Nom |
Date de fond. |
Logo | Signature |
Ville |
Adresses |
Quantité
de
pianos |
Commentaires |
Médailles |
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CLOT
Facture de 1886
Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique
et musical, 1906, p. 929 (gallica.bnf.fr)
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1840 |
"Clot (P.) et Cie, pianos, orgues et
instruments divers, dépôt des premières manufactures de France, r.
Puits-Gaillot, 5 et 7."
Annuaire
administratif et commercial de Lyon et du département du Rhône,
1860, p. 304
"Clet [sic] Fils et Cie, Musique, pianos, orgues,
rue de la République, 15." Liste
des magasins et ateliers de Lyon, dont les patrons déclarent se faire un
devoir de fermer toute la journée des dimanches et fêtes . Troisième édition
précédée d'une notice sur la ligue, 1899 (gallica.bnf.fr)
CLOT E. Fils
|
Lyon
(Paris) |
5-7, rue Puits-Gaillot
(*1860)(**1862)(***1863)
5, rue Petits Gaillot
(***1862)
1, rue Impératrice (1863)(xxxx1867)(***1868)(***1869)
1, rue Hôtel de Ville
(*1875)(*1876)(F1886)(1889)(*1893)
54, cours de la Liberté (**1899)
15, rue de la République
(*1895)(*1896)(*1898)(*1899)(**1899)(*1902)(*1903)(*1904)(*1905)(*1906)(*1907)(*1909)(*1913)(*1922)
à Lyon |
|
'Facteur de pianos'
droits
et éditeur de musique ca. 1860-1922
CLOT
Paul
& Cie (**1860)(***1862)(*1868)(***1868)
CLOT
Paul (***1868)(***1869)(*1875)(*1876)
CLOT
E. Fils
(F1886)(*1906), successeur de
Paul CLOT. (voir sa
photo ci-dessous)
CLOT
E.
Fils & Cie
(1889)(xx1890)(*1893)(*1898)(*1899)(**1899)
1890 - "Lyon. — Formation de la
Société en commandite E. CLOT fils et Cie (commerce et location de musique,
pianos, etc., et édition d'oeuvres musicales), rue de l'Hôtel-de-Ville, 1. —
Durée : 6 ans et demi. — Cap. : 200,000 fr. — Acte du 5 déc. 1889."
Archives
commerciales de la France, 08/01/1890, p. 29 (gallica.bnf.fr)
'Pianohandlung u. Musikal.-Verleger' (xx1890)
CLOT
E. Fils (x1906), 'Pianobau-Anstalt,
sowie Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung'
CLOT-PROBST-PHELIX
avant
(*1913)
PHELIX
& PROBST Réunies
(?), voir
PROBST
et
PHELIX
Repris par
BÉAL (ca.
1906);
(*1906)(*1922)
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CROPET Philibert
|
1840 |
CROPET sur ce site
Pour lire les commentaires sur les expositions, cliquer sur le lien ci-dessus.
Brevet de 1849 : "433° Le brevet
d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 7 novembre
1849, au secrétariat de la préfecture du département de la Haute-Garonne,
par le sieur Cropet (Philibert), à Toulouse, rue de la Pomme, n° 56,
pour un mécanisme de piano droit."
Bulletin des lois de la République française, 01/1851, p. 328 (gallica.bnf.fr)
"Parmi les industries qui se sont élevées à Toulouse et qui lui ont donné une
importance réelle, il faut compter la fabrique de pianos de M. Cropet. - Cet
habile facteur construit dans ses ateliers des pianos de toutes les formes,
pianos à queue, carrés ou droits, avec un talent des plus remarquables. -
ils ne laissent rien à désirer, tan,t sous les rapports de la beauté du son,
de la solidité que sous ceux de la beauté et de l'élégance du meuble. - M.
Cropet vient d'inventer une nouvelle manière d'établir les pianos à queue,
elle donne à l'instrument une pureté de son q'il est bien rara d'y trouver;
les basses sont rondes, sonores, le medium est vibrant et le haut du clavier
fait entendre des sons argentins d'une perlé et d'une égalité qui sont d'un
effet magique. - Nous engageons les amateurs à visiter les ateliers de M.
Cropet et à essayer le piano dont nous parlons, qui, du reste, a été entendu
au concert de M. Femy; et nous sommes persuadés qu'ils diront, comme nous,
que, sous le rapport de cette fabrication, nous n'avons plus rien à envier à
la capitale."
Journal de
Toulouse, 17/01/1843, p. 4
(rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)
|
Toulouse |
Magasin et fabrique : 5, place Lafayette (1841)
4,
Allée Lafayette (1846)
Magasin : 21, rue
Saint-Antoine-du-T (xxx1847)
[25], rue de Pomme (xx1850)(y1857)(y1858)
rue Marengo (z1863)
Fabrique : 4, Petite
rue Saint Rome (xxx1847)
62, allée Louis Napoléon
(y1865)
56, rue de la Pomme
(1875)
32, Allée Lafayette (*1875)(*1876) |
|
'Facteur de l'École
Royale de Musique' -
'Facteur de pianos'
droits, pianos carrés, pianos à queue et
harmoniums ca. 1841-76
Repris par
LAUTRÉ E. vers 1880
"Le
beau piano à queue qui a servi à compagner les morceaux de chant au
dernier concert du Capitole, sort des ateliers de M. Cropet, fabricant
de pianos, nouvellement établi à Toulouse, et logé place Lafayette 5,
maison Dutemps. Nous aimons à publier que M. Cropet voulant concourir à
la bonne oeuvre qui était l'objet du concert, a prêté son piano sans
exiger de rétribution."
Journal de Toulouse, 23/01/1841
"2 médailles
d'argent aux dernieres expositions. PIANOS AU PRIX DE FABRIQUE.
Garantie pour cinque années. M. Cropet, facteur de l'Ecole royale de
musique, vient de transférer sa fabrique et son magasin, Allée Lafayette, 4,
dans lequel on trouvera tous les genres de piano que l'on peut désirer. -
ACCORDS, REPARATIONS, ECHANGE, LOCATIONS DE PIANOS."
Journal de Toulouse, 03/04/1846
"LOCATION -
ACCORD. - PIANOS. - RÉPARATION - ÉCHANGE. Cinq années de garantie sur
Facture. - Deux médailles aux expositions de 1840-48. CROPET, facteur de
l'Ecole royale de Musique, déjà connu pour la supériorité des sons qu'il
obtient et la solidité de ses pianos, vient de transférer sa Fabrique
petite rue Se-Rome, 4, et son magasin rue St-Antoine-du-T., 21, dans
lequel on trouvera un grand choix de pianos. Outre les pianos de sa
fabrique, on pourra se procurer chez lui, d'après un traité qu'il vient
de conclure avec une fabrique de Paris, des Pianos droits à 6 octaves
3/4, au prix de 500 francs."
Journal de Toulouse, 24/03/1847, p. 4
(rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)
"500 Francs.
Les PIANOS droits de Paris de 82 notes, que l'on ne peut trouver que chez M.
CROPET, facteur de l'école royale de Musique. Rue St-Antoine-du-T, 21.
Pianos droits, Pianos carrés, Pianos t queue."
Journal de Toulouse, 05/05/1847, p. 4 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)
"FABRIQUE de PIANOS, magasin rue de la Pomme, 25, CROPET. Le seul facteur de
Toulouse à qui le jury de l'Exposition universelle de Paris et Londres, a
décerné une Médaille pour la bonté et la supériorité de ses instruments. La
seule Maison de cette ville qui fabrique des Pianos obliques. Ne pas
confondre avec les Pianos demi-obliques. Vente, Echange, Accord et
Location."
Journal de Toulouse, 06/05/1857, p. 4 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)
"Les
instruments de M. Cropet ont de bonnes qualités. Ils n'étaient représentés
que sous deux formats seulement, ce qui semble indiquer une fabrication
assez restreinte."
Journal de Toulouse, 12/09/1858
TÊTE D'UNE FACTURE
Facture ca. 1875
|
Deux médailles d'exposition 1840 -
médaille d'argent
Toulouse, 1845 |
Médaille d'argent Toulouse, 1850 | Official Catalogue Londres, 1851 | Médaille
de bronze Bordeaux, 1854 | Médaille
de 2e classe, 1855 | Médaille d'argent 1ere classe Toulouse, 1858
| Médaille d'or de 2e classe Toulouse, 1865
|
CHAVAN Louis |
1840 |
PHOTO
Paul CROSES
|
Mâcon
Bourg |
MAISON PRINCIPALE :
[17], rue Saint-Brice
(xx1890)(*1893)(*1895)
17, rue Victor Hugo
(*1897)(*1898)(*1899)(*1905)(*1906)
36, rue Gambetta (*1903)(x1906)
11, rue Lamartine (*1913)
17, rue Sigorgne (*1921)(**1921)(*1922)
3, rue Sigorgne
(x1926)
13, rue Boccard (maintenant)
à Mâcon
SUCCURSALE :
avenue Alsace-Lorraine (*1905)
Hôtel de France (**1921)(*1922)
à Bourg
|
|
Facteur et/ou marchand
de pianos droits et lutherie ca. 1890-1929 [depuis
1840
(x1912)(x1926)]
Mâcon
CHAVAN Louis
(1840)
OURY
Alp.-CROSES-CHAVAN
(1???), voir
Alph.
OURY
(°1860)
CROSES
[E.]
dès 1870, beaufils de CHAVAN
(xx1890)(*1893)(*1895)
CROSES-CHAVAN
[Paul]
(*1897)(*1899)(*1903)(*1905)(*1906)(x1912)(*1921)(**1921)(x1926)
'Musikal.-, Piano- u.
Instrumenten-Handlung' (x1906) ------- 'Piano-Fabrik'
(x1912)(x1926)
1922 -
"M. Chavan, facteur de pianos, et aïeul maternel de notre sympathique
associé M. Croses."
Annales de l'Académie de Mâcon : société des arts, sciences,
belles-lettres et d'agriculture, 1922, p. 17 (gallica.bnf.fr)
CROSES
Paul (après 1926)(*1929)
Quelques pianos fabriqués par
LEGUERINAIS
(°1856).
INFO EXTRA
Histoire de
pianos CROSES
|
|
FAIVRE Jules Joseph
(? - 1901)
Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique
et musical, 1895, p. 316 (gallica.bnf.fr) |
|
PARIS -
"M. Faivre, de Paris, et MM. Bresseau et
Gillet, d'Angers, ont construit leur pianos droits avec des cadres
métalliques, le premier en fer forgé, avec une plaque de même métal,
contre laquelle viennent arc-bouter des barres également en fer ;
l'autre, en fer de fonte d'une seule pièce."
Le
palais de l'industrie universelle : ouvrage descriptif ou analytique des
produits,
1855 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"Le système plus compliqué de M.
Faivre (exposant sous le n° 9513), a moins de chances de succès ; il
consiste en une vis sans fin, qui engrène avec un pignon. [...] M.
