'est que ec professeur est aveugle des sa plus tendre enfance." Gazette des théâtres : journal des comédiens, 31/01/1833, p. 6 (gallica.bnf.fr)

 

 

Médaille de bronze Paris, 1827 | Médaille de bronze Paris, 1834 | Médaille de bronze Paris, 1839 | Médaille de bronze Paris, 1844 | Liste des exposants Paris, 1855

BARUTH François-Claude

 

 

1826  

LYON - "A côté de ces instruments, sur lesquels d'habiles artistes se sont fait entendre plusieurs fois avec un grand succès, nous croyons pouvoir signaler encore ceux de M. Baruth, de Lyon : pianos à queue et pianos droits à cordes obliques, d'une excellente facture. Nous rangerons également au nombre des maisons connues pour leur bonne fabrication, MM. E. Bellet et Cie de Paris, Gruner et Maroky de Lyon." Expo Lyon - Journal officiel de la République française, 18/11/1872, p. 7091 (gallica.bnf.fr)

VIENNE - "2. Baruth in Lyon hatte exponiert : einen geradsaitigen Flügel mit eigener patentierter Mechanik, welche jedoch den Anforderungen der Jetztzeit nicht entspricht, ein schrägsaitiges Pianino von netter Gestalt, und ein Pianoquatuor mit Geigenclavierconstruction." Musikalische Instrumente, [Expo Vienne], Oscar Paul, 1874, p. 71

PARIS - "Pianos droits genre PLEYEL, où se reconnaît la main de facteurs expérimentés. Pianos d'un travail soigné; barre d'étouffoir pour donner au son plus d'essor; double table d'harmonie, ce qui n'est pas d'ailleurs un nouveauté." Rapport sur les instruments de musiques à l'exposition universelle de 1878, Chouquet

PARIS - "BARUTH. - France. - Pianos droits; sons homogènes, travail soigné." Chouquet, Rapport sur les instruments de musiques à l'exposition universelle de 1878

PARIS - "M. BARUTH, de Lyon, exposait deux pianos consciencieusement établis, soignés dans tout le mécanisme et d'une qualité de son satisfaisante." Rapports du Jury international, part 2, 1878

PARIS - "13. BARUTH (François-Claude), à Lyon (Rhône), place de la Bourse, 3. — Piano droit et piano à queue." Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, p. 2 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "10. Baruth (François), à Lyon (Rhône), rue Grenette, 9. — Pianos à queue et piano droit." Catalogue général officiel. Tome troisième, Groupe III : instruments et procédés généraux des lettres, des sciences et des arts : classes 11 à 18, 1900, p. 514 (archive.org) 

 

Lyon 2[bis], rue Saint-Côme (x1835)(xxx1838)(***1843)(xx1843)(*1850)(x1858)

16rue Centrale (yy1855)

16, rue Saint-Pierre (XX1857)(**1860)

8, rue Saint-Pierre (z1862)(***1863)(xx1867)(**1868)

9, rue Saint-Côme (*1868)(**1869)

4, Place de la Miséricorde (1872)(1879)

4, rue des Auges (*1875)(*1876)

Ateliers : 221, Cours Lafayette et 61, rue Jokerman (1885)

Magasin : 3, Place de la Bourse (1884)(1885)(**1888)(xx1889)(x1890)(xx1890)(*1893)

124, rue de la République (*1894)(*1896)

24, rue de la République (**1894)(*1895)(*1896)(*1897)

9, rue Grenette (*1898)(***1900)(*1902)

Fabrique : 271, cours Lafayette (x1906)(x1912)

74, rue de l'Hôtel-de-Ville (*1903)(*1905)(*1906)(*1907)(*1909)(*1913)(**1921)(*1922)

14, rue de l'Hôtel-de-Ville (x1912)

10, rue Constatine (2010)

 

'Facteur de pianos' droits et pianos à queue ca. 1835-2010

BARUTH Rodolphe (x1835)(yyy1838)(xx1843)(x1858), facteur de pianos

BARUTH François C[laude] (x1890)(xx1890)(**1894)(x1906)

'Pianofabrik' (xx1890)

'Piano-Fabrik u. Harmonium-Handlung' (x1906)(x1912)

Brevet de 1879 : "127,894. Brevet de quinze ans, 21 décembre 1878; Baruth, place de la Miséricorde, n° 4, à Lyon (Rhône). Perfectionnements au mécanisme des pianos à queue." Bulletin des lois de la République française, 07/1879, p. 1002 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1884 : "159,608. Brevet de quinze ans, 4 janvier 1884; Baruth, représenté par Lépinette et Rabilloud, avenue de Saxe, n° 66, à Lyon (Rhône). Perfectionnements aux mécanismes de pianos." Bulletin des lois de la République française, 01/1885, p. 361 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1884 : "165,109. Brevet de quinze ans, 29 octobre 1884; Baruth, place de la Bourse, n° 3, à Lyon. Perfectionnement aux agrafes de pianos." Bulletin des lois de la République française, 07/1885, p. 954 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1888 : "192,008. Brevet de quinze ans, 26 juillet 1888; Baruth, place de la Bourse, n° 3, à Lyon. Perfectionnement au mécanisme des pianos à queue." Bulletin des lois de la République française, 07/1888, p. 1063 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1894 : "238,906. Brevet de quinze ans, 1 juin 1894; Baruth, rue de la République, n°24, à Lyon. Perfectionnement au mécanisme des pianos droits, obliques et cordes croisées." Bulletin des lois de la République française, 01/1896, p. 510 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1900 : "299,473. Brevet de quinze ans, 18 avril 1900; Baruth, rue Grenette, n° 9, à Lyon. Perfectionnements au mécanisme des pianos à queue." Bulletin des lois de la République française, 01/1902, p. 871 (gallica.bnf.fr)

1850 - "Hier, 4 du courant, à huit heures du matin, un commencement d'incendie s'est déclaré chez M. Baruth, facteur de pianos, impasse de la rue Lanterne, 21. Mais, grâce à de pomps secours, le feu qui avait pris dans des caisses de déballage remplies de paille, n'a pu s'entendre plus loin; aussi tout s'est borné à deux ou trois caisses brûlées." Le salut Public, Journal de Lyon, 05/01/1850, p. 3

TÊTE D'UNE FACTURE

 

Médaille d'argent Lyon, 1872 | Diplôme de mérite Vienne, 1873 | Médaille de bronze Paris, 1878 | Médaille d'argent Paris, 1889 | Diplôme de médaille d'or Lyon, 1894 | Médaille d'argent Paris, 1900

 

CASPERS Pierre Nicolas

(1800 - ?)(¹²)

 

 

1826  

Photo : Claude Germain - © Musée de la Musique - Paris

Piano droit ca. 1840, sa signature, Cité de la Musique, Paris, France

PARIS - "CASPERS et fils jeune, à Paris, r. St-Claude, 1.- Piano vertical." Quinze visites musicales à l'Exposition universelle de 1855, p. 210

NÎMES - "281 CASPERS Fils, id. (570), deux Pianos verticaux." Exposition de l'industrie : livret, Exposition. Nîmes. 1863, p. 51 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1856 :  "Perfectionnement à la construction des pianos."

"Location de Pianos. Maison spéciale Caspers, 1, r. St-Claude (Marais)." La Presse, 23/12/1866, p. 3 (gallica.bnf.fr)

"Aan het fransche Piano-Magazijn, het eenigste van de Firma DE PROUW, Gravenstraat, 275, achter de Nieuwe Kerk, Amsterdam, is eene nieuwe soort van PIANINO uit de groote fabriek van de HH. CASPERS, te Parijs, ontvangen, waarvan de toon zóó kolossaal is, dat men zou meenen, eene Piano à queue voor zich te hebben, zoodat deze Pianino de duurste soort verreweg in sterkte van toon overtreft. De prijs is echter maar ƒ 460. De bouw is keurig, echt palissander, 7 octaaf, 3 snarig, mecaniek Rohden. Zilveren medaille. Garantie 6 jaren, op zegel. De kist er bij." Opregte Haarlemsche Courant, 28/09/1866, p. 1 (delpher.nl)

"Caspers (E.) fils, ex-professeur à l'institution des jeunes aveugles maison spéciale de locations, ventes, échangés, réparations et accords, Faub.-St.Honoré, 79." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1880, p. 1589 (gallica.bnf.fr)

'L'accord du Piano mis à la portée de tout le monde', Caspers Emile, 1866

 

Saint-
Germain en Laye

Saint-
Germain sur Morin

Paris

MAISON PRINCIPALE : 1, rue Saint-Claude au Marais (a) (***1836)(*1837)(xx1839)(yy1839)(**1840)(***1841)(*1842)(**1843)(**1844)(**1845)(*1848)(x1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(***1855)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(***1863)(**1864)(yy1864)(**1866)(**1870)(**1871)(a)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(*1885)(**1885)(1886)(arr.3)

204, rue de Rivoli (**1864)(arr.4)

Boulevard des Filles du Calvaire (?)(arr.3)(¹)

2, passage Saint-Sébastien (a)(**1886)(**1888)(arr.11)

47, rue de Berri (b)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1881)(arr.8)

71, rue du Faubourg Saint-Honoré (b)(xx1890)(arr.8)

79, rue du Faubourg Saint-Honoré (b)(**1880)(**1883)(**1884)(**1886)(**1888)(y1889)(x1890)(*1893)(**1898)(**1899)(z1900)(z1902)(**1903)(**1904)(arr.8)

28, rue Matignon (b)(z1900)(z1902)(arr.8)

à Paris

SUCCURSALE : 3+10, rue de Pontoise (**1898)(arr.5)

2, rue de Pontoise (*1913)(arr.5)

SUCCURSALE :  3, rue de Pontoise (**1903)(**1905)(x1906)(*1909)(*1910)(x1912)(**1921)(arr.5)

à St. Germain en Laye

à Saint-
Germain sur Morin

 

 

 

Facteur de pianos réputé, accordeur à la Cour de Charles X ca. 1836-1921 [depuis 1826 (x1906)(x1912)]

Pierre Nicolas CASPERS est né à Venloo, en Hollande, le 6 décembre 1800. (¹²)

Avec ROGEZ (°1834), il fut l'un des premiers en France à fabriquer des pianos avec un clavier basculant.

CASPERS Pierre Nicolas, Facteur de pianos s'est marié avec BECKERS Sophie Françoise, voir l'acte (nl.geneanet.org)

Il demandera sa naturalisation en 1846 :

1846 - "BB/11/508, Dossier n°1662 X4 - CASPERS, Pierre Nicolas. Né(e) le 06 décembre 1800 [15 frimaire an IX] à Venloo (Hollande). Qualité : facteur de pianos. Objet : naturalisation [certificat de non-naturalisation]. Ouverture du dossier : 02 février 1846." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

Son fils, Henri Caspers (³³), devint compositeur mais d'autres enfants et petits-enfants continueront son activité jusqu'à la fin du siècle. On trouve également dans l'Agenda Musical la mention de deux accordeurs répondant au nom de CASPERS, rue St. Claude, en particulier au n°1. et un "accordeur de la maison Herz, tient magasin de pianos, r. vieille du Temple, 134." en 1836. Voir en bas de la page les sources suivantes : (***1836)(**1840)(***1841)

SES SUCCESSEURS

CASPERS & Fils Jeune (x1851)(yy1851)(1855)(xx1857)

CASPERS & Fils [jeune](xx1858)(*1859)(xx1860)

1859 - "CASPERS Emile Guillaume Hubert, Facteur de pianos, rue Saint Claude au Marais, n° 1er à Paris VIIIe. Epoux de LEBON Madeleine. Cité lors du mariage dudit, le 17/12/1859 à Paris VIIIe. Autres : CASPERS Pierre Nicolas, facteur de pianos et BECKER Françoise Sophie, ses père et mère, adresse susdite. Sources : Archives de Paris/Etat civil reconstitué/V2E/NOMDEDEU Daniel." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

CASPERS Père & Fils (***1863)

CASPERS Fils (y1863)

CASPERS Frères (**1864)

CASPERS E. [depuis 1866 (*1913)] = CASPERS Emile jeune

CASPERS Henri Ainé (a)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)

et CASPERS Louis Henri Jean - CASPERS Henri et fils Aîné dès 1885; (*1885)(**1888)

CASPERS Emile (b)(**1871)(**1873)

CASPERS Emile Fils (b)(*1875)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(*1893)

1885 - "Du 1er au 30 novembre 1885 - Sociétés en nom collectif [...] 1076. 25 oct. Henri Caspers et fils aîné, pianos, 86, rue Amelot et 2, passage St-Sébastien (P. A. 6 nov.)." Journal des sociétés civiles et commerciales, 11/1885, p. 116 (gallica.bnf.fr)

CASPERS Henri & Fils Aîné (1885)

1885 - "Formations de Sociétés - Caspers (Henri) et fils aîné. — Fab. de pianos. — 10 ans. — 10.000 fr. — Paris." Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 30/12/1885, p. 9 (gallica.bnf.fr)

1885 - "Déclarations de faillites - Caspers (Louis-Henri-Jean). — Facteur de pianos. — 11 déc. 1885. — Paris."
Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 30/12/1885, p. 114 (gallica.bnf.fr)

CASPERS Louis Henri Jean (x1885)

1886 - Clôture de faillite pour insufisance d'actif (Archives commerciales de la France, 03/07/1886, p. 821 (gallica.bnf.fr))

1886 - "Séparation de biens - Paris. - M. CASPERS (Louis-Henri-Jean), facteur de pianos, rue St-Claude, 1, et sa femme née GOUGET-DESFONTAINES. —Jug. du 2 août 1886. — A. P." Archives commerciales de la France, 18/08/1886, p. 1028 (gallica.bnf.fr)

CASPERS [E.] Jeune (b)(y1889)(x1890)(xx1890) - 'Pianohandlung' (xx1890)

CASPERS P[ierre] (**1903)(**1905)(x1906)(*1909)(*1913)

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906)

'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums, Musikinstr. u. Saiten' (x1912)

CASPERS E. (**1921)

CASPERS, Paris & J. PASK and Co London, Angleterre, U.K. (?)

 

Liste des exposants Paris, 1844 | Grande Médaille, 1846 ? | Liste des exposants Paris, 1855 | Liste des exposants Nîmes, 1863

ENDRÈS Jean-Jacques, fils aîné

(1797 - ?)(¹²)(³¹)

1826

Piano carré n° 381 ca. 1826, Vleeshuis, Anvers, Belgique

"M. Endres, pour pianos dont l'échappement est indépendant de la touche." (Voyez Pontécoulant, Organographie 1861)

PARIS - "M. Endrès, rue Sainte-Croix, n. 8, Chaussée-d'Antin, a exposé, sous le n. 988, un piano à nouvel échappement, qui diffère de ceux de ses concurrens par les dispositions suivantes: 1° on peut enlever et replacer les touches sans déplacer le clavier; 2° on fixe l'échappement et on le règle ainsi à volonté; 3° on peut également régler le clavier sans déranger l'aplomb des échappemens. L'on voit que, par ces dispositions, M. Endrès a cherché à rendre l'échappement indépendant. Ce travail nous paraît un perfectionnement très utile dans le mécanisme du clavier; mais il ne porte, comme l'on voit, sur aucune des qualités du son, et ne peut, par conséquent, être utile qu'aux accordeurs et aux facteurs." Journal des artistes, 01/07/1827, p. 576 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "Une belle et utile émulation s'est emparée cette année des facteurs d'instrumens il en est résulté pour les exécutans un bien grand avantage c'est que, parmi une foule d'inventions appliquées à leur perfectionnement, il en est quelques-unes assez heureuses pour faire tirer une infinité de ressources nouvelles de tel instrument, et parer aux inconvéniens qu'on pouvait reprocher à tel autre; c'est surtout la facture des pianos qui a fait des progrès vraiment remarquables dans les mains d'habiles artistes, au nombre desquels il serait injuste de ne pas citer M. Endrès, facteur de pianos, rue Sainte-Croix, n. 10 (Chaussée-d'Antin). L'ingéniéux échappement de son invention procure un grand nombre d'avantages grâce à lui, l'échappement devenant indépendant de la touche, on peut retirer et remettre celleci sans sortir le clavier; on n'a point à craindre que les échappemens perdent de leur aplomb quand on veut régler également le clavier. (la suite )

VOIR AUSSI ...

... autres avec le nom ENDRES.

 

Paris 12, rue Saint-Nicolas d'Antin (**1824)(arr.9)

8, rue Neuve-Sainte-Croix (1826)(1827)(*1828)(x1828)(*1829)(x1829)(arr.9)

10, rue Sainte-Croix (Chaussée-d'Antin)(**1827)(arr.9)

8, rue Sainte-Croix-d'Antin (*1832)(arr.9)

45, rue Neuve des Mathurins (1834)(***1836)(*1837)(1842)(¹⁰)(arr.9)

30 bis, rue Neuve des Mathurins (***1836, volume 2)(arr.9)

23, rue d'Arcade (x1839)(x1840)(arr.8)

16, rue de la Pépinière (1839)(*1842)(**1843)(arr.8)

11, rue d'Antin (1856)(¹⁰)(arr.2)

*les adresses sont d'Endres, mais il n'est pas toujours  mentionné lequel

 

'Facteur et accordeur de pianos'  (*1822)

'Facteur de pianos', professeur de piano, compositeur ca. 1824-56

Fils et sucesseur (voyant les n° de série qu'il utilisait) de ENDRES Père ou Jean Pierre (°1802), au début de cette page.

Né à Paris des parents Allemands en 22/06/1797. (¹²)

ENDRES Fils 12, rue Saint-Nicolas d'Antin (*1824) comme compositeur et éditeur et en (*1836): 30 bis, rue Neuve des Mathurins (***1836, volume 2)(arr.9) comme facteur de pianos.

