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Facteurs de pianos en France
1840 à 1849

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1700 - 1799 | 1800 - 1829 | 1830 - 1839 | 1840 - 1849 | 1850 - 1874 | 1875 - 1899 | 1900 - 2023

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Nom Date de fond.

Logo | Signature

Ville

Adresses

Quantité de pianos

Commentaires

Médailles

         
CLOT

Facture de 1886

Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1906, p. 929 (gallica.bnf.fr)

 

1840  

"Clot (P.) et Cie, pianos, orgues et instruments divers, dépôt des premières  manufactures de France, r. Puits-Gaillot, 5 et 7." Annuaire administratif et commercial de Lyon et du département du Rhône, 1860, p. 304

"Clet [sic] Fils et Cie, Musique, pianos, orgues, rue de la République, 15." Liste des magasins et ateliers de Lyon, dont les patrons déclarent se faire un devoir de fermer toute la journée des dimanches et fêtes . Troisième édition précédée d'une notice sur la ligue, 1899 (gallica.bnf.fr)

CLOT E. Fils

 

Lyon

(Paris)

5-7, rue Puits-Gaillot (*1860)(**1862)(***1863)

5, rue Petits Gaillot (***1862)

1, rue Impératrice (1863)(xxxx1867)(***1868)(***1869)

1, rue Hôtel de Ville (*1875)(*1876)(F1886)(1889)(*1893)

54, cours de la Liberté (**1899)

15, rue de la République (*1895)(*1896)(*1898)(*1899)(**1899)(*1902)(*1903)(*1904)(*1905)(*1906)(*1907)(*1909)(*1913)(*1922)

à Lyon

   

'Facteur de pianos' droits et éditeur de musique ca. 1860-1922

CLOT Paul & Cie (**1860)(***1862)(*1868)(***1868)

CLOT Paul (***1868)(***1869)(*1875)(*1876)

CLOT E. Fils (F1886)(*1906), successeur de Paul CLOT. (voir sa photo ci-dessous)

CLOT E. Fils & Cie (1889)(xx1890)(*1893)(*1898)(*1899)(**1899)

1890 - "Lyon. — Formation de la Société en commandite E. CLOT fils et Cie (commerce et location de musique, pianos, etc., et édition d'oeuvres musicales), rue de l'Hôtel-de-Ville, 1. — Durée : 6 ans et demi. — Cap. : 200,000 fr. — Acte du 5 déc. 1889." Archives commerciales de la France, 08/01/1890, p. 29 (gallica.bnf.fr)

'Pianohandlung u. Musikal.-Verleger' (xx1890)

CLOT E. Fils (x1906), 'Pianobau-Anstalt, sowie Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung'

CLOT-PROBST-PHELIX avant (*1913)

PHELIX & PROBST Réunies (?), voir PROBST et PHELIX

Repris par BÉAL (ca. 1906); (*1906)(*1922)

 

 
CROPET Philibert

 

 

 

 

 

 

1840  

CROPET
sur ce site

EXPOSITIONS

Pour lire les commentaires sur les expositions, cliquer sur le lien ci-dessus.

Brevet de 1849 : "433° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 7 novembre 1849, au secrétariat de la préfecture du département de la Haute-Garonne, par le sieur Cropet (Philibert), à Toulouse, rue de la Pomme, n° 56, pour un mécanisme de piano droit." Bulletin des lois de la République française, 01/1851, p. 328 (gallica.bnf.fr)

"Parmi les industries qui se sont élevées à Toulouse et qui lui ont donné une importance réelle, il faut compter la fabrique de pianos de M. Cropet. - Cet habile facteur construit dans ses ateliers des pianos de toutes les formes, pianos à queue, carrés ou droits, avec un talent des plus remarquables. - ils ne laissent rien à désirer, tan,t sous les rapports de la beauté du son, de la solidité que sous ceux de la beauté et de l'élégance du meuble. - M. Cropet vient d'inventer une nouvelle manière d'établir les pianos à queue, elle donne à l'instrument une pureté de son q'il est bien rara d'y trouver; les basses sont rondes, sonores, le medium est vibrant et le haut du clavier fait entendre des sons argentins d'une perlé et d'une égalité qui sont d'un effet magique. - Nous engageons les amateurs à visiter les ateliers de M. Cropet et à essayer le piano dont nous parlons, qui, du reste, a été entendu au concert de M. Femy; et nous sommes persuadés qu'ils diront, comme nous, que, sous le rapport de cette fabrication, nous n'avons plus rien à envier à la capitale." Journal de Toulouse, 17/01/1843, p. 4 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)

 

Toulouse Magasin et fabrique : 5, place Lafayette (1841)

4, Allée Lafayette (1846)

 Magasin : 21, rue Saint-Antoine-du-T (xxx1847)

[25], rue de Pomme (xx1850)(y1857)(y1858)

rue Marengo (z1863)

Fabrique : 4, Petite rue Saint Rome (xxx1847)

62, allée Louis Napoléon (y1865)

56, rue de la Pomme (1875)

32, Allée Lafayette (*1875)(*1876)

 

'Facteur de l'École Royale de Musique' - 'Facteur de pianos' droits, pianos carrés, pianos à queue et harmoniums ca. 1841-76

Repris par LAUTRÉ E. vers 1880.

"Le beau piano à queue qui a servi à compagner les morceaux de chant au dernier concert du Capitole, sort des ateliers de M. Cropet, fabricant de pianos, nouvellement établi à Toulouse, et logé place Lafayette 5, maison Dutemps. Nous aimons à publier que M. Cropet voulant concourir à la bonne oeuvre qui était l'objet du concert, a prêté son piano sans exiger de rétribution." Journal de Toulouse, 23/01/1841

"2 médailles d'argent aux dernieres expositions. PIANOS AU PRIX DE FABRIQUE.  Garantie pour cinque années. M. Cropet, facteur de l'Ecole royale de musique, vient de transférer sa fabrique et son magasin, Allée Lafayette, 4, dans lequel on trouvera tous les genres de piano que l'on peut désirer. - ACCORDS, REPARATIONS, ECHANGE, LOCATIONS DE PIANOS." Journal de Toulouse, 03/04/1846

"LOCATION - ACCORD. - PIANOS. - RÉPARATION - ÉCHANGE. Cinq années de garantie sur Facture. - Deux médailles aux expositions de 1840-48. CROPET, facteur de l'Ecole royale de Musique, déjà connu pour la supériorité des sons qu'il obtient et la solidité de ses pianos, vient de transférer sa Fabrique petite rue Se-Rome, 4, et son magasin rue St-Antoine-du-T., 21, dans lequel on trouvera un grand choix de pianos. Outre les pianos de sa fabrique, on pourra se procurer chez lui, d'après un traité qu'il vient de conclure avec une fabrique de Paris, des Pianos droits à 6 octaves 3/4, au prix de 500 francs." Journal de Toulouse, 24/03/1847, p. 4 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)

"500 Francs. Les PIANOS droits de Paris de 82 notes, que l'on ne peut trouver que chez M. CROPET, facteur de l'école royale de Musique. Rue St-Antoine-du-T, 21. Pianos droits, Pianos carrés, Pianos t queue." Journal de Toulouse, 05/05/1847, p. 4 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)

"FABRIQUE de PIANOS, magasin rue de la Pomme, 25, CROPET. Le seul facteur de Toulouse à qui le jury de l'Exposition universelle de Paris et Londres, a décerné une Médaille pour la bonté et la supériorité de ses instruments. La seule Maison de cette ville qui fabrique des Pianos obliques. Ne pas confondre avec les Pianos demi-obliques. Vente, Echange, Accord et Location." Journal de Toulouse, 06/05/1857, p. 4 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)

"Les instruments de M. Cropet ont de bonnes qualités. Ils n'étaient représentés que sous deux formats seulement, ce qui semble indiquer une fabrication assez restreinte." Journal de Toulouse, 12/09/1858 

 

TÊTE D'UNE FACTURE

Facture ca. 1875

Deux médailles d'exposition 1840 - médaille d'argent Toulouse, 1845 | Médaille d'argent Toulouse, 1850 | Official Catalogue Londres, 1851 | Médaille de bronze Bordeaux, 1854 | Médaille de 2e classe, 1855 | Médaille d'argent 1ere classe  Toulouse, 1858 | Médaille d'or de 2e classe Toulouse, 1865

CHAVAN Louis 1840  

PHOTO

Paul CROSES

 

Mâcon

Bourg

 

MAISON PRINCIPALE :

[17], rue Saint-Brice (xx1890)(*1893)(*1895)

17, rue Victor Hugo (*1897)(*1898)(*1899)(*1905)(*1906)

36, rue Gambetta (*1903)(x1906)

11, rue Lamartine (*1913)

17, rue Sigorgne (*1921)(**1921)(*1922)

13, rue Boccard (maintenant)

à Mâcon

SUCCURSALE :

avenue Alsace-Lorraine (*1905)

Hôtel de France (**1921)(*1922)

à Bourg

 

Facteur et/ou marchand de pianos droits et lutherie ca. 1890-1929 [depuis 1840 (x1912)]

CHAVAN Louis (1840)

OURY Alp.-CROSES-CHAVAN (1???), voir Alph. OURY (°1860)

CROSES [E.] dès 1870, beaufils de CHAVAN (xx1890)(*1893)(*1895)

CROSES-CHAVAN (Paul) (*1897)(*1899)(*1903)(*1905)(*1906)(x1912)(*1921)(**1921)

'Musikal.-, Piano- u. Instrumenten-Handlung' (x1906)

'Piano-Fabrik' (x1912)

1922 - "M. Chavan, facteur de pianos, et aïeul maternel de notre sympathique associé M. Croses." Annales de l'Académie de Mâcon : société des arts, sciences, belles-lettres et d'agriculture, 1922, p. 17 (gallica.bnf.fr)

CROSES Paul (après 1921)(*1929)

Quelques pianos fabriqués par LEGUERINAIS (°1856).

INFO EXTRA

Histoire de pianos CROSES

 
FAIVRE Jules Joseph

(? - 1901)

Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1895, p. 316 (gallica.bnf.fr)

   

PARIS - "M. Faivre, de Paris, et MM. Bresseau et Gillet, d'Angers, ont construit leur pianos droits avec des cadres métalliques, le premier en fer forgé, avec une plaque de même métal, contre laquelle viennent arc-bouter des barres également en fer ; l'autre, en fer de fonte d'une seule pièce." Le palais de l'industrie universelle : ouvrage descriptif ou analytique des produits, 1855 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "Le système plus compliqué de M. Faivre (exposant sous le n° 9513), a moins de chances de succès ; il consiste en une vis sans fin, qui engrène avec un pignon. [...] M. Faivre, de Paris, et MM. Bresseau et Gillet, d'Angers, ont construit leur pianos droits avec des cadres métalliques, le premier en fer forgé, avec une plaque de même métal, contre laquelle viennent arc-bouter des barres également en fer ; l'autre, en fer de fonte d'une seule pièce. Déjà, à l'Exposition nationale de 1844, un appareil semblable avait paru, et Pierre Erard mit à l'Exposition de Londres, en 1851, l'essai d'un sommier fait d'une seule pièce en fer. Il paraît y avait renoncé plus tard. Il a reconnu sans doute que, si le fer offre l'avantage d'une grande fermeté au point d'attache des cordes, il a l'inconvénient de donner aux sons une inévitable sécheresse métallique qu'on remarque en effet dans le piano de M. Faivre et dans celui de MM. Bresseau et Gillet. Nous apprenons que de nouveaux travaux ont été entrepris par ces industriels pour le perfectionnement de leur système de construction." Exposition Universelle de 1855, Rapports du Jury mixte Internationale, 1855  -  Voir BRESSEAU à Angers.

PARIS - "M. JULES FAIVRE. Pianos. Nous poursuivons nos promenades à travers les massifs de l'exposition des pianos français, et nous nous arrêtons devant un instrument de M. Jules Faivre, facteur depuis longtemps établi à la Nouvelle-Orléans, et qui fabrique depuis peu à Paris. Cet instrument se distingue par des améliorations importantes apportées à la construction du sommier ainsi qu'à la disposition des cordes.
En outre, les chevilles y sont remplacées par un système de vis à engrenage, qui offre la facilité d'accorder soi-même l'instrument, et sans le moindre effort. La description du piano de M. Jules Faivre, mieux que la plus longue dissertation, permettra d'apprécier à leur juste valeur ces divers perfectionnements.
Les cordes sont disposes mi-partie obliquement (pour les dessus), mi-partie verticalement (pour les basses); d'où il résulte pour la table une plus grande surface, et conséquemment une augmentation de la sonorité. Le chevalet est divisé en trois parties. Cinq barres égales en fer forgé soutiennent l'appareil. Le sommier, également en fer forgé, prête aux différentes parties de l'instrument une solidité à toute épreuve.
L'innovation, en ce qui concerne l'accord, consiste dans l'emploi d'un mécanisme à peu près semblable à celui dont on se sert pour la contre-basse et la guitare. La cheville fait tourner une roue à engrenage au milieu de laquelle est passée la corde, qui se monte ainsi avec la plus grande facilité. Ces chevilles, faites séparément, peuvent s'adapter à tous les pianos indistinctement, sans qu'il soit besoin de modifier en rien la division naturelle de l'instrument.
Les avantages que comporte ce nouveau système n'ont pas besoin d'être démontrés. Les gens de l'art, on effet, comprendront aisément qu'il résulte du croisement des cordes une augmentation considérable de la sonorité dans les basses, une meilleure qualité de son dans les dessus, et dans toute l'étendue cette homogénéité de timbre si souvent recherchée et si souvent introuvable.
D'un autre côté, la construction du sommier en fer et les heureuses dispositions de tout l'appareil, garantissent la solidité de l'instrument, à quelque changement de température qu'on l'expose. Enfin, en simplifiant les procédés de l'accord et en assurant sa conservation, ce système réalise un perfectionnement qu'appelaient depuis longtemps, non-seulement les accordeurs, mais toute personne désireuse et souvent placée dans la nécessite d'accorder elle-même son piano.
M. Jules Faivre est au reste un homme habile, et duquel il faut attendre beaucoup. Excellent ouvrier dès l'Age de seize ans, et doué d'un esprit actif et entreprenant, il s'embarquait à dix-sept ans pour le Mexique. Il a travaillé successivement à Mexico, à la Havane et à la Nouvelle-Orléans. Dans cette dernière ville, ainsi que nous l'avons dit plus haut, il est parvenu à fonder une fabrique de pianos, dont les produits rivalisent avec les meilleurs instruments envoyés de France et d'Angleterre. C'est à la Nouvelle-Orléans que, frappé de la prompte détérioration que subissent les pianos européens sous une température où du jour à la nuit le thermomètre varie quelquefois de vingt a trente degrés, l'idée d'appliquer le barrage en fer aux pianos droits lui est venue.
Le succès a couronné ses différentes tentatives, au nombre desquelles il faut aussi compter l'essai du sommier d'une seule pièce, en fer forgé. Les pianos Faivre, expédiés dans toutes les parties des deux Amériques, résistent parfaitement à l'action, tantôt torréfiante, tantôt humide, de ces climats si pernicieux pour nos pianos français. La belle et puissante sonorité de ces instruments les fait en outre rechercher de tous les artistes voyageurs et des plus célèbres virtuoses. Gothscbalk, entre autres, ayant eu, lors de ses derniers concerts à la Nouvelle-Orléans, l'occasion de les toucher et d'en apprécier la bonne fabrication, s'est empressé de leur rendre un hommage direct et public. Maurice Strakosch, Alfred Jaell, ont, à la suite de diverses circonstances, joint leur témoignage de haute satisfaction à celui de leur célèbre confrère.
Il y a lieu de penser que la fabrique parisienne de M. Jules Faivre ne tardera pas a se placer au niveau de celle qu'il a créée à la Nouvelle-Orléans.
Le remarquable spécimen que ce facteur a envoyé à l'Exposition a déjà fixé l'attention des amateurs et des artistes, et une société justement considérée, la Société des sciences industrielles, arts et belles-lettres de Paris, a décerné, dans sa séance du 18 juin dernier, une médaille d'or à l'intelligent inventeur du piano croisé. Le jury, sans aucun doute, fera la juste part qui revient à M. Jules Faivre pour ses utiles travaux et pour son active coopération aux progrès de la fabrication française."
La France Musicale, 1855, p. 285 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1849 : "Faivre construisit un piano à cadre métallique, muni d'agrafes à chevalets, c'est-à-dire d'agrafes formant chevalet." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861 

"178° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 16 mai 1849, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Faivre (Jules), chez le sieur Armengaud, à Paris, rue des Filles-du-Calvaire, n° 6, pour un piano à châssis métallique et à agrafes à chevalet." Bulletin des lois de la République française, 07/1850, p. 482 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1855 : "Faivre, chercha à rendre l'accord plus facile par l'emploi d'une vis sans fin qui engrène avec un pignon." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

Brevet de 1855 : "Faivre construisit un piano droit ayant son cadre métallique en fer forgé avec une plaque du même métal, contre laquelle venaient arcbouter des barres également en fer." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

Brevet de 1860 : "970* Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 18 avril 1860, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, parle sieur Faivre (Jules-Joseph), facteur de pianos, représenté par le sieur Ricordeau, à Paris, boulevard de Strasbourg, n° 23, pour un échappement à répétition pour pianos droits." Bulletin des lois de la République française, 1862, p. 907

Brevet de 1861 : "1280. Le certificat d'addition dont la demande a été déposée, le 19 septembre 1861, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Faivre (Jules Joseph), facteur de pianos, représenté par le sieur Ricordeau, à Paris, boulevard de Strasbourg, n° 23, et se rattachant au brevet d'invention de quinze ans pris, le 26 avril, pour un échappement à répétition pour pianos droits" Bulletin des lois de l'Empire Français, Volume 20, 1864, p. 1223

 

Paris

New Orleans, Louisiana, U.S.

 

47, rue de Rivoli (xxxx1855)(z1855)(**1856)(arr.4)

61, rue de Rivoli (xx1856)(arr.4)

25, boulevard Péreire (1887)(arr.17)

8, avenue de Villiers (xx1897)(arr.17)

à Paris

56, Royal Street (1855)

à New Orleans, Louisiana, U.S.

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1855-97

FAIVRE Jules-Joseph (z1855)(1864)

"Faivre (Jules), 8, avenue de Villiers, ancien fabricant de pianos, fondateur de trois prix de 1,000 francs chacun." (xx1897)

"FAIVRE (Jules), Nous entrons tous dans la vie avec îles aspirations différentes. Les uns ont l'esprit tourné vers les sciences, les autres vers les arts ou l'industrie. C'est ce qu'on appelle la vocation. Dès sa plus tendre enfance. M. Jules Faivre, grand admirateur de ce bel instrument, du piano qui à lui seul forme un orchestre, s'était, pour ainsi dire, roue à son perfectionnement. Il se consacra donc des ses plus jeunes années a la fabrication du piano. Ne trouvant pas à Paris la place qu'il désirait se faire, partit pour l'Amérique à l'âge de dix-sept ans, parcourant tour à tour le Mexique, la Havane, etc. Après avoir supporté toutes les privations possibles avec le plus grand courage, après avoir travaillé avec autant de persévérance que de ténacité, M. Jules Faivre arriva à la Nouvelle-Orléans, où il fit non seulement son premier piano, mais le premier qui ait jamais été fait dans cette belle cité de la Louisiane, et il s'agissait ici, non seulement de fabriquer un piano, mais de construire tout le matériel nécessaire a l'instrument, depuis les chevilles, marteaux, clavier mécanique et la caisse, etc., puisque rien n'existait de semblable. Ce premier résultat obtenu par M. Jules Faivre (à peine âgé de vingt ans), fut suivi de beaucoup d'autres, En 1844, M. Jules Faivre inventa un piano à Cadre de fer. En 1855 (Exposition universelle), il présentait un piano à cordes croisées, cadre en fer, chevilles spéciales pour faciliter l'accord. et obtenait une récompense. Enhardi par ce succès, M. Jules Faivre retourna a la Nouvelle-Orléans, où, redoublant d'efforts, de travail et de zèle, voulant faire mieux, toujours mieux, il réussit a créer des instruments modèles et à se constituer une modeste fortune qui lui paraissait très grande par rapport à ses goûts simples et modestes, et à ses habitudes d'ordre et d'économie. Revenu en France, quoique ne fabriquant plus, il ne cessa pourtant de s'intéresser à l'instrument dont il s'était si exclusivement occupé, et pensa alors à ceux qui, moins bien doués que se chargea du choix à faire parmi les ouvriers les plus méritants. Les candidats se produisirent tour à tour et, sur vingt-neuf choisis dans les premiers ateliers de facture de pianos, quatre furent désignés comme méritant également le prix et qu'il était absolument impossible d'en éliminer un seul.  [...] Plusieurs avaient pensé à la croix de la Légion d'honneur, qui serait si bien placée sur cette poitrine d'honnête homme! Mais non seulement M. Faivre ne demande rien, mais il refuserait opiniâtrement toute espèce de témoignage de reconnaissance ou d'honneur. Il a conquis l'estime générale, c'est tout ce qu'il pouvait souhaiter pour lui-même. Que son idée progresse pour le plus grand bonheur des autres, c'est-à-dire de ceux qui peinent dans la vie, que sa pensée de solidarité grandisse en s'affermissant; que le bel exemple qu'il vient de donner ait de nombreux imitateurs, voilà tout ce qu'il désire, tout ce qu'il espère, tout ce qu'il ambitionne. (Pour le détail de la journée du 21 octobre 1894, consulter le journal le Monde musical du 30 octobre 1894.)" Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1895, p. 315-317 (gallica.bnf.fr)

1848 - Dans un article dans Le Courrier de la Louisiane il y a un FAIVRE J. qui vendait des pianos ERARD et PLEYEL vers 1848.

1887 - "Des agents de la Police de sûreté ont procédé à l'arrestation d'un nommé Faivre, contre lequel de nombreuses plaintes avaient été déposées au Parquet. Cet individu avait trouvé un moyen pour réaliser des capitaux et vivre très largement. Il existe à Paris un nombre considérable de maisons pour la vente à crédit de pianos et autres instruments de musique. Tantôt sous le nom de Leroy, tantôt sous celui de Durand, Faivre obtenait la livraison de pianos aux différents domiciles qu'il possédait à Paris, après avoir généreusement acheté des concierges la déclaration de sa solvabilité et de son honorabilité lorsque les dupes venaient prendre sur son compte les renseignements usage. Généralement, Faivre acquittait le premier billet mensuel qu'il avait souscrit; puis, il s'empressait de revendre à vil prix ou de mettre en consignation chez un commissionnaire en marchandises les instruments que son crédit imaginaire lui avait fait obtenir.  Dans le seul mois de juin, cet individu se faisait ainsi livrer, par une vingtaine de maisons, pour plus de dix mille francs de pianos, à des domiciles plus fantaisistes les uns que les autres. A la suite des nombreuses plaintes portées contre cet individu, M. Guichenot, juge d'instruction, fut chargé d'une enquête. Ce magistrat décerna contre Faivre un mandat d'amener; c'est à son dernier domicile, boulevard Péreire 25, que cet escroc a été arrêté. Il a été immédiatement écroué au Dépôt." Le Petit Parisien, 27/07/1887, p. 4 (gallica.bnf.fr)

1894 - "Les belles actions. Un ancien facteur de pianos, M. Faivre, veuf et sans enfants, est revenu à Paris après fortune faite à la Nouvelle-Orléans. Il s'est rappelé les difficultés de la vie de l'ouvrier et a décidé d'offrir chaque année trois prix de 1,000 francs aux ouvriers facteurs de pianos les plus dignes par leur mérite, leur honorabilité, leur habileté professionnelle. Il a prié M. J. Thibouville-Lamy, président de la Chambre syndicale des instruments de musique, MM. G. Lyon et E. Gouttière, vice-présidents, de demander à la chambre syndicale des instruments de musique d'accepter l'offre des 3,000 francs et la charge des choix à faire. Après acceptation, une Commission a été nommée qui a provoqué la présentation par les patrons de vingt-neuf candidats tous intéressants. Quatre d'entre eux ayant été mis sur le même plan, le donateur, M. Faivre, fut appelé pour choisir les trois heureux. Devant la difficulté du choix, cet homme de bien a ajouté un quatrième prix de 1,000 francs. Aujourd'hui, à deux heures et demie, aura lieu, salle d'Harcourt la distribution solennelle de ces prix." Le Figaro 21/10/1894, p. 2 (gallica.bnf.fr)

1902 - "1902. 98. - Acceptation du legs Faivre - (M. Ambroise Rendu, rapporteur). Le Conseil,Vu le testament olographe, en date du 10 novembre 1899, déposé en l'étude de Me Maxime Aubron, notaire à Paris, aux termes duquel M. Joseph-Jules Faivre, en son vivant demeurant à Paris, avenue de Villiers, 8,, où il est décédé le 29 juin 1901, a notamment légué une rente de 3,050 francs à la ville de Paris pour la fondation de trois prix annuels en faveur d'anciens facteurs de pianos les plus méritants, ledit legs étant spécifié net de tous frais et droits. [...]" Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, 23/03/1902, p. 1369 (gallica.bnf.fr)

"J. Faivre - PATENTED IN PARIS FOR HIS Wrought Iron System, keeps always on hand, at his Warerooms. No. 56 ROYAL STREET, NEW ORLEANS, a large assortment of Pianos of every description and in the richest style, particularly made for all damp climates and warranted to keep In tune longer than any heretofore offered to the public. Sold at Parisian prices by wholesale and retail. JULES FAIVRE." The Musical World and New York Musical Times, 11/06/1853, p. 95

"Pianos système en fer. Seul résistant à tous les climats. Paris, rue Rivoli, 47. Nle-Orléans, 56, Royal Street, location et vente. J. FAIVRE, inventeur breveté." Journal de Jurisprudence et des debats Judicaires, 15/01/1855, p. 4 (data.decalog.net)

"Faivre (J.), facteur de pianos, pianos système en fer, les seuls qui puissent résister à tous les climats, locations et accords, Rivoli, 61, ancien 47; maison à la Nouvelle-Orléans, Royal-Street, 56, fondée en 1840." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1857, p. 795 (gallica.bnf.fr)

Mention honorable Paris, 1855

FAURÉ Alexandre André
&
ROGER Louis

 

 

 

 

1840

 

FAURÉ & ROGER
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EXPOSITIONS

Pour lire les commentaires sur l' exposition de 1844, cliquer sur le lien ci-dessus

"Visitons les ateliers de MM. Faure et Roger pour y choisir un de ces charmans petits pianos qu'ils confectionnent avec âne grande perfection. Les instrumens dus à leurs soins sont au-dessus de tout éloge et bien superieurs à tous ceux que l'on a voulu faire sur leurs modèles. Le son est large et puissant et rappelle les basses de l'orgue; mais cette beauté n'est pas qu'accidentelle elle dure autant que l'instrument, qui lui-même, est d'une solidité rare; les pianos droits de MM. Faure et Roger peuvent lutter avantageusement pour la force et la durée avec les meilleurs pianos carrés. Aussi les demande-t-on beaucoup en ce moment où tout s'apprête pour nos plaisirs." Le Presse, 14/12/1842, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"Faure et Roger, B 1839, facteurs du Roi, pianos de tous genres à rendre et à louer, spécialités, pianos droits à cordes verticales perfectionnées par un nouveau systeme qui les rend égaux, sous tous les rapports, aux meilleurs pianos de grande dimension; fabrique rue de l'Université, 151 ; magasins rue de Richelieu, 112." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1844, p. 516 (gallica.bnf.fr)

"Faure et Roger, B. [médaille bronze] 1839-44, facteurs du Roi, pianos de tous genres à vendre et à louer, spécialités, pianos droits à cordes verticales perfectionnés par un nouveau système qui les rend égaux, sous tous les rapports, aux meilleurs pianos de grande dimension; fabrique rue de l'Université, 151 ; magasins rue de Richelieu, 112." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1846, p. 558 (gallica.bnf.fr)

"Pianos à vendre et à louer. Faure et Roger, facteurs du Roi, rue Richelieu, 112. Maison Frascati." La Presse, 26/11/1845, p. 3 (gallica.bnf.fr) et La Presse, 24/02/1846, p. 4 (gallica.bnf.fr)

 

Paris 32, rue Seine-Saint-Germain (xx1839)(arr.6)

magasins : 108, rue de Richelieu [maison Frascati] (yy1840)(x1843)(**1844) (*1846)(arr.2)

magasin : 112, rue de Richelieu [maison Frascati]  (**1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(arr.2)

fabrique : 151, rue de l'Université (1840 ?)(yy1841)(x1843)(**1844)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(arr.7)

123, rue de l'Université (1850)(¹⁰)[peut-être l'adresse privrée de ROGER Louis](arr.7)

8, Fontaine Saint Georges (*1846)(arr.2)

200 pianos par an, 1844

 

'Facteurs de pianos' droits et pianos à queue ca. 1839-49

Voir également  HATZENBÜHLER & FAURÉ (°1832). La société de HATZENBUHLER Jean-Baptiste, FAURE André-Alexandre et ROGER Louis en 1841. FAURE était un marchand de bois des îles et ROGER était un négiciant.

ROGER (xx1839)

FAURÉ André & ROGER Louis (**1844)(**1845)(**1846)

Faillite en 1846 (¹⁰): "Le sieur ROGER concerné personnellement par la faillite."

1847 : "La dissolution de société de MM. Faure et Roger, facteurs de pianos, annoncée dernièrement par la Gazette des Tribunaux, est pour nous un motif de prévenir le public que M. Roger, facteur du roi, rue Richelieu, 112, continue la fabrication. Les conditions de bon marché n'excluent pas l'excellente qualité et la solidité de ses instrumens, si l'on veut se rappeler qu'à la dernière exposition de 1844, ils ont Faure, 36 rang, immédiatement après ceux beaucoup plus chers de MM. Wolfel et Kiegelstein [sic]." L'Indépendant, 02/12/1847, p. NP (gallica.bnf.fr) - et -  "FAURE Alexandre André, Ancien négociant, à Beaugency, Loiret. Cité le 15/10/1847, dans un acte sous seing privé, comportant dissolution entre ledit et ROGER Louis, facteur de pianos, dt à Paris, rue de l'Université, n° 151, laquelle a été dissoute à compter du 24/12/1846. Source : D31u3-147/Pièce 2072." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

Repris par ELCKÉ & GOMBEAU (°1846), voir plus bas sur cette page.


(la suite)

Et encore la même année une annonce d'un autre facteur, ROGEZ (°1834) publia le suivant en 1846 :

"M. Rogez dont les magasins de pianos sont établies rue Jacob, 31, nous prie d'informer le public que la faillite de MM. Fauré et Roger ne le concerne nullement. Nous profitons de cette circonstance pour recommander aux amateurs et aux artistes l'établissement de M. Rogez, dont l'excellente réputation est faite depuis vingt-cinq ans." La France Théâtrale, 31/12/1846 (gallica.bnf.fr)

VOIR AUSSI ...

... autres avec le nom ROGER.

 

Médaille de bronze Paris, 1844

 

GAUDU Jean

 

 

 

 

 

Pub 1925

 

1840

 

 

 

Facteur de pianos et orgues (?) et éditeur de musique

TÊTES de factures

Facture de 1876

Facture de 1882

Facture de 1884

Facture de 1892

Facture de 1901

 

Saint-Brieuc

4, rue Charbonnerie (F1876)

27, rue Charbonnerie (F1882)

31, rue Charbonnerie (18??)

rue Charbonnerie (xx1890)

16, rue  des Pavés-Neufs (F1892)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)

[15]-16, rue de Rohan (F1901)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(*1910)(F1911)(x1912)(*1913)(**1921) (1924)

Bureaus & ateliers : 9, rue Poulain-Corbain (F1911)(x1912)(F1921)

Procure : 13, rue de Rohan (F1932)

Succursale : 8, rue Poulain-Corbion (*1913)

Ateliers : 2, rue Poulain-Corbain (**1921)

26, rue Saint-Guilliaume (F1932)

 476 pianos (²⁴)

 

'Facteur de pianos' droits et/ou marchand d'orgues, et éditeur de musique ca. 1876-1932 [depuis 1840 (x1912)]

 GAUDU & Fils (avant 1882)

GAUDU Frères (facture de 1882)(xx1890)(*1895)

'Piano-, Musikal.- u. Instr.-Handlung' (xx1890)

GAUDU E. (*1896)(*1897)(*1906)

GAUDU J. & E. (facture de 1892 et 1901), 'Société de facteurs de Paris'; (*1903)(x1906)

'Musikal.-, Piano-, Harmonium- u. Instrumenten-Hdlg.' (x1906)

GAUDU & Fils (x1912)(**1921)

'Piano- u. Orgelbauer, sowie Händler mit Pianos, Harmoniums, Musikinstr. u. Saiten' (x1912)

1920 - Maisons GAUDU et MORICE (°1849) de Rennes étaient réunies vers 1920, sous le nom 'AU MENESTREL BRETON'. - Voir MORICE (°1849) de Rennes sur cette page.

Leurs pianos étaient fabriqués par BREITNER et RUCH (°1869) ?

