Nom |
Date de fond. |
Logo |
Signature |
Ville |
Adresses |
Quantité de
pianos |
Commentaires |
Médailles |
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1830 |
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En 1830, on comptait, à
Paris, 320 facteurs de pianos ou ouvriers travaillant pour leur compte à
Paris,
et 139 dans les départements.
En 1830, il n'a
plus d'un million habitants à Paris. |
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|
|
Le piano gagne une demi-octave en
1820; sept ans plus tard, les claviers à six octaves et demie sont
d'un usage à peu près général. Cette addition, est faite à la partie
grave et se prolonge jusqu'à l'ut au-dessous du fa ordinaire.
Quelques pianos ont été portés jusqu'à sept octaves par une nouvelle
addition à l'aigu. Ces instrumens présentent huit ut dans leur
ravalement.
|
|
ALLINGER Jean Léonard
(1804 - 1882)
Pub,
Adressbuch von Strassburg, 1878, p. 143 |
1830 |
Piano
carré de 1840, Musée de Bouxwiller et du pays de Hanau,
Bouxwiller, France
Piano vertical ca. 1860,
Musée de la vieille ville à Hvar,
République Tchèque
ALLINGER
sur ce
site
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|
Strasbourg |
37, rue des Juifs
(1836)(²³)
8, rue des Echasses
(1840)(²³)
3, rue Sainte-Barbe (yy1843)(1850)(²³)
12, quai des Bateliers (x1854)(1870)(²³)
31,
quai des Bateliers [Schiffleut-staden]
(yyy1861)(y1878)(y1887)(xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(*1910)(x1912) |
|
'Fabrique de Pianos' droits, pianos carrés et pianos à queue ca. 1836-1910
ALLINGER Jean Léonard
Fils ,
Facteur de pianos, né en 15.01.1804 Strasbourg et meurt 27.03.1882
Strasbourg. -
Voir
Généalogie Facteurs de Strasbourg.
ALLINGER
Léonard
(**1857), facteur de
pianos
1857 -
Incendie - voir
ARTICLES
ALLINGER Léonard & SIMOUTRE Eugène
(*1861), voir
SIMOUTRE
à Mulhouse, Metz, Strasbourg (France) et Bâle (Suisse)
Et son fils :
ALLINGER
Jeune Théophile Léonard Marie
(1843-1912),
fabricant de pianos, né en 31.01.1843 Strasbourg -
Voir
Généalogie Facteurs de Strasbourg
Mais il n'est pas claire qu'il était son successeur. Son adresse : 31, Quai
des Bateliers. (1882)(²³)
Peut-être un de ses fils était élève de ERARD :
1862 -
"Atelier de M. Erard. - MM. C. Heinbach, A. Heinbach, Aboud, A.
Chassac, Houpemaine, Ribinet, Régnier, Barois, Battis, Auguste Dufour,
Becker, Taillant, Vibert, Bader, Bara, Bailly, L'huillier, Dutrich,
Spranger, Doucet, Delecour, Thomas, Tapin, Àllinger, Serwy, Cordelier,
Dorne, Audibert. Bonnardel."
Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs
d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en
bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862,
p. 53 (gallica.bnf.fr)
Léonard Allinger était capitaine en 1870
Souvenirs du bombardement et de la capitulation de
Strasbourg, récit critique de tout ce qui s'est passé dans cette ville du 25
juillet au 28 septembre 1870, par P. Raymond-Signouret, p. 56 (gallica.bnf.fr)
ALLINGER L .
(xx1890)(1895)(*1896)(*1897)(*1903)(*1905)(*1906)(*1907).
"Allinger,
L., quai des Râteliers, 12; facteur de pianos droits, carrés et à queue.
Envois en France et à l'étranger."
Almanach alsacien: répertoire commercial, industriel,
administratif et ..., 1854, p. 163
"Pianos et Harmoniums - NEUFS ST
D'OCCASION - L. ALLINGER, fabricant - 13, quai des
Bateliers. Strasbourg. Prix modérés. — Facilités de
paiement GARANTIE — ENVOI FRANCO."
Le Lorrain écho de Metz et d'Alsace-Lorraine : journal
politique, religieux, littéraire, agricole et
commercial, 07/10/1887, p. 3 (kiosque.limedia.fr)
"PIANOS de premier ordre et au plus bas prix. Grrand
[sic] choix d'excellents pianos neufs brevetés. Son
puissant, solidité, garantie. Occasion depuis 150 Mark.
Echange, location, réparations, accords. L. Allinger,
fabricant de pianos, 31, Quai des Bateliers, Strasbourg.
Maison alsacienne fondée."
Le Lorrain écho de Metz et d'Alsace-Lorraine, 06/06/1895,
p. 4 (kiosque.limedia.fr)
VOIR AUSSI ....
SIMOUTRE à Mulhouse, Metz, Strasbourg, France
INFO EXTRA
Il
existe un texte :
'Notice
nécrologique sur Léonard Allinger' 1912
|
Liste des exposants Strasbourg, 1840 | Liste des exposants Mulhouse, 1841
| Médaille deuxième classe, argent, petit module, Metz, 1861 |
Médaille d'argent Paris, 1867
|
PESTRELLE M.
Piano Jules BROSSET dans
Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1886
(archives.culture41.fr) |
1830 |
"MAGASINS DE PIANOS NEUFS
ET D’OCCASION. PLACE SAINT-LOUIS. N° 13, À BLOIS - PESTRELLE, ACCORDEUR,
ÉLÈVE DERARD, Vente, échange, location, réparations, transport de
Pianos. Abonnements pour les accords à la ville et à la campagne.
Commission pour les Orgues expressifs et Harmonium. Harpes simples et
doubles, Cordes, Diapasons, Clefs de pianos Emballage de toutes sortes
de Pianos."
Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1855
(archives.culture41.fr)
"Pianos
& Harmoniums. M. Pestrelle, élève de la maison Érard, facteur de pianos,
place St-Louis, n° 1, se carge des accords, réparations et ballage de
Pianos; il fournit les caisses. on trouve dans ses magasins un grand choix
d'excellents Pianos neufs et d'occasion, pour la vente et la location, à des
prix très modérés. Harmoniums de salon et d'église; modèle spéciale pour la
location; transposition, percussion, etc. Cette Maison vient être désignée
par M. Erard pour sa succursale dans le départemant de Loir-et-Cher. on
pourra traiter les affaires aux mêmes conditions qu'à Paris."
Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1862, p.
(archives.culture41.fr)
"Manufacture de pianos &
orgues. - Fondée en 1830 - Jules Brosset - Facteur de pianos - Membre du
Jury aux expositions - 4, Rue du Palais, Blois. - Grand choix de Pianos
neufs et d'occasion - Vente, Echange, Location, Réparation."
Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1886
(archives.culture41.fr)
|
Blois
(Loire et Cher) |
rue du Palais (xxx1851)(xxx1852)
22,
rue Pierre de Blois (xxx1853)
13, Place Saint-Louis
(xxx1854)(xxx1855)(xxx1856)(xxx1857)
1,
place St-Louis
(xxx1858)(xxx1860)(xxx1861)(xx1862)(xxx1863)(xxx1864)(xxx1865)(xxx1866)(xxx1867)(xxx1868)(xxx1869)(xxx1870)(xxx1872)(xxx1873)(xxx1874)(xxx1875)(xxx1876)(xxx1877)(yy1878)(xxx1879)(xxx1883)
17, rue du Palais
(xxx1880)
15, rue du Palais
(xxx1881)(xxx1882)(xxx1884)(xx1885)
4,
rue du Palais (xxx1886)(xxx1887)(xxx1888)(xxx1889)(xxx1890)(xxx1891)(xxx1892)(xxx1893)(xxx1894)(xxx1895)(xxx1896)(xxx1897)(xxx1898)(xxx1899)(xx1900)(xx1901)(xxx1902)(xxx1903)(xxx1904)(xxx1905)(x1906)(xxx1906)(xxx1907)
rue du Palais
(*1905)(*1906)(*1907)(*1909)
48, rue Beauvoir
(x1912)(*1913)(**1921)(*1930)(*1932)(*1934)(*1936-37)(*1942)(*1943)(*1946)(*1947)(*1955)
16, rue Porte-Chartraine (*1961) |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1851-1961 [depuis
1830
(x1926)]
PESTRELLE
M. (xxx1854)(1866)
1867 -
"Le 11 mars 1867, jugement du tribunal de Blois ainsi
conçu : — « Attendu que, le 27 sept. 1866, Pestrelle
déposait à la gare du chemin de fer à Blois une
caisse-piano, pour être remise par la grande vitesse à
M. Janolin, à Amboise, avec prière, transcrite sur le
bulletin d'expédition, de la faire livrer de suite ; que
ce colis est parti de Blois vers les trois heures du
soir et a dû arriver à Amboise vers quatre heures : ce
qui n'est pas contesté ; [...]"
Journal du palais: présentant la jurisprudence de la
Cour de ..., 1869, p. 404
BROSSET
(Jules)
(Orléans, 1852 - Blois, 1937)
successeur
(yy1878)(xxx1886),
compositeur, éditeur de musique,
'facteur de pianos et maître de chapelle à l'école
Notre-Dame' (xx1890)(x1892)
'Piano- u.
Harmonium-Handlung' (xx1890)
BROSSET Maurice,
successeur de Jules BROSSET
(x1906)(xx1907)(*1913)
'Musikal.-, Piano-
u. Harmonium-Handlung' (x1906) ------- 'Musikal.-,
Piano-, Harmonium-, Musikinstr.- u.
Phonographen-Handlung' (x1912)
BROSSET
Maurice
& Fils
(x1912)
Succursale à Romoranton
chez la maison
HÉRICHER
(*1913)
BROSSET Christian
(**1921)(x1926)(*1936-37)
'Musikal.-,
Piano-, Harmonium-, Musikinstr.- u. Sprechm.-Handlung'
(x1926)
BROSSET
M.
(*1934)(*1936-37)(*1942)(*1943)(*1946)(*1947)
BROSSET Christian
(*1955)
BROSSET
Claude
(*1955)
Succursale à
Romorantin chez la maison
CLAIRIN (**1921)
BROSSET
C.
(*1961)
NÉCROLOGIE
1915 -
"NOS MORTS – M. Maurice
Brosset, facteur de pianos à Blois, soldat au 313° d'
infanterie, père de quatre enfants, âgé de 34 ans, tué à
l'ennemi, aux Islettes en Argonne, le 20 octobre 1914.
C' est le second fils de M. Jules Biosset, organiste de
la cathédrale de Blois, notre compatriote, à qui nous
présentons nos sincères condoléances."
Journal du Loiret, 15/03/1915, p. 2
(Aurelia.Orléans.fr)
|
|
DAUB-JACQUOT
|
1830 |
SAINT-QUENTIN -
"Daub,
luthier, id., piano, orgue, instruments en cuivre."
Indicateur du concours régional agricole de
Saint-Quentin, 1859, p. 16
|
Saint-Quentin |
46,
rue Croix-Belle-Porte (x1876) |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits et orgues ca. 1875-76
Autres facteurs/marchands avec le nom
DAUB.
Brevet de 1867 :
"78,008. Brevet
de quinze ans, 16 octobre 1867; Daub, à Saint-Quentin (Aisne). Système de
pistons ou de cylindres à rotation applicables aux instruments de musique en
cuivre et faisant les pianos à volonté."
Bulletin des lois de la République Française, 1867, p. 352
VOIR AUSSI ....
JACQUOT
(°1845)
à Nancy et un
JACQUOT
(°1854)
à Paris
|
Liste des exposants Saint-Quentin,
1859
|
DEBAIN Alexandre
François
(1809 - 1877)
|
1830 |
Pianos carrés, pianos droits, orgues et des harmoniums, le premier
piano automatique
Pianino ca. 1835,
Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles,
Belgique
Piano
mécanique ca. 1846-1877, Collection Musée des Instruments de
Musique, Bruxelles,
Belgique
Piano
mécanique ca. 1851,
The Smithsonian
Institution, Washington, U.S.
Piano
mécanique ca. 1853-77, Collection Musée des Instruments de Musique,
Bruxelles,
Belgique
Harmonium
'Harmonista'
ca. 1877,
Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles,
Belgique
Piano
droit ca. 1890, Europeana.it
DEBAIN
sur ce site
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Catalogue d'entre 1844-49
ÉTIQUETTE
ATELIERS
La fabrique et les
ateliers vers 1867
INFO EXTRA
Liste des prix et types de :
Harmoniums of Debain, p. 34-35,
et
Pianos et pianos mécaniques p. 37 de
1861 in
«She stoops to conquer». Libretto, 1861 (loc.gov)
|
Paris
Londres |
28, rue du Ponceau
(1834)(¹⁰)(arr.2)
1 et 6, rue du
Renard-Saint-Méry (1834)(¹⁰)(A1834)
(x1836)(x1838)(arr.4)
26, boulevard Bonne-Nouvelle (1835)(1836)(¹⁰)(**1837)(yy1839)( arr.10)
7, rue Hauteville (+1836)(x1836)(arr.10)
139, Palais Royal (1837)(¹⁰)(arr.1)
24, boulevard Saint-Denis (1839)(xxx1841)(x1843)(arr.10)
70, rue de Bondy (*1842)(arr.10)
76-78, rue de Bondy
(arr.10)
et 53, rue Vivienne (**1844)(1848)(arr.2)
24, rue Cadet (1847)(¹⁰)(arr.9)(a.p.)
15, rue Vivienne (1851)(*1853)(arr.2)
Fabrique & ateliers : 53, rue [neuve]
Vivienne (*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1853)(**1854)(vv1855)(arr.2)
24-26-[28],
Place Lafayette (**1857)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(*1862)(xxx1862)(***1863)(**1864)(yy1864)(zzz1864)(arr.9)
36, place Lafayette (1858)(¹⁰)
Usine à vapeur : 14, Boulevard de Denain (*1859)(xx1861)(xxx1862)(arr.10)
Usine à vapeur :
167, Chaussée de Clignancourt et barrière des
Poissonniers
(**1864)(arr.18)
116,
Place
Lafayette (*1867)(arr.10)
116-118, Place
[ou rue] Lafayette
(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(1882)(arr.10)
118-120, rue Lafayette
(**1883)(**1884)(arr.10)
Usine à St-Ouen
(**1883)
126, rue Lafayette
(**1886)(arr.10)
Magasin
: 15, rue
de Chaligny
(**1885)(1888)(y1889)(xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(**1898)(*1902)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(**1907)(*1909)(*1910)(x1912)(arr.12)
97, rue de Charonne
(1912)(arr.11)
Usine à vapeur à
Nogent sur Seine (*1895)(*1896)
18, Eversholt Street (xx1872)
41, Rathbone Place, W.
(***1882)
à Londres, Angleterre,
U.K. |
600 ouvriers
(1865)
500 ouvriers en 1872
|
'Facteurs de pianos'
Fils de Alphonse François DEBAIN.
"Il travailla chez M.
SAX
et M. MERCIER avant fonder sa propre atelier.
il commença à se signaler par diverses inventions qui toutes attestaient
une grande habileté mécanique. On vit successivement, soil dans ses
ateliers, soit aux expositions industrielles, un Oranger mécanique de
quatorze pieds, dont le feuillage était chargé d'oiseaux voltigeant et
chantant, et qui a été acquis par M. Henry Clifford; le Piano-écran, le
Sténographone, notant les improvisations de l'exécutant; l'Harmonium,
qui porte particulièrement son nom, et dont un brevet, pris en août
1840, lui assura la propriété; le Concertina, nouvel orgue expressif;
l'Anthiphonel, mécanisme applicable à tous les instruments à clavier; le
Piano mécanique, Harmonicorde, etc. (1835-1854). C'est lui qui, en
1850, exécuta pour l'Assemblée nationale l'urne de vatation imaginée par
M. Lanet de Limancet. M. Debain a obtenu de nombreuses distinctions aux
expositions nationales ou étrangères."
Bulletin
hebdomadaire, Volume 1, Association
scientifique de France
1834 -
Époux de LEGRIS
[ou LEBRIS
ou LEPRE]
Jeanne Charlotte (mariage en 1834). Un des
témoins était
THEAUX Amable Rose,
facteur de pianos, rue Sainte Croix de la Bretonnerie,
n° 11.
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
1836 -
Faillite en 15/11/1836. (¹⁰)
Membre d'
ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris
(°1849)
1842 -
"CONCORDATS. [...] MM.
les créanciers du sieur DEBAIN, fac-teur de pianos,
boulevart Ronue-Nouvelle, 26, sont invités à se
rendrele 25 mai à 1 heure au palais du Tribunal de
commerce, salle des assemblées des faillites, pour
entendre le rapport des syndics sur l'état de la
faillite, et élre procédé à un concordat ou à un contrat
d union, s'il y a lieu, conformément au Code de
commerce. Il ne sera admis que les créanciers re-connus.
(N» 9106 du gr."
Gazette des Tribunaux, 20/05/1842, p. 4
(data.decalog.net)
1846 -
"DEBAIN Alexandre,
Fabricant d'harmoniums, rue de Vivienne, n° 53. Cité le
22/04/1846, dans un acte sous seing privé comportant
société entre ledit, et les commanditaires, nommés audit
acte, lesquels se sont associés sous la raison DEBAIN et
Compagnie pour l'exploitation de la fabrique
d'harmoniums, qui commencera le 01/05/1846. Source :
D31u3-132/Pièce 826."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
1847 -
Époux
de PERS-ROUSSEL Adolphine Hortense. (1847)(¹⁰)
DEBAIN
A. (1851)(*1859)
1853 -
"M. Debain, fabricant de pianos et d'harmoniums, vient
d'être nommé fournisseur de l'empereur."
1853 -
Incendie (voir l'article ci-dessous)
DEBAIN
Al. (yy1851)(1855)
1856 -
"M. Debain, facteur de pianos et d'harmoniums de St M. l'Empereur, vient de
recevoir le titre de fournisseur de S. M. la Reine d'Angleterre."
Le
Ménestrel, 27/01/1856, p. 4 (gallica.bnf.fr) et
La Presse, 19/01/1856, p. 3 (gallica.bnf.fr)
Époux de VAN LEUVEN
Cécile Camille vers 1858 (¹⁰)
1860 -
Et il a été nommé
Chevalier de la Légion d'Honneur
en 1860. (¹⁸)
DEBAIN
A. François
(*1862) "Nous avons aussi les pianos du François Debain, visibles tous
les jours à l'exposition permanente de l'hôtel Laffitte." La Musique en
1865, p. 280
1862 -
"Atelier de M. Debain, place Lafayette - MM. Lelièvre, Arnould, Bernard
Soliwab, Cochoneau, E. Izamhert, Virot, Brission, Ganglaff, Servet,
Massenot, Beliard, Ouartelle, Léon Guérin, Edouy, Micrin, G. Bull, Marin,
Suemout, Mazure, Buguelin, Levasseur, Blanchard, S. Benoît, Coche, Millot,
Barthélemy, Berland, Gayte, Mercier, André, Lerluc, Douchin."
Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs
d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en
bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862,
p. 53 (gallica.bnf.fr)
DEBAIN & Cie
(1876)(**1879)(**1881)
1877 -
"NÉCROLOGIE - La facture instrumentale vient de perdre
l'un de ses plus dignes représentants: M.
Alexandre-François Debain, chevalier de la Légion
d'honneur, et l'un des constructeurs d'orgues-harmoniums
les plus justement réputés. M. Debain est l'inventeur de
plusieurs remarquables instruments à clavier dont le
regretté Lefébure-Wély se fit l'initiateur dans
l'origine, et sa manufacture de la place Lafayette se
distingue de plus par d'excellents pianos. On y fabrique
aussi les curieux pianos mécaniques, jouant pour ainsi
dire tout seuls. — M. Debain était un véritable
inventeur et sa mort est une perte pour la facture
instrumentale."
Le Ménestrel, 02/12/1877, p. 15 (archive.org)
DEBAIN
Mme. Vve. (*1877)
1882 -
"Paris. — Dissolution, à partir du 10 mars 1882. de la Société DEBAINS et Cie,
fab. de pianos et harmoniums, rue Lafayette, 116 et 118. — Liquid.: M.
Delanoy, rue Lamartine, 5 bis. — Jug. du même jour. — G. T."
Archives
commerciales de la France,13/04/1882, p. 514 (gallica.bnf.fr) -
Journal
des sociétés civiles et commerciales, 1882, p. 59 (gallica.bnf.fr)
1883 -
"A ADJUGER le jeudi 28 Juin à 2 heures, en l'Étude de M. Bourget, notaire à
Paris, rue Saint-Georges, 38, l'établissement industriel de la Maison DEBAIN
et Cie, pianos, harmoniums et pianos mécaniques. Magasin de vente à Paris,
rue Lafayette, 120; usine à Saint-Ouen, chemin des Poissonniers. Mise à
prix: 80,000 francs, pouvant être baissée; marchandises et matières
premières en sus. S'adresser à M. Eug. Delanoy, rue Lamartine, 5 bis,
liquidateur judiciaire de la Société DEBAIN et Cie."
Le
Ménestrel, 10/06/1883, p. 224 (gallica.bnf.fr)
1885 -
"On sait que la maison Debain, facteur de pianos et harmoniums possédait une
importante usine à Saint-Ouen. L'usine vient d'être achetée par le Chemin de
fer du Nord, et la vieille maison si réputée, reculant devant les frais
d'une nouvelle réinstallation, cède son fonds de commerce à MM. Rodolphe,
qui continueront, 120, rue Lafayette, Paris, la même fabrication artistique
qui a valu à M. Debain sa renommée universelle."
Le
Ménestrel, 17/05/1885, p. 191 (gallica.bnf.fr)
Plus tard :
Association avec
RODOLPHE
FILS
(°1850)
vers 1889, jusqu'à au moins 1913
RODOLPHE
Fils
(y1889)(xx1890)
'Pianofabrikant' (xx1890) -------
'Piano-Fabrik, Orgel- u. Harmonium-Bauanstalt' (x1906)
------- 'Piano- u. Harmonium-Fabrik' à Nogent sur Seine -
'Niederlage à Paris' (x1912)
RODOLPHE
Fils & DEBAIN réunies
(x1906)(x1912)
1912 -
Propriétaire : RODOLPHE Fils
(x1912)
Repris par
A. CHAPERON
après 1913; (x1926)
"DEBAIN (Alexandre-François), facteur
d'orgues et de pianos, né à Paris en 1809, mort en nov. 1877. Il fut
d'abord ouvrier ébéniste, puis entra dans une fabrique de pianos, devint
contremaître, et fit apprécier de tous ses patrons sa particulière
intelligence mécanique. En 1834, il créa lui-même une manufacture de
pianos et orgues, qu'il dirigea avec zèle et habileté. Il tenta
plusieurs perfectionnements, dont le plus remarquable et le plus fécond
porte sur les orgues expressives à anches libres. Debain, reprenant
l'idée de
Fourneaux sur l'application des tables d'harmonie, y ajouta
l'emploi d'épaisseurs très diverses pour les lames et fit varier la
position de ces lames par rapport à l'action du vent. Il obtint ainsi
quatre registres différents de sonorité, et donna le nom d'harmonium à
l'instrument perfectionné de cette façon. D'autres facteurs, partant de
ces heureux résultats, les ont encore améliorés par la suite. De plus,
Debain a réalisé diverses combinaisons mécaniques pour supprimer les
difficultés dans le rôle de l'exécutant on lui doit des systèmes de
pianos mécaniques, une machine destinée à accompagner le plain-chant et
qu'il appelait antiplaonel
(on l'actionnait à l'aide d'une manivelle, et des planches notées
mettaient en mouvement les touches par des pilotes), et aussi
l'harmonicorde, instrument nouveau où le son des cordes de métal s'allie
avec celui des anches libres."
La
grande encyclopédie : inventaire raisonné des sciences, des lettres et
des arts. Tome 13, par une société de savants et de gens de lettres,
1885-1902 (gallica.bnf.fr)
"Debain, Alexandre-Francois, l'inventeur de
l'harmonium, né à Paris en 1809, m. dans la même ville
le 3 déc 1877, travailla d'abord dans les ateliers d'Ad.
Sax, puis de Mercier et s'établit en 1834 comme facteur
de pianos. En août 1840, D. fit patenter l'harmonium,
qui le rendit bientdt célèbre. D. était un mécanicien
des plus habiles, il construisit toutes sortes d'instr.
de musique automatiques, perfectionna lui-même
l'harmonium par l'adjonction du prolongement, apporta
diverses améliorations à l'accordéon (concertina), etc."
Riemann Humbert Dictionnaire de musique 1899, p. 185
(Archive.org)
|
Liste des
exposants Paris, 1834
| Brevet de 1834.11.09
| Médaille de bronze Paris, 1844
| Médaille d'argent Paris, 1849
| Prize medal, Londres, 1851 | Médaille d'argent New York, 1853
| Médaille de la 1e classe Paris,
1855
| Patent, 1860.10.18 |
Chevalier de la légion d’honneur
|
Médaille Londres,
1862 |
Diplôme d'honneur Toulouse, 1865 | Hors concours
Paris, 1867
| Liste des exposants Le Havre, 1868 | Grand prix de
Rome, 1870
| Hors concours Lyon, 1872
| Liste des exposants, hors concours 1873
| Official catalog, 1876 | Médaille d'or Paris, 1878
|
DUMAS
(? -
1873)
|
1830 |
TITRE
'Fournisseur de M. R. de Portugal'
Plus tard 'seul concessionnaire' de KAPS
"Maury
et Dumas, fabrique, accord, réparation et location, pianos à chevalet
suspendu (brev. s. g. d. g.), M. H. Paris 1855."
Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1857, Nîmes p. 1573 (gallica.bnf.fr)
lire le texte sur le site suivant
L'illustration : journal universel, Volume 44, 1864,
p. 31
"DUMAS (A.) FAUB. ST-DENIS, 137 ; maison fondée en 1840,
fournisseur de la maison Royale de Portugal, inventeur
du piano lérigrave, membre du Jury de l'exposition
universelle 1872, méd. d'or, diplôme d'honneur et hors
concours 1872, aux expositions universelles et
départementales, spécialité de pianos brevetés pour
l'exportation : MAISON A NIMES."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration, 1881, p. 1522 (gallica.bnf.fr)
'Maury et Dumas. Manufacture de Pianos de Maury et Dumas, Inventeurs du
Levigrave.' Nîmes, France : L'Imprimerie Typographique Soustelle; 1863, 15
pp.
1876 - " Les
pianos de la fabrique Dumas, de Nîmes, qui trouvent un
grand débouché en Italie, sont annoncés sous la forme
plurielle Piano-Forti."
L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : Notes and
queries français, 1876, p. 663 (gallica.bnf.fr)
MÉDAILLES
Médaille MAURY & DUMAS, Nîmes, Exposition 1855
Médaille DUMAS Fils & COLIN, à Nîmes
Médaille DUMAS A., Paris
|
Nîmes
Toul ? (¹)
Paris,
après 1878 ? (¹) |
Maison
principale à Nîmes
Place des Carmes
(1842-??)
rue de Lampèze (x1850)
avenue Feuchères
(*1863)
11,
Avenue Feugères (1872)
9,
Avenue Feuchères (xx1890)
7, Avenue Feuchères
(xx1885)(xx1889)(*1896)(*1897)
à
Nîmes
? à Toul
137, rue du faubourg
Saint-Denis
(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1884)(**1885)(xx1885)(**1886)(**1888)(arr.10)
à Paris |
|
'Facteur de pianos'
et d'orgues
MAGER,
MAURY, DUMAS (ca.
1845-49)(**1846)(x1847)(x1849), voyez aussi pour le facteur avec le nom
MAGER,
MAURY.
1842 -
"Formation de Société. Par acte sous seing-privé, à la
date du trente-un août mil huit cent quarante-deux,
enregistré le six du courant, ° 60, v. c. 6, par le
receveur, qui a perçu 5 F. 50 c., MM. Mager, Maury et
Dumas, tous les trois facteurs de pianos, demeurant et
domiciliés à Nismes, ont contracté une société en nom
collectif ayant pour objet la frabrication des pianos et
orgues. La durée de la société est de six années qui ont
commencé le premier septembre mil huitcent quarante-deux
et finiront à pareil jour de l'année mil huit cent
quarante-huit. La raison de commerce est sous le nom de
Mager, Maury et Dumas. Les trois associés ont la
signature et sont chargés de l'administration et
guestion de la société, sauf pour les emprunts, où tous
les trois devront concourir. Pour extrait conforme à la
loi."
Courrier de Gard, 13/09/1842,
p. 298 (e-corpus.org)
MAURY,
DUMAS & PARIS (x1850) - voir
MAURY
MAGER,
MAURY, DUMAS & PARIS
(vers 1846-51)(**1846)(x1847)(x1849)(*1851).
Voir aussi
PARIS.
MAURY,
DUMAS, PARIS & Fils
(zzz1855)(y1856)
MAURY & DUMAS
(1855)(xx1857)(*1860) à Nîmes
MAURY & DUMAS
Père & Fils (1862)
DUMAS
Père & Fils (1863)
DUMAS A. & COLIN
(1869),
'Pianos expressifs à
genouillères', à Nîmes.
COLIN, c'était le
même que vous voyez ci-dessus, établis à 1830 à Nîmes ?
DUMAS Fils
(1872), encore à Nîmes
:
Jacques et Jean
Aristide DUMAS
DUMAS
Fils & COLIN
(*1873)
DUMAS Fils
(ca. 1872)
à Nîmes
DUMAS Fils & COLIN
(ca. 1872-75)
1873 -
Incendie 25.01.1873 -
Incendie Avenue Feuchères, de la manufacture de piano :
DUMAS Fils et COLIN.
Le feu s'est déclaré le jour du décès de M. COLIN père.
Il n'y avait personne à l'atelier. (nemausensis.com)
A.
DUMAS Fils
(?),
à Paris.
DUMAS
Aristide (*1878)(**1878)(**1881)(**1888)(*1896),
'Manufacture de pianos' (*1896)
DUMAS Jean Aristide
(1889)(1894)(*1897)
à Nîmes
DUMAS
F. Aristide
(xx1890),
'Pianofabrik u. Handlung'
à Nîmes
PARIS - "9547 Maury & Dumas, à
Nîmes (Gard). - Pianos droits, à cordes mi-obliques et à
chevilles suspendu."
Exposition des produits de l'industrie de toutes les
nations 1855: catalogue ..., 1855, p. 200
-et -
Quinze visites musicales à l'Exposition universelle de
1855, p. 212 - et -
Catalogue officiel publié par ordre de la Commission
Impériale, 1855, p. 200
PARIS - "Enfin, le piano droit à cordes
mi-obliques et à chevalet suspendu, exposé par MM. Maury et Dumas, de Nîmes
(Gard), offre une autre application du principe de M. Sax père."
Exposition universelle de 1855, Bonaparte, p. 694
- Voir
SAX
(°1843)
MARSEILLE -
"Nous avons encore les
pianos de MM. Maury et Dumas, de Nîmes; Martin, de
Toulouse; Aucher, de Paris; Bideler et Schultz,
instruments établis dans d'excellentes conditions, et
qui font le plus grand honneur à ces fabricants, dont
les noms trouvent encore une place honorable à côté de
ceux des maîtres de la facture." Expo Marseille -
Le Ménestrel, 18/08/1861, p. 2 (298) (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"Pianos droits pédale pour rendre le piano muet clef à l'aide de laquelle le clavier devient plus ou moins résistant."
Rapport sur les instruments de musiques à l'exposition universelle
de 1878, Chouquet
PARIS -
"DUMAS. - France. - Pianos droits . pédale pour
rendre le piano muet; clef à l’aide de laquelle le clavier devient plus ou
moins résistant."
Chouquet,
Rapport sur les instruments de musiques à l'exposition universelle de 1878
PARIS -
"45. DUMAS ( J.-Aristide), à Nîmes
(Gard), avenue Feuchère, 7. — Piano vertical oblique
avec clavier lévigrave et pédale pianissimo."
Catalogue général officiel de l'exposition universelle
de 1889, p. 4 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1860 : 'Clavier régulateur'
Brevet de 1862
: "722° Le brevet d‘invention de quinze ans, dont la
demande a été déposée le. 9 janvier 1862. au secrétariat
de la préfecture du département du Gard, par les sieurs
Maury et Dumas père et fils, facteurs de pianos, à
Nîmes, pour un système de régulateur ou modérateur
applicable aux claviers des pianos. "
Bulletin des lois de la République franc̜aise, Volume 1,
N° 1080-1132, 1863, p. 1317
Brevet de 1862 :
"1230° Le certificat d'addition dont la demande a été
déposée, le 27 décembre 1862, au secrétariat de la
préfecture du département du Gard, par les sieurs Maury
et Dumas père et fils, à Nîmes, et se rattachant au
brevet d'invention de quinze ans pris, le 9 janvier
1862, pour un système de régulateur ou modérateur
applicable au clavier des pianos."
Bulletin des lois de la République Française, Volume 24,
1865, p. 138
Brevet de 1867 : 'pianos
expressiefs à genouillères'
Brevet de 1870 : 'pianos à grillé en fer,
genre américain, système Dumas fils et Colin'
Brevet de 1878 :
"Klavierfabrikant A. Dümas in Paris hat
eine Mechanik erfunden, mittelst welcher man durch das
einfache Umdrehen eines Schlüssels die Spielart eines
Klaviers leichter und schwerer machen kann, was für die
Fingerübungen sehr wichtig ist. Um diesen Fingerübungen
ihre Unannehmlichkeit für die Zuhörer zu benehmen, ist
am Instrument ein Pedal-Pianissimo angebracht, welches
dem Uebenden erlaubt, selbst bei Nackt seine Studien
fortzusetzen, ohne seine Umgebung zu stören."
Zürcherische Freitagszeitung, 27/09/1878, p. 1
(e-newspaperarchives.ch)
'Piano vertical avec
clavier
lévigrave et pédale pianissimo' ou
"249478.
8 août. Société A. Dumas et Cie. — Le Levigrave Sanud ou clavier
mobilgrave
à pédale progressive muette. — Cette invention, relative spécialement aux
pianos, a pour objet de rendre mobile le clavier pour que la bascule des
touches puisse attaquer le chevalet de la mécanique immobile à des distances
différentes de la balance des touches, et l'application d'une troisième
pédale, dite muette, qui agit sur une barre pour étouffer progressivement
les sons du piano."
L'Ingénieur civil : journal d'application et de
vulgarisation des découvertes les plus récentes,
15/02/1896, p. 799 (gallica.bnf.fr)
VOIR AUSSI ....
... autres avec le nom
DUMAS
... une publicité dans
Annuaire du département de l'Hérault, 1885, p. 9
(Archives départementales de l’Hérault)
|
Mention
honorable Paris, 1855 | Médaille de Vermeil, Montpellier,
1860 | Liste des exposants Metz, 1861 | Liste des exposants Marseille,
1861 | Liste des exposants Lyon,
1872 | Médaille de bronze Paris, 1878 | Mention honorable Paris, 1889
| Diplôme de
médaille de bronze Lyon, 1894
|
MANGEOT Pierre Hyacint
(1808 - 1862)
|
1830 |
Pianos droits, pianos carrés et pianos à queue (dès 1840)
Piano
'niche de chien' ca. 1850 ?, University of Leipzig, Museum of
Musical Instruments, Leipzig, Allemagne
Piano
'niche de chien' ca. 1860,
sa signature, (probablement
détruit pendant la Seconde Guerre mondiale)
Musikhistorisches Museum von Wilhelm Heyer, Cologne,
Allemagne
MANGEOT sur ce site
C liquer sur les liens ci-dessus.
INFO
EXTRA
J. M.
Stussi, Facteurs de pianos de Nancy, Strasbourg, Le Mans, Mâcon et
Angers. Doc. Personnels (⁸)
|
Nancy
|
4,
rue du Point du Jour (y1830)
Faubourg
Saint George (1831)
[47], rue des Dominicains (y1832)(1835)
rue de la Constitution [ancien
hôtel du Petit-Paris] (y1839)
4,
rue de la Constitution
(1846)
[9], rue de la Constitution (1841)(y1844)(yyy1853)
17, rue des Jardiniers (**1866)(*1867)(*1868)(*1870)
|
|
'Facteur de pianos',
et 'orgues expressives et métronomes' ca. 1830-59; (*1850)
Pierre Hyacint MANGEOT
a eu son apprentissage dans
quelques manufactures de pianos à Paris.
'Élève
de M. Stezle' (y1830) - Voir
STEZLE
à Nancy
MANGEOT
P. H. à Nancy (1830)
Liste des sociétaires de l'Association des
artistes musiciens, vers 1850-53, 1856-57, 1859, 1861 (²⁵)
MANGEOT
Fils André-Alfred
(***1850)
MANGEOT Frères & Cie
(°1859)
successeurs - Ses fils qui lui succèdent étaient
Alfred et Eduoard-Joseph.
BIO
"Après un séjour de perfectionnement hors de
Nancy entre 1828 et 1830, Pierre Hyacinthe Mangeot ouvre un atelier de
fabrication de pianos à Nancy en 1832. Son travail est rapidement récompensé
par des médailles aux Expositions régionales. En 1841, il s’installe au 9
rue de la Constitution, site qu’il occupera jusqu’en 1880 à partir duquel il
a connu un large développement. En 1858, ses deux fils André Alfred (1831
Nancy – 1889 Paris) et Edouard Joseph (1835 Nancy – 1898 Paris) prennent la
direction de la manufacture. Le succès de la maison est dû aux compétences
commerciales, techniques et artistiques de ces deux frères, et en
particulier de l’adoption sous licence de la technique Steinway ainsi qu’à
la création d’un piano à deux claviers inversés. Avant de transférer, en
1878, ses ateliers et direction à Paris (64 rue Neuve-des-Petits-Champs,
puis au 334 rue Saint-Honoré), les Mangeot bénéficiaient dans la capitale du
concours de Oscar Comettant et de son Louis Lucien Comettant, gendre d’André
Alfred. Les deux frères avaient développé une notable activité musicale dans
leurs salons de Nancy et de Paris (avenue de l’Opéra) dans lesquels ils
recevaient les artistes renommés. La manufacture de pianos arrête sa
production après le décès d’André Alfred Mangeot, Edouard se consacrant
ensuite uniquement aux activités musicales."
J.M. Stussi, Facteurs de
pianos de Nancy, Strasbourg, Le Mans, Mâcon et Angers. Doc. Personnels (⁸)
"Le sieur Mangeot,
élève de M. Stezle,
facteur de forte-piano, arrivant de Paris,
vient de faire un piano verticale dans le genre de ceux
de M. Roller, inventeur
de ces pianos. Sous une forme plus petite, ils ont l'avantage de tenir
parfaitement leur accord et d'être beaucoup plus fort en son que les pianos
carrés. On pourra le voir chez lui, rue du Point du Jour, n° 4, et les
personnes qui désideraient en avoir pourront s'adresser M. Stezle, rue des
Champs, près le Jardin-des-Plantes."
Journal de la Meurthe, 18/04/1830, p. 3 (kiosque.limedia.fr)
- Voir
STEZLE
à Nancy - et
ROLLER
(°1804)
"M. Mangeot, facteur
de pianos à Nancy, vient d’ouvrir son magasin rue des-Dominicains, n.° 47,
on y trouvera des pianos carrés, pianos droits de différens genres, et des
pianos des meilleurs facteurs, de Paris. Il fera tous ses efforts pour
mériter la confiance des amateurs ; il donnera toutes garanties contre tout
accident, qui proviendrait de la fabrication. Il lient aussi un dépôt
d’orgues d’église à cylindre, orgue de salon, à manivelle et marchant
seuls."
Journal de la Meurthe, 13/05/1832, p. 4 (kiosque.limedia.fr)
"Mangeot, FABRICANT DE PIANOS, A NANCY - Rue de la
Çonstilution, ancien hôtel du Petit-Paris, Prévient les amateurs de musique
qu’étant à même dans le grand local qu’il occupe de fabriquer tous les
genres de pianos et à des prix avantageux, il peut en établir les prix ainsi
qu’il suit, savoir : pianos carrés pour étude à 6 octaves et 2 cordes, 600
francs ; pianos droits, à deux cordes 6 octaves, 650 francs; pianos
d’exécution, droits, carrés et à queue, à 6 et 6 octaves et demie, depuis
800 francs jusqu’à 1,600 fr. Il les garantit pendant deux années."
Journal de la Meurthe, 01/11/1839, p. 4 (kiosque.limedia.fr)
|
Médaille
d'argent Nancy, 1833 | Médaille d'or Nancy, 1838 | Médaille d'or Nancy,
1843 |
Liste des
exposants Paris, 1855
|
MERCIER
Sébastien-Placide
|
1830 |
TITRES
"Facteur de Piano - Le Roi des Français et le Roi de
Suède." "Facteur de pianos de L.L.M.M. la Reine
d'Angleterre et le Roi de Suède."
Piano 'niche de chien'
n° 62 ca. 1831, Collection Finchcocks Musical Museum, Kent,
Angleterre, U.K. Pianino
de 1835, Germanische Nationalmuseum, Allemagne
Piano
pont ca. ??,
Musée du piano à
Limoux, France
Piano
droit n°1465,
Musée du piano à
Limoux, France 'Niche
de chien' ou 'piano pont' ca. 1850
et
sa signature, Cité de la Musique, Paris, France
MERCIER
sur ce site
C liquer sur les liens
ci-dessus.
"M. S. Mercier, breveté facteur de pianos de IL MM le
roi des Français et le roi de Suède, a été distingué à
t'exposition dernière par une médaille la Société
d'Encouragement vient de lui en décerner une autre
d'argent. On ne aurait assez recommander ce fabriqua,
que depuis treize ans s'est occupé exclusivement
l'amélioration des pianos droits, aussi cette maison
est-elle considérée comme une des premières, pour ce
genre d'instrument. Ses magasins sont situés Boulevart
Bonne-Nouvelle, 31, en face le théâtre du Gymnase."
Le Figaro, 01/11/1840, p. 2 (gallica.bnf.fr)
"Mercier (Séb.), fact. du roi des Français, de la reine
d'Angleterre et du roi de Suède, manufacture spéciale de
pianos droits à cordes obliques et pianos transpositeurs
dans tous les tons. B. 1839, A. 1844, A. S. E. 1840,
boul. Bonne Nouvelle, 31."
Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la
magistrature et de l'administration : ou almanach des
500.000 adresses de Paris, des départements et des pays
étrangers, 1846, p. 559 (gallica.bnf.fr)
"Ah, j'oubliais! et mon piano, cet ami qui chante
toujours et se trouve si bien en complète harmonie avec
le coeur, qui pleure avec lui ou l'entraîne dans ces
douces extases qui isolent et transportent ! Il est si
difficile de rencontrer aujourd'hui la justesse du ton
unie à la vibration, que je ne sais, vraiment, à quel
facteur me confier ? Mais, j'y pense, Mercier (Boulevard
Bonne-Nouvell)), n'est-ce pas lui qui a fourni à la
comtesse de L** ce charmant petit meuble qui fait
l'admiration de tous ses amis, qui charme autant les
yeux qu'il résonne délicieusement à l'oreille. Oui, oui,
c'est bien Mercier; j'irai chez lui. Patroné par le roi
es français, a reine Angleterre et le roi de Suède, ses
pianos droits sont supérieurs à ceux des autres facteurs
et méritent bien la réputation qu'il s'est acquise.