1839 - Faillite en 1839 : "Tribunal de commerce de la seine - Déclaration de faillites - Du 26 août 1839 - [...] Endrès. fabricant de pianos, rue de la Pépinière, 16. Juge-eomm., M. Aubry; synd prov." La Presse, 31/08/1839, p. 4 (gallica.bnf.fr) et La Presse, 03/09/1839, p. 4 (gallica.bnf.fr)

Demandait sa naturalisation en 1844 :

1844 - "BB/11/489, Dossier n°9128 X3 - ENDRES, Jean Jacques. Né(e) le 22 juin 1797 à Paris (Seine). Qualité : facteur de pianos. Objet : naturalisation [certificat de non-naturalisation]. Ouverture du dossier : 19 juin 1844." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1856 - Faillite en 1856 (¹⁰) : "Clôtures pour insuffisance d'actif. - Ont été closes pour insuffisance d'actif les opérations des faillites ci-après, suivant jugement des : 7 août 1856. — ENDRÈS, facteur de pianos, rue d'Antin, 11, à Batignolles." Gazette de l'industrie et du commerce, 17/08/1856, p. 6 (gallica.bnf.fr) et La Presse, 30/07/1856, p. 3 (gallica.bnf.fr)

 
(la suite)

 L'échappement, rendu fixe est réglé à volonté par un pilote à double effet enfin les échappemens sont montés de façon à ce qu'ils se règlent aussi facilement que les pianos à simples pilotes. De semblables avantages feront estimer les pianos de M. Endrès par tous ceux qui désiraient vivement une amélioration dans cet instrument, toujours d'un prix très-élevé. C'est dans la onzième salle, sous le numéro 988 que sont exposés les pianos de M. Endres." Le Figaro, 15 septembre 1827 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "M. Endres, à Paris, rue Neuve-Sainte-Croix, n.° 8, Pour pianos dans lesquels l'échappement est indépendant de la touche." Rapport sur les produits de l'industrie française, 1828, p. 394

PARIS - "1475 (694). Il n’y avait rien de remarquable dans le piano exposé par M. Endrès (Jean-Jacques), à Paris, rue Neuve-des-Mathurins, n° 45." Le musée artistique et industriel : exposition 1834, p. 191

"La plus jolie -  Je le veux bien -  Le vaillant Ogier  - Vous qui priez, priez pour moi Le bonheur au village -  Regarde-moi -  J'ai perdu ma rose -  Le bouquet; tels sont les titres de huit romances fort jolies que vient de publier M. Endrès fils, professeur de piano très-distingué. Ces chants gracieux seront écoutés avec plaisir et nous les signalons aux amateurs; ils les trouveront chez Henri Lemoine éditeur, rue de l'Echelle, n. 9." Le Figaro, 30/12/1828, p. 4 (gallica.bnf.fr)

 

Médaille de bronze Paris, 1827 | Liste des exposants Paris, 1834 | Liste des exposants Paris, 1839

MULLIER Louis-Michel

 

 

1826

"Mullier, r. de Tracy, 5. En 1823 méd. de br. ; exp. en 1827 un piano à trois cordes, à six octaves, à échappement, avec estrade en lyre." Répertoire du commerce de Paris, ou Almanach des commerçans, banquiers, négocians, manufacturiers, fabricans et artistes de la capitale, 1828, p. 567 (gallica.bnf.fr)

"Mullier, pianos carrés à 2 et 3 cordes, à échappement 6 octaves et 6 oct. et demi, pianos verticaux dits droits 6 oct. et 6 octaves et demi, garantis, énvoie dans les départemens et à l'étranger, r. Tracy, 5, M. H. 1827." Almanach du commerce de Paris, 1833, p. 154 (gallica.bnf.fr)

"Mullier, pianos carrés a 2 et 3 cordes, à échappement 6 octaves et 6 oct. et demi, pianos verticaux dits droits, 6 oct. et 6 oct. et derni, garantis, envoie dans les départ. et 4 l'étranger, r. Tracy, 5, M. H. 1827." Almanach du commerce de Paris, 1837, p. 171 (gallica.bnf.fr)

"Mullier, pianos carrés à 2 et à 3 cordes, 6 oct. et 6 oct. et demi, pianos verticaux 6 oct. et 6 oct. et demie garantis, envoie en provins et à l'étranger, r. Tracy, 5; M. H. 1827" Almanach-Bottin du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales villes du monde, 1842, p. 187 (gallica.bnf.fr)

Paris

 

5, rue de Tracy (1823)(x1828)(*1829)(x1829)(x1832)(xxx1833)(z1835)(***1836)(**1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(**1843)(x1843)(**1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(*1849)(x1849)(arr.2) Quartier de la Porte Saint-Denis

3, rue de Tracy (x1832)(arr.2)

21, boulevard Bonne Nouvelle (*1851)(**1852)(arr.10)

1, Impasse des Filles Dieu (*1850)(**1852)(arr.10)

 24, boulevard Bonne Nouvelle (*1850)(**1854)(arr.10)

14, rue du faubourg Saint-Martin (**1852)(**1854)(***1855)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(yy1864)(arr.9)

 

100 pianos par an en 1844

80 à 100 pianos par an en 1849

 

'Facteur de pianos' carrés et pianos droits ca. 1823-64

MULLIER Louis-Michel (1834)

MULLIER Alexandre & Louis (*1849)(z1855)(xx1856)

MULLIER Al. (z1855)(*1859)(yy1864)

PARIS - "454‘ M. Mullier, à Paris, r. Tracy, 5, qui a obtenu à l'exposition de 1823 une médaille de bronze : un Piano à trois cordes, à six octaves, à échappement, avec estrade en lyre." Catalogue des produits de l'industrie française, admis à l'exposition ..., 1823, p. 64

PARIS - "M. Mullier, à Paris, rue de Tracy, n.°5. Mention honorable. Pour piano à trois cordes, à six octaves et à échappement." Histoire de l'Exposition des produits de l'industrie française en 1827, Adolphe-Jérôme Blanqui, A la Librairie du commerce, chez Renard, 1827

PARIS - "1495 (885). M. Mullier (Louis-Michel), rue de Tracy, n° 5, à Paris, qui fut mentionné honorablement en 1827." Musée industriel: description complète de l'exposition des produits de l ..., 1838, p. 197

PARIS - "M. MULLIER, à Paris, rue de Tracy, 5. Cet artiste confectionne cent pianos par an. Il a présenté au concours deux pianos carrés; l'un à trois, l'autre à deux cordes. Le premier a mérité d'être placé au cinquième rang, le second a été digne du troisième rang. Le jury décerne une médaille de bronze à M. Mullier." Rapport du Jury central ..., Paris Jury central, Imprimerie de Fain et Thunot, 1844

PARIS - "L'établissement de MM. Mullier date de 1826 et produit annuellement de 80 à 100 pianos d'une bonne fabrication. Leur piano carré a obtenu au concours le quatrième rang et leur piano droit le dixième. MM. Mullier avaient obtenu une médaille de bronze en 1844. Ces facteurs consciencieux méritent d'être récompensés; en conséquence, le jury leur décerne la médaille d'argent." Rapport du Jury Central sur les Produits de l'Agriculture et de l'Industrie ..., France Jury Central sur les Produits de l'Agriculture et de l'Industrie, 1849

 

Médaille de bronze Paris, 1823 | Mention honorable Paris, 1827 | Liste des exposants Paris, 1834 | Liste des exposants Paris, 1839 |  Médaille de bronze Paris, 1844 | Hors concours et Croix de la Légion d'Honneur Paris, 1849 | Médaille d’argent Paris, 1849 | Liste des exposants Paris, 1855

 

ROLLER & BLANCHET

 

ou

 

ROLLER Jean

(1797 - 1866)

&

BLANCHET Nicolas

(1794 - 1876)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1826

 

Pianos droits, pianos à queue et harpes

TITRES

"Roller et Blanchet, facteurs de la reine et de l'Institut de France, rue Hauteville, 10." (***1836)

'Facteur de la S. M. la Reine' (En 1840 ils furent nommés 'facteurs de la reine Marie-Amélie')

Pianos pont n° 154, Musée du piano, Limoux, France
Piano pont n° CB 223, Musée du piano, Limoux, France
Piano carré ca. 1829, autre photo, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
Piano pont n° 529, Musique Vivantes, Lyon, France
Piano pont n° 614 ca. 1827-30, sa signature, Musée d'Art et d'Histoire de Provence, Grasse, France

Piano pont n° 776, Musée du piano, Limoux, France
Piano carré ca. 1830-33, Musée Alfred Desmasures, Hirson, Aisne, France
Chromamètre, Germanisches Nationalmuseum, Allemagne
Piano pont ca. 1835, Collection Ad Libitum, Etobon, France
Piano pont ca. 1834-40, Musée Fontainebleau, France
Piano droit n° 1275 ca. 1840, Musée National du Château de Malmaison, Rueil-Malmaison
, France
Piano droit n° 2740, Musique Vivantes, Lyon, France
Niche de chien ca. 1840, Cité de la Musique, Paris, France
Piano droit ca. 1840,  Jean Haury Collection, France
Piano droit ca. 1841, Jean Haury Collection, France
Niche de chien ca. 1840, autre photo, Malmaison, châteaux de Malmaison et Bois-Préau, France
Piano droit décoré ca. 1845, le domaine Royal de Randan (Auvergne), France (video)
Piano droit ca. 1840-50, (coll. Rindlisbacher), Schweizer National Landesmuseum, Zürich, Suisse

ROLLER & BLANCHET
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BIOGRAPHIE

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Paris

90, rue Vieille du Temple (*1817)(arr.3)

17, rue Faubourg Montmartre (*1822)(arr.9)

27, rue de Paradis Poissonnière (1824)(***1828)(arr.10)

2, boulevard Poissonnière (x1829)(arr.9)

ateliers : 2, rue Harlay au Marais (x1827)(x1829)(arr.1)

10, boulevard Poissonnière (x1827)(x1828)(*1829)(x1829)(sous le nom Blanchet)(xxx1833)(arr.9)

10-13, boulevard Poissonnière (*1827)(**1828)(y1829)(arr.9)

Ateliers : 18, rue Coquenard (xxx1833)(arr.9)

26, rue d'Hauteville (1834)(*1835)(*1836)(x1841)(*1842)(**1843)(x1843)(**1844)(**1845)(*1846)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(**1852)(arr.10)

16, rue d'Hauteville (z1835)(**1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(arr.10)

36, rue de Trévise (1852)(arr.9)

 

 

 

70 ouvriers et 200 pianos par an en 1834

 

 

 

 

'Facteurs de pianos' ca. 1817-52

Fils de Johann ROLLER (°1804) sur cette page en dessus, Jean ROLLER (1797 - 1866) commença dès 1818 son apprentissage chez Nicolas BLANCHET, fils du célèbre facteur de clavecins Armand BLANCHET (voir BLANCHET (°1750)); il commence ses propres activités indépendamment de son père en 1831 lorsqu'il invente un piano vertical. C'est avec Nicolas Blanchet qu'il fondera plus tard la célèbre manufacture ROLLER & BLANCHET.

1826 - ROLLER Fils : "Le 17/2/1826, dans un acte notarié compettant dissolution entre le dit et BIRON Alexandre employé qui ont déclaré dissoudre la société à compter du 01/01/1826, société verbale qui existait depuis le 00/04/1821 pour la fabrication et la vente de pianos, établie à rue de Paradis Poissonnière, n° 27." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1826 - "ROLLER Jean, fils, Fabricant depianos, associé. Dt rue de Paradis Poissonnière, n° 26. Cité lr 06/03/1826, dans un acte notarié comportant société entre ledit et BLANCHET Nicolas, accordeur de pianos, de SAR, Mademoiselle, à l'école royale de musique, boulevard Poissonnière, n° 10, lesquels ont établi une société pour fabriquer et faire le commerce dans les locaux ci-dessus et aussi au Marais, n° 2, sous la raison ROLLER et BLANCHET. Source : D31u3-30//Pièce 224." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

ROLLER A. & BLANCHET (x1827)(x1829) ???

1832 - "ROLLER Jean, Fabricant de pianos, associé, boulevard Poissonnière, n° 10. Le 01/09/1832, dans un acte notarié, comportant société entre ledit et BLANCHET Nicolas, aussi fabricant de pianos, même adresse et aussi PETIT Charlotte Perrine, épouse dudit BLANCHET, de lui autorisée pour le commerce de pianos, lesquels se sont associés sous la raison ROLLER et BLANCHET pour continuer la société entre Madame BLANCHET et Monsieur ROLLER, société créée le 01/01/1835. Source : D31u3-53/Pièce 1527 puis 1532." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1837 - "BLANCHET Nicolas, Fabricant de pianos, patenté, associé, rue d'Hauteville, n° 16. Époux de PETIT Charlotte Perrine. Le 22/04/1837, dans un acte notarié comportant dissolution entre ledit et ROLLER Jean, aussi fabricant de pianos patenté, même adresse, lesquels s'étaient associés, en nom collectif depuis le 01/04/1826, sous la raison ROLLER et Compagnie, puis modifiée le 19/09/1832. et qui sera dissoute le 01/05/1837. Source : D31u3-71/Pièce 589" Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

ROLLER (*1838)(xx1839)

ROLLER & BLANCHET Fils dès 1843, (yy1844) p. 475 (x1847)(1849)(1851)

1844 - "A la suite de l'exposition, M. Roller, fabricant de pianos, vient d'être nommé chevalier de la Légion-d'Honneur. Cette honorable distinction était bien due à l'inventeur du piano droit, dont l'ingénieuse création a si heureusement influé sur la direction de l'Industrie des pianos. En rendant cet instrument aussi commode que puissant, il en a consacré l'usage. M. Roller, déjà tant encouragé par l'opinion publique, en a reçu la preuve par le grand nombre d'imitateurs de ses planos droits. Il vient de s'adjoindre, comme associé, M. Blanchet fils ancien délève de l'Ecole polytechnique, dont la collaboration doit encore, s'il est possible, augmenter la confiance qu'inspirent ses talens." La France Musicale, 1844, p. 255-256 (gallica.bnf.fr)

1844 - ROLLER a été nommé Chevalier de l'Ordre Impérial de la Légion d'honneur en 26 juillet 1844.

1848 - On trouve un BLANCHET N., ex-facteur pensionné du Conservatoire de France à Lyon vers 1848.

"Le premier essai de piano droit tenté à Paris fut exposé par Roller et Blanchet en 1827 et fit sensation; c’était un beau résultat que d’avoir construit un piano de un mètre de hauteur sur 1 m 30 de large et l’on sait quel succès a eu ce genre de piano qui devait faire disparaître le piano carré. Des modifications apportées au premier modèle par Roller en 1830, en firent le type qu’adoptèrent tous leurs confrères; l’échappement en était très ingénieux. Ces facteurs à l’esprit inventif n’en étaient pas à leurs débuts; en 1829, ils avaient déjà produit un piano pouvant changer de ton à volonté par le déplacement du clavier, qui entraînait les marteaux et les faisait changer de cordes. En 1829, ils firent paraître un nouvel échappement différent de ceux faits jusqu’alors. Roller voulut aussi augmenter la puissance de la sonorité des grand pianos de concert, il tenta d’y arriver par le moyen d’une table renversée et l’utilisation de la plus grande force d’impulsion du marteau; en construisant un piano à double queue, doublant par conséquent le nombre de cordes (1839); peu après, il apporta une simplification à ce système qui fut seulement pourvu d’un double rang de cordes et d’une double table d’harmonie (1844); c’était en quelque sorte deux pianos renversés à un seul clavier. La dernière invention de Roller fut une nouvelle mécanique à point de contact mobile (1852). N’oublions pas de signaler aussi le chromamètre qu’il avait imaginé en 1829, pour faciliter l’accord des pianos sans que l’accordeur ait à établir une partition, mais dont le prix (80 francs), en était trop élevé pour qu’il se répande. Cependant ces facteurs se prévalaient du bon marché de leurs pianos. Ils se faisaient aussi un scrupule « étant français » de n’employer que des ouvriers français et avaient à cœur de prouver par la qualité de leurs produits que c’était à tort que l’on donnait la préférence aux ouvriers anglais ou allemand."  Les facteurs d'instruments de musique: les luthiers et la facture instrumentale : précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893

En janvier 1852 BLANCHET Fils devient seul propriétiere de l'intégralité des objets et valeurs composants la manufacture. Jean ROLLER recommence aussi en 1852 :

"Suivant acte passé devant Me Deseours et son collègue, notaires à Paris, le quatre mars mil huit cent cinquante-deux, enregistré à Paris, troisième bureau, le six mars mil huit cent cinquante-deux, folio 10, recto, cas 2, par Favre, qui a perçu cinq francs cinquante centimes; M. Jean ROLLER, fabricant de pianos, demeurant à Paris, rue Hauteville, 26, ci-devant, et actuellement rue de Trévise, 36; Et M. Pierre-Armand-Charles BLANCHET Fils, fabricant de pianos, demeurant à Paris, rue Hauteville, 26; Ont déclaré dissoute, à compter dudit jour quatre mars mil huit cent cinquante-deux, en faisant remonter l'effet de cette dissolution à partir du quinze janvier précédent (1852), la société en nom collectif qui avait été formée entre eux sous la raison ROLLER et BLANCHET Fils, pour la fabrication et la rente des pianos, aux tenues d'un acte sous Signatures privées, en date. Par la du deux juillet mil huit cent quarante-neuf. M. Blanchet a été charge du règle ni des comptes de la société. Pour extrait : DESCOURS. (4510)" Gazette des Tribunaux, 11/03/1852, p. 4 (data.decalog.net)

Une lettre par ROLLER & BLANCHET Fils à Fétis - Bruxelles, 10 juillet 1849

LITTÉRATURE

"À la place la plus apparente se dressait un piano, taillé par Roller et Blanchet dans du bois de rose, piano à la taille de nos salons de Lilliputiens, renfermant cependant un orchestre dans son étroite et sonore cavité, et gémissant sous le poids des chefs d’œuvre de Beethoven, de Weber, de Mozart, d'Haydn, de Grétry et de Porpora." Le comte de Monte-Cristo, Volume 1, Alexandre Dumas, 1846, p. 139

POÈME

Poème "Un ami" pour Roller & Blanchet, Gères, Jules de (1817-1878), dans 'Roitelet, verselets et dédicaces', 1859, p. 69-74 (gallica.bnf.fr)

Notice sur la manufacture de pianos Roller et Blanchet et Blanchet fils, Imp. de P. Dupont, 1854

 

 

ROLLER et Cie :

 27, rue du Paradis: Médaille d'argent Paris, 1823

ROLLER et BLANCHET :

Rappel de médailles d'argent Paris, 1827 | Médaille d'argent Douai, 1831 | Liste des exposants Valen-ciennes, 1833 | Nouvelle médaille d'or Paris, 1834 | Médaille d'argent Valen-ciennes, 1835 | Rappel de médaille d'or Paris, 1839 | Rappel de médaille d'or Paris, 1844 | Hors concours et Croix de la Légion d'Honneur, 1849 | Prize medal Londres, 1851

Jean-Louis BOISSELOT

(1785 - 1850)

 

 

 

 

 

 

 

Piano-Boisselot.com

 

 

 

 

 

 

  Piano droit sur l'Exposition de 1855 à Paris

 

 

Tête d'une facture ca. 1860

 

 

1827

 

TITRE

"BOISSELOT & Fils
Facteurs de pianos du Roi
et de S.A.R. Madame la Duchesse d'Orléans."

Piano à queue n° 664 PP ca. 1835, Collection Ad Libitum, Etobon, France
Piano à queue ca. 1835, Collection Ad Libitum, Etobon, France
Piano carré ca. 1835, hammerfluegel.info
Piano carré ca. 1837, Collection Gisclard, Château Bauzille, France
Pianino ca. 1840, Collection Radbon, Allemagne
Piano droit ca. 1842, Musée du Palais Lascaris, Nice, France
Piano à queue n° 1163 ca. 1844, Musée Fabre, Montpellier, France
Piano carré n° 1802, Musée du piano, Limoux, France
 
Piano à queue n° 1387 ca. 1844 (?), Musée de la Musique, Paris, France
Piano à queue n° 1445 ca. 1844, Collection Ad Libitum, Etobon, France
Piano à queue n° 1719 ca. 1844, Claviersalon, Miltenberg, Allemagne
Piano carré n° 1818 ca. 1844, Musée du Palais Lascaris, Nice, France
Piano carré n° 2059 ca. 1844-47, et sa signature, Musée de la Musique, Paris, France
Piano à queue ca. 1845, Museo Nacional del Romanticismo, Madrid, Espagne
Piano à queue ca. 1845, Collection Gisclard, Château Bauzille
, France
Piano à queue n° 2644 ca. 1846, Musée du piano, Limoux, France
Piano à queue n° 2837 de 1847, Collection Fernanda Guilini, Briosco, Italie
Piano à queue n° 2894 de 1847, Collection particulière, France
Piano à queue ca. 1848 (?), Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
Piano à queue n° 3645 ca. 1849, Collection Hansjosten, Allemagne
 Piano à queue ca. 1849, Collection Gisclard, Château Bauzille, France
Piano à queue n° 4032, hammerfluegel.info
Piano à queue, ca. 1849, 6,5 octaves, Collection Hansjosten, Allemagne
Piano à queue ca. ?, Musée de Montpellier, France
Piano droit ca. 1880, Musée du Palais Lascaris, Nice, France
Piano droit ca. 1893, Musée de la ville de Kastela, République Tchèque
Piano droit fin 19ème siècle, Musée d'Ethnographie corse, Bastia, France

PHOTOS EXTRA

Piano à queue n° 2894 de 1847

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BOISSELOT
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1836 - "On écrit de Marseille, le 3 janvier :
Le feu s'est manifesté cette nuit dans la fabrique de M. Boisselot; il a promptement gagné les ateliers et toute la cour, malgré les prompts secours des voisins et le dévouement des nombreux soldats arrivés en toute hâte de la caserne de la Porte d'Aix. malheureusement les pots de vernis tout enflammés avaient fait l'explosition ça et là, et communqué une nouvelle intensité à l'incendie. Enfin, grâce au jeu continuel des pompes, l'on est parvenu à se rendre maître du feu et à isoler du corps principal de batisse d'où la famille Boisselot avait déjà descendu ou plutôt précipité son mobilier. Il ne reste pas moins à déplorer la perte des pianos commencés et des matériaux malheureusement si inflammables qui remplissait les ateliers." Le Censeur : journal de Lyon, politique, industriel et littéraire, 09/01/1836, p. 2 et L' ami de la religion: journal ecclésiastique, politique et ..., Volume 88, 1836, p. 61

1881 - "Un incendie s'est déclaré dans les ateliers de M. Boisselot fils, facteur de pianos. Le feu a pris naissance dans un tas de copeaux, auxquels aurait mis le feu la scie enflammée, tombée d'une cheminée. L'incendie s'est rapidement propagé. Les pompiers de la rue Montgrand et un détachement de quinze hommes, fourni par le poste de la Vierge de la Garde, ont pris les premières mesures d'ordre. On remarquait sur le lieu du sinistre, le maire de Marseille, le chef de la sûreté, le commissaire central, etc. Les dégâts sont considérables." Le Figaro, 14/12/1881, p. 5 (gallica.bnf.fr)

 

Marseille

Paris

56, Boulevard des Parisiens (y1838)

2, rue Saint-Férréol (y1838)(*1840)

Comptoir : 12, Place Notre Dame du Mont (*1841)(z1842)(*1844)(z1844)(z1845)(z1846)(1849)(xx1851)(xxx1852)(yy1858)(xxx1860)(yy1861)(*1862)(***1863)(yy1863)(yyy1864)(xxx1865)(x1873) C'était là l'Eglise où Chopin a joué sur l'orgue en 1839

20, rue de Darce (z1847)

Magasin : 18, rue de la Darce (z1848)(z1849)(z1850)(xx1851)(xxx1852)(xxx1854)

22, rue de la Darse [Darce] (yyy1856)(zz1857)(yy1858)(xxx1860)(yy1861)(yy1863)(***1863)(yyy1864)

20, rue de la Darse (yy1866)

27, rue de la Darse (xxx1865)

59, rue Paradis (yy1868)(yy1869)

18, rue Bonnefoy (xxx1874)(*1875)(*1876)(xx1890)(1892)

8-[10], rue Bonnefoy (yy1868)(yy1869)(yy1876)(yy1877)(yy1878)(yy1879)(**1880)(yy1880)(**1881)(yy1881)(yy1882)(yy1883)(**1884)(**1885)(xxx1885)(**1886)(xxx1886)(xxx1892)(xxx1893)

 81, boulevard Notre Dame (xxx1897)(*1898)(**1898)(xxx1898)(xxx1906)(xxx1908)(xxx1909)(*1913)(usine à vapeur)

Magasin de vente Diezer : 26, rue Montgrand (xxx1906)

à Marseille

SUCCURSALE :

33, rue Neuve-Saint-Augustin (x1855)(arr.2)

18, rue Dauphine (xx1857)(xx1859)(xx1860)(arr.6)

à Paris

Atelier au Prado 123 (xxx1865)(yy1866)

Usines DIEZER :
19-21, rue Friedland (1909)(xxx1912)

 3, rue Platane  & 9, rue d'Iéna (?)