"Les Etablissements GAUDU de ST-BRIEUC - PIANOS & ORGUES "Au Ménestrel Breton." - si appréciés en BRETAGNE et dont la clientèle s'étend en NORMANDIE, annoncent leur passage à AVRANCHES, GRANVILLE, COUTANCES, St-LO, FLERS, DOMFRONT, VIRE, MORTAIN, SAINT-HILAIRE, FOUGERES, etc., et Environs, du 17 au 27 Août prochain. Mr GAUDU, (en automobile) visitera les ACHETEURS DE PIANOS. Ecrire: 15-16, Rue de Rohan, St-BRIEUC, AVANT LE 15 AOUT ou téléphoner 1-61, Saint-Brieuc 80 PIANOS droits et à Queue Neufs ou d'Occasion, toutes marques GROS AVANTAGES CONFIANCE GARANTIES ABSOLUES." L'Ouest-Éclair, 10/08/1924, p. 4 (gallica.bnf.fr)

PHOTO

Pub GAUDU Photo et Transport de pianos GAUDU.

TÊTES de factures
(la suite)

Facture de 1911

Facture de 1921

Facture de 1932

Facture de 1954

Famille Gaudu. Une lignée attestée depuis Henri IV, Le Télégramme, 22 août 2013 (²⁴)

CARTE POSTALE

 

Médaille d'argent (?), 1843 | Médaille d'honneur (?), 1863 | Médaille de bronze Rennes, 1864

 

ROUSSEAU Antoine Alexandre

 

 

 

 

Lectures pour tous, 03/1924, p. 269 (gallica.bnf.fr)

 

 

Magasin : 113 & 115, rue de Vaugirard vers 1900

 

1840

 

LIÈGE - "GILBERT, 115, rue de Vaugirard, Paris, exposait un piano à queue d'un modèle réduit." Rapport général de la Section française, Exposition internationale de Liège, 1931, p. 316 (gallica.bnf.fr)

  "PIANOS - GILBERT - Grand Prix Bruxelles - Sonorité d'un Piano à queue. Vente directe par la Manufacture. Un piano de qualité un prix avantageux. Le plus Grands Magasins de Pianos et Orgues. [...]. Salle de Concert, Usine. OCCASIONS de toutes marques. Location. Echange. - 115, 113, RUE DE VAUGIRARD 5 minutes de la Madeleine." Le Petit Parisien, 10/01/1925, p. 6 (gallica.bnf.fr)

  "GILBERT, 113 et 115, r. de Vaugirard, Paris, 15°. T. Ségur 19-26. R. du C. 47805. Pianos et orgues. (17-14308)." Annuaire industriel. Répertoire général de la production française, 1925 (gallica.bnf.fr)

"PIANOS - PRIX EXCEPTIONNELS - Pianos droits obliques bois de palissandre ciré, 3,000 fr.; acajou noyer ciré, prix 3,300 fr., 3,500 fr., 3,800 francs.
A cordes croisées grand modèle,
4,000 tr., 4,400 fr. ; modèle de style et d'exposition en bois acajou ou palissandre verni et pianos américains:
4,500 fr., 4,900 fr., 5,200 francs.
Pianos 1/4 queue noyer ciré frisé, 6,000 fr.;
Blutner et autres pianos., fabrication allemande, 6,000 fr. ;
Pleyel palissandre ciré, 12,000 francs.
Pianos ½ queue palissandre ciré, 6,500 fr. :
Gaveau cordes croisées, 7,500:
Erard, 7,000 france.
Pianos à queue « Concert » : Pleyel.
7,800 fr.; Erard, 8,500 fr. ; Gaveau, 7,000.
Pianos automatiques Æolian Steck, Pleyela, Melodia électrique 1/4 queue, etc., etc., etc.
Orgues harmonium de salon depuis 1,500 fr.; orgues à tuyaux, orgues électriques Welte pour cinéma, 9,000 fr., etc. Les plus grands magasins de pianos et orgues. - GILBERT - 115-113, rue de Vaugirard, Paris, XVe - (Métro Falguière-Maine-Montpamasse) et succursale 1, rue Madame - (Métro St-Sulpice-St-Germain-des-Prés).
Vente au comptant et à crédit. Les instrumenta achetés peuvent être gardés pour livraison ultérieure." Le Journal, 01/12/1926, p. 6 (gallica.bnf.fr)

"PIANOS - EXPOSITION-VENTE DU 11 AU 16 JUIN Chez GILBERT - Les derniers Modèles - Les meilleurs Instruments - GABRIEL GAVEAU, Pianos d'art, le GILBERT B B. le premier et le plus petit piano à queue ; le GILBERT piano droits cordes croisées, nouveau mod. à prix réduits - ORPHEE, piano automatique perfectionné, PLEYEL, le meilleur piano crapaud. Occasions exceptionnelles de pianos récents Blunat, Guérin, Hercher, Lys, Chickering. Piano chinois Pleyel, 1/4 et ½ queue. Steinway, Pleyel et Gaveau, mod. de concert Pianola, Æolian, Steck, Piano Electrique Mélodia. Tous modèles et toutes marquer. Facilités de paiement. Occas. exceptionnelles - 1, RUE MADAME, 1 - Actuellement EXPOSITION. Pianos anciens. - Piano à queue Empire de l'époque 4 Pédale, acajou et bronze. Clavecin-Epinettes-Louis xvi. Piano Harpe Directoire. Pianos style Boulle - GILBERT - 113-115, rue de Vaugirard, Paris-Montparnasse (8 min. de la Madeleine)" Paris-Soir, 11/06/1927, p. 2 (gallica.bnf.fr)

  "GILBERT, 113 et 115, r. de Vaugirard, Paris. 15e. T. Ségur 19-26. — Usines électriques : 115, r. de Vaugirard, Paris, 15°; et à Bellevue (S.-et-O.). Manufacture de pianos droits et à queue, harmoniums pour églises, orgues de salons. (17-14368)" Annuaire industriel. Répertoire général de la production française, 1935 (gallica.bnf.fr)

 

Paris 32, Cité de l'Etoile (z1864)

50, rue Notre-Dame-des-Champs (*1867)(arr.6)

19, rue Schomer (**1888)(*1893)(*1895)(*1896)(1900)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913)(arr.14)

115, rue de Vaugirard(*1895)(*1897)(**1898)(*1902)(*1906)(x1906)(**1907)(*1910)(**1912)(x1931)(arr.6)

113-115, rue de Vaugirard (**1911)(***1911)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(x1922)(**1923)(**1925)(1927)(*1929)(*1938)(arr.6)

113, rue de Vaugirard (**1921)(arr.6)

2 usines : à Paris et Bellevue

Succursale et galerie d'art : 1, rue Madame (**1923)(1926)(1927)(**1930)(arr.6)

 

Facteur de pianos droits, pianos à queue et orgues et harmoniums ca. 1864-1930 [depuis 1840 (x1912) ou depuis 1855 (*1929)]

ROUSSEAU A. & Cie (*1867), 'Facteur d'orgues et d'harmoniums'

1864 - "Mlle Jammer, couturière, même maison, Rousseau, facteur d'orgues, cité de l'Etoile, 32." L'Indicateur des mariages de Paris, 10/01/1864, p. 4 (gallica.bnf.fr)

1868 - Faillite en 1868 : "Nom : ROUSSEAU Alexandre, facteur d'orgues, r.-N.-des-Champs, 50 - Syndics et avoués : Battarel - faillites : 27 mai 68 - Concordats : 24 déc. 68 - Insuffis. et unions : (³²)." Dictionnaire... des faillites... prononcées par les tribunaux de Paris, H.-F. Mascret, 1868, p. 92 (gallica.bnf.fr)

Repris par GILBERT :

1888-1913 - Les harmoniums ont été vendu encore sous le nom ROUSSEAU A., sur l'adresse de rue Schomer. On trouve dans les annuaires entre 1888 - 1909 le nom de ROUSSEAU Hector, sur la même adresse, sous la rubrique artistes et professeurs d'orgues.

GILBERT, son successeur (*1895)(*1897)(*1906)(x1906)
(**1907)(***1911)(**1921)(**1925), manufacture de pianos, sur l'adresse rue Vaugirard.

Il semble que GILBERT était également distributeur des pianos de Gabriel GAVEAU (°1911). Mais on trouve aussi un piano à queue de Gabriel GAVEAU dans le château de Cheverny, dont le logo a été probablement changé en 'GILBERT'.

'Piano- u. Harmonium-Handlung' - 'Spéc.: Harmoniums' - 'Fournisseur de la Cour d'Autriche' - 'Vertreter der Melodian-Orgeln' (x1912)

'Galerie d'art et manufacture de pianos, rue Madame, 1.' (**1930)

« "De la musique avant toute chose », disait Verlaine. Et le poète avait raison. Mais la peinture ne saurait nuire entre deux symphonies. Car il faut établir des parallèles entre les visages des muses.
Entre deux salles d'exposition de ses pianos, Gilbert a ouvert, il y a deux mois, rue Madame, une galerie d'art. Tel qui vient pour écouter est séduit par le talent des peintres.
Tel qui vient pour la peinture pourra être conquis par la musique. [...] Un groupement de tableaux ainsi conçu, présentant un lien entre eux, a toujours pour un amateur une attraction particulière. Et cela ajoute aussi à l'intérêt d'une visite à la galerie Gilbert que de voir la présentation des différents modèles de pianos dans la salle d'exposition : pianos de styles anciens ou modernes, pianos de bois précieux ou ornés de peinture. Un modèle inspiré du style Louis XVI est séduisant par la richesse de sa matière et son clavier heureusement inspiré des anciens clavecins. C'est là un piano de qualité, et qui peut tenir sa place dans l'intérieur le plus élégant. Enfin, il y a aussi le « Gilbert B. B.», d'une conception tout à fait originale due au décorateur Maurice Laffaille : d'une harmonie parfaite, cet instrument en bois de macassar, en acajou veiné ou en chêne clair doit séduire, par sa ligne simple, les amateurs d'architecture moderne." Art et industrie : revue générale des industries de luxe et des arts appliqués à la maison, 01/1930, p. 41, (gallica.bnf.fr)

Piano Gilbert B. B. par Maurice Laffaille, Art et industrie : revue générale des industries de luxe et des arts appliqués à la maison, 01/1930, p. 41, (gallica.bnf.fr)

INFO EXTRA

Particularités de la facture d’Alexandre Rousseau, Pascal Auffret, dans L’harmonium français, N° 1, juin 2007

ROUSSEAU sur Wiki Harmonium

 

Liste des exposants Paris, 1867 (orgues et harmoniums) | Médaille d'or Paris, 1900 (orgues, harmoniums et pianos) | Grand Prix Bruxelles, 1910 ?  | Liste des exposants Liège, 1930

FLACHET 1840 Grenoble Place des Cordeliers (*1875)(*1876)

 6, rue Turenne (***1906)

5
, rue Montorge (xx1890)(*1898)(x1906) (x1912)(*1913)(**1921)

 

Facteurs et/ou marchands de pianos droits et pianos automatiques ca. 1860-1921

FLACHET (1860)(***1863)

FLACHET & HENRY (1873)

HENRY Octave (xx1890), 'Musikal.-, Piano- u. Harmonium-Handlung'

 HENRY Père & Fils & ARNAUD (*1898)

 HENRY N. (***1906)

HENRY [O.] Fils & ARNAUD (x1906)(1912)

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906)

HENRY N. & ARNAUD A. (1912)(*1913)

1912 - "Grenoble. — Prorogation jusqu'au 31 mai 1912. — Soc. HENRI fils et ARNAUD pianos et instruments de musique, 5, Montorge." Archives commerciales de la France, 20/04/1912, p. 572 (gallica.bnf.fr)

HENRY Fils & ARNAUD A. (x1912)

'Musikal.-, Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung' (x1912)

'Musique et Instruments' (*1913)

ARNAUD Vve. (**1921), 'Musique, Ab.-Pianos_Instruments-Phonos'

 

 
HERCE Pierre Auguste Augustin

(1811 - ?)(¹⁰)

 

 

1840  

 'Fabrique de pianos' (1878)

TITRES

'Breveté de S. M. la Reine de l'Angleterre'

'Fabr. spéc. pour la tempér. du Brésil'(*1859)

PARIS - "MM. HERCE père et fils, à Paris, rue du Faubourg Saint-Antoine, 15. Ces artistes ont exposé des pianos droits à cordes obliques et à cordes verticales, présentant quelques innovations dans la construction, et notamment dans la manière de couder les cordes sur le chevalet. Ils ont appliqué ce nouveau système de coudage à un piano droit à cordes verticales qui, dans le concours, s'est trouvé mis au sixième rang." Rapport du Jury central, Paris Jury central, Imprimerie de Fain et Thunot, 1844, p. 547

PARIS - "Un autre emprunt lui avait également été fait par MM. Herce et fils, qui auraient pu retrouver, dans plusieurs de ses pianos, leur cordage équilibré. On sait qu'en passant sur le chevalet, la corde reçoit une double flexion parallèle au plan de la table, en s'appuyant contre deux pointes, inclinées en sens inverse, implantées dans le chevalet. Cette flexion a pour but de la maintenir plus fixe et d'éviter que ses vibrations lui fassent quitter le point du chevalet qui détermine sa longueur. On comprend que, si la flexion de toutes les cordes a lieu dans le même sens, elles détermineront une tendance de la part de celles-ci à pousser latéralement la table d'harmonie contre une des parois de la caisse. M. Pape, et, après lui, MM. Herce et fils, ont fait disparaître cette tendance, en coudant alternativement la moitié des cordes dans un sens et l'autre moitié dans l'autre, de manière que leurs efforts se fissent équilibre." Revue scientifique et industrielle, Volume 17, 1844, p. 381

PARIS - "La fabrique de MM. Herce et Mainé livre 100 pianos par an au commerce. Leur piano droit, admis au concours, a été classé le cinquième de cette catégorie. L'ancienneté de l'établissement de MM. Herce et Mainé est une garantie de la bonne confection de leurs ouvrages. MM. Herce et Mainé avaient été mentionnés honorablement en 1844 : le jury leur décerne la médaille de bronze." Rapport du Jury Central sur les Produits de l'Agriculture et de l'Industrie ..., France Jury Central sur les Produits de l'Agriculture et de l'Industrie, 1849

PARIS - "MM. Herce et Maine, de Paris, ont produit un système d'agrafes qui consiste à attacher la corde sur le chevalet même, dans le but de soulager la table du poids des cordes quand celles-ci ont leurs points d'attache au delà de la table." Le travail universel : revue complète des oeuvres de l'art et de l'industrie exposées à Paris en 1855, p. 602 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "M. HERCE. - M. Hercé ne s'est pas contenté d'exposer un bon piano vertical; mais il a voulu faire de l'extraordinaire, une sorte de réclame parlante. Il s'est donc imaginé de construire une armoirepiano, et il a eu l'ingéniosité de mettre le clavier tout en haut, ce qui fait que, sans aucune exagération de ma part, il faut avoir un marchepied pour y atteindre; et si l'appartement n'a pas, en hauteur, la dimension voulue, l'exécutant est obligé de laisser sa tête au bas de l'échelle !!!
M. Hercé construisit, en 1855, un piano droit, avec un système d'agrafes placées sur la table.
1844. Mention Honorable pour piano droit à cordes verticales placé au 6me rang. / 1849. Médaille De Bronze, piano droit classé au 5e rang. / 1855. MENTION HONORABLE." La musique à l'Exposition universelle de 1867, Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant, p. 192

PARIS - "Des pianos droits à cordes verticales et des pianos droits à cordes obliques."  Rapport sur les instruments de musiques à l'exposition universelle de 1878, Chouquet

"Herce père et fils; le père étant marchand de bois et fournissant les matières premières à MM. les facteurs, donne au fils, anciennement ouvrier de la maison Erard, une grande facilité de fabrication et l'emploi de marchandises de première qualité, Charenton, 102." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1844, p. 516 (gallica.bnf.fr)

"Herce père, ancienne fabrique de caisses de piano, connue depuis 28 ans, Charenton, 102." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1847, p. 471 (gallica.bnf.fr)  - [1847 - 28 = 1819]

"Herce et Mainé, boul. Bonne Nouvelle, 18, ont, par procédé aussi simple qu'ingénieux, fait disparaître la déviation qui fatigue tant la table tFharmonie, ce qui procure à leurs instruments des sons plus suaves et un accord constant. Ils ont présenté à l'exposition dernière des pianos dont tout le mécanisme intérieur peut se sortir de la caisse par la première personne venue, ce qui permet aux personnes de province, en cas d'accident ou de réparation, il envoyer le mécanisme par la diliqence. L'avantage de ces procédés est qu'ils n'augmentent nullement le prix des instruments de ces facteurs, qui viennent d'obtenir, à l'exposition de 1849, la première médaille de bronze. Ateliers, rue Charenton, 92." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1851, p. 655 (gallica.bnf.fr)

 

Paris 15, rue du Faubourg-Saint-Antoine (a)(**1844)(arr.11)

102, rue de Charenton (a) (1836)(¹⁰)(*1842)(**1842)(x1843)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(arr.12)

ateliers : 102, rue de Charenton (b)(x1849)(*1850)(arr.12)

18, boulevard Bonne-Nouvelle (b) (x1847)(*1848)(*1849)(x1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(yy1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(*1877)(**1877)(**1878)(**1879)(**1881)(arr.2)

36, rue des Fossés-du-Temple (zz1862)(arr.11)

3, boulevard Bonne Nouvelle (**1880)(**1883)(arr.2)

ateliers : 92, rue de Charenton (*1851)(yy1855)(xx1857)(xx1858)(xx1859)(1860)(¹⁰)(arr.12)

102, rue d'Aboukir (**1884)(**1885)(**1888)(arr.2)

ateliers : 99,  rue de  Charonne (*1859)(**1864)(*1880)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(arr.11)

100 pianos par an (1849)

 

'Facteur de pianos' ca. 1836-88

HERCE Pierre François (1836)(¹⁰). Il est né le 08/09/1782. Il était 'Menuisier en pianos' (1836)(¹⁰)

HERCE Pierre Auguste (Augustin) (1811- ?) - (1860)(¹⁰)(1866)(*1867).  Il est né à Paris en 01/09/1811. (¹⁰) Ancien 'ouvrier de la maison Erard' (xx1844)

Il était ébéniste en 1831, et habitait rue Lenoir, 5, avant devenir facteur de pianos. (¹⁰). HERCE Pierre François était marié avec TURIOT Marie Anne. (¹⁰)

HERCE, Père & Fils (a)(**1844)(**1846)(x1847), aussi exposants sur l'exposition de Paris en 1844; ils ont une autre adresse que les associés HERCÉ & MAINÉ (b) en 1847. Mais la publicité de 1859, dont on mention leur résultat d'exposition de 1844, ci-dessous, preuve qu'ils ont l'adresse '18, boulevard Bonne Nouvelle' en 1859, donc probablement ils sont déménagé en 1847. HERCE père avait encore son fabrique de caisses de pianos vers (x1847), rue Charenton, 102 dès 1819.

HERCE A. & MAINÉ E. (b)(dès 1845)(x1847)(*1849)(yy1851)(yy1855)(xx1856), voyez aussi pour MAINE.

1859 - "HERCE Pierre Auguste, fils, facteur de pianos, rue de Charenton, n° 92. Le 28/08/1859, acte notarié entre ledit et MAINE Charles Eugène, même profession, boulevard de Bonne Nouvelle, n° 18 pour dissolution de la société créée le 01/01/1845 pour la fabrication et la vente de pianos. Source : D31u3-217/2102." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1862 - "Atelier de M. Herze et Miné [sic], rue des Fossés-du-Temple, 36. - M. Bonnaure." Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862, p. 54 (gallica.bnf.fr)

HERCE (b)(xx1861)(**1878)

HERCE Frères (b)(1879)(*1880)

1879 - "PRODUCTIONS DE TITRES, Sont invités à produire immédiatement, leurs titres de créance, MM. les créanciers dans les faillites de : MM. Herce frères, fab. de pianos, 18, boulevard Bonne-Nouvelle. — n. 7.826." Le Moniteur des Faillites et des Liquidations de France et de l'étranger, 1879, p. 227 (gallica.bnf.fr) - La Presse, 23/11/1879, p. 4 (gallica.bnf.fr)

HERCE (**1883)

Brevet de 1855 : "Hercé et Maine construisirent un piano droit avec un système d'agrafes placées sur la table, par lesquelles passent les cordes, ayant quelque analogie avec le système d'agrafes d'Érard." Organographie: La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

Brevet de 1866 : "73.851. Brevet de quinze ans, 28 novembre 1866; Herce, représenté, par Jeanselme, à Paris, rue Gaillon, n° 13. — Perfectionnements apportés dans la disposition des pianos à queue." Catalogue des brevets d'invention, France. Ministère de l'agriculture, 1869

Brevet de 1867 : 'Piano-armoire' (*1867), M. Hercé ne s'est pas contenté d'exposer un bon piano vertical; mais il a voulu faire de l'extraordinaire, une sorte de réclame parlante. Il s'est donc imaginé de construire une armoire-piano, et il a eu l'ingéniosité de mettre le clavier tout en haut, ce qui fait que, sans aucune exagération de ma part, il faut avoir un marchepied pour y atteindre; et si l'appartement n'a pas, en hauteur, la dimension voulue, l'exécutant est obligé de laisser sa tête au bas de l'échelle !!!" La musique à l'Exposition universelle de 1867, Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant, 1867

Brevet de 1867 : "May 9, 1867. - A. HERCE. Keyboard to enable performer to face auditors." The History of the Pianoforte: With an Account of the Theory of Sound and ..., Edgar Brinsmead, 1889, p. 220

'Inventeur du piano à Tribune et de la table d'harmonie en équilibre' (1878)


(la suite)

"Herce et Maine, M.H. 1844 (B) 1849. La qualité d'un bon instrument dépend de la conscience du facteur, de son savoir-faire et non de l'économie qu'il apporte dans ses produits; c'est à l'excellence de sa fabrication que cette maison doit les récompenses successives qu'elle a obtenues aux expositions de 1844 et 1849. Magasins boulevard Bonne-Nouvelle. 18. - Ateliers rue de Charenton, 92." Nouveau dictionnaire de musique illustré, Charles Soulier, 1855

"Herce et Mainé, B [médaille de bronze] et récompenses aux exposition nat. et univ.; pour les accords, les échanges et réparations, s'adresser au magasin, boul. Bonne-Nouvelle. 18; pour la vente aux marchands de pianos de Paris et de la province, à leur fabrique, rue de Charenton, 92." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1858, p. 776 (gallica.bnf.fr)

"Hегсе, MH 1844, MB 1849, MH 1855, fab. spéc. pour la tempèr. du Brésil, boul. Bonne-Nouvelle, 18, ateliers. Charonne, 99." Annuaire et almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l ..., 1859, p. 1008-1009

"Avis aux actionnaires, avances de fonds. Pianos à l'essai. – Herce, boul. Bonne-Nouvelle, 18, choix de location de 10 à 20 f. par mois." La Presse, 31/10/1860, p. 3 (gallica.bnf.fr)

"Herce, 18, boulevard Bonne-Nouvelle, paris. Fabrique de pianos. Maison fondée en 1840. Inventeur du Piano à tribune et de la table d'harmonie en équilibre. Mention honorable en 1844; Bronze en 1849; Mention honorable en 1855; 1re Médaille de Vermeil en 1872; Breveté de S. M. la Reine d'Angleterre." Catalogue général descriptif de l'exposition : section française / Exposition universelle de Paris 1878, p. 5 (gallica.bnf.fr)

"PIANOS-HERCE-OBLIQUES aux exp. 1e en prov. Pr. de fabrique. Loue dep. 10 fr 11e Bonne-Nouvelle,3." Le Figaro, 29/05/1882, p. 3 (gallica.bnf.fr)

 

Mention honorable Paris, 1844 | Médaille de bronze Paris, 1849 | Mention honorable Paris, 1855 | patent, 1867 | 1e médaille de vermeil Lyon, 1872

KLEINJASPER dit SEGENKEMPER Jean François

(1813 - 1860)(¹²)

 

 

1840

 

Brevet de 1873 : "85,395. Brevet de quinze ans, 23 avril 1869; Kleinjasper fils, à Paris, rue Saint-Honoré, n° 296. Piano consolidé à clavier transpositeur." Bulletin des lois de la République française, 01/1873, p. 302 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "105. — KLEINJASPER, facteur de pianos, à Paris, rue Saint-Honoré, 250, entrée rue des Frondeurs, 1. Les pianos de M. Kleinjasper se recommandent par leur bonne confection et leur fini. Il expose un piano droit d'un nouveau modèle, remarquable par la force, la qualité des sons, et l'élégance de son extérieur." 7e exposition des produits des membres de l'Académie de l'Industrie, à l'Orangerie des Tuileries en 1843, p. 51 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "15. - KLEINJASPER, facteur de pianos, rue Saint-Honoré, 250, en face celle de l'Échelle, l'entrée par la rue des Frondeurs, 1, à Paris. Ce facteur, qui s'est appliqué surtout à la fabrication des pianos droits, expose un specimen de ce genre de pianos dont on peut apprécier la bonne qualité." 8e exposition des produits des membres de l'Académie de l'Industrie, à l'Orangerie des Tuileries en 1845, p. 17 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "36. — KLEINJASPER, facteur de pianos, rue Saint-Honoré, 250, en face celle de l'Échelle, l'entrée par la rue des Frondeurs, 1, à Paris. Ce facteur, qui s'est appliqué surtout à la fabrication des pianos droits, expose un spécimen de ce genre de pianos dont on peut apprécier la bonne qualité." 9e exposition des produits des membres de l'Académie de l'Industrie, à l'Orangerie des Tuileries en 1846, p. 22 (gallica.bnf.fr)

LONDRES - "KLEINJASPER, J. F., 296 Rue St. Honoré, Paris-Pianoforte Maker. A cottage pianoforte." Official descriptive and illustrated catalogue of the Great exhibition of the works of industry of all nations, 1851

LONDRES - "[...] il signor Kleinyasper [sic] fé mostra di un altro in palissandro [...]" L'Italia musicale, Volume 3, 1851, p. 172

LONDRES - "M. Kleinjasper a obtenu la mention honorable, il l'avait déjà gagnée en 1851. Son piano d'ébène incrustée de dorures de bon goût, est une très-belle pièce." La France à Londres en 1862 : revue de l'Exposition universelle du Palais de Kensington. Année 32, 1862, p. 639 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "Bon facteur, mais les instruments ne se font remarquer par aucune qualité exceptionnelle. — C'est bon ordinaire. 1851, à Londres, mention honorable, pour pianino." La musique à l'Exposition universelle de 1867, Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant, p. 162

 PARIS - "Venait ensuite l'exposition de M. Kleinjasper représentée par un charmant piano, genre Louis XV, de bois noir avec filets et ornements de cuivre doré. Ce piano, dont le mécanisme repose sur un nouveau système de répétition, avait même, dans le vaste local qu'il occupait au Champ de Mars, une grande puissance de son et d'harmonie." Histoire générale de l'exposition universelle de 1867, p. 694

Paris

Batignolles

 

4, rue Saint-Anne (1839)(1840)(¹⁰)(arr.1)

250, rue Saint-Honoré (yy1843)(**1844)(*1850)(*1851)(arr.1)

350, rue Saint-Honoré (**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(arr.1)

1, rue des Frondeurs (x1843)(xx1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(arr.1)

296, rue Saint-Honoré (yy1851)(**1852)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(xx1856)(*1859)(xx1861)(*1862)(***1863)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1880)(**1881)(arr.1)

2, Passage Saint Roch (xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1881)(**1883)(arr.1)

79, rue La Condamine (**1877)(**1878)(**1879)(arr.17)

23, rue Caumartin, ci-devant rue Saint Honoré, 296 (**1880)(**1881)(**1883)(1884)(**1888)(arr.9)

47, rue Notre-Dame-de-Lorette (***1892)(*1895)(*1897)(**1898)(*1903)(**1904)(*1905)(x1906)(*1907)(**1907)(*1909)(*1910)(**1912)(x1912)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.9)

à Paris

Usine :

 à Batignolles (**1880)(**1881)

 

'Facteur de pianos' droits ca. 1939-1914

Né à Paris des parents d'Allemagne en 1813. (¹²)

Époux de GUILLOT Denise (¹⁰)

1840 - "KLEIN-JASPER dit SEYENKEMPER Jean François, Facteur de pianos, Dt rue Sainte Avoie, n° 4. Cité comme temoin et fils, le 19/08/1840 ? lors de la succession de SAINTHUILLE Marie Catherine Cécile, sa mère décédée le 10/02/1840, Source : AP/DQ7/3744/acte 95." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1850 - "BB/11/606, Dossier n°4170 X5 - KLEINJASPER ou SEGENKEMPER, Jean François. Né(e) le 25 juillet 1813 à Paris (Seine). Qualité : facteur de pianos. Objet : naturalisation. Ouverture du dossier : 18 mai 1850." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

KLEINJASPER Jean François  (1851)(1855)

1863 - "MC/ET/CVI/951 - 17 novembre 1863 - Vente à titre de licitation par Pierre Paul Dembrun, ébéniste,70, rue Traversière Saint-Antoine, et ses filles, Elisa Catherine Désirée Dembrun, femme de Frédéric Joseph Allard, tourneur mécanicien, 9, rue Napoléon, 20e arrondissement, Honorine Arsène Dembrun, artiste lyrique, célibataire majeure, 50, rue des Acacias, 17e arrondissement, et Alexandrine Pauline Dembrun, blanchisseuse, célibataire majeure, à Clichy-la-Garenne (auj. Hauts-de-Seine), 64, rue de Courcelles au village Levallois, à Jean François Kleinjasper, facteur de pianos, 296, rue Saint-Honoré, des parts et portions leur appartenant indivisément avec M. Kleinjasper, à savoir, une maison sise 70 rue Traversière Saint-Antoine." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1864 - "MC/ET/CVI/952 - 19 janvier 1864 - Prêt conditionnel d'une somme de 15 000 francs par le Crédit foncier de France à Jean François Kleinjasper, facteur de pianos, et Désirée Guillot, sa femme, demeurant ensemble, 296, rue Saint-Honoré." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1868 - "MC/ET/CVI/974 - 13 juin 1868 - Contrat de mariage entre Philippe Victor Désiré Kleinjasper, facteur de pianos, à Colombes, commune de Bois-Colombes (Seine, auj. Hauts-de-Seine), 10, rue de la Procession, et Joséphine Jeanne Sestier, sans profession, mineure, demeurant chez sa mère, veuve, à la même adresse." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1868 - "MC/ET/CVI/974 - 19 août 1868 - Transport de bail par Jean François Kleinjasper père, facteur de pianos, 296, rue Saint-Honoré, à Philippe Victor Désiré Kleinjasper, son fils, facteur de pianos, demeurant à la même adresse, de différents lieux dont un appartement, faisant partie d'une maison sise, 296, rue Saint-Honoré." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

KLEINJASPER Fils (1873)

KLEINJASPER P.V.D. (yyy1878)

KLEINJASPER Vve. dès 1884 :

1884 - "Vendeur : Kleinjasper - Acquéreur : Kleinjasper (Vve) - Domicile élu pour les oppositions : R. Caumartin, 23 - Entrée en jouissance : 7 avril 84 - Fonds vendu : Facteur de pianos, r. Caumartin, 23." Archives commerciales de la France, 13/04/1884, p. 497 (gallica.bnf.fr)

KLEINJASPER Maurice (***1892)

1892 - Changement de propriétaires en 1892, Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 20/01/1892, p. 89 (gallica.bnf.fr)

Dès un moment pianos fabriqué par MUSSARD (°1822)

'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912)

"KLEINJASPER, facteur de pianos, médaille d'or, médaille de Londres, r. St-Honoré, 296, entrée pass. St-Roch, 2." Almanach des 40,000 adresses des fabricants de Paris et du département : contenant les noms et domiciles des principaux fabricants, 1864, p. 234 (gallica.bnf.fr)

"KLEINJASPER, fabr, de pianos, inventeur du clavier transposileur portatif, s'adaptant à tous les pianos, orgues, expositions 1844-49-55-67-78, méd. 1re classe et tard, d'or, vente et location, échanges, réparations et accords, export., r. Caumartin, 23 (ci-devant, St-Honoré, 296, pass. St-Roch); usine à Batignolles." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1881, p. 1522 (gallica.bnf.fr)

 

Liste des exposants Paris, 1843 | Liste des exposants Paris, 1844 | Liste des exposants Paris, 1845 | Liste des exposants Paris, 1846 | Liste des exposants Paris, 1849 | Mention honorable Londres, 1851 | Liste des exposants Paris, 1855 | Mention honorable Londres, 1862 | Liste des exposants Paris, 1867 | Liste des exposants Paris, 1878

LIMONAIRE Antoine, Jeune

(1815 - 1886)(²³)

 

 

Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1907, p. 2494 (gallica.bnf.fr)

Pub de 1921, Musique-adresses de 1921, p. 397

1840

 

 

Pianos droits, pianos à queue, orgues, pianos mécaniques, automatiques et orchestrions et boîtes de musiques