; Et puis n'est-ce pas lui qui, le premier, a introduit
à la cour d'Angleterre le nouveau piano transpositeur,
dans tous les tons et à clavier immobile. Cette dernière
déçourverte me décide; Mercier me fournira donc un piano
droit. Un piano, c'est fort bien ! mais à moi qui suis
avide de nouveautés musicales, il faut de la musique
nouvelle."
L'Étoile : revue du progrès : philosophie, littérature,
beaux-arts, théâtres, modes, 22/03/1846, p. 94
(gallica.bnf.fr)
"Facteur de pianos de LL. MM. la Reine d'Angleterre et
le Roi de Suède, M. Mercier a exposé deux de ses
instruments au Palais de Cristal; l'un est en ébène
légèrement orné de dorures et harmonisé avec une rare
élégance; l'autre est en bois de caracoa des Indes,
formant, par une gracieuse intersection de bois de rose,
des marbrures de l'effet le plus original; il est
ouvragé en imitation du style grec, goût particulier du
facteur, qui semble vouloir se soustraire, même en ce
qui louche la forme, à toute accusation de plagiat."
Pub
de 1851, Le Palais de Cristal
(gallica.bnf.fr)
"THE ROYAL ALBERT PIANOFORTES, Containing the
Patent Transposing Action, lately invented by S.
Mercier, of Paris. HER MAJESTY and THE PRINCE ALBERT
have been graciously pleased to sanction this useful
invention, and His Royal HIGHNESS has conferred the
distinguished privilege of permitting these instruments
to be called THE ROYAL ALBERT PLANOFORTES. Particular
attention is requested to the following points: — I. The
Strings, the Hammers, and the Keys are Immoveable. II.
These instruments possess the extensive power of
transposing any piece of music Five semitones higher,
and five semitones lower; thereby rendering many
thousand musical works within the compass of every
voice. III. They contain the new compass of six octaves
and three quarters, or eighty notes. IV. The Transposing
Action can be applied to Grand, Semi-Grand, Piccola, and
all kinds of upright Pianos; and it can be added to
instruments already made. V. As the Strings of these
Pianofortes are not shifted, they are not liable to get
out of tune. VI. They are sanctioned by above Two
Hundred and Fifty Members of the Musical Profession.
Prospectuses with Lists of Prices and full particulars,
may be obtained of the Patentee, or forwarded by post;
also, “Remarks on the Royal Albert Pianoforte" by
William Hutchins Callcott, (price 2s.) by post, 2s.6d.
Robert Addison, Patentee and maker, by special
Appointment, to her Majesty the Queen, and His Royal
Highness the Prince Albert, 210, REGENT STREET, London."
The Musical World, 26/06//1845, p. 312 - Voir
Robert ADDISON, à Londres, Angleterre
|
Paris |
boulevart des Filles-du-Calvaire (1834)(**1837)(*1838)(arr.11)
4,
rue
Basse-Saint-Pierre-Popincourt(*1832)(*1833)(1834)(z1835)(**1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(**1840)(x1840)(***1841)(arr.11)
31,
boulevard Poissonnière (*1840)(arr.9)
31,
boulevard Bonne-Nouvelle
(1839)(xxx1841)(*1842)(**1843)(x1843)(**1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(vv1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(arr.2)
33,
boulevard Bonne-Nouvelle (**1857)(arr.2)
44,
rue des Graviliers (?)(arr.3) |
30
ouvriers et 140 pianos par an vers 1849
|
'Facteur de pianos' ca. 1832-57
GIBAUT
& MERCIER (1828-29), voir
GIBAUT
(°1828)
Il était élève de
ROLLER & BLANCHET
et selon
Claude MONTAL, GIBAUT est commencé son atelier avec
MERCIER comme associé en 1828, qui est commencé pour
lui-même en 1830.
L'art d'accorder soi-même son piano,
C. Montal, 1836, p. 240
"M.
Sébastien Mercier est entré en 1822 dans la carrière de
la facture instrumentale. Après avoir séjourné quelque
temps à Naples, il se rendit a Rome où son habileté lui
valut les sympathiques encouragements de S. S. Pie VII.
Son arrivée à Paris date de 1824; quelques années après,
il jetait les bases de son établissement, et il
construisait, d'après le système Roller, ses premiers
pianos droits. Dès ce moment sa place fut marquée parmi
l'élite de nos facteurs. Honoré du titre de facteur
ordinaire du roi Louis-Philippe et de S. M. le roi de
Suède, il reçut la grande médaille d'argent de la
Société d'encouragement pour les arts industriels. A la
suite de l'Exposition universelle de 1855, où ses pianos
ont obtenu un grand succès, M. Mercier a été récompensé
par la médaille de première classe, qui ne fait que lui
présager une récompense plus précieuse encore.
Mécanicien très-distingué, travailleur plein de
persévérance et d'énergie, homme de progrès et
d'initiative, M. Sébastien Mercier ne doit qu'a son
mérite et à ses efforts soutenus, la haute position où
il est parvenu, position conquise par trente-quatre ans
d'activité incessante."
Annuaire musical, 1857, p. 188-189 (gallica.bnf.fr)
MERCIER
J. (xx1839)
MERCIER
Baptiste
(xxxx1839)
1844 -
"L'habile facteur, M. Mercier, qui a obtenu à la
dernière exposition une médaille décernée à la
spécialité des pianos droits est de retour d'un voyage à
Londres, où il a eu l'honneur d'être reçu en audience
privée par le prince Albert. Le prince, qui est
excellent connaisseur en musique, a été enchanté du
nouveau piano, à clavier et mécanique non mobiles, que
l'inventeur, M. Mercier, lui a présenté. Le prince s'est
empressé d'acheter ce piano-modèle et d'accorder le
brevet de facteur de la reine Victoria à M. Mercier, en
témoignage de sa vive satisfaction."
La France Musicale, 1844, p. 283 (gallica.bnf.fr)
1844
-
"Au mois d'août dernier, Thalberg, ayant ou l'occasion
de jouer à Boulogne-sur-Mer, le piano de M. Mercier,
voulut témoigner toute satisfaction à l'habile
facteur, en lui donnant une lettre de recommandation
très pressante pour son beau-pére Lablache alors à
Londres. Conjointement avec M. Costa, Lablache présenta
M. Mercier et son instrument à la reine Victoria et au
prince Albert, et ce dernier, très compétent en tout ce
qui concerne l'art musical, fit délivrer sur-le-champ, à
M. Mercier, le brevet de facteur de la reine pour pianos
droits à claviers et à mécaniques non mobiles."
La France Musicale, 1844, p. 326 (gallica.bnf.fr)
1858 -
"L'un de nos meilleurs facteurs de pianos, M. Sébastien
Mercier, se retire des affaires. La liquidation de ses
excellens instrumens se prolongera jusqu'au mois de
juillet prochain. Il sera donc encore possible de
visiter ces salons du boulevard Bonne-Nouvelle, 31, où
naguère les premiers artistes ont composé et exécuté
leurs œuvres les plus remarquables."
La Presse, 21/02/1858, p. 3 (gallica.bnf.fr) -
Journal des débats politiques et littéraires, 24/02/1858,
p. 2 (gallica.bnf.fr)
1927 -
"Séb.
MERCIER, en 1844 présenta un piano droit à cordes
verticales permettant de transposer de cinq demi-tons.
Plus tard, toujours pour faciliter la transposition
(1851), il fabriqua un instrument muni de touches
brisées agissant sur divers leviers, suivant le
déplacement du clavier. A la même époque, il ajouta une
pédale expressive."
Encyclopédie de la musique et dictionnaire du
conservatoire, 1927, p. 2078 (gallica.bnf.fr)
1836 - "Le
piano droit à sept octaves et trois cordes, de Mercier,
à Paris, contient une pédale particulière au moyen de
laquelle la diffussion du son peut-être graduée à
volonté. Le piano étant, de tous les instrumens, le plus
cultivé aujourd'hui, on ne saurait y apporter trop de
perfectionnemens."
La France industrielle: encyclopédie des arts, du
commerce, de l'agriculture, 1836, p. 115
1845 -
"Les pianos transpositeurs de M. Mercier ont obtenu les
suffrages de tous les amateurs. La simplicité du
mécanisme qui fait le fond de cette invention
remarquable lui assure le rang que l'on s'est plu à lui
promettre tout d'abord. On sait que l'ancien système du
piano occasionnait un dérangement complet, dans le
clavier et la mécanique, tandis que dans le nouveau
système il ne s'agit que de faire mouvoir un petit
bouton pour obtenir une transposition de demi-tons
jusqu'à dix, de sorte que l'accompagnement d'un morceau
de chant est bon pour toutes les voix, et qu'un solo de
cor, par exemple, peut être exécute par un cornet à
pistons, quel que soit le ton. Ces instruments sont à
trois cordes, six octaves trois quarts."
La France Musicale, 1845, p. 7 (gallica.bnf.fr)1846 -
"THE ROYAL ALBERT
PLANOFORTE AND DE FOLLY'S GEOMETRICAL * PIANOFORTE.
Having been invited to inspect these new inventions, we
require no graphic aid to describe them. Indeed, the
machinery is so simple in both instances that it would
present no interesting features for illustration, and
the novelties can be easily explained in sober prose. M.
De Folly is the clever flautist of Her Majesty's
Theatre, and his invention consists in an entirely new
distribution of the keys. It is most simple, but most
effective, reducing as it does the fingerings on the
piano to two. When the scales of C and G are acquired,
the performer can play immemediately in any other key.
As these are uniform keys (of equal size), the great
difficulties in extreme scales are so simplified as to
render the most abstruse and remote passages easy. Mr.
Laurent, jun., played on Monday last on an instrument
made by Messrs. Collard on this principle, and produced
effects equal to the most astonishing pianists. There is
not the slightest, alteration in the strings and
hammers—the invention applies solely to the keyboard. It
must materially shorten the duration of pianaforte
practice, and the executants of tours de force will have
to commence again. The leading professors have highly
approved of M. de Folly's ingenuity. The Royal Albert
Pianoforte is the invention of Sebastian Mercier, a
maker in Paris. By means of a transposing action, which
consists of a key in the centre of the instrument,
turned either to the right or to the left, whilst a
spring is held down, the performer may raise or lower
the pitch five semitones, without shifting the ivory
keys or changing a note of the piece as written by the
composer. This is a most beautiful and ingenious
invention, and a marvellous triumph of mechanical power.
To singers and to singing masters, it is invaluable. If
the voice be out of order, or if the composition be too
high or too low for the register, the remedy is
immediately at hand, and the compass of the transposing
power being five semitones lower or higher than any
given scale, the extent, as Mr. Callcott justly observes
in his able treatise, is abundantly sufficient for every
vocal purpose."
The Illustrated London News, 17/01/1846, p. 42
1857 -
"L'Annuaire musical de
1857, dans un article consacré aux célébrités artistiques, relève
l'omission qui avait été faite de l'un des titres les plus flatteurs
qu'ait obtenus M. Sébastien Mercier, celui de facteur de pianos de
S. M. la reine d'Angleterre. C'est, en effet, en 1844 que, sous le
patronage de MM. Lablache et Thalberg, ce brevet lui fut remis dans
une audience particulière au château de Windsor, et confirmé par les
éloges de S. A. R. le prince Albert : M. Sébastien Mercier est aussi
l'un des titulaires de la Société internationale nouvellement
instituée pour les études pratiques d'économie sociale."
La Presse, 21/02/1857, p. 2 (gallica.bnf.fr)
ÉLÈVES de ROLLER
"L'atelier de Roller a fourni de nombreux facteurs ; MM.
Boutron, Guerber, Moniot [Monniot], Thomas, Souffletto [Soufléto], Mercier,
Gibaut, Bernard [Bernhardt], Mermes [Mermet], etc., etc., sont de jeunes
facteurs, tous Français qui ont fait chez lui leur apprentissage ; plusieurs
d'entre eux figuraient avec distinction à l'exposition."
Lucas Al.
Panorama de l'industrie française publié par
une société d'artistes et d'industriels sous la direction de M. Al. Lucas,
1839, p.
97
- Voir
ROLLER
(°1808)
et
ROLLER &
BLANCHET
(°1826)
|
Liste des
exposants Paris, 1834 | Liste des exposants Toulouse,
1835 | Médaille de bronze Paris, 1839 | Médaille
d'argent Paris, 1844 | Patent, 1840, 1841, 1844 |
Médaille d'or Paris, 1849 | Official catalog Londres,
1851 | Médaille 1e classe Paris, 1855
|
MOITESSIER Prosper Antoine
(1807 - ?)
Facture ca. 1875 |
1830 |
Pianos droits et orgues
MOITESSIER
sur ce
site
Cliquer sur le lien ci-dessus.
MONTPELLIER
-
"Deux exposans se sont encore fait remarquer à cette
exposition par la qualité supérieure de leurs produits. Ce sont MM.
Couder, facteur de Paris, et M. Moitessier, de Montpellier. Ce dernier a
confectionné un petit orgue de salon, ayant autant, mais n'ayant pas
plus de volume qu'un piano droit, avec un bourdon et un prestant d'assez
forte taille. Au moyen de combinaisons ingénieuses, tous les tuyaux sont
perpendiculaires, ce qui donne beaucoup d'égalité aux sons et de
facilité pour l'accordage. M. Moitessier a aussi inventé un mécanisme de
soupapes qui présente beaucoup d'avantage sur celui connu et employé
jusqu'à présent. Ces soupapes peuvent s'enlever, et les ressorts
agissent sur elles de manière à rendre le toucher plus facile."
La France Musicale, 12/01/1840, p. 23
MONTPELLIER -
"Dans cette
catégorie, le Jury a remarqué un piano petit format de M. MOITESSIER.
Sonorité assez bonne, timbre un peu cuivré, répétition assez bonne,
égalité laissant à désirer dans le médium grave, clavier facile."
Expos. Montpellier
Annuaire
administratif et commercial de Lyon et du département du Rhône,
1860, p. 304
MONTPELLIER -
"MOITESSIER (PROSPER-ANTOINE), à Montpellier. — Trois
pianos droits, etc."
Compte rendu du concours régional et des expositions de
Montpellier en 1860, p. 517 (gallica.bnf.fr)
"Moitessier, luthier, fact., acc. et march. de pianos, vend et loue tout ce qui concerne son état fabr.
de violons, altos et violoncelles; copie exacte du stradivarius, Grande-Rue, 91."
Agenda
musical, Paris, 1837 (gallica.bnf.fr)
"Moitessier,
facteur de pianos, orgues d'église, instr. et musique en tous
genres." (?)
"Moitessier
fils, maison fondée en 1830,
vente, location, réparations, échanges, plusieurs médailles d'or et
d'argent."
Annuaire des artistes et de l'enseignement
dramatique et musical,
1893 (gallica.bnf.fr)
Probablement deux succersales de
MOITESSIER,
un à Beaucaire et un à Carcassonne vers 1837.
|
Mirécourt
Montpellier |
?
à Mirécourt
91, Grande-Rue (x1837)
Magasins : 6, grand
rue (fact. 1859)
Ateliers : rue Jeu de Ballon (fact. 1859
et 1875) Magasin :
rue Ste Foy (Fact. 1875)
Magasins :
[1-3], Passage Bruyas
[ou
Bruyas]
(*1875)(xx1885)(xx1890)(*1895)(*1897)
Ateliers : 5, rue d'Alger (*1895)
5, boulevard de
l'Esplanade (x1906)
à Montpellier |
|
'Facteur de pianos'
et d'orgues ca. 1837-1906
'Manufacture des pianos et des
orgues d'église' (fact. de 1859 et 1875)
LÉTÉ -MOITESSIER
(avant 1826), à Mirécourt
ROUSSELOT
Frères & MOITESSIER,
Association en 1840, avec le facteur Rousselot de Nîmes,
voir
ROUSSELOT
(°1833),
sur cette page.
1840 -
"MONTPELLIER. - Une association plus artistique
qu'industrielle vient de se former pour doter notre
ville d'une fabrique d'orgues et de pianos. Les
directeurs de ce vaste et utile établissement sont MM.
Rousselot, de Nimes, et notre compatriote M. Moitessier.
Le premier est un de ces artistes modestes que la
province compte en si petit nombre; ses produits ont
acquis depuis fort long-temps toute l'estime des
musiciens : récemment encore, le jury de l'exposition a
cru devoir lui décerner une médaille d'argent, bien
qu'il eût paru trop tard dans la lice et que les
réglemens lui refusassent pour cela même aucune
récompense. Il ne pouvait choisir un plus digne associé
que M. Moitessier, connu par les innovations et
l'habileté qui caractérisent ses œuvres; honoré d'une
médaille d'or pour ce charmant petit orgue que nous
avons tous admiré, M. Moitessier apportera dans cette
collaboration de solides et précieuses qualités. Cet
établissement mérite d'autant plus les l'estime des
artistes, qu'il crée à Montpellier une industrie
considérable, et qu'il popularise dans cette ville la
musique instrumentale."
La France musicale. Jules Maurel, Marie et Leon
Escudier, Volume 3, 08/03/1840, p. 111"Moitessier (Prosper-Antoine), né à Carcassonne (Aude), en 1807.
Avant perdu son père à l'âge de dix ans, sa mère, pour le mettre à même
d'apprendre et de continuer l'état de luthier, l'entoura de bons
ouvriers. En 1819 et 1810, il reçut les premières notions de la facture
d'orgues d'un nommé Pilot, natif des Vosges. Désirant se perfectionner
dans cette partie, il se rendit à Mirecourt et travailla d'abord chez
Nicolas Roy, l'un des plus habiles ouvriers du pays, et il alla ensuite
à Paris, où il fut reçu dans les ateliers de M. Lété, actuellement à
Mirecourt. Il prit aussi des leçons de M. Wuillaume, qui s'est acquis
une si grande réputation comme luthier, et qui était alors associé de M.
Lété
[encore à Mirécourt, mais
LÉTÉ s'établi en
1827 à Nantes, comme marchand de musique, mais comme fabricant dès 1847]. En 1826, il quitta Paris, où la facture d'orgues ne semblait
présager aucun avenir. De retour dans son pays, il ne trouva point
d'ouvrage, si ce n'est quelques menues réparations à faire à de petits
orgues. Cependant son goût pour la mécanique lui faisait préférer cet
instrument à tout autre; mais ne trouvant point assez de ressources à
Carcassonne, il vint en 1830 s'établir à Montpellier, nourrissant
toujours l'espoir de rentrer dans les ateliers de M. Lété, qui avait
alors de grands projets que firent évanouir les événements de juillet de
cette même année et la mort d'une personne influente. Six années se
passèrent sans que Moitessier pût parvenir à se faire connaître, ne
voulant pas causer le moindre tort à de vieux facteurs à qui l'on
confiait le peu de réparations qu'il y avait à faire aux orgues de la
contrée. Enfin, en 1836, ou lui proposa de relever l'orgue du temple
protestant, construit par le grand-père de M. Aristide Cavaille. [...]
Chaque facteur cherchait à se distinguer par quelque amélioration dans
son art. M. Moitessier ayant remarqué l'hésitation où l'on était sur le
ton auquel il convenait le mieux de mettre les orgues, concilia les
diverses opinions en adaptant aux claviers un mécanisme transpositeur
analogue à celui que M. Roller avait appliqué aux pianos. En 1839, il
présenta à l'exposition à Montpellier un orgue de salon, [...] Ce travail
fut récompensé d'une médaille d'or, et fit prendre rang à son auteur
parmi les facteurs d'orgues. Depuis cette époque, il ouvrit de grands
ateliers, qui n'ont point cessé d'occuper vingt ouvriers et souvent
plus. [...]"
Nouveau manuel complet du facteur d'orgues, Marie-Pierre Hamel,
1849, p. 462 - Voyez
LÉTÉ
(°1847)
à Nantes.
MOITESSIER
Fils (xx1890)(*1893)(*1895), 'Facteur de pianos, éditeur de musique'
'Musikal.-, Piano- u. Instr.-Handlung' (xx1890)
------- 'Musikal.- u. Piano-Handlung' (x1906)
MOITESSIER
L.
(x1906)
Repris par
COLIN P.
(°1830) vers 1907
INFO EXTRA
Un site sur Prosper MOITESSIER
|
Médailles d'or Montpellier, 1839,
Médaille d'argent Montpellier, 1840 | Médaille d'or Montpellier ?,
1851 | Médaille d'argent Montpellier,
1860
|
WIRTH
Samuel
|
1830 |
Fabrique de pianos à Lyon fin 19ème
Pianos carrés, pianos droits et pianos à queue
"Nous lisons dans le
Courrier de Lyon : Sur le rapport avantageux de MM. les
membres du Conservatoire et de la commission chargée de
l'examen des produits de l'industrie française, S. M.
Louis Philippe vient de nommer M. Wirth, domicilié rue
des Trois-Carreaux, à Lyon, facteur de pianos du roi.
Cette haute faveur est fondée sur les qualités de tout
genre que réunssent les instruments sortis des ateliers
de cet habile facteur. Leur mécanisme, d'invention
nouvelle, favorise extraordinairement la répétition des
notes, et résout, au jugement de MM. les membres du
jury, le double problème de solidité et de
perfectionnement harmonique que les facteurs ont cherché
en vain depuis longues années. La réputation de M. Wirth
était déjà honorablement établie. Le glorieux privilège
qui le met au rang des facteurs les plus célèbres de la
capitale et à la tête de ceux de Lyon sera un titre de
plus à la confiance publique et un puissant
encouragement pour M. Wirth, qui va faire de nouveaux
efforts pour justifier de plus en plus les droits qu'il
avait à l'honorable distinction que le roi a daigné lui
accorder."
Le Censeur : journal de Lyon, politique, industriel et
littéraire, 24/02/1845, p. 3-4 et
Le Courrier de la Drôme et de l'Ardèche, 16/03/1845,
p. 3
"Pianos -
INVENTION. — ORDONNANCE ROYALE. Pianos à Doucine de WIRTH, FACTEUR DE
PIANOS, A Lyon, rue Trois-Carreaux, 3. Ce genre de piano, dont M. Wirth seul
est l'inventeur, se distingue des pianos ordinaires par sa forme et son
mécanisme nouveau. Il est plus gracieux et moins grand ; il est à frappement
sur le devant, à bascule et à double échappement tirant le marteau, ce qui
assure la répétition des sons dans les cadences, leur donne plus entendue et
de douceur. Les chevilles placées sur le devant en facilitent beaucoup
d'accord. M. Wirth invite MM. les amateurs et MM. les connaisseurs à venir
voir et entendre son piano pour juger par eux-mêmes des qualités qui
recommandent cet instrument et qui le distinguent des pianos ordinaires."
Le Censeur : journal de Lyon, politique, industriel et littéraire,
14/04/1841, p. 4
TÊTE D'UNE FACTURE
Facture de 1872
. |
Lyon
Montplaisir-lès-Lyon
Clermont-Ferrand |
9, Place de la Préfecture
(maintenant rue de l'Ancienne Préfecture)(1830)(yy1855)
5, rue Champier (x1835)(xxx1838)(xxx1839)
3, rue des Trois Carreaux (*1841)(**1842)(*1843)(xx1843)(y1845)
1, Place de la Préfecture (**1844)(zzz1853)(*1855)(x1856)(z1858)(*1860)
8, place de l' Impératrice (***1862)(***1863)(xxxx1867)(***1868)(***1869)
48, rue de Lyon (*1875)(*1876)
6, rue de la Préfecture (*1850)(xx1890)(maintenant rue de l'Ancienne Préfecture)
6, place de la Préfecture (xx1857)
63, chemin de Saint-Denis-de-Bron (1903)
48, rue de la République [à
l'entresol]
(**1888)(xx1889)(*1893)(1894)(**1895)(*1896)(*1897)(*1898)(***1899)(*1902)(*1903)(*1905)(*1906)(*1907)(*1909)(*1913)(**1925)
117, boulevard de la Croix Rousse (**1922)
à Lyon
Fabrique : 18, chem. de
St.-Alban
(*1896)(*1897)(*1913)(**1925) à
Montplaisir-lès-Lyon
5, Grande rue (*1922)
N. d'Angoulème Grenoble
Succursale entre 1903-1905, 8 boulevard Desaix
à Clermont-Ferrand |
15 ouvriers et 60 pianos par année
(1844)
|
'Facteur de pianos'
"WIRTH (Samuel), à Lyon
en 1830. Produit en 1840 un piano doucino de forme et de mécanisme
differents ces pianos ordinaires, frappe en dessus, nouveau jeu
d'étouffoirs, double échappement. Son successeur en 1889 est M.
AURAND-WIRTH."
Encyclopédie de la musique et dictionnaire du conservatoire, 1927,
p. 2078 (gallica.bnf.fr)
WIRTH
& ZIPFEL (x1835),
voyez
ZIPFEL
WIRTH
Samuel
(xxx1839)(**1842)(xx1843)(**1844)(z1858)
WIRTH
A.
(?)
1876-82 -
"MC/ET/CXIV/439 - 15 mai 1876 - 25 février 1882 - Vente
par Jean Antoine Jouve, négociant, rue de Turenne, n°
129, à Charles Aurand, facteur de pianos, et Louise
Wirth, son épouse, boulevard du Temple, n° 32."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
AURAND-WIRTH
successeur avant 1888
(**1888)
C'est
Érhard Louis AURAND
(1831 - 1921)(photo)
qui fondait sa maison vers 1850 et son beau-père
WIRTH. Voyez ici
pour
la genealogie de la famille AURAND.
WIRTH
(xx1890), 'Pianofabrik'
En 1901, ils succèdent
MAROKY
(°1827)
AURAND
& BOHL
(*1903)(*1905)(*1906)(*1907)(*1909)(*1913), Louis AURAND :
1903 -
"Lyon. — Modification.— Société AURAN [sic], WIRTH et Cie, fab. de pianos, 63,
chemin de St-Denis-de-Bron. — Retraite de M. Erhard, Louis Aurand
commanditaire. — Par suite la raison sociale devient AURAND et BOHL. — 22
mai 1903." Archives
commerciales de la France, 10/06/1903, p. 737 (gallica.bnf.fr)
- voir
AURAND
AURAND,
WIRTH et BOHL,
successeurs
(x1911)
"AURAND et BOHL, 48, r. de la République, Lyon
(Rhône). T. Barre 36-93. Usine à Lyon-Monplaisir, 18,
chem. de St.-Alban. T. Vaud. 24-08. Manufacture de
pianos. Location de pianos. Accords, échanges.
(17-6585)." Annuaire
industriel. Répertoire général de la production française, 1925 (gallica.bnf.fr)
- voir
AURAND & BOHL
PARIS -
"M. WIRTH, à Lyon
(Rhône). Cet exposant
s'occupe quinze ouvriers dans ses
ateliers. Il a présenté un piano carré à double échappement et à
frappement par-dessus, dans lequel on remarque une nouvelle disposition
des étouffoirs. Le jury accorde une mention honorable à M. Wirth."
Rapport
du Jury central, Paris Jury central, Imprimerie de Fain
et Thunot, 1844
PARIS -
"Un facteur lyonnais, M. Wirth, place de
la Préfecture, s'est même distingué entre tous par une nouvelle
invention d'une extrême importance pour les pianos droits. C'est celle
du double échappement que tant de facteurs ont vainement cherché depuis
si longtemps, et que notre compatriote a réalisé, lui, de la manière la
plus complète et la plus satisfaisante. Cette précieuse découverte,
achevée seulement après l'ouverture de l'exposition universelle, n'a pu
être indiquée au catalogue et n'occupe au palais qu'une place hors rang;
mais son utilité a vivement frappé les hommes spéciaux, et pour en
rendre la démonstration plus sensible au public, M. Wirth a eu
l'heureuse idée d'exposer son appareil isolément, de façon à ce que
chacun puisse par sa propre expérimentation se convaincre de la réalité
du double échappement, qui double le son, améliore, l'arrondit plus
harmonieusement, et augmente la force du mécanisme intérieur du piano,
auquel il assure une solidité exceptionnelle."
Lettres
sur l'Exposition universelle de 1855,
E. Jouve..., 1855 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"9. AURAND-WIRTH, à Lyon (Rhône), rue
de la République, 48. — Piano droit de style à cordes croisées et
cadre en fer. Grand piano, cordes obliques, transpositeur."
Catalogue général officiel de l'exposition
universelle de 1889, p. 1 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"7. Aurand-'Wirth & Cie, fabricants
de pianos, à Lyon (Rhône), rue de la République, 48. — Trois pianos
droits et un piano à queue. Manufacture fondée en 1830. Fournisseurs
du Conservatoire national de musique de Lyon, des théâtres
municipaux et de la Préfecture. Paris 1855, Mention honorable ;
Paris 1889, Médaille de bronze."
Catalogue général officiel. Tome troisième, Groupe III :
instruments et procédés généraux des lettres, des sciences et
des arts : classes 11 à 18, 1900, p. 514 (archive.org)
LYON -
"Aurand, Wirth et Bohl
successeurs. Je dis entendre et voir avec intention.
Car, non seulement on entend, mais on voit les touches
s'abaisser et se relever comme frappées de mains
invisibles. Il semble qu'un être diaphane promène des
doigts hypothétiques sur le clavier, et cette musique
fantomatique semble évoquer une scène mystérieuse de
l'homme invisible de Wells." Expo Lyon 1911 -
La Construction Lyonnaise, 01/07/1911, p. 2
Brevet de 1841 : Piano doucine "430° M. Wirth (Samuel) facteur de pianos, demeurant,
rue des Trois Carreaux, n° 3, à Lyon, département du Rhône, auquel il a été
délivre le 7 octobre dernier, le certificat de sa demande d'un brevet
d'invention, de cinq ans, pour un nouveau genre de piano dit piano à doucine."
Bulletin
des lois de la République française, 01/1841, p. 398 (gallica.bnf.fr)
Brevet
de 18?? : "Wirth, imagina un nouveau genre de piano
qu'il nomma
piano domine, qui se distinguait des pianos ordinaires par sa forme
et son mécanisme; il étaità frappement en-dessus, sur le devant de la
bascule, et à double échappement." (B.F.)
Brevet de 1854 : "429° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la
demande a été déposée, le 29 mars 1854, au secrétariat de la préfecture du
département de Rhone, par le sieur Wirth (Samuel) place de la Préfecture,
n° 1 à Lyon, pour un genre d'échappement de piano droit."
Bulletin
des lois de la République française, 07/1855, p. 143 (gallica.bnf.fr)
Pour voir le
brevet original voyez le site
INPI
(¹³)
Pub. de 1921
VOIR AUSSI ...
... un
WIRTH Neveu
à Lyon vers 1896
INFO EXTRA
La manufacture des "Pianos AURAND-WIRTH" à
Lyon-Monplaisir (1830 - 1930)
|
Mention
honorable Paris, 1844 | Médaille de bronze Paris, 1889 | Diplôme de médaille
d'or Lyon, 1894 | Médaille de bronze Paris, 1889 | Médaille d'argent Paris,
1900
|
DE
ROHDEN F.
|
1831 |
Brevet de 1844 (xx1847) p. 1181
:
"Rohden apporta un perfectionnement au mécanisme du piano, consistant
dans l'application aux noix, échappements et étouffoirs, d'un pirot-cône
roulant dans un troucône intérieurement garni, et dans un mode de rappel de
la fourche. (B. F., n° 16,001.)"
Organographie : La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
Brevet
de 1847 : "Rohden. Jadis,
pour adoucir et régler la rotation du pivot qui réunit la noix à la
fourche, on amincissait coniquement chaque bout du pivot et on le
faisait frotter dans une garniture en drap et en feutre; mais, cette
garniture était sujette à se gonfler à l'humidité. Pour éviter ce grave
inconvénient, Rohden a imaginé une fourche dite compensatrice laissant
au pivot toute la mobilité désirable. (B. F., 4,933)"
Organographie : La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
Brevet de 1849 : "Rohden imagina un mécanisme répétiteur pouvant servir à
tous les genres de pianos. (P. F., n° 8,670.)"
Organographie : La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
|
Paris |
25, rue des Vinaigriers (xx1834)(arr.10)
6, rue Neuve d'Angoulème (yy1839)(arr.11)
61,
rue Saint-Maur (1841)(**1844)(**1847)(arr.11)
34, rue Saint-Louis
(*1844)(arr.11)
159,
rue
Saint-Maur-de-Popincourt
(**1852)(*1862)(*1864)(*1867)(1873)(arr.11)
185, 187, 189,
rue
Saint-Maur (yyy1878)(arr.11)
185-187
rue
Saint-Maur (z1900)(arr.11)
185, rue
Saint-Maur (***1885)(1889)(x1890)(***1900)(*1913)(**1921)(arr.10)
12-[14], rue Tesson
(***1900)(z1900)(**1904)(**1911)(**1912)(*1913)(**1921)(x1922)(arr.10)
|
|
Également mentionné comme 'Facteur de pianos'
(xx1834)(*1864), mais surtout 'fabricant de mécaniques
pour pianos' [ depuis
1831
(z1900)]
de
ROHDEN F. (**1852)(*1862)
1862 -
"Atelier de M. de Rohden, rue St-Maur. - MM. Cyle, Pevinel, Jeanpierre,
Genet, Crouzade, Lapuchin, Wallor, C. Schneider, Doublet, Chanot, Guillemet,
Fouquet, Picant, Kessel fil[s], Dauphin, Marchand, Dautreppe, Octave Lachy,
Denis L'huillier, Agnevay, Strassburg fils, Deck, F. Noeberechts, Jumel,
Noeberechts, Guillemet; Delcroix, Hublart, Sietried, C. de Rohden."
Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs
d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en
bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862,
p. 54 (gallica.bnf.fr)
de
ROHDEN C.
(1871)
de
ROHDEN C. E. (1873)
de
ROHDEN Charles
É.
(***1885)(1889)(x1890)
de
ROHDEN Charles & Théodore (***1900)
'Fournitures pour pianos' (z1900)
de
ROHDEN Charles
(**1904)(*1913)(**1921)(x1922)
Repris par
GEHRLING
(°1842), qui vendait et louait
aussi des pianos.Et puis par
DOUILLET
et plus tard par
UNION
(°1894).
SOUS-MARQUE
A. ROBERT
(°1868)
|
Médaille d'argent
Paris, 1844 |
Médaille d'argent
Paris, 1849 |
Médaille d'argent Paris, 1855 | Prize medal, Londres 1862
| Médaille d'argent,
Paris 1867
| Médaille de Progrès Vienne, 1873 | Médaille d'argent Paris, 1878
| Médaille
d'or Paris, 1889 | Médaille d'or Paris, 1900
|
ÉRARD Pierre Orphée
| ERARD
(1794 - 1855)
Piano à queue de
Liszt,
n° 16349 ca. 1844, photo : Jean-Marc Anglès - © Cité de la Musique,
Paris, France
Erard à Londres
|
1831 |
TITRES
'Facteur de pianos et de harpes du roi Louis Philippe
et de Leurs Altesses Royales' (1832)
'Croix de la Légion d'honneur',
Pierre Érard (1834)
Discours
du Roi, 1834, p. 15 (gallica.bnf.fr) 'Fournisseur de la Duchesse de Kent' (1834)
'Fournisseur de la Reine Victoria, Angleterre' (1837)
'Fournisseur de son Altesse Mme la Duchesse
d'Orléans' (1837)
'Facteur de pianos de Son Altesse Royale
le Duc d'Aumale' (1847)
'Fournisseur de son
Altesse Mme la Duchesse de Montpellier' (1847)
'Officier de la Légion
d'honneur' (1851), Pierre Érard 'Fournisseur de l'Empéreur Napoléon III et de l'Impératrice Eugénie'
(1853) La plupart des
titres on trouve dans 'Sébastien Érard, L'aventure du
pianoforte', 1995 (¹¹)
Piano
à queue n° 177 de 1832 et
sa
signature,
Cité de la Musique, Paris, France
Piano
pentagonal, Pierre-Orphée Érard ca. 1838,
Cité de la Musique, Paris,
France
Piano carré n° 9957,
Musée de Piano, Limoux,
France
Piano à
queue n° 12831 mis 13093 ca. 1828,
Collection Ad Libitum, Etobon,
France
Piano carré ca. 1832, Collection Ad Libitum, Etobon,
France
Piano
carré n° 13080 ca. 1840 ?? et
sa
signature, Cité de la Musique, Paris,
France
Piano à queue n° 13143 ca. 1832, Collection Ad Libitum, Etobon,
France
Piano
droit n° 13279 ca. 1834 de Spontini,
Cité de la Musique, Paris,
France
Piano
à queue n° 13360 de 1834,
Collection Wim Van Moerbeke,
Belgique
Piano
à queue n° 13652,
Musée de Piano, Limoux Piano
à queue ca. 1835, Musée du piano, Thiell, Metz,
France Piano
à queue de concert n° 13533 ca. 1836, Chris Maene
Collection, Ruiselede, Belgique
Piano à queue ca. 1837, Sweelinck Museum, Amsterdam,
Pays Bas Piano
à queue n° 14214, Fryderyk Chopin Institute,
Varsovie, Pologne
Piano droit n° 14399 ca.
1838, Collection Ad Libitum, Etobon,
France
Piano
à queue n° 14832 ca. 1840, Germanisches Nationalmuseum, Nürnberg,
Allemagne
Piano
carré n° 14839 ca. 1840, Kolthoorn Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde,
Pays Bas
Piano à queue ca. 1840, Cité de la Musique, Paris,
France
Piano carré ca. 1841,
Collection Gisclard, Château Bauzille,
France
Piano
à queue n° 15182 ca. 1840, Chris Maene Collection,
Ruiselede, Belgique
Piano
droit avant 1841, Collection Musée des Instruments de Musique,
Bruxelles, Belgique
Piano
carré ca. 1842, Collection Gisclard, Château
Bauzille,
France
Piano
carré n° 15359 ca. 1842, Kolthoorn Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde,
Pays Bas
Piano
carré n° 15557 de
1842,
Association Pleyel Chopin de Croissy, France
Piano
carré n° 15795 de 1843, Fonds Pierre-Bassot, Hôtel
de Conny, Moulins,
France
Piano droit
n° 15959 de 1843,
Musée de Piano, Limoux,
France
Piano à queue de Liszt n° 16349 ca. 1844, Cité de la Musique, Paris,
France
Piano
à queue n° 18430 de 1845,
Collection Wim Van Moerbeke,
BelgiquePiano
à queue n° 18650 de
1845,
Association Pleyel Chopin de Croissy, France
Piano à
queue n° 18869, Cité de la Musique, Paris,
France
Piano
carré n° 20525, Musée de Piano, Limoux, France Piano
à queue n° 21118 de 1849, Fryderyk Chopin Institute,
Varsovie, Pologne
Piano
pédalier Pierre Orphée Érard d'Alkan n° 24598 ca. 1853,
Cité de la Musique, Paris,
France
Piano
à queue n° 25997, Château de Bizy, Vernon, Eure
Piano
à queue concert ca. 1851,
Accademia dei Musici, Fabriano, Italie
Piano
à queue ca. 1850, Collection Ad Libitum, Etobon,
France
ERARD
sur ce
site
Cliquer sur les liens ci-dessus.
"Au
milieu de la concurrence qui s'est établie de puis quelques années dans la
fabrication des pianos et des harpes, l'ancienne maison Erard fait plus que
soutenir le premier rang. Le chef actuel de ce bel établissement, qui répand
depuis des années des milliers d'instrumens dans toute l'Europe et les
Indes, vient d'ajouter encore à la réputation de ses parens; devant le jury
de 1834, les pianos de M. Pierre Erard l'ont emporté sur tous les autres par
la beauté de leur son et la facilité du toucher; l'un d'eux a été jugé
tellement supérieur, qu' il a servi de point de comparaison à plus de 80
pianos envoyés au concours. C'est pour ce piano-modèle que la première
médaille d'or de 1834 a été votée par le jury à M. Pierre Erard. Cependant
il exposait pour la première fois; aussi l'a-t-on, en outre, jugé digne de
la plus haute récompense que l'on accorde à l'industrie, la croix de la
Légion-d'Honneur. C'est la seconde distinction de ce genre dans cette
honorable famille; feu Sébastien Erard avait été décoré en 1827."
Journal du Loiret, 27/07/1834, p. 2 (Aurelia.Orléans.fr)
"Erard (Sébastien-Pierre) et harpes, fact. du roi et de la
cour d'Angleterre, invent; du nouvel échappement réunit les avantages
des pianos anglaiset dp. Vienne tons en avoir les inconvéniens, du
bariage en métal, du sommier-table, et pour les harpes des mécaniques à
plaques de cuivre et fourchettes, simples et doubles, etc. Ces
inventions et beaucoup autres enl valu à Séb. Erard., (O) 1819, 1823,
18ti et 1834, r. du Mail, 13 et 21, et à Londres, 18, great Malboroug
st."
Almanach
du commerce de Paris, 1838, p. 177 (gallica.bnf.fr)
"PIANOS
ÉRARD. - NOUVELLE MÉDAILLE D'OR EN 1839. - Médaille d'or en 1819, 1823,
1827, 1834.
PREMIÈRE MANUFACTURE DE PIANOS, Fondée à Paris par les frères ÉRARD, et
continuée par Pierre ÉRARD,
PIANOS À QUEUE.
Sur 26 pianos à queue soumis au jury, sept seulement ont été jugés dignes de
concourir. Voici les noms des facteurs, dans ordre où nons les avons rangés
sans les connaître: MM. Erard, Souteto, Pleyel, Kriegelstein et Plantade,
Boisselot et Rosselin [?].
Comme on peut remarqner que six noms seulement figurent dans cette liste,
tandis, qu'il a sept pianos, nous ajouterons que M. Erard en avait présenté
deux qui, tout d'abord, et à l'unanimité, ont été mis en première ligne,
sans qu'il fut possible de donner la préférence à l'un sur l'autre.
PIANOS CARRÉS, 3 CORDES, 6872.
Sur 53 pianos, la commission en a mis d'abord 22 à part, et sur ces 22, en a
réservé 7, qui ont été classés par ordre de mérite; et les noms des facteurs
ayant été découverts, la liste suivante s'est trouvée formée :
MM. Erard, Kriegelstein. Pleyel, Wolfel, Pape, Gaidon et Herz. Le piano de
M. Erard, d'un patron un peu plus grand que celui des pianos carrés
ordinaires, emportait de beaucoup par l'intensité du son.
PIANOS DROITS À CORDES OBLIQUES.
27 pianos de cette espéce ont été entendus et comparés, nous avons- pensé
qu'il suffisait d'en réserver 4, qui sont, en les rangeant, toujours par
ordre de mérite MM. Erard, Mermet, Grus et Mercier.
Le jury décerne une nouvelle médaille d'or à M. Erard, eu y joignant les
observations suivantes que M. Érard a dignement rempli la tâché de soutenir
la grande réputation de l'établissement que son oncle, le célèbre Sébastien
Érard avait créé, et qu'il lui a légué. Ses pianos, dans trois genres
différents ont été mis en première ligne, et, nous devons le dire, leur
supériorité était marquée.
Les instruments qui sortent des ateliers de M. Erard se distinguent, non
seulement par la qualité des sons, mais encore par le fini du travail et par
la solidité de toutes les parties qui les composent."
La France musicale : paraissant le dimanche sous le patronage des célébrités
mus..., 03/01/1841, p. 328 (gallica.bnf.fr)
"PIANOS
ERARD - MÉDAILLES D'OR en 1819, 1823, 1827 et 1834 - Nouvelle MÉDAILLE
D'OR en 1839.
PREMIÈRE MANUFACTURE DE PIANOS FONDÉE A PARIS PAR LES FRÈRES ÉRARD, ET
CONTINUÉE PAR PIERRE ERARD.