Faivre, de Paris, et MM. Bresseau et Gillet, d'Angers, ont construit
leur pianos droits avec des cadres métalliques, le premier en fer
forgé, avec une plaque de même métal, contre laquelle viennent
arc-bouter des barres également en fer ; l'autre, en fer de fonte
d'une seule pièce. Déjà, à l'Exposition nationale de 1844, un
appareil semblable avait paru, et Pierre Erard mit à l'Exposition de
Londres, en 1851, l'essai d'un sommier fait d'une seule pièce en
fer. Il paraît y avait renoncé plus tard. Il a reconnu sans doute
que, si le fer offre l'avantage d'une grande fermeté au point
d'attache des cordes, il a l'inconvénient de donner aux sons une
inévitable sécheresse métallique qu'on remarque en effet dans le
piano de M. Faivre et dans celui de MM. Bresseau et Gillet. Nous
apprenons que de nouveaux travaux ont été entrepris par ces
industriels pour le perfectionnement de leur système de
construction."
Exposition Universelle de 1855, Rapports du
Jury mixte Internationale, 1855 - Voir
BRESSEAU à Angers.
PARIS -
"M. JULES FAIVRE. Pianos. Nous poursuivons nos promenades à travers
les massifs de l'exposition des pianos français, et nous nous
arrêtons devant un instrument de M. Jules Faivre, facteur depuis
longtemps établi à la Nouvelle-Orléans, et qui fabrique depuis peu à
Paris. Cet instrument se distingue par des améliorations importantes
apportées à la construction du sommier ainsi qu'à la disposition des
cordes.
En outre, les chevilles y sont remplacées par un système de vis à
engrenage, qui offre la facilité d'accorder soi-même l'instrument,
et sans le moindre effort. La description du piano de M. Jules
Faivre, mieux que la plus longue dissertation, permettra d'apprécier
à leur juste valeur ces divers perfectionnements. Les cordes sont disposes mi-partie obliquement (pour les dessus),
mi-partie verticalement (pour les basses); d'où il résulte pour la
table une plus grande surface, et conséquemment une augmentation de
la sonorité. Le chevalet est divisé en trois parties. Cinq barres
égales en fer forgé soutiennent l'appareil. Le sommier, également en
fer forgé, prête aux différentes parties de l'instrument une
solidité à toute épreuve.
L'innovation, en ce qui concerne l'accord, consiste dans l'emploi
d'un mécanisme à peu près semblable à celui dont on se sert pour la
contre-basse et la guitare. La cheville fait tourner une roue à
engrenage au milieu de laquelle est passée la corde, qui se monte
ainsi avec la plus grande facilité. Ces chevilles, faites
séparément, peuvent s'adapter à tous les pianos indistinctement,
sans qu'il soit besoin de modifier en rien la division naturelle de
l'instrument.
Les avantages que comporte ce nouveau système n'ont pas besoin
d'être démontrés. Les gens de l'art, on effet, comprendront aisément
qu'il résulte du croisement des cordes une augmentation considérable
de la sonorité dans les basses, une meilleure qualité de son dans
les dessus, et dans toute l'étendue cette homogénéité de timbre si
souvent recherchée et si souvent introuvable.
D'un autre côté, la construction du sommier en fer et les heureuses
dispositions de tout l'appareil, garantissent la solidité de
l'instrument, à quelque changement de température qu'on l'expose.
Enfin, en simplifiant les procédés de l'accord et en assurant sa
conservation, ce système réalise un perfectionnement qu'appelaient
depuis longtemps, non-seulement les accordeurs, mais toute personne
désireuse et souvent placée dans la nécessite d'accorder elle-même
son piano.
M. Jules Faivre est au reste un homme habile, et duquel il faut
attendre beaucoup. Excellent ouvrier dès l'Age de seize ans, et doué
d'un esprit actif et entreprenant, il s'embarquait à dix-sept ans
pour le Mexique. Il a travaillé successivement à Mexico, à la Havane
et à la Nouvelle-Orléans. Dans cette dernière ville, ainsi que nous
l'avons dit plus haut, il est parvenu à fonder une fabrique de
pianos, dont les produits rivalisent avec les meilleurs instruments
envoyés de France et d'Angleterre. C'est à la Nouvelle-Orléans que,
frappé de la prompte détérioration que subissent les pianos
européens sous une température où du jour à la nuit le thermomètre
varie quelquefois de vingt a trente degrés, l'idée d'appliquer le
barrage en fer aux pianos droits lui est venue.
Le succès a couronné ses différentes tentatives, au nombre
desquelles il faut aussi compter l'essai du sommier d'une seule
pièce, en fer forgé. Les pianos Faivre, expédiés dans toutes les
parties des deux Amériques, résistent parfaitement à l'action,
tantôt torréfiante, tantôt humide, de ces climats si pernicieux pour
nos pianos français. La belle et puissante sonorité de ces
instruments les fait en outre rechercher de tous les artistes
voyageurs et des plus célèbres virtuoses. Gothscbalk, entre autres,
ayant eu, lors de ses derniers concerts à la Nouvelle-Orléans,
l'occasion de les toucher et d'en apprécier la bonne fabrication,
s'est empressé de leur rendre un hommage direct et public. Maurice
Strakosch, Alfred Jaell, ont, à la suite de diverses circonstances,
joint leur témoignage de haute satisfaction à celui de leur célèbre
confrère.
Il y a lieu de penser que la fabrique parisienne de M. Jules Faivre
ne tardera pas a se placer au niveau de celle qu'il a créée à la
Nouvelle-Orléans.
Le remarquable spécimen que ce facteur a envoyé à l'Exposition a
déjà fixé l'attention des amateurs et des artistes, et une société
justement considérée, la Société des sciences industrielles, arts et
belles-lettres de Paris, a décerné, dans sa séance du 18 juin
dernier, une médaille d'or à l'intelligent inventeur du piano
croisé. Le jury, sans aucun doute, fera la juste part qui revient à
M. Jules Faivre pour ses utiles travaux et pour son active
coopération aux progrès de la fabrication française."
La France Musicale, 1855, p. 285 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1849 : "Faivre construisit un piano à cadre métallique, muni
d'agrafes à chevalets, c'est-à-dire d'agrafes formant chevalet."
Organographie : La
facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe
Le Doulcet Pontécoulant, 1861
"178° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été
déposée, le 16 mai 1849, au secrétariat de la préfecture du département de
la Seine, par le sieur Faivre (Jules), chez le sieur Armengaud, à Paris, rue
des Filles-du-Calvaire, n° 6, pour un piano à châssis métallique et à
agrafes à chevalet."
Bulletin des lois de la République française, 07/1850, p. 482 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1855 : "Faivre, chercha à rendre
l'accord plus facile par l'emploi d'une vis sans fin qui engrène avec un
pignon."
Organographie : La
facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe
Le Doulcet Pontécoulant, 1861
Brevet de 1855 : "Faivre
construisit un piano droit ayant son cadre métallique en fer forgé avec une
plaque du même métal, contre laquelle venaient arcbouter des barres
également en fer."
Organographie : La
facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe
Le Doulcet Pontécoulant, 1861
Brevet de 1860 :
"970* Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été
déposée, le 18 avril 1860, au secrétariat de la préfecture du
département de la Seine, parle sieur Faivre (Jules-Joseph), facteur
de pianos, représenté par le sieur Ricordeau, à Paris, boulevard de
Strasbourg, n° 23, pour un échappement à répétition pour pianos
droits."
Bulletin des lois de la République française,
1862, p. 907
Brevet de 1861 : "1280. Le certificat d'addition dont la demande a été
déposée, le 19 septembre 1861, au secrétariat de la préfecture du
département de la Seine, par le sieur Faivre (Jules Joseph), facteur de
pianos, représenté par le sieur Ricordeau, à Paris, boulevard de Strasbourg,
n° 23, et se rattachant au brevet d'invention de quinze ans pris, le 26
avril, pour un échappement à répétition pour pianos droits" Bulletin des lois de l'Empire Français, Volume 20, 1864, p. 1223 |
Paris
New Orleans, Louisiana, U.S.
|
47, rue de Rivoli (xxxx1855)(z1855)(**1856)(arr.4)
61, rue de Rivoli (xx1856)(arr.4)
25,
boulevard Péreire
(1887)(arr.17)
8, avenue de Villiers (xx1897)(arr.17)
à Paris
56, Royal Street (1855)
à New Orleans, Louisiana, U.S.
|
|
'Facteur de pianos' ca. 1855-97
FAIVRE
Jules-Joseph
(z1855)(1864)
"Faivre (Jules), 8, avenue de Villiers, ancien fabricant de pianos,
fondateur de trois prix de 1,000 francs chacun." (xx1897)
"FAIVRE (Jules), Nous entrons tous dans la vie avec îles aspirations
différentes. Les uns ont l'esprit tourné vers les sciences, les autres vers
les arts ou l'industrie. C'est ce qu'on appelle la vocation. Dès sa plus
tendre enfance. M. Jules Faivre, grand admirateur de ce bel instrument, du
piano qui à lui seul forme un orchestre, s'était, pour ainsi dire, roue à
son perfectionnement. Il se consacra donc des ses plus jeunes années a la
fabrication du piano. Ne trouvant pas à Paris la place qu'il désirait se
faire, partit pour l'Amérique à l'âge de dix-sept ans, parcourant tour à
tour le Mexique, la Havane, etc. Après avoir supporté toutes les privations
possibles avec le plus grand courage, après avoir travaillé avec autant de
persévérance que de ténacité, M. Jules Faivre arriva à la Nouvelle-Orléans,
où il fit non seulement son premier piano, mais le premier qui ait jamais
été fait dans cette belle cité de la Louisiane, et il s'agissait ici, non
seulement de fabriquer un piano, mais de construire tout le matériel
nécessaire a l'instrument, depuis les chevilles, marteaux, clavier
mécanique et la caisse, etc., puisque rien n'existait de semblable. Ce
premier résultat obtenu par M. Jules Faivre (à peine âgé de vingt ans), fut
suivi de beaucoup d'autres, En 1844, M. Jules Faivre inventa un piano à
Cadre de fer. En 1855 (Exposition universelle), il présentait un piano à
cordes croisées, cadre en fer, chevilles spéciales pour faciliter l'accord.
et obtenait une récompense. Enhardi par ce succès, M. Jules Faivre retourna
a la Nouvelle-Orléans, où, redoublant d'efforts, de travail et de zèle,
voulant faire mieux, toujours mieux, il réussit a créer des instruments
modèles et à se constituer une modeste fortune qui lui paraissait très
grande par rapport à ses goûts simples et modestes, et à ses habitudes
d'ordre et d'économie. Revenu en France, quoique ne fabriquant plus, il ne
cessa pourtant de s'intéresser à l'instrument dont il s'était si
exclusivement occupé, et pensa alors à ceux qui, moins bien doués que se
chargea du choix à faire parmi les ouvriers les plus méritants. Les
candidats se produisirent tour à tour et, sur vingt-neuf choisis dans les
premiers ateliers de facture de pianos, quatre furent désignés comme
méritant également le prix et qu'il était absolument impossible d'en
éliminer un seul. [...] Plusieurs avaient pensé à la croix de la
Légion d'honneur, qui serait si bien placée sur cette poitrine d'honnête
homme! Mais non seulement M. Faivre ne demande rien, mais il refuserait
opiniâtrement toute espèce de témoignage de reconnaissance ou d'honneur. Il a
conquis l'estime générale, c'est tout ce qu'il pouvait souhaiter pour
lui-même. Que son idée progresse pour le plus grand bonheur des autres,
c'est-à-dire de ceux qui peinent dans la vie, que sa pensée de solidarité
grandisse en s'affermissant; que le bel exemple qu'il vient de donner ait
de nombreux imitateurs, voilà tout ce qu'il désire, tout ce qu'il espère,
tout ce qu'il ambitionne. (Pour le détail de la journée du 21 octobre 1894,
consulter le journal le Monde musical du 30 octobre 1894.)"
Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique
et musical, 1895, p. 315-317 (gallica.bnf.fr)
1848 -
Dans un article dans
Le
Courrier de la Louisiane il y a un
FAIVRE J.
qui vendait des pianos ERARD et PLEYEL vers 1848.
1887 -
"Des agents de la Police de
sûreté ont procédé à l'arrestation d'un nommé Faivre, contre lequel
de nombreuses plaintes avaient été déposées au Parquet. Cet individu
avait trouvé un moyen pour réaliser des capitaux et vivre très
largement. Il existe à Paris un nombre considérable de maisons pour
la vente à crédit de pianos et autres instruments de musique. Tantôt
sous le nom de Leroy,
tantôt sous celui de Durand,
Faivre obtenait la livraison de pianos aux différents domiciles
qu'il possédait à Paris, après avoir généreusement acheté des
concierges la déclaration de sa solvabilité et de son honorabilité
lorsque les dupes venaient prendre sur son compte les renseignements
usage. Généralement, Faivre acquittait le premier billet
mensuel qu'il avait souscrit; puis, il s'empressait de revendre à
vil prix ou de mettre en consignation chez un commissionnaire en
marchandises les instruments que son crédit imaginaire lui avait
fait obtenir.
Dans le seul mois de juin, cet individu se faisait ainsi livrer, par une
vingtaine de maisons, pour plus de dix mille francs de pianos, à des
domiciles plus fantaisistes les uns que les autres. A la suite des
nombreuses plaintes portées contre cet individu, M. Guichenot, juge
d'instruction, fut chargé d'une enquête. Ce magistrat décerna contre Faivre
un mandat d'amener; c'est à son dernier domicile, boulevard Péreire 25, que
cet escroc a été arrêté. Il a été immédiatement écroué au Dépôt."
Le Petit Parisien, 27/07/1887, p. 4 (gallica.bnf.fr)
1894 -
"Les belles actions. Un ancien
facteur de pianos, M. Faivre, veuf et sans enfants, est revenu à
Paris après fortune faite à la Nouvelle-Orléans. Il s'est rappelé
les difficultés de la vie de l'ouvrier et a décidé d'offrir chaque
année trois prix de 1,000 francs aux ouvriers facteurs de pianos les
plus dignes par leur mérite, leur honorabilité, leur habileté
professionnelle. Il a prié M. J. Thibouville-Lamy, président de la
Chambre syndicale des instruments de musique, MM. G. Lyon et E.
Gouttière, vice-présidents, de demander à la chambre syndicale des
instruments de musique d'accepter l'offre des 3,000 francs et la
charge des choix à faire. Après acceptation, une Commission a été
nommée qui a provoqué la présentation par les patrons de vingt-neuf
candidats tous intéressants. Quatre d'entre eux ayant été mis sur le
même plan, le donateur, M. Faivre, fut appelé pour choisir les trois
heureux. Devant la difficulté du choix, cet homme de bien a ajouté
un quatrième prix de 1,000 francs. Aujourd'hui, à deux heures et
demie, aura lieu, salle d'Harcourt la distribution solennelle de ces
prix."
Le Figaro 21/10/1894,
p. 2 (gallica.bnf.fr)
1902 -
"1902. 98. - Acceptation du legs Faivre - (M. Ambroise Rendu,
rapporteur). Le Conseil,Vu le testament olographe, en date du 10
novembre 1899, déposé en l'étude de Me Maxime Aubron, notaire à
Paris, aux termes duquel M. Joseph-Jules Faivre, en son vivant
demeurant à Paris, avenue de Villiers, 8,, où il est décédé le 29
juin 1901, a notamment légué une rente de 3,050 francs à la ville de
Paris pour la fondation de trois prix annuels en faveur d'anciens
facteurs de pianos les plus méritants, ledit legs étant spécifié net
de tous frais et droits. [...]"
Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, 23/03/1902, p.
1369 (gallica.bnf.fr)
1910 - "THIS
year is the centenary of the birth of a once noted piano
manufacturer, the late M. Jules Faivre. He led an adventurous life
(always making pianos) in North and South America and in the West
Indies, returning in his old age to Paris after amassing a
considerable fortune. During the last years of his life he gave
prizes amounting to six thousand francs each year for competition by
French workmen engaged in the piano manufacturing trade."
Musical Opinion and Music Trade Review, 01/03/1910, p. 452
"J.
Faivre - PATENTED IN PARIS FOR HIS Wrought Iron System, keeps always on
hand, at his Warerooms. No. 56 ROYAL STREET, NEW ORLEANS, a large assortment
of Pianos of every description and in the richest style, particularly made
for all damp climates and warranted to keep In tune longer than any
heretofore offered to the public. Sold at Parisian prices by wholesale and
retail. JULES FAIVRE."
The Musical World and New York Musical Times, 11/06/1853, p. 95
"Pianos
système en fer. Seul résistant à tous les climats. Paris, rue Rivoli, 47.
Nle-Orléans, 56, Royal Street, location et vente. J. FAIVRE, inventeur
breveté."
Journal de Jurisprudence et des debats Judicaires, 15/01/1855, p. 4
(data.decalog.net)
"Faivre
(J.), facteur de pianos, pianos système en fer, les seuls qui puissent
résister à tous les climats, locations et accords, Rivoli, 61, ancien 47;
maison à la Nouvelle-Orléans, Royal-Street, 56, fondée en 1840."
Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1857, p.
795 (gallica.bnf.fr)
|
Mention honorable Paris, 1855
|
FAURÉ Alexandre André & ROGER
Louis
|
1840 |
FAURÉ & ROGER
sur ce site
Pour lire les commentaires
sur l' exposition de 1844, cliquer sur le lien ci-dessus
"Visitons
les ateliers de MM. Faure et Roger pour y choisir un de ces charmans petits
pianos qu'ils confectionnent avec âne grande perfection. Les instrumens dus
à leurs soins sont au-dessus de tout éloge et bien superieurs à tous ceux
que l'on a voulu faire sur leurs modèles. Le son est large et puissant et
rappelle les basses de l'orgue; mais cette beauté n'est pas qu'accidentelle
elle dure autant que l'instrument, qui lui-même, est d'une solidité rare;
les pianos droits de MM. Faure et Roger peuvent lutter avantageusement pour
la force et la durée avec les meilleurs pianos carrés. Aussi les
demande-t-on beaucoup en ce moment où tout s'apprête pour nos plaisirs."
Le Presse, 14/12/1842, p. 4 (gallica.bnf.fr)
"Faure
et Roger, B 1839, facteurs du Roi, pianos de tous genres à rendre et à
louer, spécialités, pianos droits à cordes verticales perfectionnées par un
nouveau systeme qui les rend égaux, sous tous les rapports, aux meilleurs
pianos de grande dimension; fabrique rue de l'Université, 151 ; magasins rue
de Richelieu, 112."
Annuaire
général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des
départements et des pays étrangers, 1844, p. 516 (gallica.bnf.fr)
"Faure et
Roger, B. [médaille bronze] 1839-44, facteurs du Roi, pianos de tous genres à vendre et à
louer, spécialités, pianos droits à cordes verticales perfectionnés par un
nouveau système qui les rend égaux, sous tous les rapports, aux meilleurs
pianos de grande dimension; fabrique rue de l'Université, 151 ; magasins rue
de Richelieu, 112."
Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la
magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de
Paris, des départements et des pays étrangers, 1846, p. 558 (gallica.bnf.fr)
|
Paris |
32, rue Seine-Saint-Germain (xx1839)(arr.6)
magasins :
108, rue de Richelieu [maison Frascati] (yy1840)(x1843)(**1844) (*1846)(arr.2)
magasin :
112, rue de Richelieu [maison Frascati] (**1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(arr.2)
fabrique :
151, rue de l'Université (1840 ?)(yy1841)(x1843)(**1844)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(arr.7)
123, rue de
l'Université (1850)(¹⁰)[peut-être
l'adresse privrée de ROGER Louis](arr.7)
8, Fontaine Saint Georges (*1846)(arr.2) |
200 pianos par an, 1844
|
'Facteurs de pianos'
droits et pianos à queue ca. 1839-49
Voir également HATZENBÜHLER &
FAURÉ
(°1832). La société de HATZENBUHLER Jean-Baptiste, FAURE
André-Alexandre et ROGER Louis en 1841. FAURE était un marchand de
bois des îles et ROGER était un négiciant.
ROGER
(xx1839)
FAURÉ
André & ROGER Louis
(**1844)(**1845)(**1846)
Faillite en 1846 (¹⁰): "Le sieur ROGER concerné personnellement par la
faillite."
1847
: "La dissolution de société de MM. Faure et Roger, facteurs de pianos,
annoncée dernièrement par la Gazette des Tribunaux, est pour nous un motif
de prévenir le public que M. Roger, facteur du roi, rue Richelieu, 112,
continue la fabrication. Les conditions de bon marché n'excluent pas
l'excellente qualité et la solidité de ses instrumens, si l'on veut se
rappeler qu'à la dernière exposition de 1844, ils ont Faure, 36 rang,
immédiatement après ceux beaucoup plus chers de MM. Wolfel et Kiegelstein
[sic]."
L'Indépendant, 02/12/1847, p. NP (gallica.bnf.fr) - et - "FAURE Alexandre André,
Ancien négociant, à Beaugency, Loiret. Cité le 15/10/1847, dans un acte sous
seing privé, comportant dissolution entre ledit et ROGER Louis, facteur de
pianos, dt à Paris, rue de l'Université, n° 151, laquelle a été dissoute à
compter du 24/12/1846. Source : D31u3-147/Pièce 2072."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
Repris par ELCKÉ & GOMBEAU
(°1846), voir
plus bas sur cette page.
(la suite)
"Pianos
à vendre et à louer. Faure et Roger, facteurs du Roi, rue Richelieu,
112. Maison Frascati."
La Presse, 26/11/1845, p. 3 (gallica.bnf.fr) et
La Presse, 24/02/1846, p. 4 (gallica.bnf.fr)
Et encore la même année u ne annonce d'un autre facteur,
ROGEZ
(°1834)
publia le suivant en 1846 :
"M.
Rogez dont les magasins de pianos sont établies rue Jacob, 31, nous prie
d'informer le public que la faillite de MM. Fauré et Roger ne le
concerne nullement. Nous profitons de cette circonstance pour
recommander aux amateurs et aux artistes l'établissement de M. Rogez,
dont l'excellente réputation est faite depuis vingt-cinq ans."
La France
Théâtrale,
31/12/1846 (gallica.bnf.fr)
VOIR AUSSI ...