à Marseille

Dépôt : chez GUÉRIN, successeur de DANIEL, 18, rue Paradis (yy1880)(yy1882)(yy1883)(xxx1885)(xxx1886)

à Marseille

Fabrique à Barcelonne, Espagne (yyy1856)(zz1857)(yy1858)(xxx1860)(yy1861)

20 pianos par an en 1830

60 (vers 1834)

300 pianos par année et 70 ouvriers (1839)

400 par année  (vers 1848)

3780 (vers 1850)

500 pianos par an (1855)

120 à 140 ouvriers et environ 500 pianos par an vers 1858

600-800 pianos par an (1871)

18600 pianos totalemant en 1871

 

 

Facteurs de pianos et éditeur de musique

Originaire de Montpellier, Jean Louis BOISSELOT (1782-1847) est issu d'une famille de luthiers. Il y établit tout d'abord un commerce de partitions et d'instruments de musique puis ouvre dés 1820 une succursale à Marseille où il s'installe définitivement en 1823. Si son activité est au départ consacrée à la vente de pianos, il se lance vers 1830-31 grâce à son fils Louis Constantin BOISSELOT (1809-1850) dans leur fabrication.

1830 : Déménagant vers Marseille

1834 : Le fils ainé Xavier (1811 - 1893) avait étudié son art dans les grands établissements d'Angleterre. Il avait introduisé dans sa fabrication le piano à queue.

1836 - Incendie

En 1838 le Père était associé avec son Fils ainé, sous le nom «BOISSELOT & Fils».

"En 1834, BOISSELOT père envoie son fils aine étudier son art dans les grands établissements d'Angleterre, il introduit dans sa fabrication le piano à queue, une première récompense encourage ses efforts, c'est une mention honorable à l'exposition de Paris en 1834. En 1838, il s'associe son fils aîné, et l'industrie qu'il a fondée prend bientôt un rapide essor que notre compagnie fut heureuse de constater, ainsi que nous le disions en commençant ce travail. En 1847, BOISSELOT père en terminant une carrière utilement remplie, put, après avoir doté notre pays d'une industrie importante, emporter îi, consolante conviction que son oeuvre ne périrait pas avec lui; son fils aîné donna une nouvelle impulsion à la fondation paternelle dont la position désormais faite dans les arts comme dans l'industrie, peut être regardée comme un triomphe éclatant de décentralisation industrielle obtenu sur la capitale même, où les noms d' ERARD, de PLEYEL, de PAPE semblaient devoir monopoliser la fabrication du piano.

À cette époque, la maison BOISSELOT répandait déjà ses instruments sur tout le littoral de la Méditerranée et commençait à les envoyer dans les Colonies, où ils étaient recherchés à cause de l'excellence de leur fabrication appropriée aux exigences d'un climat exceptionnel. C'est alors qu'un événement cruel, inattendu, parut un instant compromettre tout cet édifice industriel: une mort prématurée enleva, en 1850, le regrettable Louis BOISSELOT. - Article très intéressant sur BOISSELOT en 1858 dans: 'Provincia: bulletin trimestriel de la Société de Statistique ...', Volumes 21-22, Société de statistique, d'histoire et d'archéologie de Marseille, dès p. 102 à 117

Vers 1847, le Père terminait sa carrière et le fils donna une nouvelle impulsion à la fondation paternelle, à Marseille et à Barcelone pour la succursale. Louis meurt en 1850.

BOISSELOT Jean-Louis & Louis-Constantin (1830-1850)

BOISSELOT Frères (z1848)

1848 : "FRAISSINET. Fut Gérant de la Société Boisselot fils et Cie, manufacture de pianos. Décédé." Les anciens élèves de l'école centrale 1832-1888, 1889, p. 96

BOISSELOT & Fils (z1850)

1865 - Incendie de la fabrique à Barcelone. Xavier se rétira et son neveu a repris sa fabrique.

Alors que les grands facteurs d'instruments sont parisiens, BOISSELOT parvient à développer en province une manufacture capable de rivaliser en qualité avec les plus grands luthiers que sont PLEYEL, ERARD ou PAPE. En 1893 cet usine était nommé : "Manufacture Marseillaise de pianos."

BOISSELOT Xavier Fils (1811-1893) dès 1851 (Dominique-François-Xavier)

1855 - "Xavier Boisselot, qui a été nommé chevalier de la Legion d'honneur pour tes magnifiques pianos de ses maison de Marseille et de Barcelone, remarqués par tous les connaisseurs à l'Exposition universelle, vient de quitter Paris pour rentrer à Marseille, où l'attendent ses nombreux ouvriers, impatients de pouvoir fêter à leur manière le digne chef de la facture de pianos en province." La France Musicale, 1855, p. 391 (gallica.bnf.fr)

1865 - "BOISSELOT (Dominique-François-Xavier), compositeur et industriel français, né à Montpellier, le 2 décembre 1811, vint à Paris en 1830, entra au Conservatoire, et remporta, en 1836, le grand prix au concours de l'Institut. Dix ans après, il donna un opéra-comique en trois actes, Ne touchez pas à la reine, dont MM. Royer et Vaèz avaient emprunté le titre et le sujet au roman de MM. Masson (Opéra-Comique, 16 janvier 1847).
Malgré le succès de ce début musical, il alla prendre, à Marseille, une part de direction dans l'importante maison de pianos fondée par son père, dont il a dès lors été l'associé.

Ces facteurs distingués, qui comptent plus de deux cents ouvriers dans leurs fabriques de Marseille et de Barcelone, ont obtenu des récompenses à toutes les expositions nationales de l'industrie; deux médailles d'or en 1844 et 1849, et la décoration à la suite de l'Exposition universelle de 1855, où leurs produits figuraient à la fois parmi ceux de la France et ceux de l'Espagne. M. Boisselot a épousé la fille du compositeur Le Sueur." Dictionnaire universel des contemporains : contenant toutes les personnes notables de la France et des pays étrangers, 1865, p. 220 (gallica.bnf.fr)  (et lisez en bas sa nécrologie sur la page BIOGRAPHIE)

BOISSELOT Fils & Cie  (*1867)(yy1876)(yy1878)(**1880)(**1881)

1868 - "13/05/1868 - MC/ET/CVI/973 Procuration et autorisation par Dominique François Xavier Boisselot, compositeur de musique et fabricant de pianos, 19, rue Guénégaud, à sa femme, Louise Eugénie Félicité Lesueur, demeurant avec lui, à l'effet de retirer treize obligations déposées chez Me Girardin, abandonnées à madame Boisselot par la liquidation de la succession de madame veuve Lesueur."  siv.archives-nationales.culture.gouv.fr(³¹)

1881 -  Incendie : "Boisselot Fils et Cie, rue Bonnefoy 8, dépot chez GUÉRIN, successeur de DANIEL, rue Paradis, 18." Indicateur marseillais : guide du commerce : annuaire du département des Bouches-du-Rhône pour l'année 1881, 1881, p. 1041 (gallica.bnf.fr)

BOISSELOT Frères (*1882)

BOISSELOT Fils & Cie (xxx1885)(xx1890)(xxx1892)(**1898)

1889 - "Fraissinet. Fut Gérant de la Société Boisselot fils et Cie, manufacture de pianos. Décédé." Les anciens élèves de l'école centrale 1832-1888, édité 1889, p. 69

'Pianofabrik' (xx1890)

1892 - "Marseille. — Formation. — Société en commandite par actions L. LEYGAT et Cie, manufacture de pianos (anciens établissements Boisselot), r. Bonneloy. — 150,000 fr." Archives commerciales de la France. 22/10/1892, p. 1287 (gallica.bnf.fr)

Repris par son nevue (ou cousin?) Franz BOISSELOT, en 1893 et la maison sous le nom

Manufacture Marseillaise de pianos en 1893 :

1893 - "Marseille. — Modifications des statuts. — Société anonyme dite MANUFACTURE MARSEILLAISE DE PIANOS.— Capital porté de 150,000 fr. à 360,000 fr. — Délib. du 2 juil. 93."Archives commerciales de la France. 11/10/1893, p. 1216 (gallica.bnf.fr)

Agent pour Paris : H. CARTIER, rue Monge, 106 (**1898)(arr.5)

1899 - "De Marseille : Belle séance d'inauguration de la salle de concert de la manufacture marseillaise de pianos Boisselot, avec MM. Marsick, Loevensohn et Livon. M. Marsick a été à la hauteur de son beau talent [...] On a loué sans réserve l'excellente acoustique et la décoration de bon goût de cette nouvelle salle." Le Ménestrel, 19/04/1899, p. 119 (gallica.bnf.fr)

1908 - Incendie

Repris par DIEZER dès 1906.

Manufacture Française de pianos - DIEZER en 1909 :

1909 - "Marseille.— Formation. — Société anonyme dite : MANUFACTURE FRANÇAISE DE PIANOS, 19, Friedland. — 30 ans. — 330,0000 fr.— 30 mars 1909." Archives commerciales de la France, 05/05/1909, p. 605 (gallica.bnf.fr)

Mais ils cessaient leur fabricage vers 1933.

Quelques ouvriers ont essayé de continuer sous le nom 'BOISSELOT & CZERNY', mais ça n'a duré que quelques années.

SITE BOISSELOT

Un site complètement consacré à BOISSELOT :
Piano-Boisselot.com
avec L'histoire de famille BOISSELOT

 

Liste des exposants Marseille, 1832 | Mention honorable Paris, 1834 | Première prix Toulouse, 1835 | Médaille d'argent Marseille, 1836 | Rapport d'Institut de France, 1837 | Nouvelle médaille d'argent Paris, 1839 | Médaille d'or Montpellier, 1839 | Médaille d'or Toulouse, 1840 | Brevet de 1839.05.16 | Brevet de 1841.09.30 | Médaille d'or Paris, 1844 | Médaille de Vermeil Marseille, 1845 |  Médaille d'or Toulouse, 1845 |  Rappel de médaille d'or Paris, 1849 | Médaille d'or Toulouse, 1849 | Médaille de 1re classe Paris, 1855 | Médaille de 1re classe, 1856 | Liste des exposants Londres, 1862 | Hors concours Lyon, 1872 | Liste des Exposants, hors concours Vienne, 1873 | Liste des Exposants Paris, 1867 | Médaille d'or Paris, 1878

KIEFFER Barthélemy

 

 

 

 

1827

"Kieffer (B.), pianos construits dans le genre anglais, pianos carrés riches et simples à 2 et 3 cordes à garantie, loue et échange; mag., pl. de la Madeleine, 8, fab., r. du Rocher, 40." Almanach du commerce de Paris, 1837, p. 171 (gallica.bnf.fr)

"Kieffer, pianos en tous genres, à des prix modérés, location, réparation et accords au mois ou à l'année, rue St-Lazare, 106." Almanach-Bottin du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales villes du monde, 1842, p. 187 (gallica.bnf.fr)

 

Paris  

18, rue Meslay (vers 1830)(arr.3)

8, boulevard de la Madeleine (xxx1833)(arr.8)

8, rue Royale Saint-Honoré (yy1834)(arr.8)

8, Place de la Madeleine (*1835)(z1835)(*1836)(**1837)(arr.8)

17, boulevard [rue] de la Madeleine (*1838)(yy1838)(x1839)(xx1839)(x1840)(arr.1)

40, rue du Rocher (**1837)(*1838)(x1839)(x1840)(arr.8)

104, rue Saint Lazare (x1841)(**1843)(arr.9)

106, rue Saint Lazare (*1842)(x1843)(xx1844)(**1845)(*1846)(x1847)(arr.9)

24, rue Bréda (*1848)(arr.9)

15, rue Saint-André (**1850)(arr.15)

32, rue Bréda (x1849)(*1850)(*1851)(arr.9)

23, rue Laval (**1852)(arr.3)

 

'Facteur de pianos' carrés et pianos droits ca. 1830-52

KIEFFER Barthélemy (1833-50)

1838 - Faillissement en 1838 : "Déclaration de faillites. [...] M. Kieffer, fab. de pianos, rue de la Madeleine, 17. Juge-com., M. Leroy; synd. prov., M. Mozard, rue Caumartin, 9." La Presse, 28/12/1838, p. 4 (gallica.bnf.fr)

KIEFFER & Cie (1843)(¹⁰)

1843 - "KIEFFER Barthélemy, Facteur de pianos, rue Saint Lasare [sic], n° 104 [?]. Cité le 15/07/1843, dans un acte sous seing privé, comportant dissolution et nouvelle société entre ledit et BONNEAU Edmond, emballeur, rue du faubourg Saint Honoré, n° 36 pour dissoudre à partir de ce jour la société sous la raison KIEFFER et Compagnie, laquelle n'avait pas été publiée et référencée pour la fabrication, la vente, la location et la location des pianos sous la raison KIEFFER et Compagnie, qui commence ce jour : D31u3-112/Pièce 1142." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1850 - Failissement en 1850 : "KIEFFER, facteur de pianos, à Montmartre, rue Saint-André, 15. —Jugement du 28 octobre 1850, lequel homologue le concordat passé entre le sieur Kieffer et ses créanciers le 12 octobre 1850. Conditions sommaires. Remise audit sieur Kieffer de tous intérêts et frais et de 88 p. 100 sur le capital. Les 12 p. 100 non remis payables en quatre ans, par quart, pour le premier paiement avoir lieu le 12 octobre 1851. (9477 du greffe.)" Guide des négociants, concernant le département de la Seine, par J.-I. Choiselle, 1852, p. 73 (gallica.bnf.fr)

 

 

Liste des exposants Paris, 1834

LODDÉ J. Ch. 1827  

Brevet de 1846 : J. Ch. LODDÉ se distingua  par quelques perfectionnements et par l’adjonction au piano droit, d’un clavier de pédales de 27 notes, faisant vibrer des cordes indépendantes de celles du clavier à mains. -  'Piano à pédalier', plusieurs essais furent faits en ce genre, par LODDÉ, en 1846. Dictionnaire des instruments de musique, Jacquot, 1886

"Nouveau magasin de musique et d'instrumens, établi rue de Gourville, n° 1er, vis-à-vis l'hôtel de la Croix-de-Malte, à Orléans. - INSTRUMENTS A BON COMPTE, et REMISE DE MOITIÉ sur toute espèce de musique. Le sieur LODDE, facteur-luthier et marchand de musique, a l'honneur de prévenir MM. les amateurs et MM. les professeurs de musique que son magasin de lecture musicale est ouvert, et que l'on trouvera chez lui toute espèce de musique, et pour tous les instrumens. Il tient des pianos de plusieurs fabriques les plus estimées de Paris, et les loue de 6 fr. à 25 fr. par mois; Des guitares du prix de 10 fr. à 150 fr.; des violons, altos, basses, contre-basses, harpes, et instrumens à vent de tous genres. Il tient un dépôt d' archets de Lupot et de différens facteurs; un assortiment de cordes de toute espèce, et généralement tout ce qui concerne la lutherie et la musique. Il fabrique et raccommode les instrumens. Le tout au plus juste prix." Journal Général du Département du Loiret, 10/01/1828, p. 3 (Aurelia.Orleans.fr)

"LES AMATEURS DE MUSIQUE. Le sieur LODDÉ, rue de Gourville n° 1er, a l'honneur de prévenir qu' on trouvera chez lui un choix d'album lyriques, une grande quantité de musique nouvelle pour instrumens et pour le chant, et tous les derniers opéras; plusieurs pianos non connus à Orléans, et toute sorte d'instrumens des meilleurs facteurs et luthiers. Il tient aussi un abonnement de musique complet dans tous les genres." Journal du Loiret, 24/12/1829, p. 4 (Aurelia.Orléans.fr)

"Loddé, fac. de p. et luthier, éditeur de mus.; magasin d'instr. et de mus. de tous genres; abonnement mus., rue Courville, 1" Agenda musical, Paris, 1837 (gallica.bnf.fr)

"A vendre, DEUX PIANOS carrés, en acajou, le premier de Petzold, à six octaves et à trois cordes ; le deuxième, de Wollel, à six octaves et demie et à trois cordes. S' adresser chez M. Loddé, facteur de pianos à Orléans, chargé de les vendre." Journal du Loiret, 25/09/1841, p. 4 (Aurelia.Orléans.fr)

"Fabrique de Pianos et Orgues, Magasins d' instrumens et de musique. LODDE, facteur breveté s. g. d. g., Médaille de 2° classe, Exposition 1855. Place Sainte-Croix, à Orléans. L'orgue étant l' auxiliaire indispensable des solennités religieuses, et son usage se répandant de plus en plus dans les salons, nous annonçons à MM. les membres du clergé, aux amateurs et aux artistes, que nous venons de conclure un traité avec MM . Alexandre père et fils, de Paris, pour les représenter. exclusivement. On trouvera donc constamment dans nos magasins un choix complet des principaux modèles d'orgues à claviers fixes ou transpositeurs, avec ou sans la percussion, de la maison la plus importante, dont la supériorité de fabrication est unanimement reconnue, nous olirons toutes les garanties désirables. Les prix ont été réduits le plus possible, afin de ne craindre aucune con currence et le bon choix des instrumens est encore assuré par les connaissances spéciales acquises par M. Loddé fils, dans les ateliers de la maison Alexandre, qui lui donne aussi la faculté de pouvoir se charger de toutes les réparations. Un catalogue détaillé de ces Orgues, des Pianos et Instrumens divers, récemment perfectionnés, sera envoyé à domicile très prochainement." Journal du Loiret, 29/08/1860, p. 3 (Aurelia.Orléans.fr)

"Pianos. MM. Bûcher, Eisenschenk, Guillot, Tessereau, Schwander, Pleyel-Wollf et Cie, ont deposé dans les magasins de M. LODDE, à l'Institut musical, les instruments qu'ils avaient envoyés à l'Exposition d'Orléans. — Ces pianos seront vendus avec toutes les réductions possibles. Même maison. Pianos d'occasion aux prix les plus moderés." Journal du Loiret, 02/07/1876, p. 3 (Aurelia.Orleans.fr)

 

Orléans 1, rue de Gourville [vis-à-vis l'hôtel de la Croix-de-Malte] (**1828)(1829)(x1837)

4, place
Sainte-Croix (x1860)(***1876)(xx1890)(*1893)(*1894)(*1895)(x1906)(x1912)(*1913)(**1921)

200, rue de Bourgogne (*1898)

 

Facteur de pianos' et marchand ca. 1827-98; (1828)

diteur de musique (xx1838)(*1876)

LODDÉ J. CH. (1855)

1865 - "Publications de mariages du 5 novembre [1865]. Entre : [...] M. Loddé (Charles-Lucien), facteur de pianos, et, Mlle Wilmart (Marie-Augustine)." Journal du Loiret, 06/11/1865, p. 3 (Aurelia.Orléans.fr)

LODDÉ Lucien (***1876)(xxx1878), en 1878 son fils Louis LODDÉ succèdait son père.