Le jury décerne une nouvelle médaille d'or à M. Pierre Erard, en y
joignant les observations suivantes : Que M. Pierre Erard a dignement
rempli la tâche de soutenir la grande réputation de l'établissement que
son oncle le célèbre Sébastien Erard, avait créé et qu'il lui a légué.
Ses pianos dans
trois genres diflérens, ont été mis en première ligne, et, nous devons
le dire, leur supériorité était marquée. Les instrumens qui sortent des
ateliers de M. Erard se distinguent non seulement par la qualité des
sons, mais encore par le fini du travail et par la solidité de toutes
les parties qui les constituent."
Le Musicien : théâtres, littérature, beaux-arts, 09/10/1842, p. 4
(gallica.bnf.fr)
"Commerce
et Industrie - PIANOS
CARRÉS. BREVET D'INVENTION DE 1843. - MM. Erard, facteurs de pianos du roi,
etc., ont l'honneur de prévenir les professeurs et amateurs de musique,
qu'ils sont parvenus, à introduire dans les pianos carrés les divers
perfectionnémens qui distinguent les
pianos à queue de l'ancien principe."
La Presse, 21/12/1843, p. 4 (gallica.bnf.fr) et
La Presse, 05/01/1844, p. 4 (gallica.bnf.fr)
"M.
ÉRARD. - Le piano est d'origine moderne ; cependant on ne
sait point par qui il a ete inventé. La plupart des
historiens disent que c'est Silberman, de Saxe, qui en est
l'auteur, bien que le nom primitif de l'instrument (piano
forte) dénote une origine italienne Le piano succédant au
clavecin lui avait extérieurement la même forme, le même
mécanisme pour la production du son, le piano qui n'a semblé
d'abord qu'un clavecin amélioré, est probablement l'œuvre
d'un facteur ingénieux et ignoré. Quoi qu'il en soit, c'est
Sébastien Erard qui a construit le premier piano fait en
France.
La réussite fut complète. La réputation d'Erard devint
bientôt européenne. Ses descendants, dignes de lui, ne l'ont
pas seulemeut soutenue, ils l'ont augmentée.
Le piano est l'instrument de l'époque; mais d'après les
tendances de nos musiciens contemporains, bientôt on
trouvera qu'il ne donne pas des sons assez forts. On semble
généralement croire aujourd'hui que la musique a pour but d'
exciter l'effroi et d'étonner l'oreille. Ne dirait-on pas
que le talent ne consiste maintenant qu'à faire beaucoup de
bruit ?
L'Almanach de France : indiquant à tous les français qui
savent lire leurs devoirs, leurs droits, leurs intérêts,
1844, p. 27 (gallica.bnf.fr)
"M.
PIERRE ÉRARD, 13 et 21, rue du Mail. - Première manufacture de
pianos-forte et de harpes, fondée à Paris en 1780 par les frères Érard,
et continuée par Pierre Érard, facteur du Roi et de la famille royale.
Sébastien Érard, inventeur du double échappement pour le piano, du
double mouvement pour la harpe, et du jeu expressif au doigt pour
l'orgue. Voici le rapport du jury de l'exposition de 1844.
« M. Pierre Erard se montre toujours le digne successeur du
célèbre Sébastien Érard. Sous son habile direction, l'établisse« ment
créé par son oncle a reçu de nouveaux accroissements. Plus Il de trois
cents ouvriers y sont occupés à la confection de toutes « les pièces du
piano et de la harpe. Les instruments qui sortent « des ateliers de M.
Erard viennent de prouver encore une fois qu'ils méritent à tous égards
la réputation dont ils jouissent. Ils ont été d'une voix unanime placés
au premier rang par la commission. Le jury décerne à M. Pierre Erard le
rappel de la médaille d'or qui lui a été accordée en 1839. -Les pianos
de M. Érard font partie du petit nombre de ceux que le jury a placés
hors ligne. »"
Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration, 1847, p. 1519 (gallica.bnf.fr)
"FABRIQUE
DE PIANOS. – On demande à louer, à Paris ou dais un rayon de
16 kil., un local pour l'exploition d'une fabrique de
pianos. – Bâtimens pour 2 ou 300 ouvriers contenance des
terrains pour chantier, environ 1 hect. – S'adresser chez M.
Erard, 13, rue du Mail, de 12 à 4 h."
La Presse, 11/05/1849, p. 4 (gallica.bnf.fr)
|
Paris
Londres
Bruxelles |
13 (magasins) et 21 (ateliers), rue du Mail
(*1832)(1834)(z1835)(**1837)(*1838)(x1840)(**1843)(**1845)(x1849)(yy1851)(vv1855)(arr.2) 14, boulevard Poissonnière
(x1868)(arr.9)
atelier à Passy (x1829)
et
3 et 87, rue Saint-Maur (*1844)(*1913)(arr.11)
Ateliers et Chantiers: 110 - 112, rue de Flandre (1886
-1922)(arr.19)
la Vilette (manufacture
dès 1855) à Paris
[18], Great Marl-borough-street
(**1822)(1825)(1835)(x1836)(**1837)(*1838)(x1849)
à Londres
14, Boulevard du
Jardin Botanique (x1854) chez
RUMMEL
(°1846)
à Bruxelles |
400 pianos en
1834 et 150 ouvriers
|
'Facteurs
de pianos'
droits, pianos carrés, pianos à queue, orgues et harpes
Fondation en 1775
ÉRARD Pierre Orphée ,
époux de FEVRIER Elisabeth
Louise Camille (¹⁰)
1830 -
"Le 21/01/1830, dans un acte notarié comportant faillite
et liquidation par le tribunal de commerce de la société
ERARD et les héritiers de ERARD Jean Baptiste. Par
devant nous, est comparu : ERARD David, propriétaire,
demeurant rue de la chaussée d'Antin, propriétaire, n°
4, [maintenant, rue de la Grange aux Belles, n° 19] et
aussi ROUSSEAU Denis auguste, notaire ; ERARD Sébastien,
fabricant de pianos et de harpes, rue du Mail, n° 13,
assisté et ERARD Pierre Orphée, aussi facteur de harpes
et pianos, même adresse, agissant au nom de ERARD Marie
Catherine Céleste, épouse judiciairement séparée de
biens de SPONTINI Gaspard Louis Pacifique, de présent à
Berlin (tous référencés sauf le notaire et SPONTINI). Il
en résulte un déficit de 1.371.629 F (6.364.000 euros
environ en 2017 !!!)"
Informations
généaloqiques aimablement établies par Georges Claude
Lebrun et son équipe «
éclat de bois
».
"Les frères
Érard étant morts, l’un, Jean-Baptiste, en 1824, l’autre,
Sébastien, 1831, ce fut sur M. Pierre Érard, fils du premier, que
retomba le fardeau des deux grands établissemens de Londres et de
Paris. Toutefois la perte irréparable de Sébastien apporta quelque
rallentissement à l’activité de la manufacture de pianos de Paris.
M. Pierre Érard, obligé de partir pour Londres, où il avait passé
une partie de sa jeunesse dans le but de former des ouvriers, après
avoir été lui-même formé par ses parens, consacra plusieurs années à
réaliser les conceptions de son oncle pour l’amélioration du piano
et de la harpe." Le baron de BREUTEUIL.»"
LA QUOTIDIENNE, 10 juillet 1834, p.
1–2
"Érard
(Pierre),
neveu du précédent [Sébastien Érard
°1775], est né à Paris vers 1796. Ses études furent dirigées dès son
enfance dans le but de lui faire continuer la fabrication des instrumens
inventés ou perfectionnés par ses parens; on lui fit apprendre la musique,
les mathématiques et le dessin linéaire. Envoyé jeune à Londres ponr y
diriger la fabrique de harpes que Sébastien Érard y avait fondée, il a passé
la plus grande partie de sa vie en Angleterre. En 1821, il publia une
description de la harpe à double mouvement inventée par son oncle, et des
progrès de la construction de cet instrument, sous ce titre : The Harp in
its present improved state comparee, with the originalpedal Harp, in-fol. :
orné de 10 planches lithographiées et gravées, d'après les dessins de
l'auteur. Cet ouvrage, imprimé avec luxe, n'a point été mis dans le commerce,
et a été donné en cadeau par M. P. Érard. Après la mort de Sébastien, M.
Pierre Érard, institué son héritier, s'établit à Paris, pour donner une
activité nouvelle à la fabrique de pianos, et en 1834 il mit à l'exposition
des produits de l'industrie plusieurs instrumens nouveaux pour lesquels la
décoration de la légion d'honneur lui fut accordée. Il publia à cette époque
une description historique de tous les pianos qui avaient été inventés ou
perfectionnés et fabriqués par son oncle et par son père. Cet ouvrage a paru
sous ce titre : Perfectionnemens apportés
dans le mécanisme du piano par les Érard, depuis l'origine de cet instrument
jusqu'à l'exposition de 1834, Paris, 1834, in-fol. avec huit planches
lithographies. M. Pierre Érard habite alternativement à Londres et à Paris,
dirigeant à la fois les deux grands établissemens dont il a hérité."
Biographie
universelle des musiciens et bibliographie générale de ..., Volume 4,
François-Joseph Fétis, 1837, p. 41-42
1840 -
Les premiers piano à
cordes parallèles apparaissent vers 1840.
Liste des sociétaires de
l'Association des artistes musiciens, vers
1844-53 (²⁵)
"Supériorité des Pianos français. — On
vante beaucoup le jugement et le bon goût de S. A. R. le prince Albert
d'Angleterre pour tout ce qui a trait à l'art musical. Il est donc
extrêmement flatteur pour la fabrique Érard d'avoir obtenu dernièrement
à Londres le titre de facteur de S. A. R., comme témoignage de la
satisfaction qu'a fait éprouver au prince un nouveau piano perfectionné
que M. Érard a fabriqué par son ordre et pour son usage personnel."
Le
Ménestrel, 10/09/1848, p. 4 (gallica.bnf.fr)
1855 -
Mort de Pierre
Érard. Un certain M. Bruzaud prend la diection de la manufacture
de Londres.
ÉRARD S.
& P.
(1853)
NÉCROLOGIE
1831 - "Passy. De Heer Érard, door geheel Europa beroemd wegens de
verbeteringen in het vervaardigen van Harpen en Piano's aangebragt, is
alhier, dezer dagen overleden."
Algemene konst- en
letterbode voor het jaar 1831, 26/08/1831, p. 130
"LA MAISON ÉRARD. -
Dans la huitaine qui vient de s'écouler, un triste événement, bien que
prévu depuis quelques mois, est venu répandre le deuil dans le monde des
artistes. Pierre Érard, lé célèbre facteur de pianos, est mort en son
château de la Muette, à' Passy, le jeudi 16 de ce mois. Ses obsèques ont
eu lieu lundi dernier à l'église de Passy. On a exécuté une messe en
musique de M. Dietsch, dont les solôs ont été admirablement chantés par
M. Alexis Dupont.
Les coins du drap mortuaire étaient tenus par MM. le
baron Taylor, Ad. Adam, membre de l'Institut; Fétis, directeur du
Conservatoire de Bruxelles; Possoz, maire de Passy ; le docteur Lardner,
de Londres; Schroëcker, chef de l'administration de là maison Érard de
Paris, et Bruzaud, chef de la maison de Londres. Parmi les personnes qui
suivaient le convoi, on remarquait MM. Halévy, Herz, Berlioz, Godefroid,
Batta, Labarre, Lefébure-Wély, Quidant, Fumagalli, Wolff, Stamati,
Cavaillé-Coll, Tulou, Vuillaume, Roller et tout ce que Paris compte de
distingué en notabilités artistiques et industrielles.
Plus de six cents
ouvriers ont suivi le convoi, non seulement à l'église des Petits-Pères,
où un second service a été célébré, mais jusqu'au cimetière du
Père-La-chaise, où se trouve la sépulture de la famille Érard, à côté de
la tombe de Boïeldieu. Divers discours ont été prononcés par MM. Taylor,
Fétis et Dugitgros, un des principaux employés de la maison ; MM. Ad.
Adam et Possoz ont aussi improvisé quelques paroles bien senties. La
maison Érard a été fondée à Paris, en 1780, par Sébastien Érard, qui
associa successivement à ses travaux son frère Jean-Baptiste et son
neveu Pierre Érard.
A l'époque où Sébastien Érard vint à Paris, la
France recevait de l'Angleterre et de l'Allemagne les pianos en petit
nombre dont on faisait usage. Grâce à son génie, inventif, les
perfectionnements importants qu'il introduisit dans la fabrication de ce
genre d'instruments fondèrent cette industrie en France et firent
rechercher ses pianos à l'étranger. Les succès de MM. Érard furent si
complets à leur début, que la corporation des luthiers, qui exploitait
le commerce des pianos étrangers, fit pratiquer une saisie chez
eux, sous prétexte qu'ils ne s'étaient pas rangés sous la loi de la
communauté des éventaillisles, dont l'état de luthier faisait partie.
Mais MM. Érard obtinrent de Louis XVI un brevet qui les délivra
complètement des tracasseries de ces Messieurs. Voici cette curieuse
pièce historique : a Aujourd'hui cinq février mil sept cent
quatre-vingt-cinq,le roi étant à Versailles, informé que le sieur
Sébastien-Érard est parvenu, par une méthode nouvelle, de son invention,
à perfectionner la construction de l'instrument nommé Forté-piano, qu'il
a même obtenu la préférence sûr ceux fabriqués en Angletere, dont il se
fait un commerce dans la ville de Paris, et voulant Sa Majesté fixer les
talents du sieur Érard dans ladite ville et lui, donner des témoignages
de la protection dont elle honore ceux qui, comme lui, ont, par un
travail assidu, contribué aux arts utiles, et agréables; lui a permis de
fabriquer, faire fabriquer et vendre dans la ville et faubourgs de
Paris, et partout où bon lui semblera, des forté-pianos, et d'y
employer, soit par lui, soit par ses ouvriers, le bois, le fer et toutes
autres matières nécessaires à la perfection ou à l'ornement dudit
instrument, sans que pour raison de ce il puisse être troublé ni
inquiété parles gardes, syndics et adjoints des corps et communautés
d'arts et métiers pour quelque cause et sous quelque prétexte que ce
soit, sous les conditions néanmoins, par ledit sieur Érard, de se
conformer aux règlements et ordonnances concernant la discipline des
compagnons et ouvriers, et de n'admettre dans ses ateliers que ceux qui
auront satisfait auxdits règlements; et pour assurance de sa volonté, Sa
Majesté m'a commandé d'expédier audit sieur Érard le brevet qu'elle a
voulu signer de sa main et être; contre-signé par moi secrétaire d'État
et de ses commandements et finances. « Signé : LOUIS, LE BARON DE
BRETEUIL. »
Après avoir perfectionné le piano au point d'en faire un
instrument capable d'inspirer et de rendre les compositions des célèbres
pianistes d'alors, Sébastien Érard, sur les instances de Krumpholtz,
célèbre harpiste du temps, s'occupa de la harpe, instrument fort en
vogue cette époque, mais si défectueux qu'il faisait le dësèsi pour des
professeurs et des exécutants. C'est alors qu'il inventa la harpe dite à
double mouvement et qui précéda le piano d'Érard à double échappement,
que l'Institut honora d'un rapport, et sur lequel Dusseck se fit
entendre dans les concerts publies. Indépendamment des nombreux brevets
de perfectionnement pris par la maison Érard en ce qui touche la facture
des pianos et des harpes, nous ne pouvons omettre de mentionner aussi
l'invention du Jeu expressif au doigt pour l'orgue. Cette invention,
signalée par Grétry, dans ses essais, comme la pierre philosophale en
musique, a été appliquée par Séb. Érard à l'orgue qu'il construisit en
1829 pour la chapelle des Tuileries et qui fut détruit en 1830. M. P.
Érard a obtenu de l'Empereur la permission de le réédifier, ce qu'il
vient de faire, en ajoutant de nouvelles améliorations aux nombreux
perfectionnements dont son oncle, avait doté cette oeuvre de
prédilection.
Nous terminerons par la liste des récompenses et
distinctions dont cette maison a été honorée depuis sa fondation:
1°Brevet de Louis XVI qui l'âffranchit de la communauté; des luthiers,
le 5 février 1783; 2° 1e médaille d'or, expositions; de 1819, 1823,
1827, 1834, 1839, 1844; 3° Seb. Érard, chevalier de la Légion d'honneur
en 1827; 4° P. Érard, chevalier de la Légion d'Honneur en 1834; 5° P.
Érard, hors de concours et membre du Jury-en 1849; 6° seule
council-medal à l'Exposition universelle de Londres (MM. Broadwood et
Collard, proposés avec M. Érard pour cette haute distinction par les
conseils de section, n'ont pu être admis ex çequo en dernier ressort) ;
7° P. Érard, officier de la Légion d'honneur en 1831."
Le
Ménestrel, 26/08/1855, p. 4 (Heugel) (gallica.bnf.fr)
"[...] Jean Baptiste Érard died in 1826. He had been extremely useful to
his brother in superintending the execution of his designs and
inventions. In 1831, Sebastien died. During the period in which the man
of genius of the family was at the head of it, uncontrolled and
unassisted, the details of execution were neglected, the financial
aspect of the business was lost sight of, and the instruments of the
Érards lost somewhat of their repute. Pierre Érard, born in 1794, was
left sole executor of his uncle; and, when the inventory of the state of
the affairs was submitted to a London attorney, Pierre was ad-, vised to
renounce the succession. He had, however, more confidence in the
capabilities of the business; and continued it with such success that in
a few years he extinguished the enormous debt with which it was
encumbered. He attended to the execution of the pianos, and raised the
house to its greatest pitch of prosperity and renown. The Chateau de la Muette plays once more a part in the history of the
Érards. In 1852 there was a railway executed which environs Paris.
Pierre Érard saw it in his garden, and heard the engines shrieking
underneath his windows. It was too much for him. He became a mental
wreck, and died in August, 1855. [...]"
The Living Age,
Volume 47, 1855, p. 525
1855 -
"OBSÈQUES DE PIERRE ÉRARD. Mardi dernier ont eu lieu
les obsèques de M. Erard, le célèbre facteur de pianos.
Le cortège est parti à dix heures du matin du château de
la Muette, habité par la famille du défunt, et s'est
rendu à l'église de Passy. Les coins du drap mortuaire
étaient tenus par M. le baron Taylor, M. Fétis,
directeur du Conservatoire de Bruxelles, M. Possoz,
maire de Passy, le docteur Lordne, de Londres, M.
Schroeker, chef de l'administration de Paris, et M.
Bruzeau, chef de la maison de Londres. A l'église de
Passy, un service funèbre a été célébré avec une grande
pompe. On a exécuté une messe en musique de M. Dietsch,
dont les solo ont été chantés par M. Alexis Dupont. Puis
le cortége, composé d'artistes et de nombreux amis du
défunt, s'est dirigé vers Paris. Le corps a été porté à
l'église des Petits-Pères et de là au cimetière du
Père-Lachaise, où se trouve la sépulture de la famille
Erard, à côté de la tombe de Boieldieu. Parmi les
discours qui ont été prononcés, nous citerons celui de
M. le baron Taylor, au nom des artistes musiciens, et
celui de M. Fétis, le savant directeur du Conservatoire
de Bruxelles."
La France Musicale, 1855, p. 269 (gallica.bnf.fr)
Chaque compositeur a
son facteur attitré.
BEETHOVEN travaille avec
Érard à qui il commande un
piano particulier dont chaque marteau frappe 4 cordes (et non 3) afin de
produire un son plus puissant.
LISZT commande ses instruments à
Érard.
LA SUITE
Vous trouvez la suite
Érard en 1855 et
Érard en 1889
.
INFO EXTRA
Érard - Stephen Birkett
Numéros de
série
Érard
Livre d'Érard vers 18??
Érard par THALBERG
Notice sur
les travaux de MM. Érard, Rapport de S. Thalberg, dans Le Ménestrel,
10/11/1861, p. 396-397 (gallica.bnf.fr)
|
Médaille d'or Paris, 1827 |
Médaille d'or Paris, 1834 | Liste des exposants
Toulouse, 1835 | Médaille d'or Paris, 1839 |
Médaille d'or Paris, 1844
| Médaille d'or
Toulouse, 1845
| Hors concours, 1849 | Grande médaille,
Officier de la Légion d'Honneur
Londres 1851 | Médaille de bronze
New York, 1853
|
KRIEGELSTEIN Jean Georges
| KRIGELSTEIN
(1801 - 1865)
&
KRIEGELSTEIN Charles
PeriodPiano
Le Guide Musical: Revue Internationale de la Musique Et de ..., 1880,
p. 100 |
1831 |
TITRES
'Facteurs de Pianos
du roi Fournisseurs du mobilier de la couronne' (ca. 1844)
'Facteur de pianos de l'Empéreur' (v1855)
'Facteur de la cour et du mobilier Impérial'
(***1863)
Piano
carré (meuble en forme de trapèze) n° 698,
Musée du piano, Limoux,
France
Pianino n° 1893/10
vers 1845 (4e cartouche),
Musée du piano à Limoux,
France
Piano
droit ca. 1850, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
Piano
à queue n° 2725 ca. 1855, modèle expo'55, Chris
Maene Collection, Ruiselede, Belgique
Piano droit ca. 1900, Musée du Palais Lascaris, Nice,
France
KRIEGELSTEIN
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1879 -
"Incendie boulevard Bessières. Hier soir, un peu avant huit heures, une
immense lueur s'élevait au nord de Paris et faisait croire à une
conflagration formidable. C'est au bout de l'avenue de Saint-Ouen, au n° 11
du boulevard Bessières, occupé par la fabrique de pianos Ch. Kriégelstein et
Cie, que le feu s'était subitement déclaré, quelques minutes après le départ
des ouvriers. Les premières flammes, sortant d'un sechoir situé au centre
de, l'établissement, furent aperçues par des locataires du passage
Sainte-Marie, qui donnèrent aussitôt, l'alarme. Dès le début de l'incendie,
qui prit en peu de minutes des développements considérables, on vit arriver
les pompiers de Clichy, de Saint-Ouen et de Levallois, suivis bientôt de
ceux de la caserne de la rue Blanche, da la Pépinière, de la Villette, de
l'état-major, de la pompe de la fabrique de pianos Bord, boulevard d'Epinay,
à Saint-Ouen, etc. A neuf heures, trois pompes à vapeur étaient en action,
et, malgré la violence du vent, la part du feu était rapidement faite.
[...]" La
Presse, 19/10/1879, p. 3 (gallica.bnf.fr) - un autre article dans
Le Petit
Parisien, 19/10/1879, p. 3 (gallica.bnf.fr)
1888 - Un commencement d'incendie s'est déclaré hier soir, vers sept heures un quart,
après le départ des ouvriers, dans les ateliers de M. kriegelstein,
fabricant de pianos, boulevard Bessières, 11. Le feu qui a éclaté au
quatrième étage dans un atelier de vernisage a pris immédiatement, en
raison de la grande quantité de matières essentiellement inflammables, de
sérieuses proportions. M. Kriégelstein a fait jeter sur le foyer de
l'incendie plusieurs bouteilles d'un produit extincteur qui a, en partie,
étouffé les flammes. Les pompiers ont mis en batterie une pompe à vapeur et
se sont rapidement rendus maîtres Les dégâts consistant en caisses de pianos,
et en matériel, ne sont pas très importants."
Le Petit
Parisien, 20/10/1888, p. 3 (gallica.bnf.fr)
KRIEGELSTEIN par MONTAL "Les pianos à mécanisme en dessus de MM. Kriegelstein et Arnaud
s'accordent aussi au moyen d'un coin long et mince qu'on introduit entre
les marteaux, ou au moyen des pédales, qui seulement se meuvent
différemment de celles des précédents. Ici, pour mettre la pédale qui
étouffe la seconde et la troisième corde, il faut lever un mouvement en
bois situé sous le piano vers la droite de l'exécutant jusqu'à ce qu'on
rencontre le cran d'un petit loquet.cau destiné à le maintenir; alors la
première corde étant seule libre, on accorde le piano à une corde, puis
on lève encore le même mouvement de bois jusqu'à ce qu'il soit fixé de
nouveau par un second cran du petit loqueteau; la troisième corde se
trouvant seule étouffée, on accorde la deuxième de chaque unisson sur la
première déjà d'accord; on lâche tout-à-fait la pédale, et on accorde la
troisième sur les deux autres. On peut aussi produire le même effet,
c'est-à-dire étouffer une ou deux cordes avec les pédales ordinaires qui
se meuvent avec les pieds. Pour remettre des cordes dans ces pianos de
MM. Kriegelstein et Arnaud, il faut prendre avec les doigts sur le
devant du clavier une petite moulure qui sert d'ornement, lever en l'air
comme un couvercle, le clavier qui est à charnière et l'y fixer avec un
bâton qu'on aperçoit sur le fond du piano; les cordes étant toutes à
découvert, on remet celles qui manquent, qu'on tend d'abord en les
pinçant; on rebaisse le bâton et le clavier, et on accorde ensuite ces
cordes neuves comme d'ordinaire, au moyen du marteau."
L'art
d'accorder soi-même son piano ,
C. Montal, 1836
NÉCROLOGIE
1865 -
"J.-G. Kriegelstein, facteur de pianos,
mort à Paris, à l'âge de 65 ans (octobre). Il était né dans le Haut-Rhin,
en 1801, La maison Kriegelstein, passée maintenant entre les mains du
fils, avait été fondée par le père vers 1830. Les produits de cette
maison jouissent de la meilleure renommée."
La Musique en 1865, p. 258
S ur KRIEGELSTEIN
dans 'Revue
illustrée de l'Exposition universelle. Organe de l'Exposition de 1900 et
de toutes les expositions',
Dir. O. Lartigue, 1900, p. 9-10 (gallica.bnf.fr)
"M. Charles Kriegelstein, le facteur de pianos bien connu, est mort
mercredi dernier à Paris, dans un âge avancé. Ses obsèques ont eu lieu
vendredi, au temple de la Rédemption."
Le
Ménestrel, 31/12/1905, p. 420 (gallica.bnf.fr)
"Les obsèques [...] De M. Charles Kriegelstein facteur de pianos,
chevalier de la Légion d'honneur. Les obsèques seront célébrées
aujourd'hui, à une heure et demie, au temple de la Rédemption, rue
Chauchat. On se réunira à la maison mortuaire; 24, rue
Alphonse-de-Neuville, à midi trois quarts; [...]"
Le
Figaro, 29/12/1905, p. 2 (gallica.bnf.fr)
OUVRIERS
avant 1900
KUNTH Pierre,
ouvrier dans la maison Kriegelstein à Paris. (Journal
officiel de la République française. Lois et décrets,
09/03/1895, p. 1266 (gallica.bnf.fr)) -
KUNTH a fondée sa
maison en 1900 à Levallois-Perret.
KRIEGELSTEIN
fabriqua aussi pianos pour:
CHARTIER
(Successeur de
PRUVOST) (°1852)
|
FLAXLAND
(°1870)
|
PFEIFFER (mais
lequel?) |
WEINGARTNER
(°1849)
Un de ses importants élèves
BECHSTEIN |
(Alsace)
Paris
Droittecourt,
Sérifontaine |
46, rue de l'Arbre-Sec (**1825)(*1826)(arr.1)
FABRIQUE : 11, boulevard Bessières à la porte de St.
Ouen (1831)(¹)(*1867)(**1870)(1888)(y1889)(xx1890)(arr.17)
27, rue des
Petites-Écuries (*1833)(A1834)(1835)(¹⁰)(z1835)(x1836)(arr.10)
52, rue de Paradis-Poissonnière (yyy1839)
46,
rue de Paradis-Poissonnière
(x1836)(**1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(**1843)(arr.10)
Magasin : 8, boulevard
Montmartre (1839)(xxx1841)(x1843)(xx1844)(**1845)(arr.9)
Fabrique : 27 et 29, quartier Notre-dame-de-Lorette (1841)(arr.9)
Fabrique :
27-29, rue Laval Montmorency (x1843)(*1844)(xx1844)(*1846)(**1846)(**1847)(arr.3)
33
[& 35], rue Laval (x1849)(*1850)(*1851)(**1852)(xx1857)(xx1858)(xx1859)(arr.3)
MAGASINS :
45, Laffitte
[près N.-D.-de-Lorette]
(*1846)(**1846)(x1847)(*1848)(arr.9)
MAGASIN : 53,
rue Laffitte [près N.-D.-de-Lorette](1849-64)(x1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(vv1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(**1857)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(yy1864)(arr.9)
FABRIQUE : route
Militaire, près de l'avenue de Saint-Ouen (xx1860)(xx1861)(**1864)(arr.17)
11,
rue Drouot
(**1863)(***1863)(**1864)(*1867)(**1870)(arr.9)
23, boulevard
Haussmann, au coin de la rue de la Chaussée d'Antin (**1871)(*1872)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1888)(arr.9)
3, rue Meyerbeer, au coin de la rue Chaussée d'Antin (**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(***1885)(arr.9)
MAGASIN : 4,
rue Charras (boulevard Haussmann), ci-devant rue
Meyerbeer, 3 (**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(y1889)(*1893)(*1894)(*1896)(*1897)(arr.9)
24,
rue Caumartin (1897)(**1898)(z1900)(z1902)(**1904)(*1905)(x1906)(**1907)(*1909)(*1910)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.9)
3, rue d' Edimbourg (**1921)(**1925)(z1931)(*1935)(*1938)(arr.8)
5, rue d' Edimbourg (x1926)(arr.8)
à Paris
Fabrique : à Droittecourt, Sérifontaine
(z1900)(z1902)(*1913)(**1921)(x1926)
Succursale : 39, Montagne de la Cour
(xx1880), Bruxelles, Belgique |
20 à
25 ouvriers et
70 pianos par année (1834)
15.000
pianos vers 1900
25.700
(vers 1930)
|
'Facteur de pianos'
carrés, pianos droits, pianinos, pianos portatifs et
pianos à queue ca. 1825-1938 [depuis
1831
(x1906)(x1912)(x1926)]
Jean Georges KRIEGELSTEIN
était né à Riquewihr
(Haut-Rhin)
en Alsace le 12/05/1801. (¹⁰)
"Artisans et ouvriers protestans de Paris,
sommes inscrites sur les carnets de 31 Collecteurs du 1e Avril 1824 au 31
Mars 1825 : [...] Kriegelstein (G.), facteur de piano, r. de l'Arbre-Sec, 46."
Assemblee Generale de
la Societe Biblique Protestante de Paris, 1825, p. 224
KRIEGELSTEIN G. ,
"Artisans et ouvriers protestans de Paris, sommes
inscrites sur les carnets de 31 Collecteurs du 1e Avril
1824 au 31 Mars 1825 : [...] Kriegelstein (G.), facteur
de piano, r. de l'Arbre-Sec, 46."
Assemblee Generale de la Societe Biblique Protestante de
Paris, 1825, p. 224KRIEGELSTEIN
& ARNAUD
dès 1831 -
(*1833)(A1834)(z1835)(x1836)(**1837)(*1838)(**1840)(***1841)
1837 -
"KRIEGELSTEIN, Facteur de pianos, rue Paradis
Poissonnière, n° 46, Le 14/11/1837, dans un acte notarié
comportant annulation de société entre ledit et ARNAUD,
négociant, rue susdite, n° 52, pour la fabrication de
pianos depuis le 01/04/1831, laquelle a été déclarée
nulle faute de publications. Source : D31u3-74/Pièce n°
1509."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
KRIEGELSTEIN
& Charles-Henri PLANTADE
(1839-44)(**1845)(*1846)
01/08/1839
- "ÉTUDE DE ME HENRI NOUGCIER, Agréé, rue
Colbert, 2. D'un acte sous signatures privées, en date, à Paris, du 1er août
1839, enregistré à Paris, le 2 du même mois, par Mareux, qui a reçu les
droits, Entre : M. Charles-François PLANTADE, compositeur de musique,
demeurant à Paris, boulevard Montmartre, 8, et M. Jean-Georges KRIEGELSTEIN,
facteur de pianos, demeurant aussi à Paris, rue de Paradis-Poissonnière, 46
et 52, A été extrait ce qui suit : Une société en nom collectif a été formée
entre les parties pour l'exploitation d'une manufacture de pianos en tous
genres, et à laquelle sera rattachée celle de l'entreprise spéciale de
l'accord et de la location de pianos pour Paris et la campagne, entreprise
précédemment gérée par l'ancienne société PLANTADE et Comp. La raison
sociale sera KRIEGRLSTEIN et Ch. PLANTADE. Cette société, dont le siège est
à Paris, boulevard Montmartre, 8, aura une durée de quatre années et six
mois, à compter dudit jour 1er août, pour finir le 31 janvier 1844.
Néanmoins la société remontera pour ses effets au 1ER novembre 1838. Chacun
des associés aura la singnature sociale, gérera les affaires de la société,
et apportera dans la société sa clientèle, son achalandage et son matériel,
estimés, savoir : celui de M. Plantade, la somme de 40,000 fr.; et celui du
Sieur Kriegelstein, celle de 10 000 fr., plus ce dernier apporte dans la
société une somme de 20,00 fr. Pour extrait. NOUGUIER."
Gazette des tribunaux, 07/08/1839, p. 4 (data.decalog.net) - et
-
Archives nat. :
D31u3-85/Pièce 1118."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
» - Voir
PLANTADE
1841 -
En 1841 il invente les agrafes puis en 1846 il fait breveter une
mécanique à double échappement que l'on appellera 'mécanique
KRIEGELSTEIN' pour la différencier de celle d'Érard : KRIEGELSTEIN ouvre son atelier à Paris en 1850, et fabrique des
pianos droits. Depuis 1897 fabrique dans Seifontaine (Oise).
1844 -
"ÉTUDE DE Me HENRI NOUGUIER, Agréé, rue
Colbert, 2. D'un acte sous signatures privées, en date, à Paris, du 1er août
1839, enregistré à Paris, le 2 du même mois, par Mareux, qui a reçu les
droits, Entre : M. Charles-François PLANTADE, compositeur de musique,
demeurant à Paris, boulevard Montmartre, 8, et M. Jean-Georges KRIEGELSTEIN,
facteur de pianos, demeurant aussi à Paris, rue de Paradis-Poissonnière, 46
et 52, A été extrait ce qui suit : Une société en nom collectif a été formée
entre les parties pour l'exploitation d'une manufacture de pianos en tous
genres, et à laquelle sera rattachée celle de l'entreprise spéciale de
l'accord et de la location de pianos pour Paris et la campagne, entreprise
précédemment gérée par l'ancienne société PLANTADE et Comp. La raison
sociale sera KRIEGRLSTEIN et Ch. PLANTADE. Cette société, dont le siège est
à Paris, boulevard Montmartre, 8, aura une durée de quatre années et six
mois, à compter dudit jour 1er août, pour finir le 31 janvier 1844.
Néanmoins la société remontera pour ses effets au 1ER novembre 1838. Chacun
des associés aura la signature sociale, gérera les affaires de la société,
et apportera dans la société sa clientèle, son acha landage et son matériel,
estimés, savoir : celui de M. Plantade, la somme de 40,001 fr.; et celui du
sieur Kriegelstein, celle de 10 000 fr., plus ce dernier apporte dans la
société une somme, de 20,000 fr. Pour extrait NOUGUIER."
Gazette des Tribunaux, 07/08/1839, p. 4 (data.decalog.net)
1844 - "Le roi vient de faite
l'aquisition du beau piano à queue, à nouveau système frappement en dessus,
que MM. Kriegelstein et Ch. Plantade avaient mis à l'exposition, et que S.
M. avait entendu avec interêt."
La France
Musicale, 1844, p. 256 (gallica.bnf.fr)
1845 -
"KRIEGELSTEIN Jean Georges,
Facteur de pianos, rue de Laval, n° 27 et 29, cité le 05/04/1845, dans un
acte sous seing privé comportant dissolution entre ledit et PLANTADE Charles
alexandre, compositeur de musique, boulevard de Montmartre, n° 8, créé en
1838, pour la fabrication et la vente de pianos, dont les magasins sont
boulevard Montmartre, n° 8, sous la raison KRIEGELSTEIN et PLANTADE,
laquelle a été dissoute le 31/03/1845. Source : D31u3-123/Pièce 677. - Sous
le n° 678, même jour, la société est recréée avec le premier et un
commanditaire non nommé."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
KRIEGELSTEIN
Jean Georges
(1849), époux de Marie Julienne DOSDA. (¹⁸)
Liste des sociétaires de
l'Association des artistes musiciens,
1850-53, 1856-57, 1859, 1861, 1864 (²⁵)
1850 -
"KRIEGLSTEIN Jean Georges, Facteur de pianos,
rue Laffitte, n° 45. Cité en complément pour les deux associés, de notre
fichier 1T (tribunal de commerce/Sociétés) le 20/05/1850, dans un acte sous
seing privé, comportant prorogation de société entre ledit, associé et
gérant, et PLANTADE Charles François, compositeur de musique, lui, associé
commanditaire dans une société créée le 05/04/1845, dont le siège est à
cette adresse pour la vente et la fabrication de pianos sous la raison
KRIEGELSTEIN et Compagnie. Source: D31u3-166/Pièce 897."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
1853 -
"S. M. l'empereur
vient de nommer pour ses facteurs de pianos MM.
Kriegelstein et Cie, honorés de médailles d'or et de
récompenses aux diverses expositions et dont les
instrumens sont justement appréciés en France et à
l'étranger."
La Presse, 11/09/1853, p. 2 (gallica.bnf.fr)
1858 -
"En 1858, sept ans avant
sa mort qui survint le 20 novembre 1865, J.-G. KRIEGELSTEIN confia la
direction de sa manufacture à son fils Charles (né à Paris le 16
déc. 1839) qui sut conserver la bonne renommée acquise."
Les
facteurs d'instruments de musique : les luthiers et la facture instrumentale
: précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893
KRIEGELSTEIN Jean Georges
(1855)
KRIEGELSTEIN
Père & Fils ,
dont le fils Charles-Etienne Alexandre (1839 - 1905),
époux de Charlotte BURY (¹⁸) -
(**1864)
'Facteurs de pianos de S.M. l'Empereur'
(*1867)
Mariage
de "Kriegelstein, facteur de pianos, rue Drouot, 11.
Mlle Bury, chez son tuteur, rue Villedot, 13."
(**1863)(¹⁸)
1863 -
"MC/ET/CVI/949 - 9 juillet 1863 - Inventaire après décès
de Marie Julienne Dosda, 11, rue Drouot où elle est
décédée le 25 mai 1863, femme de Jean Georges
Kriegelstein père, facteur de pianos. - A signaler, dans
cet inventaire après décès, les prisées relatives au
fonds de commerce sis 11, rue Drouot, à savoir le
mobilier industriel et les marchandises entreposés dans
la fabrique de pianos située route militaire, 17e
arrondissement."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
1863 -
"MC/ET/CVI/949 - 9 juillet 1863 - Procuration par Jean
Georges Kriegelstein père, facteur de pianos, 11 rue
Drouot, à Henry Millot, receveur de rentes, 41 rue de
Richelieu, dans le cadre du règlement de la succession
de [Marie] Julienne Dosda, femme de Jean Georges
Kriegelstein."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
1863 -
18 juillet 1863. Dépôt de
l'acte de société en nom collectif « Kriegelstein père &
fils », formée entre Jean Georges Kriegelstein père et
Charles Alexandre Kriegelstein fils, facteurs de pianos,
11, rue Drouot.
1863 -
Informations complémentaires : À la suite : dépôt des
pièces de publicité, 21 août 1863 ; acte modificatif, 24
novembre 1863 ; dépôt de l'extrait de l'acte de décès de
M. Kriegelstein père, 8 novembre 1865 ; dépôt de pièces
de publication, 28 novembre 1865." MC/ET/CVI/949 -
Inventaires virtuelle des Archives nationales
1865 -
"MC/ET/CVI/959 - 6 septembre 1865 - Donation entre vifs
par Charles Alexandre Kriegelstein, facteur de pianos,
11, rue Drouot, à sa femme, Charlotte Juliette Bury,
avec laquelle il demeure."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
1865 -
"MC/ET/CVI/959 - 6 septembre 1865 - Donation entre vifs
par Charlotte Juliette Bury, 11, rue Drouot, à son mari,
Charles Alexandre Kriegelstein, facteur de pianos, avec
lequel elle demeure."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
1865 -
"MC/ET/CVI/959 - 31 octobre 1865 - Dépôt du testament de
Jean Georges Kriegelstein, facteur de pianos, boulevard
Bessières, porte de Saint-Ouen, où il est décédé le 29
octobre 1865, daté du 20 octobre 1863, avec codicille du
1er août 1865."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
1867 -
"MC/ET/CVI/971 - 14 décembre 1867 - Renonciation par
Charlotte Juliette Bury, femme de Charles Alexandre
Kriegelstein, facteur de pianos, avec lequel elle
demeure, 11, rue Drouot, au bénéfice d'inventaire qui
lui était acquis dans les successions de ses père et
mère, Conrad Bury et Mélanie Françoise Bury, sa veuve."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
1868 -
"MC/ET/CVI/974 - 24 juin
1868 - Réquisition de certificat de propriété par
Charles Alexandre Kriegelstein fils, facteur de pianos,
11, rue Drouot, et Augustine Julie Charlotte Amélie
Kriegelstein, mineure, soeur du susnommé, représentée
par son tuteur, Auguste Hippolyte Forget, architecte
réviseur des travaux de la Ville de Paris, 31, rue
Bergère et actuellement 10bis, rue Geoffroy-Marie."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
1870 -
"MC/ET/CVI/985 - 27 août 1870 - Renonciation par
Augustine Julie Charlotte Amélie Kriegelstein,
célibataire majeure, sans profession, demeurant chez son
frère, Charles Alexandre Kriegelstein, 11, rue Drouot,
au bénéfice d'inventaire qui lui était acquis dans les
successions de Jean Georges Kriegelstein, son père, en
son vivant facteur de pianos, 11 rue Drouot, où il est
décédé le 30 octobre 1865, et de Marie Julienne Dosda,
sa mère, décédée à Paris le 25 mai 1863."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
1870 -
"MC/ET/CVI/986 - 31 octobre 1870 - Procuration par
Charles Alexandre Kriegelstein, facteur de pianos, 11,
rue Drouot, à Charlotte Juliette Bury, sa femme,
demeurant avec lui, lui donnant pouvoir, pour lui et et
son nom, de gérer et administrer tous les biens et
affaires du constituant, et notamment toutes les
affaires de sa maison de commerce."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
KRIEGELSTEIN
& PELLIN (dès 1871 à 1888)
- Voir
PELLIN
KRIEGELSTEIN & Cie
(**1876)(**1884)(y1889)(x1912)(**1925)(x1926)
1883 - "Du 1er
au 30 novembre - Société en nom collectif - [...] 1100. 29 oct.
Kriegelstein et Cie, pianos, 4, rue Charras (A. P. 7 nov.)."
Journal des sociétés civiles et commerciales, 1883, p. 158 (gallica.bnf.fr)
1883 - "Dissolution de Sociétés [...] 1105. 20 oct. Kriegelstein et Cie,
pianos, 4, rue Charras (A. P. 7 nov.)."