Piano ca. 1846, Musée de Bayonne, France

PARIS - "Le piano à queue de M. Limonaire, classé parmi les pianos exceptionnels, a fixé l'attention du jury. La disposition du mécanisme, auquel les étouffoirs sont attachés de manière à ne faire qu'un ensemble, a paru nouvelle et ingénieuse." Rapport du Jury Central sur les Produits de l'Agriculture et de l'Industrie ..., France Jury Central sur les Produits de l'Agriculture et de l'Industrie, 1849

PARIS - "Un facteur qu'il faut aussi ranger parmi les plus habiles, c'est sans contredit M. Limonaire, dont la réputation est d'ailleurs de notoriété artistique. Les instruments de M. Limonaire offrent une rare perfection, leur mode de construction repose d'ailleurs sur des données et des principes que l'expérience et le succès ont consacrés.
Dès son début dans la carrière, en 1840, M. Limonaire se préoccupait d'asseoir sur des bases fixes, inébranlables, les règles de son art. Il remontait aux causes et apportait à la facture un riche contingent d'observations théoriques. L'étude des sciences physiques et mathématiques lui a fait découvrir un nouveau système d'accord où l'octave est établie par quinte et quatrième, intervalles qui forment les treize demi-tons, et ne laissent entre le point de départ et son octave qu'une fraction de 1|100 c'est, comme on voit, le tempérament réduit à sa plus simple expression.
M. Limonaire a également porté toute son attention sur les cordes il a fait de nombreuses expériences sur les forces de chaque numéro des différentes fabriques, et il établit ses longueurs sur des chiffres irrécusables; la mécanique a subi ses utiles modifications.
Les marteaux à double nez qu'il imagina vers 1843, un double échappement à pièce de renvoi, d'une simplicité remarquable; des fourches à doubles vis régulatrices, qui donnent a la mécanique la précision des mouvements d'horlogerie, et qui sont à l'abri des influences atmosphériques; eniln un nouveau système d'attache des cordes en spirales, tels sont les travaux principaux de M. Limonaire, et l'ensemble des services qu'il a rendus à la facture.
M. Limonaire expose un piano à queue ot des pianos droits à cordes verticales qui se distinguent autant par leur belle sonorité que par lé fini et la précision du travail. Ces instruments répètent surtout admirablement et à toutes les hauteurs de la touche. Les basses sont excellentes, le clavier ne laissa rien à désirer. A. Giacomelli." La France Musicale, 1855, p. 290 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "M. LIMONAIRE - M. Limonaire est un bon facteur, assez en renom dans l'industrie parisienne. L'instrument exposé par ce facteur est d'une bonne construction : mais il ne sort pas de ce milieu dans lequel nous voyons flotter à Paris, l'industrie des pianos.
En 1848, M. Limonaire rattacha les étouffoirs au mécanisme, de manière à ne former qu'un seul ensemble.
En 1852, il imagina un marteau répétiteur à renvoi d'échappement et à double vis régulatrice. Ce marteau mobile faisait charnière à une des extrémités de la noix.
1849. Médaille De Bronze, bonne fabrication. 1855. Médaille De 1° Classe." La musique à l'Exposition universelle de 1867, Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant, p. 192

PARIS - "Pianoforti a coda. - [...] La casa Limonaire di Parigi non ha avuto distinzione di sorta, mentre i suoi lavori non erano secondi agli altri del compartimento franicese. Noi non abbiamo l'onore di conoscere questa casa, però abbiamo spesso incontrato i suoi eccellenti lavori, e quel pianoforte a coda esposto ne fa fede abbastanza ; ha bella voce ed eguaglianza senza macolo; non conosciamo il suo meccanismo, ma la tastiera camminava bene e si sentiva soddisfazione nel toccarla." Il Pianoforte, guida pratica per costruttori, accordatori, etc., Sievers, 1868, p. 216

PARIS - "LIMONAIRE. - France. - Pianos droits à double échappement où se reconnaît un facteur ingénieux; piano-orgue à manivelle, d’une grande puissance." Chouquet, Rapport sur les instruments de musiques à l'exposition universelle de 1878

PARIS - "98. LIMONAIRE Frères & Cie., à Paris, avenue Dauménil, 166. — Pianos et orgues à cylindre." Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, p. 7 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "80. Limonaire frères, à Paris, avenue Daumesnil, 166. — Orgues et pianos mécaniques." Catalogue général officiel. Tome troisième, Groupe III : instruments et procédés généraux des lettres, des sciences et des arts : classes 11 à 18, 1900, p. 522 (archive.org)

Brevet de 1848 : "Limonaire disposa le mécanisme où il attacha les étouffoirs, de manière à ne former qu'un seul ensemble." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

Brevet de 1851 : "Limonaire imagina un marteau répétiteur, à renvoi d'échappement et à double vis régulatrice; ce marteau mobile fait charnière à une des extrémités de la noix; elle est traversée librement par une broche taraudée dont l'écrou sert à régler; elle soutient le marteau dans la position où il est reçu parla chaise et en même temps renvoie l'échappement sous le nez de la noix aussitôt que la touche se relève. (B. F., 13,805)." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

Brevet de 1852 : "253° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 4 juin 1852, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Limonaire (Antoine), à Paris, rue Neuve-des-Petits-Champs, n° 20, pour marteau répétiteur, à renvoi d'échappement et pour une double vis régulatrice, aux fourches brisées, applicable au mécanisme de pianos." Bulletin des lois de la République française, 07/1853, p. 736 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1905 : "353659. Brevet dé quinze ans, 22 avril 1905 Société Limonaire frères, représentée par Blétry, à Paris, boulevard de Strasbourg, n° 2. Sommier pour orgues et pianos à cartons perforés." Bulletin des lois de la République française, 07/1906, p. 256 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1906 : "372009. Brevet de quinze ans, 30 novembre 1906; Société Limonaire frères, représentée par Blétry, à Paris, boulevard de Strasbourg, n° 2. Dispositif de gluidage des cartons perforés dans les orgues et pianos mécaniques." Bulletin des lois de la République française, 01/1908, p. 1861 (gallica.bnf.fr)

 

Paris

Lyon

Londres, Angleterre

Waldkirch, Allemagne

27 [-29], rue Montorgueil (**1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(1849)(¹⁰)(*1850)(*1851)(**1852)(arr.1)

La future demeure, mais personnelle à Neuilly (près Paris, Seine)(1849)(¹⁰)

20, rue Neuve-des-Petits-Champs (yy1851)(1852)(**1854)(yy1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(**1857)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(*1867)(x1868)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(arr.2)

68, rue Saint-Sabin (**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(arr.11)

Ateliers : 79, rue Claude Decaen  (1889)(**1913)(**1921)(*1922)(arr.12)

166, Avenue Daumesnil (*1889)(xx1889)(x1890)(xx1890)(**1894)(*1896)(***1900)(**1907)(1908)(*1911)(**1911)(**1912)(**1913)(**1914)(**1921)(*1922)(x1922)(arr.12)

à Paris

SUCCURSALE : 39, avenue Félix Fauré (x1912)(*1913)(**1921)

à Lyon

SUCCURSALE : à Londres, Angleterre (xx1890)

SUCCURSALE : 48, Kaiser Wilhelm Strasse (by Richard BRUDER - 1912)(x1912)

à Waldkirch, Allemagne

SUCCURSALZ : via Biglia, viale Monza (x1912), Milan, Italie

 

'Facteur de pianos et orgues' ca. 1844-29 [depuis 1840 (x1912)(**1921)]

LIMONAIRE était le nom d'une grande famille de facteurs d'orgues de manèges et d'instruments automatiques fondée en 1840. L'importance et la qualité de leur production ont fait que leur nom est entré dans le langage courant, pour un certain type d'instruments, au même titre que 'frigidaire' ou 'gramophone' par exemple …

LIMONAIRE Antoine (**1844)(1849). Époux de BEZED. (1849)(¹⁰)

LIMONAIRE Jeune (**1845)(*1850)(*1851)(**1852)(xxxx1855)(*1859)(***1863)(**1879)

LIMONAIRE Frères & Cie (1886)(x1890)(xx1890) ou LIMONAIRE Fils & Cie (*1889)

1886 - "Paris.— Formation de la Société en commandite LIMONNAIRE frères et Cie, fab. de pianos et orgues, rue des Petits- Champs, 20, — Durée; 20 ans. — Cap.: 80,000 fr. dont 65,000 fr,. eu commandite. — Acte du 29 janv. 1886. — J. g. d'A." Archives commerciales de la France. 10/02/1886, p. 163 (gallica.bnf.fr)

1907 - "A la date du 28 septembre 1907, M. Blache, demeurant à Paris, 7, rue Christian-Dewet, a déposé à la Préfecture de police les statuts d'une société de secours mutuels qu'un groupe de personnes ont l'intention de constituer sous la dénomination de Société de secours mutuels du personnel de la maison Limonaire frères. Le but de cette association' sera d'assurer à ses membres participants, en cas de maladie ou blessures, des secours. Le siège social sera établi à Paris, 166, avenue Daumesnil." Recueil des actes administratifs de la Préfecture du département de la Seine, 09/1907, p. 594 (gallica.bnf.fr)

1908 - "Paris — Formation. — Société en nom collectif LIMONAIRE frères, orgues et pianos mécaniques, 166, av. Daumesnil — 20 ans — 300,000 fr. — 4 janv. — P. A." Archives commerciales de la France, 29/01/1908, p. 122 (gallica.bnf.fr)

LIMONAIRE Frères (**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1921), 'Manufacture de pianos automatiques et orchestrions'

'Niederlage von Orchestrions, mechanische u. elektr. Pianos etc.' (x1912) à Lyon

'Handlung u. Niederlage von automatischen u. mech. Orchestrions u. Pianos. Fabrik in Paris' (x1912) à Milan, Italie

Repris par S.F.I.M.P. (**1921)

1932 - "Habitations à bon marché ou à loyers moyens [...] N° 6 du plan. — Villa Maurice, 5 (totalité). — Limonaire (Armand-Camille), veuve née Grigna et Flament (Georges), Limonaire, indivis, et Société pour la fabrication des instruments de musique pneumatiques (M). — La Ville de Paris (Office public d'habitations à bon marché) (D)." Recueil des actes administratifs de la Préfecture du département de la Seine, 11/1932, p. 1175 (gallica.bnf.fr)

"Limonaire Jeune, invention et perfectionnement, nouveau système de mécanique, dont les notes répètent à tous les enfoncements des touches sans avoir besoin de relever les doigts, Montorgueil, 27 et 29." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1846, p. 559 (gallica.bnf.fr)

"Limonaire jeune, invention et perfectionnement, nouveau système de mécanique dont les notes répètent à tous les enfoncements des touches sans avoir besoin de relever les doigts, nouveau système d'attaches de cordes invariables contre la détention et l'accord, (B) 1849, Montorgueil, 27." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1850, p. 612 (gallica.bnf.fr)

"LIMONAIRE (A.), auteur du marteau répétiteur, etc. . Rue Neuve-des-Petits-Champs, 20." Nouveau dictionnaire de musique illustré, Charles Soulier, 1855

  "Limonaire jeune, pianos à queue et droits à double échappement, brev. t. g. d. g., exportation, ® 1849, méd. de Ire cl. à l'Exposition universelle 1855, Neuve-des-Petits-Champs, 20." Annuaire et almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l ..., 1859

"Limonaire jeune, grande fabrique de pianos à queue, pianos droits à double échappement, breveté, exportation, expositions, méd. de 1re classe en 1855, rue Neuve-des-Petits Champs, 20." Annuaire spécial des artistes musiciens, 1863, p. 121 (gallica.bnf.fr)

"Limonaire jeune, pianos à queue et droits à double échappement brev. s. g. d. g., exportation, (B) 1849, Méd. dé 1re univ. Paris 1855, 1867 et 1878 Nve-des-Petits-Champs, 20, et St. Sabin, 68." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1879, p. 1396 (gallica.bnf.fr)

"LIMONAIRE FRÈRES, manufacture de PIANOS ÉLECTRIQUES, PIANOS ORCHESTRIONS, PIANOS A CARTONS, PIANOS AUTOMATIQUES à ressort, marchant avec une pièce de 0 fr. 10., av. Daumesnil, 166. - [0 Roq. 04.08. " Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1914, p. 2787 (gallica.bnf.fr)

TÊTE D'UNE FACTURE

Facture ca. 1893

PUBLICITÉ

dans Welt-Adressbuch der gesamten Musikinstrumenten-Industrie, 1912, p. 143 (digital.sim.spk-berlin.de)

VOIR AUSSI ...

... un autre de la famille : LIMONAIRE (°1869) à Bayonne, sur sa signature on peut voir : 'Fabrique de pianos de Paris'. Un lien avec ce LIMONAIRE Antoine de Paris et  LIMONAIRE Ainé à Paris

INFO EXTRA

Site sur 'LIMONAIRE Frères'

 

Liste des exposants Paris, 1844 | Médaille de bronze Paris, 1849 |  Médaille de 1e classe Paris, 1855 | Liste des exposants Paris, 1867 |  Médaille de bronze Paris, 1878 | Médaille de bronze Paris, 1889 | Diplôme de médaille d'or, Lyon, 1894 |  Médaile d'or Amsterdam, 1895 | Médaille d'or Bruxelles, 1897 | Médaille d'or Paris, 1900 | Médaille d'or Louisiane (État du Sud des États-Unis), 1904

LOMBARD 1840

"M. Lombard, accordeur et égalisseur chez M. Pape, fabricant de pianos à Paris, étant de passage dans cette ville, prévient les personnes, qui auraient des pianos à réparer ou à accorder, de vouloir bien le faire prévenir, qu'il s'empressera de se transporter à leur domicile. S'adresser chez M. Ricot, traiteur, rue Porte-Nove, ou chez M. Meissonnier, rue Saint-Rome, n° 28." Le journal de Toulouse, 07/01/1840

 

Paris  

115, rue faubourg du Temple (**1837)(arr.10)

69, rue faubourg du Temple (xx1839)(arr.10)

8, Place Saint-Sulpice (1840)(xxxx1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(arr.6)

51, rue de la Bienfaisance (*1851)(**1852)(arr.8)

ateliers : 21, rue Mazarine (*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(**1864)(arr.6)

 

Avant devenir 'Facteur de pianos' droits  ca. 1837-64; (¹)

Il était 'accordeur de pianos' (**1837).

LOMBARD Père (xx1856)

GEORGES Alphonse (°1869), successeur dès 1869

 
MARIX Mayer & MARIX Léon 1840  

Pianos droits, pianos automatiques, pianos pneumatiques et electriques, harmoniums, accordéons, harmoniflûtes

LONDRES - "J'aperçois ici M. Mayer-Marix. Que vient faire ce brocanteur du passage du Panorama à l'Exposition universelle? Quel est son titre? qu'a-t-il enfin construit ? un harmoni-flûte, dirat-on. Mais ne sait-on pas que ce petit instrument appartient à M. Busson qui le fabrique et le vend à M. Mayer-Marix lequel a acheté le droit de vente et d'exploitation." Douze jours à Londres: voyage d'un mélomane à travers l'Exposition universelle, Adolphe Le Doulcet marquis de Pontécoulant, 1862, p. 120  -   Voir BUSSON (°1835) plus haut sur cette page.

"M. MARIX, facteur de pianos, d'orgues et d'accordéons, passage des Panoramas, 47, invite MM. les artistes et amateurs à venir essayer ses orgues expressifs, qu'il garantit supérieurs à tout ce qu'il a fait jusqu'à ce jour. M. Marix, jeune, donne aussi des leçons d'accordéon chez lui et à domicile." Le Ménestrel, 08/05/1836

"Avis : Monsieur MARIX, facteur d'orgues expressives (harmoniums) et d'accordéons, fournisseur de S.A.R. Madame la princesse d'Orléans, ci-devant passages des Panoramas et Choiseul, maintenant rue du faubourg Montmartre, n° 4, à Paris, donne des leçons de chant, de piano et d'orgues." (¹⁰) Journal des Débats du 12/05/1839

PUB

Pub de 1919

Pub de 1921, Adresses-Musique de 1921, p. 414

 

Paris boulevard Montmartre, passage des Panoramas (1835)(¹⁰)(arr.2)

64, galerie Vivienne (1835)(¹⁰)(arr.2)

47, Passage des Panoramas (1836)(1839)(arr.2)

4, rue faubourg Montmartre (P1839)(1844)

146, rue Montmartre (1855)

45, Passage des Panoramas (1862)(arr.2)

48, Passage des Panoramas (*1875)(yyy1878)(**1884)(**1885)(**1888)(1889)(xx1890)(*1896)(x1906)(*1909)(*1910)(x1912) (*1919)(**1921)(x1922)(*1938)(arr.2)

38, rue Vivienne (*1894)(**1898)(x1906)(x1912)(**1914)(*1919)(**1921)(x1922)(arr.2)

 

'Facteur de pianos', orgues expressives, harmoni-flutes, harmoniums et accordéons ca. 1835-1922 [depuis 1840 (**1921)]

Selon 'Musique-adresses' de 1913, la maison est fondée en 1840. Mais selon les publicités anciennes, probablement avant 1836.

MARIX & CHAMEROY (1835)(¹⁰), voir CHAMEROY

MARIX (1836)

1838 - "Le 16/03/1838, dans un acte notarié comportant société entre ledit et MARIX Léon, facteur d'orgues, passage des Panoramas, n° 20 et aussi PICART Chrysogône Joseph Christophe, facteur d'orgues, rue du Puits Vendôme, n° 1er lesquels se sont associés dans une société en nom collectif pour la fabrication et la vente des orgues expressifs et accordéons. La siège est à cette dernière adresse sous la raison FAVIER ; MARIX et PICART. Source : D31u3-76/Pièce 506." nformations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

MAYER & MARIX, 'facteur d'orgues et d'accordéons' (*1846), 'orgues séraphiques' en 1844.

1840 - "MARIX Mayer, Facteur d'orgues, associé, rue du faubourg Montmartre, n° 4. Le 20/02/1840, lors d'une sentance arbitrale du tribunal de commerce concernant ledit mais aussi MARIX Léon, aussi facteur d'orgues, laquelle société est dissoute à compter du 01/01/1840. Source : D31u3-90/Pièce 616." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1845 - "MARIX Mayer, Facteur d'instruments de musique, rue du faubourg Montmartre, n° 20. Cité le 16/03/1845, dans un jugement arbitral du tribunal de commerce où est comparu leditet WINDER Ernest, fabricant d'accordéons, rue des Fontaines du Temple, n° 5, lesquels nous ont dit, etc. Source : D31u3-133/Pièce 1096." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

MARIX M., 'orgue et harmonium' en 1855

MAYER-MARIX, 'harmoni-flutes' en 1859, 1862 et 1867. Voyez une publicité dans Guide du monde élégant à Paris, Janvier 1859, Hôtel du Rhin, place Vendôme, p. 30 (gallica.bnf.fr)

MORHANGE L. (*1875)(yyy1878)(**1884)(1889), gendre et successeur, 'harmoniflutes, harmoniums, accordeons'

'Pianohandlung' (xx1890)(x1906)(x1912)

MORHANGE Adam (*1894)(*1896)(x1906)(*1909)(*1910)(x1912)(**1914)(*1919)(**1921), successeur

A aussi laisser producer temporairement ces pianos par  LEGUERINAIS (°1856)

TÊTE D'UNE FACTURE

 

Liste des exposants Paris, 1839 | Liste des exposants Paris, 1844 |  Liste des exposants Londres, 1862 | Liste des exposants Paris, 1867 | Liste des Exposants Paris, 1878 | Liste des exposants Paris, 1889 | Mention honorable Anvers, 1894 | Médaille de bronze Bruxelles, 1897

HENRY 1840

"WILLEMOT, rue Saige, 3 Instruments de toutes sortes : à cordes, en bois et en cuivre. - Pianos de tous facteurs. - Musique pour Pianos et autres Instruments. Romances, chansonnettes." Guide Bordelais, etc, 1869, p. 76

Bordeaux  

12, rue des Piliers-de-Tutelle (vvv1855)(yy1857)(***1858)(**1859)(yy1862)

3, rue Saige (y1869)

9, rue Saige (xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1913)(**1921)

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos droits et éditeur de musique ca. 1855-1921

Repris par WILLEMOT [WUILLUMOT] vers 1857; WILLEMOT était 'professeur, marchand de musique et d'instruments, location de pianos'

WILLEMOT Veuve (xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)

'Pianohandlung' (xx1890)

Repris par RIFFAU H. (*1913)(**1921).

 

 
THIBOUT Benoit Amédée

(1822 - 1877)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Publicité de 1875

 

1840

 

THIBOUT
sur ce site

EXPOSITIONS

Pour lire les commentaires sur les expositions, cliquer sur le lien ci-dessus.

SOUS-MARQUE

PARIS-PIANO d' Amédée THIBOUT vers 1890. (²³).

'FARFAIT' était aussi une sous-marque de Amédée THIBOUT utilisée dès 1902 (²¹)

"Thibout (Amed.) et Cie, facteurs de pianos droits et carrés, location pour la ville et la campagne, échange et reparation de pianos, B. 1844, Faub. Montmartre, 21." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1846, p. 559 (gallica.bnf.fr)

"MÉDAILLE D'ARGENT 1867. Amédée THIBOUT et Cie (N.-C.), facteurs de pianos, magasins rue du Faubourg-Montmartre, 21, fabrique rue de Laval, 33. Maison fondée en 1840. Médailles aux Expositions 1844 et 1849. - France. Exportation." Catalogue officiel des exposants récompensés par le Jury international, 1867, p. 89 (gallica.bnf.fr)

"Un de nos plus habiles facteurs, M. Amédée Thiboust [sic], avait réuni dernièrement un grand nombre d'amis, pour l'audition doses pianos nouveau modèle, qui vont représenter l'industrie française à l'exposition de Vienne. Ce sont MM. Lavignac et Lack qui ont servi de parrains à ces excellents instruments et qui en ont fait valoir les ressources et les qualités." Le Ménestrel, 13/04/1873, p. 159 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1885 : "April 29, 1885. — MADAME VVE. AMEDEE THIBOUT. Substitute for wood by use of frames of iron, having abutting arches for resisting tension of strings ; string plate and wrest-plank being also of metal." The History of the Pianoforte: With an Account of the Theory of Sound and ..., Edgar Brinsmead, 1889, p. 239

VOIR AUSSI ...

  THIBOUT Aimé (°1834) à Paris, même époque

 

   Paris

Ivry

Saint-Ouen

 

rue Coquenard (1840)[?](arr.9)

6, rue des Filles du Calvaire (**1844)(arr.3)

21, rue du Faubourg-Montmartre (1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(**1857)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(**1864)(**1870)(arr.9)

7, rue du Faubourg-Montmartre (xx1861)(***1863)(arr.9)

24 ou 21 (?), rue du Faubourg-Montmartre (*1867)(yy1867)(arr.9)

2, rue Frochot (1870)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(**1888)(xx1890)(**1898)(arr.9)

28 [26 ?], rue de Laval (**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1882)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(arr.3)

[28]-33 (33 = fabrique), rue de Laval (yy1867)(**1870)(**1873)(**1876)(**1877)(**1878) (yyy1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886) (*1889)(arr.3)

28, rue Victor Massé (**1888)(xx1889)(x1890)(xx1890)(*1894)(***1896)(**1898)(arr.9)

28-33, rue Victor-Massé (**1898)(arr.9)

28, rue Laval (1893)(arr.3)

Magasin : 27, rue des Petits-Hôtels, place Lafayette (***1900)(**1904)(x1906)(**1907)(*1909)(*1910)(x1912)(**1914)(arr.10)

Usines : 45, rue des Haies (**1914)(arr.20)

à Paris

Usine à vapeur (**1881)

à Ivry

Magasin : 44-46, 6, rue Mathieu prolongée (xx1890)

Usine : 6, rue Mathieu prolongée (x1906)

Usine : 6, rue Blanqui (**1911)(**1912)(x1912)

 à Saint-Ouen

 

20 à 25 ouvriers produisant 75 à 90 pianos par an 1840

80 ouvriers et 500 pianos par an 1867

700 pianos par an vers 1893

 

'Facteur de pianos' droits, pianos à queue et harmoniums ca. 1840-1914 [depuis 1825 (x1912) ou depuis 1840 (*1913)]

Époux de BARON Marie Louise (ca. 1827 - 1848)(¹⁰)

Élève de PAPE et MUSSARD. (voyez Pontécoulant, expo 1867)

"THIBOUT (Amédée-Benoit) s'étabtit en 1840, après avoir fait son apprentissage chez Mussard et travaillé quatre ans chez PAPE; Mme veuve Thibout [...] acquit le fonds HERZ en 1891." Encyclopédie de la musique et dictionnaire du conservatoire, 1927, p. 2079 (gallica.bnf.fr)

THIBOUT Amédée & Cie (yy1851)(xxxx1855)(xx1858)(xx1860)(**1870)

"Après avoir fait son apprentissage chez Mussard et avoir travaillé quatre ans chez PAPE, THIBOUT (Amédée-Benoit), fils du luthier J.-P. THIBOUT, dont il sera question plus loin, s’établit fort modestement en 1840. Il n’occupa d’abord que 20 à 25 ouvriers produisant 75 à 90 pianos par an; en 1867, il en construisait environ 500 avec 80 ouvriers tant à l’atelier qu’au dehors; aujourd’hui la maison en emploie une centaine et fait à peu près 700 pianos. A. THIBOUT s’est acquis une certaine réputation pour la fabrication des instruments à prix modérés. Il mourut le 14 fév. 1877, à l’age de 54 ans. Par suite de ce décès, c’est Mme veuve THIBOUT, qui prit part à l’exposition de 1889 où elle obtint une médaille d’argent pour ses divers instruments parmi lesquels on remarqua un piano à cadre en fer au prix très accessible de 550 fr., destiné à l’exportation. Mme veuve THIBOUT, en présence des suffrages recueillis par ses instruments et des récompenses précédemment obtenues (médaille d’or, Bruxelles, Amsterdam, Anvers) ne crut pas devoir accepter cette médaille et, par exploit d’huissier, elle notifia son refus à l’administration. En 1891, après avoir acquis le fonds H. HERZ, Mme veuve THIBOUT s’est associée son fils Hugue-Amédée (né le 2 juin 1862), qui avait été nommé officier d’académie l’année précédente, et elle continue avec lui, sous la raison sociale Am. THIBOUT et Cie, son ancienne fabrication." Les facteurs d'instruments de musique : les luthiers et la facture instrumentale : précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893

1877 - "On nous apprend la mort, aussi prématurée qu'inattendue, de M. Amédée Thibout, l'honorable chef d'une de nos plus importantes fabriques dé pianos, mort dans sa cinquante-quatrième année. Ses obsèques ont eu lieu vendredi dernier à l'église Notre-Dame-de-Lorette." La Presse, 20/02/1877, p. 3 (gallica.bnf.fr)

1877 - "Paris — Dissolution, à partir du 14 févr. 1877, Jour du décès de M. Thibout, de la Société Amédée THIBOUT et Cie, fab. de pianos, rue Frochot, 2. — Liquid. : M . Raudeau, rue de Londres, 56. Jug. du [?] fév. 1877. — G. T." Archives commerciales de la France. 22/03/1877, p. 363 (gallica.bnf.fr)

THIBOUT Amédée Vve. dès 1877

1877 - "Adjudication en étude de Mr. Huillier, notaire à Paris, boulevard Haussmann, n° 83, le jeudi 20 septembre 1877, à deux heures. à deux heures, D'UNE FABRIQUE DE PIANOS exploitée à Paris, r. Laval, 28 et 33, et r. Frochot, 2, dépendant de Société Amédée Thibout et Cie. Mise a prix 50,000 fr. Marchandises à dire d'expert. S'adresser audit M. HUILLIER, notaire, et à M. Jules Girandeau, liquidateur, rue de Londres, n° 56, à Paris." Le Figaro, 31/08/1877, p. 4 (gallica.bnf.fr)  et Journal officiel de la République française, 02/09/1877, p. 6124 (gallica.bnf.fr)

1877 - "L'honorable maison Amédée Thibout et Cie continuera sa fabrication de pianos droits et obliques, sous la direction de Mme veuve Thibout assistée de son fils, et des anciens contre-maîtres de cette importante manufacture." Le Ménestrel, 14/10/1877, p. 366 (gallica.bnf.fr)

THIBOUT Amédée & Cie (**1878)(**1885)(**1880)(xx1889)(x1890)(xx1890)(**1898)

1890 - Sous-marque «PARIS-PIANO»

'Pianofabrikant' (xx1890) à Paris

1891 - Mme. veuve A. THIBOUT a racheté le fonds de Henri HERZ à la veuve HERZ, mais l'a cédé à RUCH (°1869) vers 1891, voyez Henri HERZ (°1825)

1902 - Sous-marque PARFAIT

'Piano-Fabrik' (x1906)

THIBOUT Amédée & RIMOUX & Cie (1907)(x1912)

1907 - "Paris — Formation — Société en nom collectif Amédée THIBOUT et RIMOUX et Cie, pianos, 27, Petits-Hôtels — 10 ans — 92.000 fr. — 19 sept. 1907— G. T." Archives commerciales de la France. 02/10/1907, p. 1246 (gallica.bnf.fr)

'Piano-Fabrik' - 'Herz Pianos' (x1912)

En 1912 HERZ-THIBOUT & Cie, acheté par PLEYEL (°1807) :

1912 - "Vendeur : Herz et Thibout et cie - Acquéreur : Pleyel, Lyon et cie - Domicile élu pour les oppositions : Dufour, notaire, 15, b. Poissonnière - Entrée en jouissance : de suite - Fonds vendu : Fabr. de pianos et droits mobiliers, 27, Petits-Hôtels." Archives commerciales de la France, 04/12/1912, p. 1634 (gallica.bnf.fr)

1913 - "MC/ET/XLVIII/1701 - Cahier des charges pour la vente de 1/6e d’un établissement industriel et commercial et des noms et marques des pianos Henri Hertz [sic] et Amédée Thibout et Cie, à la requête de Roger Rimoux, facteur de pianos, demeurant 27, rue des Petits Hôtels, et Léon Victor Grillet, négociant en ivoire, demeurant 61, rue de Bretagne. -- En présence de la société Pleyel, Lyon et Cie. La mise à prix est fixée à 15 180 francs. - À la suite : 1913, 2 avril. Procès-verbal d’adjudication au profit de Prosper Paureau, facteur de pianos, demeurant Roissy, pour la somme principale de 21 200 francs." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

Liste des exposants Paris, 1844 | Médaille d'argent, Paris 1867 | Médaille pour le Mérite Vienne, 1873 | Médaille d'argent Paris, 1878 | Deux médailles d'argent Melboune, 1880 |  Médaille d'or Amsterdam, 1883 | Médaille d'or Anvers, 1885 | Médaille d'argent Paris, 1889 | Hors concours Chicago, 1893 | Médaille d'or Anvers, 1894 | Hors concours Paris, 1900

DIEFFENBACHER Jean Georges
| DEIFFENBACHER
1841  

 

 

Il y a un autre DIEFFENBACHER à Paris, de famille ? (arr.10)

PARIS - "The working of this upright can been seen trough the glass that is used instead of a panel." The Music Trade Review, 1889

PARIS - "43. DIEFFENBACHER (Louis G-.), à Paris, rue de Vaugirard, 55. — Pianos à cordes croisées, cadre en fer, 7 octaves 1/4, en bois noir. Pianos droits à cordes demi-obliques, pianos droits à cordes obliques avec sommier prolongé en fer, pianos grand modèle à cordes croisées avec cadre en fer, 1 octaves 1/4 d'une très grande puissance de sons. Commission. Exportation." Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"Parmi les meilleurs pianos appreciés des connaisseurs, on place prix de la manufacture Dieffenbacher, 30, rue Saint-Sebastien, et Boulevard Richard-Lenoir, 83. Cette maison, fondée en 1840, s'est acquis une juste réparation par l'excelente sonorité de ses instruments et leur solidité éprouvée." L' union de la paix entre tous les peuples civilisés: organe des ..., Volume 2, 1868, p. 2

 

Paris 36, rue Saint-Sébastien (x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(arr.11)

38, rue Saint-Sébastien (*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(z1855)(arr.11)

50, rue Saint-Sébastien (xxxx1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(***1863)(**1864)(yy1864)(xx1867)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(arr.11)

13, rue de Sèvres (*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(arr.6)

55, rue de Vaugirard (**1886)(xx1889)(x1890)(xx1890)(*1893)(*1896)(*1897)(arr.6)

53, rue Saint-Placide (1896)(**1898)(**1904)(x1906)(**1907)(*1909)(*1910)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912à (*1913)(**1914)(arr.6)

8, rue Bréa (**1910)(**1911)(x1912)(**1913)(arr.6)

12, rue Campagne-Première (**1914)(arr.14)

 

'Facteur de pianos' ca. 1847-1914

1848 - "Nominations de syndics [...] Du sieur DIEFFENBACHER (Jean-Georges), fab. de pianos, rue St-Sébastien, 38, le 23 septembre à 3 heures [N° 8480 du gr.]." Gazette de Tribunaux, 16/09/1848, p. 4 (data.decalog.net)

1848 - "Vérifications et affirmations [...] Du sieur DIEFFENBACHER (Jean-Georges), fab. de pianos, rue St-Sébas-tien, 36, le 24 novembre à 3 heures TNo 8480 du gr.]." Gazette de Tribunaux, 18/11/1848, p. 4 (data.decalog.net)

1848 - "Concordats [...] Du sieur DIEFFENBACHER (Jean-Georges), fab. de pianos, rue St-Sebastien, 36, le 8 décembre à 3 heures [Nu 8480 du gr.]." Gazette des Tribunaux, 03/12/1848, p. 4 (data.decalog.net)

DIEFFENBACHER Frères & Cie (1875), Société en 1875 (Archives commerciales de la France. 03/06/1875, p. 495 (gallica.bnf.fr))

DIEFFENBACHER Frères (**1877)(**1878)(**1879)

1879 - "Paris. — Dissolution, à partir du 1er juillet 1879 de la Société DIEFFENBACHER frères, fab. de pianos, rue de Sèvres, 13. — Liquid. : les associés. — Acte du 21 mai 1879. — J. g, d'A." Archives commerciales de la France. 29/05/1879, p. 698 (gallica.bnf.fr)

Louis-Georges DIEFFENBACHER (**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(*1889)(x1890)

"6289 X 86 DIEFFENBACHER, Louis Georges. Naissance : 9 septembre 1840 (Paris, Seine, de père badois) - Lieu de résidence : Paris, Seine." ArchivesNationales, p. 15 (siv.arch.-nat.culture.fr)

'Pianofabrikant' (xx1890)

DIEFFENBACHER Vve. (1896)

1896 - "Vendeur : Dieffenbacher (commun.) - Acquéreur : Dieffenbacher (Vve) - Domicile élu pour les oppositions : 101, Vaugirard - Entrée en jouissance : de suite - Fonds vendu : Facteur de pianos, 53, St. Placide." Archives commerciales de la France, 30/05/1896, p. 684 (gallica.bnf.fr)

DIEFFENBACHER L. (**1898)

1903 - "MC/CM//32, 100607 - 26 février 1903 - Dépôt du contrat de mariage sous le régime de la communauté de biens avec exclusion des dettes entre Jean Louis Dieffenbacher, facteur de pianos, et Eugénie Alexandrine Mathilde Painnet, veuve Fiévet, passé devant Me Ducatel à La Fère (Aisne), le 23 janvier 1903." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

DIEFFENBACHER [L.] Veuve (x1906)(**1907)(x1912)

DIEFFENBACHER Fils - ou - DIEFFENACHER L. (**1911)(x1912)(**1913)

'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912)

Repris par FORTIN G. en 1912 :

1912 - "Vendeur : Dieffenbacher - Acquéreur : Fortin - Domicile élu pour les oppositions : au fonds - Entrée en jouissance : de suite - Fonds vendu : Vente de pianos, 53, St-Placide (Pub. du 12 mars)."  Archives commerciales de la France, 16/03/1912, p. 382 (gallica.bnf.fr)

DIEFFENBACHER G. (**1914)

DIEFFENBACHER a racheté la maison ANGENSCHEIDT (°1850)

 

Mention honorable Paris, 1889

GEHRLING Charles

(ca. 1811 - ?)