... autres avec le nom
ROGER
|
Médaille de bronze Paris, 1844
|
GAUDU
Jean
Pub 1925
|
1840 |
Facteur de pianos et
orgues (?) et
éditeur de musique
TÊTES de factures
Facture de
1876
Facture de
1882
Facture de
1884
Facture de
1892
|
Saint-Brieuc
|
4, rue Charbonnerie
(F1876)
27, rue Charbonnerie (F1882)
31, rue Charbonnerie (18??)
rue Charbonnerie (xx1890)
16, rue des Pavés-Neufs (F1892)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)
[15]-16,
rue de Rohan (F1901)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(*1910)(F1911)(x1912)(*1913)(**1921)
(1924)(x1926) Bureaus & ateliers : 9, rue
Poulain-Corbain (F1911)(x1912)(F1921)
Procure : 13, rue de Rohan (F1932)
Succursale : 8, rue Poulain-Corbion (*1913)
Ateliers : 2, rue Poulain-Corbain (**1921)
26, rue Saint-Guilliaume
(F1932) |
476 pianos (²⁴)
|
'Facteur de pianos'
droits
et/ou marchand d'orgues,
et éditeur de musique ca. 1876-1932 [depuis
1840 (x1912)(x1926)]
GAUDU
& Fils
(avant 1882)
GAUDU
Frères
(facture de 1882)(xx1890)(*1895)
'Piano-, Musikal.- u. Instr.-Handlung' (xx1890)
GAUDU
E.
(*1896)(*1897)(*1906)
GAUDU
J. & E.
(facture de 1892 et 1901), 'Société de facteurs de Paris';
(*1903)(x1906)
'Musikal.-, Piano-, Harmonium- u.
Instrumenten-Hdlg.' (x1906) -------
'Piano- u. Orgelbauer, sowie Händler mit Pianos, Harmoniums,
Musikinstr. u. Saiten' (x1912)(x1926)
GAUDU
& Fils
(x1912)(**1921)
1920 -
Maisons GAUDU et MORICE
(°1849)
de Rennes étaient réunies vers 1920, sous le nom 'AU MENESTREL BRETON'.
- Voir MORICE
(°1849) de Rennes
sur cette page.
GAUDU
ETABLISSEMENTS (x1926)
Leurs pianos étaient fabriqués par
BREITNER et
RUCH
(°1869)
?
"Les
Etablissements GAUDU de ST-BRIEUC - PIANOS & ORGUES "Au Ménestrel
Breton." - si appréciés en BRETAGNE et dont la clientèle s'étend en
NORMANDIE, annoncent leur passage à AVRANCHES, GRANVILLE, COUTANCES,
St-LO, FLERS, DOMFRONT, VIRE, MORTAIN, SAINT-HILAIRE, FOUGERES, etc., et
Environs, du 17 au 27 Août prochain. Mr GAUDU, (en automobile) visitera
les ACHETEURS DE PIANOS. Ecrire: 15-16, Rue de Rohan, St-BRIEUC, AVANT
LE 15 AOUT ou téléphoner 1-61, Saint-Brieuc 80 PIANOS droits et à Queue
Neufs ou d'Occasion, toutes marques GROS AVANTAGES CONFIANCE GARANTIES
ABSOLUES."
L'Ouest-Éclair, 10/08/1924, p. 4 (gallica.bnf.fr)
PHOTO
Pub
GAUDU Photo
&
Transport de pianos GAUDU
TÊTES de factures
(la suite)
Facture de
1901
Facture de 1911
Facture de
1921
Facture de
1932
Facture de
1954
Famille Gaudu. Une lignée attestée depuis Henri IV, Le Télégramme, 22 août 2013
(²⁴)
|
Médaille d'argent
(?), 1843 | Médaille d'honneur (?), 1863 | Médaille de bronze Rennes,
1864
|
ROUSSEAU
Antoine
Alexandre
Magasin : 113 & 115, rue de Vaugirard vers 1900
Piano Gilbert
B. B. par Maurice Laffaille,
Art et industrie : revue générale des industries de luxe et des arts
appliqués à la maison, 01/1930, p. 41, (gallica.bnf.fr)
|
1840 |
LIÈGE -
"GILBERT, 115, rue de
Vaugirard, Paris, exposait un piano à queue d'un modèle réduit."
Rapport général de la Section française, Exposition internationale de Liège,
1931, p. 316 (gallica.bnf.fr)
"PIANOS - GILBERT - Grand Prix Bruxelles - Sonorité d'un Piano à queue. Vente directe par la
Manufacture. Un piano de qualité un prix avantageux. Le plus Grands
Magasins de Pianos et Orgues. [...]. Salle de Concert, Usine. OCCASIONS
de toutes marques. Location. Echange. - 115, 113, RUE DE VAUGIRARD 5 minutes de la Madeleine."
Le
Petit Parisien, 10/01/1925, p. 6 (gallica.bnf.fr)
"GILBERT,
113 et 115, r. de Vaugirard, Paris, 15°. T. Ségur 19-26. R. du C. 47805.
Pianos et orgues. (17-14308)." Annuaire
industriel. Répertoire général de la production française, 1925 (gallica.bnf.fr)
"PIANOS - PRIX EXCEPTIONNELS - Pianos droits obliques bois de
palissandre ciré, 3,000 fr.; acajou noyer ciré, prix 3,300 fr., 3,500
fr., 3,800 francs.
A cordes croisées grand modèle,
4,000 tr., 4,400 fr. ; modèle de style et d'exposition en bois acajou ou
palissandre verni et pianos américains:
4,500 fr., 4,900 fr., 5,200 francs.
Pianos 1/4 queue noyer ciré frisé, 6,000 fr.;
Blutner et autres pianos., fabrication allemande, 6,000 fr. ;
Pleyel palissandre ciré, 12,000 francs.
Pianos ½ queue palissandre ciré, 6,500 fr. :
Gaveau cordes croisées, 7,500:
Erard, 7,000 france.
Pianos à queue « Concert » : Pleyel.
7,800 fr.; Erard, 8,500 fr. ; Gaveau, 7,000.
Pianos automatiques Æolian Steck, Pleyela, Melodia électrique 1/4 queue,
etc., etc., etc.
Orgues harmonium de salon depuis 1,500 fr.; orgues à tuyaux, orgues
électriques Welte pour cinéma, 9,000 fr., etc. Les plus grands magasins
de pianos et orgues. - GILBERT - 115-113, rue de Vaugirard, Paris, XVe -
(Métro Falguière-Maine-Montpamasse) et succursale 1, rue Madame - (Métro
St-Sulpice-St-Germain-des-Prés).
Vente au comptant et à crédit. Les instrumenta achetés peuvent être
gardés pour livraison ultérieure."
Le Journal, 01/12/1926, p. 6 (gallica.bnf.fr)
"PIANOS - EXPOSITION-VENTE DU 11 AU 16 JUIN Chez
GILBERT - Les derniers Modèles - Les meilleurs Instruments - GABRIEL
GAVEAU, Pianos d'art, le GILBERT B B. le premier et le plus petit piano
à queue ; le GILBERT piano droits cordes croisées, nouveau mod. à prix
réduits - ORPHEE, piano automatique perfectionné, PLEYEL, le meilleur
piano crapaud. Occasions exceptionnelles de pianos récents Blunat,
Guérin, Hercher, Lys, Chickering. Piano chinois Pleyel, 1/4 et ½ queue.
Steinway, Pleyel et Gaveau, mod. de concert Pianola, Æolian, Steck,
Piano Electrique Mélodia. Tous modèles et toutes marquer. Facilités de
paiement. Occas. exceptionnelles - 1, RUE MADAME, 1 - Actuellement
EXPOSITION. Pianos anciens. - Piano à queue Empire de l'époque 4 Pédale,
acajou et bronze. Clavecin-Epinettes-Louis xvi. Piano Harpe Directoire.
Pianos style Boulle - GILBERT - 113-115, rue de Vaugirard,
Paris-Montparnasse (8 min. de la Madeleine)"
Paris-Soir, 11/06/1927, p. 2 (gallica.bnf.fr)
"GILBERT, 113 et 115,
r. de Vaugirard, Paris. 15e. T. Ségur 19-26. — Usines électriques : 115, r. de Vaugirard, Paris,
15°; et à Bellevue (S.-et-O.). Manufacture de
pianos droits et à queue, harmoniums pour églises, orgues de salons.
(17-14368)"
Annuaire
industriel. Répertoire général de la production française,
1935 (gallica.bnf.fr)
|
Paris |
32, Cité de l'Etoile
(z1864)
50, rue Notre-Dame-des-Champs (*1867)(arr.6)
19, rue Schomer
(**1888)(*1893)(*1895)(*1896)(1900)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913)(arr.14)
115, rue de Vaugirard(*1895)(*1897)(**1898)(*1902)(*1906)(x1906)(**1907)(*1910)(**1912)(x1931)(arr.6)
113-115, rue de Vaugirard (**1911)(***1911)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(x1922)(**1923)(**1925)(1927)(*1929)(z1931)(*1938)(arr.6)
113, rue de Vaugirard
(**1921)(x1926)(*1938)(arr.6)
2 usines : à Paris et Bellevue
Succursale et galerie d'art : 1, rue Madame (**1923)(1926)(1927)(**1930)(z1931)(arr.6) |
|
Facteur de pianos droits, pianos à
queue et orgues
et harmoniums ca. 1864-1931 [depuis
1840 (x1912)(x1926)(z1931) et/ou depuis
1855 (*1929)(z1931)]
ROUSSEAU
A. & Cie (*1867),
'Facteur d'orgues et d'harmoniums'
1864 - "Mlle Jammer,
couturière, même maison, Rousseau, facteur d'orgues, cité de l'Etoile,
32."
L'Indicateur des mariages de Paris, 10/01/1864, p. 4 (gallica.bnf.fr)
1868 - Faillite en 1868 :
"Nom : ROUSSEAU Alexandre, facteur d'orgues, r.-N.-des-Champs, 50 -
Syndics et avoués : Battarel - faillites : 27 mai 68 - Concordats : 24
déc. 68 - Insuffis. et unions : (³²)."
Dictionnaire... des faillites... prononcées par les tribunaux de Paris,
H.-F. Mascret, 1868, p. 92 (gallica.bnf.fr)
Repris par
GILBERT :
1888-1913
- Les harmoniums ont été vendu encore sous le nom ROUSSEAU A., sur
l'adresse de rue Schomer. On trouve dans les annuaires entre 1888 - 1909
le nom de ROUSSEAU Hector, sur la même adresse, sous la rubrique
artistes et professeurs d'orgues.
GILBERT,
son successeur (*1895)(*1897)(*1906)(x1906)(**1907)(***1911)(**1921)(**1925)(x1926),
manufacture de pianos, sur l'adresse rue Vaugirard.
Il semble que GILBERT était
également distributeur des pianos de
Gabriel
GAVEAU
(°1911). Mais on trouve aussi
un piano à queue de Gabriel GAVEAU dans le château de Cheverny, dont
le logo a été probablement changé en 'GILBERT'.
'Piano- u. Harmonium-Handlung' & 'Spéc.:
Harmoniums' & 'Fournisseur de la
Cour d'Autriche' & 'Vertreter der Melodian-Orgeln' (x1912) -------
'Facteur de pianos' & 'Piano- u. Harmonium-Handlung' & 'Vertreter der
Melodian-Orgeln' (x1926) -------'Galerie d'art et manufacture de
pianos, rue Madame, 1.' (**1930) ------- 'Créateur du 1er et plus petit piano à queue'
(z1931)
« "De la musique avant toute chose », disait Verlaine. Et le poète avait
raison. Mais la peinture ne saurait nuire entre deux symphonies. Car il
faut établir des parallèles entre les visages des muses.
Entre deux salles d'exposition de ses pianos, Gilbert a ouvert, il y a
deux mois, rue Madame, une galerie d'art. Tel qui vient pour écouter est
séduit par le talent des peintres.