Journal des sociétés civiles et commerciales, 1883, p. 166 (gallica.bnf.fr)
1887 -
"Paris. — Modification des statuts de la Société en nom collectif
KRIEGELSTEIN et Cie, facteurs de pianos, rue Charras, 4, par l'
adjonction d'un troisième associé, M. Henri Grumbach, avec droit à la
signature sociale et un apport de 100,000 fr., — et prorogation du 30
juin 1890 au 1er avril 1890. — Cap. porté par suite de 200,000 fr. à
300,000 fr. — Acte du 27 oct. 1887. — G. T."
Archives commerciales de la France. 12/11/1887, p. 1410 (gallica.bnf.fr), voyez
GRUMBACH.
Le dernier est aussi mentionné dans la notice nécrologique de
A. C. KRIEGELSTEIN ,
ci-dessous à coté gauche.
1892 - "Paris.—Modifications.—Soçiété KRIEGELSTEIN et Cie, fab. de pianos, 4,
Charras. — Admission de M. Georges Kriegelstein comme associé en nom
collectif. — Cap. porté de 300,000 fr. à 360,000 fr. — 3 oct. 92. —A.
P." Archives commerciales de la France, 12/10/1892, p. 1242 (gallica.bnf.fr)
1892 -
"Mariage : Mlle Annette
Audran, fille du compositeur populaire, épousait M. Georges Kriegelstein,
fils du facteur de pianos bien connu."
Le
Figaro, 12/10/1892, p. 1 (gallica.bnf.fr)
KRIEGELSTEIN Charles
Alexandre (***1885), a été nommé
Chevalier de la Légion d'honneur en 1900.
Il meurt en
1905, et ici
sa notice de nécrologique.
(¹⁸)
'Piano-Fabrik'
(x1912) ------- 'Manufacture de Pianos' (*1913) -------
'Facteur de pianos' & Piano- u.
Harmonium-Handlung' (x1926)
1925 -
"KRIEGELSTEIN et Cie, 3,
r. d'Edimbourg, Paris, 8°. T. Wagr. 62-59. Soc. au cap. de 480.000 fr.
Pianos. (17-46773)." Annuaire
industriel. Répertoire général de la production française, 1925 (gallica.bnf.fr)
BOULÉ-KRIEGELSTEIN
& Cie (avant 1929)
1929 -
"PARIS. — Dissolution. —
20 juin 1929. —Soc. BOULÉ-KRIEGELSTEIN et Cie, pianos Kriegelstein. 3,
Edimbourg. — 10 sept. 1929. — P. A."
Archives commerciales de la France. 11/10/1929, p. 4309 (gallica.bnf.fr)
Sérifontaine
KRIEGELSTEIN
& Cie (x1926),
'Piano-Fabrik' (x1926)
|
Médaille d'argent
Paris,
1834 | Brevet de 1834.11.09 | Nouvelle médaille d'argent
Paris,
1839 | Médaille d'or Paris, 1844
| Rappel de Médaille d'or Paris, 1849 | Médaille de 1re classe Paris,
1855
| Médaille Londres, 1862 |
Prize medal, Londres 1862
| Médaille
d'argent, Paris 1867
| Liste des exposants Le Havre, 1868 | Diplôme d'honneur Lyon, 1872
| Médaille pour le progrès
Vienne, 1873 | Médaille Philadephie, 1876
| Médaille d'argent Paris,
1878 | Médaille d'or Bordeaux, 1882 | Médaille d'or Anvers, 1885 | Membre
du Jury Le Havre, 1887 | Hors concours Chicago, 1892 | Liste
des exposants Chicago, 1893 | Diplôme d'honneur, Anvers,
1894 |
Diplôme de médaille
d'or, Lyon, 1894 |
Diplôme d'honneur Amsterdam, 1895
| Grand prix Bruxelles, 1895
|
Diplôme d'honneur Bruxelles, 1897
| Grand prix Paris, 1900
|
LAINÉ
Auguste Gilles,
GILLE dit LAINÉ
| LAISNE |
1831 |
Il y a ...
"LAINE Aimé, Instruments de musique, passage Véro
Dodat, n° 28. Cité le 07/10/1847, lors de la faillite
dudit. Autres : HEURTEY, syndic. Source : dictionnaire
MASCRET."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
|
Paris |
18, rue Basse Saint-Denis (arr.9)(**1835)(x1837)
18, Boulevard Bonne Nouvelle (**1835)(*1836)(*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(x1840)(arr.2)
100, rue Cléry
(xxx1841)(**1842)(arr.2)
Ateliers à Batignolles (xx1857)(xx1858)
7, Boulevard des Italiens
(x1843)(y1843)(xx1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(vv1855)(z1855)(arr.2)
18, rue Royale Saint-Honoré
(xx1856)(**1857)(xx1857)(zz1857)(xx1858)(zz1858)(arr.8)
37, rue Vivienne (xx1859)(xx1860)(arr.2)
Fabrique : 30,
Grande-Rue-Batignolles (zz1857)(zz1858)(xx1860)(arr.17)
|
|
'Facteur de pianos'
ca. 1831-60
Il est le même facteur
de
GILLE dit LAINÉ,
ou GILLE A.
LAINÉ
Auguste Fils
(xx1857)(xx1858)(xx1859)
"Lainé,
fait pianos en tous
genres."
Mémoires,
Société d'agriculture,
sciences et arts de Valenciennes,
1836
"Lainé
(A.), vend et loue des pianos, r. Basse-Porte,
Saint-Denis, 18, boul. Bonne-Nouvelle." et
"Laine (Auguste-Gilles), fait pianos en tous genres, rue
Basse-Saint-Denis, 18, boul. Bonne-Nouvelle."
Agenda
musical, Paris, 1837 (gallica.bnf.fr)
"Pianos
Lainé. Magasin, 7, boulevard des Italiens, Joli choix de
pianos à vendre ou louer."
La Presse, 26/11/1845, p. 3 (gallica.bnf.fr)
"Lainé
(Aug.) fils, maison de confiance fondée en 1831,
Royale-St-Honoré, 18; fab. à Batignolles."
Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1858, p. 776
(gallica.bnf.fr) |
|
BELL Martin
(ca. 1778 - 1844)
|
1832 |
"Bell Père & Fils - Facteurs anglais, ayant établis les Pianos de la
maison Ignace Pleyel et Compagnie, depuis 1825 jusqu'en 1832. - Rue Se
Denis, N° 356, Paris."
PARIS -
"MM. Bell, père et fils, de Londres, dont l'établissement de Paris date
de 1832, se sont présentés a l'exposition avec un beau piano à queue.
Facteurs anglais ils préfèrent naturellement la mécanique anglaise; mais
ils ont su lui ôter sa lourdeur, et leurs instrumens se distinguent par
la facilité du clavier. MM. Bell annoncent sur leur prospectus qu'ils
ont, depuis 1825, établi les pianos de la maison Pleyel. C'est en effet
une bonne recommandation."
Gazette
musicale de Paris, Volume 1, 1834
PARIS -
"Parmi les pianos à
queue, ceux de MM. Bell père et fils, facteurs anglais,
établis à Paris, méritent une attention spéciale.
Ce sont eux qui ont fondé la fabrique de M. Pleyel.
Dire que leurs instrumens rivalisent avec ceux de cette
fabrique, c’est assez faire leur éloge."
La Quotidienne, 27/06/1834,
p. 3 (retronews.fr)
PARIS -
"Of the
other manufacturers, Messrs. Bell and Son, English makers, exhibited
a curious instrument, as nearly as possible square, and of
peculiarly fine tone."
Niles' National Register: Containing
Political, Historical, Geographical ..., 1840, p. 89
PARIS - "BELLE PÈRE et Fils, à Paris, 356,
rue Saint-Denis. Pianos. - Parmi les
pianos qui figuraient à l'exposition, nous avons remarqué ceux qui
sortaient des ateliers de ces facteurs distingués, auxquels ton xiait
d'avoir contribué les preniers au perfectionnement de leur art, car M.
Bell, avant de fabriquer à son nom, avait long-temps travaillé pour
l'une des plus anciennes fabriques de Paris, et certains beaux pianos
sortaient de cette maison étaient faits par lui. Pour en revenir à celui
que ces messieurs avaient exposé, la forme nous en a paru nouvelle ; sa
construction intérieure, exactement celle d'un piano à queue, permet de
le placer ainsi qu'un guéridon au milieu d'un salon. Les sons que nous
en avons tirés étaient d'un grand volume, très-purs et d'un moelleux
exquis."
Lucas Al.
Panorama de l'industrie française publié par une société d'artistes
et d'industriels sous la direction de M. Al. Lucas, 1839, p.
106
(gallica.bnf.fr)
PARIS -
"BELL PÈRE et fils (n°
375). Parmi les pianos de l'Exposition, nous en avons
remarqué un sortant des ateliers de’ ces facteurs
distingues, auxquels on doit d'avoir contribué, des
premiers, au perfectionnement de leur art; car M. BELL,
avant de fabriquer en son nom, avait longtemps travaillé
pour l'une des plus anciennes fabriques de Paris, et
certains beaux pianos qui sortaient de cette maison
étaient faits par lui. — Pour en revenir à celui que ces
messieurs ont exposé, la forme nous en a paru nouvelle;
sa construction intérieure, exactement celle d'un piano
à queue, permet de le placer, ainsi qu'un guéridon, au
milieu d'un salon. Les sons que nous en avons tires,
etaient d'un grand volume, très-purs et d'un moelleux
exquis. Nous croyons que le jury spécial, nommé pour les
instruments de musique, et si bon juge de sa nature,
n'oubliera pas le piano de MM. BELL dans les
encouragements qu'il se propose de décerner à
l'industrie."
La France Industrielle, 11/07/1839,
p. 1
PARIS -
"Bell, père et fils. Ces habiles ouvriers anglais vinrent s'établir en
France vers 1825. M. Kalkbrenner associé de la maison Pleyel, se trouva
si satisfait de leur mode de fabrication, qu'il acheta tous les
instrumens et tout le matériel de MM, Bell, et les plaça à la tête de la
fabrication des pianos de la maison Pleyel et Cie, où ils travaillèrent
pendant fort long-temps. Leur fils marche aujourd'hui sur les traces de
ses aleux il construit fort bien les instrumens de M. Bell sont solides,
d'une belle sonorité; la qualité du son est ronde et brillante; son
mécanisme est le mécanisme anglais perfectionné par son père. Le piano à
queue que nous avons vu et entendu est fort remarquable par la facilité
du clavier, et surtout par l'égalité. Les bases sont fortes sans
lourdeur; les dessus brillans sans sécheresse. M. Bell fabrique de bons
instrumens dans tous les genres, et ses prix sont fort modérés. Il mérite
de réussir, car, malgré sa jeunesse, il est tout entier à son industrie."
La
France Musicale, 1844 (gallica.bnf.fr)
PARIS - "M. BELL fils, à Paris, rue Saint-Denis, 356, - Pour la bonne
construction de ses pianos. M. Bell, quoique très-jeune encore, dirige
avec distinction l'établissement qui lui a été légué par son père."
Rapport
du Jury central, Paris Jury central, Imprimerie de Fain
et Thunot, 1844, p. 547
|
Paris |
356, rue Saint-Denis (1834)(*1835)(z1835)(x1836)(**1837)(*1838)(yy1839)(x1839)(xx1839)(**1840)(x1840)(*1842)(x1843)(**1844)(**1845)(**1846)(arr.3) |
|
'Facteur de pianos'
droits, pianos carrés et pianos à queue
Était un ouvrier chez
PLEYEL
avant il était établi sa maison entre 1825-32 (xx1839).
Bell a participé à la mise au point des premiers
pianos à queue PLEYEL.
1843 -
"Bell père et fils, facteurs anglais, ayant établi les
pianos d'Ignace Pleyel depuis 1825 à 1832."
Annuaire
du commerce Didot-Bottin, 1843,
p. 518 (gallica.bnf.fr)
BELL
Martin
(1832)
BELL
Père & Fils
(***1834)(x1836)(xx1839)(***1841)(**1846).
Un de ses fils, même prénom
BELL Martin Ocker Bloom
(1799 - 1841)
était marié avec une française SAUTRIAUX Clémentine
(¹⁰), mais meurt très tôt en 1841.
1844 -
"BELL Martin, Facteur de pianos, rue Saint Denis, n°
356. Cité le 18/02/1844, dans un acte sous seing privé,
comportant dissolution entre ledit et le sieur OCKER
BLOOM BELL [O'KER
Bloom], son fils, même adresse, lesquels étaient
associés en nom collectif, même adresse depuis le
29/09/1834, entredit BELL Martin, son père, et la dame
veuve dudit, née FAUBRIAUX et BELL Martin, son fils,
pour une société en nom collectif de pianos qui existait
sous la raison BELL père et fils. Source :
D31u3-115/Pièce 267."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
BELL Fils
(**1844), un autre fils ?
BELL
Clémentine dame veuve & fils
(1846)(¹⁰)
1846 -
"CONCORDATS. De la dame
veuve BELL et fils, fab. de pianos, rue Saint-Denis,
356, le 15 juin * 10 heures (N° 6013 du gr.)."
Gazette des Tribunaux, 12/06/1846, p.6
(data.decalog.net)
Faillite
en 27/03/1846 (¹⁰)
BELL G. A.
(**1900), 'ancien facteur de pianos'
BELL par MONTAL
"En 1832 MM. Bell père et fils,
facteurs anglais distingués établis à Paris, ont imaginé
de remplacer le placage et le barrage des tables parce
qu'ils appellent des tables doublées; ce sont deux
tables de sapin, d'épaisseur à peu près égale, collées
l'une sur l'autre en croisant la fibre des bois. La
table inférieure est taillée en biseau sur des bords, et
plus étroite que la table supérieure, afin de laisser à
celle-ci de l'élasticité tout autour, près desparois de
l'instrument, sur le bord desquelleq elle est fixée. Ces
facteurs collent en outre, à certaine distance les uns
des autres, des rubans de fil paralleles en long et en
large, de manière à former des carrés entre eux; ces
rubans sont vernis après être collés, pour empêcher la
colle de se détériorer; ils espèrent par ce moyen
augmenter le solidité de la table sans diminuer son
mouvement vibratoire de va et de vient, qui lui est
imprimé par les oscillations perpendiculaires des
cordes. MM. Bell construisent, à l'aide de ces tables,
des instruments remarquables, parmi lesquels on
distingue les pianinos à trois cordes."
L'art
d'accorder soi-même son piano,
C. Montal , 1836
"Bell père et fils, facteurs anglais, ayant établi les pianos de la
maison Ignace Pleyel et cie., depuis 1825 jusqu'en 1832, r. St-Denis,
356." Almanach
général des commerçans de Paris et des départemens : contenant plus de
100,000 adresses vérifiées à domicile, 1839 (gallica.bnf.fr) et
(**1840)(***1841)(*1842)(xx1844)
|
Liste
des exposants Paris, 1834
| Liste des exposants Paris, 1839
| Citation favorable Paris, 1844
|
HATZENBÜHLER
Baptiste
| HATZEMBÜHLER
| HAZENBUHLER
|
1832 |
Pianos droits, pianos carrés et pianos à queue
TITRE
'Facteur de pianos du Roi'
(*1848)
'Facteur du ROI' (ca. 1850)
Piano
à queue ca. 1850,
autre photo,
et sa
signature, Musée de la Musique, Paris, France
HATZENBÜHLER
sur ce site
Cliquer sur les liens ci-dessus.
"M. Hatzenbuhler, facteur de pianos, rue Fontaine-Saint-Georges, 8, adresse
une notice explicative sur les modifications qu'il a apportées dans les
dispositions et la fabrication des pianos droits, et rappelle les
distinctions qu'il a obtenues aux expositions de 1839 et 1844."
Bulletin de la
Société d'encouragement pour l'industrie nationale, Volume 46, 1847, p.
220
VOIR AUSSI ...
...
un autre
HATZENBÜHLER,
fabricant de pianos, à Paris vers 1837.
|
Paris |
61-63,
rue du faubourg Saint Antoine
(1838)(¹⁰)(arr.11)
Le siège : 108, rue
Richelieu (1838)(¹⁰)(arr.2)
Fabrique : 63,
rue du
Faubourg du Saint-Antoine
(z1835)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(arr.11)
58, rue du
Faubourg du Saint-Antoine
(xx1839)(x1840)(arr.11)
Le siège de la
société :
35,
rue de Reuilly (xxx1841)(arr.12)
151, rue de l'Université (yy1841)
8, rue
Fontaine-Saint-Georges (x1843)(**1844)(*1846)(**1846)(***1847)(x1847)(*1848)(arr.9)
151, rue de l'Université (*1842)(**1844)(arr.7)
Dépôt
central :
108, rue Richelieu (yy1840)(xxx1841)(*1842)(*1846)(arr.2)?
106, rue Richelieu (**1843)(arr.2)
magasins : rue Laffitte, Cité des Italiens (x1843)(xx1844)(**1845)(arr.9)
10, rue Fontaine Saint Georges (x1849)(*1850)(arr.9)
1, rue Lafitte (cité des Italiens)(**1846)(**1847)(x1847)(arr.9)
29,
rue Lafitte dès 1849(1855)(arr.9)
18, rue Lafitte (ca. 1850)(arr.9)
4, rue Rougemont (*1851)(**1852)(xx1856)(arr.9)
8, rue Monsigny
(z1855)(arr.2)
2, rue Lafitte
(x1849)(yy1851)(**1854)(vv1855)(arr.9)
Fabrique :
76, rue du Faubourg Saint-Martin (1855?)(arr.10)Fabrique : 39,
rue du Château d'Eau (1854)( arr.10)
6, rue Lafitte (voyez barre d'adresse à gauche)(date ?)(arr.9) |
60
ouvriers en 1839
N° 715 fabr. en 1839
65
ouvriers en 1844
|
'Facteur de pianos'
'Facteur de caises de pianos' (yy1839)(**1840)(***1841)
HATZENBÜHLER
Baptiste & FAURÉ André (1839)(1841)(*1846)
: 'Facteurs de pianos du Roi'
1838 -
"ETUDE DE ME
DETOUCHE, AGRRE, rue Montmartre, 78. D'un acte sous
seings privés, en date à Paris du 9 juin 1838,
enregistré, le 22 du même mois, par Frestier, qui a reçu
les droits. Entre Jean-Baptiste HATZENBUHLER, facteur de
pianos, dame Françoise-Elisabeth BOUDROT, son épouse,
demeurant tous deux rue du Faubourg-St-Antoine, 61 et
63, et Charles EBNER, facteur de pianos, demeurant à
Paris, rue Favard, 4, A été extrait ce qui suit : La
société de fait qui a existé entre les parties pour la
fabrication et la vente de pianos et dont le siège était
fixé à Paris, rue de Richelieu, 108, a été dissoute à
partir du 9 juin, présent mois. Le sieur Hatzenbuhler
est nommé liquidateur de la société. Le sieur Ebner
continuera à faire des affaires pour son compte, rue de
Richelieu, 108, et les sieur et dame Hatzenbuhler
continueront aussi d'exploiter séparément leur commerce
pour la fabrication des pianos, rue du
Faubourg-St-Antoine, 58 et 63. Pour extrait : F.
DETOUCHE."
Gazette des Tribunaux, 24/06/1838, p. 6
(data.decalog.net) - voir
EBNER
HATZENBÜHLER
Baptiste & FAURÉ André (1839)(1841)(*1846)
: 'Facteurs de pianos du Roi'
1839 -
"HATZENBUHLER Jean Baptiste, Facteur de pianos, associé,
rue du faubourg Saint Antoine, n° 63, cité le
03/12/1838, dans un acte notarié comportant société
entre ledit et FAURE André Alexandre, marchand de bois
des îles, rue du faubourg Saint Antoine, n° 59, lesquels
se sont associés ennom collectif pour la fabrication et
lavente de pianos qui commencera le 01/01/1839. Source :
D31u3-81/Pièce 2041."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
1840 -
"On lit dans le moniteur parisien :
"Le roi, sur la proposition de M.
L'intendant-général de la liste civile, vient d'accorder le titre de
Facteurs de pianos de S.M.; à MM. Hatzenbuhler et Fauré, dont les
instruments ont été mis au premier rang à la dernière exposition
(fabrique, faubourg Saint-Antoine, 63; dépôt central rue Richelieu, 108).
Cette rare distinction est pleinement justifiée par des mérites qui
s'excluent d'ordinaire dans cette sorte de produits, c'est-à-dire l'économie
du prix, la qualité du son et la solidité de la construction."
Le journal de Toulouse, 04/02/1840
et
Le Courrier de la Drôme et de l'Ardèche, 06/02/1840,
p. 3
"HATZENBUHLER Jean Baptiste, Facteur de pianos, associé,
ci-devant rue du faubourg Saint Antoine, n° 63 et
actuellement grande rue de Reuilly, n° 35. Cité les 28
et 29/12/1840, dans un acte notarié comportant
modifications de société entre ledit et FAURE André
Alexandre, ancien marchand de bois des îles, ci-devant
faubourg Saint Martin, n° 59,
actuellement aussi grande rue de Reuilly, n° 35, société
créée le 16/12/1838, dont le siège dera maintenant rue
de Reuilly, n° 35. Source : D31u3-95/Pièce 49."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
HATZENBÜHLER
(**1844), il travaille seul dès 1840, parce que
FAURÉ André
est dès 1840 l'associé de
ROGER.
HATZENBÜHLER
Baptiste & FAURÉ [et ROGER]
dès 1841 :
1841 -
"Suivant acte sous
signatures privées fait triple à Paris, le 16 mai 1841,
enrégistré; M. Jean-Baptiste Hatzenbuhler, facteur de
pianos à Paris, rue du faubourg-St-Antoine, 63; M.
André-Alexandre Fauré, marchand de bois des îles,
demeurant à Paris, même rue, 59; et M. Louis Roger,
négociant à Paris, rue de l'Université, 151; ont formé
entre eux, pour douze années à partir du 16 mai 1841,
une société en nom collectif sous la raison sociale
HATZENBUHLER, FAURE et Ce, pour la fabrication et la
vente de pianos. Le siège de la société a été fixé à
Paris, rue de Reuilly, 35, et pourra être changé d'un
consentement mutuel. La signature appartient à chacun
des associés, cependant les effets de commerce
n'engageront la société que autant qu'ils auront été
souscrits ou endossés par les trois associés
individuellement et de leur signature personelle. Les
droits des associés sont égaux. Néanmoins M.
Hatzenbuhler, à raison de son industrie, fera à la fin
de chaque année un prelèvement de 5 pour 100 sur les
bénéfices nets, qui sera consideré comme frais généraux.
M. Roger apporte une somme de 30,000 francs sur laquelle
20,000 francs devront servir à l'extinction de portion
du passif de la société Hatzenbuhler et Faure, et de
celui de M. Faure en son nom personel. Les sieurs
Hatzenbuhler et Faure ont apporté leur fonds de commerce
avec tous les ustensiles, matériaux, marchandises,
pianos fabriqués ou en fabrication, créances actives et
passives qui en dépendaient et dont l'inventaire a été
dressé immédiatement. H. Durand."
Gazette des Tribunaux, 21/03/1841, p. 4
(deca.decalog.net)
GILLANT
& Femme HATZENBULHER
(yy1851)(**1854)(x1857), probablement
dès
1848, voyez également
GILLANT
1846 -
"HATZENBUHLER Baptiste, Facteur de pianos du Roi, rue
des Fontaines Saint Georges, n° 8. Cité le 20/08/1846?
dans un acte sous seing privé comportant société entre
ledit et ROLL DU BOISSEAU Georges Henri, propriétaire,
rue Las Cases, n° 6, lesquels se sont associés en nom
collectif pour la fabrication et la vente des pianos
sous la raison Baptiste Hatzenbuhler et Compagnie, dont
le siège est rue Saint Geoges, n° 8. Source :
D31u3-136/Pièce 1596."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
1847 - "HATZENBUHLER Jean
Baptiste, Facteur de pianos du Roi, patenté, rue
Fontaine Saint Georges,
8. Cité le 10/11/1847, dans un
acte notarié comportant société et ROLL DU BOISSEAU
Joseph Henri, propriétaire, même adresse, lesquels se
sont associés dans une société commerciale par actions
entre eux trois et les personnes qui y adhéreraient,
sous le nom de société de pianos HATZENBUHLER,pour la
fabrication, la vente, l'échange et les cautions, etc,
qui a commencé le 25/10/1847. - Et dans l'acte 2134, il
y a dissolution, datée du 11/01/1847, de la société
créée par le premier sous seing privé le 20/08/1846.
Source : D31u3-147/Pièce 2135."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
1849 -
"HATZENBUHLER Jean Baptiste,
Facteur de pianos, rue Fontaine Saint Georges, n° 15.
Cité le 13/02/1849, dans un acte sous seing privé,
comportant dissolution entre ledit et ROLL DU BOIS PEAN
Henry, rue de Vintimille, n° 15, lesquels ont accepté la
dissolution de la société crée le 09/02/1849 comme nulle
et non avenue, à compter de ce jour sous la raison
HATZENBUHLER et Compagnie, société créée suivant acte du
18/11/1847. Source : D31u3-156/Pièce 239."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
HATZENBUHLER
B. & Cie
(*1848)(**1852)
HATZENBUHLER
Mme. [Ve.]
(vv1855)(z1855)
HATZENBÜHLER F.,
HEROLD A., Succ.
(1855). Plus d'info sur le successeur
HEROLD Georges-Frederic.
HEROLD et
Cie succ.
(ca. 1855)
HEROLD Succ.
(?)
KREMER H.
(°1851),
successeur de HATZENBUHLER
|
Médaille
de bronze Paris, 1839 |
Liste des exposants Paris, 1840
|
Médaille d'argent, A. I. 1841 | Médaille d'argent Paris,
1844 |
Médaille de deuxième classe Paris, 1855
|
SOYE D.
Pub 1865
|
1832 |
Pianos et orgues automatiques (*1922)
Brevet de 1847 : "Préparation des eaux luisantes de Lüper destinées à
nettoyer à neuf les bois vernis, sans étude préalable de l'art de vernir
- Cert. d'add. pris le 11 juillet 1846, par Soye, facteur de pianos, à
Bordeaux, représenté par Perpigna, à Paris, rue Neuve-Saint-Augustin,
n.10 (B. pris le 10 janvier 1845, n.706)."
Catalogue des
brevets d'invention, 1847, p. 204 |
Bordeaux
(Paris) |
35, allées de Tourny
(y1847)(*1848)(x1849)(*1851)(x1853)(zz1853)(*1854)(vvv1855)(yy1856)(xx1857)(yy1857)(***1858)(**1859)(yy1862)(y1865)
37, Allée de Tourny
(xx1861)(***1862)(y1863)(y1864)
2, rue Franklin
(*1875)(*1876)
49, Cours de l'Intendance
(xx1890)
42, Cours Tourny
(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(*1910)(x1912)(*1913)
39, rue Condillac (1910)
42, Cours Georges- Clémenceaux
(**1921)(*1922)(x1926)
à Bordeaux
|
|
'Facteur de pianos'
ca. 1832-1922 [depuis
1832
(x1926)]
SOYE
A.-J.-D. (zz1853)
SOYE
Emile-Flavin
(1858-61)(²⁵)
Liste des sociétaires de
l'Association des artistes musiciens, vers
1858-59, 1861 (²⁵)
SOYE
D.
Vve. (xx1861)(***1862)(yy1862)(y1863)(y1864)(*1875)(*1876)(xx1890)
'Pianohandlung'
(xx1890)
1896 -
"J'ai été voir M. Soye, ancien
sous-lieutenant du 5e de housards et des housards de la garde, qui a
fait fortune à Bordeaux comme facteur de pianos. J'ai eu occasion de lui
rendre jadis quelques services; il est du petit nombre de ceux qui une
fois riches m'ont rendu l'argent [...]" Journal du Maréchal de
Castellane, 1804-1862, Volume 3, 1896, p. 353
SOYE
J. (***1903)
SOYE
D. (x1906)(x1912)(x1926)
'Piano-, Harmonium- u.
Musikinstr.-Handlung' (x1906)(x1912)(x1926)
-------
'SOYE-pianos' (*1913)
|
|
FRANK
Jean (ca.
1800 -
1851)
(³¹)(¹⁰)
Pianos
Thiel-Collection
|
1833 |
Pianino
n° 207 ca. 1835, Cité de la Musique, Paris, France
Piano
niche de chien ca. 1835, Musée du piano, Thiell, Metz,
France
PHOTOS EXTRA
Piano droit n° 382 ca. 1836
Cliquez sur les images pour les agrandir
"Frank,
pianos; anciennement rue Grammont, maintenant galerie
Colbert, n. 23 et 25, fabrique tous les genres de
pianos. On en trouve chez lui toujours un grand
assortiment. Ses instruments sont d'une solidité telle
que les plus longs voyages n'influent même pas sur
l'accord; il les garantit pour deux années. [...] Yung
dit Lejeune, pianiste, élève du Conservatoire, chez M,
Frank, galerie Colbert, 23."
Agenda
musical, Paris, 1837,
p. 122/192 (gallica.bnf.fr)
"FRANCK,
FACTEUR DE PIANOS, GALERIE COLBERT, 23 et 25. Pianos droits et
carrés de tous formats à vendre et à louer, pour la ville et la
campagne, à des prix très modérés."
Paris en poche, contenant toutes les notions utiles aux étrangers,
A. LEROUX, 1843, p. 55
"Nous
recommandons vivement aux artistes ainsi qu'aux amateurs les excellens
pianos de M. Franck, galerie Colbert. Ce facteur, grâce aux soins qu'il a
apportés à la fabrication de ses instrumens, méritera incessamment d'occuper
un rang distingué dans sa spécialité."
Le
Ménestrel, 13/10/1844, p. 4 (gallica.bnf.fr)
"PRIME
- OFFERTE A NOS ABONNÉS - M. Frank, l'habile facteur de
pianos et d'orgues de la rue de Richelieu, nous a soumis
hier une proposition que l'époque des étrennes nous a
fait accepter avec empressement. M. Frank nous offre de
faire à tous les abonnés du XIXe Siècle, à titre de
prime, une réduction de 25 % sur le prix de tous ses
instruments.
C'est un avantage considérable, que sauront apprécier
nos abonnés lorsqu'ils auront visité les magasins de M.
Frank, rue Richelieu, no 10.
Tous ses instruments sont de fabrication supérieure et
les prix très-modérés. En voici un aperçu :
Pianos palissandre.
Grand format oblique .... 1,200 fr.
Format ordinaire mi-oblique ... 900
Droit .............. 800
Avec la réduction de 25 %, ces pianos seraient livrés à
nos abonnés aux prix de : 900 — 675 — 600 francs.
Le prix des orgues en chêne ou en palissandre varie
entre 310 et 2,400 francs.
Parmi les objets d'une moindre valeur, destinés à un
cadeau d'étrennes, nous trouvons un charmant petit orgue
portatif qui se plie et se transporte comme une malle.
Il coûte 230 francs. Par conséquent nos abonnés ne le
paieraient que 172 francs.
Il serait superflu d'ajouter que nous n'avons aucun
bénéfice dans cette opération ; l'espoir seul d'être
agréables à nos abonnés nous a fait accepter la
proposition de M. Frank.
Tous nos abonnés sans exception ont droit à cette prime,
et sur la simple exhibition de leur quittance
d'abonnement, M. Frank leur fera la remise de 25 % sur
tous les instruments qu'ils prendront dans sa maison."
Le XIXe siècle : journal quotidien politique et
littéraire, 25/12/1874, p. 2-3 (gallica.bnf.fr) |
Paris |
13, rue Grammont (*1833)(arr.2)
23-25, Galerie
Colbert, rue Vivienne (*1836)(**1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(x1843)(**1844)(**1845)(*1846)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(vv1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1862)(***1863)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1873)(arr.2)
23-25, passage
Colbert
(z1855)(yyy1862)(arr.2)
25,
passage Colbert (***1840)(arr.2)
|
|
'Facteur de
pianos'
droits et pianos carrés
Époux de MEME Marie Thérèse (¹⁰)
FRANK
J. (1833)(**1837)(*1838)(yy1839)(**1854)
Il a acheté le fonds
de
Gabriel PLEYEL
(°1827),
frère de Camille
PLEYEL, fils d'Ignace
PLEYEL, en 1833.
1851 -
"MC/ET/XXXI/835 - 5 juin 1851 - Inventaire après décès
de Jean Frank, fabricant de pianos, passage Colbert."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
1851 -
"MC/ET/XXXI/835 - 5 juin 1851 - Succession, inventaire
apres décès. Informations complémentaires : Intervenant
1, en première partie : Nom, qualité: (M.) Frank, Jean.
État civil : décédé. Profession : facteur de pianos,
Paris (Paris). Domicile : Paris (Paris) passage Colbert,
23-25."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
FRANK
Mme. Vve. (yy1851)(**1852)(vv1855)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1860) 'fabricante
de pianos', (xx1861)(***1862)(***1863)(yy1864)
1862 -
Puis probablement son
était marié : "Franck [sic], facteur de pianos, passage
Colbert, 23 et n. 25. Mlle Lefevre, chez son père,
passage du Havre n. 31."
L'Indicateur des mariages de Paris, 03/08/1862, p. 2
PARIS - "M. Frank, malgré son nom
allemand, est Polonais de naissance. Arrivé à Paris long-temps avant la
catastrophe qui dispersa des milliers de ses compatriotes dans tous les
coins du monde, cet artiste travailla d'abord chez plusieurs facteurs de
la capitale. En 1833 il s'établit pour son propre compte, et les
instruments qui sont sortis de son atelier lui ont valu la confiance du
public musical. M. Frank s'occupe principalement de la fabrication de
deux espèces de pianos, ceux de forme verticale et les pianos carrés.
Les instruments qu'il a exposés méritent des éloges. Ajoutons que M.
Frank se recommande encore aux amateurs par la modération de ses prix,
qui n'est pas obtenue au détriment de la facture, toujours bonne et
solide."
Revue
et gazette musicale de Paris, Volume 6, 1839, p. 323
PARIS -
"1022. Frank, facteur de
pianos, galerie Colbert, 23 et 25, à Paris. M. Frank,
par le perfectionnement et le mécanisme de ses pianos
droits, donne toute facilité de les réparer soi-même en
cas de dérangement. Vente et location de pianos droits
et carrés de tout format."
Catalogue explicatif et raisonné des produits admis à
l'exposition quinquennale de 1844, p. 88 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"Meuble facon
ébénistrie très soignée" Expo 1849 (?)
PARIS -
"En parlant des pianos envoyés cette
année à l'exposition, nous avons omis de mentionner ceux de M. Franck,
qui se signalent par d'importants perfectionnements. Ces instruments
sont, en outre, ornés de panneaux peints à la manière des trumeaux du
XVIII siècle. Cette gracieuse innovation, jointe à la richesse des
sculptures, recommande les pianos droits de M. Franck à tous les
amateurs."
Le
Ménestrel, 02/09/1849, p. 4 (gallica.bnf.fr)
AUTRICHE
1847 -
"Fremde. Angekommen
sind P. T. : [...] Frank, Jean,
Pianoforteverfertiger aus Paris, von Linz."
Oesterreichische Blätter für Literatur und Kunst, Volume
4, 25/06/1847, p. 600 |
Liste des
exposants Paris, 1839 | Liste des
exposants Paris,
1844 | Liste des exposants Paris, 1849
|
ROUSSELOT Louis
|
1833 |
Piano
carré Rousselot n° 680 de 1840, Collection Gisclard, Château Bauzille,
France Piano
à queue
n° 954 de 1840,
Musée du piano, Limoux,
France Piano
à queue n° 1299 de 1830, Eric Feller Early Keyboard Instruments Collection,
Allemagne
Piano
carré Rousselot & Decombes ca. 1833-1839, Collection Gisclard, Château
Bauzille, France
ROUSSELOT
Fils & DECOMBES
Cliquer pour agrandir.
1840
- "L'incendie de la
fabrique de pianos de MM. Rousselot frères : "L'incendie de la fabrique
de pianos de MM. Rousselot frères (1840) fut aussi l'occasion d'une de
ces manifestations, où une partie de notre troupe masculine, groupée
autour d'une cantatrice de grand talent (Mme Lernoule), se transporta au
Grand Théâtre devant un auditoire considérable, accouru pour soulager
les malheureux ouvriers de l'établissement détruit. [...] Enfin, cette
année (1841) fut marquée par un beau concert donné au Théâtre par Mne
Lemoule et quelques amateurs (quorum pars. fui), pour aider a la
reconstitution de ta fabrique de pianos de MM. Rousselot frères,
détruite par un incendie."
Mémoires de l'Académie de Nîmes, 1881, p. 165+202 (gallica.bnf.fr)
1842
- "Nîmes, 6 septembre
- dans la nuit du 4 au 5 de ce mois il y a eu en ville trois incendies
ou tentatives d'incendies. [...] Chez le sieur Rousselot, fabricant de
pianos, place Balore, le feu s'est manifesté dans le magasin où sont
renfermés, pour une somme considérable, des bois précieux; heureusement
on a pu s'en apercevoir assez à temps pour arrêter les progrès d'un
incendie qui pouvait devenir très-considérable. [...]"
Le
Journal de Toulouse, 07/09/1842, p. 1 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)
1844 -
"E' quì
giunto eon due piano forti il signor L. Rousselot, uno
de migliori fabbricatori francesi, e prega i signori
Professori e Dilettanti di andarne a fare l'esperimento
all'Albergo della Minerva, primo piano."
Diario di Roma, 14/12/1844, p. 457
1848
- "Dudit. -
La troisième affaire de la journée était celle du nommé
Philippe Durand, accusé de vol qualifié commis à la
fabrique de pianos de M. L. Rousselot. Mais l'absence de
deux des témoins les plus nécessaires pour amener la
conviction de MM. les jurés, a motivé son renvoi à la
prochain session."
Courrier du Gard, 07/03/1848, p. 3 (81)
PUB
Chez BENACCI & PESCHIER à
Lyon, marchands de pianos en 1846 :
"[...] 1 Rousselot.
Piano carré, 3 cordes, 6 octaves ½ au sol, en bois de
courbaril à filets.
1 Rousselot. Piano carré, 2 cordes, 6 octaves
½ au sol, en bois
d'acajou, à filets.
1 Rousselot. Piano carré, 2 cordes, 6 octaves
½ au sol, en bois de
palissandre. [...]"
Le Moniteur judicaire de Lyon, 24/12/1846,
p. 4 ou
Le Censeur : journal de Lyon, politique,
industriel et littéraire, 28/12/1846, p. 4
|
Montpellier
Nîmes |
?
à
Montpellier
rue de la Colonne,
près la Maison-Carré
(entre
1833-39)
Place Balore (1842*)(xx1849)(x1850)
à Nîmes |
|
Louis ROUSSELOT, fabricant de pianos et
éditeur de musique ca. 1833-90
Pianos droits, pianos carrés et pianos à queue, pianos avec clavier basculant.
Louis ROUSSELOT, [Fils] & DECOMBES
(entre
1833-41)(*1833)(**1837)(x1839)(***1840)(XX1841)-
voir
ROUSSELOT
Mais en même temps on trouve aussi :
ROUSSELOT
Frères
(1840)(1842) ,
mais en même temps on trouve aussi :
ROUSSELOT
Frères & MOITESSIER ,
Association en 1840, avec le facteur Moitessier de
Montpellier, voir MOITESSIER (°1830),
sur cette page.
1840 -
"MONTPELLIER. - Une
association plus artistique qu'industrielle vient de se
former pour doter notre ville d'une fabrique d'orgues et
de pianos. Les directeurs de ce vaste et utile
établissement sont MM. Rousselot, de Nimes, et notre
compatriote M. Moitessier. Le premier est un de ces
artistes modestes que la province compte en si petit
nombre; ses produits ont acquis depuis fort long-temps
toute l'estime des musiciens : récemment encore, le jury
de l'exposition a cru devoir lui décerner une médaille
d'argent, bien qu'il eût paru trop tard dans la lice et
que les réglemens lui refusassent pour cela même aucune
récompense. Il ne pouvait choisir un plus digne associé
que M. Moitessier, connu par les innovations et
l'habileté qui caractérisent ses œuvres; honoré d'une
médaille d'or pour ce charmant petit orgue que nous
avons tous admiré, M. Moitessier apportera dans cette
collaboration de solides et précieuses qualités. Cet
établissement mérite d'autant plus les l'estime des
artistes, qu'il crée à Montpellier une industrie
considérable, et qu'il popularise dans cette ville la
musique instrumentale."
La France musicale. Jules Maurel, Marie et Leon
Escudier, Volume 3, 08/03/1840, p. 111
ROUSSELOT
Louis
(1845 ?)(x1847)
1849 -
Faillite en 1849 : "De
Pianos à queue, Pianos droits et autres. S'adresser,
pour voir les pianos, à M. Victor Gervais, préposé à cet
effet dans les ateliers de feu M. Louis Rousselot, sis à
Nimes, Place Balore, maison Roux-Carbonnel, depuis huit
heures du matin jusqu'à midi et depuis deux heures de
relevée jusqu'à six heures du soir; Et pour traiter, à
M. Masseran, syndic de la faillite Rousselot, rue
Neuve-de l'Agau, derrière l'ohtel [Hôtel] de la
Gendarmerie, n° 21."
Courier du Gard, 17/02/1849, p. 84
(Bibliotheque-numerique.nimes.fr)
Liquidation de
PAULET &
GUGGENMOS par
POL
vers 1849.
Plus tard succedé par
POL Louis vers
1849.
ROUSSELOT
& Comp. (1858)
ROUSSELOT sur ce site
Cliquer sur le lien
ci-dessus si vous voulez lire les commentaires sur les expositions.
"Rousselot
frères, brev., pianos et orgues d'église en tout genre."
Almanach-Bottin
du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales
villes du monde..., part. 2,
par Séb. Bottin, 1842 (gallica.bnf.fr)
"Rousselot
(Louis) ; (A) 1839 à Montpellier, (A) 1840 à Toulouse,
facteur breveté, pianos et orgues d'église en tout
genre; dépôts à Toulouse, Montpellier, Marseille et
Toulon."
Annuaire général du commerce, de
l'industrie, de la magistrature et de l'administration :
ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des
départements et des pays étrangers, 1845, p.
884 (gallica.bnf.fr)
VOIR AUSSI ...
... autres facteurs/marchands avec le même
nom
ROUSSELOT
|
Médaille d'argent, Montpellier, 1839 | Médaille d'argent
Toulouse, 1840 | Médaille d'or
Toulouse, 1845
|
CAVAILLÉ
COLL & Fils
| CAVAYÉ
|
CAVAILLIER
(1811 - 1899)
L'Orphéal ca. 1921, brevet de
Georges
CLOETENS (Bruxelles, Belgique), fabriqué par
CAVAILLÉ-COLL,
pub dans
Musique-Adresses, 1921, p. 148
|
1834 |
Pianos et orgues
Piano
droit 'Clavéal' ca. 1900 ?, Collection Musée des Instruments de Musique,
Bruxelles, Belgique Le 'Clavéal' était le
Luthéal
perfectionné
PARIS -
"Il nous reste à peine assez d’espace pour parler d’une nouvelle
invention, du piano-poïkilorgue, ou plutôt du poikilorgue, ajouté à un piano
de quelque système qu’il soit, sans rien changer à sa forme extérieure. Le
poïkilorgue a une étendue de trois octaves comprises entre le premier fa de
la clé de fa, et le deuxième fa au-dessous de la clé de sol. Son timbre
participe du hautbois et du cor anglais, et, comme sur ces deux iustrumens,
on peut filer les sons du pianissimo au fortissimo, par saut ou d’une
manière continue : on peut donc exprimer ainsi toutes les nuances
d’expression indiquées dans l’art musical. Cette invention, due à M.