 

 

Fabrique en 1886, Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1886, p. 142 (gallica.bnf.fr)

1842  

Mécaniques pour pianos

"EXPLOSION - Une explosion s'est produite dans la chambre de chauffe de la fabrique de pianos située 59, rue de l'Ourc, à Paris. Deux ouvriers, Callot et son fils, 14 ans, ont gravement été brûlés, et l'état du père est grave." La Croix, 09/03/1898 (gallica.bnf.fr) - (et la grande histoire dans) Le Petit Parisien, 09/03/1898, p. 3 (gallica.bnf.fr) - "Hier, à trois heurs de l'après-midi, ont eu lieu les obsèques des deux victimes de l'accident qui s'est produit mardi dernier dans l'usine de M. Gehrling, mécanicien en pianos, 59, rue de l'Ourcq et qui a coûté la vie au mécanicien Joseph Callot et il son fils âge de quatorze ans. C'est de l'hôpital Saint-Louis que sont partis les deux rorbillards, qui étaient surcharges de couronnes." Le Petit Parisien, 11/03/1898, p. 3 (gallica.bnf.fr) et un autre article plus longue : La Presse, 09/03/1898, p. 1 (gallica.bnf.fr)

1910 - "INCENDIE A LA VILLETTE - Le feu détruit -une fabrique de pianos - QUATRE BLESSES - Un violent incendie a éclaté cette nuit, vers onze heures, au n° 59 de la rue de l'Ourcq, dans les bâtiments où sont natailés les ateliers et les magasins de la fabrique de pianos fondée par M. Gehrling en 1842 et que dirige actuellement M. Douillet Le gardien, M. Brière, après avoir fait sa ronde de nuit, venait de regagner le pavillon qu'il occupe, lorsque son attention fut attirée par les aboiements de son chien. Croyant que des cambrioleurs s'étaient introduits dans la maison, il alla voir. Le feu s'était déclaré dans l'atelier tie scierie, au rez-de-chaussée, et déjà les flammes s'élevaient en hautes gerbes. L'alarme donnée, des agents accoururent, bientôt rejoints par les pompiers de Bitche. Mais devant les progrès rapides de l'incendie, qui, trouvant un aliment facile dans les matériaux amassés, avait pris en quelques minutes des proportions considérables, ils durent demander du renfort, bornant leurs efforts à préserver les bâtiments voisins. Bientôt arrivèrent sur les lieux les pompes de l'état-major des casernes Carpeaux, Chateau-Landon, Charonne et Blanche. A ce moment, les quatre étapes de la fabrique étaient embrasés. Les ateliers ne formaient plus qu'un énorme brasier. Après plus de sept heures de travail au petit jour seulement les pompiers étaient maîtres du feu. Des établissements de M. Douillet, il ne restait plus que les murs calcinés et menaçant ruine. Les dégâts dépasseraient 600,000 francs." Le Petit Parisien, 12/04/1910, p. 3 (gallica.bnf.fr)

1910 - "Zaterdag avond is de groote pianofabriek Douillet, Ourcqstraat, door een een gewel dige brand ten gronde vernield geworen. Van de uitgestrekte gebouwen blijft nog enkel een reusachtige puinhoop. Do scbade is zeer aanzienlijk. Die politieagenten en een pompier werden erg gekwetst. Het geheimzinnig drama te Parijs." De Volksstem, 06/12/1910, p. 2 (aalst.courant.nu)

 

Paris 27, rue Corbeau (**1852)

Ferdinand (1862)(arr.20)

 14, rue Morand (*1867)(arr.11)

53, rue de l'Ourcq (1876)(1878)(arr.19)

 59, rue de l'Ourcq (**1886)(1889)(x1890)(1910)(**1911)(*1913)(**1914)(x1922)(**1925)(*1935)(arr.19)

 

Fabricant de mécaniques pour pianos ca. 1852-1935

GEHRLING Charles Auguste Daniel : facteur de pianos, né à Berlin (Allemagne) ca. 1811. Il a été depuis 19 juin 1842 à Paris, et demeure à Paris.(⁴)

Il fabriquait des mécaniques et claviers pour pianos et appareils pneumatiques, utilisé par des facteurs suivants comme BOISSELOT, BURGASSER, KLEIN, FRANTZ, FOCKE, COUPLEUX Frères et De PROUW-AUBERT.

GEHRLING Ch. Fils (x1890)

Repris par DOUILLET A. sous le nom GEHRLING & DOUILLET. (1911)(*1913)(**1925)(*1935)

1925 - "GEHRLING et DOUILLET (Soc. an. des Ane. Etabl.), 59, r. de l'Ourcq, Paris, 19° T. Nord 13-99. Cap. 1.000.000 de fr. Usine à vapeur, 59, r. de l'Ourcq. Usine électrique, 40, r. de l'Ourcq. Agences : Moncalieri (Italie); 12, Calle Nueva de Dulce, Barcelone; 36, Southwark (Bridge Road E.C.), Londres. Travaux de précision en bois. Mécaniques de pianos, claviers pour pianos et harmoniums, pièces détachées pour pianos et orgues. Appareils automatiques pneumatiques et électriques pour pianos et harmoniums. Pièces détachées de bois de précision pour appareillage électrique, etc. Meubles de série. Chambres à coucher et salles à manger. (1/1-111217)." Annuaire industriel. Répertoire général de la production française, 1925 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1876 : "112,620. Brevet de quinze ans, 28 avril 1876; Gehrling fils, à Paris, rue de l'Ourcq, n° 53. Mécanique de piano à queue à répétition." Bulletin des lois de la République française, 07/1877, p. 218 (gallica.bnf.fr)


(la suite)

1912 - "Saboteurs amateurs. La fabrique de mécaniques pour pianos automatiques Douillet, 59, rue de l'Ourcq, occupe une soixantaine d'ouviers. Or, deux fois depuis un mois, les travaux ont été arrêtés pendant plusieurs heures, parce qu'une main criminelle avait coupé les courroies de transmission et fait sauteur les poulies, au risque de tuer plusieurs ouvriers. Une surveildanre fut organisée par deux inspecteurs de la Sûreté. Avant-hier, Ils surprenaient en flagrant délit trois apprentis mécaniciens, Louis Robinard, 16 aus, Edouard Blaux, 13 ans, et Victor Riffet, 15 ans également. Le dernier était porteur d'un rasoir pour couper les courroies. Ils ont dit qu'ils avaient agi ainsi uniquement pour faire suspendre les travaux est avoir ainsi quelques heures de loisir pour aller se promener." La Croix, 20/01/1912 (gallica.bnf.fr)

VIENNE - "4. Gherling ainé in Paris (Mechaniken); besteht seit 1842, beschäftigt 100 Arbeiter, 10 Frauen und eine Dampfmaschine von 15 Pferdekraft; er stellte aus 3 Mechaniken und 13 Modelle." Musikalische Instrumente, [Expo Vienne], Oscar Paul, 1874, p. 70

 

Diplôme d'honneur Londres, 1862 | Médaille de bronze Paris, 1867 | Médaille de mérite Vienne, 1873 | Official Catalogue Philadelphie, 1876 | Médaille d'argent Paris, 1878 | Médaille d'or, Melbourne, 1881 |  Diplôme d'honneur Anvers, 1885 | Médaille d'or Paris, 1889

 

GIRARD Hyacinthe Joseph

(? - 1871 ?)

 

 

 

 

 

 

 

1842  

 

"Girard, membre de la société syndicale des fabricants de pianos de Paris, fabrique, location, échange, accord, Banque, 5, entrée par la galerie Vivienne." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1859, p. 813 (gallica.bnf.fr)

"GIRARD; location depuis 10 fr. Ventes à tempérament depuis 20 fr., grand choix d'occasions depuis 500 fr., r. de la Banque, 5, au 1er (Entrée par la galerie Vivienne)." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1907, p. 2494 (gallica.bnf.fr)

 

Paris

Galerie Vivienne (*1850)(arr.2)

5, rue de la Banque,  Galerie Vivienne (1851)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(xx1890) (*1893)(xx1894)(*1895)(*1896)(*1897)(**1898)(1901)(*1902)(*1903)(**1904)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(**1907)(*1909)(*1910)(**1911)(**1912)(arr.2)

 

'Fabr. et accord de pianos'  droitsca. 1850-1912; (*1859)

GIRARD & Cie, 5, rue de la Banque; Membre de la Société Syndicale des fabricants de Pianos de Paris.

Membre d' ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris (°1849)

GIRARD & Cie (**1864)(**1871)(*1876)

1871 : "Girard. Fabricant de pianos. [Décédé ?]." Les anciens élèves de l'école centrale 1832-1888, 1889, p. 80

GIRARD Fils dès 1881 :

1881 - "Vendeur : Girard Père - Acquéreur : Girard Fils - Domicile élu pour les oppositions : rue de la Banque, 5 - Entrée en jouissance : 1er mai 81 - Fonds vendu : F. facteur pianos, rue de la Banque, 5." Archives commerciales de la France. 19/07/1881, p. 663 (gallica.bnf.fr)

"Girard. Fabricant de pianos." Les anciens élèves de l'école centrale 1832-1888, édité 1889, p. 80

GIRARD (xx1890), 'Pianohandlung'

GIRARD Joseph (1893)

GIRARD A. (x1906)

1908 - NICLOT, succ. en 1908 :

1908 - "Vendeur : Girard père - Acquéreur : Niclot - Domicile élu pour les oppositions : au fonds - Entrée en jouissance : 1 nov. - Fonds vendu : Facteur de pianos, 5, Banque" Archives commerciales de la France, 12/12/1908, p. 1590 (gallica.bnf.fr)

GIRARD, 'accordeur de pianos' (**1912)

VOIR AUSSI ...

... autres fabricants avec ce nom : DE GIRARD Philippe (°1805) et GIRARD  (vers 1900)   DE GIRARD Philippe (°1805)

 

Liste des exposants Chicago, 1893 | Liste des exposants Bruxelles, 1897 | Médaille d'Or Louisiane (État du Sud des États-Unis), 1904

MAGNUS Adolphe 1842  

"ANCIENNE MAISON BESVILLE. - ELFERS ET MAGNUS, successeurs. Pianos, Musique, Instruments, 20, rue Jeanne-d'Arc, 20. La musique se vend avec la remise des 2/3 sur les prix marqués. Abonnement depuis 12 francs par an donnant droit à toute espèce de musique sans exception. Pianos des meilleures maisons de Paris, garantis très-solides." Journal du Loiret, 01/11/1873, p. 4 (Aurelia.Orléans.fr)

"Pianos. - Maison fondée en 1842. Vve. Magnus & Fils, 33, rue Jeanne d'Arc. Orléans. VBNTE DE PIANOS â 25 francs par mois. LOCATION DE PIANOS DEPUIS 8 fr. PAR MOIS. Abonnement à la lecture musicale depuis 1 fr. 50 par mois. FABRIQUE DE VIOLONS, DÉPÔT DE CORDES D'ITALIE. Chanterelles depuis 0 fr 15. AVIS TRÈS IMPORTANT. La Maison ne vend jamais aucun Piano sans le garantir. NOTA. - La Maison ne faisant que la Commission pour les instruments de cuivre peut les laisser à des prix très modérés." Journal du Loiret, 12/04/1895, p. 4 (Aurelia.Orleans.fr)

"Vve Magnus & Fils, 33, rue Jeanne d'Arc, Orléans. Pianos. VENTE + ÉCHANGE + LOCATION + REPARATIONS + ACCORDS. Seuls dépositaires des pianos FOCKÉ, hors concours, membre du jury 1900 - Pianos neufs depuis 650 fr. Nota : La maison ne vend aucun piano sans le garantir. Pianos de tous Facteurs - Grand abonnement à la lecture musicale. - Violons - Location, Réparation, Achat de vieux Violons. - Téléphone 2-30 - Vente de pianos des pianos de 25 fr. par mois - Dépôt de pianos Erard – Pleyel – Gaveau, etc. - Nota : la Maison vend les pianos le même prix que les fabricants et offre l'emballage et le transport." Journal du Loiret, 01/07/1903, p. 4 (Aurelia.Orléans.fr)

"Pianos - Musique - Instruments. Magnus-Focké. Maison fondée en 1842. Exposition général, dimanche 2 avril. Représentant des Maisons Erard, Pleyel, Gaveau, Herz, etc. Représentation exclusive des pianos Focké, Steinway. Orgues Estey et de The Aeolian C° Ltd. Pianola et Pianola-piano." Journal du Loiret, 02/04/1911, p. 3 (Aurelia.Orléans.fr)

LYON - "A l'exposition de Lyon M. Focké, le facteur de pianos si connu à Orléans, vient d' être élu hors concours et membre du jury à l'exposition de Lyon. Nos félicitations à M. Magnus, son représentant et son beau-frère." Journal du Loiret, 15/08/1894, p. 4 (Aurelia.Orléans.fr) - voir FOCKÉ (°1860) à Paris.

CARTE POSTALE

 

Orléans

Saint-Malo

MAISON PRINCIPALE :

 20, rue Jeanne-d'Arc (***1876)(y1877)(x1878)(*1879)

Siège social : 33, rue Jeanne d'Arc (***1886)(**1887)(***1895)(x1903)

45, rue de l'Eglise-Saint-Marc (***1886)(**1887)

13, rue Louis-Rouget (*1906)

30, rue Jeanne d'Arc (x1906)(x1910)(x1912)(*1913)(**1921)(*1929)

à Orléans

SUCCURSALE :

4, rue de lza Paroisse (x1910)(*1913)(**1921)

 4, rue St. Barbe (*1929)

à Saint-Malo

 

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1876-1929 [depuis 1842 (x1906)(x1912)]

ELFERS & MAGNUS (***1876)(y1877)(x1878)(*1879)(1886), par Vve. MAGNUS en 1886 ou BODESCOT, et voir ELFERS.

1886 - "Orléans. — Prorogation au 24 juin 1896 de la Société ELFERS et MAGNUS, facteurs de pianos. — Cap. : 30,000 fr. — Acte du 21 juin 1886." Archives commerciales de la France, 21/07/1886, p. 908 (gallica.bnf.fr)

"Etude de Me MERLIN, avocat-agréé à Orléans. SUIVANT ACTE sous seings-privés en date à Orléans du 21 juin, portant cette mention : enregistré à Orléans, le 22 juin 1886. folio 17, recto, case 5°. Reçu pour droit gradué quarante francs, promesse de vente trois francs, décimes dix francs soixante quinze centimes, total cinquante trois francs soicante-quinze centimes (signé) Ollier ; Intervenu entre M. Auguste Elfers, facteur de pianos, demeurant à Orléans, rue de l'Église Saint-Marc, n° 45, et Mad. Annette Bodesoot, aussi facteur de pianos, demeuiant à Orléans, rue Jeanne-d'Arc, n° 33, veuve de M. Adolphe Magnus ; La société en nom collectif qoi existait entre eux et qui devait prendre fin le 24 juin 1886, a été prorogée de dix années à compter de cette date c'est-à-dire jusqu'au 24 juin 1896 ; Toutefois chacune des parties aura le droit de la faire cesser avant cette date du 24 juin de l'une des années prévues pour sa durée à la charge par elle de prévenir l'autre de son intention à cet égard au moins six mois d'avance par lettre recommandee ; Le siège social sera à Orléans, rue Jeannu-d'Arc, n° 33 ; La raison et la signature sociales seront Elfers et Magnus ; La société sera gérée et administrée par les deux associés ; Chacun d'eux aura la signature sociale, mais ils ne pourront en faire usage que pour les besoins de la société et aucun emprunt ne pourra être fait pour quelque cause que ce soit dans le concours et la signature des deux. Cette signature sera également indispensable pour les effets souscrits ou endossés par la société ; Le capital social continuera à être de trente mille francs dont quinze mille francs fournis par chacun des associés ; En cas de dissolution, la liquidation de la société sera faite par le survivant des associés si l'on d'eux est décédé et par eux deux dans tous les autres cas; Deux exemplaires de l'acte dont est extrait ont été déposé le 21 juin 1886 l'un au greffe du Tribunal de commerce d'Orléans et l'autre au greffe de la Justice de Parx du premier arrondissement d'Orléans. Pour extrait : Signé : A. ELFERS. V. MAGNUS." Journal du Loiret, 26/06/1886, p. 3 (Aurelia.Orléans.fr)

MAGNUS Veuve & Fils (*1895)(x1903)(*1906)(x1906)

'Musikal.-, Piano- u. Instrumenten-Hdlg.' (x1906)

1910 - "Liquidation judiciaire du sieur Jean-Léopold-Raoul MAGNUS, facteur de pianos, demeurant à Orléans, rue Jeanne d'Arc. Répartition dans la quinzaine de la présente insertion, chez Me Mercier, agrée, aux seuls créanciers vérifiers et affirmés d'un revenant dans cette liquidation." Journal du Loiret, 02/10/1910, p. 3 (Aurelia.Orléans.fr)

MAGNUS & Fils (x1912), 'Handlung mit Musikal., Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.' à Orléans

MAGNUS-FOCKÉ (***1911)(x1912)(*1913) - MAGNUS, représentant et beaufrère de   FOCKÉ (°1860) à Paris.

1912 - "Publications de mariages du 13 juillet 1912. Entre : [...] M. Magnus (Emile-René], facteur de pianos, rue Jeanne d'Arc, 30, Mlle Bert (Gabrielle-Marie), quai Barentin, n° 12." Journal du Loiret, 14/07/1912, p. 4 (Aurelia.Orléans.fr)

'Musikal.- u. Musikinstr.-Handlung' (x1912) à Saint-Malo

MAGNUS-FOCKÉ & Cie (**1921)

 

 
 

BORD Antoine

(1814 - 1888)(³¹)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1843

 

 

Voyez les anciennes archives de BORD, les régistres d'atelier. (Site : Musée de la Musique, Paris)

 

Piano à queue n° 72 ca. 1844-47 (?), hammerfluegel.info
Piano droit ca. 1858-59, Rijksmuseum, Amsterdam, Pays Bas
Piano droit de 1864, (Piano du Salon de l'Impératrice installé par le tapissier Penon à l'Exposition de 1867), Musée national du Château de Compiègne, France
Piano droit ca. 1878, MIM, Bruxelles
, Belgique

Brevet de 1845 : "Bord imagine nn mécanisme ayant pour but de faire instantanément réagir le marteau pour répéter la note sans être obligé de laisser remonter la touche entièrement. Ce mécanisme consistait dans la combinaison du pilote et du ressort qui le tient suspendu et le relève au besoin. (B. F., 4,332)." Organographie: La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

Brevet de 1846 : "310° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 5 octobre 1846, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Bord (Jean-Denis) pour un mécanisme à double percussion pour pianos." Bulletin des lois de la République française, 01/1847, p. 444 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1855 : "Bord, adapta dans ses pianos une garniture de chevilles à épaulement pour faciliter l'accord. (B. F. 24,049.)" Organographie: La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

Brevet de 1857 : l'invention de 'BIBI BORD' ou un piano de petit modèle, plus tard connu comme 'pianette'.

BORD
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ARTICLES

BIOGRAPHIE

EXPOSITIONS

INCENDIE

Cliquer sur les liens ci-dessus.

"Pianos - Le sieur BORD, facteur, égaliseur de pianos, envoyé par Flayel [Pleyel], en province, passant dans cette ville, prié les personnes qui auraient des pianos en mauvais état, de s'adresser chez M. Meysonnier [sic] père et fils, marchands de musique." Journal de Toulouse, 08/06/1837

"Le sieur Bord, élève de la maison Pleyel, et arrivant dans cette ville pour s'y fixer, prévient les personnes qui auront des pianos à faire accorder ou réparer, de s'adresser, rue de la Pomme, n° 24." Le Journal de Toulouse, 12/07/1837

"A. BORD - rue du Sentier, 11. - Spécialité POUR PIANOS À QUEUE. Réduction de pris, deux années de garanties, et on peut avant de conclure une aHraire, les comparer avec n'importe quel autre instrument que ce soit." La France Musicale, 07/01/1844, p. 55 (gallica.bnf.fr)

Publicité dans Annuaire musical et orphéonique de France, 1876, p. 323

Publicité dans Annuaire du département de l'Hérault, 1885, p. 11 (Archives départementales de l’Hérault)

"UN JOLI CADEAU D'ÉTRENNES - Aux approches de la nouvelle année, beaucoup de personnes se trouvent dans le plus grand embarras quand il leur faut faire choix d'un cadeau pour un jeune homme ou pour une jeune fille. Aujourd'hui que partout on apprend la musique aux jeunes gens, il est un meuble utile et agréable qui sera toujours accueilli avec reconnaissance ; c'est le piano de A. Bord, cet instrument d'une suprême élégance, d'une sonorité incomparable et d'une solidité telle qu'il peut durer toute la vie. A tous ces égards, les pianos de Bord offrent aux acheteurs des garanties exceptionnelles qui méritent d'être prises en sérieuse considération. Rappelons que M. A. Bord, chevalier de la Légion d'honneur, est, pour les écoles, le fournisseur du ministère de l'instruction publique et que pendant le mois écoulé il a vendu 408 pianos. S'adresser, pour les commandes, à la maison de vente, 14 bis, boulevard Poissonnière, à Paris." Le Panthéon de l'industrie : journal hebdomadaire illustré, 1886, p. 406 (gallica.bnf.fr)

VOIR AUSSI ...

  rue Le Peletier, à Paris

PUB

Pub pour A. Bord pianos 1902 (museumcollections.rcm.ac.uk)

Pub pour A. Bord pianos 1903 (museumcollections.rcm.ac.uk)

Paris

St. Ouen

Londres, Angleterre

11, rue du Sentier (**1844)(**1846)(**1847)(arr.2)

26, rue du Sentier (**1845)(arr.2)

36, boulevard Bonne-Nouvelle (1849)(arr.2)

 35, boulevard Bonne Nouvelle (**1847)(*1850) (*1851)(**1852)(xxxx1855)(**1856)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(yy1864)(arr.2)

37 [?], boulevard Bonne Nouvelle (z1855)(arr.2)

27, rue Tronchet (1855)(arr.9)

16, rue des Petits Hôtels (xx1857)(xx1858)(arr.10)

7, 17-18, rue des Petits Hôtels (xx1859)(xx1860)(arr.10)

11bis boulevard Poissonnière (yy1864)(arr.9)

11, rue Bergère (1864)(²⁵)(arr.9)

14, boulevard Poissonnière (*1862)(**1864)(1888)(arr.9)

Ateliers : 64, rue des Poissonniers (**1864)(**1870)(arr.18)

Magasins : 14 bis, boulevard Poissonnière (*1859)(xx1861)(xxx1862)(***1863)(**1870)(**1871)(*1872)(**1873)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(xx1885)(**1886)(**1888)(x1890)(xx1894)(**1895)(x1896)(**1898)(***1899)(***1900)(**1904)(x1906)(**1907)(x1907)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.9)

22, rue Gay-Lussac (x1907)(arr.5)

Usine : 52, rue des Poissonniers (1865)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(**1898)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.18)

33, rue le Peletier  (**1921)(*1922)(**1925)(arr.9)

Usine : 8, rue de la Grotte (**1921)(*1922)(arr.15)

à Paris

62-64, boulevard d'Epinay (1876)

[43], avenue Michelet (**1911)(**1912) (x1912)

à Saint-Ouen

WEEKES & Co, agents, 14, Hanover Street, Hanover Square, W. (***1882)(yyy1907)

74-76, Southampton Row, W.C. (chez Charles STILES & Co - 1890-1912)(xx1890)(x1906)(yyy1907)(x1912)

 Magasin : 141-146, Theobald's Row, W.C. (yyy1907),

à Londres, Angleterre, U.K.

- Il y avait deux facteurs avec le nom BORD dans l'Almanach des adresses de paris de 1864 (yy1864). Probablement il s'agit d'un autre facteur de celle-ci.

1200 (vers 1845)

160 ouvriers (1865)

400 ouvriers (1878)

un totale 50.000 pianos vers 1882

12 pianos par jour, 1888 - 1890

3000 pianos par an vers 1900

100.000 (vers 1900)

134.000 (vers 1930)

 

 

'Facteur de pianos' droits et pianos à queue ca. 1844-1925 [depuis 1840 (x1906)]

Antoine Jean-Denis BORD, fils d'un boulanger de Toulouse. Il a travaillé chez des facteurs de piano à Marseille et à Lyon et PLEYEL (³) à Paris avant de s'installer lui-même. (*1928). En 1843, Antoine Bord s'installe à Paris et il se spécialise dans les petits instruments rafinés.

"En 1843, alors qu’il commença à fabriquer lui même ses premiers pianos, Antone-Jean-Denis BORD, tout optimiste qu’il put être, ne dut certainement pas prévoir l’importance qu’acquerrait sa manufacture, laquelle comporte aujourd’hui 300 ouvriers et d’où il est sorti jusqu’ici 84 000 pianos, soit une moyenne de 12 par jours. Humble fils d’un boulanger de la rue des pénitents noirs, à Toulouse, où il naquit le 13 octobre 1814.

A. BORD reçut du gouvernement français la croix de la Légion d’honneur (26 sept. 1883). En 1877, Antoine BORD avait appelé auprès de lui son neveu, M. Antonin BORD, né à Toulouse en 1853, pour en faire son élève et collaborateur, et à sa mort (5 mars 1888), ce dernier qui dirigeait les ateliers depuis 4 ans, devint son continuateur. C’est lui qui présenta en 1889 divers modèles de pianos toujours construits suivant les principe du bon marché établis par le fondateur, très remarqués du jury, notamment le piano petit format avec barrage en bois à 450 francs, celui à cordes verticales à cadre en fonte et sillet en dessus, le piano demi-oblique avec trois barres de fer et sommier prolongé ainsi que ceux à cadre en fonte et à cordes croisées.

Ce jeune facteur s’efforce de propager le système à cordes croisées avec cadre en fer, et parmi les améliorations qu’il poursuit, il faut citer particulièrement la prolongation du son, problème qui de longue date, exerce la sagacité des facteurs, ainsi que l’adoption d’une nouvelle division du travail permettant à l’ouvrier d’acquérir une plus grande habileté et lui procurant un salaire plus élevé. Son envoi à Chicago comprend un petit modèle de piano à queue avec cadre en fonte d’acier et cordes croisées, construit sur un nouveau plan et dont la puissance, l’homogénéité des sons ainsi que la qualité du timbre sont à remarquer. Les pianos droits, également à cadres de métal et cordes croisées, sont pourvus de mécaniques à lames d’Érard, la seule qui convienne aux instruments à longue vibrations et d’une pédale douce par rapprochement des marteaux." Les facteurs d'instruments de musique : les luthiers et la facture instrumentale : précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893 - En même temps BORD était prèsque le plus grand fabricant en France.

BORD (**1844)

BORD Jean Denis (*1849)

BORD A. J[ean] D[enis] (1855)

Liste des sociétaires de l'Association des artistes musiciens, vers 1860-61 et 1864 (²⁵)

BORD A.  (*1862)

1865 - "M. A. Bord emploie dans sa fabrique 160 ouvriers. Les cinq sixièmes des ouvriers travaillent aux pièces, un sixième seulement à la journée. La moyenne des salaires varie entre 5 francs et 7 francs par jour. Les hommes de peine n'ont que 3 fr. 75 cent. Certains ouvriers gagnent jusqu'à 10 francs par jour. Il n'y a point de chômage. L'année représente, pour chacun, environ 300 journées de travail. Les salaires ne subissent aucune retenue." Le mouvement socialiste et l'économie politique: résumé d'un cours public ..., Henri Dameth, 1865

1869-85 - "Ministère du commerce : dossiers de proposition pour la Légion d'honneur instruits au titre du ministère du Commerce, lettres A et B - F/12/5094 - 1867-1885 - BORD Antoine Jean Denis - Description : Né le 13 octobre 1814, à Toulouse (Haute-Garonne). Demeurant 14, boulevard Poissonnière et 8, boulevard des Capucines, à Paris. Facteur de pianos. Secteur(s) d’activité : Musique. Grade(s) dans la Légion d’honneur : chevalier le 26 septembre 1883. Fait l’objet d’un dossier dans Léonore : Oui." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

1868 - Incendie

BORD Jean-Antoine (1871)

1876 - Incendie

BORD A. J. (yyy1878)(**1879)(**1880)

BORD Antoine Guillaume dès 1883, fabricant de pianos; né le 12 mars 1853, à Toulouse (Haute-Garonne), demeurant 14, boulevard Poissonnière, à Paris. fabricant de pianos ; conseiller du commerce extérieur ; conseiller municipal à Eaubonne (Val-d'Oise). (²²)

1883 - BORD Antoine Jean Denis : Grade dans la Légion d’honneur : chevalier le 26 septembre 1883. (²²) et La Presse, 29/09/1883, p. 2 (gallica.bnf.fr)

BORD J. D. (***1885)

1885 - Incendie

1888 - "The deaths of two well-known musical instrument makers are announced from Paris this week - of M. Bord, the pianoforte manufacturer, at the age of seventy-five, and M. Edouard Alexandre, the harmonium maker, at the age of sixty-four." The Athenaeum, 17/03/1888, p. 349

BORD A. (xx1890) 'Pianofabrikant'

BORD A. & Cie (1893)(**1898), successeurs

BORD Antoine-Guillaume dit Antonin (1897), "facteur de pianos, délégué cantonal de Paris." Le Figaro, 19/01/1897, p. 4 (gallica.bnf.fr)

BORD & Cie (1900)

1903 - BORD Antoine Guillaume : Grade dans la Légion d’honneur : chevalier le 20 mai 1903. (²²)

Il avait producé des pianos pour un certain  PASSARD (°?) Evian - Morges - Thonon.

BORD A. par STILLES CAILLAUX & Cie, successeurs vers 1900; (x1906)(**1907)(x1907)(x1912)(*1913)(**1914)

BORD A. & Cie (x1906)

1912 - Marque des pianos automatiques de BORD sous le nom AUTOBORD dès 1912 (²¹).

'Piano-Fabrik' (x1912)

BORD A. par   LEDAN & CHRIST,  agents pour la France, la Suisse et Belgique. la Suisse et Belgique). 33, rue Le Peletier (IXe). — Manufacture de Pianos et Pianos Pneumatiques. — Tél. Gut. 54-02. — Met. Le Peletier. — Usine, 8, rue de la Grotte (XVe) (*1922) 

Puis c'était repris par REGY (°1919) vers 1925.