Tel qui vient pour la peinture pourra être conquis par la musique. [...]
Un groupement de tableaux ainsi conçu, présentant un lien entre eux, a
toujours pour un amateur une attraction particulière. Et cela ajoute
aussi à l'intérêt d'une visite à la galerie Gilbert que de voir la
présentation des différents modèles de pianos dans la salle d'exposition
: pianos de styles anciens ou modernes, pianos de bois précieux ou ornés
de peinture. Un modèle inspiré du style Louis XVI est séduisant par la
richesse de sa matière et son clavier heureusement inspiré des anciens
clavecins. C'est là un piano de qualité, et qui peut tenir sa place dans
l'intérieur le plus élégant. Enfin, il y a aussi le « Gilbert B. B.»,
d'une conception tout à fait originale due au décorateur Maurice
Laffaille : d'une harmonie parfaite, cet instrument en bois de macassar,
en acajou veiné ou en chêne clair doit séduire, par sa ligne simple, les
amateurs d'architecture moderne."
Art et industrie : revue générale des industries de luxe et des arts
appliqués à la maison, 01/1930, p. 41, (gallica.bnf.fr)
PUB
Paris-adresses : annuaire général de l'industrie et du commerce : corps
constitués, administrations, professions libérales, propriétaires,
rentiers, etc... de Paris et du département de la Seine, 01/01/1931,
p. 1966 (gallica.bnf.fr)
INFO EXTRA
Particularités de la facture d’Alexandre Rousseau, Pascal Auffret,
dans L’harmonium français, N° 1, juin 2007
ROUSSEAU
sur Wiki Harmonium
|
Liste des exposants Paris, 1867 (orgues et harmoniums) |
Médaille d'or Paris, 1900 (orgues, harmoniums et pianos) | Grand Prix
Bruxelles, 1910 ?
| Liste des exposants Liège, 1930
|
FLACHET |
1840 |
|
Grenoble |
Place des Cordeliers
(*1875)(*1876)
6, rue Turenne (***1906)
5,
rue
Montorge
(xx1890)(*1898)(x1906)
(x1912)(*1913)(**1921) |
|
Facteurs et/ou marchands de pianos
droits et pianos automatiques ca. 1860-1921
FLACHET
(1860)(***1863)
FLACHET
& HENRY (1873)
HENRY
Octave
(xx1890), 'Musikal.-, Piano- u. Harmonium-Handlung'
HENRY
Père & Fils & ARNAUD
(*1898)
HENRY N.
(***1906)
HENRY
[O.] Fils & ARNAUD (x1906)(1912) 'Musikal.-, Piano- u.
Musikinstr.-Handlung' (x1906)
HENRY N. & ARNAUD A.
(1912)(*1913)
1912 -
"Grenoble. — Prorogation jusqu'au 31
mai 1912. — Soc. HENRI fils et ARNAUD pianos et instruments de musique,
5, Montorge."
Archives commerciales de la France, 20/04/1912, p. 572 (gallica.bnf.fr)
HENRY
Fils & ARNAUD A.
(x1912)
'Musikal.-, Piano-,
Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung' (x1912)
'Musique et Instruments'
(*1913)
ARNAUD Vve.
(**1921),
'Musique, Ab.-Pianos_Instruments-Phonos' |
|
HERCE
Pierre Auguste
Augustin
(1811 - ?)(¹⁰)
|
1840 |
'Fabrique de pianos' (1878)
TITRES
'Breveté de S. M. la Reine de l'Angleterre'
'Fabr. spéc. pour la tempér. du
Brésil'(*1859)
PARIS -
"MM. HERCE père et fils, à Paris, rue du Faubourg Saint-Antoine, 15. Ces artistes ont exposé des pianos droits à cordes obliques et à cordes
verticales, présentant quelques innovations dans la construction, et
notamment dans la manière de couder les cordes sur le chevalet. Ils ont
appliqué ce nouveau système de coudage à un piano droit à cordes verticales
qui, dans le concours, s'est trouvé mis au sixième rang."
Rapport
du Jury central, Paris Jury central, Imprimerie de Fain
et Thunot, 1844,
p. 547
PARIS - "Un autre emprunt lui avait
également été fait par MM. Herce et fils, qui auraient pu retrouver, dans
plusieurs de ses pianos, leur cordage équilibré. On sait qu'en passant sur
le chevalet, la corde reçoit une double flexion parallèle au plan de la
table, en s'appuyant contre deux pointes, inclinées en sens inverse,
implantées dans le chevalet. Cette flexion a pour but de la maintenir plus
fixe et d'éviter que ses vibrations lui fassent quitter le point du chevalet
qui détermine sa longueur. On comprend que, si la flexion de toutes les
cordes a lieu dans le même sens, elles détermineront une tendance de la part
de celles-ci à pousser latéralement la table d'harmonie contre une des
parois de la caisse. M. Pape, et, après lui, MM. Herce et fils, ont fait
disparaître cette tendance, en coudant alternativement la moitié des cordes
dans un sens et l'autre moitié dans l'autre, de manière que leurs efforts se
fissent équilibre."
Revue scientifique et industrielle, Volume 17, 1844,
p. 381
PARIS -
"La fabrique de MM. Herce et Mainé livre 100 pianos par an au commerce.
Leur piano droit, admis au concours, a été classé le cinquième de cette
catégorie. L'ancienneté de l'établissement de MM. Herce et Mainé est une
garantie de la bonne confection de leurs ouvrages.
MM. Herce et Mainé avaient été mentionnés honorablement en 1844 : le jury
leur décerne la médaille de bronze."
Rapport
du Jury Central sur les Produits de l'Agriculture et de
l'Industrie ..., France Jury Central
sur les Produits de l'Agriculture et de l'Industrie, 1849
PARIS - "MM. Herce et Maine,
de Paris, ont produit un système d'agrafes qui consiste à attacher la
corde sur le chevalet même, dans le but de soulager la table du poids
des cordes quand celles-ci ont leurs points d'attache au delà de la
table."
Le travail universel : revue complète des oeuvres
de l'art et de l'industrie exposées à Paris en 1855, p. 602 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"M. HERCE. - M. Hercé ne s'est
pas contenté d'exposer un bon piano vertical; mais il a voulu faire de
l'extraordinaire, une sorte de réclame parlante. Il s'est donc imaginé
de construire une armoirepiano, et il a eu l'ingéniosité de mettre le
clavier tout en haut, ce qui fait que, sans aucune exagération de ma
part, il faut avoir un marchepied pour y atteindre; et si l'appartement
n'a pas, en hauteur, la dimension voulue, l'exécutant est obligé de
laisser sa tête au bas de l'échelle !!!
M. Hercé construisit, en 1855, un piano droit, avec un système d'agrafes
placées sur la table.
1844. Mention Honorable pour piano droit à cordes verticales placé au
6me rang. / 1849. Médaille De Bronze, piano droit classé au 5e rang. /
1855. MENTION HONORABLE."
La musique à l'Exposition universelle de 1867,
Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant, p. 192
PARIS -
"Des pianos droits à cordes
verticales et des pianos droits à cordes obliques." Rapport sur les instruments de musiques à l'exposition universelle
de 1878, Chouquet
"Herce père et
fils; le père étant marchand de bois et fournissant les matières premières à
MM. les facteurs, donne au fils, anciennement ouvrier de la maison Erard,
une grande facilité de fabrication et l'emploi de marchandises de première
qualité, Charenton, 102."
Annuaire
général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des
départements et des pays étrangers, 1844, p. 516 (gallica.bnf.fr)
"Herce
père, ancienne fabrique de caisses de piano, connue depuis 28 ans, Charenton,
102."
Annuaire
du commerce Didot-Bottin, 1847, p. 471 (gallica.bnf.fr) -
[1847 - 28 = 1819]
"Herce et
Mainé, boul. Bonne Nouvelle, 18, ont, par procédé aussi simple qu'ingénieux,
fait disparaître la déviation qui fatigue tant la table tFharmonie, ce qui
procure à leurs instruments des sons plus suaves et un accord constant. Ils
ont présenté à l'exposition dernière des pianos dont tout le mécanisme
intérieur peut se sortir de la caisse par la première personne venue, ce qui
permet aux personnes de province, en cas d'accident ou de réparation, il
envoyer le mécanisme par la diliqence. L'avantage de ces procédés est qu'ils
n'augmentent nullement le prix des instruments de ces facteurs, qui viennent
d'obtenir, à l'exposition de 1849, la première médaille de bronze. Ateliers,
rue Charenton, 92."
Annuaire
du commerce Didot-Bottin, 1851, p. 655 (gallica.bnf.fr)
|
Paris |
15, rue du
Faubourg-Saint-Antoine
(a)(**1844)(arr.11)
102, rue de Charenton (a)
(1836)(¹⁰)(*1842)(**1842)(x1843)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(arr.12)
ateliers : 102, rue de Charenton
(b)(x1849)(*1850)(arr.12)
18, boulevard Bonne-Nouvelle (b) (x1847)(*1848)(*1849)(x1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(yy1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(*1877)(**1877)(**1878)(**1879)(**1881)(arr.2)
36,
rue des Fossés-du-Temple
(zz1862)(arr.11)
3,
boulevard Bonne Nouvelle (**1880)(**1883)(arr.2)
ateliers : 92, rue de
Charenton (*1851)(yy1855)(xx1857)(xx1858)(xx1859)(1860)(¹⁰)(arr.12)
102, rue d'Aboukir
(**1884)(**1885)(**1888)(arr.2)
ateliers :
99,
rue de Charonne (*1859)(**1864)(*1880)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(arr.11) |
100 pianos par an (1849)
|
'Facteur de pianos' ca. 1836-88
HERCE Pierre
François (1836)(¹⁰). Il est né le 08/09/1782. Il
était 'Menuisier en pianos' (1836)(¹⁰)
HERCE
Pierre
Auguste (Augustin)
(1811- ?)
- (1860)(¹⁰)(1866)(*1867). Il est né à Paris en 01/09/1811. (¹⁰)
Ancien 'ouvrier de la maison Erard' (xx1844)
Il était ébéniste en 1831, et habitait rue Lenoir, 5, avant devenir facteur
de pianos. (¹⁰). HERCE Pierre François était marié avec TURIOT Marie Anne.
(¹⁰)
HERCE,
Père & Fils (a)(**1844)(**1846)(x1847),
aussi exposants sur l'exposition de Paris en 1844; ils ont une autre adresse
que les associés
HERCÉ & MAINÉ
(b)
en 1847. Mais la publicité de 1859, dont on mention leur résultat
d'exposition de 1844, ci-dessous, preuve qu'ils ont l'adresse '18, boulevard
Bonne Nouvelle' en 1859, donc probablement ils sont déménagé en 1847.
HERCE
père avait encore son fabrique de caisses de pianos vers (x1847), rue
Charenton, 102 dès 1819.
HERCE
A. & MAINÉ
E.
(b)(dès 1845)(x1847)(*1849)(yy1851)(yy1855)(xx1856), voyez aussi pour
MAINE.
1859 -
"HERCE Pierre Auguste, fils, facteur de pianos, rue de Charenton, n° 92. Le
28/08/1859, acte notarié entre ledit et MAINE Charles Eugène, même
profession, boulevard de Bonne Nouvelle, n° 18 pour dissolution de la
société créée le 01/01/1845 pour la fabrication et la vente de pianos.