LODDE [Lucien] [Mme.] Vve. (xx1890)(**1894)(**1895)(*1898)(x1906)(x1912)(*1913)(**1921)

'Musikal.-, Piano- u. Instr.-Handlung' (xx1890)

'Musikal.-, Piano- u. Instrumenten-Handlung' (x1906)

'Handlung mit Musikal., Pianos, Harmoniums, Musikinstr. u. Saiten' (x1912)

Repris par THÉVENOT M. après 1921

PARIS - "Au RÉDACTEUR. Monsieur, J' ai lu dans votre journal du 3 août, dans votre compte-rendu de l' exposition de l'industrie, que mou piano était toujours fermé. Or, comme une mauvaise interprétation de cette note pourrait donner lieu à des suppositions qui me seraient défavorables, je viens vous prier, monsieur, de vouloir bien accueillir l'explication suivante : J' ai fait le voyage de Paris pour metlre mon piano en place ; ne pouvant y rester pendant tout le temps de l'exposition, j'en confiai la garde à un facteur de mes amis, qui me promit d'y mettre tous ses soins. Mais quel ne fut pas mon étonnement lorsque je retournai à Paris à l'époque du concours, en apprenant que que mon piano n'avait ni ouvert ni accordé. J'éclatai en reproches, et alors on me répondit que les facteurs d'orgues, dont nous étions les plus proches voisins, les accordaient tous les matins et en jouaient presque toute la journée, d'où était résultée l'impossibilité d'accorder les pianos placés aussi près d'eux; que pour remédier à cet inconvénient les facteurs de Paris n'avaient eu d'autre ressource que de faire changer leurs pianos tous les huit jours afin les accorder chez eux, et que par là ils avaient évité la détérioration que la poussière et la chaleur humide du lieu leur auraient fait subir. Moi, qui n'avais pas eu les mêmes avantages et qui d'ailleurs n'avait pas été prevenu, je n'eus rien de mieux à faire que de faire venir en toute hâte un second piano pareil au premier. Celui-ci a été admis au concours et a été vendu de suite à Paris. On m'avait flatté d'une récompense pour le perfectionnement de mon mécanisme, mais le jury venait de prendre ses notes sur mon premier piano. Les perfectionnement que j'ai introduits dans les pianos de ma fabrique ont pour but de les préserver de la prompte altération que subissent la plupart de ceux de ces instrumens qui se trouvent placés dans des localités éloignées des villes et des facteurs, et donnent les moyens de les conserver toujours en bon état. Mes pianos ont de plus l'avantage d'être livrés au public au véritable prix de fabrique, Recevez, etc. LODDE, Luthier A Orléans, 8 août 1839." Journal du Loiret, 10/08/1839, p. 2 (Aurelia.Orléans.fr)

PARIS - "La commission reconnaît les excellentes qualités des pianos de M. Loddé. Voici une expérience qui a eu lieu devant les membres de la commission et qui font honneur aux pianos de cet habile facteur : Quatre pianos étaient placés sur une même ligne. Les noms des facteurs étaient cachés. Des accords de même ordre furent touchés sur ces quatre instrumens. Lorsqu' il fallut les classer dans l' ordre de la richesse des sons, la commission désigna les deux pianos de M. Loddé. Et cependant les deux autres pianos étaient de Pleyel et d' un autre facteur en renom. Les pianos de M. Loddé sont du prix de 700 fr. pour les meubles ordinaires." Journal du Loiret, 13/02/1855, p. 2 (Aurelia.Orleans.fr)

 

 Liste des exposants Paris, 1839 | Médaille de 2e classe Paris, 1855 | Liste des exposants Paris, 1878

MAROKY Etienne
| MAROQUI | MAROCHI | MAROKI

(1799 - 1880)(¹⁹)

 

 

1827  

Pianos droits et pianos carrés

Piano transpositeur ca. 1850, Musée du piano, Limoux, France

"Maroqui pianos, r. du Pérat, 50." Almanach-Bottin du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales villes du monde..., part. 2, par Séb. Bottin, 1842 (gallica.bnf.fr)

"MAROKY fab. de pianos perfectionnés, orgues harmoniums brevetés, réparations, accords et transports, place Impériale, 44 ci-dev. Bellecour, 21." Almanach des 40,000 adresses des fabricants de Paris et du département : contenant les noms et domiciles des principaux fabricants, 1873 (gallica.bnf.fr), Lyon p. 653

"Manufacture de Pianos - Veuve Maroky - Maison fondée en 1826 - 44, Place de la République, Lyon. - Fournisseur du Conservatoire. - Nota. - La maison n'a pas de succursale à Lyon." Courrier des Alpes, 1884

"LE PIANO À LYON -
Si nous avons à Paris les Gaveau, les Pleyel, les Erard, facteurs instrumentaux qui jpSgKiti ont donné une note nouvelle à la science musicale en lui fournissant des interprétateurs plus sérieux, nous pouvons affirmer que la capitale n'est pas la seule à se distinguer en l'espèce et que nous avons vu chez Maroky, 44, place de la République, à Lyon, des pianos pouvant, sans aucune crainte, rivaliser avec les meilleurs.

Nous avons visité les ateliers de la maison Maroky, rue du Repos, 12, et nous nous sommes facilement convaincus que la province ne laisse plus rien à désirer sous le rapport de la belle facture.

Nous avons vu là des modèles les plus divers comportant tous ce suprême degré de perfection qu'apprécient les amateurs et qui fait l'admiration de ceux qui s'y connaissent.

En somme, la facture instrumentale nous paraît devoir beaucoup de ses progrès à la maison Maroky, dont le but,auquel nous ne pouvons qu'applaudir, a été de réaliser un piano, modèle, dont l'interprétation hors ligne ne laissant rien à désirer égale les coquetteries extérieures destinées à en faire un objet de luxe et l'ornement des demeures confortables.

Nous avons remarqué, surtout parmi les plus riches, un piano d'un système absolument nouveau et original qui, avec plus de grâce et d'avantages, remplace fort bien les pianos à queue généralement lourds et exempts de cette sveltesse de formes que l'on aime pourtant.

Le piano, tout le monde est d'accord sur ce point, est devenu un orchestre vivant, aux notes multiples et sonores, que chacun veut connaître et qui, en somme, est entièrement tombé dans le monde de la pratique. Aussi nos lecteurs ne seront-ils point étonnés de nous voir aujourd'hui, dans notre chronique habituelle, leur signaler un progrès de plus dans la facture instrumentale et une maison comme la maison Maroky, qui a toujours su porter haut et ferme le drapeau de l'industrie française." L'Étoile artistique : mondain, financier, littéraire, commercial, scientifique, 06/08/1887, p. 3 (gallica.bnf.fr)

 

Lyon "Place Bellecour, derrière les tilleuls, n°30 au 1er" (?)

16, place de la Charité (*1832)

30, rue de Pérat (x1835)(xxx1838)(zz1839)(1842)(***1843)(xx1843)(*1853)(xx1857)

21, Place Bellecour (yy1855)

50, rue du Pérat (Peyrat)(**1842)

30, rue de Perret (1843)(*1850)(*1853)(1864)

21, Place Louis-le-Grand (z1858)

44, Place Impériale (***1860)(z1862)(***1863)(*1864)(yy1864)(*1868)(**1869)(x1873)

17, rue Impériale (*1868)

44, rue de Lyon (*1875)(*1876)

44, Place de Lyon (1871 - 1878)

10, rue de Répos (1880)(¹⁹)(xx1887)

44, Place de la République (xx1887)(**1888)(*1893)

17, rue de la République (**1894)

17, rue neuve (*1896)(*1897)

44, rue Victor Hugo (1901)

8, rue Lafont (*1854)(*1913)

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1832-1913; (****1843)

MAROKI Etienne, né en 1799 en Hongrie à Vaylzen [?](¹⁹), facteur de pianos qui habitait en 1839-1847 au 30, rue Pérat (Peyrat) marié, 1 enfant et 1 domestique, pour un appartement de 5 pièces au 1er étage (valeur locative du commerce 210 francs, patente de 400 francs en 1843) [en 1837 et 1838 le logement est occupé par un rentier](³⁵).

MAROKY Etienne (*1832)(x1835)(xx1843)(*1853)(z1858)

SES SUCCESSEURS

MAROKY H. Vve. (1884)(**1888)(*1893)(*1896)

En 1897 il y avait 3 marchands avec le nom MAROKY à Lyon : MAROKY Veuve, 17, rue neuve, MAROKY Ignace, 44, rue Victor-Hugo et MAROKY Michel, 3, place Saint-Pothin.

Repris par AURAND-WIRTH (°1830) en 1901. (Archives commerciales de la France, 09/03/1901, p. 307 (gallica.bnf.fr))

Repris par MOISSONNIER Emile (**1921)

 

'Piano-Orgue Expressif' vers 1842 : "Maroky, réunit un orgue expressif et un piano, de manière à n'en faire qu'un seul instrument. (B. F.)" Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

"358° M. Maroky (Etienne) facteur de pianos, demeurant rue du Perret, n° 30, à Lyon département du Rhône, auquel il a été délivré, le 13 juin dernier, le certificat de sa demande d'un brevet d'invention de cinq ans, pour piano et orgue expressif; réunis en un seul instrument et pouvant être mis en jeu ou séparément." Bulletin des lois de la République française, 07/1842, p. 267 (gallica.bnf.fr)

Pour voir le brevet original
voyez le site
INPI
(¹³)

LYON - "Nous rangerons également au nombre des maisons connues pour leur bonne fabrication, MM. E. Bellet et Cie de Paris, Gruner et Maroky de Lyon." Journal officiel de la République française, 18/11/1872, p. 7091 (gallica.bnf.fr)

1860 - "Véran me mène chez M. Maroky, sur la place Impériale ; il avait à lui commander un orgue pour sa paroisse, comme aussi il devait s'accuper d'une cloche pour la même église. M. Maroky est loin d'être un organiste vulgaire ; il parla avec aisance de son art, fit preuve d'amples connaissances et s'accorda facilement avec mon ancien compagnon de classe. J'ai promis d'être présent à ..., lorsque les orgues commandées à M. Maroky y seront inaugurées. Véran acheta aussi un piano pour sa fille qui sort de pension. Plusieurs de ses instruments, au clavier desquels je fus prié de me mettre, répondaient aux désirs de l'acheteur, il se prononça toutefois pour celui que j'avais touché en second lieu : les sons étaient pleine sonores, armonieux ; j'emportai une très-bonne opinion du talent de M. Maroky ; j'en avais vu les preuves." La France littéraire, artistique, scientifique, dir. Adrien Peladan, 1860, p. 24-25 (gallica.bnf.fr)

1868 - "M. Maroky, facteur de pianos, âgé de 26 ans, d'une constitution nerveuse, était à la suite d'un refroidissement affecté de douleurs à toutes les articulations. Obligé de garder le lit, il avait eu recours à divers traitements et toujours sans succès. Un jour se trouvant moins souffrant que de coutume il se rendit, soutenu par deux personnes, à mon cabinet d'électrisation; quand je le vis, ses douleurs affectaient tous les membres ainsi que le trajet de la colonne vertébrale dans toute son étendue." Études sur l'électricité. Application de l'électricité au début des maladies et moyen de les éviter, 1868, p. 38 (gallica.bnf.fr)

 

Médaille de bronze Lyon, 1872 | Diplôme de médaille d'or Lyon, 1894

PLEYEL Gabriel Godefroid Ignace

(1796 - 1842)(⁸)(¹⁰)(²⁷)

 

 

Piano carré ca. 1825-30, Collection Privée

 

 

Piano droit ca. 1840, Musée de Limoux, France

 

1827

 

 

Piano carré n° 1048 ca. 1825 (?), Collection Radbon (voyez 3ème cartouche), Allemagne
Piano droit n° 1137, Collection privée ?
Pianino n° 1439, Musée du piano, Limoux, France (voyez 4ème cartouche)
Pianino n° 1506 de 1832, autre photo, et sa signature, Cité de la Musique, Paris, France

AVIS IMPORTANT

"MM. Ignace Pleyel et Cie facteurs de pianos et de harpes du Roi, dont les magasins sont rue Cadet. n° 9, ont l'honneur d'informer le public qu'ils n'ont rien de commun avec la maison Gabriel Pleyel et Cie galerie Colbert n° 23 et 25. Ils prient donc les personnes que veulent bien les honorer de leur confiance de ne pas confondre ces deux Etablissemens, et ils déclarent qu'ils ne reconnaissent comme fabriqués par eux que les pianos portant, sur la barre l'inscription (Médaille d'or) Ignace Pleyel et Cie facteurs de pianos et de Harpes du Roi. etc. Leur magasin de musique et de location de pianos est boulevard Montmartre, au coin de la rue Grange-Bateliere." Journal des débats politiques et littéraires, 19/06/1833, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"Pleyel (G.) et comp., r. Vivienne, 23. Breveté; pianos à queue et verticaux. Expos. en 1827." Répertoire du commerce de Paris, ou Almanach des commerçans, banquiers, négocians, manufacturiers, fabricans et artistes de la capitale, 1828, p. 567 (gallica.bnf.fr)

"VOYAGE D'AGREMENT EN SUISSE. Un professeur Langues modernes, sur le point de faire un voyage d'agrément en Suisse, avec trois jeunes Anglais confiés à sains, désirerait trouver une ou deux personnes qui voulussent profiter de l'occasion. On donnera, et l'on exigera les renseignemens les plus satisfaisans. S'adresser en personne du franc de port à MM. Gabriel Pleyel et Comp., rue Vivienne, n. 23." Annales du commerce : journal de jurisprudence commerciale, changes et opérations de commerce, arts, industrie, spectacles et littérature : annonces et avis divers, 1828, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"Pleyel (G) et Co., pianos carrés à une, deux et trois cordes, pianos à queue et pianos verticaux façon anglaise, r. Vivienne, 23." Almanach du commerce de Paris, Duverneuil, 1829, p. 142 (gallica.bnf.fr)

"PLEYEL (G.) et comp. : Breveté : pianos à queue et verticaux. Expos. en 1827; r. Vivienne, 23." Répertoire du commerce de Paris, ou Almanach des commerçans, banquiers, négocians, manufacturiers, fabricans et artistes de la capitale, 1829, p. 623 (gallica.bnf.fr)

"PLEYEL (Gabriel). Pianos à queue, façon anglaise; construction intérieure en fer fondu; inventeur des pianos verticaux en fer forgé." Annuaire des artistes français, Guyot de Fere, 1832, p. 297

"Pleyel (Gabriel) et co., pianos à queue façon anglaise, invent. des pianos verticaux en fer forge et fondu, mag. r. Vivienne et r. N. des-Petits Champs, galerie Colbert, 23 et 25; manuf. à la Chapelle-St-Denis." Almanach du commerce de Paris, 1833, p. 154 (gallica.bnf.fr)

INFO EXTRA

Gabriel PLEYEL à Paris,
par Jean-Marc STUSSI

VOIR AUSSI ...

... autres avec le nom PUJOL

 

 

 Paris

 

42, rue des Martyrs (?)(arr.9)(pt)

magasin : 23 et 25, rue Vivienne Galerie Colbert (*1827)(x1828)(*1829)(x1829)(xxx1833)(z1835)(arr.2)

manufacture à la Chapelle-St-Denis (xxx1833)(arr.18)

2, rue de la Grange Batelière (1836)(¹⁰)

 

'Facteur de pianos' droits, pianos carrés et pianos à queue ca. 1827-36

Inconnu du grand public, Gabriel PLEYEL est le frère cadet de Camille PLEYEL et le second fils d'Ignace Pleyel (il y avait également deux soeurs). Il est né le 09/02/1796 (¹⁰), probablement à Strasbourg. Il travailla avec son frère de 1824 à 1827.

1812 - Düsseks Op. 35 trois grandes Sonates dédiéés à Gabriel Pleyel

"KALKBRENNER (Frédéric). Pianiste célèbre, fils de Christian Kalkbrenner, compositeur et historien médiocre de la musique, né à Berlin en 1778, mort du choléra à Paris, en 1849. [...] Il s'était associé aux frères Pleyel pour établir à Paris une manufacture de pianos. Ses Pianinos surtout sont fort estimés. J. F." Encyclopédie du dix-neuvième siècle : répertoire universel des sciences, des lettres et des arts, avec la biographie de tous les hommes célèbres, 1836-1853, p. 805 (gallica.bnf.fr)

Il ouvre lui-même sa propre manufacture en 1827, sous le nom Gabriel PLEYEL & Cie le 21 février. Il s'associera avec Jean Pierre François Joseph PUJOL (originaire de Barcelone ?) mais il n'existe pas de documents témoignant de leurs activités après 1832. (³⁴)

1827 - Il participait sous le nom "Pleyel G. & Cie, rue Vivienne, 23, pianos" à l'Exposition de 1827, mais il n'arrivait pas d'obtenir une médaille.

1831 - "[...] Pleyel [Ignace] laissa eu mourant une belle fortune à ses deux fils, Camille et Gabriel, qui se livrèrent avec un rare succès à la fabrication des pianos." Castil-Blaze dans Dictionnaire de la conversation, Volume 14, 1844, p. 562

1832 - "Etude de M. Bonnaire, notaire. A vendre aux enchères, le mercredi 12 décembre 1832, à midi précis. En l'étude et par le ministère de Me Bonnaire, notaire à Paris, boulevard Saint-Denis, 12. Un Fonds de commerce de Facteur et marchand de Pianos, actuellement exploité par la société Gabriel Pleyel et Cie, galerie Colbert, 23 et 25, à Paris, avec l'achalandage attaché, et tous les pianos, marchandises, matériaux ustensiles en dépendant, ainsi que le droit au bail des lieux où s'exerce ledit fonds. Sur la mise à prix de 40,000 fr. S'adresser audit Me Bonnaire et à M. Pleyel." Gazette des Tribunaux, 25/11/1832, p. 4 et  Gazette des Tribunaux, 09/12/1832, p. 4 (data.decalog.net)

"PLEYEL Gabriel Godefroy Ignace, Fabricant de pianos, associé, passage Colbert. Le 28/07/1832, dans un acte sous seing privé, comportant dissolution entre ledit, gérant et PUJOL Jean Pierre François, comme commanditaire pour la fabrique de pianos, sous la raison PLEYEL et Compagnie, crée sous seing privé le 21/02/1827, a été dissoute ce jour. Source : D31u3-52/Pièce n° 1460." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois ».

1833 - Son fonds est vendu à Jean FRANK (°1833) en 1833

PLEYEL G. & Co (z1835) ??

1837-42 - "Bois DE SCIAGE. Pleyel (G.), et autres, chantier à la Chapelle, rue Marcadet, 31 ; dépôt, r. de Malte, 7." Almanach du commerce de Paris, 1837, p. 1049 (gallica.bnf.fr) les adresses 31, rue Marcadet (arr.18) et dépôt 7, rue de Malte (arr.11).