Et racheté par PLEYEL en 1933 (à partir du numéro de série 135 901, de 1933 à 1938, et puis entre 1954-1955).

La coté financiele de BORD dans  'Essai sur les principes de l'économie politique'. Tome 1, par Alphonse Foy, 1878, p. 208-209 (gallica.bnf.fr). (Le nom 'BOREL' doit être 'BORD')

Article sur A. BORD dans 'Revue illustrée de l'Exposition universelle. Organe de l'Exposition de 1900 et de toutes les expositions', Dir. O. Lartigue, 1900, p. 27-28 (gallica.bnf.fr)

Information specifique concernant la manufacture Bord dans : Bulletin de la participation aux bénéfices. Publié par la Société formée pour faciliter l'étude pratique des diverses méthodes, 1879-1934 (gallica.bnf.fr)


(la suite)

"BORD (A.) et Cie, — 14 bis, boulevard Poissonnière, Paris. Pianos pour écoles et communautés." Annuaire de l'Union fraternelle du commerce et de l'industrie, 1903, p. 401 (gallica.bnf.fr)

"PIANOS - A. BORD - STILES, CAILLOUX & Cie, successeurs, BOUL. POISSONNIÈRE, 14 bis. Médaille d'or Exposition Universelle Paris 1889. Hors concours Membre du jury Exposition Universelle Paris 1900. Fournisseurs du Ministère de l'Instruction publique pour les Lycées. - 110.000 PIANOS fabriqués à ce Jour. Fabrication Spéciale pour les colonies. GRAND CHOIX DE PIANOS NEUFS et d'OCCASION FACILITÉS DE PAIEMENT CATALOGUE FRANCO. Location depuis 10 fr. par mois - Locaton-vente. 20 fr.par mois. Commission, exportation, BOUL. POISSONNIÈRE, 14 bis. Téléphone 125.75." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1907, p. 2492 (gallica.bnf.fr)

"PIANOS A. BORD, (STILES, CAILLAUX & Cie. successeurs) BOUL. POISSONNIÈRE, 14 bis. Médaille d'or Exposition Universelle Paris 1889. Hors concours Membre du jury d'exposition Universelle Paris 1900. Fournisseurs du Ministère de l'Instruction publique pour les Lycées. 125.000 PIANOS fabriqués à ce jour. Fabrication Spéciale pour les colonies. GRAND CHOIX DE PIANOS NEUFS et d'OCCASION FACILITÉS DE PAIEMENT CATALOGUE FRANCO. Location depuis 10 fr. par mois. Local.on-vente depuis 20 fr. par mois AUTOBORD PIANO PNEUMATIQUE AVEC APPAREIL INTÉRIEUR. DISPOSITIF SOLO DÉTACHANT LE CHANT DE L'ACCOMPAGNEMENT. Commission, exportation, BOUL. POISSONNIÈRE, 14 bis. Téléphone : GUT. 25.75. Fabrique, r. des Poissonniers, 52. Nord 07.86. Usine à St-Ouen." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1914, p. 2787 (gallica.bnf.fr)

CARTE POSTALE

Voir online le catalogue BORD de 1890.

"[...] 135.000 pianos vendus à ce jour" Le Journal, 30/01/1930, p. 4b (gallica.bnf.fr)

SOUS-MARQUES

AUTOBORD dès 1912 (²¹).

 

Médaille de bronze Paris, 1844 | Médaille d'argent Paris, 1849 | Official Catalog Londres, 1851 | Médaille de 1re classe Paris, 1855 | Médaille de bronze Troyes, 1860 | Médaille Londres, 1862 | Liste des exposants Porto, 1865 | Médaille d'argent Paris, 1867 |  Liste des exposants Londres, 1871 | Médaille d'or, Lyon 1872 | Membre du jury Paris, 1878 - Hors concours, 1878 | Sydney, 1879 | Première prix, Melbourne 1880 | Médaille d'argent Amsterdam, 1883 | Liste des exposants Londres, 1885 | Médaille d'or Paris, 1889 | Liste des exposants Chicago, 1893 | Liste des exposants Paris, 1896 | Liste des exposants Bruxelles, 1897 | Hors concours Paris, 1900 | Liste des exposants Hanoi, 1902

 

KNERINGER Jean Pierre Simon

 

 

 

1843

 

PARIS - "1034. Kneringer (Simon), élève de Petzold, rue du Faubourg-Montmartre, 17, vis à vis celle Bergère, à Paris. Fabrique de pianos perfectionnés en tous genres et location." Catalogue explicatif et raisonné des produits admis à l'exposition quinquennale de 1844, p. 125 (gallica.bnf.fr)

"Manufacture de Pianos, de Simon KNÉRINGER, élève de PETZOLD, rue du Faubourg Montmartre, N° 17." Journal des théâtres. Littérature, musique, beaux-arts, 08/06/1843, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"Auteur de l'EXAMEN DES PRODUITS DE L'INDUSTRIE, ADMIS A L'EXPOSITION DE 1839. — Prix ; 1 fr. Manufacture de PIANOS - S. KNERINGER - RUE DU FAUBOURG-MONTMARTRE, 17
M. Simon KNÉRINGER, élève de M. PETZOLD, avec qui il a travaillé pendant 25 ans, informe les artistes et les amateurs qu'il donne tous ses soins à la confection de ses pianos, et qu'il espère continuer la réputation que M. PETZOLD s'était acquise par des perfectionnemens ingénieux et une excellente fabrication. La modération des prix ne nuira en rien à la parfaite confection de ses pianos." Satan, 08/06/1843, p. 4 (gallica.bnf.fr)

 

Paris 17, rue du faubourg-Montmartre (****1843)(**1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(1851)(³¹)(**1854)(z1855)(arr.9) 'Facteur de pianos' ca. 1843-55

Élève de PETZOLD (°1814)

Probablement le fils de Jean Simon KNERINGER, ci-dessus.

Époux de Becu, Adelaide Josephine Josephe (³¹).

KNERINGER Simon (vers 1844?)(**1845)(**1846)(*1848)(x1849)(z1855)

'Accordeur de pianos' (**1854)(z1855)

Voir également son frère KNERINGER Charles Alexandre, associé de PORCHER Louis Amédée.

Liste des exposants Paris, 1844

SAX Adolphe

(1814 - 1894)

 

 

 

1843

 

Instruments de musique en cuivre comme les saxophones, en bois et à percussion et des pianos !

SAX
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ARTICLES

BIOGRAPHIE

EXPOSITIONS

PLEYEL contra SAX

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"PIANOS-SAX. - Toute la presse musicale a retenti de l'heureuse innovation de l'SAX père, pour la fabrication des Pianos. C'est plutôt une création qu'un perfectionnement que cette disposition ingénieuse du corps sonore, qui établit une parfaite compensation entre les chevalets, les cordes et les tables de l'instrument, et qui sauve-garde ces Pianos des fâcheuses influences du chaud et de l'humidité. Nous avons vu avec plaisir les célébrité saitisliques les plus - compétentes prendre sous leur patronage la société qui s'est formée pour l'exploitation de cette découverte, et nous avons remarqué q'une heureuse combinaison accorde par les statuts, à chaque porteur d'une action libérée, entre autres avantages, un Piano-Sax à titre de prime. Nous pouvons donc, sans crainte, prédire un grand et légitime succès à la Société des Pianos-Sax, dotit les actionnaires deviennent forcément les propagatettrs intéressés, et qui, outre l'excéllent placement d'argent, restitue en nature l'équivalent des versements." Journal de Toulouse, 11/08/1853, p. 4 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)

"PIANO-SAX de 1,000 fr. qui lui est donné en PRIME. Société en commandite. - Raison sociale : Sax et C. - Rue Notre-Dame-des-Victoires, 11, à Paris. Capital social : trois millions, divisé en 3, 000 actions de 1,000 fr. chacune. - Premier versement, en souscrivant, 50 fr. - Chacque porteur d'une action aura droit au fur et à mesure de la libération de l'action, à un PIANO-SAX de 1000 fr. qui lui est donné en PRIME; il aura ensuite droit, comme actionnaire, aux bénéfices de la Société. Les premiers souscripteurs seront les premiers servis.
Conseil de surveillance :
ADAM, Adolphe (O.*); BERLIOZ Hector (*); Brandus; DAVID, Félicien (*); KASTNER, Georges (*); KREUTZER, Léon; MASSÉ; MEYERBEER, Giacomo (C. *); NIEDERMEYER, Louis (*); THOMAS, Ambroise (*); DE COISLIN, banquier; JOBERD (*); PAVIE, banquier.
Nota. Un modèle de PIANOS-SAX, garantis pendant trois ans, offerts en prime aux actionnaires, et du prix de 1,000 fr., est déposé chez M. Adolphe Sax, rue Saint-Georges, n° 50, où l'on peut le voir et l'entendre tous les jours. On souscrit à Paris, chez MM. Paton et Cie, banquiers de la Société, boulevard des Italiens, 6." La Presse, 27/08/1853, p. 4 (gallica.bnf.fr) - semblabe annonce dans Journal de Toulouse, 21/09/1853, p. 4 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)

"PIANOS-SAX - Nous apprenons à l'instant que des améliorations notables ont été apportées à la fabrication des pianos de la Société Sax et Ce, et que des auditions publiques vont avoir lieu très-incessamment. Nous ferons connaître à nos lecteurs les jours, lieux et heures de ces auditions. En attendant, et comme la presque totalité des primes des actions libérées a été delivrée aux actionnaires on souscrit de nouvelles actions au siège de la Société, rue Saint-Quentin, 18 et 20, où l'on peut entendre et voir journellement ces pianos." Le Figaro, 29/10/1854 (gallica.bnf.fr)

"PIANOS-SAX. - Désormais, toutes les personnes qui s'intéressent aux perfectionnements nouveaux apportés au piano, par notre célèbre inventeur Sax, pourront juger elles-mêmes de leur importance et de leur résultat; des auditions publiques auront lieu les mardi et jeudi de chaque semaine, de deux à trois heures, à la salle Sax, rue Neuve-Saint-Georges." Le Figaro, 12/11/1854, p. 2 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1851 : "Sax (père), chercha à éviter les inconvénients du tirage des cordes sur la table du piano. Pour parvenir à ce but, il imagina de faire passer ces cordes en dessus et en dessous du chevalet et de rendre ainsi parce balancement de force, la liberté entière à la table d'harmonie. (B. F.)" Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

NÉCROLOGIE

1865 - "C. P. Sax, père des facteurs Alphonse et Adolphe Sax et célèbre facteur lui-même, mort le 3 mai à l'âge de 76 ans. C. P. Sax était né à Dinan en 1789." La Musique en 1865, p. 248

Paris

10, rue Saint-Georges (*1848)(arr.9)

50, rue Saint-Georges (**1844)(z1853)(**1854)(arr.9)

44, rue Notre-Dame-des Victoires (x1853)(y1854)

18-20, rue Saint-Quentin (arr.?)(z1855)(xx1856)(y1857) voyez (zz1864)

5, rue d'Abbeville (1860)(arr.10)

51, rue Blanche (1900)(arr.9)

84, rue Myrha (*1910)(*1913)(**1921)(*1929)(arr.18)

 

'Facteurs de pianos' et instruments de cuivre ca. 1848-1929

Ch. J. SAX  (père de l'inventeur du saxophone), facteur d'instruments à souffe, construisit aussi le piano, pour lequel il prit plusieurs brevets et une médaille en 1855.

1843 - "SAX Adolphe, Fabricant d'instruments de musique, rue Saint Georges, n° 10. Cité le 13/11/1843, lors d'un acte notarie, comportant dissolution entre ledit et autres commanditaires, nommés dans l'acte original, pour l'exploitation d'un brevet obtenu par Monsieur SAX, la société étant dissoute à compter de ce jour. Puis, le même jour, constitution d'une nouvelle société avec les mêmes. Source : D31u3-114/Pièces 1750 et 1751." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois ».

1844 - "SAX Antoine Joseph dit Adolphe, Fabricants d'instruments de musique, rue Neuve Saint Geoges, n° 10. Cité le 18/03/1844, dans un acte sous seing privé comportant dissolution entre ledit, et des commanditaires nommés dans l'acte original, lesquelq s'étaient associés dans une société créée le 13/11/1843, laquelle est dissoute ce jour. Source: D31u3-116/Pièce 453." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois ».

1844 - "SAX Adolphe, Fabricant d'instruments de musique, rue Neuve Saint Georges, n° 10, cité le 28/03/1844, dans un acte sous seing privé comportant société entre ledit et les actionnaires qui y souscriraient, sous la raison SAX et Compagnie, ladite société ayant pour objet la fabrication et l'exploitation des instruments de musique dont le siège est à cette adresse. Source : D31u3-116/Pièce 551." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois ».

SAX & Cie (**1844)(1856)

SAX A. & Cie (1851)(x1853)

SAX Charles J. Père (1855)

1852 - "SAX Antoine dit Adolphe (société SAX et Compagnie), Pianos, Dt rue Saint Georges, n° 50. Cité le 05/07/1852, lors de la faillite desdits ; concordat, 30/09/1852." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1853 - "MM. J. Paton et Cie ont l'honneur de prévenir MM. les souscripteurs de la Société C. Sax et Ce, pour la fabrication des pianos d'après le système breveté (s.g.d.g.) de Sax, qu'ils ont remis à la Banque de France les sommes versées à leur caisse, et que la Société C. Sax et Ce, étant définitivement constituée, leurs fonctions de banquiers, dans cette Société, cessent à dater de ce jour. Les bureaux de- MM. Sax et Ce sont établis rue Saint-Georges, 50, où les souscriptions se feront à l'avenir." La Presse, 16/10/1853, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"SAX Charles, père. Nouveau système de pianos et fabricant d'instruments de musique, rue Saint Georges, n° 50. Cité le 07/07/1853, dans un acte notarié comportant société entre ledit et TETARD Charles, négociant, rue Notre Dame des Victoires, n° 44, lesquels ont formé une société en nom collectif entre eux et ceux qui deésieraient prendre des actions, sous la raison SAX er Compagnie, dont le siège est rue Notre Dame des Victoires, n° 44. Source : D31u3-179/Pièce 1620." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

"SAX Charles, père, Fabricant d'instruments de musique, rue Saint Georges, n° 50. Cité le 24/09/1853, dans un acte notarié comportant société entre ledit et TETARD Charles, négociant, rue Notre Dame des Victoires, n° 44, agissant en tant que fondateurs de la société en commandite C. SAX et Compagnie, pour un nouveau système de pianos, etc qui commence ce jour. Source: D31u3-180/Pièce 2165." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1854 - "Cabinet de M. Emile DUTREIH, ancien principal clerc de notaire à Paris, y demeurant, rue Ménars, 12. D'un procès-verbal de délibération d'assemblée générale des actionnaires de la société des pianos Sax, dite SAX et Ce, formée par actes devant Me Mertian, notaire, des sept juillet et vingt-quatre septembre mil huit cent cinquante-trois, Ledit procès-verbal en date du trois juillet mil huit cent cinquante-quatre, enregistré, Il appert : Que les décisions suivantes ont été prises, à l'unanimité, par l'assemblée générale, à laquelle assistaient trente-sept actionnaires porteurs de quatre cent deux actions définitives, donnant droit à soixante-cinq voix délibératives : Article L'assemblée générale accepte définitivement la démission donnée et réitérée par M. Charles TETARD, négociant, demeurant à Paris, rue Notre-Dame-des-Victoires, 44, de ses fonctions de gérant de la Société Sax et Ce, et de laquelle démission acte lui a déjà été donné par la sentence arbitrale rendue par MM. Payen, Fumet et Prunier, le douze avril dernier, déposée, en-registrée et publiée conformément à la loi, et aux dispositions de laquelle sentence l'assemblée donne, en tant que de besoin, son adhésion pour qu'elle soit exécutée selon sa forme et teneur, Article 2. Aucune présentation de nouveau gérant n'ayant été faite dans des conditions acceptables, il demeure convenu, par modification aux statuts sociaux: 1° que tous les pouvoirs de gestion et d'administration de la société des pianos Sax, dite SAX et Ce, sont, à partir de ce jour, réunis provisoirement, ainsi que la signature sociale, aux mains de M. SAX père, seul gérant restant, qui accepte; et 2° que le comité de surveillance aura mission d'examiner toutes propositions de nouvelle gérance, d'en débattre les conditions et de faire ensuite tels rapports et convocations d'assemblée qu'il appartiendra. Arlicle 3. Sont désignés comme membres du comité de surveillance définitif les personnes dénommées au procès-verbal. Article 4. Au moyen de la présente délibération, leséquestre judiciaire de la société peut être levé à la di-ligence de M. Sax père. Article 5. Pour faire publier ces présentes, tous pouvoirs sont don-nés au porteur d'un extrait : Pour extrait : DUTREIH." Gazette des Tribunaux, 07/07/1854, p. 4 (data.decalog.net)

1855 - Faillite en 1855 : "8 octobre. — Société en commandite SAX et Cie., fabrication de pianos, rue Saint-Quentin, 18 et 20.—Juge-commissaire: M. Fossin. — Syndic: M. Breuillard, rue des Martyrs, 38." Gazette de l'industrie et du commerce, 14/10/1855, p. 5 (gallica.bnf.fr)

1857 - "Déclaration de faillites: Du 9 au 12 octobre. Du sieur Charles SAX père, gérant de la société de pianos Sax et Ce, ledit sieur Sax demeurant rue Saint-Quentin, 18 et 20."  Messager de la Bourse, Paris, 14/10/1857, p. 7 (gallica.bnf.fr) et La Presse, 09/10/1857, p. 3 (gallica.bnf.fr)

1858 - "Clôtures pour insuffisance d'actifs - 25 janvier 1838. — SAX (Charles) père, gérant de la Société de pianos Sax et Cie rue Saint-Quentin, 18 et 20." Gazette de l'industrie et du commerce, 24/02/1858, p. 7 (gallica.bnf.fr)

SAX Alphonse Junior (1860)

1862 - "Atelier de M. Alphonse Sax. - MM. Alphonse Sax;, Auguste Bourdon, Siméon Hagard, Léon Boucard, Hippolyte Richard, Jean Thint, Charles Emmanuel, Jean. Total : 8." Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862, p. 52 (gallica.bnf.fr)

Repris par Henri SELMER vers 1928

 

Pour ses instruments en cuivre :

Médaille d'argent Paris, 1844 | Médaille d'or et Croix de la Légion d'Honneur,  Paris, 1849 | Council Medal Londres, 1851 | Médaille de deuxième classe (piano) et grande médaille d'honneur Paris, 1855 | Médaille première classe-argent grand module Besancon, 1860 | Médaille Londres, 1862 | Diplôme d'honneur Bayonne, 1864 | Grand prix, Paris, 1867 | Médaille d'or Paris, 1900

DE PROUW

 

 

1844  

 

 

 

 

TITRE

"Frs Btes de S.M. le Roi des Pays Bas." (1854)(*1867)

 

Piano droit ca. 1875, MIM, Bruxelles, Belgique

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Brevet de 1869 par AUBERT : "Système de barrage à sommiers fixes pour pianos, fondu en métal d'un seul morceau." Catalogue des brevets d'invention, France. Ministère de l'agriculture, 1869

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Algemeen handelsblad, 22 mai 1854, p. 2

VOIR AUSSI ...

DEPROUW à Bruxelles

 

 

Paris

Amsterdam (Pays Bas)

52, rue de Bondy (1854)(z1855)(xx1856)(arr.10)

42, Boulevard du Temple (?)(arr.3)

6, rue Meslay (xx1860)(xx1861)(arr.3)

198, rue du Temple [ci-devant Meslay, 6] (*1859)(xx1861)(xxx1862)(***1863)(**1864)(yy1864)(yy1865)(*1866)(*1867)(arr.3)

39, boulevard du Temple (**1868)(1869)(**1870)(**1871)(**1873)(arr.3)

33-35, boulevard du Temple (*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(yyy1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(**1888)(x1890)(xx1890)(arr.3)

33, boulevard du Temple (1878)(1883)(arr.3)

35, boulevard du Temple (1878)(xx1879)(arr.3)

FABRIQUE : 93, rue Oberkampf (**1870)(**1871)(**1873)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(arr.11)

FABRIQUE : 95, rue Oberkampf (**1881) (arr.11)

17, rue de Malte (18??)(arr.11)

42, boulevard du Temple (1887)(arr.3)

8, rue d'Angoulème (**1888)(arr.11)

FABRIQUE : 9, rue St. Ambroise (xx1890)(arr.11)

37, boulevard du Temple (1889)(*1895)(*1896)(**1898)(**1907)(**1914)(arr.3)

à Paris

'Maison à Amsterdam' (*1859)(xxx1862)(**1864)

40 ouvriers et 300 pianos par an (1878)

 

'Manufacture de pianos' droits ca. 1854-1914

Ils sont des facteurs hollandais. Voir DE PROUW-LAMBERT in Amsterdam. Probablement avec une succursale DE PROUW à Bruxelles (Belgique).

De PROUW-LAMBERT & Cie (1849)(1854)(z1855)(xx1856), Fournisseurs de S. M. le Roi des Pays Bas, maison à Amsterdam, N. Z. Voorburgwal, n° 548.

De PROUW Constantin  (1849)(1855)

H. De PROUW-F. AUBERT (dès 1866): Mariage de "Aubert, fabricant de pianos, rue du Temple, 198. Mme Prouw, s. prof., à Amsterdam (Hollande)." (*1866)

C’est De PROUW-AUBERT qui eût l’idée de la vente à tempérament, qui contribua beaucoup à répandre le piano dans la classe bourgeoise. Les facteurs d'instruments de musique: les luthiers et la facture instrumentale : précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893

De PROUW-AUBERT (***1863)

De PROUW-AUBERT & Cie (xx1860)(***1863)(*1867)

1871 - "Dissolutions. — Prouw, Aubert et Ce, pianos, boulevard du Temple, 39. (Acte, M* Jozon, not., 19 septembre.)" Journal officiel de la République française, 25/09/1871, p. 3677 (gallica.bnf.fr)

De PROUW-AUBERT (**1871)(**1873)(*1875)(**1877)(**1880)(**1881)(**1884)(1886), AUBERT Marie-Arthur  - "Paris. La Société H. DE PROUW, femme AUBERT et Cie, connue aussi sous la dénomination de AUBERT (Henriette, née DE PROUW), et Cie, fab. de pianos, boul. du Temple, 42, puis 33 et 35, composée de veuve AUBERT, née Henriette DE PROUW et de commanditaires. J.-c. : M. Launey.- S. : M. Lesage." Archives commerciales de la France. Journal hebdomadaire..., 1890 (gallica.bnf.fr)

Repris par A. AUBERT ou AUBERT Arthur-Philippe vers 1883.

1886 - Faillite en 1886 : "Paris. — AUBERT (Marie-Arthur), fab. de pianos, sous le nom de PROUW - AUBERT, boul. du Temple, 33 et 35.—J.-e. : M. Bresson. — S. : M. Cotty." Archives commerciales de la France. 29/09/1886, p. 1219 (gallica.bnf.fr) - et - "Du sieur AUBERT (Marie-Arthur), fabricant de pianos, sous le nom de PROUW-AUBERT, à Paris, boulevard du Temple, 33 ou 35, où il demeure; Entre les mains de M. Cotty, 27, quai de la Tournelle, et Gehrling, 59, rue de l'Ourcq, syndics de la faillite. (N. 903 du gr.)" Journal officiel de la République française, 1886, p. 4630 - Voir GEHRLING Charles (°1842) sur cette page ci-dessus

AUBERT-DE PROUW dès 1883 ? (voir barre d'adresse : rue de Malte, 17)

1887 - "Paris. — Formation de la Société en commandite H. DE PROUW et Fe AUBERT et Cie, fab. de pianos, boul. du Temple, 42. — Durée : 10 ans. - Cap : 18,500 fr. — Acte du 1er oct. 1887. — G. P." Archives commerciales de la France, 29/10/1887, p. 1363 (gallica.bnf.fr)

Puis, De Prouw Aubert laisse sa succession à BURGASSER (°1887) en 1887, parce que AUBERT était faillite en 1886 (Archives commerciales de la France. Journal hebdomadaire..., 1888, p. 757 (gallica.bnf.fr)) Selon Pizzi Burgasser était peut être un tableur chez A. Aubert. (¹)

En 1889, une mention a été accordée au propriétaire par BURGASSER & THEILMANN succ.

AUBERT Henriette (x1890), née DE PROUW

De PROUW-AUBERT, Maison AUBERT (xx1890), 'Pianofabrikant'

1891 - "Réparation de faillite et de liquidation : faillis : Aubert (Henriette) née de Prouw et Cie - Profession : fab. de pianos - Demeure : Boul. du Temple, 42 - Syndic : Lesage - Sommes : 16 30." Archives commerciales de la France. 17/01/1891, p. 53 (gallica.bnf.fr)

"Pianos supér. avec 300 f. de réduction, garant. 5 ans, payables en 18 mois. De Prouw, Aubert et Cie, r. du Temple, 198, pr. du boulevard." La Presse, 27/11/1865, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"PIANOS supérieurs avec 300 fr. de réduction, garantis 5 ans, payables en 18 mois. De Prouw, Aubert et Ce, r. du Temple, 198, près le boul.»" Le Pays : journal des volontés de la France, 01/04/1866, p. 3 (gallica.bnf.fr)

"PIANOS. - De Prouw, Aubert et Cie. - 39, boulevard du Temple. Ancienne et bonne maison bien connue des artistes et du public parisien non-seulement par l'excellence de sa fabrication, mais encore et surtout par le bon marché et les garanties qu'elle offre à sa clientèle. C'est à ce titre que nous la recommandons à nos lecteurs. (Exposants de la classe 40. Exposition universelle de 1867.)" Guide général ou Catalogue indicateur de Paris, 1867, p. 40 (gallica.bnf.fr)

"Pianos supérieurs avec 300 fr. de réduction, garantis 5 ans; payables en 18 mois. - Deprouw, Aubert et Cie, 39, boulev. du Temple." La Presse, 31/10/1868, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"200 pianos neufs, premier ordre, occasions, garantis dix ans. Toutes facilités. De Prouw-Auber, fabricant, 35, boulevard du Temple." Le Petit Journal, 28/12/1875, p. 4 (gallica.bnf.fr)

Publicité dans Annuaire musical et orphéonique de France, 1876, p. 315

"Pianos et orgues. — DE PROUW-AUBER, fabricant, 35, boulevard du Temple. Fournisseur de S. M. le roi des Pays-Bas. Grand choix de pianos neufs de premier ordre garantis dix ans, prix réduits, pianos pour l'exportation et les colonies; manufacture, rue Oberkampf, 93, envoi du catalogue." Théâtre de la Porte Saint-Martin: Les enfants du capitaine Grant, 1879, p. 103

"PROUW-AUBERT (de), boulevard du Temple, 35. — Fabrication de premier ordre, médaillée aux Expositions universelles de Paris, Havre, Amsterdam. — Cadres en fer, Cordes croisées. — Facilités et grande remise aux artistes." Annuaire général de la musique et des sociétés chorales et instrumentales de France, 1888, p. 122

 

Liste des exposants Paris, 1867 | Médaille d'argent Le Havre, 1868 | Médaille de bronze Paris Paris, 1875 | Liste des exposants Paris, 1878 | Médaille d'argent Amsterdam, 1883

 

COIFFIER

 

 

1845

 

"Coiffier, facteur de pianos, pianos droits et demi-obliques, garantis pendant deux ans. envois en province et à l'étranger, St-Antoine, 86; manufacture : rue de Bordeaux à Charenton-le-Pont, près Paris." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1852, p. 680-681 (gallica.bnf.fr)

  "Coiffier, pian. droits et ½ obliq., locat. et acc., env. prov. et étra., St. Antoine, 222; manuf. r. des Bordeaux, à Charenton." Almanach-Bottin du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales villes du monde, 1854, p. 867-868 (gallica.bnf.fr)

Paris

Montargis

 

16, rue des Lions Saint-Paul (**1846)(x1847)(arr.4)

86, rue Saint- Antoine (1847)(¹⁰)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(**1852)(arr.4)

62, rue de Flandre (1847)(¹⁰)(arr.19)

222, rue Saint-Antoine (yy1851)(**1854)(arr.4)

Usine : 23, rue des Bordeaux aux carrières de Charenton (1852)(**1854)(1856)(¹⁰)(arr.1)

42, rue de Luxembourg (xx1856)(arr.1)

23, rue de Bordeaux (1857)

78, boulevard de Sébastopol (xx1860)(arr.2)

59, rue de Grenelle (**1896)(**1898)(arr.7)

16, rue Sainte Antoine (*1913)(arr.4)

68, rue du Bac (**1904)(x1906)(**1907)(*1909)(*1910)(arr.7)

40, rue du Bac (x1912)(*1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(*1922)(x1922)(arr.7)

à Paris

Succursale :

route d'Orléans (**1921)

à Montargis

 

'Facteur de pianos' ca. 1846-1922 [depuis 1845 (x1912)]

Époux de LEONARD. (1847)(¹⁰)

COIFFIER Jacques Nicolas (1856)

1856 - Faillite en 1856 : "1er avril 1856. — COIFFIER (Jacques-Nicolas), facteur de pianos, à Carrière-Charenton.— Juge-commissaire; M. Larenaudière.— Syndic : M. Lacoste, rue Chabanuais, 8." Gazette de l'industrie et du commerce, 06/04/1856, p. 8 (gallica.bnf.fr)

1857 - "Répartitions de dividendes - COIFFIER (Jacques-Nicolas), facteur de pianos, à Carrières-Charenton, rue de Bordeaux, 23. — Syndic : M. Lacoste, rue Chabanais, 8. — Dividende de 6 fr. 17 c. 0/0, unique répartition." Gazette de l'industrie et du commerce, 22/02/1857, p. 11 (gallica.bnf.fr)

COIFFIER Ch[arles] (**1896)(**1898)(**1904)(x1906)(*1909)(*1910)(x1912)

'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912)

Avait producé aussi des pianos pour : GOEURY (°?)(Paris).

Brevet de 1900 : "300111. Brevet de quinze ans, 8 mai 1900; Coiffier, représenté par la société Marillier et Robelet, à Paris, boulevard Bonne-Nouvelle, n° 42. Nouveau barrage pour pianos." Bulletin des lois de la République française, 01/1902, p. 904 (gallica.bnf.fr)

VOIR AUSSI ...

Edouard COIFFIER à Paris, et un COIFFIER Julien vers 1903 à Saint-Denis.

 
EXBEN 1845

Brevet de 1876 : "112,618. Brevet de quinze ans, 13 mai 1876; Exben et Zielinski, rue Lhôte, n° 8, à Bordeaux (Gironde). Système de répétition des notes, applicable à toutes mécaniques de pianos droits." Bulletin des lois de la République française, 07/1877, p. 218 (gallica.bnf.fr)

Bordeaux 8, rue Lhôte (*1875)(*1876)(1883)(xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(*1906)(*1907)(*1909)

173, rue Palais Gallien, ange Foudaudège (*1913)(1914)(**1921) (*1922)(***1835)(**1938)

62, rue Fondaudège (x1906)(x1912)(*1913)(**1921)(*1922)

173, rue du Palais-Gallien, angle Fondaudège (***1935)

 

'Facteur de pianos' droits ca. 1875-1938

EXBEN Mme. P. (?)

EXBEN & ZIELINSKI (*1875)(*1876)(1880), voyez aussi chez ZIELINSKI

1883 - "Bordeaux. — Dissolution, à partir du 28 fév. 1883, de la Société EXBEN et ZIELINSKI, facteurs de pianos, r. Lhôte, 8. — Liquid. : M. Exben. — Acte du même jour." Archives commerciales de la France. 16/03/1883, p. 381 (gallica.bnf.fr)

EXBEN (xx1890), 'Pianofabrik'

'Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung u. Reparatur-Werkstatt' (x1906)

EXBEN Mme. Vve. (x1912), 'Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung'

EXBEN & SIRVENTON en 1914 (**1921)(*1922):

1914 - "Bordeaux. — Formation. — Soc. en nom collectif EXBEN et SERVENTON [sic], factage de pianos 173, Palais-Gallien, — 8 ans. — 82,000 fr. — 10 fév. 1914." Archives commerciales de la France, 11/03/1914, p. 340 (gallica.bnf.fr)

SIRVENTON Jacques (***1935)(**1938), successeur

 

 
GAVIOLI Giacomo, père

(1786 - 1875)

&

GAVIOLI Ludovico & Cie, son fils

(1807  - 1875) 

&

GAVIOLI Claude, petits-fils

 

 

1845  

 

'PIANO GAVIOLI' (barre d'adresse) utilisée dès 1902 pour les pianos mécaniques (²¹).