Source : D31u3-217/2102."
Informations généaloqiques aimablement
établies par Georges Claude Lebrun et son équipe
«
éclat de bois
»
1862 -
"Atelier de M. Herze et Miné [sic], rue des Fossés-du-Temple, 36. - M.
Bonnaure."
Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs
d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en
bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862,
p. 54 (gallica.bnf.fr)
HERCE
(b)(xx1861)(**1878)
HERCE
Frères
(b)(1879)(*1880)
1879 -
"PRODUCTIONS DE TITRES, Sont invités à produire immédiatement, leurs
titres de créance, MM. les créanciers dans les faillites de : MM. Herce
frères, fab. de pianos, 18, boulevard Bonne-Nouvelle. — n. 7.826."
Le
Moniteur des Faillites et des Liquidations de France et de l'étranger,
1879, p. 227 (gallica.bnf.fr) -
La Presse, 23/11/1879, p. 4 (gallica.bnf.fr)
HERCE
(**1883)
Brevet de 1855 : "Hercé et Maine construisirent un piano droit avec un
système d'agrafes placées sur la table, par lesquelles passent les
cordes, ayant quelque analogie avec le système d'agrafes d'Érard."
Organographie: La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
Brevet de 1866 : "73.851. Brevet de quinze ans, 28 novembre 1866;
Herce, représenté, par Jeanselme, à
Paris, rue Gaillon, n° 13. — Perfectionnements apportés dans la
disposition des pianos à queue."
Catalogue
des brevets d'invention, France. Ministère de l'agriculture,
1869
Brevet de 1867 :
'Piano-armoire'
(*1867),
M. Hercé ne s'est pas contenté d'exposer un bon piano vertical; mais il
a voulu faire de l'extraordinaire, une sorte de réclame parlante. Il
s'est donc imaginé de construire une armoire-piano, et il a eu
l'ingéniosité de mettre le clavier tout en haut, ce qui fait que, sans
aucune exagération de ma part, il faut avoir un marchepied pour y
atteindre; et si l'appartement n'a pas, en hauteur, la dimension voulue,
l'exécutant est obligé de laisser sa tête au bas de l'échelle !!!"
La
musique à l'Exposition universelle de 1867, Louis-Adolphe le
Doulcet Pontécoulant, 1867
Brevet de 1867 : "May 9, 1867. - A.
HERCE. Keyboard to enable performer to face auditors."
The History of the Pianoforte: With an Account of
the Theory of Sound and ..., Edgar Brinsmead, 1889, p. 220
'Inventeur du piano à Tribune et de la table d'harmonie en équilibre'
(1878)
(la suite)
"Herce et Maine, M.H. 1844 (B) 1849. La qualité d'un bon
instrument dépend de la conscience du facteur, de son savoir-faire et non de
l'économie qu'il apporte dans ses produits; c'est à l'excellence de sa
fabrication que cette maison doit les récompenses successives qu'elle a
obtenues aux expositions de 1844 et 1849. Magasins boulevard Bonne-Nouvelle.
18. - Ateliers rue de Charenton, 92."
Nouveau
dictionnaire de musique illustré, Charles Soulier, 1855
"Herce et
Mainé, B [médaille de bronze] et récompenses aux exposition nat. et univ.;
pour les accords, les échanges et réparations, s'adresser au magasin, boul.
Bonne-Nouvelle. 18; pour la vente aux marchands de pianos de Paris et de la
province, à leur fabrique, rue de Charenton, 92."
Annuaire
du commerce Didot-Bottin, 1858, p. 776 (gallica.bnf.fr)
"Hегсе,
MH 1844, MB 1849, MH 1855, fab. spéc. pour la tempèr. du Brésil, boul.
Bonne-Nouvelle, 18, ateliers. Charonne, 99." Annuaire
et almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et
de l ..., 1859, p. 1008-1009
"Avis aux
actionnaires, avances de fonds. Pianos à l'essai. – Herce, boul.
Bonne-Nouvelle, 18, choix de location de 10 à 20 f. par mois."
La Presse, 31/10/1860, p. 3 (gallica.bnf.fr)
"Herce,
18, boulevard Bonne-Nouvelle, paris. Fabrique de pianos. Maison fondée en
1840. Inventeur du Piano à tribune et de la table d'harmonie en équilibre.
Mention honorable en 1844; Bronze en 1849; Mention honorable en 1855; 1re
Médaille de Vermeil en 1872; Breveté de S. M. la Reine d'Angleterre."
Catalogue
général descriptif de l'exposition : section française / Exposition
universelle de Paris 1878, p. 5 (gallica.bnf.fr)
"PIANOS-HERCE-OBLIQUES
aux exp. 1e en prov. Pr. de fabrique. Loue dep. 10 fr 11e Bonne-Nouvelle,3."
Le Figaro,
29/05/1882, p. 3 (gallica.bnf.fr)
|
Mention honorable Paris, 1844 | Médaille de bronze Paris, 1849 | Mention
honorable Paris, 1855 | patent, 1867 | 1e médaille de vermeil Lyon, 1872
|
KLEINJASPER dit SEGENKEMPER Jean François
(1813 - 1860)(¹²)
|
1840 |
Brevet de 1873 : "85,395. Brevet de quinze ans, 23 avril 1869;
Kleinjasper fils, à Paris, rue Saint-Honoré, n° 296. Piano consolidé à
clavier transpositeur."
Bulletin des lois de la République française, 01/1873, p. 302 (gallica.bnf.fr)
PARIS - "105.
— KLEINJASPER, facteur de pianos, à Paris, rue Saint-Honoré, 250, entrée rue
des Frondeurs, 1. Les pianos de M. Kleinjasper se recommandent par leur
bonne confection et leur fini. Il expose un piano droit d'un nouveau modèle,
remarquable par la force, la qualité des sons, et l'élégance de son
extérieur."
7e exposition des produits des membres de l'Académie de l'Industrie, à
l'Orangerie des Tuileries en 1843, p. 51 (gallica.bnf.fr)
PARIS - "15. -
KLEINJASPER, facteur de pianos, rue Saint-Honoré, 250, en face celle de
l'Échelle, l'entrée par la rue des Frondeurs, 1, à Paris. Ce facteur, qui
s'est appliqué surtout à la fabrication des pianos droits, expose un
specimen de ce genre de pianos dont on peut apprécier la bonne qualité."
8e exposition des produits des membres de l'Académie de l'Industrie, à
l'Orangerie des Tuileries en 1845, p. 17 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"36. — KLEINJASPER, facteur de pianos, rue
Saint-Honoré, 250, en face celle de l'Échelle, l'entrée par la rue des
Frondeurs, 1, à Paris. Ce facteur, qui s'est appliqué surtout à la
fabrication des pianos droits, expose un spécimen de ce genre de pianos dont
on peut apprécier la bonne qualité."
9e exposition des produits des membres de l'Académie de l'Industrie, à
l'Orangerie des Tuileries en 1846, p. 22 (gallica.bnf.fr)
LONDRES -
"KLEINJASPER, J. F., 296 Rue St. Honoré, Paris-Pianoforte Maker. A
cottage pianoforte."
Official descriptive and illustrated catalogue of
the Great exhibition of the works of industry of all nations,
1851
LONDRES -
"[...] il signor Kleinyasper
[sic] fé mostra di un altro in palissandro [...]"
L'Italia musicale, Volume 3, 1851, p.
172
LONDRES -
"M. Kleinjasper a obtenu la mention honorable, il
l'avait déjà gagnée en 1851. Son piano d'ébène incrustée de dorures de
bon goût, est une très-belle pièce."
La France à Londres en 1862 : revue de
l'Exposition universelle du Palais de Kensington. Année 32, 1862,
p. 639 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"Bon
facteur, mais les instruments ne se font remarquer par aucune qualité
exceptionnelle. — C'est bon ordinaire. 1851, à Londres, mention
honorable, pour pianino."
La musique à l'Exposition universelle de 1867,
Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant,
p.
1 62
PARIS - "Venait
ensuite l'exposition de M. Kleinjasper représentée par un charmant
piano, genre Louis XV, de bois noir avec filets et ornements de cuivre
doré. Ce piano, dont le mécanisme repose sur un nouveau système de
répétition, avait même, dans le vaste local qu'il occupait au Champ de
Mars, une grande puissance de son et d'harmonie."
Histoire générale de l'exposition universelle de 1867, p. 694 |
Paris
Batignolles |
4, rue Saint-Anne (1839)(1840)(¹⁰)(arr.1)
250, rue Saint-Honoré (yy1843)(**1844)(*1850)(*1851)(arr.1)
350, rue Saint-Honoré (**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(arr.1)
1, rue des
Frondeurs (x1843)(xx1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(arr.1)
296, rue Saint-Honoré (yy1851)(**1852)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(xx1856)(*1859)(xx1861)(*1862)(***1863)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1880)(**1881)(arr.1)
2, Passage Saint Roch (xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1881)(**1883)(arr.1)
79, rue La Condamine
(**1877)(**1878)(**1879)(arr.17)
23, rue Caumartin, ci-devant rue Saint Honoré, 296 (**1880)(**1881)(**1883)(1884)(**1888)(arr.9)
47, rue Notre-Dame-de-Lorette (***1892)(*1895)(*1897)(**1898)(z1900)(z1902)(*1903)(**1904)(*1905)(x1906)(*1907)(**1907)(*1909)(*1910)(**1912)(x1912)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.9)
à Paris
Usine :
à Batignolles (**1880)(**1881)
|
|
'Facteur de pianos'
droits ca. 1939-1914
Né à Paris des parents
d'Allemagne en 1813. (¹²)
Époux de GUILLOT Denise (¹⁰)
1840 -
"KLEIN-JASPER dit SEYENKEMPER Jean François, Facteur de pianos, Dt rue
Sainte Avoie, n° 4. Cité comme temoin et fils, le 19/08/1840 ? lors de
la succession de SAINTHUILLE Marie Catherine Cécile, sa mère décédée le
10/02/1840, Source : AP/DQ7/3744/acte 95." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun
et son équipe «
éclat de bois
»
1850 -
"BB/11/606, Dossier n°4170
X5 - KLEINJASPER ou SEGENKEMPER, Jean François. Né(e) le 25 juillet 1813
à Paris (Seine). Qualité : facteur de pianos. Objet : naturalisation.
Ouverture du dossier : 18 mai 1850."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
KLEINJASPER Jean François
(1851)(1855)
1863 -
"MC/ET/CVI/951 - 17
novembre 1863 - Vente à titre de licitation par Pierre Paul Dembrun,
ébéniste,70, rue Traversière Saint-Antoine, et ses filles, Elisa
Catherine Désirée Dembrun, femme de Frédéric Joseph Allard, tourneur
mécanicien, 9, rue Napoléon, 20e arrondissement, Honorine Arsène
Dembrun, artiste lyrique, célibataire majeure, 50, rue des Acacias, 17e
arrondissement, et Alexandrine Pauline Dembrun, blanchisseuse,
célibataire majeure, à Clichy-la-Garenne (auj. Hauts-de-Seine), 64, rue
de Courcelles au village Levallois, à Jean François Kleinjasper, facteur
de pianos, 296, rue Saint-Honoré, des parts et portions leur appartenant
indivisément avec M. Kleinjasper, à savoir, une maison sise 70 rue
Traversière Saint-Antoine."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
1864 - "MC/ET/CVI/952 - 19
janvier 1864 - Prêt conditionnel d'une somme de 15 000 francs par le
Crédit foncier de France à Jean François Kleinjasper, facteur de pianos,
et Désirée Guillot, sa femme, demeurant ensemble, 296, rue
Saint-Honoré."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
1868 -
"MC/ET/CVI/974 - 13 juin
1868 - Contrat de mariage entre Philippe Victor Désiré Kleinjasper,
facteur de pianos, à Colombes, commune de Bois-Colombes (Seine, auj.