"Pleyel (G.) et en grume, Marcadet, 25, à la Chapelle-St-Denis" Almanach general de la France et de l'étranger, 1839, p. 641 (gallica.bnf.fr)

"Pleyel (G .), bois de sciage, à la Chapelle, Marcadet, 31." Almanach-Bottin du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales villes du monde, 1842, p. 319 (gallica.bnf.fr)

On trouve plus tard en 1861-64, PLEYEL-WOLFF aussu dans rue Marcadet 74-76, avec leurs 'ateliers à vapeurs et l'assemblage de caisses'.

1841 - Puis on trouve son nom en Algérie, Bône : "N° 161. — Arrêté ministériel du 8 mai qui pourvoit à cinq emplois de commissaires civils, à deux emplois de secrétaires de sous-direction, et à sept emplois de secrétaires près les commissariats civils. Paris, le 8 mai 1841. Le Président Du Conseil, Ministre Secrétaire D'etat de la guerre.
Vu l'ordonnance royale du 31 octobre 1838; Vu l'arrêté ministériel de ce jour, portant institution de nouveaux commissariats civils en Algérie,
Arrête: [...] 2. Sont nommés : Secrétaire de la sous-direction de l'intérieur à Bône, M. Pleyel, chef de section à la direction de l'intérieur à Alger, en remplacement de M. Pécoud, appelé à d'autres fonctions.[...]" Algérie. Bulletin officiel des actes du gouvernement, Volume 2, 1844, p. 305

1842 - Gabriel PLEYEL meurt à Bône, Algérie (²⁷) : "Camille, qui devait devenir un éminent virtuose-compositeur et facteur de pianos; Eugénie et Virginie, dont de curieuses lettres nous font deviner de spirituelles natures d'artistes, et Gabriel, qui, après de longs voyages dans les deux Amériques, mourut fonctionnaire en Algérie." L'Art décoratif, Volume 11, 1909, p. 178

1828 - "On voit tous les jours annoncé dans les Petites-Affiches et autres feuilles comme de très-bonnes occasions, différens objets vendre soi-disant à moitié du prix qu'ils ont coùté, et principalement des pianos, en empruntant, pour attirer le public des noms de fabricans en réputation. Dans la Quotidienne du 3° et le Constitutionnel du 31 juillet dernier, on lit un article ainsi conçu « BESOIN D'ARGENT. Excellent et superbe piano moderne de Pape avec sa garantie 575 fr. Il a été choisi par un maître. S'adresser au portier, rue Montmartre, n. 20 » Une personne, trompée comme bien d'autres par cette rue, se rendit au domicile indiqué: on la fit monter chez une Mme Rivet, et elle ne fut pas peu étonnée de trouver, au lieu de l'instrument annoncé, un piano uni-corde de Gabriel Pleyel. Elle a cru, dans l'intérêt du public devoir faire connaître cet abus." Le Figaro, 09/08/1828, p. 4 (gallica.bnf.fr)

1828 - "Grandes quérelles, divisions intestines dans la maison de la rue Vivienne, n° 23, occupée par M. Becherel, principal locataire, et par des tailleurs et des modistes du haut style. MM. Pleyel eux-mêmes, qui ont dans cette maison un dépôt de leurs pianos, n'auraient pu rétablir l'harmonie depuis que le sieur Sies, marchand de vin dont la boutique est au fond de la cour, au lieu de se borner à vendre modestement au canon, a fait placer au-devant de la porte-cochère de nombreuses enseignes, vin à douze sous le litre, qui ont affriandé les amateurs du voisinage. Si l'on en croit M. Becherel et tous les locataires, le sieur Sies, manquant à toutes les conditions de son bail, refuse d'éclairer le desous de la porte cochère, et se dispute avec toute le monde; trois portiers ont successivement été obligés de lui céder la place. Il se prend un jour de querelle avec un soldat, qui tire son sable, et coupe la corde qui retanait la lanterne placée au-devant de la rue; depuis, le sieur Sies n'ayant pas remplacé ce fanal, dont l'entretien est sa charge, les locataires, en rentrant, ont été réduits à compter sur la lune. [...] [...]" Le Courrier des tribunaux : journal de jurisprudence et des débats judiciaires, 12/1828, p. 339 (gallica.bnf.fr)

 

Liste des exposants Paris, 1827

RAOULT Auguste-Simon

(1795 - 1871)

1827

PARIS - "1503 (702). Le piano de M. Raoult (Auguste-Simon), rue Montmartre, n° 122, à Paris, n’a reçu du jury central aucune distinction." Musée industriel: description complète de l'exposition des produits de l ..., 1834, p. 199

PARIS - "RAOULT ( N° 362 ). - Ce jeune et habile facteur, dont la maison compte douze années d'établissement, se recommande par sa persévérance à développer les systèmes qui ont pour but la force, l'harmonie et la durée du piano. Il est surtout une notable amélioration que l'on doit à M. Raoult; jusqu'ici les ressorts des échappements anglais français, et à boudin, par le travail et l'humidité produisaient un sifllement aigu. M. Raoult, à l'aidé d'un moyen simple, en les suspendant par un bout à de petites lanières, leur ôte tout frottement; par conséquent, plus de bruit possible. Cette méthode offre un second avantage : ce resort, qui ne se fatigue jamais, force toujours la lame de l'échappement à revenir sous le noix, au lieu que, dans l'échappement dit Petzold, et ressort cesse de fonctionner, ou parce qu'il manque de force, ou parce que la puissance de l'impulsion qui lui est donnée, le casse. Dans l'échappement, dit anglais, il suffit du moindre gonflement du bois de la lame pour l'empêcher de marcher.
M. Raoult, qui avait apporté tant de soins à la confection des pianos ordinaires, ne devait pas s'arrêter lorsqu'il s'agissait de genres plus difficiles; aussi avons-nous remarqué dans ses pianos une harmonie forte, grandiose, pleine de vigueur. Sans les faire plus haut que ses pleine de vigueur. Sans les faire plus haut que ses confrères, M. Raoult a cependant obtenu des basses qui se marient parfaitement au médium et au-dessus: qualité qui se rencontre rarement. En poursuivant le cours de notre examen, nous en sommes arrivés aux pianos à frappement en dessus; M. Raoult, après nous avoir démontré que ses pianos n’etaient en rien semblables à ceux des autres facteurs, nous en a expliqué le mécanisma; les ressorts de ce mécanisme sont on caoutchouc. Ces ressorts par leur nature d'une grande légèreté et qui ne s'altèrent pas, puisque de nombreuses expériences tant prouve qu il faudrait 40 degrés de froid pour les rendre durs, et que les fortes chaleurs ne les dilatent pas, sont certainement ce qu'on a trouvé de mieux pour ces pianos; nul doute qu'une fois les embarras du mécanisme écartés ce genre de piano ne fasse oublier ses devanciers." La France Industrielle, 11/07/1839, p. 1

RAOULT par MONTAL

"[...] Quelque temps après, M. Raoult, autre facteur de Paris, a eu aussi l'idée de doubler les tables." L' art d'accorder soimême son piano: d'après une méthode sûre, simple et ..., Claude Montal, 1836, p. 234

 

 

Paris

Tours (Indre-et-Loire)

 

133, rue Montmartre (xxx1833)(yy1834)(z1835)(arr.2)

122, rue Montmartre (y1834)(arr.2)

14, rue des Fossés-Montmartre (1835)(¹⁰)(**1837)(*1838)(***1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(*1840)(x1840)(***1841)(arr.2)

18, rue Montmartre (x1841)(**1843)(arr.2)

8, place Breda (*1842)(arr.?)

à Paris

à Tours (Indre-et-Loire)(1851)(³¹)

 

 

 

'Facteur de pianos', 'Pianos de toutes les formes'

Il était témoin chez le mariage de GUION en 1835.

RAOULT-PARVY (ca. 1840), voir PARVY

Époux de DAUNINE-LAFARGUE Marie Eugenie :

1851 - "MC/ET/LIV/1469 - 9 août 1851 - procuration acte, substitution, prise de possession de successions. -
Intervenant 1, en première partie : Nom, qualité : (M.) Raoult, Auguste Simon. Profession : facteur de pianos, Tours (Indre-et-Loire). Domicile : Tours (Indre-et-Loire). Relations : procureur de l'intervenant 2.
Intervenant 2, indirect : Nom, qualité : (Mme ou Mlle) Daunine-Lafargue, Marie Eugenie. Profession : propriétaire. Domicile : Tours (Indre-et-Loire). Relations : épouse de l'intervenant 1, héritier de l'intervenant 3.
Intervenant 3, indirect : Nom, qualité : (M.) Monier, Louis Ferdinand. État civil : décédé. Domicile : Tours (Indre-et-Loire). Relations : fils de l'intervenant 2.
Intervenant 4, en deuxième partie : Nom, qualité : (M.) Tissier, Felix. Profession : avoué près le tribunal civil de premiere instance, Paris. Domicile : Paris (Paris) rue Rameau, 4." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

"Raoult, pianos à queue façon anglaise, intérieur en fer fondu, transpositeurs, carrés et droits à 2 et 3 cordes : il loue aussi des pianos, r. Montmartre, 133." Almanach du commerce de Paris, 1833, p. 154 (gallica.bnf.fr)

"Raoult, pianos en tous genres, loue et échange pianos carrés a fonds à jour et barrés en fer, plus sonores, moins cassants et gardant mieux l'accord que ceux de construction ordinaire; pianinos avec basses sonores et prolongées comme dans les pianos carrés; il garantit ses instruments et s'engage à faire toutes les réparations provenant du défaut de construction seulement, et pendant 4 ans, rue des Fossés-Montmartre, 14." Agenda musical, Paris, 1837 (gallica.bnf.fr)

"Raoult, piano à queue genre anglais, intérieur en fer fondu ou forgé, à 6 et demi et 7 oct., transpositeurs à queue carrés, droits à 2 et 3 cordes, pianos à queue et carrés, d'un genre nouveau, à 6 et demi et 7 oct., plus solides et plus légers, tenant bien l'accord, frappemens en dessus des cordes, pianinos à 2 et 3 cordes, r. Foss. Montmartre, 14." Almanach du commerce de Paris, 1837, p. 172 (gallica.bnf.fr)

 

Liste des exposants Paris, 1834 | Liste des exposants Paris, 1839

RINALDI Julien Thomas

(ca. 1797 - 1848)(¹⁰)

 

 

 

 

1827  

Piano carré n° 121 ca. 1829, Kolthoorn Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas

Brevet de 1838 : "Rinaldi, apporta un changement dans la direction des cordes, prétendant que par cette innovation l'instrument devait avoir plus de son et tenir mieux l'accord, attendu que les trente notes placées verticalement diminuaient le plus d'un tiers le tirage de la caisse. A partir de la quarante-neuvième note jusque et y compris la soixantetreizième, les cordes étaient verticales au moyen d'une double table d'harmonie placée dans le derrière du piano. Une barre de fer qui portait sur le sommier des chevilles et sur le sommier des pointes consolidait l'instrument. (B. F.)" Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861  - et (*1840)

Pour voir le brevet original
voyez le site
INPI
(¹³)

"Rinaldi, r. Meslay, 65 bis. Fab. de pianos d'une nouvelle invention, forts en son et très-harmonieux. Exp. en 1827." Répertoire du commerce de Paris, ou Almanach des commerçans, banquiers, négocians, manufacturiers, fabricans et artistes de la capitale, 1828, p. 567 (gallica.bnf.fr)

"M. Rinaldi, facteur de pianos, vient d'ouvrir trois beaux salons, boulevart Saint-Denis, n° 11, dans lequel on trouve un assortiment complet d'excellens instrumens à deux et à trois cordes. Nous signalons également ce local aux artistes qui se proposent de donner des concerts." Le Ménestrel, 25/09/1836, p. NP (gallica.bnf.fr)

"Rinaldi, pianos droits et carrés, pianos à queue, pianinos à 2 et 3 cordes, à 6 et 6 octaves et demie, solidement confectionnés et dans le goût moderne, en acajou, palissandre, courbary, etc., unis et avec incrustations, rue Sainte-Apolline, 14, et boul. Saint-Denis, 11." Agenda musical, Paris, 1837 (gallica.bnf.fr)

"Les pianos de la maison Rinaldi, qui déjà avaient mérité une médaille d'honneur à notre dernière exposition de 1849, viennent de recevoir de nouveaux perfectionnements. Au moyen de nouvelles tables solidifiées, l'accord peut même défier humidité résultant d'un voyage sur mer. C'est là un précieux perfectionnement pour les instruments destinés à l'exportation, et qui doit compléter la réputation déjà bien établie en France et à l'étranger, des pianos Rinaldi." Le Ménestrel, 08/09/1850, p. 3 (gallica.bnf.fr)

"Les pianos qui sortent des magasins de Mme. veuve Rinaldi ont acquis dans le monde musical, tant en France qu'à l'étranger, une grande et juste réputation qu'ils doivent à l'extrême délicatesse de la touche, la qualité exquise du son, et principalement à la manière remarquable dont ils conservent l'accord, d'après un nouveau mécanisme aussi simple qu'ingénieux. Mme veuve Rinaldi, voulant se rapprocher de son élégante et riche clientèle, vient de transporter ses magasins, à partir du 15 de ce mois, rue Caumartin, 1 et 3 (boulevard des Capucines)." La Presse, 17/04/1853, p. 3 (gallica.bnf.fr)

"RINALDI (J.), Spécialité pour les pianos droits. - Vente et location. Rue Caumartin, 3." Nouveau dictionnaire de musique illustré, Charles Soulier, 1855

"Au nombre des fabricans de pianos qui ont mérité la médaille de 1re classe figure la maison Rinaldi, connue en France et à l'étranger pour l'excellente fabrication de ses pianos droits. À une puissance et à une qualîté de son appréciées de tous les artistes, et les instrumens de cette maison joignent une solidité remarquable." La Presse, 21/12/1855, p. 2 (gallica.bnf.fr)

"Maison RINALDI rue Caumartin.
Les pianos de cette maison jouissent d'une réputation bien méritée. Ils sont adoptés par tous les artistes et par tous les amateurs de distinction. A toutes les expositions, les travaux de la maison Rinaldi ont figuré avec éclat et ont été dignement récompensés. A la grande exposition de 1855, elle a reçu la médaille de première classe pour ses pianos droits, spécialité dans laquelle elle n'a pas de rivale. La maison Rinaldi a fondé, à Rio-de-Janeiro, une succursale, qui est dirigée par M. Rinaldi fils, talent d'un grand mérite et destiné à apporter sa part de progrès dans la fabrication des pianos. En outre du choix considérable de pianos de sa fabrique que la maison de Paris peut offrir aux amateurs de bons instruments, on y trouve également des pianos d'occasion, dont elle garantit la bonne qualité et la solidité, ainsi qu'une grande quantité de pianos pour la location dans tous les prix." La France Musicale, 1859 (gallica.bnf.fr)

1855 - "Au nombre des fabricants de pianos qui ont mérité la médaille de 1° classe à la suite de l'Exposition universelle figure la maison Rinaldi, depuis longtemps connue en France et à l'étranger pour l'excellente fabrication de ses pianos droits. À une puissance et à une qualité de son appréciées de tous les artistes, les instruments de cette maison joignent une solidité remarquable. A l'occasion de cette récompense, Mme Rinaldi à réuni jeudi soir les ouvriers de sa fabrique en un banquet chez Deffieux. La plus franche cordialité n'a cessé de régner à cette fête industrielle." Le Ménestrel, 23/12/1855, p. 3 (gallica.bnf.fr)

1864 - RINALDI - ALEXANDRE Père & Fils, même appartement - "6° Espèce. - (Biesta C. Usse Rinaldi et autres.) [...] Voici les motifs de ce jugemant : - " Attendu que Biesta ou ses auteurs, en louant à Usse Rinaldi, facteur de pianos, l'appartement qu'il allait occuper dans la maison rue Caumartin, n. 1 et 3, pour y exercer son industrie, doivent être considérés comme s'étant angagés à le garantir de tout trouble apporté à ladite industrie, en vertu du principe général qui oblige le bailleur à faire jouir paisiblement le preneur de la chose louée; [...]" Recueil général des lois et des arrêts : en matière civile, criminelle, commerciale et de droit public, 1864, p. 258 (gallica.bnf.fr) - et - Journal du Palais : contenant les jugemens du Tribunal de cassation, et des tribunaux d'appel de Paris et des départemens, dans les principales causes et questions que les lois nouvelles rendent douteuses et difficiles, 1864, p. 1083-1084 (gallica.bnf.fr)

VOIR AUSSI ...

... autres marques avec le nom RINALDI

 

 

Paris 65 bis, rue Meslay (1827)(x1828)(*1829)(x1829)(x1832)(arr.3)

 43, rue du Faubourg Saint-Martin (1834)(***1836)(arr.10)

 14, rue Sainte-Apolline (x1837)(arr.2)

11, boulevard Saint Denis (1836)(**1837)(x1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(*1840)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(x1843)(arr.10)

Fabrique : rue de la Fidélité (x1841)(x1847)(*1848)(arr.10)

13, boulevard Saint Denis (1843)(¹⁰)(**1844)(xx1844)(**1845)(**1846)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(**1852)(**1854)(arr.10)

16, rue Sainte-Apolline (xx1844)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1851)(**1852)(arr.2)

Fabrique : [15] ou [19], rue Neuve de la Fidélité (x1843)(**1846)(x1849)(*1850)(*1851)(**1852)(arr.10)

[1 et] 3, rue de Caumartin (yy1851)(***1853)(***1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(*1864)(**1864)(yy1864)(*1867)(**1870)(arr.9)

80, avenue des Ternes (**1864)(**1870)(**1871)(**1873)(arr.17)

10, boulevard Malesherbes (*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(1880)(arr.8)

'Maison à Rio - Janeiro'

20 ouvriers en 1839 (⁶)

25 ouvriers et 180 pianos par an vers 1844

 

'Facteur de pianos' droits, pianos carrés et pianos à queue 1827-80

Élève de FREUDENTHALER (°1789)

Époux de POUPET Elisabeth (¹⁰)

Repris par Madelaine-Élisabeth RINALDI, la veuve dès 1848.

RINALDI Mme. (yy1851)

RINALDI Vve. (1855) ou RINALDI Mme. (*1850)(*1851)(**1852)(***1855)(xx1857)(xx1860)(**1864)(yy1864)

RINALDI-USSE vers 1864-67.

Á la mort du fondateur, sa veuve a continué la facture des instruments et étant remariée, elle a joint à son établissement le nom de son mari ('Usse'). Mais selon Pizzi (¹) elle ne produisait plus des pianos après la mort de RINALDI.

Maison RINALDI (*1876)

RINALDI M. (?)

RINALDI M.-RENAUD (avant 1880), voyez RENAUD

1880 - "Vendeur : Renaud - Acquéreur : Wetzels - Domicile élu pour les oppositions : R. Fb-Poissonnière, 68, Nord et Girard - Entrée en jouissance : de suite - Fonds vendu : F. fact. pianos (Rinaldi), Bd Malesherbes, 10." Archives commerciales de la France, 11/04/1880, p. 486 (gallica.bnf.fr)

Quel WETZELS était l'acquéreur?  WETZELS Jean (°1825) ? ci-dessus, ou WETZELS Guillaume (°1850), ou encore un autre? Parce que l'adresse ne corresponde à aucun de deux.