Cavaille-Coll père et fils, rue Neuve-St-George, n° 14, sera d’une grande
utilité pour apprendre, dans les leçons de chant, à enfler ou diminuer le
sou, et soutenir en même, temps la voix de l’élève."
Le Charivari, 22/07/1834, p. 1-2
(retronews.fr)
"Pianos
droits neufs : 3 cordes. 82 notes; garantis 3 ans. 500 fr. net. - Pianos
droits d'occasion de 300 à 400 fr. - Rue Neuve Saint-Georges, 14, Paris."
La Presse, 29/12/1846, p. 4 (gallica.bnf.fr)
dans
Annuaire des artistes et de l'enseignement
dramatique et musical, 1898, p. 335
(gallica.bnf.fr)
|
Toulouse
Paris
Caen |
rue des Récollets
(x1834)
à Toulouse
14, rue Neuve-Saint-Georges
(1833)(*1834)(y1846)(arr.9)
14, rue de Laval (1847)
magasin
(arr.3)
14,
rue Notre-Dame De Lorette (xx1839)(arr.9)
42, rue
Notre-Dame De Lorette
(c'est la
changement du nom du rue et n°)(*1842)(arr.9)
66,
rue de La Roche-foucault (1848)(arr.9)
94-96 rue de Vaugirard (*1862)(arr.6)
15,
avenue du Maine (*1893)(xx1894)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)
à Paris
Succursale :
42,
rue de Caumont (*1903)(*1905)
à
Caen
|
|
'Facteur de pianos', mais surtout 'facteur d'orgues'
Aristide CAVAILLE
(?)
Le père venait du
Toulouse, le fils était facteur d'orgues
'Poïkilorgue'
(1834)
1845 -
"CAVAILLE-COL Dominique Hyacinthe, Facteur d'orgues, rue
Pigalle, n° 32. Cité le 14/01/1845, dans un acte sous
seing privé, comportant sociéte entre ledit et
CAVAILLE-COL Vincent Paul et CAVAILLE-COL Aristide, tous
trois facteurs d'orgues, même adresse et Madame Jeanne
AUTARD, épouse de CAVAILLE-COL Dominique Hyacinthe,
autorisée de son mari, se sont associés dans une société
en nom collectif à partir du 15/07/1833, sous la raison
CAVAILLE-COL pour la fabrication et la vente des orgues.
Source : D31u3-121//Pièce 123."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
1849 -
Dissolution de cette société
Est été
l'associé de
Georges
CLOETENS (Bruxelles, Belgique) dans la
Société
ORPHEAL vers 1921.
"Manufacture
de grandes orgues, Mutin Ch., successeur de Cavaillé-Coll, succursale à
Caen, 42, rue de Caumont." (*1903)(*1905), voir
MUTIN
Charles
Repris par
PLEYEL vers 1935
(⁹):
1935 -
"Depuis 1935 toutes les fabrications de Cavaillé-Coll - orgues neuves et
d'occasion accords et relevages - Tuyaux et ventilateurs - harmoniums -
sont assurées exclusivement par PLEYEL, 23-25, Avenue Victor-Emmanuel
III - Paris - 8° - Elysées 95-75 - avec l'ancien personnel et toutes les
archives." selon un Pub (sans date ou d'autres références)
INFO EXTRA
Extrait de la biographie sur
Aristide Cavaillé - Coll, Loïc Métrope
|
Liste des
exposants Paris, 1834 | autres médailles pour ses orgues
|
EULRIOT Étienne
Fac-simile |
1834 |
MÉCANIQUE
Mécanique
Eulriot, 1834
Brevet de 1825 :
'Piano
elliptique' (voyez
brevet),
c’est
EULRIOT, de Paris, qui l’a imaginé en 1825.
DIETZ en fit un
aussi, mais à quatre cordes pour chaque note
Dictionnaire
des instruments de musique,
Jacquot, 1886
-
C'est un instrument qui rappelait,
par la forme, l'ancien
tympanium
(*1826) -
"Après l'inspection passée, sur sa demande, par le Comité con-'
sultatif des Beaux-Arts, de son instrument nommé Piano elliptique,
il fut accordé a Eulriot, en 1825, un brevet d'invention gratuit
pendant dix ans. Eulriot, dans cet instrument, retournait, pour la
forme, vers l'ancien tympanon. Quant à la disposition des cordes,
les plus longues se trouvaient sur le devant, dans une position
parallèle au clavier, et à une égale distance de la caisse, qui
avait la forme elliptique. Chaque marteau, par un mécanisme
particulier, n'attaquait point la corde transversalement comme dans
les pianos carrés, mais longitudinalement, comme dans les pianos à
queue."
Organographie: La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
"Eulriot construit des
pianos ovales d'une disposition intérieure toute particulière, qui
permettait de poser le clavier au milieu de la caisse : parce moyen aucune
place n'était perdue. En 1825, le gouvernement accorda gratuitement un
brevet de dix ans à ce facteur. Il est malheureux que Eulriot n'ait point
obtenu de son invention le fruit qu'il devait en attendre. Sa position
financière vint l'arrêter et l'empêcha d'établir un nombre suffisant de ses
pianos pour les produire avec avantage dans le monde musical."
Revue de Paris, 1839, p. 38
"1 juin 1825. BREVET D'INVENTION DE DIX
ANS, Pour un piano de forme elliptique et à deux tables d'harmonie, Au sieur
Eulriot (Étienne), facteur de pianos, à Paris." Pour le texte complet voyez
'Description des
machines et procédés spécifiés', Volume 30, 1836, p. 144-146, et l'images p. 489
Brevet de 1833 : "Eulriot chercha à activer la promptitude des marteaux au
moyen de six roulettes adaptées au mécanisme de chaque touche; par ce
moyen l'artiste pouvait, disait le facteur, obtenir sur telle touche que
ce fût, la répétition d'une note avec autant de célérité qu'il pouvait
le désirer. La roulette placée à l'extrémité de l'échappement avait le
double avantage de régler l'attaque des marteaux, et par sa mobilité de
ne point creuser la bascule qui règle l'échappement de hauteur."
Organographie: La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
Brevet de 1833 : "M. Eulriot (Etienne), facteur de pianos,
demeurant à Paris, rue des Anglais, n° 8, auquel il a été délivré, le 31
juillet dernier, le certificat de sa demande d'un brevet d'invention et
de perfectionnement de dix ans pour un piano dont la promptitude des
marteaux est activée an moyen de six roulettes adaptées au mécanisme de
chaque touche, et dont la table d'harmonie est allégée et à l'abri de
toutes les variations, au moyen d'une pointe appelée contre-pointe
centrale."
Bulletin
des lois de la République francaise', Volume 8, Volume 9, France, 1834
Brevet
de 1858 : "M.
Eulriot, à Paris; piano. (14 août. — 15 ans.)"
Bulletin, 1858, p. 384
Pour voir le
brevet original voyez le site
INPI
(¹³)
|
Paris |
14, rue des Rosiers, au Marais
(y1825)(*1826)(arr.4)
8, rue des Anglais (A1834)(y1835)(x1836)(arr.5)
rue de
Bagneux (x1837)(arr.6)
16, rue
des Bernardins (y1839)(y1840)(y1841)(arr.5)
30, rue
de Bièvre (1844)(¹⁰)(arr.5)
21, rue de Bièvre (1844)(*1845)(1849)(arr.5) |
|
'Facteur de pianos' et facteur et/ou
marchand d'orgues
(la suite)
Brevet de 1834 : "Brevet d'invention de dix ans en
date du 3i juillet 1834. Au sieur Eulriot (Etienne), à Paris, Pour un piano
perfectionné. Ce que par-dessus tout doit chercher un facteur de pianos,
c'est d'aider, par son instrument, au développement complet de tous Les
moyens de l'artiste exécutant. Jusqu'à présent, nos plus célèbres maîtres se
plaignent de la lenteur des marteaux, qui ne permettent point aux sons de
satisfaire à l'agilité de leurs doigts; ils se trouvent privés ainsi
non-seulement du brillant de leur jeu, mais encore de pouvoir ce qu'ils
pourraient si l'instrument le leur permettait. Puis un piano est d'un prix
assez élevé pour qu'on désire le conserver longtemps, mais jouable, bon et
juste, et sans que quelques années l'appauvrissent au point de le rendre
nul, ce qui ne pouvait être, puisque jusqu'à présent chacun de ces
instruments travaillait à sa propre ruine, et journellement, par l'immense
pesanteur du tirage continuel de la contre-tension de ses cordes. [...]"
Description des
machines et procédés spécifiés dans les brevets d'invention, 1844, p. 374-375
Brevet de 1835
: "32° M. Eulriot (Etiemte), facteur de pianos,
demeurant à Paris, rue des Anglais, n° 8, auquel il a
été délivré, le 31 juillet dernier, le certificat de sa
demande d'un brevet cïinvention et de perfectionnement
de dix ans, pour un piano dont la promptitude des
marteaux est activée au moyen de six roulettes adaptées
au mécanisme de chaque touche, et dont la table
d'harmonie est allégée et à l'abri de toutes les
variations, au moyen d'une pointe appelée contre-pointe
centrale."
Bulletin des lois de la République française, 1835,
p. 244
EULRIOT par MONTAL
"En 1822 M. Eulriot construisit des pianos ovales, pour lesquels le
gouvernement lui accord agratuitement, en 1825, un brevet de dix ans.
Ces pianos, d'une disposition intérieure toute particulière,
permettaient de mettre le clavier au milieu de la caisse sansperdrede
place. Malheureusement la position de cet homme ingénieux ne lui permit
pas d'établir un nombre suffisant de ces instruments, ce qui l'empêcha
de retirer de son invention le fruit qu'il avait droit d'en attendre.
[...] En 1834 M. Eulriot a construit un piano vertical qui avait la forme
d'une grande lyre, et dans lequel il a introduit plusieurs perfectionnements.
La forme de son instrument lui permit de donner une longueur suffisante aux
basses, en les faisant monter verticalement dans la branche gauche de la
lyre. Le sommier prolongé y était remplacé par des verges de fer fixées avec
des vis sur les massifs de la caisse, et qui, par l'autre extrémité,
venaient aboutir près du chevalet, afin de raccourcir les cordes qui étaient
accrochées trois par trois pour chaque unisson à l'extrémité de chacune de
ces verges. Trois pointes placées au chevalet, dont l'une contrariait un peu
la direction des deux autres, permettaient de mettre les cordes tout-à-fait
en ligne droite, afin de diminuer le poids des cordes sur la table et de
détruire le tiraillement que font éprouver à la table les contre-pointes
ordinaires du chevalet, qui tendent toujours à le faire tourner sur lui-même.
Un mécanisme qui échappait par en bas, comme celui de MM. Roller et Blanchet,
y était appliqué, et tous les frottements y étaient diminués et presque
annulés par des roulettes adaptées au point de contaet de toutes les pièces,
lesquelles roulettes facilitaient la marche du mécanisme et la répétition
des notes. Une glace placée derrière l'instrument s'élevait et s'abaissait à
volonté entre les deux branches de la lyre au moyen d'un contre - poids, et
permettait au virtuose de se voir pendant qu'il exécutait, quelle que fût la
place qu'occupât le piano."
L'art
d'accorder soi-même son piano,
C. Montal, 1836
"Eulriot construit des pianos
ovales d'une disposition intérieure toute particulière,
qui permettait de poser le clavier au milieu de la
caisse : par ce moyen aucune place n'était perdue. En
1825, le gouvernement accorda gratuitement un brevet de
dix ans à ce facteur. Il est malheureux que Eulriot
n'ait point obtenu de son invention le fruit qu'il
devait en attendre. Sa position financière vint
l'arrêter et l'empêcha d'établir un nombre suffisant de
ses pianos pour les produire avec avantage dans le monde
musical."
La revue de Paris, Volume 23, 1839, p. 33
|
Liste des
exposants Paris, 1834
|
FARFELIER
|
1834 |
SAINT-QUENTIN
- "Instrumens de musique. - MM. Farfelier et Parvy,
marchands de musique à SaintQuentin, ont exposé des
instrumens de musique provenant de fabriques
parisiennes. Le Jury n'a pas cru devoir les examiner."
Annales agricoles, scientifiques et industrielles du
Département de l'Aisne, 1851, p. 64
SAINT-QUENTIN -
"Farfelier, luthier, id., pianos, orgue, instruments
divers."
Indicateur du concours régional agricole de
Saint-Quentin, 1859, p. 16
|
Saint- Quentin |
33, rue Saint - André
(ca. 1850)
11,
passage du Saumon
(y1859)
6, rue Saint - André (x1876)
12, rue Saint - André
(1885)(xx1890)(*1905)(x1906)(*1913) |
|
'Facteur de pianos'
droits
et harmoniums ca. 1851-1913 [depuis
1834
(x1906)(x1912)]
FARFELIER
(y1851)(y1859)
"Musique ( march. de) :
Farfelier, et luthier, march. d'instruments de musique,
fabrique et répare les pianos, tient magasin
d'instruments en cuivre, cordes, musique nouvelle et
classique, méthodes, solféges, tient magasin de pianos
neufs et d'occasion, vend ou loue au gré des amateurs."
Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la
magistrature ..., 1847, p. 715
FARFELIER-DEVRED
A.
(x1876)(*1885) - Voir
DEVRED A.
"On
demande un accordeur de pianos sérieux, connaissant la réparation. Bonnes
références. S'adresser à M. Farfelier-Devred, facteur de pianos, 12, rue
Saint-André, à Saint-Quentin (Aisne)."
Le
Ménestrel, 12/07/1885, p. 255 (gallica.bnf.fr)
FARFELIER-DEVRED
[B.]
(xx1890)(x1906)(x1912)
'Musikal.-,
Piano- u. Instrumenten-Händler' (xx1890)
'Geigenbauer,
Musikal.-, Piano- u. Instrumenten-Händler'
(x1906)
'Musikal.-, Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Händler'
(x1912)
1917 -
"Des patrouilles
essayaient d'y mettre de l'ordre, mais sans succès. Chez
Farfelier-Devred, rue Saint-André, les pianos étaient
sur le trottoir et des officiers les essayaient et
faisaient leur choix."
Sous la botte : histoire de la ville de Saint-Quentin
pendant l'occupation allemande, 03/1917, p. 290
(gallica.bnf.fr)
|
Liste
des exposants Saint-Quentin, 1851 |
Liste
des exposants Saint-Quentin, 1859
|
Médaille d'or
à l'exposition
industrielle de Saint-Quentin, 1882 | Grand prix Saint-Quentin, 1902
|
ROGEZ
Charlemagne Emmanuel,
l'aîné
| ROGER
(ca. 1796
- 1855)(¹⁰)
|
1834 |
'Breveté du Roi '
Piano
droit clavier basculant ca. 1845, Collection Musée des Instruments de
Musique, Bruxelles ,
Belgique
ROGEZ
sur ce site
Cliquer sur les liens ci-dessus.
1855 -
"Hier, vers six heures du soir, le feu a éclaté dans les
magasins d'une fabrique de pianos de la rue Jacob. Grâce
à la rapidité avec laquelle les sapeurs-pompiers du
poste de la rue des Augustins ont organisé les secours,
l'incendie, qui avait été occasionné par la mauvaise
construction d'une conduite de cheminée, a été
promptement éteint. Il n'a causé que peu de dommages."
La Presse, 08/02/1855, p. 3 (gallica.bnf.fr)
|
Paris |
25,
rue Saint Jacques de la Boucherie (1827)(¹⁰)(arr.4)
32, rue de Sèvres (?)(arr.6)
32, rue de Seine-Saint-Germain (1834)(z1835)(x1836)(*1836)(**1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(**1843)(x1843)(**1844)(**1845)(**1846)(arr.6)
3, rue de Seine
(xx1840)(arr.6)
31, rue Jacob (**1847)(x1847)(*1848)(**1848)(x1849)(arr.6)
33, rue Jacob
(*1850)(*1851)(yy1851)(**1852)(1854)(¹⁰)(**1854)(vv1855)(z1855)(x1856)(**1857)(xx1857)(xx1858)(arr.6)
ateliers : 23, rue Mazarine
(x1843)(xx1844)(x1849)(*1850)(*1851)(**1852)(**1854)(z1855)(xx1856)(xx1857)(arr.6)
32, rue de Seine (xx1854)(arr.6) |
|
'Facteur de pianos' ca. 1827-58
Un des premiers pianos avec clavier basculant (voyez la 2ème et 3ème photo à
gauche) "ROYER Charlemagne
Emmanuel, Facteur de pianos, rue Saint Jacques de la
Boucherie, n° 25. Cité comme témoin, lors du mariage
entre VALIN et ROBERT, le 08/09/1827, paroisse Saint
Vincent de Paul. Source :D6j/1759."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
» Sa première épouse
LAGOUTTE
Clara Margueritte
(ca. 1804 - 1852), 'fabricante de pianos' meurt en
23/10/1852. (¹⁰) Les pianos transatlantiques de ROGEZ
me semble très comparable avec les pianos transatlantiques de
VAN GILS.
Mais il semble qu'il y a plus des accords entre les deux. Leurs adresses
ne sont pas très éloignés.
Et ils ont tous les deux inventé presque vers le même temps,
l'utilisation de caoutchouc pour quelques parties de piano. On découvert
aussi dans le style du meuble du piano il y a des accords. Il y avait
plus tard aussi un certain
KRICK
qui a 'inventé' presque la même chose. "ROGEZ Charlemagne Emmanuel breveté en 1838 pour un clavier à bascule se
relevant comme le tablier d’un secrétaire, dont A. BLONDEL
a continué la fabrication."
Les
facteurs d'instruments de musique: les luthiers et la facture instrumentale
: précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893
ROGEZ
Aîné (**1848)(*1850)(*1851)(**1852)(vv1855)
Deuxième mariage en 1854 avec
PORCHER Elvire Stéphanie Zénaïde
(ca. 1814 - 1856)(¹⁰).
La future demeure à Avesnes (Nord) (¹⁰). -
1854 - "Publications de Mariages. [...] M. Rogez, facteur de
pianos, rue Jacob, 33, et Mlle Porcher, à Vazammes
(Nord)."
La Presse, 12/10/1854, p. 3 (gallica.bnf.fr) Mais elle
meurt déjà en 31/10/1856.
ROGEZ
Aîné Vve. (xx1857)
Repris par
DEMONCHY
dès 1858.
VOIR AUSSI ...
ROGEZ Jeune
(vers 1854-55).
... et un autre
ROGEZ
à Paris, mais plus tard.
|
Liste des
exposants Paris, 1834 | Liste
des exposants Valenciennes, 1835 | Mention honorable
Paris,
1839 | Liste des exposants Paris, 1840
|
Liste des
exposants Valenciennes, 1841
|
Mention honorable Paris, 1844 | Mention honorable
Paris, 1849
|
THIBOUT Aimé Justin,
l'aîné
|
1834 |
"AIMÉ
THIBOUT, rue Lepelletier, 9. - PIANOS A 700 3 cordes 6 octaves 3/4 garantis
2 années. Vendus au comptant ou payable en deux années à volonté, avec
remboursement et en désire, de la somme versée, moins une location ordinaire
ou (?) venu d'avance." Pub
La
France Musicale, 1844 (gallica.bnf.fr)
"Connaissez-vous
M. Aimé Thiboult ? C'est un novateur dans la spécialité de La location et de
la vente des pianos. Ce facteur veut transformer Paris en une vaste
pianopole, et il fournit à ses souscripteurs des instrumens pour presque
RIEN. POUR RIEN est à l'ordre du jour; puis, selon l'usage de la plupart des
fabricans de pianos, il offre en sus à ses souscripteurs, et à titre
déprime, des soirées pour rien. Et quelles soirées ! On ne reçoit pas mieux
chez nos ministres : délicieux programme musical, programme dansant et
programme réparateur à l'usage des gourmets; déplus, une société choisie et
nos artistes les plus en renom. Certes, c'est là un brillant début. Aussi
cinq cents personnes se sont-elles fait inscrire pour la prochaine soirée.
On y exécutera du Félicien David."
Le
Ménestrel, 05/01/1845, p. 3 (gallica.bnf.fr)
|
Paris |
9,
rue Le Pelletier (LFM1844)(arr.9)
8, rue Rameau
(**1845)(arr.2)
12, rue Favart (x1847)(x1849)(arr.2)
19, rue Favart
(1847)(1848)(1849)(arr.2)
Fabrique : 54, rue Lamartine (*1850)(*1851)(arr.9)
18,
rue Favart
au coin de boulevart
des Italiens
(*1850)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(vv1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(x1863)(arr.2)
Ateliers :
21, rue Neuve
Coquenard (xx1856)(xx1857)(arr.9)
Ateliers : 19, rue Fidélité
(xx1858)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(arr.10)
Ateliers : 7
[?], rue Fidélité (*1859)(arr.10)
6, rue Rameau
(**1864)(arr.2) |
|
'Facteur
de pianos' droits ca. 1834-63
THIBOUT
Aimé (LFM1844)(1855)
1847 -
"STEIN Jean Joseph, Facteur d'orgues,
rue de la Barillerie, n° 4. Cité le 13/04/1847, dans un acte notarié
comportant société entre ledit société créée le 04/09/1846, en commandite
par actions, sous la raison STEIN et Compagnie pour la fabrication des orgues
expressifs STEIN, comprenant les 18 actionnaires dot Monsieur THIBAUT,
facteur de pianos, rue Favart, n° 12, possède deux actions, lui, en nom
collectif et le reste en commandite (400 actions de 500 francs chacune).
Source : D31u3."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
» - Voir
STEIN Jean Joseph
1850 -
"THIBOUT Aimé Justin, Facteur
de pianos, à Paris, rue Favart, n° 18. Cité le 19/09/1850, comme témoin (et
parent?) lors de la succession de PHILIPPE Jean François Louis, décédé le
21/03/1850. Source : DQ7/3786/Acte n° 732."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
Repris par
DARDELLE E. (**1864)
Repris par
Alfred
GODARD.
Repris par
ISELY Henri (avant
1884)
(la suite)
"[...] dans les salons de M. et Mme Aimé Thibout. On sait que les
facteurs de pianos ont le privilège des grands et beaux appartemens. Sous ce
rapport comme sous celui, du reste, de l'excellente facture de ses pianos
droits, M. Aimé Thibout ne le cède eu rien à nos premières maisons de la
spécialité; aussi réunit-il chaque année une assemblée aussi nombreuse que
brillante dans ses salons de la rue Favart."
Le
Ménestrel, 21/02/1847, p. NP (gallica.bnf.fr)
"L'un
de nos facteurs de pianos droits en réputation, M. Aimé Thibout, 12, rue
Favart, vient d'être nomme facteur du roi. Les nombreuses améliorations
apportées chaque jour par M. Aimé Thibout à la fabrication de ses pianos
justifient complètement le titre dont il vient d'être honoré. C'est une
faveur bien placée."
Le
Ménestrel, 27/11/1847, p. 4 (gallica.bnf.fr)
"A vendre ou à
louer, chez Aimé Thibout, facteur de pianos, 12, rue Favart, PIANOS neufs et
d'occasion, garantis et bon marché."
Le
ménestrel, 10/12/1848, p. 3 (gallica.bnf.fr)
"On demande un accordeur de pianos pour aller en province; appointements
fixes. S'adresser rue Favart, 18 chez M. Aimé Thibout, facteur de pianos."
Le
Ménestrel, 11/09/1853, p. 4 (gallica.bnf.fr) |
Liste des exposants Paris, 1849 | Médaille de la 1ère classe Paris, 1855
|
WÖLFEL Jean Guillaume Charles
François
| WOLFEL
| WOELFEL
(1804 - ?)
|
1835 |
WÖLFEL
sur ce site
Brevet de 1840 : "163°
Le sieur Wolfel (Jean-Guilaume-Charles-Francois),
facteur de pianos du Roi, demeurant à Paris, rue des
Martyrs, n° 26, auquel a été délivré, le 6 mars dernier,
le certificat de sa demande d'un brevet d'addition et de
perfectionnement à son brevet d'invention de quinze ans,
en date du 9 octobre 1840, pour des perfectionnements
dans la fabrication des pianos."
Bulletin des lois de la République française, 07/1844,
p. 401 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1843 :
"perfectionnements dans la fabrication des pianos." (¹³)
Brevet de 1844 :
"(16102).
Perfectionnements dans la fabrication des pianos. B.
d'add. et de perf., délivré le 6 mars 1844 à Wolfel,
facteur de pianos du roi, rue des Martyrs, n. 26, à
Paris. (B. du 9 octobre 1840.)"
Catalogue des brevets d'invention, 01/01/1844, p.
123 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1845 : Wolfel apporta de nouveaux
perfectionnements à la construction du piano, et
construisit un piano à queue avec clavier en forme d'arc
de cercle, permettant ainsi aux plus petits bras
d'atteindre les deux extrémités du clavier. Le même
facteur fit une innovation dans les pianos verticaux; il
monta les dessus de quatre cordes, de trois employées
ordinairement. (B. F., n° 16,102.)"
Organographie : La facture instrumentale depuis 1789
jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le
Doulcet Pontécoulant, 1861
Brevet de 1845 : "Wolfel. Cet habile facteur
perfectionne le mécanisme répétiteur et la cheville
mécanique à vis destinée au tirage des cordes, donnant
la faculté de passer du fortissimo au pianissimo, avec
certitude et sans variation dans le toucher du clavier
et de répéter rapidement la note sans être obligé de
remonter entièrement la touche. (B. F., 3,592)"
Organographie: La facture instrumentale depuis 1789
jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le
Doulcet Pontécoulant, 1861
Brevet
de 1846 : "294° Le brevet d'invention de quinze ans,
dont la demande a été déposée, 19 mai 1846, au
secrétariat de la préfecture du département de la Seine
par le sieur Wolfel (Jean-Guillaume Charles-François)
pour des perfectionnements dans la construction des
pianos."
Bulletin des lois de la République française, 07/1846,
p. 1118 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1859 : "41670. B. de 15 ans, 18 juillet;
Wolfel, représenté par Ricordeau, Paris, boulevard de
Strasbourg, 23. Perfectionnements dans la construction
des pianos."
Catalogue des brevets d'invention, France. Ministère de
l'agriculture, 1860, p. 191
Pour voir le brevet original
voyez le site
INPI
(¹³)
INFO EXTRA
Application à l'accord de l'orgue et des
autres instruments, par Vincent, 1849, dans 'Annales
de chimie et de physique', p. 41-73-83-89-95
|
Paris |
25, rue de
l'Université
(x1839)(zz1839)(x1840)(z1840)(xx1841)(*1842)(**1843)(**1844)(x1843)(xx1844)(**1845)(arr.7)
Ateliers : 26, rue des
Martyrs
(*1838)(x1839)(xx1839)(xx1840)(z1840)(xx1841)(xxx1841)(*1842)(zz1842)(**1843)(x1843)(zz1843)(xx1844)(zz1844)(*1845)(zz1845)(**1846)(x1847)(zz1847)(*1848)(zz1848)(x1849)(*1851)(yy1851)(z1851)(**1852)(***1854)(***1855)(vv1855)(xx1856)(xx1857)(z1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(*1862)(***1863)(**1864)(arr.9)
Magasin de pianos :
25, Angoulème Champs- Elysées (zz1843)(arr.8)
Magasin : 27, rue
des Martyrs
(**1844)(xx1844)(**1845)(zz1845)(**1846)(**1847)(zz1847)(*1848)(zz1848)(x1849)(*1850)(z1851)(***1854)(***1855)(z1855)(xx1856)(**1857)(xx1857)(z1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(**1864)(*1865)(arr.9) |
dix-huit à
vingt ouvriers en 1839
|
'Facteur de
pianos'
WÖLFEL
& Cie
(x1839)(z1840)
WÖLFEL
& LAURENT
(***1839)(zz1839)(xx1841)(*1842)(zz1842)(**1844)(**1846)
1846 -
"WOLFEL François, Facteur de pianos, rue des
Martyrs, n° 26. Cité le 26/12/1846, dans un acte sous seing privé comportant
dissolution entre ledit et LAURENT François Adolphe, professeur de pianos,
au Conservateur royal de Musique demeurant rue Hauteville, n° 35, lesquels
étaient associés dans une société contractée en noms collectifs le
19/12/1846, dans une société pour la fabrication et la vente de pianos dont
le siège est à la première adresse et qui a commencé le 15/03/1839, laquelle
est dissoute le 01/12/1846. Source : D31u3-138/Pièce 2292."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
WÖLFEL
& Cie
(x1839)(x1840)(1847)
1850 - "BB/11/605, Dossier
n°4016 X5 - WOLFEL, Jean Guillaume Charles François. Né(e) le 26 avril 1804
à Sonderhausen (Allemagne). Qualité : facteur de pianos. Objet :
naturalisation. Ouverture du dossier : 24 avril 1850."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
WÖLFEL
Jean-Guillaume-Charles-François (1849)(xx1861)
WÖLFEL
(**1864)
Tout
son matériel a été acheté après sa suspension par
PAPE Fils
(°1851).
BIO
WOLFEL
Jean Guillaume Charles François est né à Sonderhausen,
Allemagne, en 26/04/1804. Demandait sa naturalisation en
1850. (¹²)
"Ce fut
aussi un habile et un modeste que WÖLFEL; sa maison ne
datait que deux ans à peine, qu’il obtenait en 1839, une
médaille d’argent pour la bonne exécution d’un piano
carré classé le troisième, mais ce facteur ne se borna
pas à être un constructeur parfait, il voulut être
novateur et il y réussit. De 1840 à 53, il fit subir des
modifications, trop longues à énumérer ici, à toutes les
parties du piano. C’est à lui qu’appartient l’idée de
construire le clavier en forme d’arc de cercle pour
permettre aux petits bras d’en atteindre facilement les
extrémités et de monter les dessus, de quatre cordes au
lieu de trois. Mais ce qui est plus important, c’est son
mécanisme répétiteur et sa cheville mécanique à vis,
donnant la faculté de passer du forte au piano sans
variation dans la touche (1846), d’une merveilleuse
précision, mais d’un prix trop élevé pour en faciliter
l’adoption.
LAURENT, professeur de piano au Conservatoire, fut un
moment l’associé de WÖLFEL (1939). " Pierre Constant
1893
"WOLFEL fonda sa maison vers 1837 fit
subir de nombreuses modifications à différentes parties du piano. C'est lui
le premier qui exécuta des claviers en forme d'arc de cercle, et c'est, je
crois, cette même invention qu'esploitait encore en 1914 la maison ZEITTER
et WINKEKMANN [sic] de Braunschweig (Allemagne). Il inventa aussi (en 1846) un
mécanisme répétiteur et sa cheville mécanique à vit, permettant de passer du
forte au piano sans variation dans la touche, mécanisme parfait comme
précision, mais malheureusement d'un prix trop élevé pour qu'on en
généralisât l'emploi. LAURENT, professeur de piano au conservatoire, fut
quelque temps l'associé de WOLFEL."
Encyclopédie de la musique et dictionnaire du conservatoire, 1927, p.
2078 (gallica.bnf.fr)
SONOMÈTRE
"[...] M. Wolfel, applique dans ses
ateliers le procédé de Scheibler à l'accord de ses instruments, nous nous
sommes empressé d'accompagner M. Vincent dans une visite aussi intéressante.
M. Wolfel a bien voulu satisfaire notre juste curiosité, et nous montrer
comment, sans autre secours que les écrits insuffisants de Scheibler, et
n'ayant pu, à aucun prix, se procurera Crefeld les appareils nécessaires, il
était parvenu lui-même, après deux ans de travail, à construire et ajuster
le sonomètre complet qui devait lui fournir les autres éléments.
Cette rencontre de M. Wolfel a fait concevoir à M. Vincent l'espérance que
si quelque artiste acousticien, intelligent et habile se mettait à fabriquer
pour le public et à ajuster ces appareils délicats, on verrait bientôt
s'établir et se propager, comme chez M. Wolfel, une méthode si avantageuse
pour l'accord des instruments.
En effet, cette méthode est d'une exactitude inconnue jusqu'ici ; elle se
prête à tous les diapasons quelconques, à tous les systèmes de tempérament;
enfin, elle n'exige aucune justesse d'oreille, car il suffit que l'oreille
entende et compte des battements fort sensibles, et que l'oeil en même temps
suive et compte les mouvements du balancier métronome, sans qu'il faille
s'occuper de comparer entr'eux les sons qu'il s'agit d'accorder, ni même y
faire la moindre attention."
Mémoires de la Société des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille,
1856,
p. 51+101 (gallica.bnf.fr) Voir
CAVAILLÉ-COLL (°1834), sur cette page, et
VINCENT
TONOMÈTRE
"Un des plus habiles facteurs de pianos de la
capitale, M. Wölfel, connu dans le monde artistique par la perfection de
ses produits, a eu le mérite et la patience, il faut bien le
reconnaître, de reproduire les expériences de Scheibler et de se créer
un tonomètre semblable à celui de l'auteur. M. Wôlfel, qui n'ayait-point
vu opérer. Scheibler et qui ne connaissait ses travaux que par une
brochure, est, arrivé à se faire un tonométre, ne dh'ons pas avec plus
de précision que Scheibler, car cela est impossible, mais avec une
justesse aussi parfaite, tout eu y consacrant beaucoup moins de temps
que l'auteur. Toutefois la construction de cet appareil a exigé de sa
part environ deux années de travaux. M. Wolfel est peut-être le seul en
France qui possède un tonomètre sembable, et nous craiguons bien que
celui de Scheibler ne soit unique en Allemagne. [...] [...]"
L'Ami de la religion et du Roi : journal ecclésiastique, politique et
littéraire, 1859, p. 307-308 (gallica.bnf.fr)
|
Nouvelle
Médaille d'argent Paris, 1839 |
Médaille d'or, Paris, 1844
|
Rappel de médaille d'or, Paris,
1849
|
Médaille d'or Paris, 1855
|
Médaille à Londres, 1862
|
1835 |
|
On peut lire dans
'Nouvelles leçons de littérature française', 1835, p.
446
. |
|
|
|
... qu'il y avait 320 facteurs de
pianos à Paris et 130 dans les
départements. Quelques-uns avaient 80 ouvriers |
|
BUSSON
Jean
(ca. 1796 - 1858)(¹⁰)
&
BUSSON
Constant
&
BUSSON
George
|
1835 |
Pianos droits et des pianos carrés
PARIS - "M. Busson, à Paris, rue Mandar, 3. - Ce fabricant à exposé un piano carré à
deux cordes et à frapper en dessus. Il occupe habituellement dix
ouvriers et confectionne trente pianos par an. Le piano qu'il a exposé,
et qui a mérité d'être placé au second rang, est une imitation fidèle
des pianos de M. Côte, chez qui cet artiste a travaillé pendant
plusieurs années. Le jury accorde à M. Busson une médaille de bronze pour
le rang honorable que son piano a obtenu au concours."
Rapport du Jury
Central, Exposition, des produits de l'Industrie Française en 1839, M. Savart, rapporteur, 1839
PARIS - "M. BUSSON, à Paris, rue Montmartre, 84. - M. Busson a exposé un piano carré
à frapper par dessus, et un piano droit.
Trente pianos sortent chaque année de ses ateliers.
M. Busson a obtenu une médaille de bronze en 1839; le jury lui accorde
le rappel de cette récompense."
Rapport
du Jury central, Paris Jury central, Imprimerie de Fain
et Thunot, 1844
PARIS -
"1036. Busson (Jean), facteur de pianos, rue Montmartre,
84, à Paris. Ce facteur, qui, à l'exposition de 1839,
obtint une médaille dé bronze, expose deux pianos, dont
l'un est droit et l'autre carré."
Catalogue explicatif et raisonné des produits admis à
l'exposition quinquennale de 1844, p. 39 (gallica.bnf.fr)
PARIS - "M. Busson est en France le propagateur
de l'accordéon, qu'il a cherché à développer de toutes les façons; ainsi
il a créé à cet effet les accordéons-flutinas, il leur a donné des
tremblants perfectionnés, puis des accordéons-orgues à simple et double
jeu, munis de registres. Il faut vraiment que le débit de l'accordéon
soit bien considérable pour suffire à donner de l'ouvrage à ces milliers
d'ouvriers que soutient cette industrie. Busson est un ouvrier fort
habile qui fait bien, et même jouit d'une certaine renommée dans cette
spécialité de la facture. M. Busson imagina, en 1851, un instrument à
double jeu qu'il nomma flutina-polka.
En 1852, il apporta des
perfectionnements à cet instrument en en mobilisant le dessus. A
l'exposition de Paris, en 1839, une Médaille De Bronze fut attribuée à
M. Busson. En 1844, même récompense pour bonne fabrication. A
l'exposition Parisienne de 1855, M. Busson reçut une Mention Honorable.
Le jury lui a accordé également en 1867 une Mention Honorable."
La musique à
l'Exposition universelle de 1867, Pontécoulant, 1867, p. 1701
Brevet de 1862 : "191° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande
a été déposée, le 13 mai 1862 au secrétariat de la préfecture du département
de la Seine, par le sieur Busson (Constant), représenté par le sieur Ansart,
a Paris, boulevart Saint Martin, n° 33, pour des perfectionnements aux
instruments de musique Portatifs à pédales, avec réservoir d'air et clavier
de pianos."
Bulletin
des lois de la République française, 01/1864, p. 151 (gallica.bnf.fr)
|
Paris |
3, rue Mandar
(zz1839)(x1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(arr.2)
147,
rue Saint Martin (1842) (¹⁰)(arr.3)
84, rue Montmartre (*1842)(**1843)(x1843)(**1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(arr.2)
63,
rue du Temple
(1842(1843)(¹⁰)(arr.3)
10, rue
Pagevin (yy1851)(maintenant rue Jean Jacques Rousseau)
20, rue Cadet (vv1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(arr.9)
17, rue des Francs-Bourgeois (1855)(arr.4)
167, Boulevard du Prince Eugène (1867)
166, Boulevard Voltaire (1878)(1883)(1889)(x1890)(arr.11)
24, passage Jouffroy
(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(arr.9)
17, rue de France (1892) |
10 ouvriers (1839)
30
pianos par année vers 1839
|
'Facteur
de pianos' ca. 1839-92
Selon PIERCE il avait fondée sa maison en 1825. Il a été
l'élève de
CÔTÉ
(°1820)
1842 -
"CHARLOT
Jean Etienne Thérèze, Courtier en marchandises, rue
Pastourelle, n° 6. Cité le 18/12/1842 dansun acte sous
seing privé comportant société entre ledit et BUISSON
Constant, fabricant d'accordéons, rue du Temple, n° 63
lesquels se sont associés en nom collectif sous la
raison CHARLOT et Compagnie pour la fabrication et la
vente de cartonnages mécaniques et d'ébénisterie adaptés
auxdits cartonnages, dont le siège est rue Saint Martin,
n° 147 et qui commencera le 01/01/1843. Source :
D31u3-107/Pièce 1740."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
- voir
CHARLOT
1843 -
"BUSSON Constant,
Fabricant d'accordéons, rue du Temple, n° 63. Cité le
03/08/1843, dans un acte sous seing privé comportant
dissolution entre ledit et CHARLOT Jean Etienne Thérèse,
négociant, rue Pastourelle, n° 6, laquelle société réée
le 01/01/1843, sous la raison CHARLOT et Compagnie, pour
le cartonnage mécanique et ébénisterie est disoute à
compter de ce jour. Source : D31u3-112/Pièce 1253."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
BUSSON Jean
(**1844), époux de GIGNEUX Catherine (¹⁰)
1844 -
"BUSSON Constantin,
Fabricant d'accordéons et de cartonnages mécaniques, rue
Saint Martin, n° 120. Cité le 19/11/1844, dans un acte
sous seing privé, comportant société entre ledit et
MARTIN Hector, propriétaire, rue Quincampoix, n° 48,
lesquels se sont associés dans une société en
commandite, pour une fabrique d'accessoires et de
cartonnages mécaniques à partir du 01/11/1844. Source :
D31u3-120/Pièce 1698."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
BUSSON Constant
(*1855)(1862)(1864)(1878)(1889)(x1890). Ce n'est pas claire à quelle manière ce Constant
est de famille ?
BUSSON
Georges Fils
(1880) 'Facteur de pianos'
BUSSON
Père et Fils, George BUSSON Successeur (**1881)(**1883)
Georges
BUSSON, successeur
(**1880)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)
"Busson,
fact. de pianos, méd. décernée par le Roi, à l'expositon de 1839, rue Mandar,
3."
Almanach
des commerçants de Paris, Année 12, 1840 (gallica.bnf.fr)
et (***1841)
"Busson,
r. Mandar, 3 ; M. 1839. Ce fabricant à exposé un piano carré à deux cordés
et à frapper en dessus. Il occupe habituellement dix ouvriers et
confectionne trente pianos par an. Le piano qu'il a exposé, et qui a mérité
d'elle place au second rang, est une imitation fidèle des pianos de M. Côte,
chez qùi cet artiste a travaillé pendant plusieurs années. Le jury accorde à
M. Busson une médaille de bronze pour le rang honorable que son piano a
obtenu au Concours. » Rapp. du jury C."
Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la
magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de
Paris, des départements et des pays étrangers, 1841, p. 498 (gallica.bnf.fr)
" BUSSON
PÈRE ET FILS, dépôt général d'instruments de musique,
pianos, petites orgues portatives à tuyaux pour églises
et salons ; harmoniums pour salons et chapelles;
harmoniums harmoniflûtes-orchestre se repliant sur
eux-mêmes ; PIANO-BIJOU pour étude, 450 fr. en noyer
américain, a un accord sérieux, convenant aux pensions,
maisons meublées et couvents, 500 fr. en ébène et 525 en
palissandre ; harmoniums à cylindre; harmoniums de
chapelles à cylindre; harmoniflutes à cylindre;
mélodista, instrument portatif à manivelle pour la
danse, harmoniflûte annexe pour piano, 24, passage
Jouffroy."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la
magistrature et de l'administration, 1881, p. 1522
(gallica.bnf.fr)-
et
une double page p. 280-281 |
Médaille de bronze
Paris, 1839 | Médaille bronze Paris,
1844 | Mention honorable Paris, 1855 | Liste des exposants Londres, 1862 | Mention
honorable Paris, 1867 | Médaille de bronze Paris, 1878 | Médaille d'argent
Paris, 1889
|
ESLANGER Louis-Bastien
Bonaventure
(? - 1861)(¹⁰)
|
1835 |
Pianos droits, pianinos, pianos à
queue et des pianos carrés
" Eslanger,
pianos carrés» droits, et pianos à 2 et 3 cordes, 6 et 6 octaves et demie,
anciennement passage du Cheval-Blanc, rue Montorgueil, 8."