GAVIOLI
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"Gavioli (L.), ingénieur-mécanicien, membre de plusieurs académies, (anc. maison Corvi) manufacture d'instruments de musique à cylindres et à touches; orgues-mécaniques à claviers, pianos et claviflutes pour salon, orgues portatives avec panorama mécanique, orgues, trombones, Harmoniflûtes, melotons, etc., etc.; nouveau système Gavioli breveté, six med. d'or et deux méd. d'argent, Aligre, 14, et Faub.-St-Antoine, 170." Annuaire et almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l ..., 1859

"Gavioli et Cie, pianos, pianos-violon et pianos-flûte ci manivelle, 2 méd. d'argent exposit. univ. 1878, avenue de Taillebourg 2 bis (place du Trône)." et "Gavioli fils, pianos mécaniques, méd. à l'exposit. Paris 1878, rue des Charbonniers-St-Antoine, 15 (av. Daumesnil, 34) (voir Orgues)." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1881, p. 1522 (gallica.bnf.fr)

INFO EXTRA

The Rise, Blossom and Fall of the Gavioli Factory, par Dr. Hans van Oost, Pays Bas

 

Paris

Manchester

 

14, rue d'Aligre (1852)(1854)(1855)(*1859)(zz1862)(***1863)(zzz1864)(arr.12)

170, rue du Faubourg Saint Antoine (*1859)(arr.12)

 3, rue de Citeaux (*1867)(arr.12)

 49, rue de la Rapée (arr.12)

(b) 13, rue des Charbonniers Saint-Antoine (*1867)(**1871)(arr.15)

(b) 15, rue des Charbonniers-Saint-Antoine(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(yyy1878)(**1879)(**1880)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(arr.15)

(a) USINE : 2 [bis], avenue de Taillebourg, Place du Trône (1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(**1888)(xx1890)(1892)(*1893)(*1894)(*1895)(*1897)(**1898)(arr.11)

2bis, Place de la Nation (**1880)(**1883)(**1884)(**1886)(arr.11)

(b) 34, avenue Daumesnil, près de la Gare (**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(arr.12)

115, rue  de Bercy (1902)(arr.12)

(b) 77, rue de Charonne (xx1890)(**1904)(arr.11)

175 bis, rue Bercy (1903)(*1905)(x1906)(*1907)(**1907)(*1909)(*1911)(arr.12)

Usine : 44, quai de la Rapée (x1906)(**1907)(arr.12)

15, Place de la Nation (**1898)(*1913)(arr.11)

49, rue de la Rapée (*1913)(arr.12)

à Paris

17, Milton Street, Lower Broughton (x1906), Manchester, Angleterre, U.K.

 

Pianos droits, pianos mécaniques, harmoniums, piano-harmoniums, mandolines, harpes et orgues ca. 1852-1913 [depuis 1845 (x1906)]

'Facteur d'instruments' ca. 1845-1913

'Facteur de pianos mécaniques et d'orgues' dès 1806, à Modena, Italie. Il a eu trois fils, Claude, Anselme et Henry.

'Société Anonyme des Etablis'

1862 - "Atelier de M. Cavioli [Gavioli], rue d'Aligre, 14. - MM. Cavioli, 4 ex., Renaldy fils." Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862, p. 54 (gallica.bnf.fr)

Successeur de CORVI :

"Gavioli, successeur de Corvi, facteur, rue d'Aligre, 14." Annuaire spécial des artistes musiciens, 1863, p. 127 (gallica.bnf.fr)

 GAVIOLI Anselme & Cie (1889), un des trois fils de Ludovico GAVIOLI.

1892 - "Paris. — Formation. - Société en nom collectif GAVIOLI et Cie, fab. d'orgues et pianos mécaniques, 2 bis, av. Taillebourg.—10 ans. — 260,000 f." Archives commerciales de la France. 27/01/1892, p. 114 (gallica.bnf.fr)

 YVER Fils (*1894), successeur ?

GAVIOLI & Cie (**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1883)(**1884)(**1888)(xx1890)(1903)(a)

'Drehpianos' - 'Pianofabrikant' (xx1890)

1903 - "Paris.— Modification aux statuts. - Société GAVIOLI et Cie, fab. d'orgues, pianos mécaniques, 175 bis, Bercy.— Substitution de M. Gavioli fils à M. Gavioli son père décédé. — L." Archives commerciales de la France, 28/01/1903, p. 114 (gallica.bnf.fr)

GAVIOLI & Cie (x1906), 'Fabrique von Drehpianos'

Propriétaires : A. GAVIOLI, P. YVER & L. JALAGUIER (x1906)

'Fabriken in Paris und Waldkirch in Baden' (x1906)

GAVIOLI Fils

GAVIOLI [C.] Fils (xx1890)(**1904)(b)

GAVIOLI Claude Fils (b) ou Ludovico ? dès 1871, (**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)

GAVIOLI Fils (b)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(xx1890)

'Pianofabrikant' + 'Pianohandlung' (xx1890)

 

Liste des exposants Londres, 1862 | Médaille de bronze Paris, 1867 | Official Catalogue Philadelphie, 1876 | Médaille d'argent Paris, 1878 | Diplôme d'honneur, Bruxelles, 1880 | Médaille d'or Amsterdam, 1883 | Médaille d'or Anvers, 1885 | Liste des exposants Paris, 1885 | Médaille d'argent Paris, 1889 | | Mention honorable Amsterdam, 1883 | Médaille d'or Ancers, 1885 | Hors concours Paris, 1889 | Diplôme d'honneur Anvers, 1894  | Diplôme d'honneur Paris, 1900

JACQUOT Charles

(1804 - 1880)

Le Journal de la Meurthe, 26/02/1914, p. 4 (kiosque-lorrain.fr)

1845

 

 

Violons, pianos et harmoniums

TITRE

'Fournisseur du Conservatoire de Nancy' (*1909)

NANCY - "Exposition des produits de l'industrie départementale. [...] N'avez-vous pas désiré avec la fortune le talent du musicien qui donne une si harmonieuse voix aux violons et aux guitares de M. Jacquot, ce facteur-artiste, déjà décoré d’une médaille; [...]" Journal de la Meurthe, 05/06/1838, p. 3 (kiosque.limedia.fr)

"ANNONCES. - FABRIQUE D’INSTRUMENTS DE MUSIQUE. - MEDAILLE D’ARGENT - C. JACQUOT - MÉDAILLE DB BRONZE. - LUTHIER, Rue de la Poissonnerie, 19, à Nancy. LOUE TOUS LES INSTRUMENS, PIMOS ET HARPES D'OCCASION - Tient magasin d’instruments de musique en tous genres, fabrique violons, alto et bases d’après les anciens modèles italiens, lient les cordes de Naples et de France pour tous les instruments et en général tout ce qui concerne la lutherie, etc., etc.
31. JACQUOT a l’honneur de prévenir MM. les amateurs et professeurs de musique, qu’il arrive de Paris avec un grand nombre d’instruments, tels que pianos des meilleurs facteurs de la capitale, mélodiums, harmoniums d’église et de salon, orgues expressifs de toutes les dimensions, accordéons de tous les genres, assortiment complet d'instruments en cuivre de premier choix, de flûtes, clarinettes, hautbois, musettes, flageolets, beau choix assorti de violons et violoncelles italiens et autres, pianos carrés à six octaves de 100 à 300 fr., pianos droits à six octaves et demie de 350 à 600 fr., orgues à tambourin, tabatières à musique de toutes dimensions à 2, 3, 4 et 6 airs. Les prix de ces articles sont tellement bas, que les personnes qui voudront bien visiter son magasin en seront étonnées. Il garantit la bonté de ces instruments et se charge également de toutes réparations et de bonifier les violons, violoncelles, quintes, etc." L'Espérance : courrier de Nancy, 13/11/1845, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

"Exposition de l'Industrie de 1849 à Paris : Premier et second prix. Avis aux amateurs de musique - M. JACQUOT, marchand luthier à Nancy, qui a obtenu trois médailles, un premier et un second prix à l’exposition parisienne de 1849, continue à fabriquer des violons d’après les plus beaux et les meilleurs modèles italiens, dans les prix de 50 à 200 fr. Il a aussi un beau choix de violons italiens. Ses instruments sont vendus à garantie. Il tient également un assortiment d’instruments en cuivre et autres, et un choix de pianos de plusieurs fabricants de Paris. Il loue et vend ces instruments dans les prix les plus modérés." Journal de la Meurthe et des Vosges, 31/08/1850, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

"JACQUOT, élève d'Érard, r. Gambetta, Membre du Jury, hors concours, Paris 1900. [...] JACQUOT. 1. r. Gambetta, 19, maison fondée en 1832. Fournisseur du Conservatoire de musique de Nancy et de l'armée, membre de la Chambre syndicale des facteurs d'instruments de musique de Paris, hors concours, dip. Mme d'honneur, médailles d'or et d'argent Pont-à-Mousson. [...] JACQUOT, r. Gambetta, 19, fournisseur du Conservatoire de musique de Nancy et de l'armée. Membre du Jury, hors concours Paris 1900, pianos et instruments neufs et d'occasion, vente à tempérament, location, accords, réparations, instruments de cuivre et de bois Abonnement à la lecture musicale." Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1909 (gallica.bnf.fr)

"Jacquot (Fernand), luthier d’art, lils et successeur de la Maison Albert Jacquot, fondée en 1827. Téléphone 11.18. (Voir publicité ci-dessous.) [...] Pianos droits et à queue - Toutes les premières marques — Vente, Achat, Location, Réparations, Accords - Fernand JACQUOT, Luthier, 19, Rue Gambetta, NANCY - Télép. 11.18 - Pleyel, Erard, Gaveau, Kriegelstein, Lary, Mussard, Ruch, Regy, etc." Annuaire administratif, statistique, historique et commercial de la Meurthe, 01/01/1922, p. 727 (gallica.bnf.fr)

 

Mirécourt

Paris

Nancy

?

à Mirécourt

58, rue Saint-Louis au Marais (?)(arr.4)

48, rue de l'Echiquier (1858)(¹⁰)(arr.10)

à Paris

19, rue Poissonnerie (rue Gambetta actuelle) (y1845)(***1860)(y1862)(*1875)(*1876)

17, rue Gambetta (*1888)

19, rue Gambetta (*1886)(xx1890)(*1893)(*1898)(*1903)(y1905)(x1906)(*1909)(x1912)(**1914)(**1921)(*1922)(xxx1922)

à Nancy

 

'Fabrique d'instruments', luthier, marchand ou facteur de pianos ca. 1858-1922 [depuis 1632 (x1906)(x1912) ou depuis 1827 (*1913)(**1921)(*1922) à Nancy ou depuis 1845 ou depuis 1854 à Paris]

JACQUOT Charles (1804-1880), établit sa maison à Mirécourt, où son fils, Pierre-Charles JACQUOT (1828-1895)(chevalier de la légion d'honneur), lui succéda.  Famille du précédent, un autre Charles Jacquot quitta Nancy en 1854 et s'établit à Paris.

1858 - "JACQUOT Charles, négociant, rue de l'Echiquier, n° 48. Cité le 31/12/1858, lors d’un acte sous seing privé, comportant dissolution entre ledit et CUNY Marie Alexandrine, même adresse, pour l'exploitation d'un fonds de marchand luthier, créé le 27/03/1858 et dissous ce jour. Source : D31u3-213/0000." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

JACQUOT Albert (*1886)(1892)(1908), a publié : 'La musique en Lorraine' et un 'Dictionnaire des instruments de musique', 1886

JACQUOT [C.] & Fils (x1890)(xx1890)

'Geigenbauer, Musikal.-, Piano- u. Instr.-Handlung' (xx1890) à Nancy

'Elève d'Erard' (*1903)

JACQUOT E. Ch. Albert (x1906)(x1912)

'Geigenbauer, Musikal.-, Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-u. Saiten-Händler u. -Reparatur-Werkstatt' (x1906)

'Geigenbauer, Musikal.-Verleger, sowie Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.' (x1912)

JACQUOT Fernand Fils (1884 -?)(*1913)(**1921)(*1922)(xxx1922) à Nancy

'Musique et Instruments et Luthier Fabricant' (*1913)

JACQUOT Fernand, Fils & successeur (**1914)

'Musique - Pianos - Instruments et Luthier Fabricant' (**1921)

"Le créateur de la lignée des luthiers Jacquot a été Charles Jacquot (né en 1804 à Mirecourt) qui s’est illustré par ses talents de luthier. Arrivé à Nancy en 1824, il crée trois ans après son atelier et magasin de musique au 19 rue de la Poissonnerie. Son fils Pierre Charles (1828 – 1900), également devenu luthier, s’est aussi qualifié, au moins entre 1878 et 1890, de « fabricant de pianos », opérant, comme d’autres, en apposant sa plaque d’adresse sur des instruments acquis chez un autre fabricant. Ses fils Etienne Charles Albert (1853 – 1915) et Jules Victor (né en 1855) ont continué la tradition familiale de la lutherie et du magasin de musique sans que l’on sache cependant s’ils vendaient ou fabriquaient encore des pianos sous leur nom. Albert est en outre devenu très connu par son érudition en histoire de la musique et des instruments de musique. On lui doit de nombreuses publications sur ces sujets." (⁸) J.M. Stussi, Facteurs de pianos de Nancy,  Strasbourg, Le Mans, Mâcon et Angers. Doc. Personnels

PUB

Annuaire général des Vosges pour l'année 1905, p. 571 (kiosque.limedia.fr)

VOIR AUSSI ...

et DAUB-JACQUOT (°1830) à Saint-Quentin

INFO EXTRA

Les facteurs de pianos à Nancy  (2010)
(site www.musimen.com)

Liste des exposants, Nancy  1838 | Médaille d'argent Paris, 1889

LIGIER Jacques 1845  

 

Brevet de 1862 : "337° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 4 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département du Puy-de-Dôme, par le sieur Ligier (Jacques), facteur de pianos, à Clermont-Ferrand, pour un instrument de musique portatif dit orpheï."  Bulletin des lois de la République française, France, Imprimerie nationale, 1864

 

 

Clermont-Ferrand

 

Mirecourt

11 bis, rue Pascal  (*1875)(*1876)(*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(*1906)(*1907)(*1909)

8, rue Saint-Genès (*1913)(**1921)(*1922)(*1934)(**1935)

Usines à Mirecourt (Vosges) vers 1900

 

 

Pédagogue, clarinettiste, chef d'orchestre, marchand de musique et pianos droits, et éditeur de musique et compositeur.

'Marchand de musique' (*1906)(*1907)

F. MOYEN, successeur (*1876)

SOULACROUP Jean (1845 - 1919), successeur, voir    SOULACROUP à Clermont-Ferrand.

SOULACROUP (*1893)(*1895)

SOULACROUP-LIGIER (*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(*1907)(*1909)(*1913).

Repris par LAPUE Mlls (**1921)

Repris par LAPUE Mlle. Marie (*1922)

Repris par CONNEN André (*1934), ex-facteur-accordeur diplômé de la maison PLEYEL.

 

Mention honorable Clermont-Ferrand, 1863

AURY Jacques-Jean

(? - 1850)(³¹)

 

 

Piano droit ca. 1847, Photo : Claude Germain - © Cité de la Musique, Paris, France

1846  

Piano droit ca. 1847, intérieur, détail, Cité de la Musique, Paris, France

Brevet de 1846 : "Aury chercha à raccourcir les cordes jusqu'au chevalet au moyen d'une tringle fixée par son extrémité courbe au sommet inférieur. Les cordes, au dire de l'inventeur, étant plus courtes, sont moins sujettes aux influences atmosphériques. (B. F., 2,895)." Organographie: La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

 Bulletin des lois de la République française, 07/1846, p. 680 (gallica.bnf.fr) - Brevet d'invention de quinze ans -en date du 2 février 1846, au sieur Aubry, à Paris, pour des perfectionnements aux pianos - Il s'agit d'abord d'une tringle que l'on voit fig.20 pl. XVIII que l'on fixe par son extrémité courbe en sommier du bas, et elle aboutit à 0, 02 du chevalet. A on autre extrémité s'agrafent les cordes c, un au bout même de la tringle, les autres a de cochets. Cette tringle a pour effet de saccourir les cordes jusqu'au chevalet. Son aplatissement ver le sommier lui donne de la frexibilité et la table d'harmonie est plus sensible aux vibrations: les cordes etant plus courtes sont moins sujettes aux influences [?] shériques. En second lieu, l'inventeur décrit un étouffoir que est placé devant qui est en mouvement par le clavier. Cet étouffoir est représenté fig. 21. La figure 22 représente un échappement à ponte mobile. Cette disposition permet de régler par devant tous les marteaux. En vissant eu en dévissant la vis VR, on fait marcher la pièce moble PM, rapportée dans l'échappement. Le ressort K est pris dans la petite fourche et dans un cordonnet de soie; ce ressort, ainsi disposé, donne un jeu prompt et doux. Enfin, la figure 23 rerésente une touche. La fourche F s'adapte à la touche. Ces fourches se mettent et se retirent à volonté dans les garnitures de la barre balancier. Description des machines et procédés spécifiés dans les brevets d'invention, 1851, p. 184-185  -  MM. Aury et Ziegler, facteurs de pianos, rue Bleue, 2, présentent un nouveau système de pianos." Bulletin de la Société d'encouragement pour l'industrie nationale, Volume 46, 1847, p. 220

 

Paris 2, rue Bleue (*1847)(x1847)(*1848)(arr.9)

ateliers : 35, Marais Saint-Martin (x1847)(*1848)(arr.4)

5, rue de Montholon (**1847)(arr.9)

18, rue Truffaut (1850)(³¹)

 

'Facteur de pianos' droits et pianos carrés

Jean-Frédéric ZIEGLER devenait contre-maitre en 1846 chez AURY avant de s'associer vers 1846-47 :

  ZIEGLER & AURY (1846)(***1847)

1846 - "AURY Jacques Jean, Fabricant de pianos, rue Bleue, n° 22. Cité le 23/09/1846, dans un acte notarié comportant société entre ledit et ZIEGLER Frédéric, facteur de pianos, même adresse, lesquels se sont associés en nom collectif pour une fabrique de pianos, à cette adresse, sous la raison AURY et ZIEGLER qui a commencé le 12/09/1846. Source : D31u3-136/Pièce 1772." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1847 - "AURY Jacques Jean, Fabricant de pianos, rue Bleue, n° 2. Cité le 31/05/1847, dans un acte sous seing privé comportant dissolution entre ledit et ZIEGLER Jean Frédéric, même profession et adresse, lesquels étaient associés en nom collectif dans une société créée le 23/09/1846, devant notaire pour la fabrication et la vente de pianos, laquelle est dissoute ce jour. Source : D31u3-142/Pièce 1042." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

  AURY & Cie (1847)

1850 - "MC/RE/LXVI/29 - 4 octobre 1850 - Inventaire après décès de Jacques-Jean Aury, facteur de pianos, à Matignolles Monceaux, rue Truffaut, n° 18." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

"Aury et Ziegler, inventeurs de plusieurs perfectionnements approuvés par les professeurs et les facteurs les plus distingués de Paris, Bleue, 2 ; ateliers, Marais-St-Martin, 35. Ces perfectionnements ont pour premier avantage de pouvoir livrer, à qualités égales, à bien meilleur marche. Ils consistent principalement, dans J'emploi des ressorts qui, en raccourcissant les cordes, donnent à l'instrument une puissance de sons égale dans les pianos droits à celle des pianos à queue ordin., en facilitent et en maintiennent l'accord; dans le clavier dont le jeu est partont égal, facile, inaltérable et sans le moindre bruit : dans l'étouffoir qui ne laisse plus ni continuation ni confusion dans le son ; dans le mouvement de la pédale forte, etc. Tous ces perfectionnements sont si naturels et si incontestables, qu'i's se comprennent très - clairement, même par les personnes étrangères à la fabrication." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1847, p. 470 (gallica.bnf.fr)

 
ELCKÉ Frédéric

 

 

 

 

 

 

 

 

1846

 

 

Pianos droits et pianos à queue

 Piano droit ca. 1864, et sa signature, Musée des Beaux-Arts du Havre, France

ELCKE
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EXPOSITIONS

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Paris 151, rue de l'Université (1849)(arr.7)

112, rue de Richelieu (après 1849)(*1850)(*1851)(**1852)(arr.2)

Fabrique : 3-5, Boucherie-des-Invalides (*1850)(*1851)(arr.6)

 47, rue de Babylone (yy1851)(**1852)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(**1864)(yy1864)(xx1868)(**1870)(xx1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1884) (***1885)(**1888)(1889)(*1894)(*1895)(*1896)(*1897)(**1898)(1900)(*1902)(*1903)(*1905)(*1907)(**1907)(*1909)(*1910)(**1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(*1920)(**1921)(x1922)(arr.7)

17 (?), rue de Babylone (1885)(arr.7)

Plus de 200 pianos par an en 1855

100 ouvriers et 700 pianos par an en 1890

21.600 pianos fabriqués en 1900

36.100 (vers 1930)

41.400 pianos en 1960 (¹)

41.950 pianos en 1965 (¹)

 

'Facteur de pianos' ca. 1849-1922

"Une semblable exactitude aux expositions est à noter pour l’établissement créé en 1846 par Fréd. Elcké. (Médailles de bronze 1849, de 2e classe 1855, menton à Londres 1862, méd. de bronze, Paris 1867 et d’argent 1878.) En 1878, ce facteur qui s’était fait aussi une loi de vendre à des prix peu élevés, et ne construisait que des pianos droits, avait réalisé de grand progrès constatés dans le rapport du jury. En prenant la direction de la maison (1878), M. Ed. Gouttière résolut d’attendre sa fabrication aux pianos à queue. A ce titre il reçut un diplôme d’honneur à Anvers (1885) et à Bruxelles (1888), mais c’est à l’exposition de 1889 que M. Gouttière obtint la meilleure consécration de son succès. En le plaçant « le premier sur la liste des médailles d’or », le jury reconnut à ses instruments de remarquables qualités. (..) En 1878 ce facteur qui s'était fait aussi une loi de vendre à des prix peu élevés, et ne construisait que des pianos droits." Les facteurs d'instruments de musique: les luthiers et la facture instrumentale : précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893

ELCKÉ Frédéric (1849)

ELCKÉ F. & GOMBEAU (entre 1849 et 1855), la maison GOMBEAU est fondée en 1848. Voyez GOMBEAU. ELCKÉ & GOMBEAU (*1850)(*1851)(*1852) sont les successeurs de FAURÉ & ROGER (°1840), ci-dessus.

ELCKÉ F. & Cie dès 1870.(1872)(**1873)(*1876)(**1876)(**1877): 'Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration', 1879, p. 1395-1397 (gallica.bnf.fr)(**1880)

1870 - "TRIBUNAL DE COMMERCE DE LA SEINE -Dépôt au greffe. — Actes de sociétés. Formations. — Elcké et Cie, pianos, r. Babylone, 47. (Acte s. s. p., 3 fév.)" Journal officiel de l'Empire français, 25/02/1870, p. 370 (gallica.bnf.fr)

ELCKÉ F. & Cie Ed. GOUTTIERE son associé vers 1870 est devenu son successeur (¹) vers 1878   Edmond GOUTTIERE (1885) né à Lille en 1833; (**1879)(**1881)

1878 - "Paris : — Dissolution, à partir du 30 juin 1878, de la Société ELCKÊ et Cie, fab. de pianos, rue de Babylone, 47. — Liquid. : M. Gouttière, l'un des associés. — Acte du 12 août 1878.— J. g. d'A." Archives commerciales de la France. 29/08/1878, p. 1106 (gallica.bnf.fr)

Camille LUCHE, vers 1927-31.

1881 - "Un incendie considérable a éclaté hier, vers trois heures du matin, dans la fabrique de pianos de M. Elcké et Cie, successeurs [sic] de M. Gouttière, 47, rue Babylone. Les ateliers, les immeubles, les mobiliers de quelques locaires ont été entièrement consumés. Le feu a pris des proportions si considérables en quelques instants, que de nombreux habitants des maisons voisines ont dû déménager à la hâte. Les pompiers, venus en grand nombre des postes voisins, ont attaqué le feu par la cour de la caserne de Babylone et celle de la fabrique. Jusqu'à sept heures du matin, ils ont travaillé pour l'en rendre maîtres. Une pompe à vapeur a fouctionné jusqu'à midi pour noyer les decombres. L'eau projetée par la pompe se congelait en tombant sur le sol, et plusieurs pompiers, des gardiens de la paix, des personnes occupées aux chaînes sont tombées en glissant et se sont fait quelques légères confusions. Dans la matinée, la plupart des locataires ont réintégre leur domicile." Le Petit Parisien, 18/01/1881, p. 3 (gallica.bnf.fr) et La Presse, 18/01/1881, p. 3 (gallica.bnf.fr)

 

 Médaille de bronze Paris, 1849 | Médaille de 2e classe Paris, 1855 | Mention honorable Londres, 1862 | Médaille de bronze, 1867 | Liste des exposants Le Havre, 1868 | Médaille d'or Lyon, 1872 | Médaille d'argent Paris, 1878 | Diplôme d'honneur Anvers 1885 | Médaille d'or Paris, 1889 | Liste des exposants Chicago, 1893 | Grand prix Anvers, 1894 | Diplôme d'honneur Amsterdam, 1895 | Grand prix Bruxelles, 1897 | Grand prix Paris, 1900

FISCHER Gge. 1846  

FISCHER
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Peut-être les pianos de FISCHER sont plus tard fabriqués par ETESSE (°1850)(Tours)

 

Saumur 49, rue d'Orléans, en face l'Hôtel de Londres (**1890)

15bis, rue de Nantilly (*1913)(*1922)

'Facteur de pianos' droits ca. 1890-1922

FISCHER V. (?)

FISCHER Léonard & Fils (xx1890), 'Musikal.- u. Instr.-Handlung'

1890 - "LIQUIDATION Pour cause de fin de bail et cessation de commerce Pianos, Musique, Instruments Maison LÉONARD FISCHER Rue d'Orléans, 49, SAUMUR." L'Écho Saumurois, 13-14/01/1890, p. 3 (archives.ville-saumur.fr)

1890 - "A LOUER pour Noël 1890, MAISON AVEC MAGASIN Rue d'Orléans, en face l'Hôtel de Londres, Occupée par Mme FISCHER, marchande de pianos. S'adresser à Mme BRINDEAU, à Sainte-Anne, et chez M. MEYER, rue d'Alsace." L'Écho Saumurois, 13-14/01/1890, p. 3 (archives.ville-saumur.fr)

Repris par PILLET-BERSOULLÉ vers 1891, inventeur et fabricant de fixe-chevilles PILLET, et marchand de pianos.

Puis repris par OLIVE P.

Puis repris par COUTARD Marcel (*1929)

 

 

Médaille d'argent Saumur ?, 1846 |  Médaille de bronze Angers, 1853 | Médaille de bronze Angers, 1857 | Grand prix Saumur, 1891

GOLL Frédéric 1846

VOIR AUSSI ...

GOLL Johann-Hans-Jacob à Vienne, Autriche et le même GOLL Johann-Hans-Jacob à Zürich, Suisse et GOLL Chr. L. à Kirchheim, Allemagne

Grenoble

Draguignan

 

rue de la Paix (*1875)(*1876)

2, rue de la Paix (xx1890),

 à Grenoble

30, Allées d'Azémar (*1898)

1, boulevard de la Liberté (*1902)(*1903)(*1905)(x1906)

35, Allées d'Azémar (*1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913)

à Draguignan

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos et orgues ca. 1875-1913

Dans le New York City Directory de 1845-48, on retrouve le même nom qu'un pianiste. : New York City Directory, 1845, p. 147,  New York City Directory, 1848, p. 169

1882 - "Nice. —, GOLL (Frédéric), facteur de pianos,  Jug. du 16 mai. 1882. — Syndic : M. Muaux." Archives commerciales de la France. 28/05/1882, p. 738 (gallica.bnf.fr)

GOLL H. (xx1890), 'Piano- u. Harmonium-Handlung'

GOLL Fils (*1893), à Grenoble

'Piano-Handlung' (x1906)

'Facteur d'orgues et de pianos' (*1906)(*1907)(*1909)

GOLL Frédéric Fils (x1912), 'Hândler mit Musikal., Pianos, Orgeln u. Phonographen'

'Facteur d'orgues et instruments pneumatiques' (*1913)

 

 
HURON 1846  

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EXPOSITIONS

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"Magasin de pianos & d'Harmoniums. Locations et réparations. HURON, facteur de pianos, Rue des Juifs, 6, à Blois. Tous les Instruments, quels que soient leurs prix, sont vendus avec toutes les garanties possibles pour les acheteurs, et aux mêmes prix que chez les facteurs de Paris. Les Réparations, faites avec tout le soin désirables, sont traitées dans les mêmes conditions de prix." Annuaire du département de Loir-et-Cher', 1862 (archives.culture41.fr)

"Magasin de pianos et d'harmoniums - Huron - Facteur de Pianos - Rue Denis-Papin, 13, à Blois. Magasin de musique, lutherie et instruments de toutes espèces, successeur de Messieurs Marchand et Damenez. Violons et cordes harmoniques des meilleurs provenances." Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1874 (archives.culture41.fr)

"Vente, accords, location & réparation de pianos et d'harmoniums des meilleurs maisons de Paris et vendus aux mêmes prix. - Médaille d'or obtenue pour ses pianos. Huron, rue Denis-Papin, n° 13, à Blois, s'esr adjoint son Fils, facteur et accordeur des premières Maisons de Paris, Herz, Gaveau, Erard. - Toutes les réparations sont faites promptement et avec soin, et à des prix très modérés. Magasin de Musique, Instruments de cuivre, violons, cordes, etc." Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1878 (archives.culture41.fr)

"Manufacture de Pianos. Ateliers de fabrication à Paris - Magasin de Ventes, Locations, Accords, et Réparations - J. Huron - Élève d'Erard - Rue Denis-Papin, 13, Blois. Pianos droits, depuis 800 fr. - Obliques. - Cordes croissées, etc. - Indépendamment des Pianos de ma fabrication, on trouve toujours un grand choix des Instruments des meilleurs Maisons, telles que : Erard, Pleyel, Herz, Gaveau, Debain, au même prix qu'à Paris. Instruments de musique en tous genres - Musique. - Abonnement musical. - Cordes harmoniques - Fournitures pour Musiques militaires." Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1883 (archives.culture41.fr)

 

Blois

Paris

 

1, rue des Papegaux (xxx1850)(xxx1851)(xxx1852)

rue des Juifs (xxx1853)

6, rue des Juifs (xxx1854)(xxx1855)(xxx1856)(xxx1857)(xxx1858)(xxx1860)(xxx1861)(xx1862)(xxx1863)(xxx1864)(xxx1865)(xxx1866)(z1867)(xxx1868)(xxx1869)(xxx1870)

20, rue des Marchands (xxx1870)

13, rue Denis-Papin (xxx1872)(xxx1873)(xxx1874)(xxx1875)(xxx1876)(xxx1877)(xxx1878)(xxx1880)(xxx1881)(xxx1882)(x1883)(xxx1883)(xxx1884)(xxx1885)(xxx1886)(xxx1887)(xxx1888)

95, rue Denis-Papin (xxx1879)(xxx1880)(xxx1881)(xxx1882)

rue Denis-Papin (xx1890)

6, rue Porte Côté (xxx1889)(xxx1890)(xxx1891)(xxx1892)(xxx1893)(xxx1894)(xxx1895)(xxx1896)(*1897)(xxx1897)(*1898)(xxx1898)(xxx1899)(xx1900)(xx1901)(**1902)(xxx1902)(xxx1903)(xxx1904)(xxx1905)

8, rue Porte Côté (*1903)(1904)(*1905)(x1906)(*1907)(*1909)

à Blois

Ateliers :

6, rue Meissonnier (**1914)(**1921)(arr.17)

 à Paris

 

 

'Manufacture de Pianos' ca. 1850-1909 [depuis 1846 (*1907)]

'Élève d'ERARD' (mentionné sur ses lettres anno 1904 et l'articles sur l'expositions de Huron)

Successeur de MARCHAND, Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1870 (archives.culture41.fr)

HURON Louis (xxx1872)(xxx1874), facteur de pianos, Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1872, p. 227 (archives.culture41.fr)

Successeur de DAMENEZ, Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1874 (archives.culture41.fr)

HURON & Fils, Annuaire du département de Loir-et-Cher', 1878 (archives.culture41.fr)

HURON Louis (xxx1879)(xxx1880)(xxx1881)

HURON Joseph ou HURON Fils(xxx1883)(xxx1884)(xxx1885)(xxx1886)(xxx1887)(xxx1888)(xxx1889)(xx1890)(x1906)

'Musikal.-, Piano- u. Instr.-Handlung' (xx1890)

1904 - "A CÉDER bonne maison de province. Musique. Pianos. Instruments. S'adresser à M. Huron, à Blois." Le Ménestrel, 18/12/1904, p. 406 (gallica.bnf.fr)

'Musikal.-, Piano- u. Instrumenten-Handlung' (x1906)

Repris par PLOUCHART G. à Blois, probablement dès 1906, Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1906, p. 443

HURON R. (**1914)(**1921)


(la suite)

"INSTRUMENTS - MUSIQUE - Ancienne Maison HURON fondée en 1846 G. PLOUCHART, Suc - Facteur, Luthier - MÉDAILLE D'OR 1875 - DIPLOMES D'HONNEUR 1883-1893 - 8, rue Porte-Côte, 8, BLOIS (Téléphone 0.59) - Pianos neufs et d'occasion île toutes marques. - Harmoniums. - Accords et entretien de grandes orgues. - Instruments à cordes et à vent bois et cuivre. Fournitures générales - Atelier spécial de réparations de tous instruments, Accords, Ventes, Locations, Echanges. - Musique française et étrangère - abonnement à la lecture musicale - Phonographes et cylindres Pathé - Dépositaire du piano "Cecilian" pour le Loir-et-Cher et l'Indre." Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1907, p. 742 (gallica.bnf.fr)

 

Médaille d'or Blois, 1875 | Diplôme d'honneur Blois, 1883 | Diplôme d'honneur Blois, 1893

PÉRICHON Alexandre 1846  

'Membre de la Société du progres de libre industriel'

Paris

Le Hâvre

 

MAISON PRINCIPALE :

22, passage Tivoli (1856)(¹⁰)(arr.9)

10, rue de l'Odéon (1856)(¹⁰)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(*1862)(***1863)(**1864)(yy1864)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(xx1890)(arr.6)

à Paris

SUCCURSALE :

9, Place Louis XVI (18??)