PARIS - "1505 (1207). M. Rinaldi, à Paris, faubourg Saint Martin, n° 43, obtint une mention semblable au même concours, pour ses pianos carrés: ceux qu’il avait fait admettre sur la place de la Concorde, ont été passés sous silence par le jury." Le musée artistique et industriel: exposition 1834, p. 199

PARIS - "Parmi les nombreux pianos que l'industrie musicale a envoyés cette année à l'exposition, il en est un qui mérite d'être signalé à l'attention des connaisseurs. C'est le piano-Rinaldi. Cet instrument offre une particularité remarquable pour laquelle M. Rinaldi a demandé et obtenu un brevet. A partir de la quarante-neuvième note, jusques et y compris la soixante-dix-huitième, les cordes sont verticales par le moyen d'une douille table d'harmonie, placée dans le derrière du piano. Par ce moyen, l'instrument a de très beaux sons dans le bout, et il paraît aussi qu'il tient mieux l'accord que les pianos ordinaires." Le Ménestrel, 23/06/1839, p. 4 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "Entendez-vous dans ce petit espace, situé entre MM. Herz et Kriegelstein et occupé par quatre facteurs, résonner harmonieusement un piano à queue sous les doigts d'une artiste habile ce piano sort des ateliers de M. RINALDI et c'est sa fille qui vient de nous charmer avec une étude de Goria et la sérénade de Prudent. Il y a des familles privilégiées où les talens sont héréditaires. Dans sa dernière visite à l'exposition, le roi et la reine, après avoir entendu Mlle Rinaldi, ont félicité Mme Rinaldi de voir réunis dans sa famille un bon facteur pour construire de beaux instrumens et une artiste habile pour les faire valoir. M. Rinaldi, fils d'un facteur de la principauté de Lucques, vint en France en 1816 et pour se perfectionner dans son art. Il travailla plusieurs années sous la direction de Freudenthaler qui, à cette époque, était un des premiers facteurs de Paris. Le frère aîné de Rinaldi ayant succèdé son père dans la facture des pianos, il se décida à s'établir en France, et il s'attacha à apporter des améliorations, surtout dans les pianos verticaux, qui jouissent dans les salons d'une belle réputation par leur sonorité, la facilité du clavier, et surtout par la bonne tenue de l'accord. Le piano à queue exposé a six octaves trois quarts, il est à trois cordes, avec mécanisme perfectionné, il soutient avec honneur la lutte engagée chaque jour entre les divers pianos à queue qui l'environnent. Mais ce que je conseille à tous les artistes de remarquer et surtout de toucher, c'est un piano droit à sept octaves. La rondeur et l'égalité du son qui le distinguent, en font un excellent instrument. M. Rinaldi a appliqué le système anglais perfectionné par lui un sommier de tôle entoure ce piano. Il y a adapté le barrage en fer. La sonorité en est plus intense et plus ronde que dans le système commun de construction." La France Musicale, 1844 (gallica.bnf.fr)   -  Voyez ici FREUDENTHALER (°1789)

PARIS - "M. RINALDI, à Paris, boulevard St-Denis, 13, - A exposé un piano à queue et un piano droit à cordes verticales qui, au concours, a été mis au douzième rang. Ce fabricant occupe vingt-cinq ouvriers dans ses ateliers et confectionne chaque année cent quatre-vingts pianos. Le jury décerne une mention honorable à M. Rinaldi." Rapport du Jury central ..., Paris Jury central, Imprimerie de Fain et Thunot, 1844, p. 545

PARIS - "1016. Rinaldi, fabricant de pianos, boulevard Saint-Denis, 13, à Paris. Spécialité pour les pianos verticaux. Brevet de perfectionnement. On trouve chez lui un grand choix de toutes sortes de pianos à vendre et à louer." Catalogue explicatif et raisonné des produits admis à l'exposition quinquennale de 1844, p. 201-202 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "M- V° Madelaine-Élisabeth RINALDINI [sic], boulevard Saint-Denis, n° 13, à Paris. L'établissement fondé par M. Rinaldini est digne d'encouragement; les pianos qu'on y fabrique sont de bons instruments, et leur réputation s'est bien soutenue au concours. Le piano droit de MM Rinaldini [sic] a été placé le troisième de cette catégorie.
M. Rinaldini [sic] avait eu une mention honorable en 1834 : le jury décerne à sa maison une médaille de bronze." Rapport du Jury Central sur les Produits de l'Agriculture et de l'Industrie, 1849, p. 581

PARIS - "La maison Rinaldi a présenté aussi les produits de ses ateliers, et ils offrent quelques améliorations dans la mécanique. Ces pianos ont une jolie qualité de son argentin ; les basses seulement laissent peut-être un peu à désirer ; le clavier est léger et bien réglé.
Comme meuble, ils sont d'ailleurs de bon goût, d'une forme gracieuse et élégante. Ils doivent nécessairement occuper une place dans le boudoir d'une jolie femme." La Tribune des artistes : journal publié sous les auspices de la Société libre des ..., 1849, p. 139 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "M. RINALDI-USSE. - Cette maison jouit dans le monde d'une belle réputation, due au travail consciencieux de M. Rinaldi. A la mort du fondateur, sa veuve a continué la facture des instruments et, s'étant remariée, elle a joint à son établissement le nom de son mari.
A toutes les expositions, nous avons vu les pianos Rinaldi y figurer avec avantage pensée selon leur mérite, c'est que le jury n'avait qu'un nombre restreint et fort limité de récompenses à accorder.
1827. Mention Honorable pour ses instruments. | 1844. Mention honorable, piano droit à cordes verticales. | 1849. Mme Rinaldi, Médaille De Bronze, piano droit, classé 3e rang. | 1855. Mme Rinaldi, Médaille De Première Classe. | 1867. Mention Honorable." La musique à l'Exposition universelle de 1867, Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant

TEXTE IRONIQUE

"Quand le bel enfant eut fini sa valse qui parût avoir duré trois heures, tout le monde se précipita vers ce piano qui fait valser plus qu'on ne veut; et chacun cherchant le nom du facteur, croyait lire sur une plaque de cuivre : SATAN, facteur de pianos, breveté du DIABLE, sans garantie du gouvernement.  Aussi l'étonnement fut grand quand, au lieu de ces mots, on lut : RINALDI, facteur de pianos, boulevart St-Denis, 13.  Qu'importe ! la foule ne se retira pas moins avec la croyance qu'une main sur naturelle avait présidé à la construction de ce piano; que ses cordes avaient été fait clavee des poils de la queue du diable; que ses touches étaient les rognures des ongles du diable et qu'enfin toute la nuit on avait valsé au piano du diable." Le Mercure des théâtres : modes, littérature, beaux-arts, 31-12-1846  (gallica.bnf.fr)

 

Mention honorable Paris, 1827 | Liste des exposants Paris, 1834 | Liste des exposants Paris, 1839 | Mention honorable Paris, 1844 | Médaille de bronze Paris, 1849 | Médaille de 1re classe Paris, 1855 | Médaille de bronze Paris, 1867

SOUFLÉTO François Fructidor
| SOUFFLETO

(1794 - 1872)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1827

 

'Pianos droits perfectionnés'

Pianos droits et pianos à queue

Piano niche de chien ca. 1828-29, Jack Wyatt Museum, Piano Technicians Guild Foundation, Forest Ave, Kansas City, U.S.
Piano niche de chien ca. 1836, autre photo, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
Piano 'oblique' n° 890 de 1838, Collection Christopher Clarke, France
Piano niche de chien ca. 1830, Germanische Nationalmuseum, Nürnberg, Bayern, Allemagne
Piano 'pont' n° 910 de 183? (3ème cartouche), Musée du piano, Limoux, France
Piano niche de chien n° 526, Haags Gemeentemuseum, La Haye, Pays Bas
 Piano niche de chien ca. 1840, Collezione Fondazione Musicale Masiero e Centanin, Padova, Italie
Piano droit ca. 1835, Musée de Grasse, France
Piano niche de chien, Jack Wyatt Museum, Kansas City, M.O., U.S.
Piano niche de chien ca. 1838, Pianomuseum Haus Eller, Bergheim, Allemagne
Piano droit ca. 1830-40, Museo de Instrumentos Musicales, Casa de la Cultura Ecuatoriana, Ecuador
Piano droit n° 3020 ca. 1850, The Smithsonian Institution, Washington, U.S.

PHOTOS EXTRA

Piano oblique n° 890

   

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SOUFLETO
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'Piano à table bombée', SOUFLÉTO, construisit cet instrument. Dictionnaire des instruments de musique, Jacquot, 1886

Brevet de 1836 : "Soufleto, s'occupa également de l'échappement. Ce facteur avait reconnu que l'échappement anglais offrait l'inconvénient d'être obligé de démonter une partie du piano quand on veut régler cet échappement, parce que la vis au moyen de laquelle on le règle se trouve par derrière. Dans un autre système qui n'est que l'échappement anglais corrigé, on ne rencontre pas les mêmes inconvénients, parce qu'au moyen de la tige à vis qui se trouve par devant, on fait avancer ou reculer un bouton garni d'étoffe qui représente pour l'effet la bande du système précédent; mais ce bouton n'étant pas stationnaire, il en résultait que les secousses qu'il recevait le faisaient dévier de la tige sur laquelle il était fixé, et cette déviation amenait souvent la courbure de la tige. Pour éviter ces inconvénients et produire un échappement qui fût à la fois doux et résistant, Souffleto imagina un système d'échappement à bascule, consistant dans une bascule en bois taillée à son extrémité supérieure en tête du marteau et garnie d'une double peau sur laquelle frotte le pilote d'échappement. Cette bascule qui appuie son milieu ou la pointe d'angle sur la traverse en bois, est fixée à cette dernière par deux vis qui permettent d'avancer ou de reculer la tête de la bascule sur laquelle a lieu l'échappement, de la manière la plus prompte et la plus facile, puisque les vis sont sur le devant du mécanisme; de cette manière le règlement du pilote s'obtient au degré voulu. Il fit également usage d'une table d'harmonie voûtée et un nouveau fond, consistant en un barrage léger. Souffleto remplaça les chevilles qui servaient de guide aux touches, par un axe horizontal porté par une petite tige verticale; le tout ayant la forme d'un T. (B. F.)" Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

Brevet de 1841 : "92° M. Souffleto [sic] (François), facteur de pianos, représenté à Paris par M. Reynaud demeurant rue Bleue, n° 18, auquel a été délivré, 16 juillet dernier, le certificat de sa demande d'un brevet d'Invention et de perfectionnement de cinq ans, pour un appareil propre à la fabrication des pianos." Bulletin des lois de la République française, 01/1841, p. 33 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1853 : "Souffleto [sic], établit un système de compensation de la charge des cordes sur la table d'harmonie." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

Brevet d'invention, 1855

Pour voir le brevet original
voyez le site
INPI (¹³)

 

Paris

 

16, rue de Harlay au Marais (1828)(xxx1833)(arr.1)

6, rue de Harlay au Marais (18??)(arr.1)

12, rue Feydeau (1830)(arr.2)

14 [?], rue Feydeau (x1840)(arr.2)

4, boulevard Saint-Denis [ci-devant rue Harlay] (xxx1833)(1834)(z1835)(arr.10)

34, boulevard Saint-Denis (1834)(***1836)(arr.10)

Fabrique : 174, rue du Faubourg-Saint-Martin (***1836)(**1837)(***1838)(x1839)(x1841)(*1842)(**1843)(x1843)(xx1844)(**1846)(x1847)(*1850)(*1851)(arr.10)

magasin : 1, rue Neuve Mont-Morency, près de la Bourse [au coin de celle Feydeau] (***1836)(**1837)(*1838)(x1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(arr.3)

167, rue Montmartre  (1844)(arr.2)

171, rue Montmartre (salons)(x1841)(*1842)(x1843)(**1844)(xx1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(**1852)(**1854)(xx1856)(arr.2)

164, rue Montmartre (1855)(arr.2)

161, rue Montmartre (x1855)(z1855)(**1856)(*1857)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(arr.2)

Fabrique et chantiers : 172, rue du Faubourg-Saint-Martin (yy1851)(**1854)(z1855)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(**1864)(yy1864)(*1867)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(***1885)(*1886)(*1887-88)(**1888)(xx1889)(x1890)(xx1890)(*1893)(*1895)(*1897)(**1898)(z1900)(z1902)(**1903)(**1905)(*1907)(arr.10)

161, rue Montmartre (1877)(xxx1878)(arr.2)

SUCCURSALE : 20, rue du faubourg Poissonnière (**1885)(**1888)(arr.9)

Impasse Boutron (z1900)(z1902)(arr.10)

44 ouvriers pour 80 pianos par an (**1844)

 

'Facteur de pianos' ca. 1828-1907

François Fructidor SOUFLÉTO né selon certains en 1794 et selon d'autres en 1799, François Fructidor SOUFLETO était l'élève de Johannes ROLLER (°1804). Selon un article dans Revue et Gazette Musicale de 1849, il était aussi disciple d'ERARD.

Selon 'Revue et Gazette musicale de Paris' de 1876, la maison est fondée en 1827 : "SOUFLETO, facteur de pianos - 161, RUE MONTMARTRE - MAISON FONDÉE EN 1827 - Fabrication de premier ordre. — Exportation." Revue et gazette de Paris, 1876

"C‘est en 1828 [sic] que François Soufleto, élève de Roller, créa sa maison qui eut son heure de célébrité, grâce à sa bonne fabrication et à la publicité qui résultait pour le facteur, des nombreux concerts donnés dans ses salons. Comme innovations, F. Soufleto compte à son actif un perfectionnement de l’échappement anglais (1836) et du mode d’ajustement de la touche (1840); un système de compensation dans la charge des cordes sur la table d’harmonie (1853), et un piano droit à table bombée à l’instar du violon, pour éviter la détérioration que subissent les tables planes (1855). F. Soufleto avait obtenu une méd. d’argent en 1834, pour des pianos verticaux à cordes obliques, les meilleurs après ceux de Roller; il en reçut une autre en 1839, pour un piano à queue placé le premier après celui d’Erard, qui fut renouvelée en 1844, et, tous ses instruments ayant encore obtenu le premier rang, la médaille d’or lui fut acquise en 1849. A Londres, il n’eut pourtant qu’une mention en 1851, mais une méd. de 1re classe lui fut accordée en 1855." Les facteurs d'instruments de musique: les luthiers et la facture instrumentale : précis historique', Constant Pierre, E. Sagot, 1893, p. 192

SOUFLÉTO François (1834)

SOUFLETO, AULAGNIER & BIGNAN (1835-36), voir AULAGNIER

1835 - "CABINET DE M. E. LETULLE, JURISCONSULTE, Rue de la Lune, ». 10. Par acte sous seings privés-fait double à Paris, le 31 décembre 1834, enregistré ; M. FRANÇOIS SOUFLETO, facteur de pianos, demeurant à Paris, boulevart Saint-Denis, n. 4; Et M. ANTOINE AULAGN1ER, éditeur de musique, demeurant à Paris, rue de Valois, Palais-Royal, n.9; Ont formé entre eux, sous la raison sociale SOUFLETO et compagnie, une société ayant pour objet l'exploitation de la fabrique de pianos dudit sieur SOUFLETO, qui a obtenu une médaille d'argent à l'exposition de 1834; Cette société, qui commencera le 1er janvier 1835, est formée pour 9,12 ou 15 ans, à la volonté des parties, et aura son siège provisoire à Paris, boulevart Saint-Denis, n. 4. M. SOUFLETO, établi gérant-responsable, aura seul la signature sociale, qui, cependant n'obligera la société qu'autant qu'elle aurait été donnée pour une opération sociale inscrite sur les livres. Le fonds social est fixé à 48,000.fr. Les bénéfices, après les divers prélèvemens autorisés resteront en masse de compte pour accroître le fonds social jusqu'à dissolution de la société. En cas de décès, la société sera dissoute de droit, et liquidée par M. SOUFLETO, s'il est survivant. Pour extrait, le fondé de pouvoirs : E. LETULLE, jurisconsulte." Gazette des Tribunaux, 13/01/1835, p. 4 (data.decalog.net)

1836 - "SOUFLETO François, Facteur de pianos, rue du faubourg Saint Martin, n° 174, cité le 15/03/1836, dans un acte notarié, comportant société entre ledit et AULAGNIER Antoine, éditeur de musique, rue de Valois, Palais Royal, n° 9 et BIGNAN Charles Louis, propriétaire, rue de Grammont, n° 17, lesquels se sont associés à compter de ce jour, en commandite : SOUFLETO ; AULAGNIER et BIGNAN pour l'exploitation d'une fabrique de pianos à cette première adresse sous la raison SOUFLETO et Compagnie. Source : D31u3-67/Pièce 340." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

SOUFLÉTO & Cie (1839)(**1846)

1840 - "SOUFLETO Francois, Facteur de pianos, rue du faubourg Saint Martin, n° 174. Cité le 27/06/1840, dans un acte sous seing privé comportant dissolution entre ledit et AULAGNIER Antoine, éditeur de musique, rue de Valois, Palais Royal, n° 9 et BIGNAN Charles Louis, propriétaire, rue de Gramont, n° 17, lesquels étaient associés dans une société sous seing privé, formée le 15/03/1836, dont le siège est à cette dernière adresse, qui est dissoute, à compter de ce jour. Source : D31u3-92/Pièce 1042." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1840 - "D'un acte sous seing privé en date du 27 juin 1840, enregistré et déposé au Tribunal de commerce ; Il appert, que la société sous la raison sociale SOUFLETO et Cie, formée pour l'exploitation d'une fabrique de pianos, par acte du 15 mars 1836, enregistré, déposé et publié selon la loi, entre M. François SOUFLETO, facteur de pianos, demeurant à Paris, rue du Faubourg-St-Martin, 174, et les commanditaires y dénommés, est dissoute à partir du 27 juin 1840. M. Soufleto, et M. Bignan, demeurant à Paris, rue de Grammont, 17, sont nommés liquidateurs, M. Soufleto est chargé delà vente, et M. Bignan des engagemens et encaissemens." Gazette des Tribunaux, 11/07/1840, p. 4 (data.decalog.net)

1845 - 18-11-1845 (V2E/9152, mairie du 2e arrondissement) : Mariage de François SOUFLETO, fabricant de pianos, demeurant 171 rue Montmartre, veuf en 1ères noces de Jeanne GUIGNARD, fils de Charles et Marie VIDAL, décédée, et Anne Aimée MUZARD, rentière, demeurant 12 rue Buffault, fille majeure de Jean et Jeanne DURANDEAU, tous deux décédés." Ghcaraibe.org - G.H.C. Bulletin 82 : Mai 1996, p. 1636

SOUFLÉTO François (1849)

1851 - "MC/RE/LXVI/29 - Declaration de command, adjudication de terrain, 372m2, 6300f, Paris (Paris) impasse Boutron. Intervenant 1, en première partie : Nom, qualité: (M.) Thomas, Antoine Juste Alphonse. Profession : notaire, Paris. Domicile : Paris (Paris) rue Bleue, 17. Relations : procureur de l'intervenant 2. Intervenant 2, en deuxième partie : Nom, qualité: (M.) Soufleto, Francois Fructidor. Profession : fabricant de pianos, Paris. Domicile : Paris (Paris) rue Montmartre, 171. - Relations : adjudicataire des biens de l'intervenant 3.
Intervenant 3, indirect : Nom : Hospice Civil de Loudun (Vienne)" siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1852 - "08/04/1852 - MC/ET/VII/785 Obligation par François Fructidor Soufléto, fabricant de pianos, et Anne Aimée Muzard, son épouse qu'il autorise, demeurant 171, rue Montmartre, à Pierre Fabre, propriétaire, demeurant 30, rue Bleue."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1862 - "Atelier de M. Soufleto. - MM. Desplanques, A. Carron." Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862, p. 54 (gallica.bnf.fr)

1872 - "F. Soufleto mourut le 1e août 1872, âgé de 72 ans, laissant sa maison à son fils Charles-Etienne, né le 18 mai 1827, qui obtint une méd. d’argent en 1878  pour un piano de concert à cordes parallèles, et des pianos droits dont les cordes étaient disposées en éventail sur la table d’harmonie, pour obtenir une plus grande sonorité. En 1889, une intéressante exposition de divers modèles lui valut la même récompense." Les facteurs d'instruments de musique: les luthiers et la facture instrumentale : précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893

Son fils Charles-Étienne (Paris? 18 Mai 1827)  lui succède.

1872 - "On annonce la mort de M. François Soufleto, chef d'une importante manufacture de pianos. Il était âgé de 78 ans." Le Ménestrel, 18/08/1872, p. 312 (gallica.bnf.fr)

SOUFLÉTO Charles Etienne, son fils et successeur dès 1872 (xxx1878)

SOUFLÉTO Charles (***1885)(xx1889)(x1890)(xx1890)

'Pianofabrikant' (xx1890)

"However deficient the French were until a very few years since in almost every thing which relates to mechanics, yet in some articles they have now made such rapid strides, that it becomes a question whether they will not surpass us, if we do not exert the same energy in the spirit of improvement with which they have been recently actuated. Formerly the inferiority of French pianos to ours was most evident, and perhaps, generally speaking, I should still say it was the case, but there are a few manufacturers, the tone of whose instruments is superb; of such a description are those of M. Soufleto.