Agenda musical : contenant les noms et demeures de tous les artistes et
commerçans en musique, 1837, p. 122 (gallica.bnf.fr) |
Paris |
16, Passage du Cheval
Blanc, faubourg Saint-Denis (x1836)
8, rue
Montorgueil
(x1836)(x1837)(*1838)(x1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(**1843)(x1843)(**1844)(arr.8)
8, rue Mauconseil (**1845)(arr.1)
19, rue J.-J.-Rousseau
(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(vv1855)(z1855)(xx1856)(xx1857)(arr.1)
3,
rue Rambuteau (xx1858)(arr.3)
15, rue des Martyrs (?)(arr.9)
19, rue
du Petit Lion Saint Sauveur (1861)(¹⁰)(arr.2) |
8 ouvriers, 20 à 25 pianos par an
en 1839
|
'Facteur de pianos'
1861 -
"ESLANGER Louis Bonaventure, facteur de pianos, rue du
Petit Lion Saint Sauveur, n° 19, 3e étage. Cité en
complément de notre fichier 1U (les décès) et le
10/03/1861, lors de la déclaration de décès à l'hôpital
de la Salpêtrière, corps repris le 11. Il est âgé de 59
ans et 8 mois. Source : AP/VD62E1-1/LEBRUN Georges
Claude."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
Repris par
L. EDEL.
PARIS -
"M. Eslanger, rue Montorgueil, 8. - Un piano carré, un pianino placé
en troisième ligne au concours. Cet artiste confectionne vingt à
vingt-cinq pianos par an; il occupe huit
ouvriers. Le jury décerne une mention honorable à M. Eslanger."
Rapport du Jury
Central, Exposition, des produits de l'Industrie Française en 1839, M. Savart, rapporteur, 1839
PARIS -
"M. ESLANGER, à Paris, rue
Montorgueil, 8, - A exposé un piano à queue, un piano carré à trois cordes,
un piano droit à cordes obliques et un piano droit à cordes verticales. Son
piano carré a été placé an septième rang dans le concours. Les instruments
présentés par M. Eslanger sont d'une bonne construction. Le jury décerne une
médaille de bronze à cet artiste."
Rapport
du Jury central, Paris Jury central, Imprimerie de Fain
et Thunot, 1844, p. 543
PARIS -
"M. Louis-Bastien ESLANGER, rue J.-J.-Rousseau, n° 19, à Paris. M. Eslanger est un de nos facteurs les plus consciencieux; il fabrique
des pianos des différents genres, qui se dislinguent par une excellente
exécution. La facilité des claviers de ses pianos à cordes obliques est
remarquable. Son piano droit à cordes verticales a été classé au troisième
rang pour la bonne qualité des sons. M. Eslanger avait mérité la médaille de
bronze en 1844; le jury le croit digne d'une récompense plus élevée, et lui
décerne la médaille d'argent."
Rapport
du Jury Central sur les Produits de l'Agriculture et de
l'Industrie ..., France Jury Central
sur les Produits de l'Agriculture et de l'Industrie, 1849
|
Mention
honorable Paris, 1839 | Médaille de bronze Paris, 1844 |
Médaille d'argent Paris, 1849
|
FOURNEAUX
Napoléon |
1835 |
Brevet de 1860 : "810° Le brevet a invention de quinze
ans, dont la demande a été déposée, le
17 avril 1860, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine,
par les sieurs Fourneaux (Jean-Louis-Nestor) et Stein (Pierre-Emile), fabricants d'harmonium et de pianos, à Paris, rue de Chabrol,
n." 54, pour
perfectionnements d' innovations mécaniques dans la construction des orgues
expressives et pianos en général, ainsi qu'aux appareils propres à en
faciliter le jeu et a les accorder."
Bulletin des lois de la République francaise,
1862, p. 896 Voyez
STEIN
Un des premiers
exemples d'un pianola fut 'le pianista'
développé par Henri Fourneaux en 1863 = Brevet de 1863 : pour un
mécanisme destiné à l'exécution automatique de toute musique sur le
piano dit 'pianista-pneumatique'
Dictionnaire
des instruments de musique, Jacquot, 1886
Brevet de 1885 : "Fourneaux, 12 décembre 1884, brevet 155,051. (Nouveau
piano dit piano-exécutant.)"
Bulletin
des lois de la République française, 07/1885, p. 1264 (gallica.bnf.fr)
"Le piano Listz, de MM. Alexandre père et fils, est tout simplement
et tout magnifiquement un grand piano à queue d'Érard accouplé à un bel
harmonium d'Alexandre. Un musicien inspiré trouve dans le piano Listz, dont
Listz joue admirablement, tous les éléments nécessaires à la manifestation
de son génie. Le piano-orgue de M. Fourneaux est une combinaison du même
genre et qui va nous servir de transition toute naturelle au chapitre
suivant, consacré à l'historique et au progrès de l'orgue expressif ou, si
vous aimez mieux, de l'harmonium."
La musique,
les musiciens et les instruments de musique chez les différents peuples du
monde, Oscar Comettant, 1869, p. 694 (gallica.bnf.fr)
|
Paris |
6, rue du Petit-Reposoir (1839)(arr.16)
61, Galerie Vivienne
(x1840)(xxx1841)(arr.2)
1,
passage des Petits Pères (x1843)(xx1844)(arr.2)
64-70, Galerie
[passage] Vivienne (**1844)(**1846)(x1847)(arr.2)
31, Avenue Saint-Cloud, Passy
(1855)(*1859)(xx1860)(arr.16)
51, rue de Chabrol (***1863)(arr.10)
54, rue de Chabrol
(*1859)(xx1860)(1861)(*1862)(**1864)(yy1864)(*1867)(**1870)(**1871)(arr.10)
17, rue d'Eglise
(**1864)(**1870)(**1871)(arr.15)
103, boulevard St-Michel
(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(arr.5)
89,
boulevard St-Michel
(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(arr.5)
|
|
Facteur et/ou marchand de pianos,
orgues, harmoniums, pianos-orgues et accordéons, violons
et guitares
FOURNEAUX Veuve
(1851)
FOURNEAUX Jean Louis
Nestor (1855)(1866), fils
FOURNEAUX
Fils
(*1859)(xx1860)(xx1861)(**1864)
(Archivesnationales,
p. 24)
FOURNEAUX Henri
(1863)
FOURNEAUX & STEIN Pierre Emile
(*1862)
FOURNEAUX
Fils
(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)
FOURNEAUX
N. Fils
(**1877)(**1878)(**1880)(**1881)
PARIS -
Orgue
expressive de furneaux sur l'exposition de 1839 à Paris (gallica.bnf.fr)
"Fourneaux
fils (l'ingénieur), pianos ordinaires perfectionnés,
pianos-orgues, etc., Chabrol, 54, manufacture, avenue
St. Cloud, 31. Maison fondée en 1835." Annuaire
et almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et
de l ..., 1859
|
Médailles pour les
pianos/orgues :
Liste des exposants Paris, 1839
|
Médaille
de bronze Paris, 1844 | Médaille de deuxième classe Paris, 1855 | Médaille de
bronze Paris, 1867
|
GILSON
|
1835 |
TITRE
"Fournisseur breveté
de S. M. la Reine d'Hollande"
"Fournisseur de S.M. le Schah de Perse"
Piano
droit ca. ??, Collection de Kawai
GILSON
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|
Paris
Vincennes
Bruxelles (Belgique) |
23, rue
Joubert (yy1851)(**1852)(**1854)(vv1855)(z1855)(*1856)(xx1856)(**1857)(xx1857)(xx1858)(arr.9)
1,
rue La Boétie (?)(arr.8)
63, rue Taitbout (*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(arr.9)
43 [45?],
rue de la Chaussée d'Antin
(*1867)(arr.9)
41, rue de la Chaussé d'Antin
(**1870)(**1871)(1872)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(xx1877)(*1878)(arr.9)
4, rue Abbatucci (xx1878)(arr.8)
5, rue Abbatucci,
ci-devant chaussée d'Antin 41
(**1878)(**1879)(arr.8)
5, rue la Boétie
(**1880)(x1880)(**1881)(y1881)(1882)(**1883)(1884)(**1888)(arr.8)
à Paris
3, rue Saint-Louis
(xx1877)(x1880)
32, rue des Carrières (1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)
à
Vincennes
173, rue du Midi
(xx1877)
à Bruxelles, Belgique |
45-50 ouvriers en 1877
300 pianos par année
en 1877 |
'Facteur de pianos'
droits ca. 1851-97
GILSON J. B.
(1855)(1873)(*1878)
GILSON E.
(*1867)
Emile
BOTER, successeur de
son oncle dès 1882
:
1882 -
"Vendeur : Gilson - Acquéreur : Boter - Domicile élu pour les
oppositions : R. saulpic, 8, Vincennes, Chassagnon - Entrée en
jouissance : 3 août 85 - Fonds vendu : Fab. de pianos, rue La Boétie, 5"
Archives commerciales de la France, 06/08/1882, p. 1064 (gallica.bnf.fr)
1884 -
Déclaration de faillite en 1884 : "Paris. — GILSON, fab. de pianos, r. la
Boétie, 5. —J.-c. : M. Chouët. — S. : M. Lissoty."
Archives commerciales de la France, 08/05/1884, p. 620 (gallica.bnf.fr)
1884 -
"Rapports de faillite -
Gilson. — Fab. de pianos. — 26 déc. 1884. — Paris."
Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire,
30/12/1885, p. 250 (gallica.bnf.fr)
1890 -
Acheté par
BONY Frères
en 1890 : "Vendeur : Gilson - Acquéreur : Bony frères - Domicile élu pour
les oppositions : R. Saulpic, 8, à Vincennes, M. Volais - Entrée en
jouissance : de suite - Fonds vendu : Fab. de pianos, r. des Carrières, 32
bis, à Vincennes."
Archives commerciales de la France, 12/11/1890, p. 1440 (gallica.bnf.fr)
"Gilson,
méd. 2me cl. exp. 1855, fabrication spéciale pour les îles, Taitbout, 63."
Annuaire
et almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et
de l ..., 1859
"GILSON, pianos à
barage en fer spécialement fabriqués pour les iles, méd. de
1re et 2e classe aux expositions universelles de 1855 et
1868, Chaussée-d'Antin, 41."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la
magistrature et de l'administration, 1873, p. 1240
(gallica.bnf.fr)
"PIANOS
GILSON, fabric. 5, rue Abbatucci, vends à 3 ANS DE CREDIT, GARANTIS 10 ANS.
Ne pas les confondre avec ceux des marchands."
Le Figaro,
29/03/1879, p. 3 (gallica.bnf.fr)
" GILSON,
fournisseur de S. M. 1. le schah de Perse, rue Abatucci,
5 ; ci-devant Chaussée-d'Antin, 41; pianos à barrages en
fer fabriqués spécialement pour les Iles, médailles de
1re et 2ème classes aux expositions universelles.
Exportation."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la
magistrature et de l'administration, 1879, p. 1396
(gallica.bnf.fr)
"Pianos,
de GILSON, manufacture rue Abattucci, 5, trois ans de
crédit, pianos à barrage en fer, spécialement fabriques pour
les Iles, médailles de 1re et 2e classe aux Expositions
universelles, envoi du catalogue."
Théâtre de la Porte Saint-Martin: Les enfants du
capitaine Grant, 1879, p. 103
|
Mention honorable
Paris, 1855 | Liste des exposants Besançon, 1860 |
Liste des expostion
Paris,
1867 | Liste des exposants Le Havre, 1868 | Liste des exposants Lyon, 1872 | Liste des
exposants Vienne, 1873 |
Mention
honorable Paris, 1878
|
MONTAL Claude
(1800 - 1865)
Piano pont,
Musée de Limoux,
France
Pianos droits
sur l'Exposition de 1851, Londres, Angleterre, U.K.
Piano droit n° 739 ca. 1845,
Musée de Limoux, France
|
1835 |
Pianos droits et pianos carrés dans son
début, et sur l'exposition de 1839, il montra son premier piano à queue
(***1845)
TITRES
"Founisseur
de l'institution Nation des aveugles, Paris" (1844)
"Fournisseur Brevetté de
LL. MM. L'Empéreur et L'Impératrice" (1853-55) :
"Fournisseur du roi de
Hanovre"
"Fournisseur de la Maison
impériale du Brésil."
Piano
pont n° 102 (2ème cartouche) et un piano droit n°
739 de 1845,
Musée du piano Limoux, France
Pianino
n° 1010 ca. 1851-52, Collection Fred Sturm, U.S.
Piano
droit n° 1270, Collection Ad Libitum, Etobon, France
Piano à queue ca. 1865, Collection Ad Libitum, Etobon,
France
PHOTOS
EXTRA
Montal n°
776, collection privée
Cliquez sur les images pour les agrandir
MONTAL
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|
Paris |
11, rue Poupée (4ème
étage)(*1835)(1836)(***1838)(arr.15)
19, rue de Bussy (1839)(arr.6)
36, rue Dauphine
(x1839)(yy1839)(**1840)(***1841)(**1844)(arr.6)
Passage Dauphine [esc. C] (xx1839)
Passage Dauphine [esc. E] (xx1844)
36,
Passage Dauphine [esc. B] (**1840)(x1840)(xxx1841)(x1843)(**1845)(**1846)(**1847)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(arr.6)
5, boulevard
Montmartre [près la théâtre des Variétés] (*1851)(**1852)(x1853)(**1854)(v1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(**1857)(xx1857)(xx1858)(arr.9)
31, boulevard
Bonne-Nouvelle dès 1858 (y1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(*1862)(***1863)(**1864)(yy1864)(arr.2)
28, rue de
Montholon (?)(arr.9)
59, rue de Lafayette (avant 1878)(arr.9)
93, rue de Richelieu
(***1886)(vers le fin du 19ème)(arr.2)
|
12 ouvriers en 1839
171
pianos vers 1839 |
'Facteurs
de pianos'
"M. Montal, facteur de pianos, connu par ses importants travaux et ses succès à l'exposition de
Londres, recevait, il y a quelques jours, le titre de fournisseur de S. M.
l'impératrice. Nous apprenons que M. Montal vient de recevoir également le
brevet de fournisseur de S. M. l'empereur."
Le
Ménestrel, 09/10/1853, p. 4 (gallica.bnf.fr)
Il a été nommé
Chevalier de la Légion d'honneur
en 1851 [?](¹⁸)
1862 -
"Atelier de M. Montal, rue Albouy, 11. MM. Riffel aîné,
Lesage, Léopold, Hubon, Menager, Gohier, Bordier,
Viville, Lemaitre, Ramelot, Hely."
Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués
facteurs d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs
d'instruments en cuivre et en bois..., Délégations
ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862,
p. 54 (gallica.bnf.fr)
Repris par un de ses ouvriers
TESSEREAU
dès 1866, et puis par
DONNASSON.
"Claude MONTAL, facteur de
pianos, né à la Palisse (Allier), le 28 juillet 1800, est un exemple
étonnant de ce que peut l'intelligence humaine, même placée dans les
conditions les plus difficiles, lorsqu'elle est aidée par l'énergie, la
persévérance et la volonté. A peine âgé de cinq ans et demi
[il avait quatre ans], MONTAL était
frappé de cécité et à seize ans il était admis à l'Institution des
Jeunes-Aveugles, où, après avoir appris les mathématiques, il professait
bientôt cette science, tout en exerçant son adresses dans certains travaux
manuels. Bientôt il se mit à étudier avec ardeur la construction et le
mécanisme des pianos, ouvrit à sa sortie de l'école, en 1831, un cours
public pour l'accord de ces instruments, publia en 1834 un Abrégé de l'Art
d'Accorder Soi-même son Piano, et deux ans après fit suivre ce petit manuel
d'un écrit plus étendu, et dont voici le titre exact : l'Art d'accorder
soi-même son piano, d'après une méthode sûre, simple et facile déduite des
principes exacts de l'acoustique et de l'harmonie; contenant en outre lest
moyens de conserver cet instrument, l'exposé de ses qualités, la manière de
réparer les accidents qui surviennent à son mécanisme, un traité
d'acoustique, et l'histoire du piano et des instruments à clavier qui l'ont
précédé, depuis le moyen âge jusqu'en 1834. Pendant ce temps, MONTAL créait,
pour la fabrications des pianos, un établissement important qui prospérait
rapidement, et, après avoir placé quelques spécimens de ses produits à
l'Exposition industrielle de 1834. Peu après il publiait une nouvelle
brochure, intitulée : Notice raisonnée sur les perfectionnements introduits
dans la fabrication des pianos a exhibé la pédale de sostenuto, que Steinway
a achetée. Une monographie écrite par MONTAL à Paris en 1836, intitulé L'art
d'accorder son piano seul (livre intégral sur l'internet) décrit son
invention. Il meurt 7 mars 1865." Biographie universelle des musiciens,
Firmin-Didot, 1881
et textes de et sur MONTAL
'Abrégé de
l'art d'accorder soi-même son piano, déduit des
principes rigoureux de l'acoustique et de l'harmonie',
par C. Montal, Material description : In-8°, 28-4 p.,
musique. Edition : 1834 Paris J. Meissonnier. (gallica.bnf.fr)
'L'art
d'accorder soi-même son piano', d'après une
méthode sûre, simple et facile, déduite des principes
exacts de l'acoustique et de l'harmonie,
de Claude Montal, contenant en outre un traité
d'acoustique et l'histoire du piano et des instruments à
clavier qui l'ont précédé, depuis le moyen-âge jusqu'en
1834, par C. Montal, Material description : In-8°,
XVI-252 p., pl. Edition :
1836
Paris J.
Meissonnier.
Il existe plusieurs éditions, et il a été traduit en plusieurs langues.
'Notice
biographique sur Claude Montal, facteur de pianos à Paris',
M. Guadet,
directeur de l'Institution des Jeunes -Aveugles,
15p. Edition :
1845.
Note : Extrait des 'Annales de l'éducation des
sourds-muets et des aveugles' Paris Impr. de Fain et
Thunot.
'Bulletin
de la Société d'Encouragement pour l'Industrie
Nationale', 1846. 45e année. N° 499-510 :
Pianos droits, par M. Montal, p. 424,
p. 425,
et p. 429-430
Cordes, leur disposition dans les pianos droits de M.
Montal, p. 431
Echappements de pianos, par M. Montal, p. 432, et
image
p. 433
Transposition, mode de, dans le piano de M. Montal,
p. 435, 439, 440
Nouveaux mécanismes à simple et à double échappement
appliqués aux pianos droits, par M. Montal, p. 436
'Notice raisonnée sur les perfectionnements introduits
dans la fabrication des pianos, suivie d'extraits de
rapports de diverses sociétés sur les pianos droits de
ce facteur' de Claude Montal,
32 p.
suivie d'extraits de rapports de diverses sociétés sur
les pianos droits de ce facteur. Material description :
In-8°, 32 p. Edition :
1852
Paris, 5, boulevard Montmartre.
'Notice sur les
améliorations et les perfectionnements introduits dans
la fabrication du piano par M. Montal'. Material
description : In-fol., 4 p. Publié à l'occasion de
l'exposition universelle, Paris, 1855. Edition :
1855
[Paris].
'Claude Montal, facteur de pianos, (aveugle) ;
sa vie et ses travaux', par Pierre-Armand Dufau
(1795-1877). Material description : In-fol. oblong,
VIII-102 p., pl. avec texte explicatif, fac-sim.,
portrait. Note : Note : Portrait de C. Montal lithogr.
par E. Riban; Edition :
1857
Paris Firmin-Didot frères, fils et Cie.
'L'Art
d'accorder soi-mème son piano:d'après une méthode sure, simple et facile,
déduite des principes exacts de l'acoustique et de l'harmonie ...',
Claude Montal,
1865
contenant en outre la manière
d'enseigner l'accord aux aveugles et un traité
d'acoustique, par C. Montal, 3e édition. Material
description : In-8°, XXVI-344 p., pl.; Edition : 1865
Paris l'auteur.
'L'Art
d'accorder soi-même son piano.' Material description :
252 p.-7 p. de pl.; Edition : 1976 Genève. - [Paris]
Minkoff.
"Claude MONTAL, facteur
aveugle de naissance et pourtant étonnamment adroit, débuta en 1836. Il
inventa un système de mécanique à répétition (1849), deux modèles de pianos
transpositeurs (1846-50), une mécanique à échappement continu 1851, un piano
dont le corps sonore était renversé sur la mécanique (1848); un autre à sons
soutenus (1858).
Il présenta aussi, à Londres, en 1862, un piano dont le
clavier s'abaissait au moyen d'une pédale pour modifier la force de la
sonorité. Il publia un volume ayant pour titre 'L'Art d'accorder soi-même
son piano'. Il fut professeur à l'Institution des jeunes aveugles, et mourut,
le 7 ou le 8 mars 1865, dans sa 65e année.
TESSEREAU lui
succéda; ensuite, ce fut
DONNASSON."
Encyclopédiea musique et dictionnaire du conservatoire, 1927, p. 2078 (gallica.bnf.fr)
- Voir
DONNASSON.
INFO EXTRA
New site
about Montal :
The Art of Tuning (Eng)
Montal
sur Wikipedia (Eng)
|
Liste des
exposants Paris, 1839
| Médaille de bronze Paris, 1844
| Liste des exposants Paris, 1845
| Médaille d'argent Academie de l'Industrie Paris, 1846 | Médaille d'argent,
L'Athenée des Arts, 1847 | Médaille d'or, Société d'Encouragement,
Paris, 1848 | Médaille d'argent Paris, 1849
| Prize medal, et
Officier de la Légion
d'Honneur Londres, 1851
| Médaille de 1re classe Paris,
1855 | Diplome d'honneur Bordeaux, 1859 |
Medaille Londres, 1862
| Mention honorable Paris, 1867
|
MOULLÉ
Jean-Eugène
(1845 - 1923)
|
1835 |
PARIS -
"M. Eugène Moullé expose
un piano droit à cordes verticales, d'une bonne
fabrication et d'une excellente qualité de son, auquel
il a ajouté un système très-ingénieux. Nous ne pouvons
dire que son utilité soit précisément générale et
complète; il ne modifie on rien la sonorité du piano, et
n'a point trait à la mécanique. Mais soit pour l'élève
dont il est nécessaire de développer graduellement le
doigté, soit pour le possesseur d'un piano fatigué, ce
système dit gymnastique, applicable à tous les claviers,
donne cette facilité et corrige cette fatigue. La double
pression, qui, au moyen de doux vis disposées sous to
clavier, communique à toutes les touches le degré voulu
et possible de résistance et d'élasticité, offre aussi
une ressource précieuse à l'exécutant. Celui-ci y puise
une mesure de force et de puissance d'autant plus juste
qu'elle est purement mécanique d'un autre coté, le piano
trop facile, meuble énervé, toujours coûteux à
remplacer, lui doit également les qualités primitives du
piano neuf et un rajeunissement aussi complet que celui
du vieil Ésope. Ces avantages sont a considérer, et il y
a lieu de féliciter le facteur qui s'est appliqué à les
obtenir. A. Giacomelli."
La France Musicale, 07/01/1855, p. 307 (gallica.bnf.fr)
"PIANOS
MOULLÉ, 1, RUE BLANCHE. - Ne louez ni n'achetez de
pianos sans avoir vu nos nouveaux modèles droits et à
queue neufs et nos pianos d'occasion de toutes marques.
Les meilieurs, le meilleur marché."
La Presse, 13/12/1906, p. 2 (gallica.bnf.fr)
"Le Piano artistique par excellence
-
Pianos droits et pianos à queue de tous formats et de tous styles.
- FABRICATION ANNUELLE ACTUELLE : 6.000 PIANOS - E. MOULLÉ,
Agent général - 1, rue Blanche. 2, rue de Clichy.
- Représentant dans les principales villes de France." (pub. 1908 dans 'Exposition
Restrospective de Portraits d'Hommes et de Femmes célèbres (1830 à 1900), édité 1908)
"Tout jeune encore, 33 ans, M. Georges MOULLÉ était très répandu dans,
le monde musical. Son père, M. Edouard MOULLÉ, avait joint depuis longtemps
à sa fabrication la vente des fameux PIANOS STEINWAY. Ayant reconnu en son
fils des qualités commerciales et artistiques de premier ordre, il lui avait
peu à peu abandonné la direction complète de cette importante maison. En peu
d'années, M. Georges MOULLÉ, s'entourant des meilleurs artistes de Paris et
de l'étranger, avait réussi à donner une extension considérable à la vente
des PIANOS STEINWAY. Très aimé de tous ceux qui l'approchaient, il n'avait
que des amis qui tous sont venus en grand nombre lui rendre au temple et au
cimetière leurs derniers devoirs." Le
Journal amusant : journal illustré, journal d'images, journal comique,
critique, satirique, etc.,
02/01/1909 (gallica.bnf.fr)
|
Paris
Neuilly sur Seine |
78, rue d'Enfer (*1838)(x1839)(xx1839)(x1840)(*1841)(*1842)(**1843)(x1843)(xx1844)(**1846)(x1847)(arr.14)
57 [bis], rue de Seine
(*1842)(x1843)(xx1844)(arr.6)
120,
rue Dauphine (**1844)(arr.6)
20,
rue Dauphine (**1845)(**1846)(*1848)(arr.6)
2, boulevard Malesherbes (x1847)(*1848)(arr.8)
49,
rue de la Ferme-des-Mathurins
(1849)(*1851)(**1852)(**1854)(vv1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(**1857)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(**1862)(***1863)(yy1864)(arr.8)
47,
rue de la Ferme-des-Mathurins (**1864)(arr.8)
Place de la Trinité (?)( arr.9)
22, rue Neuve Saint Augustin (y1867)(arr.2)
1, rue Blanche
(xx1868)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(**1898)(z1900)(z1902)(*1903)(**1904)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(**1907)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(x1922)(x1926)(arr.9)
2, rue de Chéverus (**1873)(z1900)(arr.9)
Succursale : 2, rue de Clichy
(1908)(**1913)(yy1914)(**1921)(x1926)(arr.9)
rue de Londres (1947)(arr.9)
6, rue de Lisbonne (arr.8)(pub1975)
102,
avenue de Neuilly (z1931)
à Neuilly sur Seine
|
6000 pianos par an, 1908
|
'Facteur de pianos'
droits, pianos carrés et pianos à queue
et/ou marchand d'appareils
pneumatiques,
et compositeur et musicien
ca. 1838-1921 [depuis
1835
(x1912)(x1926) ou depuis 1833
(**1921)]; (¹⁶)
Membre d'Association des patrons et ouvriers facteurs
de pianos
(1848), p. 5-6-7 (gallica.bnf.fr)
MOULLÉ
J. E. (x1843)(1846)(1855),
père
'Pianohandlung' (xx1890)(x1906)(x1912)
------- 'Auch Musikverleger u. Komponist'
(x1912) ------- 'Piano- u. Harmonium-Handlung' & 'Auch
Musik.-Verlag' (x1926)
MOULLÉ E.
(*1913),
Edouard MOULLE, son
fils et successeur, aussi compositeur, et éditeur de musique, et
répresentant de 'Welte' pianorolls, et répresentant de STEINWAY à Paris.
Un art-case Steinway 1910, meuble faites par le parisien François LINKE,
vendu par E. MOULLE
(christies.com)
Représentant de
POPPER, Leipzig, Allemagne (x1912)
Représentant de
STEINWAY & Fils (x1912)(**1914) pour Paris
MOULLÉ
[Eugène] Vve.
(x1926)(z1931), femme du fils
Succ. en 1947 par
HANLET
(°1866)
à Bruxelles & STARCK
Brevet de 1838 :
MOULLÉ
imagine un 'piano
vertical sans fond' ni sommier,
1838.
Dictionnaire
des instruments de musique,
Jacquot, 1886
"BREVET D'INVENTION DE CINQ ANS en date du 28 février 1838
- (Déchu par Ordonnance du Roi, le 1e janvier 1841 - Au sieur Moullé (Eugène), à Paris, Pour un piano vertical.
- Les perfectionnements principaux sont les suivants :
1e Dans le petit volume auquel est réduit ce piano, ce qui en rend
l'usage plus facile et plus commode;
2e Dans l'absence du fond et des sommiers, d'un usage absolu dans les
pianos ordinaires, et qui toujours sont assujettis à des fléchissements
et à des arrachements même, extrêmement nuisibles;
3e Par la solidité plus que suffisante que présente le nouveau procédé
d'après lequel ce piano est établi, et dont le tirage des cordes ne peut
occasionne aucun désagrément, avantage qui n'existe pas dans la méthode
usitée; 4e Par la simplicité du travail;
5e Par l'économie importante de temps et de matières;
6e Par la facilité de pouvoir opérer toute espèce de réparations,
quelles qu'elles soient, presque sans frais;
7e Par le plus d'extension donné à la table d'harmonie, qui, de
nécessité, produit des sons de qualité supérieure;
8e Par l'avantage bien constant de ne pas être soumis aux influences de
la température, ni de l'humidité, ce qui rend ce piano propre à être
transporté par mer avec sécurité;
9e Par une économie importante dans le prix, l'entourage de ce piano
étant de pure volonté;
10e Ce piano se distingue encore par les diverses spécialités qui lui
sont propres et qui n'appartiennent en aucune manière au système employé
jusqu'ici, ce que de plus le plan indique d'une manière claire et
précise. Détail des pièces. [...]"
Description
des machines et procédés spécifiés dans les brevets d'invention ...,
France min. du commerce, Description des machines, 1841
Brevet de 1855 : "MOULLÉ — Modification du
degré de dureté ou de mollesse du clavier."
Le Luth
français, 1856, p. 6 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1860 : "Piano
à clavier mobile." (**1862)
Pour voir le
brevet original voyez le site
INPI
(¹³)
|
Liste des exposants Paris, 1839 | Liste des
exposants Paris, 1844 | Liste des exposants Paris, 1849
| Mention honorable
Paris, 1855 | Liste des exposants Le Havre, 1868
|
PÉRICHON
Alexandre, Jeune
|
1835 |
PARIS -
"1696. Périchon
jeune (maison Bonnet et Périchon jeune), facteurs de pianos, rue du
Val Sainte-Catherine, 17, près la Place-Royale, à Paris. Grâce aux
progrès qu'ils ont apportés dans la fabrication des pianos obliques,
l'amélioration obtenue est immense, tant sous le rapport de
l'égalité et de l'intensité des sons que sous celui de l'élégance de
l'instrument."
Catalogue explicatif et raisonné des produits admis à l'exposition
quinquennale de 1844, p. 182 (gallica.bnf.fr)
LA MANCHE - "M. Perichon jeune, fabricant de pianos à Saint-Lo, expose des pianos fabriqués dans son
établissement; l'un est droit, 3 cordes, 7 octaves, 2 pédales, barres
en fer pour soutenir le sommier, caisse en palissandre; le second est
oblique, 3 et 4 cordes, 7 octaves, sommier prolongé, 2 pédales, barres
en fer pour soutenir le sommier, caisse en palissandre. Ces produits
examinés en détail out été trouvés d'une confection irréprochable; leur
sonorité est assez puissante. Les prix sont modères.
M. Périchon, fabricant de pianos depuis 18 ans, a depuis 4 ans transféré
son établissement de Paris à Saint-Lo."
Notices, mémoires et documents publiés par la Société d'agriculture,
d'archéologie et d'histoire naturelle du département de la Manche,
1851, p. 45 (gallica.bnf.fr)
"Un journal de Paris,
en parlant de l'exposition régionale de Rouen, s'exprime ainsi: a M.
Périchon, de Saint-Lò, avait exposé un piano, en bois d'ébène, aussi
parfaitque s'il fût sorti des meilleurs ateliers de Paris. La lumière
se fait, comme on le voit, et la décentralisation marche."
La France
littéraire, artistique, scientifique, 1860, p. 92
|
Paris (depuis 1835)
Saint-Lo (depuis
1849) |
17, rue
du Val-Ste-Catherine (**1844)(arr.4)
12, place
de la Madeleine (**1846)(x1847)(arr.8)
15, rue
Poissonnière (*1848)(x1849)(arr.2)
à Paris
?
à Saint-Lo |
|
'Fabricant de pianos'
droits et
Facteur et/ou marchand d'
orgues ca. 1844-60
PÉRICHON Jeune,
Alexandre, 'Facteur de pianos',
commencé à Paris mais transferré à Saint-Lo en 1849; (***1851)
BONNET &
PÉRICHON Jeune
(1844)(**1846)(x1847),
voir
BONNET
PÉRICHON
Jeune (Maison
BONNET & PÉRICHON Jeune)(**1844)
Brevet de 1859
: "Brevet de 12 septembre 1859, au secrétariat de la
préfecture du département de la Seine par le sieur Périchon jeune (Alexandre),
facteur de pianos, élisant domicile chez le
Périchon
(son frère),
à Paris, rue de la Madeleine, n° 27, pour un système de
pupitre pour pianos." Bulletin
des lois de l'Empire français, Volume 16, France, 1861
VOIR AUSSI ...
PÉRICHON
Aîné à Paris. Un autre
PÉRICHON Alexandre en 1846, à Paris, ci-dessous
|
Liste des exposants Paris, 1844 | Liste des exposants
Paris, 1849
| Médaille de bronze 1ère classe, La Manche, 1851 | Mention honorable, Nantes,
1861
|
SCHÜLTZ Frédéric
Henri Chrétien (1799 - ?)
|
1835 |
Piano
basculant ca. 1849, Museu de la Música, Barcelona, Espagne
PARIS -
"M. P.
Schultz, de Marseille, expose, deux pianos, un a queue
et un autre carré. M. Schultz a travaillé
successivement, depuis 1824, chez MM. Dietz, Ch. Lemmé
et Pape, il vient de s'établir à Marseille sa facture
est bonne, son travail est consciencieux; toutes les
parties de ses instrumens sont aussi parfaites que
possible, et la solidité ne laisse rien à désirer; son
piano à queue n'a que deux mètres de longueur; le
clavier contient six octaves et demie et monte jusqu'au
sol aigu, le son est rond et fort; le toucher en est
facile; la note répète vivement par une légère
amélioration apportée à l'ancien mécanisme. Le piano
carré est d'une forme en trapèze mais qui je crois a
déjà été employée par M. Érard; ce piano diffère des
anciens modèles en ce que c'est un piano carré renversé
sans dessus dessous de façon que les notes aiguës se
trouvent sur le devant. Sa construction est en tout
semblable au piano à queue, il s'accorde de la même
manière le son de cet instrument nous a paru plus nourri
que celui des pianos ordinaires la forme en est simple
et agréable. Voila un bon commencement; nous espérons
que le jury saura apprécier le mérite de M. Schultz qui,
a peine établi, n'a pas craint un long et coûteux
déplacement, pour venir soumettre ses produits à son
jugement impartial."
La
France Musicale, 1844, p. 171 (gallica.bnf.fr)
|
Marseille |
25, boulevart du Muy
(z1842)(z1843)(z1844)(z1845)
45, rue 2ème Calade
(z1849)
15, rue deuxième
Calade (z1846)(z1847)(z1848)(z1850)(xx1851)(xx1852)(xx1853)(xx1854)
1, rue Venture, coin
rue Saint Ferréol (xx1853)(xx1854)(yyy1856)
62, rue Saint-Ferréol
(yy1863)(xxxx1865)(yy1866)(yy1868)(yy1869)
64, rue Saint-Ferréol
(yy1858)(y1860)(yy1861)(***1863)(y1864)(x1873) |
|
'Facteur de pianos' droits, pianos
carrés et pianos à queue
Né à Schwerin, Mecklembourg-Schwerin, aujourd'hui Allemagne, voyez
(xxx1850)(¹²).
Il demandait sa naturalisation en 1848
(¹²) -
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr
Schultz a travaillé successivement, depuis 1824, chez MM.
DIETZ
(°1801),
Ch. LEMME
(°1799)
et
PAPE
(°1815)
et après il était chef des ateliers de
BOISSELOT
(°1827).
SCHÜLTZ
Vve.
(xx1854)(yyy1856)(y1860)(xxxx1865)(yy1869)
Repris par
GEBELIN Auguste (°1860) en 1860.
(la suite)
PARIS -
"Le roi
vient d'acheter un des deux pianos exposés par M.
Schultz de Marseille. C'est une sorte de réparation
donnée à ce facteur, qui, de l'aveu de tous les
connaisseurs, l'emporte beaucoup sur son rival; ce qui
n'a point empêché le jury de lui assigner une place très
inférieure dans sa distribution de récompenses, puisque
l'un a obtenu une médaille d'or, et l'autre une simple
mention. Encore un exemple à ajouter à tous ceux que
nous avons déjà cités."
Le
Ménestrel, 18/08/1844, p. 3 (gallica.bnf.fr)
PARIS - "M.
SCHULTZ
est un artiste expérimenté qui, avant de
s'établir à Marseille, a travaillé longtemps chez les facteurs les
plus renommés de Paris. Il confectionne des pianos de toutes espèces ceux qu'il a exposés prouvent non-seulement que ce fabricant donne
beaucoup de soin à la construction de ses instruments, mais aussi
qu'il est capable d'innover et de faire des progrès à son art. Le
jury décerne une mention honorable à M. Schultz."
Rapport
du Jury central, Paris Jury central, Imprimerie de Fain
et Thunot, 1844
PARIS - "Les instrumens de M. Schültz, facteur également établi à Marseille, et
qui a dirigé long-temps les ateliers de la maison Boisselot, se
recommandent aussi par toutes les qualités qui constituent les pianos
les plus estimés de la fabrique parisienne."
Archives du
Commerce, Volume 36, 1845, p. 394
&
Gazette nationale ou le Moniteur universel, 26/04/1844,
p. 5 (retronews.fr)
PARIS -
"La fabrique de piano de M. Schultz est à Marseille, et ce facteur
partage les avantages de cette position sur la Méditerranée avec la
maison Boisselot. Son piano droit a été classé au 9° rang."
Rapport
du Jury Central sur les Produits de l'Agriculture et de
l'Industrie ..., France Jury Central
sur les Produits de l'Agriculture et de l'Industrie, 1849
|
Mention
honorable Paris, 1844 | Médaille de bronze Paris, 1849
|
SCHWANDER Jean
(1812 - 1882)
Publicité dans
Weltadressbuch der gesammten
Musikinstrumenten-Industrie, 1890, p. 90
(digital.slub-dresden.de) |
1835 |
Mécanique pour pianos et
pianos
Brevet de 1854 : "(20050/ 30 août 1854.) Mécanique à
répétition pour pianos. B. de 15 ans, pris le 30 juin
1854, par Schwander, fabricant de mécaniques pour
pianos, rue des Cinq-Moulins, n° 4, à la
Chapelle-Saint-Denis (Seine)."
Catalogue des brevets d'invention,
1855, p. 399
Brevet de 1855 :
"1576° Le certificat d'addition dont la demande a été
déposée, le 15 juin 1855, au secrétariat de la
préfeeture du département de la Seine, par le sieur
Schwander (Jean), rue des Cinq-Moulins, n° 4, à la
Chapelle-Saint-Denis, et se rattachant au brevet
d'invention de quinze ans pris, le 30 janvier 1854, pour
une mécanique à répétition continue pour pianos."
Bulletin des lois de la Republique Francaise, 1858,
p. 183
Brevet de 1877 : "12° La cession enregistrée au secrétariat général de la
préfecture da département de la Seine, le 3 décembre 1877, faite suivant
acte en date du 8 novembre de la même année, à la société Jean Schwander et
Herrburger, dont le siège est à Paris, rue de l'Évangile, n°16, par M.
Delerue, du brevet d'invention de quinze ans qu'il a pris, le 11 novembre
1876, pour un mécanisme de piano à répétition parfaite.
Bulletin
des lois de la République française, 01/1878, p. 795 (gallica.bnf.fr) Voyez
DELERUE
Brevet de 1878 : "Schwander et Herrburger, cessionnaires du sieur Delerne, 4
avril 1878, brevet 115.454 (Mécanisme de piano à répétition parfaite.)"
Bulletin
des lois de la République française, 07/1879, p. 553 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1883 : "158,499. Brevet de quinze ans, 12 novembre 1883;
Herrburger-Schwander, représenté par Dutreué, à Paris, rue de la Fidélité,
n° 10. Mécanique de piano perfectionnée."
Bulletin
des lois de la République française, 07/1884, p. 492 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1885 : "167,145. Brevet de quinze ans, 19 février 1885; Herrburger.
représenté par Dufrené, à Paris, rue de la Fidélité, n° 10.
Perfectionnements dans la fabrication des barres de centres ou de marteaux
des mécaniques de pianos."
Bulletin
des lois de la République française, 07/1885 (gallica.bnf.fr), p. 1260 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1890 : "207726. Brevet de quinze ans, 19 août 1890; Herrburger,
représenté par la société Sautter et de Mestral à Paris, rue Baillif, n° 11.
-Mécanique à queue perfectionnée pour piano forte."
Bulletin
des lois de la République française, 07/1891, p. 528 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1890 : "209828. Brevet de quinze ans, 27 novembre 1890; Herrburger,
représenté par Chenauit, à Paris, rue Saint-Merri, n° 40. Perfectionnements
dans les mécaniques de piano."
Bulletin
des lois de la République française, 07/1891, p. 905 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1892 : "226072. Brevet de quinze ans, 2 décembre 1892; Herrburger,
représenté par Chenault, à Paris, rue de Rambuteau, n° 24. -
Perfectionnements dans les mécaniques de piano."
Bulletin
des lois de la République française, 01/1894, p. 853 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1893 : "228662. Brevet de quinze ans, 16 mars 1893; Herburger,
représenté par Chenault, à Paris, rue de Rambuteau, n° 24. Perfectionnements dans les étouffoirs de piano."
Bulletin
des lois de la République française, 07/1894, p. 547 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1893 : "229209 & 229210. Brevets de quinze ans, 7 avril 1893;
Herburrger, représenté par Chenault, à Paris, rue de Rambuteau, n° 24.
Perfectionnements dans les allonges des mécaniques de pianos droits."
Bulletin
des lois de la République française, 07/1894, p. 590 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1894 : "236205. Brevet de quinze ans, 10 février 1894; Herrburger,
représenté par Chenault, à Paris, rue Rambuteau, n° 24. -Perfectionnements
dans les mécaniques de pianos à queue." Bulletin
des lois de la République française, 07/1895, p. 728 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1895 : "248134. Brevet de quinze ans, 13 juin 1895 Herrburger, à
Paris, rue de l'Évangile, n° 16. Nouveau modèle de taquet d'étouffoir pour
mécanique de piano à queue."
Bulletin
des lois de la République française, 01/1897, p. 347 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1895 : "252187. Brevet de quinze ans 4 décembre 1895 Herrburger,
représenté par Chenault, à Paris, rue de Rambuteau, n° 24. Perfectionnements
dans les mécaniques de pianos à queue."
Bulletin
des lois de la République française, 01/1897, p. 1082 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1906 : "371143. Brevet de quinze ans, 6 novembre 1906; Herrburger (J.),
représenté par la société G. et P. de Mestral, à Paris, rue de la
Rochefoucauld, n° 21. Mécanique de piano à queue."
Bulletin
des lois de la République française, 01/1908, p. 1814 (gallica.bnf.fr)
PHOTO
Photo de l'exposition à Melbourne Australie en
1880, section pianos français
VOIR AUSSI ...
Henry
SCHWANDER
(15, rue
d'Evangile) qui obtient une médaille de bronze en 1878.
|
Chapelle Saint-Denis
Paris |
4, rue des Cinq Moulins-Chapelle
(xx1854)(y1857)(*1859)
à
Chapelle Saint-Denis
14, rue d'Aubervilliers
(z1865)(*1867)(arr.19)
19,
rue
de l'Evangile (1883)(arr.18)10, rue de l'Evangile (1897)(arr.18)
6-8-18-20-22, rue Seguin (xx1890)(arr.18) 16, rue
de l'Evangile (1873)(1874)(1882)(xx1890)(1925)(arr.18)
14, rue d'Evangile (xx1890)(**1904)(arr.18)
Usine de pianos
pneumatiques : 6-8, rue Marc Seguin (avant 1925)(arr.18)
à Paris |
100 ouvriers, 1872
250 ouvriers 1886
335 ouvriers 1891 |
Fabrication de mécanique - équipe presque tous les pianos français
et pianos pneumatiques
Il est né à Lauterbach (Alsace) en 1812.