9, Place Gambetta (xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)

rue Saint-Adresse (*1902)(*1903)

au Havre

 

 

'Facteur de pianos et orgues' ca. 1856-1903

Époux de POIRE (1856)(¹⁰)

Probablement la même personne qu'on peut trouver sur le nom PÉRICHON Jeune, maison fondée en 1835, voyez ci-dessus.

'Pianohandlung' (xx1890) au Havre et à Paris

PÉRICHON Mme. Veuve (*1896)(*1897)(*1898)(*1902)(*1903)

Repris par A. PÉRICHON Neveu (quand ?)

Repris par L. JOUVE (de Alger (maintenant Algérie) ?) (quand ?)

ROUEN - "M. Perrichon [sic], de Paris, a exposé divers pianos dont l'ébénisterie et la sculpture sont remarquables ; l'un d'eux, en bois de rose incrusté, à trois cordes obliques, est d'une sonorité assez heureuse." Expo Rouen, 1859 - Revue des Races Latines, 07/1859, p. 384-385 (gallica.bnf.fr)

VOIR AUSSI ...

PÉRICHON Aîné à Paris

 

Liste des exposants Rouen, 1859 | Mention Honorable Exposition de Nantes, 1861

SCHMID-OBERDOERFFER
| OBERDÖRFER

 

 

SCHMID Georges Frédéric

&

Philippe Jacques OBERDOERFFER
| OBERDÖRFER

(1815 - ?)(⁸)

 

 

1846

 

PUB

PHOTO

 

Strasbourg 22, Lange-strasse (1875)(y1878)(1885)

ou 22, Grand rue [Lange-strasse] (1885)(⁸)(xx1890)(*1896)(*1897)(*1903)(*1905)(*1906)(*1907)

3, Vieux Marché aux Vins [Alter Weinmarkt](x1906)(*1907)(*1909)(*1910)(*1922) (*1929)

9, Desaix - Staden (?)

 

'Facteurs de pianos' droits, harmoniums et orgues ca. 1875-1929

Selon Weltadressbuch der gesammten Musikinstrumenten-Industrie, 1890, p. 61 (digital.slub-dresden.de), la maison était fondée en 1820.

OBERDOERFFER Ph. (x1854), accordeur et fabrique de pianos (**1874)(y1878)

1874 - "Ph. Oberdörfer, Pianofortefabrik. Vom Inhaber Philipp Oberdörfer gegründet." Handbuch der Leistungsfähigkeit der gesammten Industrie Deutschlands, Oesterreichs Elsass-Lothringens und der Schweiz, 1874, p. 113

SCHMID-OBERDOERFFER F. (x1906)

1906 - Propriétaires : E. SCHMID & P. DUBIED (x1906), successeurs

SCHMID-DUBIED (y1907)

1907 - "Die Firma F. Schmid-Oberdörfer [sic] in Strassburg ist geändert lt. Handelsgerichtlicher Eintragung in Schmid & Dubied (vorm. F. Schmid-Oberdörffer)." Zeitschrift für Instrumentenbau, Paul de Wit, 1907, p. 929 (daten.digitale-sammlungen.de)

"La manufacture de pianos SCHMID-OBERDOERFFER a été créée en 1846 à Strasbourg à l’initiative de Georges Frédéric SCHMID (1815-1904) et de Philippe Jacques OBERDOERFFER (1815-1892). Installée au 22 Grand’Rue, elle a produit des pianos droits sous cette raison sociale, jusqu’en de 1905, puis sous celle de « SCHMID-OBERDOERFFER – SCHMID-DUBIED Succr » et enfin SCHMID-DUBIED jusque dans les années 1930. Cette maison a surtout été tenue, après 1884, par la famille SCHMID en particulier par Frédéric Guillaume (1844-1908) qui assure, avec un cousin, l’affaire de « facture instrumentale » jusqu’en 1905. En 1906, les propriétaires en sont SCHMID-DUBIED qui ouvrent dès 1907 une deuxième enseigne au 3 rue du Vieux-aux-Vins, avec annexe au 9 Quai Desaix, spécialisée dans la vente de musique et d’instruments de musique. Elle a cessé son activité en 1951. Les événements de 1870 ont amené une dispersion de plusieurs membres des deux familles SCHMID et OBERDOERFFER vers Paris et la province (Mâcon, Le Mans)." Jean-Marc Stussi

Successeur :  SCHMID & DUBIED (y1907)

INFO EXTRA

SCHMID-OBERDOERFFER, manufacture de pianos à Strasbourg, par Jean-Marc Stussi

 

Mention honorable Paris, 1889

VAN OVERBERGH Pierre-Jean

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1846

?

 

Pianos droits, pianos à queue, surtout des 'Pianos d'art'

VAN OVERBERGH
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EXPOSITIONS

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Brevet de 1846 : "495° Le brevet d'invention de quinze ans. dont la demande a été déposée, le 6 novembre 1846, au sécrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Vau Overbergh (Pierre-Jean), pour un piano à double table d'harmonie." Bulletin des lois de la République française, 01/1847, p. 459 (gallica.bnf.fr) - et   -   "Van-Overbergh, construisit des pianos avec double table d'harmonie dans le but d'augmenter l'intensité du son, de le rendre plus sonore et plus plein. (B. F. 4517.)" Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

Brevet de 1849 : "328° Le certificat d'addition dont la demande a été déposée, le 27 janvier 1849, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Van Overbergh (Pierre-Jean), à Batignolles-Monceaux, Grande-Rue, 50, et se rattachant au brevet d'invention de quinze ans pris, le 6 novembre 1846, pour un piano à double table d'harmonie; addition consistant en perfectionnements généraux." Bulletin des lois de la République française, 07/1850, p. 68 (gallica.bnf.fr)

"Par Brevet d'invention sans garantie du gouvernement Pianos Van Overberh [sic], droits et obliques, à double table d'harmonie, et remplaçant pour le son les meilleurs pianos à queue. Il faut les voir pour pouvoir s'en rendre compte. - Prix : de 1000 à 1200 fr. A Batignolles. Grande rue, 50." La Presse, 29/12/1846, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"Van Overbergh, facteur de pianos, breveté du roi (sans garantie du gouvern.) seul inventeur des pianos droits à double table d'harmonie, remplaçant par le son les pianos à queue, Grande-Rue, 50, aux Batignolles." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1848, p. 513 (gallica.bnf.fr)

"PIANOS - VAN-OVERBERGH, 9, rue de Choiseul. — Par brevet d'invention et de perfectionnement, PIANOS DROITS A DOUBLE TABLE D'HARMONIE. A la faveur de ce système, on obtient des sons qui, par leur supériorité et leur puissance, remplacent avantageusement ceux des Pianos à queue : leur double construction en fer et en bois présente, d'ailleurs, plus que tout autre mécanisme, des garanties de solidité et de durée. Cette invention, sanctionnée par l'expérience, a obtenu, après un examen approfondi, les suffrages de tous les hommes compétents. Approuvé parle jury de 1849, qui lui a décerné une récompense nationale. - MEDAILLE A L'EXPOSITION." La Sylphide, 10/07/1850, p. 16 (gallica.bnf.fr)

 

Paris

Batig-nolles

176, rue du faubourg Saint-Denis (1840)(¹⁰)(arr.10)

11, rue de Ponthieu (1847)(¹⁰)(arr.8)

50, Grande rue (y1846)(**1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1859), Batignolles (1849, Seine)(arr.17)

16, Impasse Béranger (zz1855) Batignolles-Monceaux

 9, rue de Choiseul (*1851)(***1851)(yy1857)(**1852)(zz1853)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(**1857)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(arr.2)

6, rue de Choiseul (1859)(**1864)(arr.2)

30, Grande rue,  Batignolles (*1859)(x1860)(xx1861)(**1864)(arr.17)

 

'Fabricant de pianos' ca. 1840-64; (*1860)

Il s'est marié le 31/12/1840, paroisse Saint Laurent, avec DUPERCHE Caroline Célestine. Il était menuisier à ce moment.

Et puis le 07/12/1847, paroisse Saint Philippe du Roule, lui, demeurant rue de Ponthieu, n° 11 avec LESAFFRE MASSE Barbe. (¹⁰)

1851 - "MC/ET/LXXVII/656 - 20 novembre 1851 - Obligation, emprunt, 2000f. -
Intervenant 1, en première partie : Nom, qualité : (M.) Van Overbergh, Pierre Jean. Profession : facteur de pianos, Paris. Domicile : Paris (Paris) rue de Choiseul, 9. Intervenant 2, en deuxième partie : Nom, qualité : (M.) Laporte, Louis Eugene. Profession : propriétaire. Domicile : Paris (Paris) rue Christine, 4." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)


(la suite)

"Pianos à double table d'harmonie, de Van Overbergh. Force et suavité de son. Rue Choiseul, 9." Journal des débats politiques et littéraires, 09/11/1851, p. 3 (gallica.bnf.fr)

"VAN-OVERBERG [sic], 9, rue de Choiseul, Paris. - Inventeur breveté (S. G. D. G.) — Pianos à double table d'harmonie. Récompense nationale. 1849." Almanach commercial et illustré de l'Exposition de Londres, 1852, p. 71 (gallica.bnf.fr)

"Pianos à double table d'harmonie par VAN OVERBERG [sic], facteur breveté, rue de Choiseul, 9, admis à l'Exposition universelle de 1855. Ces pianos se recommandent par une solidité à toute épreuve ; la double table d'harmonie leur donne plus de puissance et de sonorité que n'en ont les pianos à queue."  Courrier franco-italien. Journal hebdomadaire non politique, 07/01/1858, p. 1 (gallica.bnf.fr) et L'Éclair : revue hebdomadaire de la littérature, des théâtres et des arts, paraissant tous les samedis, 1853, p. 621 (gallica.bnf.fr)

"VAN-OVERBERG, seul invr. bte des pianos à double table d'harmonie ayant la puissce. des meilleurs pianos à queue, 9, Choiseul. Export. Pianos à double échappement btes de." Gazette des Tribunaux, 28/11/1853, p. 4 (data.decalog.net)

"PIANOS A DOUBLE TABLE D'HARMONIE - Par Van Overbergh, facteur breveté - Admis à l'Exposition universelle de 1855. Rue de Choiseul, 9. Le mérite et toutes les qualités des pianos de Van Overberg sont depuis longtemps appréciés. Une invention nouvelle, la double table d'harmonie, donne à ses pianos droits plus de puissance et de sonorité que n'en ont les incommodes pianos à queue. Ces pianos se recommandent par une solidité à toute épreuve; leur construction en bois et en fer leur permet de résistera toutes les températures. Le public trouve dans les salons de M. Van Overbergh un splendide assortiment de pianos de luxe de tous styles, bois de rose, marqueterie, genre Boule, ornés de bronze, chêne antique sculpté, ébéne et or."L'Abeille impériale : messager des familles : revue du grand monde, des modes et de l'industrie, 1855, p. 7 (gallica.bnf.fr) et L'Ami des sciences : journal du dimanche, Volume 2, 1856, p. 328 et Courrier franco-italien. Journal hebdomadaire non politique, 25/12/1856, p. 160 (gallica.bnf.fr) et Revue franco-italienne : journal hebdomadaire non politique : sciences, industrie, commerce, littérature, beaux-arts, théâtres, 21/02/1856, p. 64 (gallica.bnf.fr)

"PIANOS à double table d'harmonie par VAN OVERBERG, facteur breveté, rue de Choiseul, 9, admis à l'Exposition universelle de 1855. Ces pianos se recommandent par une solidité à toute épreuve ; la double table d'harmonie leur donne plus de puissance et de sonorité que n'en ont les pianos à queue." Courrier franco-italien : journal hebdomadaire non politique, 12/02/1857, p. 4 (gallica.bnf.fr)

 
Mention honorable Paris, 1849 | Official catalog Londres, 1851 | Médaille de 2e classe Paris, 1855

1847   La France compte 120 facteurs.          
BARDIES Joseph

 

 

 

 

1847  

 

Piano droit ca. 1850, Museo degli Strumenti Musicali, Castello Sforzesco, Milan, Italie

PARIS - "M. Bardies, facteur de Paris, a exposé, entre autres, un charmant piano droit qui, malgré sa dimension modérée, possède des sons purs et éclatans." Le travail universel : revue complète des oeuvres de l'art et de l'industrie exposées à Paris en 1855, p. 602 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "M. Bardies, élève de Roller, dont il a fidèlement recueilli la tradition, expose un piano droit de forme élégante, et à cordes obliques. Cet instrument, du plus petit modèle en usage, réunit néanmoins autant, pour ne pas dire mieux, que quelques autres du plus grand format, les conditions requises de sonorité ot de solidité. Le mécanisme en est si simple, que toute réparation devient facile; tout en est juste, bien entendu, savamment calculé. En ce temps où chaque facteur veut avoir son côté distinctif, son idée à lui, son invention, il devient rare de trouver un piano à la fois solide, sonore et simple c'est pourquoi nous mentionnons tout spécialement celui-ci.
Cependant, M. Bardies n'est pas resté stationnaire. Par d'intelligentes recherches, il a donné aux principes de sa fabrication le degré de perfection auquel il aspirait. Non-seulement il a avantageusement modifié ces principes, mais de plus, il a imaginé un nouveau mécanisme applicable aux étouffoirs, qui a pour résultat la prolongation rationnelle des sons et l'indépendance des vibrations. Cette invention fait honneur à son génie inventif. En outre il a heureusement simplifié le mécanisme de la transposition dans les pianos droits, en établissant un rapport direct entre la clef qui opère le mouvement de translation du clavier et les étouffoirs.
Dans l'ancien système, il fallait, avant de la tourner cette clef, lever les préalablement les étouffoirs en pesant sur la pédale; l'oubli de cette formalité pouvait entraîner de graves accidents. Avec le procédé de M. Bardies, cette précaution devient inutile; la clef agit sur toutes les parties de la mécanique, et la dispose au mouvement qu'elle va subir.
M. Bardies expose en outre un piano-table ou bureau qui est une merveille de difficulté vaincue. Ce meuble n'a pas plus de 15 centimètres d'épaisseur; or, dans cet espace étroit tiennent la mécanique et le clavier. Celui-ci est mobile, en forme de tiroir. L'instrument fermé offre toutes les apparences d'un élégant bureau, sur lequel même des casiers pourraient être disposés. M. Halévy possède un meuble de ce genre, construit spécialement pour son usage. Tous les compositeurs voudront avoir le pareil." La France Musicale, 1855, p. 290 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "Bardies (J.), à Paris, Bd Poissonnière, 12. - Pianos." Quinze visites musicales à l'Exposition universelle de 1855, Adrien de La Fage, 1856, p. 210

PARIS - "M. BARDIES. - Nous attendions mieux de M. Bardies, non que les instruments exposés par ce facteur soient mauvais, mais nous espérions mieux, et la médaille de 1° classe, qui lui avait été accordée en 1855, devait faire présager des pianos d'une plus grande valeur musicale que ceux qui figurent dans les galeries du Champ-de-Mars. En 1847, M. Bardies cherchait à obtenir, dans ses instruments, la continuité du son et faisait breveter les moyens qu'il avait imaginés pour parvenir à ce but, et la même année il créait un mécanisme qu'il nommait serrure de transposition." La musique à l'Exposition universelle de 1867, Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant, p. 133-134

 PARIS - "Pianoforti verticali. - [...] indi una firma poco conosciuta, quella di Bardies; il suo mobile regolare di Palessandro senza pretensioni aveva bella e discretamente forte ed eguale voce, sopratutto bellissimi bassi; [...]" Il Pianoforte, guida pratica per costruttori, accordatori, etc., Sievers, 1868, p. 226

Paris 24, rue Chabrol [près de la rue Hautteville] (1840)(y1846)(**1847)(x1847)(*1848) (1849)(arr.10)

ateliers : 28, rue Chabrol (*1851)(**1852)(arr.10)

12, boulevard Poissonnière [ci-devant Chabrol 24] (x1849)(*1851)(¹⁰)(yy1851)(**1852)(**1854)(yy1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(xx1857)(z1857)(xx1858)(*1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(***1863)(yy1864)(arr.9)

81, rue de la Harpe (1851)(¹⁰)(adresse d'habitation)(arr.5)

10, rue de la Fidélité (1863)(arr.10)

6, rue Hauteville (**1864)(***1864)(**1870)(arr.10)

 4, rue de Hauteville (**1864)(*1867)(arr.10)

7, rue de la Tour d'Auvergne (*1875)(**1876)(**1877)(arr.9)

48, rue des Vinaigriers (**1876)(arr.10)

 

'Facteur de pianos' droits 1840-77

'Elève de ROLLER', ou il a été sept ans contre-maître de ROLLER & BLANCHET (°1826).

Marié en 1851 avec Adèle Victoire CHEMIN. (¹⁰)

 Brevet de 1847 : "Bardies, chercha la continuité du son; mais il chercha vainement, car ses moyens pour y parvenir n'offraient rien de nouveau." (BF 6427.) Pontécoulant, 1861 et Catalogue des brevets d'invention, France min. de l'agric, 1847

Brevet de 1847 : "76° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 11 août 1847, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Bardies (Joseph), rue de Chabrol, 'n° 24, pour une serrure de transposition applicable aux pianos transpositeurs." Bulletin des lois de la République française, Volume 2, 1849, p. 294

Brevet de 1864 : "Joseph Bardies, of No. 10, Rue de la Fidelité, Paris, in the Empire of France, Piano Manufacturer, for an invention for —  Certain improvements in the manufacture of pianos." Chronological index of patents applied for and patents granted, 1864, p. 220  -  BARDIES, Joseph. — (Provisional protection only.) — Certain improvements in the manufacture of pianos, so as to prevent the atmosphere having any injurious effect on them, either by damaging the glued joints, or in any way interfering with the tune of the instrument. The patentee surrounds the board of the wrest pins and also that of the hitch pins with iron, and connects the two boards by means of iron bars conveniently fixed by means of screws and bolts. The sounding board is glued on one side only; the other side is fixed by screws, which allows for the swelling which takes place in very damp places." Patents for inventions: abridgments of specifications relating to paints, 1871, p. 437-438

Pour voir le brevet original
voyez le site
INPI
(¹³)

"Spécialité, pianos droits à cordes obliques, genre de MM. Roller et Blanchet, par Bardies, leur ex-contre-maître, rue de Chabrol, 24, près la rue Hauteville." La Presse, 29/12/1846, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"Spécialité, pianos droits à cordes obliques genre MM. Roller et Blanchet, par Bardies, leur ex-contre-maître, rue de Chabrol, 24, près la rue Hauteville." La Presse, 07/01/1847, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"Bardies, fab. de painos droits à cordes obliques. Après avoir dirigé, comme contre-maître, pendant sept ans les ateliers de MM. Roller et Blanchet, M. Bardies garantit les instruments d'une égalité de sons parfaite, locations et réparations, Chabrol, 24, près la rue Hauteville." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1848, p. 513 (gallica.bnf.fr) ; et (x1847)

"Bardies, ancien contre-maître de MM. Roller et Blanchet, fabrique de pianos droits à cordes verticales, obliques et demi-obliques à sons prolongés, et transpositeurs d'un nouveau système, boulev Poissonnière, 12 ateliers. Chabrol. 28." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1852, p. 680-681 (gallica.bnf.fr)

Bardies utilisait aussi 'le système ROLLER', qu'il faisait publicité :

Pub. in 'Le Luth Français', 1856

"Bardies. fab.de pianos droits d'une nouv. forme très-élégante, pianos à cordes, verticales dont la charpente est en fer, construits exprès pour l'exportation, boulev. Poissonnière, 12." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1857, p. 794 (gallica.bnf.fr)

"Bardiès, pianos droits, cordes obliques, pianos transpositeurs,. exportation, médaille 1re classe, en 1855, boulevard Poissonnière, 12." Annuaire spécial des artistes musiciens, 1863, p. 115 (gallica.bnf.fr)

 

Médaille de 1ère classe Paris, 1855 | Liste des exposants Paris, 1867

 

BONNAVENTURE
| BONAVENTURE
1847

 

TÊTES DE FACTURES

 

Caen

Flers

7, rue de l'Oratoire (1892)(**1897)(x1906)(*1909)(*1913)(**1921)(*1922)

2-8, rue Froide (1979)

65, rue des Rosiers (?)

Ateliers : 14, rue de Lengannerie (**1921)

à Caen

Succursale :

9, rue de Paris (**1921)

à Flers

 

'Facteurs de pianos' droits et éditeur de musique ca. 1892-1921 [depuis 1847 (*1912) ou depuis 1889 (x1912)]

BONNAVENTURE & ROOTHAAN (1892), voyez ROOTHAAN (°1900)

1892 - "Caen. —Dissolution. — 1 juil. 92. — Société BONAVENTURE et. ROOTHAAN, facteurs de pianos, 7, Oratoire. — M. Bonaventure continue seul.— 27 juil. 92." Archives commerciales de la France. 28/09/1892, p. 1195 (gallica.bnf.fr)

BONNAVENTURE E. (?)

BONNAVENTURE & Fils (1906)(1907)(x1912)(*1913)

'Musikal.-Hdlg.' (x1906)

'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums, Streichinstr. u. Saiten' (x1912)

BONNAVENTURE Georges (**1921)(*1922)

1935 - En 1935 BONNAVENTURE achète PAGNY. (Archives commerciales de la France, 20/12/1935, p. 5004 (gallica.bnf.fr) )

Ces pianos sont été producés par LEGUERINAIS (°1856)

Repris par F. OLIVIER (*1913)

SOUS-MARQUES

LE PERFECT
LE PARFAIT

 

 
BUCHER Michel

(1812 - 1867)(¹⁰)(¹²)(³¹)

 

 

 

 

 

 

 

 

Paris-adresses : annuaire général de l'industrie et du commerce : corps constitués, administrations, professions libérales, propriétaires, rentiers, etc... de Paris et du département de la Seine, 01/01/1907, p. 1667 (gallica.bnf.fr)

 

 

Pub de 1909

1847

 

 

"Bücher, facteur et accordeur de pianos neufs et d'occasion, échange, location, fait toutes sortes de réparations, rue Richer, 58, Faub .-Montmartre." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1851, p. 655 (gallica.bnf.fr)

"Bücher, spécialité de peanos droits et obliques, export., boul. Bonne Nouvelle,ll; fabrique, Fontaine-au-Roi, 41." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1857, p. 794 (gallica.bnf.fr)

"Das Haus Bucher, Pianoforte-Fabrik, 11 Boulevard Bonne Nouvelle, gehört seit langer Zeit zu den ersten Häusern dieser Branche in Paris. Es empfielt sich turch seine vortrefflichen und prachtvollen Pianos jeder Gattung, die zu den billigsten Preisen und untr Garantie für ihre Solidität und Klangfülle verkauft werden." Frankfurter Journal, 03/03/1859, p. 1

"BUCHER, spécialité de pianos droits et obliques, pianos à queue, commission, exportation, pianos d occasion et location, rue d'HAUTEVILLE, 5; fabrique, Faub.-du-Temple, 99, cour de Bretagne." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1881, p. 1522 (gallica.bnf.fr)

"BUCHER, maison fondée en 1848. GAUSS FRÈRES ET CIE successeurs, commission, exportation, pianos cadre en fer; location, accords, réparation, vente avec facilité de paiement, pianos d'occasion. MAGASINS : 31, FAUB. POISSONNIÈRE, 31. FABRIQUE : 142, rue de Ménilmontant, 142. Téléph. 297.34." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1907, p. 2493 (gallica.bnf.fr)

BAYONNE - "Bucher (Michel), Paris, 5, r. Hauteville. Méd. br. 98. Pianos." Exposition Internationale Franco-Espagnole sous le patronage de l'Empereur ..., 1864, p. 139

PARIS - "Les pianos droits exposés par M. Bucher sont de bons instruments, mais ils ne sortent pas de la ligne ordinaire; ils sont cependant bien construits, ils sont doués d'une sonorité un peu faible; néanmoins ces instruments se distinguent par une grande égalité et un clavier facile." La musique à l'Exposition universelle de 1867, Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant, p. 158

PARIS - "Boucher [sic] Gauss, faubourg Poissonnière 31, Paris. - shows a large sized upright in plain reddish colored wood, with a dull polish that suits the instrument much better than a lustrous surface would have done." The Music Trade Review, 1889, p. 78

PARIS - "56. GAUSS (Charles), Successeur de la maison Boucher [sic], à Paris, rue du Faubourg-Poissonnière, 31. — Pianos." Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, p. 4 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "55. Gauss (Charles), à Paris, rue du Faubourg-Poissonnière, 31 . — Trois pianos droits. Ancienne Maison Bûcher." Catalogue général officiel. Tome troisième, Groupe III : instruments et procédés généraux des lettres, des sciences et des arts : classes 11 à 18, 1900, p. 519 (archive.org)

"MANUFACTURE DE PIANO - CE n'est point nous qu'on surprendra jamais à médire et à nous plaindre du présent, à regretter et à exalter un passé en désaccord avec nos mœurs et nos habitudes.
Que de plaintes stériles sur la disparition progressive de 1 immense piano à queue, où les cordes, disent avec raison ses fidèles amateurs, s'étalaient largement à leur aise, où le mécanisme avait ses franches coudées, où les ondes sonores se développaient largement dans de vastes espaces, et combien d'autres plaintes n'a-t-on pas formulées sur le piano droit, si étriqué, où l'on ne peut, dans une insuffisante capacité, installer des cordes d'une médiocre longueur qu'à l'aide de multiples artifices, etc., etc., etc !  (la suite )

 

Paris

 

50, rue de Picpus (1844)(¹⁰)(arr.12)

usine : Faubourg du Temple (1848) (¹)(arr.10)

58, rue Richer (1849)(*1850)(*1851)(arr.9)

 32, rue Chabrol (**1854)(z1855)(arr.10)

Ateliers : 41, rue de la Fontaine au Roi (yy1851)(**1854)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(**1864)(arr.11)

11, boulevard Bonne-Nouvelle (**1852)(**1854)(xxxx1855)(yyy1855)(z1855)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(***1863)(yy1864)(arr.2)

5, rue d'Hauteville (**1864)(zzz1864)(*1867)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(1882)(**1883)(**1884)(**1885)(arr.10)

Fabrique : 99, rue du faubourg du Temple, cour de Bretagne (**1870)(**1873)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(x1890)(*1898)(**1898)(arr.10)

18, boulevard Malesherbes (**1885)(**1886)(arr.8)

Magasin : 31, rue du faubourg Poissonnière, à l'entresol (**1885)(**1886)(**1888)(xx1889)(x1890)(xx1890)(*1893)(xx1894)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)(**1898)(***1900)(*1902)(*1903)(**1904)(*1905)(*1906)(x1906)(**1907)(x1907)(*1909)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(x1922)(*1929)(arr.9)

Fabrique : 142, rue de Ménilmontant (*1902)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(**1907)(*1909)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.20)

 

 

'Fabricant de pianos' droits et pianos à queue ca. 1844-1929 [depuis 1848 (xx1890)(x1906)(x1907)(x1912)]

'Ouvrier en pianos' (1848)

'Accordeur de pianos' (***1863)

1848 - "BB/11/561, Dossier n°8085 X4 - BUCHER, Michel. Né(e) le 30 septembre 1812 à Oeffingen (Wurtemberg). Qualité : ouvrier en pianos. Objet : naturalisation. Ouverture du dossier : 07 juin 1848." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹) - (¹²)

Mariage en 1844 : HEMET Alexandrine Louise Eugénie (¹⁰)

BUCHER Michel (1855)(1864)(*1867)

"Bücher, fabricant, pianos droits et obliques, exportation, boulevard Bonne-Nouvelle, 11." Annuaire spécial des artistes musiciens, 1863, p. 116 (gallica.bnf.fr)

GAUSS Charles, successeur de BUCHER (°1847) en 1867.

1882 - "Constitutions de sociétés du 15 juillet au 15 septembre 1882 [...] 911. 19 août. Bücher et Gauss, pianos, 5, rue Hauteville (A. P. 23 août)." Journal des sociétés civiles et commerciales, 11/1882, p. 118 (gallica.bnf.fr) 

BUCHER & GAUSS (1882)(**1883)(**1884)(x1884)(**1885)(**1886)(**1888)(xx1890)

'Pianofabrikant' (xx1890)

1893 - "Décrets de naturalisation de l’année 1893 - GAUSS, Charles Albert. Naissance : 7 décembre 1839, Cannstatt, Wurtemberg. Profession : facteur de pianos. Résidence : Paris, Seine, France." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

GAUSS [Charles], gendre et successeur (anc. BUCHER)(1889)(x1890)(*1898)(**1904)(x1906)

1906-12 - Propriétaires : GAUSS Senior, Albert & Emil GAUSS (x1906) (x1912), 'Piano-Fabrik'

GAUSS Frères & Cie (**1907)(x1907)(*1909)(**1911)(**1912)(x1912)(**1914), successeur de leur père.