It is really surprising how he has been enabled, in a small upright piano, to produce the force and depth of tone which he has found the means of uniting in comparatively so small a volume, the bass having absolutely the power and roundness of an organ; but that part of an instrument which most frequently fails, is that which is composed of the additional keys or the highest notes, which are apt to be thin and wiry, but with Mr. Soufleto's pianos it is not the case, the tone being soft and full, with a proportionate degree of force with the rest of the instrument. His merit has been duly acknowledged, having not only received the King's patent, but having been twice presented with medals, and appointed manufacturer to the Queen.

As most English families who come to Paris for the purpose of residing or sojourning for a certain time, are desirous of hiring or purchasing a  good piano, I can assure them that such they will find at M. Soufleto's, No. 171, Rue Montmartre, and that his terms are extremely moderate in consideration of the excellence of his instruments." How to Enjoy Paris in 1842, F. Hervé, 1842

NÉCROLGIE

1872 - "On annonce la mort de M. François Soufleto, chef d'une importante manufacture de pianos. Il était âgé de 78 ans." Le Ménestrel, 18/08/1872, p. 312 (gallica.bnf.fr)

 

Médaille d'argent Paris, 1834 | Liste des exposants Valen-ciennes, 1835 | Médaille d'argent Toulouse, 1835 | Brevet de 1836 | Nouvelle médaille d'argent Paris, 1839 | Médaille d'argent Paris, 1844 | Liste des exposants Valenciennes, 1841 | Médaille d'or Paris, 1849 | Mention honorable, Londres 1851 | Honorable Mention Paris, 1855 | Mention honorable Paris, 1867 | Prize medal Sydney, 1875 | Médaille d'argent Paris, 1878 | Liste des exposants Bruxelles, 1888 | Médaille d'argent Paris, 1889

 

GIBAUT Joseph Jean Baptiste
| GIBAUD | GIBAU | TIBAUT

(1798 - 1851)(³¹)(¹⁰)

 

 

 

 

 

 

1828

 

Piano pont ca. 1835, Sweelinck Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas

PARIS - "N° 57. M. GIBAUT, rue Charlot, n. 43, à Paris. Qui a été l'un des premiers à fabriquer des pianos droits à développement, est parvenu à les perfectionner. Outre l'avantage dont ils jouissaient déjà, ils ont maintenant celui de n'occuper que peu d'espace et de produire des sons entièrement purs et et d'une telle flexibilité dans les touches qu'ils cèdent à la  plus légère pression. Le clavier et le mécanisme de ces instrumens s'enlèvent et se replacent avec la plus grande facilité; leur élévation est au plus de trois pieds. L'économie introduite dans ces pianos permet une réduction dans les prix que nul autre que lui ne peut offrir." Notice des produits de l'industrie française, précédée d'un historique des expositions antérieures et d'un coup d'oeil général sur l'Exposition actuelle : Exposition des produits de l'industrie française, Éverat, imp., 1834

PARIS - "M. GIBAUT, à Paris, rue Charlot, n° 43. - Pianos verticaux, à cordes obliques, imités de Roller, établis solidement et bien construits, en égard au bas prix pour lequel M. Gibaut livre ses instruments. Il occupe 15 ouvriers, qui confectionnent environ 60 pianos chaque année." Expo 1834, Rapport du jury central sur les produits de l'industrie française exposés en 1834, Charles Dupin, p. 290

PARIS - "1480 (57). M. Gibaut, à Paris, rue Charlot, n° 43, a été mentionné honorablement pour ses pianos verticaux, à cordes obliques, bien et solidement construits, et de prix très-modérés." Le musée artistique et industriel: exposition 1834, p. 193

TOULOUSE - "65. Gibaut, Rue Charlat, n° 43, à Paris. Un piano." Exposition produit de Beaux Arts de l'industrie à Toulouse, 1835, p. 94 (num.bibl.toulouse.fr)

PARIS - "GIBAUT, à Paris, 38, rue de la Chaussée d'Antin ; ateliers, 43, rue Charlot, au Marais. — Mention honorable en 1834. — Pianos droits. — M. Gibaut, qui avait figuré avec honneur à la précédente exposition, avait exposé cette année plusieurs pianos verticaux à cordes obliques, qui ne laissent rien à désirer sous le rapport de l'étendue et la pureté du son, et qui nous ont paru construits solidement et irréprochables de formes et d'ornemens. M. Gibaut livre les instrumens de sa facture à des prix très-modérés, et sa fabrication, déjà considérable en 1834, prend tous les jours une extension nouvelle." Lucas Al. Panorama de l'industrie française publié par une société d'artistes et d'industriels sous la direction de M. Al. Lucas, 1839, p. 111 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "M. Gibaut, à Paris, rue de la Chaussée d'Antin, 38 bis.  - Il expose deux pianos droits à cordes obliques. Cet artiste est le premier qui ait confectionné des pianos droits dans lesquels toute la partie antérieure s'ouvre à charnières; il fabrique environ cent cinquante pianos par an et il les livre à des prix très-bas." Rapport du Jury Central, Exposition, des produits de l'Industrie Française en 1839, M. Savart, rapporteur, 1839

PARIS - "M. GIBAUT, à Paris, rue de la Chaussée-d'Antin, 38 bis. A exposé des pianos droits à cordes obliques. M. Gibaut confectionne chaque année deux centcinquante de ces instruments, et occupe dans ses ateliers trente-cinq ouvriers. Les pianos qui sortent de cet établissement se font remarquer par les soins apportés à leur construction. Le jury décerne une nouvelle mention honorable à M. Gibaut." Rapport du Jury central ..., Paris Jury central, Imprimerie de Fain et Thunot, 1844

PARIS - "1023. Gibaut (Jean-Bapt.), facteur de pianos droits et autres, rue de la Chaussée-d'Antin, 58, à Paris. Loue et vend toutes sortes de pianos." Catalogue explicatif et raisonné des produits admis à l'exposition quinquennale de 1844, p. 96 (gallica.bnf.fr)

 

Paris

magasin : 20, rue Charlot  (***1836)(**1837)(*1838)(xx1839)(yy1839)(arr.3)

ateliers : 43, rue Charlot (xxx1833)(1834)(z1835)(***1836)(**1837)(*1838)(x1839)(yy1839)(*1840)(**1840)(x1840)(***1841)(arr.3)

34, rue du Poitou (?)(arr.3)

38 et 58, rue de la Chaussée-d'Antin (1834-39)(arr.9)

ateliers : 30, Grande rue des Batignolles (*1842)(1851)

38, rue de la Chaussée-d'Antin (*1842)(1844)(arr.9)

38bis, rue de la Chaussée-d'Antin (**1839)(x1841)(**1844)(arr.9)

58[bis], rue de la Chaussée-d'Antin (x1840)(x1843)(**1843)(xx1844)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(**1851)(**1852)(arr.9)

30, Grande-rue, Batignolles (1851)(²²)

En 1834, il occupe 15 ouvriers, qui confec-tionnent environ 60 pianos chaque année.

250 pianos par an et 35 ouvriers (1844)

En 1878, 150 pianos par année 

 

'Facteur de pianos' droits à cordes obliques' ca. 1836-52

'Imités de ROLLER'

Il est né le 10/03/1798 (¹⁰)

GIBAUT & MERCIER (1828-29), voir MERCIER (°1830)

Selon Claude MONTAL, GIBAUT a commencé son atelier avec MERCIER comme associé en 1828, qui est commencé pour lui-même en 1830. L'art d'accorder soi-même son piano, C. Montal p. 240, et selon un article (ci-dessous) en 1839, il était aussi éléve de ROLLER (°1804).

1851 - "MC/ET/IX/1307 - 26 décembre 1851 - Inventaire après décès de Joseph-Jean-Baptiste Gibaut, facteur de pianos, rue de la Chaussée-d'Antin, comprenant l'inventaire de l'appartement et du fonds de commerce dudit Gibaut." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1851 - "MC/ET/IX/1307 - 26 décembre 1851 - Succession, inventaire après décès. - Intervenant 1, en première partie : Nom, qualité : (M.) Gibaut, Jean Baptiste. État civil : décédé. Profession : facteur de pianos, Paris (Paris). Domicile : Paris (Paris) rue de la Chaussée-d'Antin, 58bis." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

GIBAUT par MONTAL

"En 1828, MM. Gibaut et Mercier, alors associés, ont imaginé de rendre mobile le devant du piano en le faisant porter sur des pivots comme une porte d'armoire, en sorte qu'après avoir enlevé un anneau ou un bouton situé sur la droite de l'instrument, le clavier avec sa mécaniquepeut à volonté s'éloigner et se rapprocher du corps de l'instrument, avantage considérable pour remettre les cordes et faciliter d'autres réparations. Quelque temps après (après 1828), M. Gibaut a disposé le cylindre et la partie de la devanture qui l'accompagne de manière à pouvoir être enlevé et replacé avec la plus grande facilité. Ce changement, précieux pour l'entretien de la mécanique, a été imité ensuite par les autres facteurs. Enfin les instruments de ce facteur se distinguent par d'autres améliorations de détail qui les font généralement estimer." L'art d'accorder soi-même son piano, C. Montal -

"En 1828, MM. Gibaut et Mercier imaginèrent de rendre mobile le devant de leur instrument qui tournait sur pivot comme une porte d'armoire; en enlevant un bouton à droite, le clavier et sa mécanique s'éloignaient ou se rapprochaient du corps de l'instrument, avantage immense pour faciliter toutes espèces de réparations; [...]" Journal des demoiselles, 02/1837, p. 37

"Gibaut, pianos droits et physharmonicas." L'art d'accorder soi-même son piano, C. Montal

"Gibaud, a fab. l'un des premiers les pianos droits, a fait l'addition d'organisation expressive aux pianos droits de sa fabrique ; ses prix sont très modérés; magasin, r. Chariot, 20; ateliers, r. Chariot, 43, M. H. 1834." Almanach du commerce de Paris, 1837, p. 171 (gallica.bnf.fr)

"Gibaut, a fab. l'un des premiers les pianos droits, a fait l'addition d'organisation expressive anx pianos droits de sa fabrique, prix très modérés: magasin, rue de la Chaussée d'Antin, 58; ateliers, Grande rue des Batignolles, 30, M. H. 1834 et 1839." Almanach-Bottin du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales villes du monde..., par Séb. Bottin, 1842 (gallica.bnf.fr)

"PIANOS de M. Gibaut, rue de la Chaussée-d'Antin, 38. — Il n'est plus nécessaire de recourir à un facteur en renom pour obtenir un bon instrument. La fabrication a fait des progrès si extraordinaires depuis quelques années, les bons ouvriers se sont tellement multipliés, que les grands facteurs n'ont plus qu'un privilège, celui de vendre plus cher que les fabricans que l'on appelle de second ordre, quoique, par leur mérite, ils soient dignes d'être placés au premier rang.

Tel est M. Gibaut, qui, après s'être formé à l'école des plus habiles, s'est établi à son tour, et fabrique aujourd'hui des instrumens que les artistes considèrent, à tous égards, comme excellens. Les instrumens de M. Gibaut réunissent tous les perfectionnemens dont la fabrication s'est enrichie pendant ces dernières années, et à toutes les qualités que l'on peut désirer, ils réunissent le bon marché." L'Indépendant, 25/08/1844, p. 3 (gallica.bnf.fr)

"L'atelier de Roller a fourni de nombreux facteurs ; MM. Boutron, Guerber, Moniot [Monniot], Thomas, Souffletto [Soufléto], Mercier, Gibaut, Bernard [Bernhardt], Mermes [Mermet], etc., etc., sont de jeunes facteurs, tous Français qui ont fait chez lui leur apprentissage ; plusieurs d'entre eux figuraient avec distinction à l'exposition." Lucas Al. Panorama de l'industrie française publié par une société d'artistes et d'industriels sous la direction de M. Al. Lucas, 1839, p. 97  - Voir Johannes ROLLER (°1804) et ROLLER & BLANCHET (°1826)

 

Mention honorable Paris, 1834 | Liste des exposants Toulouse, 1835 |  Mention honorable Paris, 1839 | Nouvelle Mention honorable Paris, 1844 | Médaille de bronze Paris, 1849

RAVAYRE Louis
| RAVER

 (1794 - 1849)

1828

Publicité ca. 1865

Publicité dans Guide de l'étranger, Bordeaux, 1876, p. 237

Bordeaux  

15, allée de Tourny (**1848)(*1850)(vvv1855)

13, allée de Tourny (x1847)(yy1856)(yy1857)(***1858)(**1859)(yy1862)(***1864)(*1865)(y1869)(*1875)(*1876)(*1879)(xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)

5, rue Martignac (*1903)(*1905)

5, Pavé des Chartron (*1906)(*1907)

37, rue Esprits des Lois (*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(**1897)(***1898)(x1903)(*1905)(*1906)(*1907)(*1909)(*1913)(*1922)

 

 

Facteur et/ou marchand pianos et éditeur de musique ca. 1847-1922

RAVER Aîné (x1847)(*1850) 

RAVER Mme. Vve. Aîné (vvv1855)(yy1856)(yy1857)(***1858)(**1859)(x1859)(yy1862)(***1864), 'éditeur de musique'

RAVAYRE-RAVER Louis-Jean-Alfred-Victor (*1865)(*1875)(*1876)(*1879)(*1893)(*1895)(*1897)(*1898)(*1903)(*1905)

'Éditeur de musique et pianos et instruments divers' (y1869)

RAVAYRE-RAVER Vve. (xx1890), Musikal.-, Piano- u. Instr.-Handlung'

LAFEYCHINE Carl. (*1893)(*1895)(*1896)(*1897); LAFEYCHINE & FERBOS (*1893)(*1895)(*1896), successeurs. Voyez LAFEYCHINE.

LAFEYCHINE-RIONDÉ Carloman (**1897)(***1898)(*1905)(*1906), successeurs. Voir RIONDÉ.

LAFEYCHINE-RIONDÉ Vve. C. (x1903)(*1906)(*1907)(*1909), successeurs.

Repris par CHEYSSAC.

 

 

ALEXANDRE Père & Fils

*

ALEXANDRE Jacob

(1797 - 1876)

*

ALEXANDRE Edouard, Fils

(1824 - 1888)

 

 

Annexe-Piano dans La Patrie, 26/03/1861, p. 4 (retronews.fr)

 

 

Piano à queue "Alexandre Père et Fils", taille 200 cm longeur x 138 cm x 94 cm hauteur

1829

 

Surtout connu pour ses orgues (orgues mélodium), mais il a aussi fabriqué des accordéons, harmoniums, piano-orgues et des pianos droits et pianos à queue.

TITRE

'Fournisseurs de Leurs Majestés l'Empereur et l'Impératrice' (1860)

Pianharmonium Pleyel-Alexandre père et fils, n° 23313 de 1856, The Stockholm Museum, Stockholm, Suède
Pianharmonium Pleyel-Alexandre père et fils, le Musée du Clavier de Mr. Boffard, Tarare, France
Pianoharmonium Alexandre - Erard, autre photo, ?

ALEXANDRE
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"MUSIQUE. — Les instrumens de musique subissent comme tous les objets d'arts, les exigences d e la mode. Aussi, les révolutions qui se sont opérées en ce genre depuis quelque temps offrent-elles à l'amateur de musique, de nombreux élémens de plaisir. Parmi les instrumens qui obtiennent dans nos concerts et nos élégans salons un succès véritable, il faut placer l'ORGUE-MÉLODIUM auquel MM. Alexandre père et fils, viennent de faire faire de si grands progrès.

— Ces habiles artistes se sont spécialement appliqués à perfectionner cet instrument nouveau, en lui communiquant toutes les réflexions de l'ame et de la voix. Leurs efforts ont été couronnés de succès. Le choix d'ORGUES-MÉLODIUM qu'ils offrent aujourd'hui au monde musical, mérite réellement de fixer l'attention des connaisseurs. Quelques heures d'étude suffiront pour apprendre à toucher de cet instrument, dont le clavier est semblable à celui du piano : aussi n'exige-t-il pas de musique spéciale.

— Les ORGUES-MÉLODIUMS de MM. Alexandre père et fils, boulevard Bonne-Nouvelle, 10, sont le produit d'une oeuvre consciencieuse, d'un travail délicate savant. Ils ont obtenu le suffrage de tous les connaisseurs de tous les artistes distingués, et de nos premiers amateurs." Journal des théâtres, Littérature, musique, beaux-arts, 28/03/1844, p. 4 (gallica.bnf.fr)

Publicité de 1856 dans La Presse, 25/05/1856, p. 4 (gallica.bnf.fr)

Publicité dans La Presse, 09/08/1857, p. 4 (gallica.bnf.fr)

Publicité des orgues Alexandre dans La Presse, 18/04/1858, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"La vogue immense qu'a obtenu l'Annexe-piano, dès sa première mise en vente, n'a pas permis de satisfaire toutes les demandes des clients de MM. Alexandre père et fils. L'affluence de ces demandes était telle que la collection fabriquée à l'avance fut promptement épuisée. Aujourd'hui, on vient de mettre en vente une nouvelle collection de 500 annexes-pianos. On peut, dans les vingt-quatre heures, livrer un annexe-piano aux personnes qui en feront la demande soit à la maison principale, 39, rue Meslay soit au dépôt, 21, boulevard Montmartre, où se trouvent aussi tous les orgues de la maison Alexandre." La Presse, 05/05/1861, p. 2 (gallica.bnf.fr)

Publicité des Orgues-Mélodium dans 'Almanach du voleur illustré : 1862', p. 46

Voir une grande publicité d'Alexandre et Fils en combination avec la maison Herz, après l'Exposition universelle à Londres en 1862.

NÉCROLOGIE

1888 - "Nous apprenons la mort de M. Edouard Alexandre, le facteur d'orgues et fabricant d'instruments de musique. Il a succombé vendredi, à Paris, à l'âge de soixante-quatre ans." Le Ménestrel, 11/03/1888, p. 88 (gallica.bnf.fr)

INFO EXTRA

Plus d'infos sur 'ALEXANDRE Père & Fils' : wikipedia.org

Les grandes usines, études industrielles en France et à l'étranger, Julien François Turgan, 1863, p. 145-160

 

Paris

Ivry

Bordeaux

Bruxelles

6, rue Transnonain (1829)(**1840)(arr.3)

38, rue de Montmorency (1840)(arr.3)

10, boulevard Bonne-Nouvelle (1843)(arr.2)

dépôt : 21, boulevard Montmartre, maison Frascati (yy1860)(y1861)(arr.9)

[37] et 39, rue Meslay (1851)(z1855)(xx1856)(xx1857)(z1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(z1862)(**1864)(y1864)(**1871)(*1913)(arr.3)

30, rue Meslay (***1863)(arr.3)

  37-39, rue Meslay (yy1860)(*1861)(arr.3)

39, rue Meslay (z1862)(zzz1864)(arr.3)

à Paris

[9], rue Pierre Levée (fabrique)(1850)(yyy1857)(xx1859)(xx1860)(arr.11)

Usine à vapeur : [7], rue du Parc (actuelle rue Gabriel-Péri),  (*1859)(xx1861)(xxx1862)(**1864)(y1864)

rue Victor Hugo (x1906)(x1912)

à Ivry-sur-Seine

SUCCURSALE : 21, rue Vital-Carles (y1869)

à Bordeaux

SUCCURSALE : 5, rue des Paroissiens (x1864) à Bruxelles, Belgique

400 ouvriers en 1857

1000 ouvriers en 1876

 

Facteur d'orgues, d'harmoniums, d'harmonicas, d'accordéons et de pianos ca. 1829-1913

"ALEXANDRE (père et fils), industriels français, se sont fait connaître, dans ces derniers temps, par la fabrication en grand des orgues, notamment de l'orgue à cent francs. Sorti, jeune encore, des ateliers de M. Debain, M. Alexandre père fonda, vers 1840, un petit établissement qui, grâce à son habileté commerciale et à d'infatigables appels à la publicité, prit bientôt une extension considérable. Acquéreurs des procédés brevetés de M. Martin de Provins (voir ce nom), MM. Alexandre ont, de leur propre aveu, sacrifié environ 400 000 francs à les faire connaître, écartant, aussi longtemps que leurs conventions le permettaient, le nom et la concurrence de l'inventeur. A l'Exposition universelle de 1855, où celui-ci reçut la décoration, leur maison obtint elle-même une médaille d'honneur. On a, sous le nom d'Alexandre, facteur d'orgues, une Méthode pour l'accordeon. (Paris, nouv. édit., 1840, en anglais, 1839), et une tice sur les orgues-mélodium d'Alexandre et fils, inventeurs. Paris, 1844 et 1848, in-4." Dictionnaire universel des contemporains, 1858, p. 30 (gallica.bnf.fr)  - voir Martin à Provins

- Selon le dictionnaire de 1865, ils étaient "d'origine israélite." Dictionnaire universel des contemporains, 1865, p. 27 (gallica.bnf.fr)

1846 - "ALEXANDRE Joseph, Facteur d'orgues melodium, boulevard de Bonne Nouvelle, n° 10. Cité le 12/06/1846, dans un acte sous seing privé comportant société entre ledit et ALEXANDRE Edmond, même adresse, lesquels se sont associés dans une société pour une fabrique d'orgues melodium, à cette adresse entre eux et les personnes qui adhéreront à ces statuts pour une société par actions
sous la raison ALEXANDRE et fils. Source : D31u3-134/Pièce 1187." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1848 - "ALEXANDRE Jacob, Facteur d'orgues melodium, boulevard de Bonne Nouvelle, n°10. Cité le 20/05/1848, dans un acte sous seing privé comportant retrait d'un associé entre le dit et ALEXANDRE Edouard, fils, mêmes profession et adresse, ce dernier désirant se retirer de la société, créée sous seing privé le 12/05/1846 pour l'exploitation de la fabrique d'orgues melodium, créée sous la raison ALEXANDRE et fils. Source : D31u3-151/Pièce 743." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1854 - "Cité le 13/03/1854, dans un acte sous seing privé, comportant société entre ledit et son épouse autorisée de lui et aussi ALEXANDRE Edouard, don fils (référencé), même adresse, lesquels se sont associés en nom collectif pour le commerce d'orgues dont l'établissement principal est à cette adresse et qui a commencé le 01/06/1853 sous la raison ALEXANDRE, père et fils.
Source : D31u3-183/Pièce n° 675 (avant n° 3673)
." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

ALEXANDRE Edouard, Fils (1824-888) (1855) Voir la nécrologie en bas.