Travaillait chez
KRIEGELSTEIN
vers 1830 et selon
M. Pizzi (¹) il a fondé sa maison vers 1844.
1865 -
Un mariage
de : "Schwander, fabricant de pianos, rue d'Auberviller,
14. Montmartre. Mlle Habes, chez ses père et mère, à
Aix-la-Chapelle (Pausse-Rhenane)."
L'Indicateur
des mariages de Paris..., 09-07-1865 (gallica.bnf.fr)
SCHWANDER Jean & Cie
(*1867)
SCHWANDER, J.
& HERRBURGER (1873), son
beau-fils Joseph Herrburger devenait associé en 1865,
mais travaillait là depuis 1854. (¹)
1882 - "Paris. — Modification de la Société en nom collectif Jean SCHWANDER et
HERRBURGER, de mécaniques pour pianos, rue dé l'Evangile, 16, devenue
HERRBURGER-SCHWANDER et Cie, par suite du décès de M. Schwander, auquel se
trouve substituée sa veuve.— Acte constitutif du 17 sept. 1875 et autre acte
du 2 mai 82. - P. A."
Archives
commerciales de la France, 18/05/1882, p. 682 (gallica.bnf.fr)
1897 - "Paris — Dissolution. — 20 avril 97. —
Société HERRBURGER-SCHWANDER et fils. fab. de mécaniques et claviers pour
pianos, 10, Evangile. M. Herrburger fils continue seul: — 24 avril 97."
Archives commerciales de la France. 22/05/1897, p. 630 (gallica.bnf.fr)
'PIANINA',
était une marque de pianos mécaniques d'un certain
Maurice FRICOTEL,
dès 1913 (²¹) qui a donné la même adresse comme
SCHWANDER Jean.
HERRBURGER
J. & Cie
en 1925 :
1925 -
"Vendeur : Herrburger -
Acquéreur : Etablissements J. Herrburger (Soc. anon.) - Domicile élu pour
les oppositions : Greffe du tribunal de commerce de la Seine - Fonds vendu :
Apport fabrique mécaniques et claviers our pianos, 16, Evangile."
Archives
commerciales de la France, 14/01/1925, p. 76 (gallica.bnf.fr)
1925 -
"Paris. — Formation. — Soc. anon. dite Etablissements J. HERRBURGER.
fabr. de mécaniques, claviers de pianos et instruments de musique scierie,
fonderie, 16, Evangile. — 50 ans,— 10.000.000 fr. — 23 déc. 1924. — An. P."
Archives
commerciales de la France, 17/01/1925, p. 108 (gallica.bnf.fr)
Et la fabrique de HERRBURGER
concernant de pianos pneumatique devenait vendu à
ODEOLA
en 1925 :
1925 -
"Vendeur : Herrburger -
Acquéreur : Odéola - Domicile élu pour les oppositions : Greffe du tribunal
de commerce de la Seine - Fonds vendu : Apport fabrique de pianos
pneumatiques, 6 et 8, Marc Seguin et 11, 4-Septembre."
Archives
commerciales de la France, 14/01/1925, p. 76 (gallica.bnf.fr)
SYDNEY -
"Schwander and Herrburger are makers comparatively
little known in Australia. Two of their instruments are
exhibited, in which their own patented action is used.
In this action, the fly which is usually behind the
hammer is in front, the position of the back check is
changed so that the force of the blow is greater and the
mechanism is simpler. They are extreme oblique, in other
respects the Erard principle is adopted. A model of
their patent is shown. The cases are simple, the tone is
good, and the pianos are espensive. These makers gained
the gold medal at the Paris Exhibition in 1878."
Pianofortes in the exhibition,
The Sydney Morning Herald,
12/01/1880, p. 6
1874 - "Lors de l'incendie de l'établissement de MM. Schwander et Herrburger,
fabricants de mécaniques pour pianos, rue de l'Evangile, les hangars et
chantiers seuls ont été atteints. La fabrique, l'outillage et les machines à
vapeur sont intacts tous les ouvriers rentrent aujourd'hui mardi, et
reprennent leur travail."
Le Petit
Journal, 30/12/1874, p. 3 (gallica.bnf.fr) et Hier, à neuf heures dix minutes,
un violent incendie s'est manifesté dans la fabrique de
MM. Swiender [sic] père et fils, mécaniciens pour
pianos, rue de l'Evangile, 16 (18 arrondissment)."
La Presse, 28/12/1874, p. 3 (gallica.bnf.fr)
1881 -
"Hier, neuf
heures du soir, un commencement d'incendie s'est déclaré dans un séchoir des
ateliers de M. Schwander, fabricant de pianos, rue de l'Evangile, 16. Les
pompiers du poste de cette rue ont porté les premiers secours. Bientôt après
est arrivé de la easenie du Château-Landon un détachement de pompiers avec
une pompe à vapeur, qui a été mise aussitôt en manœuvre. A dix heures tout
danger avait, disparu. Le séchoir contenait pour 80,000 francs de bois, dont
une grande partie a été brûlée. H. Schwander était assuré. Il n'y a eu aucun
accident de personne."
Le
Figaro, 28/10/1881, p. 3 (gallica.bnf.fr)
1889 -
"Un incendie s'est déclaré dans une fabrique de pianos,
rue de l'Evangile, 16. Les sapeurs-pompiers de la rue
Chàteau-Landon, qui étaient arrivés aussitôt, ont pu se
rendre maîtres du feu après une heure de travail. Il n'y
a pas eu d'accident de personnes. Les dégâts, qui
paraissent être assez importants, n'ont pas encore été
évalués."
La Presse, 23/04/1889, p. 3 (gallica.bnf.fr)
INFO EXTRA
'Joseph
Herrburger, mécanicien en pianos chez Jean Schwander à
Paris (1854-1882)', par Jean Claude Streicher
|
Médaille d'argent,
Paris 1867 | Médaille pour le progrès Vienne, 1873
| Médaille d'or Paris, 1878
| Liste des exposants Sydney, 1880
| Médaille d'or Francfort, 1881 | Diplôme d'honneur Amsterdam,
1883 | Diplôme d'honneur Anvers, 1885
|
1836 |
|
"FACTEUR, s. m. Faiseur;
facteur de forte-pianos d'orgues. commissionnaire qui
achète et vend pour le compte des fabricans, des
producteurs, etc."
Dictionnaire français et
géographique : contenant outre les mots de la langue
française, 1836, p. 1033 (gallica.bnf.fr)
|
|
|
|
"FACTEUR, s. m. ( lat. factor,
faiseur.) Faiseur. Il ne se dit en ce sens que de Ceux
qui font, qui fabriquent des instruments de musique.
Facteur de pianos."
Abrégé du dictionnaire de
l'Académie française, d'après la dernière édition
publiée en 1835, 1836,
p. 583 (gallica.bnf.fr) |
|
BILLIOT
Publicité dans Guide de
l'étranger, Bordeaux, 1865
Publicité dans
Guide de
l'étranger, Bordeaux, 1869, p. 10 |
1836 |
Publicité dans
Guide Bordelais, etc, 1869, p. 75
Publicité dans
Guide de l'étranger, Bordeaux, 1876, p. 239
|
Bordeaux |
au Bazar Bordelais (zz1853)(vvv1855)(yy1856)(xx1857)(yy1857)(***1858)(**1859)(xx1861)(yyy1862)(yy1862)(y1863)(y1864)
36,
rue Sainte-Catherine (y1865)
56, rue Sainte-Catherine
(y1869)
5, rue Arnaud-Miqueu
(y1869)
20, rue de la Devrés
[Dévise](1874)(*1875)(*1876)
12,
rue de la Devise
(xx1890)(*1893)(*1894)(**1895)(*1896)(*1897)(*1898)(***1899)(**1903)
42, rue de la Devise
(*1905)(*1909)(*1913) |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
et harmoniums ca. 1836-1913 [ depuis
1836]
BILLIOT
J.
(zz1853)(vvv1855)(yy1856)(***1858)
BILLIOT
[Mme.] Vve. (**1859)(xx1861)(yyy1862)(yy1862)(y1864)(y1869)(*1875)(*1876)
BILLIOT
J. & Co (1874)(1876)(*1893)
1874 -
"Bordeaux. — Formation
de la Société en commandite J. BILLIOT et Co (location et vente de pianos et
harmoniums), rue de la Devrés, 20.— Durée : 6 ans.— Gap. : 80,128f. 60 c.
—Acte, du 25 nov. 1874."
Archives commerciales de la France, 10/12/1874, p. 418 (gallica.bnf.fr)
BILLIOT
J.
(xx1890)(***1899)
'Musikal.- u. Pianohandlung'
(xx1890)
BILLIOT
Mml. J. (**1903)
Repris par
MICHELET (*1905)(*1913) |
|
BUCH Jean-Pierre
(1821 - 1907)
|
1836 |
|
Paris |
114, rue du faubourg Poissonnière
(yy1851)(vv1855)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(***1863)(**1864)(yy1864)(arr.9)
165, rue du faubourg Poissonnière
(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(**1888)(y1889)(x1890)(xx1890)(z1900)(z1902)(arr.9)
11bis, rue Neuve de
Strasbourg
(**1870)(arr.18)
Ateliers : 11bis,
rue Pajol
(**1871)(**1873)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(arr.18)
169, rue du faubourg Poissonnière (?)(arr.9)
86, rue de la Jonquière
(**1898)(*1902)(**1904)(x1906)(**1907)(x1907)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.17) |
|
'Fabricant de pianos'
ca. 1851-1914 [depuis
1836
(x1906)]
1848 -
Associé à
GERVEX :
BUCH
& GERVEX (yy1851)(y1853)(vv1855)(z1855)(xx1856)(x1857). Voir
GERVEX
(°1848)
1859 -
"Publications de Mariages - Du 18 au 25 septembre. 3°
arrondissement. - [...] M. Buck [sic], fabricant de
pianos, rue du Faubourg-Poissonnière, 114, et Mlle
Bizelauchie à Batignolles, rue Lacroix, 20."
La Presse, 20/09/1859, p. 3 (gallica.bnf.fr)
BUCH
(***1863)(**1870)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(y1889)(xx1890)
'Pianofabrikant'
(xx1890)
'Piano-
u. Harmonium-Handlung' (x1912)
INFO EXTRA
BUCH Jean-Pierre et BUCH
Francis à Paris, par Jean-Marc STUSSI
|
|
HEERING
Claus Christian Jacob (1804 - 1867)
|
1836 |
Piano
droit ca. 1860, Collection Hazen, Madrid, Espagne
Piano
à queue ca. 1860, Collection privée, France
BORDEAUX - "Fabrication de planos.
M. C. HEERING, facteur de pianos, à Bordeaux, rue de la
Taupe, 61.
La facture de l'admirable instrument de musique, appelé
d'abord forte-piano et aujourd'hui simplement piano, est
une branche d'industrie fort importante, dont Paris
semblait pendant longtemps devoir conserver le monopole.
D'honorables tentatives faites à Bordeaux dans ce genre
de fabrication, et, nous devons le dire, couronnées d'un
plein succès, ont placé M. HEERING au premier rang des
facteurs de pianos. Grâce à ses efforts intelligents, la
province peut aujourd'hui se dire affranchie du tribut
qu'elle payait sous ce rapport à la capitale. Des
conditions essentielles, indispensables, distinguent un
bon piano; nous citerons les suivantes : 1° La
puissance, le volume, l'étendue du son ; 2° La rondeur
des basses, l'argentin des notes élevées ; 3° La douceur
des touches, c'est-à-dire leur facilité à se mouvoir,
provenant de la disposition des marteaux, &c. On
comprend que la forme de l'instrument soit d'un
très-grand poids pour l'obtention de ces différentes
qualités. On ne saurait s'attendre à rencontrer dans un
pianino droit des sons comparables à ceux d'un piano à
queue; là l'espace manque, la longueur des cordes est
moindre, le son est étouffé, son développement
impossible; ici, au contraire, tout présente un
développement majestueux. (la suite
)
|
Bordeaux |
61,
rue de Taupe (**1845)
34, Cours de Jardin-Public
(y1847)(*1848)(x1849)(*1851)(x1853)(zz1853)(*1854)(vvv1855)(yy1856)(xx1857)(yy1857)(**1858)(***1858)(**1859)(xx1861)(***1862)(yy1862)(y1863)(y1864) |
|
'Facteur de pianos'
droits, pianos carés
et pianos à queue
'Facteur de S.A.R. Madame
la Duchesse d'Orléans' (première signature, c'est une signature d'un
piano carré).
"HEERING (Claus-Christian-Jacob), né à Itzchoe
(Danemark) le 28 sept. 1804, mort à Floirac (Gir.) le 30
oct. 1867 ; élève de la maison Pleyel de Paris ; fonda à
Bordeaux en 1836, une maison de fabrication de pianos
qui fut vite appréciée des connaisseurs et prit une
grande importance. A obtenu, ainsi que son successeur,
des succès aux expositions de 1838, 1847, 1850, 1854,
1864, 1865, 1882; 4 méd. d'arg., 3 méd. d'or.
J.-B. Lacouture son élève et collaborateur pendant 16
ans, lui succéda le 1er août 1862. Depuis cette époque
l'importance de la maison s'est accrue par le
perfectionnement de ses instruments, qui se recommandent
par leur qualité de sons, leur solidité."
Statistique générale, topographique, scientifique,
administrative, industrielle, commerciale, agricole,
historique, archéologique et biographique du département
de la Gironde, 1878-1889, p. 315
Repris par
LACOUTURE
J. B. dès
1862
(la suite)
Aussi le piano à queue est-il et sera-t-il longtemps
encore le seul, le véritable piano de concert. M.
Heering, qui faisait peu de ces derniers, est entré dans
la voie. Le piano à queue, à trois cordes et à deux
pédales, qu'il a exposé, réunit plusieurs des conditions
énoncées plus haut, et son prix, modique comparativement
à celui des instruments de ce genre que l'on tire de
Paris, ne sera pas, nous en avons l'espérance, une cause
de délaissement. Le bon marché n'est pas toujours, quoi
qu'en pensent certaines gens, un signe de qualités
médiocres. Que M. Heering poursuive donc la difficile
tâche qu'il a entreprise; le premier pas dans cette voie
de décentralisation était celui qui exigeait le plus de
courage. Il l'a fait depuis longtemps, et ses succès
passés nous sont une garantie de ceux que lui réserve
l'avenir, et que la Société Philomathique sera toujours
heureuse de récompenser."
Sixième Exposition, année 1844. Exposition des produits
des arts et de l ..., 1845, p. 90-91/129
BORDEAUX -
"Bordeaux,
22 août. — [...] — Il y a eu dans cette ville une
exposition des produits de l'industrie départementale,
dans laquelle se remarquaient des pianos grands et
petits de facture bordelaise, particulièrement ceux de
Heering, qui possèdent des qualités notables."
Revue et gazette musicale de Paris, Volume 17,
01/09/1850, p. 296
|
Premier prix
Bordeaux, 1838 | Rapelle Médaille d'argent Bordeaux, 1844 | Médaille d'argent Bordeaux, 1847
|
Médaille d'or Bordeaux, 1850 | Médaille d'or Bordeaux, 1854 | Médaille d'or Bayonne, 1864
|
GUILLOUARD
Armand Théodore
Carte
de visite |
1836 |
" [...]
Quoique cet instrument eût bien souffert des ravages du temps, et fût tombé
dans le plus mauvais état, on jugea qu'une réparation convenable pouvait lui
rendre sa première harmonie, et cette importante restauration fut confiée
aux soins du facteur Guillouard qui a fait, depuis assez longtemps,
connaître son talent par plusieurs orgues des églises de notre ville et des
en virons. — «Le dimanche dans l'Octave de Noël à été le jour Hxé pour juger
si le succès avait répondu aux efforts du facteur, et l'église s'est trouvée
remplie d'auditeurs à la Messe et plus encore à Vêpres. Cette double épreuve
a causé une satisfaction générale. L'instrument, qui a trois claviers, sur
lesquels sont distribués seize jeux, les a faitsuccessivement entendre dans
leurs variéféset dans leur ensemble. Les jeux de fonds ont plu par leur
harmonie veloutée; les jeux d'anche, tels que le clairon, la trompette, le
haut-bois, ont fait retentir des sons clairs, dont les basses remplissaient
les oreilles par leur rondeur et leur force. Le plain-chant a fait ressortir
sa noble gra. vite, le grand-chœur son éclat brillant, agréablement
diversifie par les jolis jeux du clavier de récit, et quelquefois par le
charmant petit clavier d'écho, le tout parlant aussi vivement que le piano,
quelque nombreuses que fussent les notes composant les accords que les deux
mains frappaient simultanément, qualité fort rare dans les orgues qui,
presque toutes, altèrent plus ou moins. — « La restauration de ce beau
buffet, qui est du style de Louis XV, enrichi de sculptures gracieuses, et
supporté par quatre magnifiques colonnes cannelées, fait d'autant plus
d'honneur au facteur que beaucoup de parties sont entièrement neuves. On
doit engager M. Guillouard à tâcher d'ôter au 2e clavier la dureté qu'il
tient de sa construction primitive. Nous croyons d'autant plus possible
d'adoucir ce clavier, qu'il ne foule point le clavier inférieur comme dans
beaucoup d'autres orgues. Sa dureté, qui exige une vigueur de main
considérable, expose l'organiste à manquer ses traits, et lui rend
l'exécution très fatigante. Il est d'ailleurs à désirer que les dames qui
aiment l'orgue, pnissent se plaire à s'y exercer. — « Ce bel instrument
mérite maintenant un soigneux entretien. Sa conservation demande qu'il soit
garanti de l'humidité comme de la chaleur, en murant une partie de la grande
croisée qui est derrière, ainsi que du frémissement communiqué aux tuyaux
par le grand nombre de personnes qui fréquentent habituellement la tribune
et piétinent sur son parquet.
Isoler, autant que possible, les orgues de l'influence
atmosphérique et de toute oscillation, est le seul moyen
d'en conserTer l'accord.— « Il est bien à désirer que,
par la suite, on ajoute à ce bel orgue l'ut dièze qui
manque en bas, avec un A naturel et un si bémol, ces
trois notes étant d'un usage habituel dans le
plain-chant. L'instrument ne monte qu'au re. L'addition
d'un mi et d'un lf, le mettraient de pair avec les
orgues modernes.
M.
Guillouard a fait aïec succès une pareille addition au
petit orgue de l'église de la Couture, au Mans. — « Il
est également nécessaire que le second clavier fasse
parler à volonté le troisième, pour ajouter au grand jeu
plus de force, et suppléer à un graud cornet qui manque.
Alors cet instrument aurait toute la perfection dont il
est susceptible — « Heureuses les églises qui ont des
orgues pour soutenir et régler le chant, reposer le
chœur avec lequel elles alternent, et orner l'office
divin par leur harmonie si riche et si variée ! (la suite
)
|
Le Mans |
rue Saint-Vincent
(xx1836)
[11], rue de la Préfecture
(y1861)(x1873)(yy1864)(***1889)
9, rue de la
Préfecture (*1906)
9-11, rue de la
Préfecture (*1913) |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits, orgues et harmoniums ca. 1836-1913
'Facteur d'orgues' (xx1836),
'Facteur de pianos
et d'orgues'
Armand Théodore GUILLOUARD
(xx1836), "Armand-Théodore Guillouard, facteur d'orgues, et Marie Pinot,
sans profession, rue Saint-Vincent." sous le titre 'Mariages' dans
Affiches, annonces
judiciaires, avis divers du Mans, et du Département de la Sarthe, 1836,
p. 723
DOLMETSCH-GUILLOUARD
(?), voyez la famille
DOLMETSCH,
Arnold Rudolph qui était l'époux de la fille de GUILLOUARD.
GOUGE-GUILLOUARD
(***1889)(*1906), élève d'Érard,
comme successeur
GOUGE
A. (1907)
"Fonds de pianos, de musique,
lutherie et machines parlantes. S'adresser A. Gouge au Mans."
Le
Ménestrel, 28/09/1907, p. 312 (gallica.bnf.fr)
P. MACIA
(*1913), successeur, probablement dès 1907. Voir
MACIA
LE MANS
- "M. Guillouard s'est montré
facteur distingué dans tous les détails du buffet d'orgues qu'il avait
exposé, et qu'on voit maintenant dans l'une de nos églises."
Bulletin de la
Société d'agriculture, sciences et arts de la Sarthe, Volume 2, 1836-1837,
p. 138
"GUILLOUARD,
marchand de musique et d'instruments de toute espèce,
(M. D.) grand module et deux de bronze; vente, location
et échange, fab. d'orgues, d'harmoniums et de pianos,
abonnements de musique, accords et réparations
d'instruments, r. de la Préfecture, 11."
'Almanach
des 40,000 adresses des fabricants de Paris et du
département : contenant les noms et domiciles des
principaux fabricants', 1864, p. 565 (gallica.bnf.fr) et
plus tard encore dans
Almanach des 40,000 adresses des fabricants de Paris et
du département : contenant les noms et domiciles des
principaux fabricants, 1873, Lyon p. 653 (gallica.bnf.fr)
(la suite)
Maintenant que
l'enseignement de la musique est en vigueur dans toutes les écoles, il ne
sera pas si difficile de former des organistes, pour lesquels les grands
maîtres composent des morceaux de tous les degrés de force. — « Ce joli
orgue, aujourd'hui placé dans l'église de Château-du-Loir, et qui ornait
autrefois celle de Chateau-l'Hermitage, nous a rappelé le bel orgue de la
Mission avec lequel il a beaucoup de ressemblance. Ou ne saurait trop
regretter que l'église de la Mission dont l'architecture est un
chef-d'oeuvre d'élégance, n'ait pu être rendue au culte avec son bel orgue
qui remplissait si bien son but de former à un chant juste et régulier les
élèves de l'école modèle du Clergé du Diocèse. Cet orgue nous rappelle
encore, que l'on en comptait douze au Mans, presque tous à deux, trois et
quatre claviers, établis par de liés habiles facteurs dont le plus célèbre
fut dom Bédot auteur du volume de l'Encyclopédie qui traite de la facture de
l'orgue, dont il avait fourni un très beau modèle dans l'orgue de l'abbaye
de St.Vincent du Mans."
La province du Maine:
feuille hebdomadaire, 1846, p. 15 - 16
INFO EXTRA
Les facteurs-fabricants
de pianos du Mans entre 1845 et 1936, par Jean-Marc STUSSI
|
Médaille d'argent,
grand module, Mans, 1836
|
MÜLLER
Achille
Théodore
|
1836 |
Orgue
de 1834, Cité de la Musique, Paris, France
PARIS -
"Voici
encore sept exposans.de pianos, qui’, à l’exception de
l’un d’entr’eux, M. Muller que nous comprendrons sous le
no 1494, n’ont emporté du concours que l’honne‘ur d’y
avoir été admis, qu‘oiqu’on général leurs instrumens ne
fussentpas sans mérite." - "1494 (58). M. Muller
(Théodore-Achile), à Paris, rue de la Ville-l’Evêque,
n° 42, qui avait réuni, dans son exhibition, un piano,
une orgue expressive, et l’instrument qu’il appelle
organe-piano, qui est pourvu de deux claviers, dont l’un
fait entendre les sons du piano et l’autre ceux de
l’orgue. La médaille de bronze lui a été accordée,
principalement pour son orgue expressive. Nous donnerons
un article complémentaire dans le Recueil industriel."
Musée industriel: description complète de l'exposition
des produits de l ..., 1838, p. 196-197 et p. 194
|
Paris |
12, rue de la Ville
l'Evêque, Faubourg St Honoré (O1834)(arr.8) 42, rue de la ville
l'Evêque
Faubourg Saint Honoré
(1834)(z1835)(*1836)(**1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(**1843)(x1843)(xx1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(**1852)(**1854)(vv1855)(arr.8)
54, rue de la ville L'Evêque
(xx1857)(arr.8)
19, rue neuve des Mathurins
(xx1857)(xx1858)(arr.9)
|
100
pianos
par année
|
Facteur et/ou marchand de pianos carrés,
droits, 'organo-piano',
orgues expressifs et harpes eoliennes ca. 1834-58 [depuis
1836 (*1913)]
'Facteur d'Orgues
Expressives et de Pianos'
MÜLLER Théodore-Achille
(1834)
MÜLLER Alexandre
& Louis (1849),
ses fils ?
Un
certain MULLER, sur l'adresse : rue de la ville
l'Evêque, 42 :
Époux de BIERQUE (1852)(¹⁰)(Journal
des Débats Politiques et littéraires, daté du 28/01/1852
et du Journal le Constitutionnel, daté du 27/01/1852) -
La future demeure à Amiens, Somme (¹⁰)
'MULLER' expérimentait avec les
garnitures de gomme comme un certain
KRICK
sur les marteaux des ses pianos vers 1865.
Voir les successeurs
MÜLLER
à Paris
Brevet de
1843 : lors d'un dépôt de brevet concernant un orgue
expressif de voyage.
"Muller
(T. A.), pianos droits obliques et en tous genres, réparation location,
accord, Nve des Mathurins, 19."
Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1857,
p. 795 (gallica.bnf.fr)
VOIR AUSSI ...
...
des autres facteurs avec le nom
MULLER
à Paris.
|
Médaille de bronze, 1833
(?) | Médaille de bronze Paris, 1834
| Médaille Valenciennes,
1835 | Mé daille de bronze Paris, 1839 | Médaille de bronze Paris, 1844 | Médaille de bronze
Paris, 1849 | Mention honorable Londres, 1851 | Médaille de deuxième classe, 1855
|
LEIBNER
|
1837 |
IMAGE
Carte de visite ca. 1850
Voir
ErfgoedInzicht.be
INFO EXTRA
"LEIBNER,
facteur de pianos, à
Lille."
La pratique de
l'assurance sur la vie, 1862, p. 31
|
Lille |
17, rue de la Grande Chaussée
(***1862)(***1863)(y1864)(*1875)(*1876)(*1892)(*1893)(*1895)(*1898)(*1899)(1910)(*1913) |
|
'Facteur de pianos'
et facteur et/ou marchand d'orgues ca. 1837-1913
A ccordeur des pianos de la Orchestre de l'Opéra (**1855)
LEIBNER
& GARBS (ca. 1860), voyez
GARBS
à Lille.
On trouve à Lille vers 1862 jusqu'à au moins 1893, un certain
:
LEIBNER-BOHEM Ch.
(***1862)(y1864)(*1876),
avec un COURTOIS comme successeur, probablement marchand de musique, 17, rue
de la Grande Chaussée, 17. Voyez aussi
Hippolyte
BOHEM à Lille.
Repris par
COURTOIS Ch. à Lille vers 1892.
Repris par
DESWARTE-COURTOIS vers 1921.
VOIR AUSSI ...
...u n autre
LEIBNER
était apparu à Paris vers le fin de 19ème, comme successeur de
KIILERICH
(°1862) |
|
GUNSELMANN-HERDING
Musiques-Vivantes |
1837
?
|
Piano
droit ca. 1850,
Musique Vivantes,
Lyon, France
GUNSELMANN & HERDING
sur ce site
Cliquer sur le lien
ci-dessus
Brevet de 1844 : "132° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande
a été déposée, le 24 octobre 1844, au secrétariat, de la préfecture du
département de la Seine, par le sieur Herding (Jean-Nicolas), pour un
système de piano expressif avec accord et frappement des marteaux en devant,
et clavier en dehors de l'instrument."
Bulletin
des lois de la République française, 07/1845, p. 48 (gallica.bnf.fr) -
Catalogue des brevets
d'invention, 1846, p. 277
Brevet de 1848 : "B. d'inv. de 15 ans (5 août 1848) au sieur Herding. Piano sans
cordes." Description
des machines et procédés spécifiés dans les brevets d'invention,
1856, p. 111
Brevet de 1848 : "224° Le brevet d'invention de quinze ans,
dont la demande a été déposée, le 5 août 1848, au secrétariat de la
préfecture du département de Maine-et-Loire, par le citoyen Herding (Jean-Nicolas),
rue des Lices, à Angers, pour un piano en fer."
Bulletin
des lois de la République française, 07/1849, p. 610 (gallica.bnf.fr)
|
Angers |
rue des Lices (1837)(1842)(*1844)(**1847)
25,
rue Préfecture (1894)
10, rue Voltaire
(1894)(*1895)(*1913)
46, boulevard du Roi René (maintenant) |
20 ouvriers vers 1849
|
'Facteurs de pianos'
ca. 1837-1913
GUNSELMANN-HERDING (*1837)(**1842)(*1850) Angers.
Vers 1842, ils ne sont plus des associés. Vers 1850 ? ou plus tôt
GUNSELMANN partait pour
s'établir à Paris.
"M. Herding, facteur
d'instruments de musique à Angers, demande que la Société veuille bien faire
examiner un piano confectionné dans ses ateliers, d'après un nouveau système
de son invention . — L'assemblée nomme pour examiner cet instrument une
commission composée de MM. Beraud, Bonnemère, Caupenne, A. Chenuau, Godfroi,
A. Lachèse, Parage-Farran et Eug. Talbot." Bulletin,
Volumes 15-17, Société industrielle et agricole d'Angers et du
département de Maine-et-Loire, 1844, p. 142
HERDING
Jean Nicolas
(1844)(***1849)(1890).
1845 -
"Fremden-Anzeige. [...] Stachus. [...] Herding von
Paris."
Münchener Tagblatt, 21/09/1845, p. 4
(digipress.digitale-sammlungen.de)
LÉPICIER
& GROLLEAU ou
PELICIER [sic]
& GROLLEAU (1893), parce qu'une
sorte de jeu de mots est faite avec le nom :
PELICIER
-
LEPICIER
- PELISSIER
!!!
GROLLEAU et Cie
était le successeur, mais c'est Grolleau et Lacroix :
1894 -
"Paris. — Dissolution. — Société LEPICIER, GROLLEAU et Cie, pianos, musique:
43, b.. St-Denis, à Paris.; 8, Barillerie, au Mans et 25, Préfecture et 10,
Voltaire, à Angers. — M. Lépicier continue seul à Paris et au Mans, Grolleau
et Lacroix à Angers, sous la raison Grolleau et Cie. —3 déc. 93. — C."
Archives
commerciales de la France, 10/01/1894, p. 35 (gallica.bnf.fr)
de 1848
"Notice
sur les pianos en fer, de l'invention de M. Herding,
facteur de Angers. In 8° d'une feuille. Imp. de
Cornilleau, à Angers."
TÊTE D'UNE FACTURE
Facture de 1845 |
Médaille de bronze
Angers, 1837 | Médaille de bronze Le Mans, 1842 | Médaille de
bronze, Angers 1842 | Médaille
d'Argent Bordeaux, 1847
| Médaille d'Or Exposition à Angers, 1848 | première prix Bordeaux, 1850
| Liste des exposants Londres, 1851
|
MERMET Gabriel
|
1837 |
Brevet avant 1855 :
"MERMET, auteur d'un nouveau système de pianos dits à
Percussion continue, dont la propriété est de tenir le
marteau sur la touche, quel que soit son éloignement des
cordes. Rue Grange-Batelière, 18."
Nouveau dictionnaire de musique illustré, Charles
Soulier, 1855, p. 356
"Piano à percussion continue,
piano
inventé par
Mermet, de Paris. Le marteau doit toujours, dans ces
instruments, obéir immédiatement au toucher de l’exécutant."
Dictionnaire
des instruments de musique,
Jacquot, 1886
"Mermet,
fabrique de pianos en tous genres et à cordes obliques,
ayant obtenu une médaille B [bronze] 1839 et A [argent]
1844, rue Bergère, 22."
Annuaire
du commerce Didot-Bottin,
1848, p. 513 (gallica.bnf.fr)
ÉLÈVES de ROLLER
"L'atelier de Roller a fourni de
nombreux facteurs ; MM. Boutron, Guerber, Moniot [Monniot], Thomas, Souffletto,
Mercier, Gibaut, Bernard [Bernhardt], Mermes [Mermet], etc., etc., sont de jeunes facteurs, tous
Français qui ont fait chez lui leur apprentissage ; plusieurs d'entre eux
figuraient avec distinction à l'exposition."
Lucas Al.
Panorama de l'industrie française publié par une société d'artistes
et d'industriels sous la direction de M. Al. Lucas, 1839, p.
97 - Voir
ROLLER
(°1808)
et
ROLLER & BLANCHET
(°1826)
|
Paris |
[42]-43,
rue Hauteville
(x1839)(yy1839)(x1840)(***1841)(xx1841)(arr.10)
61,
rue
Hauteville
(*1842)(**1843)(arr.10)
36,
rue Hauteville
(1842)(¹⁰)(x1843)(**1844)(**1846)(arr.10)
22, rue Bergère
(x1847)(1847)(¹⁰)(*1848)(arr.9)
52, rue d'Hauteville
(x1849)(*1850)(*1851)(yy1852)(**1852)(**1854)(arr.10)
18, rue Grange-Batellière
(v1855)(z1855)(xx1856)(arr.9)
10, rue Racine
(**1877)(**1878)(**1879)(***1880)(**1881)(**1883)(**1888)(arr.5)
9, rue Racine
(**1884)(arr.6) |
12 ouvriers en 1844
|
'Facteur
de pianos' droits ca. 1837-88
Élève de
ROLLER
(°1808)
Époux de LEKEUCHE [ou
BERKEUCHE]Emilie ca. 1839
(¹⁰)
Un certain MERMET, son fils ou frère ? ou lui-même, 'fabricant de
pianos', habitait 22, rue Bergère (arr.9)(¹⁰).
Epoux de LEKEMP Emélie ca. 1847 (¹⁰)
MERMET Gabriel
(1855)
MERMET L.
(18??), probablement dès 1886
"PARIS
- M. Mermet, élève de Roller, à Paris, rue Hauteville, 43. - M. Mermet fabrique des pianos droits à cordes obliques; établi
seulement depuis quinze mois, il a déjà construit trente de ces
instruments. Celui qui a concouru a mérité d'être placé en première ligne
après le piano de M. Érard."
Rapport du Jury
Central, Exposition, des produits de l'Industrie Française en 1839, M. Savart, rapporteur, 1839
PARIS - "M. MERMET, à Paris, rue Hauteville, 36. M. Mermet occupe douze ouvriers dans ses ateliers. Il a exposé un piano droit
à cordes obliques, un piano triangulaire et un piano à queue vertical. Le
premier de ces instruments a mérité dans le concours d'être placé au
septième rang. M. Mermet a obtenu une médaille de bronze en 1839; le jury
lui décerne une nouvelle récompense du même ordre."
Rapport
du Jury central, Paris Jury central, Imprimerie de Fain
et Thunot, 1844
PARIS - "Le piano franchement triangulaire de M.
Mermet a au moins l'avantage de ne pas induire le public
en erreur : on ne l'achètera jamais comme piano à queue.
Le même exposant présentait un instrument qui était
absolument le contraire de celui de M. Herz. C'était un
véritable piano à queue rendu vertical. Cet instrument
est connu depuis longtemps en Angleterre, sous le nom
bizarre de old king's grand (piano à queue du vieux
roi)."
Revue scientifique et industrielle, Volume 17, 1844
PARIS - "M. MERMET, rue Hauteville, n° 52, à Paris. Le jury accorde à M. Mermet
le rappel de sa médaille de bronze qu'il avait obtenue en 1844."
Rapport du Jury
Central sur les Produits de l'Agriculture et de l'Industrie, 1849, p. 583
|
Médaille de bronze
Paris, 1839
| Médaille d'argent [ou bronze ?] Paris 1844 |
Liste des exposants Paris, 1849
| Liste des exposants Paris, 1855
|
FOURNIER |
1837 |
"PIANOS,
MUSIQUE, HARMONIUMS - ARMAND RAFFY - 19, Place du 4-Septembre (anciennement
St-Pierre), BESANÇON PIANOS ÈRARO, PLEYEL, HERZ, ELCKÈ, GAVEAU, MUSSARD,
ETC. LOCATION - RÉPARATIONS – ACCORDS Vente par Abonnement depuis 25
francs par mois Abonnement à la Lecture Musicale."
Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et
musical, 1906, p. 698 (gallica.bnf.fr)
|
Besançon |
10 rue Préfecture
(1892) 19,
Place du 4-Septembre (anciennement St-Pierre)(*1905)(*1906)(*1909)(*1913)(*1921) |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits, et professeur de piano
ca. 1837-1921
'Musikal.-, Piano- u.
Instrumenten-Handlung' (xx1890)
RAFFY,
acquereur de FOURNIER en 1892 (Archives
commerciales de la France. 01/10/1892, p. 1211 (gallica.bnf.fr))
RAFFY
Armand (*1906)(*1909)
VOIR AUSSI ...
... un autre avec le nom
RAFFY
à Lyon. |
|
MALLET
Vue extérieure
des Magasins, 17, rue Vital-Caries et 62, rue
Porte-Dijeaux
à Bordeaux
Ateliers DELMOULY A. : 100, rue de Belleyme
ca. 1907 à Bordeaux
Salle des Concerts DELMOULY, 17, rue Vital-Carles ca.
1907
à Bordeaux |
1838 |
Sous-marque dès 1899 (²¹)
"AVANTAGE
RÉEL VENTE D'ORGUES HARMONIUM neufs et d'occasion, payables par mois,
depuis 30, 40 et 60 fr., suivant les instruments.— PIANOS neufs et
d'occasion. — Dépôt d'HARMONI — FLUTES, instrument nouveau se jouant
connue le piano et l'orgue-harmonium. — ACCORDÉONS de tous genres,
échange, accord, location, réparations auxdits instruments chez M.
MALLET, place du Vieux-Marché, 8, au deuxième, ci-devant
Marché-aux-Veaux."
L'Industrie. Suite du Gratis. Journal littéraire, agricole et
commercial, 1859, p. 2 (gallica.bnf.fr)
AFFICHE
CATALOGUE
Ils ont
mis leur signature sur les pianos d'Augustin GAVEAU
(°1911)
vers le début du 20ème siècle??? et Henry WALTER.
|
Bordeaux
Cognac
Royan
Libourne |
MAISON PRINCIPALE :
place
du Marché aux Veaux (étiquette)
8, place
du Vieux-Marché (*1850)(zz1853)(vvv1855)(yy1856)(yy1857)(***1858)(xx1858)(**1859)(x1859)(***1862)(yy1862)(***1863)(y1864)
75, rue d'Alsace Lorraine (xx1890)
75-77, cours d'Alsace et Lorraine (1887)(*1893)(*1895)(*1896)
24,
rue Vital Carles (*1898)
17, rue Vital Carles
(1897)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(*1913)(**1921)(x1926)
62, rue Porte Dijeaux
(xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)(*1905)(*1907)(*1909)(*1913)(**1921)(*1922)(x1926)
Ateliers : 100, rue de Belleyme
(x1906)(1907)
à Bordeaux
SUCCURSALE
: 19, rue
d'Angoulème (x1912)(*1913)(**1921)(x1926)
à Cognac
SUCCURSALE :
(Mme. Vve. Rambert,
gérante) 26, rue Gambetta (**1921)
à Libourne
SUCCURSALE :
24, rue Gambetta
(x1912)(*1913)(**1921)(x1926)
à
Royan |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits, harmoniums et éditeur et marchand de graines
ca. 1850-1926
MALLET
(x1859)
A. DELMOULY
& Fils Aîné, successeur
de
MALLET (1887)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898),
75-77, cours d'Alsace et Lorraine.
DELMOULY
G. Jeune (*1893)(*1895)(*1896)(*1897) sur l'adresse suivante 62, rue Porte Dijeaux (voyez les adresses à
gauche).
1887 -
"Bordeaux.— Formation
de la Société en nom collectif DELMOULY et fils aîné (pianos,
instruments de musique, etc.), cours d'Alsace et-Lorraine, 75. — Durée :
10 ans du 5 sept 1887. — Cap : 117,000 f. - Acte du 10 sept. 1887."
Archives commerciales de la France, 12/10/1887, p. 1296 (gallica.bnf.fr)
DELMOULY
Frères [depuis 1890]
'Pianohandlung'
(xx1890)
1890 - "Bordeaux. — Modification de
la Société en nom collectif DELMOULY et fils frères (pianos, etc.), devenue
DELMOULY frères, par suite du retrait de M. DELMOULY père, qui en était
réservé le droit au moment de la constitution de la Société. — Acte du 26
août 1890."
Archives
commerciales de la France, 10/09/1890, p. 1171 (gallica.bnf.fr)
1897 - "Bordeaux.— Dissolution.— 13
août 97. — Société DELMOULY frères, pianos, 17, Vital-Carles. — L. M. André
Delmoûly. — 13 août 97."
Archives
commerciales de la France. 08/09/1897, p. 1130 (gallica.bnf.fr)
KLEYER était une
sous-marque de
DELMOULY, utilisée dès
1899 (²¹)
DELMOULY
André
[depuis
1902
(x1912)]; -
(*1905)(x1906)(*1907)(*1909)(x1912)(**1921)(x1926), successeur [depuis
1898
(x1906)(x1912)(x1926)]
'Piano-, Harmonium- u.
Musikinstr.-Handlung' (x1906)(x1912)
à Bordeaux
1907 -
"La Maison de pianos,
harpes, musique et lutherie André DELMOULY est une des
toutes premières de notre ville et de la région.
Dans ses vastes et splendides magasins situés rue
Vital-Caries, 17, et rue Porle-Dijeaux, 62, l'acheteur
est certain de trouver un choix considérable, de Pianos
neufs droits et à queue de tous facteurs, tels que
PLEYEL, ERARD, HERZ, GAVEAU, FOCKÉ, BORD, MUSSARD, etc.,
car la Maison DELMOULY s'est fait une véritable
spécialité de la vente et de la. réparation des pianos.
Pour s'en rendre compte, il est infiniment intéressant
de visiter les Ateliers de fabrication et de réparation
delà Maison DELMOULY, rue de Belleyme. Là, les meilleurs
ouvriers fabriquent et réparent, avec un soin consommé,
des Pianos de toutes sortes, qui ont obtenu les plus
hautes récompenses dans toutes les Expositions : diplôme
d'honneur, médailles d'or, d'argent, etc. Ils leur
donnent ou leur rendent leur belle sonorité, et la
quantité vraiment extraordinaire d'instruments qu'ils
réparent (plus de 500 par an !) témoigne bien de leur
mérite et de leur science.
Mais la Maison DELMOULY ne s'en tient pas à la seule
fabrication ou vente des Pianos; comme toute bonne
Maison, de lutherie, tous les instruments à cordes
occupent ses soins. Elle met en vente d'excellents
Violons, fort appréciés de tous nos musiciens; des
Violoncelles qui réunissent tous les suffrages pour
l'ampleur dè leur son; enfin la Maison. DELMOULY s'est
attaché la marque si appréciée Enrico NARDI, de Naples,
pour les Mandolines. Elle a organisé aussi d'ingénieux
abonnements à la Lecture musicale, qui mettent à la
portée de tous, les chefs-d'œuvre des grands maîtres.
Une magnifique salle de Concerts contenant plus de 200
places avec un grand modèle de piano Pleyel est mise à
la disposition des
professeurs et artistes pour y donner desxoncerts et
auditions musicales.