Hauts-de-Seine), 10, rue de la Procession, et Joséphine Jeanne Sestier,
sans profession, mineure, demeurant chez sa mère, veuve, à la même
adresse."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
1868 -
"MC/ET/CVI/974 - 19 août
1868 - Transport de bail par Jean François Kleinjasper père, facteur de
pianos, 296, rue Saint-Honoré, à Philippe Victor Désiré Kleinjasper, son
fils, facteur de pianos, demeurant à la même adresse, de différents
lieux dont un appartement, faisant partie d'une maison sise, 296, rue
Saint-Honoré."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
KLEINJASPER
Fils
(1873)
KLEINJASPER P.V.D.
(yyy1878)
KLEINJASPER
Vve.
dès 1884 :
1884 -
"Vendeur : Kleinjasper - Acquéreur : Kleinjasper (Vve) -
Domicile élu pour les oppositions : R. Caumartin, 23 - Entrée en
jouissance : 7 avril 84 - Fonds vendu : Facteur de pianos, r. Caumartin,
23."
Archives commerciales de la France, 13/04/1884, p. 497 (gallica.bnf.fr)
KLEINJASPER
Maurice (***1892)
1892 -
Changement de propriétaires en 1892,
Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 20/01/1892,
p. 89 (gallica.bnf.fr)
Dès un moment pianos fabriqué par
MUSSARD
(°1822)
'Piano- u.
Harmonium-Handlung' (x1912)
"KLEINJASPER,
facteur de pianos, médaille d'or, médaille de Londres, r. St-Honoré, 296,
entrée pass. St-Roch, 2."
Almanach des 40,000 adresses des fabricants de Paris
et du département : contenant les noms et domiciles des principaux
fabricants, 1864, p. 234 (gallica.bnf.fr)
"KLEINJASPER, fabr, de
pianos, inventeur du clavier transposileur portatif, s'adaptant à tous les
pianos, orgues, expositions 1844-49-55-67-78, méd. 1re classe et tard, d'or,
vente et location, échanges, réparations et accords, export., r. Caumartin,
23 (ci-devant, St-Honoré, 296, pass. St-Roch); usine à Batignolles."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la
magistrature et de l'administration, 1881, p. 1522
(gallica.bnf.fr)
|
Liste des exposants Paris, 1843 |
Liste des exposants Paris, 1844
| Liste des exposants Paris, 1845
| Liste des exposants Paris, 1846
| Liste des exposants Paris, 1849 | Mention
honorable Londres, 1851 | Liste des exposants Paris, 1855 | Mention honorable
Londres, 1862 |
Liste des exposants Paris, 1867 | Liste des exposants Paris, 1878
|
LIMONAIRE Antoine,
Jeune
(1815 - 1886)(²³)
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de
la magistrature et de l'administration, 1907, p. 2494
(gallica.bnf.fr)
Pub de 1921,
Musique-adresses de 1921, p. 397 |
1840 |
Pianos droits, pianos à queue,
orgues, pianos mécaniques, automatiques et orchestrions et boîtes de musiques
Piano ca. 1846, Musée de Bayonne,
France
PARIS -
"Le piano à queue de M. Limonaire, classé parmi les
pianos exceptionnels, a fixé l'attention du
jury. La disposition du mécanisme, auquel les étouffoirs sont attachés de
manière à ne faire qu'un ensemble, a paru nouvelle et ingénieuse."
Rapport
du Jury Central sur les Produits de l'Agriculture et de
l'Industrie ..., France Jury Central
sur les Produits de l'Agriculture et de l'Industrie, 1849
PARIS -
"Un facteur qu'il faut aussi ranger parmi les plus habiles,
c'est sans contredit M. Limonaire, dont la réputation est d'ailleurs de
notoriété artistique. Les instruments de M. Limonaire offrent une rare
perfection, leur mode de construction repose d'ailleurs sur des données
et des principes que l'expérience et le succès ont consacrés.
Dès son début dans la carrière, en 1840, M. Limonaire se préoccupait
d'asseoir sur des bases fixes, inébranlables, les règles de son art. Il
remontait aux causes et apportait à la facture un riche contingent
d'observations théoriques. L'étude des sciences physiques et
mathématiques lui a fait découvrir un nouveau système d'accord où
l'octave est établie par quinte et quatrième, intervalles qui forment
les treize demi-tons, et ne laissent entre le point de départ et son
octave qu'une fraction de 1|100 c'est, comme on voit, le tempérament
réduit à sa plus simple expression.
M. Limonaire a également porté toute son attention sur les cordes il a
fait de nombreuses expériences sur les forces de chaque numéro des
différentes fabriques, et il établit ses longueurs sur des chiffres
irrécusables; la mécanique a subi ses utiles modifications.
Les marteaux à double nez qu'il imagina vers 1843, un double échappement
à pièce de renvoi, d'une simplicité remarquable; des fourches à doubles
vis régulatrices, qui donnent a la mécanique la précision des mouvements
d'horlogerie, et qui sont à l'abri des influences atmosphériques; eniln
un nouveau système d'attache des cordes en spirales, tels sont les
travaux principaux de M. Limonaire, et l'ensemble des services qu'il a
rendus à la facture.
M. Limonaire expose un piano à queue ot des pianos droits à cordes
verticales qui se distinguent autant par leur belle sonorité que par lé
fini et la précision du travail. Ces instruments répètent surtout
admirablement et à toutes les hauteurs de la touche. Les basses sont
excellentes, le clavier ne laissa rien à désirer. A. Giacomelli."
La France Musicale, 1855, p. 290 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"M. LIMONAIRE - M. Limonaire est un bon facteur, assez en renom dans
l'industrie parisienne. L'instrument exposé par ce facteur est d'une
bonne construction : mais il ne sort pas de ce milieu dans lequel nous
voyons flotter à Paris, l'industrie des pianos.
En 1848, M. Limonaire rattacha les étouffoirs au mécanisme, de manière à
ne former qu'un seul ensemble.
En 1852, il imagina un marteau répétiteur à renvoi d'échappement et à
double vis régulatrice. Ce marteau mobile faisait charnière à une des
extrémités de la noix.
1849. Médaille De Bronze, bonne fabrication. 1855. Médaille De 1° Classe."
La musique à l'Exposition universelle de 1867,
Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant, p. 192
PARIS -
"Pianoforti
a coda. - [...]
La casa Limonaire di Parigi non ha avuto
distinzione di sorta, mentre i suoi lavori non erano secondi agli altri
del compartimento franicese. Noi non abbiamo l'onore di conoscere questa
casa, però abbiamo spesso incontrato i suoi eccellenti lavori, e quel
pianoforte a coda esposto ne fa fede abbastanza ; ha bella voce ed
eguaglianza senza macolo; non conosciamo il suo meccanismo, ma la
tastiera camminava bene e si sentiva soddisfazione nel toccarla."
Il Pianoforte, guida pratica per costruttori,
accordatori, etc., Sievers, 1868, p.
216
PARIS -
"LIMONAIRE. - France. - Pianos droits à double échappement où se
reconnaît un facteur ingénieux; piano-orgue à manivelle, d’une grande
puissance." Chouquet,
Rapport sur les instruments de musiques à l'exposition universelle de 1878
PARIS -
"98. LIMONAIRE Frères & Cie., à
Paris, avenue Dauménil, 166. — Pianos
et orgues à cylindre."
Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, p. 7
(gallica.bnf.fr)
PARIS -
"80. Limonaire frères, à
Paris, avenue Daumesnil, 166. — Orgues et pianos mécaniques."
Catalogue général officiel. Tome troisième, Groupe III : instruments et
procédés généraux des lettres, des sciences et des arts : classes 11 à
18, 1900, p. 522 (archive.org)
Brevet de 1848 : "Limonaire disposa le mécanisme où il attacha les étouffoirs,
de manière à ne former qu'un seul ensemble."
Organographie : La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
Brevet de 1851 : "Limonaire imagina un
marteau répétiteur, à renvoi d'échappement et à double vis régulatrice; ce
marteau mobile fait charnière à une des extrémités de la noix; elle est
traversée librement par une broche taraudée dont l'écrou sert à régler;
elle soutient le marteau dans la position où il est reçu parla chaise et en
même temps renvoie l'échappement sous le nez de la noix aussitôt que la
touche se relève. (B. F., 13,805)."
Organographie : La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
Brevet de 1852 : "253° Le
brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 4
juin 1852, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine,
par le sieur Limonaire (Antoine), à Paris, rue Neuve-des-Petits-Champs,
n° 20, pour marteau répétiteur, à renvoi d'échappement et pour une
double vis régulatrice, aux fourches brisées, applicable au mécanisme de
pianos."
Bulletin des lois de la République française, 07/1853, p. 736 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1905 : "353659. Brevet dé quinze ans, 22 avril 1905 Société
Limonaire frères, représentée par Blétry, à Paris, boulevard de
Strasbourg, n° 2. Sommier pour orgues et pianos à cartons perforés."
Bulletin des lois de la République française, 07/1906, p. 256 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1906 : "372009. Brevet de quinze ans, 30 novembre 1906;
Société Limonaire frères, représentée par Blétry, à Paris, boulevard de
Strasbourg, n° 2. Dispositif de gluidage des cartons perforés dans les
orgues et pianos mécaniques."
Bulletin des lois de la République française, 01/1908, p. 1861 (gallica.bnf.fr)
|
Paris
Lyon
Londres, Angleterre
Waldkirch, Allemagne |
27 [-29], rue Montorgueil (**1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(1849)(¹⁰)(*1850)(*1851)(**1852)(arr.1)
La future demeure, mais personnelle à Neuilly (près Paris, Seine)(1849)(¹⁰)
20,
rue Neuve-des-Petits-Champs
(yy1851)(1852)(**1854)(yy1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(**1857)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(*1867)(x1868)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(arr.2)
68, rue Saint-Sabin (**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(arr.11)
Ateliers : 79, rue Claude Decaen (1889)(**1913)(**1921)(*1922)(arr.12)
166, Avenue Daumesnil (*1889)(xx1889)(y1889)(x1890)(xx1890)(**1894)(*1896)(***1900)(z1900)(z1902)(**1907)(1908)(*1911)(**1911)(**1912)(**1913)(**1914)(**1921)(*1922)(x1922)(x1926)(arr.12)
5, avenue de l'Opéra (x1926)(arr.1)
à Paris
SUCCURSALE :
39, avenue Félix Fauré (x1912)(*1913)(**1921)
à Lyon
SUCCURSALE : 150,
Great College Street (y1889)
à Londres,
Angleterre
(xx1890)
SUCCURSALE : 48, Kaiser Wilhelm Strasse (by Richard BRUDER - 1912)(x1912)
à Waldkirch, Allemagne
SUCCURSALE : via Biglia, viale Monza (x1912), Milan, Italie
|
|
'Facteur de pianos et orgues' ca. 1844-29 [ depuis 1840
(x1912)(**1921)]
LIMONAIRE
était le nom d'une grande famille de facteurs d'orgues de manèges et
d'instruments automatiques fondée en 1840. L'importance et la qualité de
leur production ont fait que leur nom est entré dans le langage courant,
pour un certain type d'instruments, au même titre que 'frigidaire' ou 'gramophone' par exemple …
LIMONAIRE Antoine
(**1844)(1849). Époux de BEZED. (1849)(¹⁰)
LIMONAIRE
Jeune (**1845)(*1850)(*1851)(**1852)(xxxx1855)(*1859)(***1863)(**1879)
LIMONAIRE
Frères & Cie
(1886)(y1889)(x1890)(xx1890)
ou
LIMONAIRE Fils & Cie
(*1889)
1886 -
"Paris.— Formation de la Société en commandite LIMONNAIRE frères et Cie, fab.
de pianos et orgues, rue des Petits- Champs, 20, — Durée; 20 ans. — Cap.:
80,000 fr. dont 65,000 fr,. eu commandite. — Acte du 29 janv. 1886. — J. g.
d'A."