ALEXANDRE Père & Fils Société des Orgues dès 1855 - (1872).

1860 - Croix de la Légion d'honneur en 1860. (Journal de l'enseignement, 08/10/1892, p. 9 (gallica.bnf.fr))

Selon le dictionnaire de 1870, p. 25, Alexandre Père et Fils fonda leur maison en 1829." MM. Alexandre sacrifièrent des sommes énorme pour les faire connaître. A l'Exposition universelle de 1855, où celui-ci reçut la décoration, leur maison obtint elle-même une médaille d'honneur. En 1858, ils fonderent à Ivry (Seine), sur les plans de l'ingénieur M. P. Leblanc, une usine modèle, centre d'une colonie ouvrière. Leur participation dans la grandiose affaire des Magasins-Réunis, avec obligations-warrant pour le remboursement du prix des achats, a entrainé leur propre ruine (1866-1868). M. Alexandre fils a été décoré de la Légion d'honneur en 1860." Dictionnaire universel des contemporains, 1870, p. 25 (gallica.bnf.fr)

1868 - Faillite en 1868 : "Nom, prénoms, profession et domicile : Alexandre Père et fils et Cie, Jacob et Ed., fab. d'orgues à Ivry - syndic et avoué : Moncharville - Faillite : 27 avril 68 - Concordat : ... - Insuffis et union : 21 oct 68." Dictionnaire... des faillites, séparations de biens, nominations de conseils judiciaires, 1868, p. 13 (gallica.bnf.fr)

SES SUCCESSEURS

ALEXANDRE Père & Fils, BIONNE & Cie (1873), voir la suite !

- SOCIÉTÉ DES ORGUES D'ALEXANDRE Père & Fils (*1878)

- Edmond Moïse SECHES (1848-1942) était le beau-frère d’Alexandre.

- SOCIÉTÉ ANONYME DES ORGUES D'ALEXANDRE PÈRE & FILS dès 1894 :

Repris par FORTIN Paul (°?) (*1913).

FORTIN Gaston, successeur d'Alexandre père et fils (*1922).

PIANO-ORGUES

Des piano-orgues ALEXANDRE-PLEYEL ont été vernis selon les archives de PLEYEL en 1856 par ALEXANDRE, les n° 23311  jusqu'à n° 23316 (²⁰).

 Dès un moment (?) les pianos d'ALEXANDRE sont fabriqués par FOCKE (°1860).

   'Les Orgues-Mélodium d'Alexandre Père et Fils', où vous pouvez trouver les pianos-mélodium, pianos à prolongement, pianos-Liszt et orgues expressives, et des images de la fabique, 1855 (gallica.bnf.fr).

Catalogue Alexandre Père & Fils ca. 1870

Catalogue Alexandre père & Fils ca. 1898

PUB

La Presse, 04/12/1860, p. 4 (retronews.fr)

La Patrie, 26/03/1861, p. 4 (retronews.fr)

 

Médailes pour ses instruments autres que pianos :

Médaille de bronze Paris, 1844 | Médaille d'argent Paris, 1849 | Mention honorable Londres, 1851 |  Brevet de 1852 | Médaille d’honneur à l’Exposition Universelle Paris, 1855 | Médaille d'or Rouen, 1859 | Diplôme d'honneur en or Besancon, 1860 | Médaille Metz, 1861 | Médaille Londres, 1862 |  Diplôme d'honneur Bayonne, 1864 | Médaille d'or Paris, 1867 | Médaille pour le Progrès  Vienne, 1873 | Médaille d'argent Paris, 1878 | Nouvelle médaille d’or à l’Exposition Universelle Paris, 1889 | Diplôme de grand prix Lyon, 1894 | Diplôme de grand prix Bruxelles, 1897 | Grand prix Paris, 1900

DUSSAUX Jean François
| DUSSEAUX

(ca. 1795 - 1859)

1829

 

PARIS - "M. DUSSAUX, à Paris, rue Bourbon - Villeneuve, 31, - A exposé un piano carré à trois cordes, placé au sixième rang; un piano droit à cordes verticales, placé au neuvième rang. Le jury décerne une médaille de bronze à M. Dussaux." Rapport du Jury central ..., Paris Jury central, Imprimerie de Fain et Thunot, 1844, p. 543

PARIS - "1029. Dussaux (Jean-François), fabricant de pianos, rue Bourbon-Villeneuve, 31. Cet exposant, qui est avantageusement connu depuis vingt-cinq ans pour la bonne qualité et la solidité de ses instruments, continue toujours de porter un soin extrême dans leur confection." Catalogue explicatif et raisonné des produits admis à l'exposition quinquennale de 1844, p. 76 (gallica.bnf.fr)

 

Paris

31, rue Bourbon-Villeneuve (*1829)(x1829)(xxx1833)(z1835)(***1836)(**1837)(*1838)(x1839)(xx1829)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(x1843)(**1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(arr.2)

39, rue de Paradis-Poissonière (x1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(***1855)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(xx1859)(arr.10)

 

'Facteur de pianos' carrés et droits et pianos à queue ca. 1829-59

1859 - "DUSSAUX Jean François, facteur de pianos, rue de Paradis, n° 39. Cité comme étant décédé d'une cystite le 26/06/1859 à l'hôpital Lariboisière et repris le 27. R : Il est âgé de 64ans. Source : Archives de Paris/versements des Mairies/Déclarations de décès/VDbis2E1-2/LEBREUN Georges Claude." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1859 - "Pianos droits. Vente, après décès de M. D***, facteur de pianos, rue Paradis-Poissonnière, 39, le 10 septembre 1859, à midi, par M. H. Blot, commissaire-priseur, rue Neuve-Saint-Augustin, 62." La Presse, 03/09/1859, p. 3 (gallica.bnf.fr)

"MÉDAILLE'DE L'EXPOSITION 1844 - DUSSAUX, FABRICANT, Maison avantageusement connue depuis 25 ans pour la bonté et la solidité de ses instruments. — Rue Bourbon-Villeneuve, 31. EXPEDITION EN FRANCE ET A L'ETRANGER." La Diligence. Journal des voyageurs. Littérature, moeurs, théâtre, 12/1845, p. 25 (gallica.bnf.fr)

"Dussaux, B. 1844, connu depuis vingt-cinq ans pour la solidité de ses instruments, Bourbon-Villeneuve, 31." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1846, p. 558 (gallica.bnf.fr)

Médaille de bronze Paris, 1844 | Liste des exposants Paris, 1855

DUVERNOY 1829  

PARIS - "M. DUVERNOY aîné, fabricant de pianos, rue Montmorency, n. 4, au Marais. Les pianos a soufflets ont l'avantage d'avoir les sons continus, et sont par cela même très-commodes pour l'accompagnement. Tel est celui exposé par M. Duvernoy; de plus, il imite parfaitement le son du hautbois, et conserve toujours son accord. M. Duvernoy a établi en 1829 la première fabrique de pianos a trois, quatre, cinq et six octaves." Notice des produits de l'industrie française, précédée d'un historique des expositions antérieures et d'un coup d'oeil général sur l'Exposition actuelle : Exposition des produits de l'industrie française, Éverat, imp., 1834

PARIS - "152. Duvernoy ainé, r. Montmorency, 4. Pianos à soufflets et à sons continus; a inventé l'accordeon ou parfait accompagnateur, petite boite à soufflet et à touches dont les sons sont très-agréables." Mémorial encyclopédique et progressif des connaissances, Volumes 4-5, François Malepeyre, 1834

 

Paris 4, rue Mont Morency (*1834)(z1835)(arr.3)

19, rue Chapon (yy1839)(arr.3)

'Fabricant d'orgues' et 'Fabricant de pianos', mais seulement pianos à vent, comme orgues et accordéons ca. 1834-39; (**1893)

DUVERNOY Ainé (1834)


(la suite)

PARIS - "1473 (152). M. Duvernoy aîné, à Paris, rue Montmorency, au Marais, n° 4. Piano à soufllets, dit Phitz-harmonica : il a l'avantage de conserver très long-temps son accord. M. Duvernoy exposait aussi d'autres petits instrumens." Le musée artistique et industriel : exposition 1834, p. 191

Liste des exposants Paris, 1834 | Liste des exposants Paris, 1839 | Liste des exposants Paris, 1844

     

(*1794): 'La Décade philosophique, littéraire et politique, Volume 3', 1794, p. 240

(*1799-1800): 'Almanach du commerce de Paris', 1799-1800, p. 104+169 (gallica.bnf.fr)

(*1800-1801): 'Almanach du commerce de Paris...', 1800-1801, p. 94-95 (gallica.bnf.fr)

(*1802): 'Almanach du commerce de Paris...', Duverneuil, 1802, p. 83-84 (gallica.bnf.fr)

(**1802): 'La clef du commerce: ou, État du commerce et des manufactures des ...', 1802, p. 501

(*1803-1804): 'Almanach du commerce de Paris...', Duverneuil, 1803-1804, p. 78-79 (gallica.bnf.fr)

(*1804): 'Mémoires, Volumes 3-4, Académie des sciences, lettres et beaux-arts de Marseille', 1804, p. 248

(*1805): 'Almanach du commerce de Paris, des départements de l'empire français et des ...', 1805, p. 58-59

(*1806): 'Rapport du jury sur les produits de l'industrie française', présenté à S. E. M. de Champagny, ministre de l'intérieur, précédé du procès verbal des opérations du jury, 1806 (gallica.bnf.fr)

(**1806): 'Almanach du commerce de Paris...', Duverneuil, 1806, p. 178-179 (gallica.bnf.fr)

(*1807): 'Bulletin de la Société d'encouragement pour l'industrie nationale', Volume 3, Société d'encouragement pour l'industrie nationale, 1807

(**1807): 'Almanach du commerce de Paris...', Duverneuil, 1807, p. 160-161 (gallica.bnf.fr)

(*1808): 'Almanach du commerce de Paris...', Duverneuil, 1808, p. 164-165 (gallica.bnf.fr)

(**1808): 'Principes de Composition des Ecoles d'Italie', Volume 1, Alexandre Choron, 1808

(x1808): 'Journal des arts, de littérature et de commerce', 18/09/1808, p. 139-141 (gallica.bnf.fr)

(*1809): 'Almanach du commerce de Paris, des départements de l'Empire français, et de ...', 1809

(x1809): 'Journal de Paris', 26/02/1809, p. 423

(*1810): 'Indicateur de Lyon', 1810, p. 81

(x1810): 'Almanach du commerce de Paris...', Duverneuil, 1810, p. 238-239 (gallica.bnf.fr)

(*1811): 'Almanach du commerce de Paris, des départemens de l'empire français et des ...', Jean de La Tynna, p. 259-260

(*1812): 'Almanach du commerce de Paris...', Duverneuil, 1812, p. 253-254 (gallica.bnf.fr)

(*1813): 'Almanach du commerce de Paris', 1813, p. 254 (gallica.bnf.fr)

(**1813): 'Bibliographie de l'Empire Français', 1813, p. 783

(***1813): 'Bibliographie de la France', 1813, p. 296

(*1814): 'Almanach du commerce de Paris, des départements de l'Empire français, et de principales villes du monde', 1814, p. 222-223

(*1815): 'Almanach du commerce de Paris, des départements de l'Empire français, et de principales villes du monde', 1815, p. 223; 236-237

(*1816): 'Almanach des 25 000 adresses de Paris pour 1816'

(**1816): 'Affiches, annonces judiciaires, avis divers du Mans, et du Département de la Sarthe', Le Mans (France), 1816

(*1817): 'Almanach des 25000 adresses des principaux habitans de Paris ...', D. H. Henri  Wissemans, Panckoucke, 1817

(**1817): 'Dictionnaire historique des musiciens, artistes et amateurs, morts ...', Volume 2, Alexandre Etienne Choron, François-Joseph-Marie, 1817

(**1818): 'Almanach des adresses de tous les commerçans de Paris: pour l'année 1818', p. 219

(*1819): 'Rapport du Jury central sur les produits de l'industrie française: présenté à S.E.M. le comte Decazes ... ministre secrétaire d'état de l'intérieur', Paris (France). Exposition des produits de l'industrie française, 1819. Jury central, Louis Costaz,  l'Imprimerie royale, 1819

(**1819): 'Annales de la musique ou Almanach musical: de Paris', Volume 1, 1819, p. 47/48/81/88

(***1819): 'Journal de Lyon et du département du Rhône', 08/10/1819, p. 3

(*1820): 'Almanach du commerce de Paris, des departemens de la France et des ...', 1820

(**1820): 'Annales de la musique ou Almanach musical: de Paris', 1820, p. 62-70

(x1820): 'Almanach des 25.000 Adresses des principaux habitans de Paris ...', Volume 2, Henri Dulac, 18

(*1821): 'Bibliographie de la France [formerly de l'Empire français ou, Journal ...', 1821

(**1821): 'Archives des découvertes et des inventions nouvelles: faites dans ..., Volume 13', 1821

(y1821): 'Le Précurseur', 18/12/1821, p. 4

(*1822): 'Bibliographie musicale de la France et de l'étranger, ou, Répertoire générale systématique de tous les traités et oeuvres de musique vocale et instrumental: imprimés ou gravés en Europe ...', France, César Gardeton, Chez Niogret, 1822

(**1822): 'Blibliographie musicale de la France et de l'étranger, ou Répertoire général ... ', César Gardeton, 1822

(x1822): 'Almanach du commerce de Paris...', Duverneuil, 1822, p. 447

(xx1822): 'Bibliographie musicale de la France et de l'étranger ou répertoire général ...', César Gardeton, 1822 (gallica.bnf.fr)

(*1823): 'Bulletin des lois de la République francaise', Volume 7, Volume 16, France, 1823

(**1823): 'Exposition Publique Des Produits De L'Industrie Francaise', 1823

(x1823): 'Almanach du commerce de Paris...', Duverneuil, 1823, p. 351 (gallica.bnf.fr)

(*1824): 'Bulletin des lois', France, Imprimerie nationale, 1824

(**1824): 'Bibliographie de la France, ou, Journal général de l'imprimerie', Volume 1824

(***1824): 'Manuel de l'etranger dans Paris pour 1824', p. 147

(*1825): 'Rapport du Jury d'admission des produits de l'industrie du Département de la Seine à l'Exposition du Louvre en 1823', Louis-Etienne-François Héricart de Thury, C. Ballard, 1825

(**1825): 'Rapport du Jury d'admission des produits de l'industrie du Département de la Seine à l'Exposition du Louvre en 1823', 1825

(***1825): 'Annales de l'industrie nationale et étrangère: ou, Mercure technologique', Louis Sébastien Lenormand, Jean-Gabriel-Victor Moléon, 1825

(x1825): 'Almanach du commerce de Paris...', Duverneuil, 1825, p. 137 (gallica.bnf.fr)

(*1826): 'Bibliographie de la France', partie 2, 1826

(**1826): 'Le Moniteur judiciaire de Lyon : organe des tribunaux et des annonces légales', 13/07/1826, p. 45

(x1826): 'Bazar parisien, ou Annuaire raisonné de l'industrie des premiers artistes et fabricans de Paris : offrant l'examen de leurs travaux, fabrications, découvertes, produits, inventions, etc., 1826, p. 437-443 (gallica.bnf.fr)

(yy1826): 'Caecilia Mainz: eine Zeitschrift für die musikalische Welt', 1826, p. 47

(*1827): 'Histoire de l'Exposition des produits de l'industrie française en 1827', Adolphe-Jérôme Blanqui, A la Librairie du commerce, chez Renard, 1827

(**1827): 'Le Figaro', 15 septembre 1827 (gallica.bnf.fr)

(***1827): 'Journal des artistes', Paris, 1827 (gallica.bnf.fr)

(x1827): 'Almanach du commerce de Paris', 1827, p. 132 (gallica.bnf.fr)

(*1828): 'Assemblée générale', Volume 9, Société Biblique Protestante de Paris, 1828

(**1828): 'Revue musicale', Volume 3, 1828, p. 599

(***1828): 'Rapport du Jury d'admission des produits de l'industrie du Département de la ...', Louis-Etienne-François Héricart de Thury (vicomte), 1828

(x1828): 'Répertoire du commerce de Paris, ou Almanach des commerçans, banquiers, négocians, manufacturiers, fabricans et artistes de la capitale', 1828, p. 566-567 (gallica.bnf.fr)

(xx1828): 'Bibliographie de la France', 1828

(*1829): 'Répertoire du commerce de Paris, ou Almanach des commerçans, banquiers, négocians, manufacturiers, fabricans et artistes de la capitale', 1829, p. 622-624 (gallica.bnf.fr)

(**1829): 'Mémoires de l'Académie royale de Metz', Académie royale de Metz

(***1829): 'The new picture of Paris from the latest observations: containing an ...', Paul Hervé, M. Gaglignani, 1829

(x1829): 'Almanach du commerce de Paris...', Duverneuil, 1829, p. 142 (gallica.bnf.fr)

(xx1829): 'Le constitutionnel : journal du commerce, politique et littéraire, 8 décembre 1829', p. 4 (gallica.bnf.fr)

(xxx1829): 'Panorama de la ville de Lyon, de ses faubourgs et d'une partie de ses environs, ou Description des curiositès, des monuments et antiquités de cette ville', 1829, p. 261 (archive.org)

(y1829): 'Bulletin des lois', France, Imprimerie Royale, 1829

(yy1829): 'Caecilia', 1829, p. 181

(*1830): 'Bibliographie de la France', Volume 19, 1830

(y1830): 'Revue Musicale', 1830, p. 320

(yy1830): 'Journal de la Meurthe, 25/04/1830, p. 3 (kiosque.limedia.fr)

(*1830-34): 'Procès-verbaux de l'Académie des Beaux-arts: 1830-1834', Jean-Michel Leniaud, 2001, p. 426

(*1831): 'Description des machines et procédés spécifiés dans les brevets d'invention', publ. par C. P. Molard, France

(y1831): 'Journal de la Meurthe', 25/02/1831, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

(*1832): 'Almanach des 25000 adresses des principaux habitans de Paris', Panckoucke, 1832

(***1832): 'Nouvel indicateur des habitans de la ville de Lyon', 1832

(x1832): 'Annuaire des artistes français', 1832, p. 296-297 (archive.org)

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