La Maison possède des succursales à : Agen, 34,
boulevard de la République; Cognac, 20, rue
Saint-Martin; Libourne, 66, rue du
Président-Garnot ; Langon, place Maubec ; Nérac,
Grand'Rue; Royan, 24, rue Gambetta, où nos lecteurs et
lectrices trouveront
d'excellents pianos pour leur saison balnéaire. Nous
ajouterons que cette importante Maison de confiance est
dès plus anciennes à Bordeaux :
elle a été fondée en 1838." Extrait d'une pub.,
Livre d'or des capitales du Sud-Ouest : publié à
l'occasion de l'exposition maritime de Bordeaux, 1907,
p. 68 (gallica.bnf.fr)
DELMOULY-DEGORCE
(?)
Repris par
Henry DEGORCE
(x1912)(*1913)(**1921)(x1926)
'Piano-, Harmonium- u.
Musikinstr.-Handlung' & 'Musikal.-, Piano-, Musikinstr.- u.
Sprechm.-Handlung' (x1926)
Cognac
[depuis 1902
(x1926)]
1912 -
Gérant
: Henri Degorce (x1912)'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums, Musikinstr.
u. Phonographen' (x1912)
-------
'Händler
mit Musikal., Pianos, Harmoniums, Musikinstr. u.
Sprechm.' (x1926)
Royan
DELMOULY
A[ndré]
(x1912)(*1913)(**1921)(x1926)
'Händler mit Musikinstr., Phonographen
u. Saiten' (x1912) -------
'Musique et Instruments' (x1926) ------- 'Händler mit
Musikal., Sprechm. u. Saiten' (x1926)
|
|
MÉRIEL
| MERIEL |
1838 |
MERIEL
sur ce
site
Cliquer sur le lien ci-dessus.
"MÉRIEL, FILS
AÎNÉ, Luthier, Passage Bellivet, Grand magasin de pianos
des meilleures maisons de Paris ; instruments de toute
espèce. Musique, méthodes, albums, etc., etc."
Indicateur de Caen Bayeux et Falaise. Guide des
étrangers, 1847, p. 311 (gallica.bnf.fr)
"Meriel père.
Meriel fils aîné, luthier, facteur de pianos, inventeur
d'un mécanisme, au moyen duquel il fait transposer tous
pianos droits, de deux à cinq demi-tons ; pianos en tous
genres des premiers facteurs de Paris ; spécialité pour
orgues d'eglises, chapelle et salons, fournisseur du
l'lergé; magasin de musique et instruments de toute
espèce, accordéons perfectionnés ; ateliers pour la
réparation des p,ianos et instruments en cuivre; accord,
location et échange."
Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1854, p. 1467 (gallica.bnf.fr)
"Mériel L.
aîné, inventeur d'un mécanisme permettant de transposer
tous pianos droits de 2 à 5 demi-tons ; pianos en tous
genres ; spécialité d'orgues d'églises, fournisseur du
clergé, gr. méd. d'honn. Caen 1855."
Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1859, p. 1477 (gallica.bnf.fr)
TÊTE D'UNE FACTURE
Facture de 1890
ETIQUETTE
|
Caen
Paris |
Passage
Bellivet (xxx1847)
place du Théâtre
(**1858)(*1892)
place Royale (**1868)
7, place
Royale (*1875)
5, rue du Pont-Saint-Jacques
(*1876)(***1883)(***1888)(xx1890)(*1913)
à Caen
9, rue de Provence (1902) (arr.9)
4, rue Meissonnier
(x1906)(*1907)(**1907)(arr.17)
90, avenue de Villiers
(*1909)(*1910)(**1910)(**1911)(x1912)(arr.17)
à Paris |
|
'Facteur de pianos'
droits ca.
1847-1913
"Mériel, facteur de pianos."
Bulletin, Volume
2, Société des Beaux-Arts de Caen, 1859, p. 390
MERIEL
Fils Aîné
(xxx1847)
ou
Louis MERIEL
MÉRIEL
Fils
(**1868)
MÉRIEL
Aîné
(*1875)
MÉRIEL
Aîné & Fils
(*1876)
MERIEL
Louis
(x1878)(*1879)(x1879)(***1883)(xx1890),
marchand de musique, 5, rue du Pont-Saint-Jacques.
'Musikal.- u. Instr.-Handlung'
(xx1890)
MERIEL
Alphonse
(x1878),
marchand de musique et facteur de pianos, et en (*1879), 5, rue du Pont-Saint-Jacques.
Voir
ARTICLES
MERIEL
Alphonse Fils
(xx1890), 'Pianofabrik,
Musikal.- u. Instr.-Handlung'
MÉRIEL
L.
(*1892)
MERIEL
Louis &
Fils (*1913)
MERIEL A[lphonse],
successeur de L. MERIEL & fils. Et Successeur de
DORMONT en 1902 à Paris.
1902 - "Vendeur : Dormont - Acquéreur : Mériel - Domicile élu pour les oppositions : Ritter, 17, Deltz - Entrée
en jouissance : 1 oct - Fonds vendu : Commerce facteur pianos, 9,
Provence."
Archives commerciales de la France, 25/10/1902,
p. 1372 (gallica.bnf.fr)
Faillite en 1910 : "Meriel
Alphonse, loueur de pianos, demeurant à Paris, 90, avenue de Villiers."
Journal officiel de la République française. Lois
et décrets, 29/12/1910, p. 5 (gallica.bnf.fr)
'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912)
Le MERIEL Alphonse
&
Fils (*1913)
Brevet de 1889 : "202177. Brevet de quinze ans, 25 novembre 1889; Mériel,
représenté par Chassevent, à Paris, boulevard Magenta, n° 11. Système de
mécanisme pour claviers transpositeurs, pour pianos, orgues et
instruments analogues."
Bulletin des lois de la République française,
01/1890, p. 664 (gallica.bnf.fr)
'Brevettes
S.G.D.G. ; 2 Diplômes d'honneur' ?
VOIR AUSSI ...
... autres avec le nom
MERIEL
|
Médaille
d'honneur Caen, 1855 | Médaille d'or Rouen, 1886
|
ROBERT
F. A. |
1838 |
"A.
Robert, élève d'Hatzenbuhler et de Gaison [Gaidon ?]
jeune de Paris. Maison fondée en 1838 par F.-A. Robert.
Facteur et accordeur de pianos de Paris. Exposition de
1878. - Vente, accords, location, réparations. 4-6,
Place Armand-Cassan, Mantes (Saone-et-Oise)."
Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et
musical, 1898,
p. 889 (gallica.bnf.fr)
|
Mantes-sur-Seine |
5, Place Armand-Cassan (xx1890)
4-6, Place Armand-Cassan (*1898)
rue de Dammartin
(x1906)(x1912)
6, Place Armand-Cassan (*1913)
|
|
'Facteur de pianos'
droits ca. 1898-1913
ROBERT
A[dolphe]
(xx1890)(*1898)(x1912)(*1913)
'Pianofabrik u. Handlung'
(xx1890)
'Elève
d'Hatzenbuhler et de Gaison [Gaidon ?] jeune de Paris'
(*1898)
'Pianobauer' (x1906)
'Pianobauer u. -Händler'
(x1912)
Il y a un
ROBERT A.
(°1868)
à Paris
|
|
ACKERMAN |
1839 |
|
Paris |
? |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1839
Il y avait
quelqu'un
avec le nom 'ACKERMANN' était ouvrier-vernisseur chez
PLEYEL vers 1853-55 (²⁰)
|
|
RAVENNE
&
BLONDEL
Alphonse
Philippe
Alfred
(1813 - 1893)
Piano à clavier mobile,
exposition 1855
|
1839 |
TITRES
'Facteur de l'Academie Royale de Musique'
'Facteur
de l'Académie impériale de Musique' (v1855)
Piano
basculant n° 1973 et n° 4739 au Musée du piano à Limoux, France (Voyez 3ème
cartouche)
Piano
basculant ca. 1860,
Museu de la Música, Barcelona, Espagne
Piano
droit n° 4417 ca. 1880, Cité de la Musique, Paris, France
Pianoharmonium
ca. ?, DigitalMuseum
BLONDEL
sur ce site
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!!! Ce n'est pas
BLONDEL & Cie
(°1903), qui sont les successeurs d'
Érard
(°1775)
|
Paris |
1, rue du
Faubourg-du-Temple (1839)(arr.11)
6, rue du faubourg
Saint-Denis (1841)(arr.10)
41, rue de l'Échiquîer
(1841)(*1842)(**1843)(x1843)(**1844)(**1845)(**1846)(*1847)(x1847)(*1848)(x1849)(y1850)(arr.10)
52, rue de l'Échiquîer
(1855)(***1863)(arr.10)
53, rue de l'Échiquîer,
au coin du faubourg Poissonnière
(*1850)(*1851)(**1852)(**1854)(v1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(**1857)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(yyy1878)(**1879)(**1880)(**1881)(*1883)(**1883)(**1884)(**1885)(***1885)(**1886)(**1888)(y1889)(x1890)(xx1890)(*1894)(**1898)(z1900)(arr.10)
16, rue du faubourg Poissonnière (1841)(x1843)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1883)(**1886)(**1888)(y1889)(x1890)(xx1894)(**1898)(z1900)(arr.9)
28, rue de Clichy
(x1906)(**1907)(x1912)(**1914)(arr.9)
26-28, rue de Clichy
(x1907)(**1910)(**1911)(**1912)(arr.9)
14, rue de Clichy (*1913)(arr.9)
57, rue des Martyrs
(x1922)(arr.9)
Manufacture
: 15 [-17], rue Duperré (*1851)(yy1851)(**1852)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(**1864)(**1871)(**1873)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(*1883)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(y1889)(**1898)(z1902)(arr.9)
Chantiers : boulevard
Picpus (**1898)(arr.12)
17, rue Duperré (**1904)(arr.9)
Usine : rue de la Flandre (*1913)(arr.19) |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1839-1922 [depuis
1839
(x1906)(x1912)]
Pianos droits, pianos
carrés et pianos à queue et très connu pour ses
pianos avec un clavier basculant (voyer des exemples à gauche), spécifique pour les cabines des transatlantiques
Il
était élève de ROGEZ
(°1834)(¹)
RAVENNE
&
BLONDEL
(1839), voyez
RAVENNE
1846 -
"MC/RE/XLIV/19 - 7 mars 1846 - Liquidation de la
succession : Clin, Anne-Clara-Gabrielle. Blondel,
Philippe-Alfred-Alphonse (épouse). Facteur de pianos.
Echiquier (rue de l'), n° 41."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
1851
- "MC/ET/XIX/1058 - 2 juillet 1851 - Mariage.
Informations complémentaires :
Intervenant 1, en première partie : Nom, qualité: (M.)
Blondel, Philippe Alphonse Alfred. Profession : facteur
de pianos, Paris. Domicile : Paris (Paris) rue de
l'Echiquier, 53. Relations : fils de l'intervenant 2.
Intervenant 2, indirect : Nom, qualité: (M.) Blondel,
Francois. État civil : décédé.
Intervenant 3, en deuxième partie : Nom, qualité: (Mme
ou Mlle) Leloiri, Louise Alexandrine. Domicile : Paris
(Paris) rue Saint-Martin, 333. Relations : fille de
l'intervenant 4.
Intervenant 4, indirect : Nom, qualité: (M.) Leloir,
Alexandre Victor. Profession : employe des postes,
Paris. Domicile : Paris (Paris) rue Saint-Martin, 333."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
1851 -
"MC/RE/XIX/11 - 21 août 1851 - Mariage, dépôt de pieces.
Informations complémentaires :
Intervenant 1, en première partie : Nom, qualité: (M.)
Blondel, Philippe Alphonse Alfred. Profession : facteur
de pianos, Paris. Domicile : Paris (Paris) rue de
l'Echiquier, 53.
Intervenant 2, en deuxième partie : Nom, qualité: (Mme
ou Mlle) Leloir, Louise Alexandrine. Domicile : Paris
(Paris) rue Saint-Martin, 333."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
Deux fils d'Alphonse BLONDEL ? :
- BLONDEL, 'fabricant de pianos' : Époux de LELOIR (1851)(¹⁰) - 53, rue de l'Échiquîer
La future demeure rue Saint Martin, n° 333.
BLONDEL
Alfred Alphonse Alexandre Ferdinand
né le 14 avril 1852, à Paris.
Grade dans la Légion d’honneur : chevalier le 10 juin
1896. (²²) Nous le trouvons sur les dates suivantes :
(1841)(**1844)(**1846)(x1847)(yy1851)
- BLONDEL, 'facteur de pianos' : Époux de BIERRY (1855)(¹⁰) - 53, rue de l'Échiquîer
La future demeure rue Véron à Montmartre (près Paris).
BLONDEL
A.
(**1870)
BLONDEL
A. Ph. (***1885)
'Pianofabrikant' (xx1890)
Repris par
AUDRAN
Charles en 1902 (**1906)(**1910)(x1912)
1902 -
"Vendeur : Blondel - Acquéreur : Audran - Domicile élu pour les
oppositions : 27, Guillaume-Tell - Entrée en jouissance : de suite -
Fonds vendu : Fab. pianos, 17, Duperré."
Archives commerciales de la France, 03/12/1902, p. 1546 (gallica.bnf.fr)
BLONDEL
Alph[onse]
[z1900)(x1906)
Succ. par Charles AUDRAN
(x1906)
AUDRAN-BLONDEL
& Cie en 1907, "Charles Audran, successeur' (**1907)
'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912)
Repris par
BRU
(°1892);
(*1913) ?
Ses derniers instruments sont fabriqués par
KRIEGELSTEIN
(°1831)
(¹)
1850 -
"La fabrication des pianos doit également de notables
perfectionnements à N. Alphonse Blondel, rue de l’Echiquier, 41, à Paris,
dont les pianos droits sont bien certainement les meilleurs et les plus
complots qui stent. Voici le jugement émissur les pianos de M. Blondel par
le siècle, dans sa revue de l’exposition. «Ses instruments joignent à la
idite des mécaniques, à la rondeur et au moelleux du son, un goût de rare
d’ornementation extérieure : on ne sait en effet, ce qu’il faut nirer le
plus, de l’excellence de l’instrument, on de l’élégance et de richesse du
meuble. Mais la principale qualité de ce facteur est une inde suavité, une
parfaite égalité dans les rapports des sons, un clar facile et pour ainsi
dire intelligent à rendre arec bonheur les plus icates nuances de
l’exécution.»"
Journal de la Meurthe et des Vosges, 01/01/1850, p. 3
(kiosque.limedia.fr)
1894 -
"Le livreur de la maison
Alphonse Blondel, facteurs de pianos, 53, rue de l'Echiquier, était chargé
d'aller porter un piano chez M. Cochefert. Il le livra, en encaissa le prix
et s'en revint. Mais, avant de rentrer, il avait à reprendre un autre piano
de location cette fois à l'hôtel du Pavillon, à deux pas de chez son patron.
Il laissa son, paletot dans la voiture et monta chercher l'instrument. Quand
il redescendit, le paletot était bien là, mais l'argent avait disparu! "
Le Figaro,
09/140/1894, p. 3 (gallica.bnf.fr)
1897 -
"A propos de l'écho que nous
avons publié au sujet de la boîte à musique de l'empereur Ménélick vendue
par M. Brémond, fabricant à Genève, M. Alphonse Blondel nous fait observer
que le Négus est beaucoup plus mélomane qu'on ne le suppose. En effet, M.
Blondel lui a envoyé, sur sa demande, un de ses pianos; mais voici où cela
devient réellement curieux: c'est que l'instrument dont se sert l'empereur
d'Abyssinie pour charmer-ses loisirs est de l'invention de M. Blondel
c'est-à-dire qu'il; se démonte et se remonte à volonté, pour la facilité du
transport." Le Figaro, 19/07/1897, p. 1 (gallica.bnf.fr)
1898 -
"Une voiture de la maison
Alphonse Blondel, faubourg Poissonniére, faisant une livraison de pianos,
était arrêtée rue d'Hauteville, près de la rue des Petites-Ecuries. Un
monsieur, voulant passer devant le cheval, l'écarta avec son parapluie. Le
cheval, sans doute froissé, l'empoigna par le bras avec les dents. On
croyait le pauvre homme estropié. Il en a été quitte heureusement pour la
peur et un fort accroc à la manche de son pardessus." Le Figaro,
04/04/1898, p. 4 (gallica.bnf.fr)
"U n piano: voilà encore une chose necessaire;
que disons-nous! de première nécessive pendant l’hiver. M. Blondel, rue de
l’Echiquier, 41, que les artistes éminces, les professeurs du Conservatoire ont
pris sous leur protection, parce qu’ils ont reconnu la bonté, la solidité de ses
instrument, s’est placé depuis quelques années à la tête de nos facteurs. Les
pianos de M. Blondel réunissent toutes les innovations, tous les
perfectionnemens désirables. Ils tiennent parfaitement l'accord, et pour
l'éclat, l’égalité, la beauté du son, ils égalent les meilleurs instrumens. Ce
qui prouve labonlé et la beauté d s instrumens de M. Blondel, c’est que ce
facteur a été choisi pour fournisseur à l’académie royale de musique."
Gazette de Metz et de Lorraine, 09/01/1848, p. 4 (kiosque.limedia.fr)
INFO EXTRA
Publicité avec 10 modèles de pianos
(silos.ville-chaumont)
|
Liste des exposants
Paris, 1839
| Liste des exposants Paris, 1844 | Liste
des exposants Paris, 1846 | Médaille de bronze
Paris, 1849 |
Mention honorable Paris, 1855 |
Liste des exposants, Bayonne, 1864 |
Médaille d'argent Paris, 1878 | Médaille d'argent Anvers, 1894 | Médaille
d'argent Amsterdam, 1895 | Hors concours Bordeaux, 1895 | Hors concours
Paris, 1900
|
BURCKHARDT
Daniel
|
BURCHHARD
|
1839 |
SOUS-MARQUE
Ils ont producé
aussi la marque suivante :
'BASILEUS', le modèle 'LUTETIA' jusqu'en 1927. (¹)
"Un vol des plus extraordinaires
a été commis la nuit dernière, au 49 de la rue de la Procession, dans la
propriété privée appartenant à M. Maqua [sic], facteur en pianos, dont le
magasin de venus est situé 73, boulevard Saint-Germain. M. et Mme Maqua
[sic] quittaient Paris il y a deux semaines pour se rendre en province et
laissaient la garde de leur maison et la direction de leur manufacture,
située derrière leur habitation particulière, à leur fils, M. Daniel Maqua
[sic], âgé de dix-neuf ans, et à la tante de celui-ci, Mlle Maqua [sic].
Hier matin, vers deux heures, le jeune homme, qui se couche habituellement
vers neuf heures du soir, était brusquement réveillé par un bruit insolite.
Avant même qu'il pût s'emparer d'un revolver placé toujours près de lui sur
une table de nuit, le jeune nomme était saisi par deux individus, dont l'un
avait le visage masqué un troisième éclairait la scène à l'aide d'un rat de
cave. En peu de temps, le malheureux fut bâillonné à l'aide d'un petit
tampon en velours violet fixé sur sa bouche à l'aide d'un mouchoir à
carreaux blancs et rouges. Une fois bâillonné, il fut fortement ficelé aux
bras et aux jambes, après quoi ses agresseur l'attachèrent au balconnet de
la fenêtre par laquelle ils étaient entrés. Quant ils furent convaincus que
M. Maqua fils était dans l'impossibilité de faire quoique ce soit, les trois
bandits, armés de revolvers et braquant ceux-ci vers leur prisonnier, lui
intimèrent l'ordre d'indiquer où se trouvait l'argent. M. Maqua tourna son
regard vers un placard où était renfermée une somme de 950 francs, composée
de cinq billets de 100 francs, de deux biltets de 50 francs et le reste en
pièces d'or. La porte du placard étant fermée, les voleurs la firent sauter
à l'aide d'une prince monseigneur et fracturèrent également les tiroirs dans
t un desquels ils découvrirent l'argent. Après quoi ils bouleversèrent tout
dans la chambre et disparurent par la fenêtre, laissant M. Maqua bâillonné
et attaché à la même place. A sept heures et demie du matin, Vite Maqua,
dont la chambre à coucher se trouve de l'autre côté de l'immeuble, ne voyant
pas son neveu, alla frapper à la porte de celui-ci, et, n'obtenant pas de
réponse, il en fut prévenir deux voisins MM. Lauglois et Pillard. Ceux-ci
enfoncèrent la porte de la chambre à coucher de M. Daniel qui était toujours
dans la même situation critique. Après lavoir débarrassé de ses liens ils se
rendirent avec lui au commissariat de la rue Blomet, où M. Daniel Maqua fut
sa déposition qui fut recueillie par M. Maréchal. Un possède le signalement
détaillé des malfaiteurs."
Le Petit
Parisien, 25/08/1899, p. 3 (gallica.bnf.fr)
"FABRIQUE & CHANTIER 49, Rue
de la Procession (XIV Air ) - MENTIONS HONORABLES - Expositions Universelles
de 1855 et 1867 - MÉDAILLE â l'Exposition Universelle de 1876 - Exposition
Universelle 1889: MÉDAILLE D'ARGENT - D. BURCKHARDT & MARQUA - FACTEURS DE PIANOS - PARIS – 82, Boulevard Saint-Germain PARIS - EN FACE LE THEATRE
CLUNY - PIANOS DROITS & A QUEUE - Cadres en fer. - Cordes croisées - PIANOS
TRANSPOSITEURS perfectionnés - VENTE, ÉCHANGE & LOCATION."
Annuaire
des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1893 (gallica.bnf.fr)
|
Paris
Épinay
Saint-Valéry-en-Caux |
43 (?), rue l'École de Médicine (vers
1840)(arr.6)
7 (et 9), rue Mercier
(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(vv1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(xx1857)(arr.9)
7 & 9, rue Mercier
près le passage Vero Dodan
(?)(arr.9)
43, rue de l'École-de-Médecine
(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(***1863)(**1864)(*1867)(**1870)(**1871)(**1873)(arr.6)
40, rue des Écoles
(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(yyy1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(**1888)(y1889)(arr.5)
FABRIQUE : 34, rue de la Montagne Sainte-Geneviève
(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(arr.5)
72, boulevard Saint-Germain (après 1878)(**1898)(***1900)(z1900)(z1902)(**1904)(x1906)(arr.6)
82, boulevard Saint-Germain
[en face le Théâtre Cluny] (*1889)(xx1889)(y1889)(x1890)(xx1890)(*1893)(*1896)(*1909)(arr.5)
FABRIQUE : Vaugirard-Paris (xx1890)
49, rue de la Procession
(x1890)(*1893)(**1898)(***1900)(z1900)(**1904)(x1906)(x1907)(*1909)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(arr.15)
47-49, rue de la Procession
(z1900)(z1902)(arr.15)
99, boulevard Saint-Germain
(**1907)(x1907)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(yy1914)(arr.6)
88, rue Lecourbe (*1913)(**1914)(yy1914)(*1922)(x1922)(x1926)(z1931)(arr.15)
à Paris
88-90, avenue de Pontoise (z1931)
à Épinay
SUCCURSALE :
en face de la Gare (*1913)
à
Saint-Valéry-en-Caux |
|
'Manufacture de pianos'
droits et pianos à queue,
'Facteur de pianos'
ca. 1840-1931 [depuis
1839
(x1926)]
BURCKHARDT
est commencé à Epinay, puis il
était déménagé vers Paris.
BURCKHARDT
D. (yy1851)(1855)
BURCKHARDT
D. & Cie
(xx1857)(xx1859)(xx1860)(***1863)(*1867)(**1870)(**1871)
BURCKHARDT
D. (**1873)
BURCKHARDT
& MARQUA
(*1875)(*1876)(**1877)(**1878)(yyy1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(**1888)(*1889)(xx1889)(y1889)(x1890)(xx1890)(z1900)
MARQUA était son neveu.
1876 - "3 Le sieur Marqua (Daniel), fabricant
de pianos, né le 21 mai 1844 à Ingenheim (Bavière),
demeurant à Paris."
Bulletin des lois de la République française, 1876,
p. 1193
1879 - "Paris — Formation de la
Société en nom collectif BURCKHARDT et MARQUA, facteurs de pianos, rue des
Écoles, 40. - Durée : 10 ans. — Capi. : 125,000, fr. — Acte du 17 janvier
1Ô79. — G. f."
Archives
commerciales de la France. 26/01/1879, p. 115 (gallica.bnf.fr)
'Pianofabrikant' (xx1890)
-------
'Piano- u. Harmonium-Handlung'
(x1906)(x1912) ------- 'Facteur de pianos'
& 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926)
MARQUA
D[aniel] (1880 - ?), fils
et successeur
(**1898)(z1900)(z1902)(x1906)(*1910)(**1912)(x1912)(*1913)(**1914)(yy1914)(*1922)(x1926)(z1931)
BIO
"Bien que fondée en 1839, on ne la vit
apparaître à une exposition qu’en 1855 où elle obtint une mention confirmée
en 1867. En 1878, ce fut une médaille de bronze. Dans l’intervalle, le
propriétaire de la manufacture s’était associé son neveu MARQUA qui, à
partir de 1883, resta seul chargé de la direction. L’originalité de son
exposition, en 1889, consista dans l’adjonction au piano à queue d’une
pédale-sourdine, ne laissant vibrer qu’une seule corde de façon à pouvoir
rendre fidèlement l’indication « una corda » que l’on rencontre
fréquemment dans les œuvres pour piano et qui, en réalité, est
faite à deux cordes, avec la pédale douce ordinaire. Dans ce système,
contrairement à l’usage courant, le clavier et la mécanique restent en place
–ce qui évite l’usure causée par le va-et-vient,- le nouveau jeu
d’étouffoirs est fixé au delà du frappé du marteau et les feutres en forme
de coins, viennent se placer entre deux cordes, de façon à n’en laisser
vibrer qu’une. On voyait aussi, à la galerie Desaix, un piano droit avec
clavier établi de manière à permettre de transposer de trois demi-tons et
construit de telle sorte qu’il n’y ait pas de frottement comme à l’ordinaire.
Appliqué au piano à cordes croisées, le clavier-transpositeur présentait des
difficultés que l’inventeur a pu surmonter heureusement; une médaille
d’argent a été la récompense de son ingéniosité."
Les
facteurs d'instruments
de musique : les luthiers et la facture instrumentale :
précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893
Brevet de 1889 :
"198331. Brevet de quinze ans, 20 mai 1889; Marqua, à Paris, boulevard
Saint-Germain. n° 82. Nouvelle application de coins en feutre, cuir ou peau
aux pianos, dans le but d'obtenir un son appelé céleste ou sourdine."
Bulletin
des lois de la République française, 01/1890, p. 573 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"M. Burchardt est un bon fabricant, sa facture est ordinaire, mais bien
conditionnée; la sonorité n'est pas forte mais elle est suffisante, le
clavier est facile. Il est probable que son instrument à cordes obliques,
placé dans une situation plus favorable, gagnerait en sonorité. Je ne
comprends pas que le jury et les délégués qui ont présidé à l'installation,
aient eu le courage d'accepter un pareil emplacement. Les étrangers ont su
former des compartiments spéciaux pour les instruments de musique, et de là
en grande partie leur succès."
La musique à l'Exposition universelle de 1867,
Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant,
p.
154
PARIS -
"BURCKHARDT ET MARQUA. - France. - Pianos bien ajustés et bien finis par
ces facteurs, mais qui ne semblent pas une œuvre originale."
Chouquet,
Rapport sur les instruments de musiques à l'exposition universelle de
1878
PARIS -
"20. BURCKHARDT (D.) & MARQUA, à
Paris, boulevard Saint-Germain, 82. — Piano droit, style
Renaissance, piano à queue. Maison fondée en 1839 par M.
Burckhardt, spécialité de pianos transpositeurs
perfectionnés, pianos à cordes obliques et à cordes
croisées, vente et location. Récompenses aux expositions
universelles de 1855 et 1867. Médaille, Paris 1878."
Catalogue général officiel de
l'exposition universelle de 1889,
p. 2 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"25. Burckhardt-Marqua (Daniel), à
Paris, rue de la Procession, 49. — Pianos. Magasin,
boulevard Saint-Germain, 72. Usine, rue de la
Procession, 49. Paris 1855, Mention honorable ; Paris
1867, Mention honorable ; Paris 1878, Médaille de bronze
; Paris 1889, Médaille d’argent."
Catalogue général officiel. Tome
troisième, Groupe III : instruments et procédés
généraux des lettres, des sciences et des arts :
classes 11 à 18, 1900, p. 516 (archive.org)
|
Mention honorable
Paris, 1855 | Mention honorable Paris, 1867 | Médaille de bronze
Paris, 1878 | Médaille d'argent Paris,
1889 | Médaille d'argent Paris, 1900
|
GAUDONNET N. |
1839 |
POITIERS -
"Nous avons eu aussi
une exposition des produits de l'industrie dans laquelle on a
remarqué un excellent piano de M. Gaudonnet, ancien ouvrier de Pape
et d'Érard, actuellement établi à Poitiers. Divers perfectionnements
importants ont été introduits dans le mécanisme et dans la
disposition de l'instrument, qui joint à une grande solidité une
excellente qualité de son. Aussi le jury, sur le rapport des
principaux artistes, a-t il décerné à M. Gaudonnet une médaille
d'or. On a en outre décidé que le piano exposé serait acheté au
fabricant et mis en loterie pour un acte de bienfaisance."
Revue et gazette musicale de Paris, Volume 6,
29/12/1839, p. 587
POITIERS -
"Enfin notre
promenade est finie, et pour nous reposer il n'y a qu'un siège dans
la salle; il se trouve devant un piano de M. Gaudonnet, profitons-en
bien vite. Ce n'est certes pas un
paradoxe de soutenir que l'industrie a beaucoup contribué parmi nous
à répandre le goût de la musique, et à multiplier le nombre des
artistes et des amateurs distingués. Un bon ouvrier ne travaille
bien qu'avec de bons outils, et l'on ne citait pas beaucoup de bons
exécutants pendant le règne des épinettes du siècle passé. Le
perfectionnement des instruments, presque entièrement dû à la
mécanique, est donc une des principales causes de la vogue de la
musique parmi nous, et il est devenu à la fois une source de
jouissances pour nos familles et de prospérité pour nos ateliers. Le
piano surtout a éprouvé de nombreux perfectionnements. Cette
circonstance s'explique aisément : le piano forme concert à lui seul; il est devenu la providence des salons, et il lutte souvent avec
avantage contre le funeste génie de la bouillotte; et puis un
violon, une flûte, ont besoin d'être soutenus par des basses et
d'être joués habilement, tandis qu'un amateur pianiste obtient des
succès avec les seuls ressources de son instrument. Honneur
donc à M. Gaudonnet qui a importé parmi nous une fabrication qui
manquait entièrement à ce pays. C'est dans la maison Érard, de Paris
la première sans contredit de la France et de l'Angleterre, que M.
Gaudonnet a fait son apprentissage. A force de travail et de
temps, il en était devenu un des ouvriers les plus habiles. L'amour
de son pays natal l'a seul enlevé à une position heureuse et à de
riches appointements; il a voulu faire jouir son pays du fruit de
ses travaux. (lire la suite à droite)
|
Poitiers |
l'Ancienne Comédie (après
1869) Place St. Didier (xx1890)
3, rue Neuve (1894)
1, rue des Cordeliers (x1906)
1, rue des Grandes-Écoles
(*1907)(*1909)
20, rue des Cordeliers (*1907)
26, rue Gambetta (*1913)(**1921)(x1926) |
|
'Facteur
de pianos' droits ca. 1869-1926 [ depuis
1848
(**1921)(x1926)]
É lève de PAPE et d'ÉRARD (xxxx1839)
GAUDONNET
Aîné
(yy1859)(***1862)
ALLIAUME
Père
(y1875)
ALLIAUME
[E.] Fils (y1875)(xx1890), son successeur - 'Pianohandlung'
ALLIAUME Albert
& ALLIAUME Emile (*1893)(*1898)
ALLIAUME Albert
(x1906)(*1907)(*1913)
:
"Albert Alliaume (Poitiers
1853 -? après 1913) tient un commerce d'instruments de musique et de
partitions musicales sis 20, rue des Cordeliers à Poitiers." (¹⁷)
'Musikal.-, Piano- u.
Instrumenten-Handlung' (x1906) ------- 'Händler mit Musikal., Pianos,
Harmoniums, Musikinstr. u. Saiten' (x1926)
Repris par BRUN Marcel
(**1921)(*1922)(x1926)
(la suite)
Le piano qu'il a exposé est bien traité sous le rapport de la
mécanique, et nous avons la prétention d'afficher quelques
connaissances de ce côté. Nous avons moins de confiance dans notre
exécution; cependant nous avons posé les doigts sur le clavier, et
l'harmonie nous a paru parfaite, les basses riches et puissantes, le
médium bien net, et les notes élevées bien détachées et d'une grande
pureté. Ce piano est coté 1,200 fr. Est-ce cher ou bon marché? cela
regardera les acheteurs. Nous savons bien que, jusqu'à présent, on a parlé
de 3,000 fr., de cent louis, de 2,000 fr. comme d'une bagatelle pour l'achat
d'un piano, mais ces prix élevés ne peuvent tenir. Il appartient aux grands
facteurs de donner l'exemple de la modération, et surtout de supprimer ces
prétendues remises de trois, de quatre et même de cinq cents francs, qui
entrent dans la poche des professeurs de musique au détriment des
consommateurs. Il faut renoncer à ces prix exorbitants sans rien retrancher
à la perfection des instruments. Nous finirons encore par ce conseil que
nous avons tant répété, par cette règle d'économie politique, cette seule
garantie du succès : Produisez à bon marché, contentez-vous d'un léger
bénéfice, mais qui, répété souvent, finira par amener la prospérité de vos
établissements." Expo
Poitiers
Le Spectateur : revue des moeurs, des arts et de la littérature, H.
S. David de Thiais, 1840-41, p. 91-92 (gallica.bnf.fr)
VOIR AUSSI ...
GAUDONNET Pierre
(°1849)
à Paris. |
Médaille d'or Poitiers, 1839
|
Médaille d'or Poitiers, 1841 |
Médaille
d'or, 1850 | Liste des exposants Paris, 1855
|
Médaille d'argent, 1869 (toutes médailles sur des
expositions à Poitiers ???)
|
KASRIEL
|
1839 |
LIÈGE - "KASRIEL, 6, rue
Tolain, Paris, présentait un choix important d'orgues et d'harmoniums parmi
lesquels il faut citer particulièrement un orgue à aspiration à quinze jeux
et deux claviers pédaliers."
Rapport général de la Section française, Exposition internationale de Liège,
1931, p. 316 (gallica.bnf.fr)
" Kasriel,
annexe-piano (voir Harmonium), passage Vaucouleurs, 20, rue d'Angoulème,
88."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration, 1883, p. 1585 (gallica.bnf.fr)
"Kasriel,
inventeur de l'harmonium pliant, impasse de la Baleine, 1."
Annuaire-almanach
du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration :
ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays
étrangers : Firmin Didot et Bottin réunis, 1889, p. 1830
(gallica.bnf.fr) |
Paris |
29, rue des Trois-Bornes
(1855)(¹⁰)(1862)(arr.11)
20,
Passage Vaucouleurs
(**1883)(**1884)(arr.8)
88, rue d'Angoulème (1878)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(arr.8)
92, rue d'Angoulème (x1890)(*1893)(arr.8)
1, impasse de la Baleine (y1889)(xx1890)(*1893)(arr.11)
[9]- 9[bis],
Passage Ménilmontant (**1885)(**1888)(z1900)(z1902)(arr.11)
6, rue Tolain
(x1912)(*1913)(**1921)(x1926)(x1931)(arr.20) |
|
Facteur de
pianos de voyage, harmoniums, accordéons, celestinas, pokas, harmoniflûtes et orgues
ca. 1883-1931 [depuis
1839
(x1926)]
1855 -
"KASRIEL Louis, Instruments de musique, rue des Trois
Bornes, n° 29. Cité le 26/07/1855, lors de la faillite
dudit ; concordat, 5/11/1855. Autres : LACOSTE, syndic.
Source : dictionnaire MASCRET."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
KASRIEL
L. M.
(1889)(x1890)(xx1890)
'Pianohandlung' (xx1890) ------- Piano- u.
Harmonium-Handlung' (x1926)
Les
petits-fils de KASRIEL
ou
KASRIEL Petit fils successeur
(1900)(z1902)(*1913)(**1921)(x1926) |
Mention honorable
Paris,
1878 | Médaille de bronze Paris, 1889 | Médaille d'argent Paris, 1900
| Liste des exposants Liège, 1930
|
STEEGMÜLLER Frédéric
|
|
Rue du Jeu des Enfans,
12, STEEGMULLER, Strasbourg,
Dépot à Balz,
chez F. HEGAR
"Steegmuller, Fréd., rue du Jeu-des-Enfants, 12; fabricant de pianos droits,
carrés et à queue; pianos avec orgue expressive. Envois en France et à
l'étranger."
Almanach alsacien: répertoire commercial, industriel,
administratif et..., 1854, p. 163
|
Strasbourg |
12, rue du Jeu des Enfants (y1854)
48, rue du Jeu des Enfants [Kinderspiel-gasse]
(y1878)(*1881)(xx1890)(*1903)(*1906)(x1906)(*1907) |
|
'Facteur de pianos'
droits et pianos carrés ca. 1841-1907
[depuis 1839 (y1861)]
STEEGMÜLLER
Fréderic
(x1854)(1855)(1861)
STEEGMÜLLER
Alfred
(**1874)(y1878)
1874 - "Alfred
Stegmüller [sic], Pianofortefabrik. Vom Inhaber Alfred Stegmüller
[sic]
gegründet."
Handbuch der Leistungsfähigkeit der gesammten
Industrie Deutschlands, Oesterreichs Elsass-Lothringens und der Schweiz,
1874, p.
114
STEEGMULLER
A.
(xx1890)(*1903)(*1906)(x1906)(*1907)
STRASBOURG - "202
Stegmüller [sic], à Strasbourg : Piano carré, piano droit." Expo Strasbourg
1840 -
Relation complète des fêtes de Gutenberg, célébrées à
Strasbourg, les 24, 25..., 1841, p. 142
MULHOUSE -
"M. Steegmuller, de Strasbourg également, un piano carré et un piano droit."
Bulletin de la Société industrielle de Mulhouse,
Volume 15, 1841, p. 256
METZ -
"1271. Steegmuller (Frédéric), Strasbourg (Bas-Rhin). Piano droit dont les
ressorts fonctionnent par traction, nouveau système de visses à régler les
échappements; autre piano à cordes inclinées et meuble très-riche."
Ville de Metz. Exposition universelle de 1861,
p. 159
-
Exposition universelle de 1861 sous le patronage de S. M. l'Impératrice ...,
Ville de Metz, 1861, p. 159
METZ -
"L’industrie des pianos est magnifiquement représentée à
l’Exposition messine. Nous avons déjà parlé de cet
objet. Nous devons y revenir pour signaler à nos
mélomanes les beaux pianos exposés par un facteur de
Strasbourg, M. Steegmüller . Son établissement ne date
pas d’hier. Fondé en 1839, sa réputation est consacrée
par un succès de 22 années. M. Steegmüller a fabriqué
toutes sortes de pianos, mais les pianos droits sont
restés sa spécialité. C’est sur eux qu’il a concentré
tous ses efforts et fait porter tous ses
perfectionnements. On lui doit, en effet, des
instruments d’un genre nouveau dont il est l’inventeur.
Voici, d’après des indications prises à bonne source,
dans quelles conditions sont établis les pianos de M.
Steegmüller :
1°
Grand format, cordes mi-obliques, bar rages et sommiers
prolongés, en fer forgé, deux pédales. Prix, 1,000 fr.
2°
Pianos, modèle moyen, à cordes obliques et pianos à
basses obliques traversant les autres cordes qui sont
droites. Prix, 800 fr.;
3°
Enfin, pianos petit format à cordes demi-obliques.
Tous ces pianos sont à trois cordes et à sept octaves de
la en la. Us sont fabriqués avec le palissandre et
l’acajou, et leur forme est infiniment élégante. Des
moulures unies, des consoles sculptées achèvent de leur
donner la plus charmante apparence. Us constituent un
meuble de salon très-riche et trés-recherché. Mais
l’extérieur d’un piano doit être, après tout, la moindre
de ses qualités, et c’est l’ampleur, le moelleux,
l’égalité du son qui constituent sa valeur. Les pianos
de M. Steegmüller possèdent tout cela, ils ont à la fois
la plénitude, la force et l’harmonie. Une fois seulement
M. Steegmüller a exposé ses pianos et ils lui ont valu,
en 1855, une mention honorable à l’Exposition
universelle de Paris. Ajoutons que le renom de cette
maison est solidement établi en France et à l’étranger,
car ses pianos se vendent par toute la France et elle
exporte en Suisse, en Allemagne et en Amérique."
L'Exposition universelle de Metz, 07/07/1861, p. 2
(kiosque.limedia.fr)
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Liste des exposants Strasbourg, 1840 | Liste des exposants Mulhouse, 1841 |
Mention honorable Paris, 1855 | Mention honorable, Metz, 1861
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1839 |
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MARTEAUX
"Il y a à Paris une
dizaine d'ouvriers qui s'occupent exclusivement de la
fabrication des claviers ; ils les confectionnent pour
les différens facteurs, qui, en général, fournissent les
matériaux et principalement l'ivoire. On
emploie une grande quantité de peaux de daim our garnir
les marteaux des pianos; c'est à Niort qu'est la
principale fabrique pour leur préparation. |
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On
garnit chaque marteau de plusieurs épaisseurs de peau.
On remplace quelquefois la peau supérieure par le
feutre, excepté dans la dernière octave aigué;
toutefois, les meilleurs facteurs n'emploient que le
daim."
Dictionnaire du commerce et des
marchandises, contenant tout ce ..., 1839, p.
1773 - Voir
GARNITURE DE MARTEAUX
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(*1822): 'Bibliographie
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(**1825): 'Assemblee
Generale de la Société Biblique Protestante de Paris', 1825
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(*1826): 'Rapports
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(*1828):
'Rapport du
Jury d'admission des produits de l'industrie du Département de la
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(**1828): '
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Secours', 1834, p. 51
( A1834):
'Archives
des découvertes et des inventions nouvelles: faites dans les sciences,
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l'industrie française; la liste des brevets d'invention, de ..', Treuttel
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(*1835):
'Almanach
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magistrature et de l'administration', 1845,
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général du commerce, de l'industrie, de la magistrature
et de l'administration : ou almanach des 500.000
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'Dictionnaire
des facteurs d'instruments de musique en Wallonie et à Bruxelles
du 9e siècle à nos jours: IXème siècle à nos', Malou Haine,
Nicolas Meeùs, Pierre Mardaga, éditeur
(¹⁷): 'Correspondance', Guillaume
Lekeu, Luc Verdebout, Editions Mardaga, 1993
(¹⁸):
Leonore,
le fonds de la Légion d'honneur dans les archives nationales
(¹⁹): 'Histoire de
l'entreprise et des chefs d'entreprise en France', Jean Lambert-Dansette,
L'Harmattan, 2000 (²⁰): 'Archives
de Pleyel, Érard et Bord chez le Musée de la Musique à Paris'
(²¹):
Malou Haine. Marques d'instruments de musique
(1860-1919), consulté le dimanche 05 mai 2014
(²²):
Ministère du Commerce : dossiers de proposition pour
la Légion d'honneur, 2007-2008, p. 190-191
(²³):
Généalogie Facteurs de Strasbourg, René
Pierre
(²⁵): 'Association
des artistes musiciens', 1844-1866
(³¹): 'Archives
Nationales, salle des inventaires virtuelle', France |
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