'Piano-Fabrik' & 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912)

GAUSS Frères (yy1914)

GAUSS Albert, gendre et successeur - Manufacture de pianos et pianos pneumatiques; (*1913)(1914)(**1921)(x1922) :

1914 - "Vendeur : Gauss frères - Acquéreur : Gauss (Albert) - Domicile élu pour des oppositions : au fonds - Entrée en jouissance : 1 juil. - Désignation des fonds vendus : Pianos, 31, Orfèvre." Archives commerciales de la France. 25/02/1914, p. 264 (gallica.bnf.fr)


(la suite)

Nous faisons grâce à nos lecteurs des banales critiques du piano droit, qui a, du reste, un argument décisif en sa faveur : l'inéluctable nécessité, l'impossibilité d'installer d'autres instruments dans nos salons exigus. Mais tandis que des amateurs pessimistes s'acharnaient à la critique inutile des conditions faites à l'art par les habitudes de la vie moderne, des facteurs plus intelligents et plus pratiques, comprenant que les récriminations contre des faits au-dessus de toutes les volontés ne sauraient conduire à aucune espèce de résultat, se sont attachés à tirer tout le parti possible de la situation qui leur était faite, et les obstacles ont eu pour eux les résultats qu'ils ont toujours avec les hommes énergiques, ils sont, devenus pour eux une occasion de triomphe, ils leur ont fourni le moyen d'accomplir des miracles. Voyez les bons pianos américains, voyez les pianos des grandes maisons françaises qui ont le mieux soutenu la concurrence américaine, voyez la maison Bûcher et Gauss (ancienne maison Bûcher), et que l'on dise si les pianos à cordes croisées, avec cadre en fer, tels que les construit cette maison, ne réalisent pas toute la solidité, toute la sonorité qu'il est possible de demander à un instrument. MM. Bûcher et Gauss nous semblent même avoir réalisé une condition plus difficile encore que d'obtenir dans des pianos droits l'ampleur des sons des pianos à queue, ces grandes harpes horizontales, ils ont donné aux sons de leurs pianos droits une tenue qui semble à peine conciliable avec le mode de production du son dans le piano quel qu'il soit. Tout ceci (qu'on veuille bien nous comprendre), n'est pas une attaque directe ni indirecte contre le piano à queue, mais la simple constatation de ce lait que les grands facteurs, que MM. Bûcher et Gauss ont triomphé, d'une façon aussi heureuse qu'inattendue, des difficultés très grandes que leur présentaient les pianos droits, de l'exiguïté relative des cordes, de la condensation du mécanisme, etc. Il ne faut rien exagérer, et quand on va répétant partout que le piano à queue est une espèce disparue au même titre que le mammouth ou l'ours des cavernes, on commet une exagération certaine. Non, le piano à queue n'est pas mort; mais fût-il décédé, nous aurions maintenant quelque hésitation à le pleurer. Il nous a été donné, ces jours derniers, de tapoter sur les touches (notre talent d'artiste ne va pas plus loin) de pianos sortis des ateliers de MM. Bucher et Gauss (99, rue du Faubourg-du-Temple) et exposés dans leur maison de vente de la rue du Faubourg-Poissonnière, 31 ; nous avons retrouvé et essayé d'autres spécimens du même type dans la succursale que la même maison possède boulevard Malesherbes, 18, et nous croyons, après expérience, qu'il faut être bien pessimiste, bien prévenu ou bien superstitieux pour rien regretter du passé, pour prétendre que l'exécution musicale, faisant exception à la loi générale du progrès, a perdu quoi que ce soit.
Ce qui nous a plus particulièrement intéressé, dans la production de la maison Bûcher et Gauss, ce sont, parmi ses pianos droits, ses pianos à cordes croisées.
Et pourquoi, sera-t-on tenté de nous demander, pourquoi cette prétërence? Parce que le piano à cordes croisées de MM. Bûcher et Gauss a pour nous le mérite de résoudre d'une façon tout à fait heureuse une très grosse difficulté; c'est que ces éminents facteurs ont eu l'habileté vraiment singulière de donner à un instrument d'une extrême condensation une sonorité égale à celle de ces enconbrantes machines qu'on appelle des pianos à queue; c'est qu'ils sont arrivés à y réaliser cette tenue du son qu'on avait si longtemps et si vainement demandée aux pianos; c'est, pour nous résumer d'un mot, qu'ils ont su se plier aux exigences de la vie actuelle, et que tout en subissant ces réductions de volumes qu'imposait l'exiguïté des salons modernes, ils ont su nous éviter un sacrifice que d'autres avaient cru inévitable : ils ont donné à leurs pianos des proportions discrètes, mais ils leur ont laissé et ils ont accru l'amplitude de leur sonorité. A.C." Le Panthéon de l'industrie : journal hebdomadaire illustré, 1884, p. 226 (gallica.bnf.fr)

Liste des exposants Paris, 1849 | Liste des exposants Paris, 1855 | Méd. Nantes, 1861 | Liste des exposants Bayonne, 1864 | Liste des exposants Paris, 1867 | Médaille de bronze Paris, 1889 | Médaille d'argent Paris, 1900

GAVEAU Gabriel Joseph

(1824 - 1899)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1847

 

 

Piano droit modèle n° 1, n° 10725, Museu de la Música, Barcelona, Espagne
Piano droit fin 19ème siècle, Abbaye Notre-Dame, Celles-sur-Belle, Poitou-Charentes, France
Piano droit fin 19ème siècle, Centraal Museum, Utrecht, Pays Bas

Piano droit ca. 1903, MIM, Bruxelles, Belgique

GAVEAU
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EXPOSITIONS

LA FAMILLE GAVEAU
ARTICLES

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NÉCROLOGIE

1896 - "Des obsèques [...] De Mme Gaveau. femme du facteur de pianos, décédée à Nogent-sur-Marne, à l'âge de 66 ans" Le Figaro, 05/08/1896, p. 2 (gallica.bnf.fr)

1899 - "C'est avec un vif regret que nous apprenons, à la dernière heure, la mort de M. Joseph-Gabriel Gaveau, fondateur d'une des maisons les plus justement estimées de la facture de pianos, à laquelle il avait su donner une importance artistique et commerciale considérable, et qui est aujourd'hui dirigée par ses fils, qui lui conservent le bon renom depuis longtemps acquis par son créateur. M. Gaveau est mort vendredi dernier, à l'âge da 74 ans." Le Ménestrel, 05/05/1899, p. 80 (gallica.bnf.fr)

1899 - "Le 3 mars est mort, à Paris, à l'âge de 75 ans, M. Joseph-Gabriel Gaveau, fondateur de la célèbre manufacture de pianos aujourd'hui dirigée par ses fils. Parti d'une situation modeste, simple ouvrier pianiste, en 1846, M. Gaveau était, grâce à sa persévérance et à son esprit d'ordre, arrivé à créer une maison qui ne tarda pas à devenir l'une des premières de France, tant par l'importance de sa fabrication que par la qualité des instruments. Il apporta notamment d'importants perfectionnements à l'échappement el à la confection des armatures du sommier. Travailleur acharné, M. Gaveau était d'une grande loyauté en affaires est avait su s'attirer l'estime de tous ceux qui l'approchèrent. Ses obsèques ont été célébrées à l'église St-Ambroise. Nous adressons à sa famille nombreuse (il laisse 7 enfants et 10 petits-enfants), l'expression de notre condoléance bien sincère." Revue Musicale Sainte-Cécile, 17/03/1899, p. 88 (gallica.bnf.fr)

DOCUMENTS

Beaux documents sur GAVEAU et un des six fils Gabriel GAVEAU chez Pianos ESTHER.

Fabrique de pianos

Magasin de pianos

1858 - "Un violent incendie a éclaté la nuit dernière, à deux heures du matin, dans les vastes ateliers d'une fabrique de pianos, situés au fond d'une cour de la maison n° 14 [24?], rue des Amandiers, et formés par un bâtiment da construction légère comprenant seulement un rez-de-chaussée. Le feu s'est rapidement propagé, et lorsque les secours ont commencé à être organisés, il embrasait 20 mètres de la façade et menaçait d'envahir les bâtimens
voisins, qui tous servent d'ateliers et ne sont pas plus solident établis.
Mais, grâce à l'activité déployée par les sapeurs-pompiers, secondés par les sergens de ville et les habitans du voisinage, le feu a été circonscrit. On a préservé de ses atteintes les bâtimens mitoyens; mais l'atelier et les bois, les outils, les pianos, qu'il contenait en grande quantité, ont été la proie des flammes. Une enquête a été ouverte par le commissaire pour rechercher la cause, encore ignorée, de ce sinistre." La Presse, 13/05/1858, p. 2 (gallica.bnf.fr)

 

Paris Fabrique : 24, rue des Amandiers Popincourt (xx1856)(arr.20)

34, rue faubourg du Temple (1850)(¹⁰)(*1851)(**1852)(arr.11)

53, rue des Vinaigriers (1847)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(x1862)(***1863)(**1864)(yy1864)(arr.10)

 52, rue Beaubourg (après 1850)(¹⁰)(arr.3)

10, rue Taitbout (yy1851)(**1854)(yy1855)(z1855) (**1856)(xx1856)(xx1857)(arr.9)

Magasins : 14, boulevard Montmartre (*1867)(**1870)(**1871)(**1873)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(***1885)(arr.9)

14, boulevard Poissonnière (1872)(arr.9)

Fabrique : rue Servant-Prolongée (**1870)

Usine et bureaux : 47, rue Servan (**1871)(**1873)(1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(yyy1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(*1895)(1896)(*1897)(arr.11)

Usine et bureaux : 47-49, rue Servan (1885)(x1890)(xx1890)(*1894)(*1896)(*1897)(arr.11)

45-47, rue Servan (*1909)(arr.11)

[32]-34, rue Blanche - dès 1898 (1900)(*1903)(1905)(arr.9)

(Fabrique)

76-78, rue Marcel et Jacques Gaucher

68, rue Castel (**1911)(**1912)(x1912)

à Fontenay-sous-Bois

SUCCURSALES :

8, boulevard Montmarte (**1886)(**1888)(xx1890)(*1893)(arr.9)

10, rue de l'Odéon (*1893)(arr.6)

à Paris

 

400 ouvriers en 1896 et 1800 pianos par an

350 ouvriers et 2000 pianos par an vers 1898

95.000 (vers 1939)

 

 

'Fabricant de pianos' (1850)(¹⁰)

'Facteur et accordeur de pianos' (*1851)(**1852)

'Pianos accordéons' (**1854)

'Facteurs de pianos' droits et des pianos à queue ca. 1850-1912;  (*1859)

Époux de NEIGEON. (1850)(¹⁰)

En 1847, Joseph GAVEAU crée les étouffoirs à lames en remplacement de ceux à baïonnettes.

Un de ses fils, "Gaveau, fabricant de pianos, rue des Vinaigriers, n. 53 est marié avec Mlle Courtin, sans prof., même maison." L'Indicateur des mariages de Paris, 25/05/1862, p. 3 (gallica.bnf.fr) et La Presse, 30/05/1862, p. 3 (gallica.bnf.fr)

"S’il est un nom très connu du public, c’est certainement celui de Joseph Gabriel Gaveau, né à Romorantin en 1824. Il n’a pas non plus accumulé les brevets d’inventions, pourtant il a introduit bien des modifications à la construction du piano et donné son nom à une mécanique adoptée par beaucoup de facteurs français et étrangers, connue sous le nom de mécanique Gaveau. Il est aussi l’auteur d’une transformation de la mécanique de piano à queue d’Érard, à laquelle il applique le ressort à boudin et d’un système de piano démontable en cinq parties. M. Gaveau a tenté d’obtenir l’amplification du son par réflexion, en plaçant une glace à quelques millimètres de la table d’harmonie; l’expérience nous fixera sur la valeur de cette innovation présentée à l’exposition de 1889. En attendant, elle témoigne du souci et des soins que ce facteur apporte à sa fabrication. Depuis peu, M. Gaveau s’est adjoint ses six fils qu’il a placé à la tête des différents services de son usine." Les facteurs d'instruments de musique : les luthiers et la facture instrumentale : précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893

"GAVEAU (Jos.-Gab.), né à Romorantin en 1824, fonde sa maison en 1847; il n'accumule pas les brevets, mais pourtant apporte différentes modifications dans la construction, et donne son nom à une mécanique adoptée par divers facteurs. Il tente d'obtenir l'amplification du son par réflexion, en plaçant une glace à quelques millimétrés de la table d'harmonie (1889). Il s'adjoint ses six fils, qu'il place à la téte de différents services de son usine. Depuis vingt-cinq ans, M. Etienne GAVEAU dirige la maison de la rue de la Boétié. Plus de 70.000 pianos furent fabriqués depuis la fondation de cette maison. M. Gabriel GAVEAU, frère du précédent, continue de son côté la fabrication ses instruments sont des plus remarquables au point de vue de la sonorité; quelques artistes désireraient un clavier plus léger; c'est là une modification relativement facile à faire. Gabriel GAVEAU, aidé de Marcel Tounier, exploite un appareil appelé le canto, rappelant le pianor. Le canto offre l'avantage de pouvoir s'adapter sans aucune modification à tous les pianos. Il permet d'obtenir la prolongation du son. Un courant électrique ordinaire, atteroatif ou continu, suffit à l'actionner." Encyclopédie de la musique et dictionnaire du conservatoire, 1927, p. 2078 (gallica.bnf.fr)   -  Voyez Gabriel GAVEAU (°1911)

GAVEAU J. G. (1855)(***1885)(x1890))

1862 - Ouvriers de l' "Atelier de M. Gaveau. MM. Vigé, Georges Siegrist, Hutinet, Josset, Terris, Lamar, Dutarte, Coutillac, Lafontaine." Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862, p. 54 (gallica.bnf.fr)

GAVEAU O. [??] (xx1890), 'Pianofabrikant'

Joseph Gabriel GAVEAU, le père, a été nommé en 1866 avec le titre Officier de la Légion d'honneur. (¹⁸)

GAVEAU Joseph Gabriel  (1883)

1893 - "Paris. — Formation. — Société en nom collectif GAVEAU frères, facteurs de pianos 47 et 49, Servan, —18 ans. du 1 avril 93. — 1,000,000 de fr. — 10 mai 93. — D." Archives commerciales de la France. 10/06/1893, p. 698 (gallica.bnf.fr)

GAVEAU Frères [mais aussi mentionné comme GAVEAU A.] (*1893)(**1911)(**1912) -> Voyez la suite sur les Frères GAVEAU sur  la date de 1893

Brevet de 1858 : perfectionnements dans la construction des mécaniques de pianos - Br.Fr. n° 38159

Brevet de 1871 : Appropriation de la mécanique des pianos à cordes verticales aux pianos à cordes horizontales - Br.Fr. n°92234

Brevet de 1880 : " 137,011. Brevet de quinze ans, 2 juin 1880; Gaveau, représenté par Armengaud ainé, à Paris, rue Saint-Sébastien, n° 45. Perfectionnements apportés aux pianos." Bulletin des lois de la République française, 01/1881, p. 230 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1883 : Perfectionnements apportés aux barrages des pianos - Br.Fr. n°155637

"Gaveau, fabrique de pianos avec contre-tirage en fer, résistant à toutes les températures et tenant parfaitement l'accord, pianos spéciaux pour l'exportation, Taitbout 10, fabr. rue des Amandiers-Popincourt 24." Almanach-Bottin du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales villes du monde, 1856, Paris, p. 1015 (gallica.bnf.fr)

Quelqu'un avec le nom GAVAU ou GAVEAU, 'facteur et accordeur de pianos' était établi 34, rue du faubourg du Temple. (1850)(¹⁰)(**1852)(arr.11)

LA SUITE

La suite d'histoire GAVEAU voyez 1893, avec la retraite de Joseph GAVEAU


sur GAVEAU

'La maison Gaveau, Manufacture de pianos 1847-1971', René Beaupain, 2009

SITE FAMILLE GAVEAU

  L'histoire de la famille GAVEAU

VOIR AUSSI ...

...  un E. GAVEAU vers 1860, mais c'était qui ? C'est Edme ? Et un autre avec le nom GAVAU.

INFO EXTRA

La Maison Gaveau sur archives.fontenay-sous-bois.fr

 

Médaille de bronze Paris, 1855 |  Médaille d'argent Troyes, 1860 | Médaille d'argent Toulouse, 1866 | Médaille d'argent Paris,, 1867 | Liste des exposants, Lyon, 1872 | Médaille d'or pour un système de barrage équilibré dans les pianos droits, Paris, 1878 | Diplôme d'honneur Amsterdam, 1883 | Liste des exposants Nice, 1884 |   Diplôme d'honneur Anvers, 1885 | Médaille d'or Paris, 1889 | Hors concours Lyon, 1893 | Liste des exposants Chicago, 1893 | Liste des exposants Anvers, 1894 | Hors  concours Amsterdam, 1895 | Liste des exposants Rouen, 1896 | Liste des exposants Paris, 1896 | Hors concours Paris, 1900 | Exposition internationale des Arts Décoratifs et Industriels Modernes, Paris, Grand Prix, 1925

   

 

MAZIÈRES
| MAZIERES
1847

CARTE POSTALE

Angoulème 60, rue de beaulieu (*1875)

rue d'Iéna (*1876)

1, rue de Jena (xx1890)

24, rue Friedland (x1906)(x1912)(*1913)

9, Place du Murier (*1921)

 

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1875-1921

MAZIERES (*1875)(*1876)(xx1890)

'Musikal.- u. Pianohandlung' (xx1890)

MAZIERES & DE FONTAUBERT [H.] (*1893)(*1895)(*1896)(x1906)(x1912)

HURY Auguste, successeur dès 1901 : (Archives commerciales de la France, 11/09/1901, p. 1154 (gallica.bnf.fr)); (x1906)

'Musikal.-, Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912)

HURY Gaston (*1929)

Il y a aussi un HURY Louis (inventeur fabricant belge) à Paris avec un magasin de pianos, vers le fin du 19ème siècle.

 

 
 

LE BOULCH

 

 

 

1847 Caen rue Ste Adlaide (18??)

4, 7, 8, rue de l'Oratoire (*1929)

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos droits et éditeur de musique ca. 1847-1929

LE BOULCH G. (*1929), probablement successeur d'un autre facteur/marchand.

VOIR AUSSI ...

... un autre LE BOULCH (°1810) à Versailles.

 

 
 LÉTÉ Dominique-Joseph

(1804 - 1871)

 

 

 

 

1847

 

 

 

"LÉTÉ, (M. 0.) exposition de Nantes 1861, (M. vermeil) Angers 1864, manufacture de pianos, vente, accord et réparation, r. Crébillon, 15, au coin de celle Santeuil, atelier r. d'Erlon. 2."  Almanach des 40,000 adresses des fabricants de Paris et du département : contenant les noms et domiciles des principaux fabricants, 1873, p. 523-524 (gallica.bnf.fr)

PUB

Didion L. Nantes, dans  Gazette Artistique de Nantes 30-09-1886

L'Union Agricole et maritime, 03/07/1892, p. 8

TÊTES DE FACTURES

Facture de l'ÉTÉ de 1865

Facture de DIDION à Nantes, fin 19ème siècle

 

Mirecourt

Nantes

?

à Mirecourt

rue Crébillon (xx1842)(xx1843)

6, passage la Ponneraye (xx1845)(*1848)(yy1849)(*1850)

8, rue Crebillon (xx1845)(*1848)(yy1849)(*1850)

16 [?], rue Crebillon (**1862)

15, rue Crebillon (y1853)(xx1854)(yyy1855)(y1856)(xx1857)(xx1858)(xx1859)(xx1861)(y1864)(F1865)(x1873)(*1875)(*1876)(1894)(**1895)(*1913)(*1922)

atelier : 2, rue d'Erlon (F1865)(x1873)

19, avenue de Rennes (**1925)

à Nantes

Fabrique : 2, rue d'Erlon (xx1892)(1894)

Nouvelle usine : Avenue Joncourt, (fevr. 1924),

à Nantes - Chatenay

   

'Facteur de pianos' droits et orgues ca. 1842-1924

LÉTÉ-MOITESSIER (avant 1826), à Mirécourt. Voir MOITESSIER (°1830)

"Né en 1804 à Mirecourt, Dominique Joseph Lété se destine à la lutherie. Après un passage chez Gand à Paris, il est à Nantes à partir de 1825 où il exerce comme luthier (1825-1831), puis marchand de musique au 15 rue Crébillon. A partir de 1847, il se met à la facture de pianos qu’il vend sous son nom. Il n’est pas établi que son atelier de facture de pianos se trouvait également à la rue Crébillon, siège de son magasin er de sa résidence. Les premiers pianos connus de lui rappellent, avec le couvercle de clavier en double cylindre, ceux d’Erard et de Pleyel. Dominique Joseph Lété est décédé le 24 mai 1871 à Nantes, sans descendance bien qu’ayant été marié. Son affaire est continuée par son neveu par alliance Louis Didion-Robina. Sa production peut être estimée à environ 1400 instruments entre 1847 et 1871, dont environ 60 dès 1850." J.M. Stussi, communication personnelle.

Liste des sociétaires de l'Association des artistes musiciens, vers 1850-53 et 1856.

LETE Père (1865), 'Facteur de pianos'

LETE Dominique-Joseph (1870)

M. Louis DIDION, son neveu et  successeur depuis 1871, fut plus ambitieux. Le facteur exposa des pianos droits à cordes obliques, établis pour résister aux influences atmosphérique du voisinage de la mer. La majeure partie des pièces ayant servi à la fabrication de ces instruments était de provenances parisienne : LETE-DIDION.

LETE-DIDION, dès 1871 Didion neveu et successeur.

1886 - "Didion. — Nom d'un fabricant de pianos à Nantes, lauréat de l'Exposition universelle de 1878, hors concours - nombreuses médailles aux expositions régionales de Bretagne depuis 1861." Répertoire général de bio-bibliographie bretonne, par René Kerviler, 1886-1908, p. 168-169 (gallica.bnf.fr)

VUILLEMIN-DIDION Ch., Succ. (*1913), voyez VUILLEMIN.

Médaille de l'Exposition Nationale de Nantes, 1861

PARIS - "Comme objets de mode et comme instruments se distinguant par des qualités artistiques, M. Lété, de Nantes, a envoyé du chef-lieu de la Loire Inférieure deux pianos droits, l'un en acajou, à cordes droites, et l'autre en palissandre, à cordes demi-obliques. Ces instruments se font remarquer par une élégance et un bon goût joints à un excellent mécanisme, principalement celui à cordes demi-obliques, dont le son a tout autant de puissance qu'un bon piano demi-queue. Ces deux instruments sont construits dans des conditions de solidité à pouvoir supporter toute espèce de température. L'ingénieux industriel a aussi ajouté derrière l'instrument, qui d'ordinaire est négligé par la plupart des facteurs, un châssis mobile, divisé en deux parties et imitant le devant d'une bibliothèque, ce qui rend ce côté du piano agréable à l'œil. Les amateurs de bons et précieux pianos doivent donc des encouragements à la consciencieuse fabrication de M. Lété, et son succès ne peut être douteux." Expo 1849, Revue et gazette musicale de Paris, Volume 16, 1849

Image d'un piano droit exposé sur l'exposition de Nantes en 1861

"M. Lété, de Nantes, fabrique des pianos droits qui ne craignent aucune comparaison et semble défier toute concurrence. Les divers instruments qu'il avait à l'Exposition ont été considérés comme des chefs-d'oeuvre, et tous les musiciens les ont appréciés à l'égal des meilleurs produits des grands facteurs de Paris. Homme de goût en même temps qu'habile artiste, M. Lété sait donner à ses pianos une enveloppe élégante et splendide, ainsi qu'on peut juger par la gravure placée plus haut." Exposition de l'Industrie à Nantes, 1861, p. 146

CARTE POSTALE

Magasin de pianos Vuillemin-Didion, 15, rue Crébillon, Nantes 1924

EXTRA INFO

Un siècle de facture de pianos à Nantes, par Jean-Marc STUSSI

 

List des exposants Paris, 1849 | Médaille d'or Nantes, 1861 | Médaille de Vermeil Angers, 1864 | Médailles d'or Angers et Nantes, 1878 | Médaille d’argent Paris, 1878 |  Diplôme d'honneur, 1882 | Diplôme d'honneur Niort, 1882 | Hors concours Vannes 1883 | Hors concours Nantes, 1886 | Hors concours Paris, 1889 | Hors concours Nantes, 1892

FRANCHE Charles Louis

 

 

1848  

 

 

FRANCHE
sur ce site

EXPOSITIONS

BREVETS
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Paris quai du Marché Neuf (1847)(¹⁰)(arr.4)

29, rue du faubourg Saint-Martin (x1847)(*1848)(arr.10)

[16 et] 18, rue du Bac (*1849)(x1849)(arr.7)

48, rue de l'Université (*1851)(arr.7)

25, rue du Bac (*1850)(*1851)(**1852)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(xx1868)(arr.7)

42, rue de l'Université, au coin de la rue du Bac (*1850)(yy1851)(**1852)(**1854) (xxxx1855)(z1855)(**1856)(**1857)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861) (**1864)(*1867)(xx1868)(**1870)(**1871)(arr.7)

40, rue de l'Université, au coin de la rue du Bac  (**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(*1889)(xx1890)(arr.7)

 

 

'Facteur de pianos' droits et pianos à queue, 'Pianos à répétition et pianos transpositeurs' ca. 1847-89

Époux de LAUBIER Joséphine Julie (1847)(¹⁰)

FRANCHE F. (*1875)(*1876)

FRANCHE C. (**1871)(**1873)(**1876)(**1877)(**1885)(xx1890)

'Pianofabrikant' (xx1890)

Repris par DANTI L. en 1889

'Pianofabrikant' (xx1890)

Membre d' ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris (°1849)

TÊTE D'UNE FACTURE

Médaille de bronze Paris, 1849 | Société des Sciences 1851 | P.M. exposition universelle 1852 | Prize medal Londres, 1851 | Médaille d'or, soc. des Sciences bordeaux, 1852 |  Médaille 2e classe, Paris 1855 | Médaille d'argent acd. Nat., 1857 | Liste des exposants Londres, 1862 |  Médaille de bronze Paris, 1867 | Liste des exposants Le Havre, 1868 | Mention honorable Paris, 1878 | Médaille de bronze Paris, 1889

GERVEX Alexandre-Auguste

(1819 - ?)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pub 1903

 

 

Pub 1909

 

1848

 

 

'Spécialité de pianos demi-obliques'

SOUS-MARQUE

'BERTINI' était une sous-marque de Félix GERVEX, dès 1899 (²¹).

Sous-marque de GERVEX dès 1899 (²¹)

PARIS - "60. GERVEX (Félix L.), à Paris, rue des Poissonniers, 23. — Pianos droits." Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, p. 5 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "Mons. Gervex, Paris. -The two uprights shown by this maker arrest attention by the fact that they are almost, if not quite, the only pianos in the section made in the old style; that is with the shallow key boards and high backs, and the streight legs from the front edge of the instrument that were in vogue about a decade ago, but which style is now so rarely met with. They are well made and very neat and compact. The action ans tone of both are good." The Music Trade Review, 1889, p. 78

 

Paris

Levallois-Perret

54, rue Montmartre (**1849)(arr.2)

51, rue de la Grande Truanderie (1852)(¹⁰)(arr.1)

114, rue du faubourg Poissonnière (xxxx1855)(z1855)(xx1856)(arr.9)

4, rue Montholon (***1856)(xx1857)(arr.9)

22, rue Buffault (xx1858)(xx1859)(1881)(arr.9)

49, rue des Poissonniers [Montmartre] (*1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(arr.18)

169, rue du faubourg Poissonnière (?)(arr.9)

FABRIQUE : 23, rue de Poissonniers, Montmartre (**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(yyy1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(xx1889)(x1890)(xx1890)(xx1894)(*1895)(*1896)(arr.18)

MAGASIN : 34, rue Richer (**1888)(xx1890)(*1893)(*1896)(*1897)(*1902)(*1903)(**1904)(x1906)(*1907)(**1907)(*1909)(*1910)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(*1922)(x1922)(arr.9)

à Paris

16, rue Barbès (*1897)

à Levallois-Perret

 

'Facteur de pianos' ca. 1849-1922 [depuis 1850 (xx1890)(x1906)(x1912)]

"C’est de 1850 que date la maison fondée par GERVEX père auquel son fils Félix a succédé. Il a obtenu une médaille de bronze en 1878 pour ses pianos droits et un système de pédales à ressort en bois, et une médaille d’argent en 1889. Périodiquement M. Gervex fait une loterie entre ses locataires de pianos et le gagnant reçoit un instrument de son choix." Les facteurs d'instruments de musique : les luthiers et la facture instrumentale : précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893

"GERVEX dont la maison fut fondée en 1850, a l'idée de faire périodiquement une loterie entre ses locataires de pianos, le gagnant ayant droit à un instrument de son choix." Encyclopédie de la musique et dictionnaire du conservatoire, 1927, p. 2079 (gallica.bnf.fr)

Membre d' ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris (°1849)

"Félix Nicolas GERVEX, facteur de piano." - Époux de Joséphine Peltier.

BUCH & GERVEX (xxxx1855)(z1855)(xx1856), BUCH Jean Pierre fonda sa maison vers 1836 [probalement en succedant qq'un] et a associé avec GERVEX vers 1848. Voir BUCH (°1836)

1864 - "MC/ET/CVI/952 - 2 février 1864 - Obligation d'une somme de 8 000 francs par Félix Nicolas Gervex, facteur de pianos, 49, rue des Poissonniers, au profit de Pierre Nicolas Lavocat, propriétaire, 19, rue des Grands-Augustins." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

GERVEX & Fils dès 1874 jusqu'à au moins (yyy1878).

1874 - "Formations. — Gervex et fils, pianos, r. des Poissonniers, 23. (Acte Me Tougard, not., 7 avril)." Journal officiel de la République française, 15/05/1874, p. 3290 (gallica.bnf.fr)

GERVEX Felix (xx1857)(*1859)(**1864)(**1871)(**1873)(*1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(1883)

GERVEX Félix L. (1889)(xx1890)(x1906)(x1912)

'Pianofabrikant' (xx1890)

Le peintre Henri (Alexandre) GERVEX (1852-1929), était le fils de Joséphine Peltier et Félix Nicolas Gervex.

'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912)

GERVEX Vve. (*1913)

"La première scie fut présentée à Paris par la maison de pianos Gervex (de la rue Richer); c'est déjà cette vieille maison, fondée en 1850, qui a eu l'idée de faire périodiquement une loterie entre ses locataires de pianos, le gagnant ayant droit à un instrument de choix. C'est en mai 1925 que la scie musicale fit son apparition à la Foire de Paris, stand Gervex; son succès fut rapide, non seulement les jazz s'en emparèrent mais quelques musiciens ne dédaignèrent pas d'avoir recours à elle pour jouer même des pièces classiques. La sonorité en est jolie, elle rappelle les sons « portamente » de la guitare hawaïenne et un peu la voix humaine." Le Ménestel, 23/11/1928, p. 490 (gallica.bnf.fr)

Ce facteur a aussi fabriqué des pianos pour TURION (°1911).

"F. GERVEX, rue Montholon, 4 - Fabrique et spécialité de pianos demi-obliques. — Belle qualité de son. — Solidité garantie. Exportation." Le Luth français. Journal de la facture instrumentale, 1856, p. 8 (gallica.bnf.fr)

INFO EXTRA

BUCH Jean-Pierre et BUCH Francis à Paris, par Jean-Marc STUSSI

 

 

Médaille de bronze Paris, 1878 | Médaille d'argent Amsterdam, 1883 | Médaille d'argent Paris, 1889

GOMBEAU L. 1848

 

"L. GOMBEAU, fabricant de pianos, contre-tirage et à sommier d'une seule épaisseur, à l'épreuve de toute température. - Ci-devant rue de Richelieu, 112, Présentement rue Cadet, 2 bis. - Vente et location." Le Luth français. Journal de la facture instrumentale, 1856, p. 8 (gallica.bnf.fr)

"GOMBEAU (L.), ancienne maison FAURE et ROGER, exposition universelle 1855, facteur de pianos, faub. Montmartre, 42, pass. des Deux-Sœurs, 8 et 10, ci-de v Richelieu, 112." et "GOMBEAU, fab. de pianos, ne laissant rien à désirer sous le triple rapport de la sonorité, de la solidité et de la beauté, exposition universelle de 1855, commission, exportation spéciale pour le Brésil, r. du Faubourg-Montmartre, 42, 8 et 10, passage des Deux-Sœurs." Almanach des 40,000 adresses des fabricants de Paris et du département : contenant les noms et domiciles des principaux fabricants, 1864 (gallica.bnf.fr), p. 214 et 429

"Gombeau, ventes et locations, accords et réparations, faub. Montmartre, 42." Almanach des 40,000 adresses des fabricants de Paris et du département : contenant les noms et domiciles des principaux fabricants, 1873, p. 206 (gallica.bnf.fr)

Il existait aussi un GOMBEAU Victor, facteur de pianos, vers 1851, à Paris, arrondissement 7.

 

Paris

Reuil

 

Fabrique : 3 - 5, Boucherie-des-Invalides (*1851)(arr.6)

16, rue le Peletier (1852)(¹⁰)(arr.9)

112, rue de Richelieu (*1851)(yy1851)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(xx1856)(arr.2)

2bis, rue Cadet (1856)(arr.9)

2[bis], rue Cadet (**1857)(xx1857)(xx1859)(arr.9)

12 [sic], rue du faubourg Montmartre (***1863)(arr.9)

42, rue du faubourg Montmartre [Passage des Deux-Sœurs 8-10] (1852)(¹⁰)(z1855)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1860)(xx1861)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(xx1890)(arr.9)

8-[10], Passage des Deux-Sœurs (*1859)(xx1860)(xx1861)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(**1877)(**1878)(**1879)(**1881)(arr.9)

13, rue Dupins (x1865)(arr.6)

8, Passage des Deux-Sœurs (z1855)(xx1856)(*1875)(*1876)(**1876)(**1888)(xx1890)(*1895)(*1896)(*1897)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(arr.9)

42, rue du Faubourg-Montmartre, (yyy1878)(**1889)(arr.9)

54, rue Lafayette (**1898)(**1904)(**1907)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(yy1914)(arr.10)

152-154, avenue de Paris (**1914)

 à Reuil

 

'Facteur de pianos' droits ca. 1851-1914

ELCKÉ F. & GOMBEAU (entre 1849 et 1855), la maison ELCKE est fondée en 1846 comme successeurs de FAURÉ & ROGER (°1840) ci-dessus.

1851 - "Elcké et Gombeau (ancienne maison Faure et Roger), B 1849, Richelieu, 112, fabrique, Boucherie-des-Invalides, 3 et 5." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1851, p. 655 (gallica.bnf.fr)

GOMBEAU, époux de DISSOUBRET. (1852)(¹⁰)

GOMBEAU L. (*1855)(xx1857)(*1859)(yy1864)(**1870)(**1873)(**1876)

PEURIOT F., dès 1865, (yyy1878)(**1879)(**1880)(**1881)(xx1890)(**1898)(x1906)(*1909)(x1912), successeur

1865 - Mariage de "Peuriot, facteur de pianos, rue Dupins, 13. - Mlle Gombeau, à Boulogne." L'Indicateur des mariages de Paris..., 16-04-1865 (gallica.bnf.fr)

'Pianohandlung' (xx1890)(x1906)(x1912)

PEURIOT G. (**1911)(1913)(**1914)

TROYES - "Nous nous sommes également arrêté avec intérêt devant les pianos'de M. Gombeau, qui vient dignement compléter la liste des exposants parisiens. Notre tâche est bien facile avec lui, car nous n'avons que du bien à en dire comme facture et comme conditions de vente." Expo Troyes, Le Chercheur, 20/05/1860 (gallica.bnf.fr) L'Exposition de Troyes illustrée. Journal du Concours, 1860, p. 28 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "PEURIOT. - France. - Pianos d’une sonorité puissante, mais un peu métallique; prolongement à la basse; travail qui dénote un chercheur." Chouquet, Rapport sur les instruments de musiques à l'exposition universelle de 1878

Médaile de bronze Paris, 1849 | Liste des exposants Paris, 1855 | Mention honorable Paris, 1878

NICOLAS Eugène Eléonor

(1810 - ?)(***1876)

1848

Paris  

56, rue de Seine à Saint-Germain (*1848)(x1849)(arr.6)

63 [?], rue de Seine à Saint-Germain (1855)(arr.6)

62, rue de Seine Saint-Germain (*1850)(*1851)(**1854)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(