Archives commerciales de la France. 10/02/1886, p. 163 (gallica.bnf.fr)
1907 -
"A la date du 28 septembre 1907, M. Blache, demeurant à Paris, 7, rue Christian-Dewet, a déposé à la Préfecture de police les statuts d'une
société de secours mutuels qu'un groupe de personnes ont l'intention de
constituer sous la dénomination de Société de secours mutuels du personnel
de la maison Limonaire frères. Le but de cette association' sera d'assurer à
ses membres participants, en cas de maladie ou blessures, des secours. Le
siège social sera établi à Paris, 166, avenue Daumesnil."
Recueil
des actes administratifs de la Préfecture du département de la Seine,
09/1907, p. 594 (gallica.bnf.fr)
1908 -
"Paris — Formation. — Société en nom collectif LIMONAIRE frères, orgues et
pianos mécaniques, 166, av. Daumesnil — 20 ans — 300,000 fr. — 4 janv. — P.
A."
Archives commerciales de la France, 29/01/1908, p. 122 (gallica.bnf.fr)
«LIMONAIRE
Frères»
(z1900)(z1902)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1921)(x1926)
'Manufacture de pianos automatiques et orchestrions'
(*1913) ------- 'Manufacture de pianos automatiques et
pneumatiques, Orgues, Orchestrions' (**1921) ------- 'Facteur de pianos'
& 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926)
1921 -
Repris par
S.F.I.M.P. (**1921)
1932 -
"Habitations à bon marché ou à loyers moyens [...] N° 6 du plan. — Villa
Maurice, 5 (totalité). — Limonaire (Armand-Camille), veuve née Grigna et
Flament (Georges), Limonaire, indivis, et Société pour la fabrication des
instruments de musique pneumatiques (M). — La Ville de Paris (Office public
d'habitations à bon marché) (D)."
Recueil
des actes administratifs de la Préfecture du département de la Seine,
11/1932, p. 1175 (gallica.bnf.fr)
Lyon
'Niederlage von Orchestrions, mechanische u. elektr. Pianos
etc.' (x1912) à Lyon
Milan, Italie
'Handlung u. Niederlage von automatischen u. mech.
Orchestrions u. Pianos. Fabrik in Paris' (x1912) à Milan, Italie
"Limonaire
Jeune, invention et perfectionnement, nouveau système de mécanique, dont
les notes répètent à tous les enfoncements des touches sans avoir besoin
de relever les doigts, Montorgueil, 27 et 29."
Annuaire
général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des
départements et des pays étrangers, 1846, p. 559 (gallica.bnf.fr)
"Limonaire
jeune, invention et perfectionnement, nouveau système de mécanique dont les
notes répètent à tous les enfoncements des touches sans avoir besoin de
relever les doigts, nouveau système d'attaches de cordes invariables contre
la détention et l'accord, (B) 1849, Montorgueil, 27."
Annuaire
du commerce Didot-Bottin, 1850, p. 612 (gallica.bnf.fr)
"LIMONAIRE
(A.), auteur du marteau répétiteur, etc. . Rue Neuve-des-Petits-Champs, 20."
Nouveau
dictionnaire de musique illustré, Charles Soulier, 1855
"Limonaire
jeune, pianos à queue et droits à double
échappement, brev. t. g. d. g., exportation, ® 1849, méd. de Ire cl. à
l'Exposition universelle 1855, Neuve-des-Petits-Champs, 20." Annuaire
et almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et
de l ..., 1859
"Limonaire
jeune, grande fabrique de pianos à queue, pianos droits à double
échappement, breveté, exportation, expositions, méd. de 1re classe en 1855,
rue Neuve-des-Petits Champs, 20."
Annuaire
spécial des artistes musiciens, 1863, p. 121 (gallica.bnf.fr)
" Limonaire jeune, pianos à queue et droits à double
échappement brev. s. g. d. g., exportation, (B) 1849, Méd. dé 1re univ.
Paris 1855, 1867 et 1878 Nve-des-Petits-Champs, 20, et St. Sabin, 68."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration, 1879, p. 1396 (gallica.bnf.fr)
"LIMONAIRE FRÈRES, manufacture de PIANOS
ÉLECTRIQUES, PIANOS ORCHESTRIONS, PIANOS A CARTONS, PIANOS AUTOMATIQUES à
ressort, marchant avec une pièce de 0 fr. 10., av. Daumesnil, 166. - [0 Roq.
04.08."
Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1914, p. 2787 (gallica.bnf.fr)
TÊTE D'UNE FACTURE
Facture ca. 1893
PUBLICITÉ
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et
de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des
départements et des pays étrangers : Firmin Didot et Bottin réunis,
1889, p. 111 (gallica.bnf.fr)
dans
Welt-Adressbuch der gesamten Musikinstrumenten-Industrie, 1912,
p. 143
(digital.sim.spk-berlin.de)
VOIR AUSSI ...
... un autre de la famille :
LIMONAIRE
(°1869) à Bayonne, sur sa signature on peut voir : 'Fabrique de
pianos de Paris'. Un lien avec ce LIMONAIRE Antoine de Paris et
LIMONAIRE Ainé
à Paris
INFO EXTRA
Site sur
'LIMONAIRE
Frères'
|
Liste des exposants
Paris, 1844 |
Médaille de bronze Paris, 1849 | Médaille de 1e classe
Paris, 1855 |
Liste des exposants Paris, 1867 | Médaille de bronze Paris,
1878 | Médaille de bronze Paris, 1889 |
Diplôme de médaille d'or, Lyon, 1894 |
Médaile d'or Amsterdam, 1895 |
Médaille d'or Bruxelles, 1897 | Médaille d'or Paris, 1900 | Médaille
d'or Louisiane (État du Sud des États-Unis), 1904
|
LOMBARD |
1840 |
"M.
Lombard, accordeur et égalisseur chez M. Pape, fabricant de pianos à Paris,
étant de passage dans cette ville, prévient les personnes, qui auraient des
pianos à réparer ou à accorder, de vouloir bien le faire prévenir, qu'il
s'empressera de se transporter à leur domicile. S'adresser chez M. Ricot,
traiteur, rue Porte-Nove, ou chez M. Meissonnier, rue Saint-Rome, n° 28."
Le journal de Toulouse, 07/01/1840
|
Paris |
115,
rue faubourg du Temple (**1837)(arr.10)
69, rue faubourg du Temple (xx1839)(arr.10)
8, Place Saint-Sulpice (1840)(xxxx1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(arr.6)
51, rue de la
Bienfaisance (*1851)(**1852)(arr.8)
ateliers :
21, rue Mazarine
(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(**1864)(arr.6)
|
|
Avant devenir
'Facteur de pianos'
droits
ca.
1837-64;
(¹)
Il était 'accordeur de pianos' (**1837).
LOMBARD
Père (xx1856)
GEORGES Alphonse
(°1869), successeur dès 1869 |
|
MARIX Mayer & MARIX Léon
Pub de 1919
Pub de 1921,
Adresses-Musique de 1921, p. 414
|
1840 |
Pianos droits, pianos automatiques, pianos pneumatiques et
electriques, harmoniums, accordéons, harmoniflûtes
LONDRES -
"J'aperçois ici M.
Mayer-Marix. Que vient faire ce brocanteur du passage du Panorama à
l'Exposition universelle? Quel est son titre? qu'a-t-il enfin construit ? un
harmoni-flûte, dirat-on. Mais ne sait-on pas que ce petit instrument
appartient à M. Busson qui le fabrique et le vend à M. Mayer-Marix lequel a
acheté le droit de vente et d'exploitation."
Douze jours à Londres: voyage d'un mélomane à travers l'Exposition
universelle, Adolphe Le Doulcet marquis de Pontécoulant, 1862, p. 120
- Voir
BUSSON
(°1835) plus haut sur cette page.
"M. MARIX, facteur de pianos, d'orgues et d'accordéons, passage des
Panoramas, 47, invite MM. les artistes et amateurs à venir essayer ses
orgues expressifs, qu'il garantit supérieurs à tout ce qu'il a fait jusqu'à
ce jour. M. Marix, jeune, donne aussi des leçons d'accordéon chez lui et à
domicile." Le Ménestrel, 08/05/1836
"Avis :
Monsieur MARIX, facteur d'orgues expressives (harmoniums) et d'accordéons,
fournisseur de S.A.R. Madame la princesse d'Orléans, ci-devant passages des
Panoramas et Choiseul, maintenant rue du faubourg Montmartre, n° 4, à Paris,
donne des leçons de chant, de piano et d'orgues." (¹⁰) Journal des Débats du
12/05/1839
TÊTE D'UNE FACTURE
|
Paris |
boulevard Montmartre, passage des Panoramas
(1835)(¹⁰)(arr.2)
64,
galerie Vivienne (1835)(¹⁰)(arr.2)
47, Passage des Panoramas
(1836)(1839)(arr.2)
4, rue faubourg Montmartre
(P1839)(1844)
146, rue Montmartre
(1855)
45, Passage des Panoramas (1862)(arr.2)
48, Passage des Panoramas
(*1875)(yyy1878)(**1884)(**1885)(**1888)(1889)(xx1890)(*1896)(x1906)(*1909)(*1910)(x1912)
(*1919)(**1921)(x1922)(x1926)(*1938)(arr.2)
38, rue Vivienne (*1894)(**1898)(x1906)(x1912)(**1914)(*1919)(**1921)(x1922)(x1926)(arr.2) |
|
'Facteur de pianos', orgues
expressives, harmoni-flutes, harmoniums et accordéons
ca. 1835-1938 [depuis
1840
(**1921)(x1926)]
Selon 'Musique-adresses' de
1913, la maison est fondée en 1840. Mais selon les publicités anciennes,
probablement avant 1836.
MARIX
& CHAMEROY
(1835)(¹⁰), voir
CHAMEROY
MARIX
(1836)
1838 -
"Le 16/03/1838, dans un acte notarié
comportant société entre ledit et MARIX Léon, facteur d'orgues, passage des
Panoramas, n° 20 et aussi PICART Chrysogône Joseph Christophe, facteur
d'orgues, rue du Puits Vendôme, n° 1er lesquels se sont associés dans une
société en nom collectif pour la fabrication et la vente des orgues
expressifs et accordéons. La siège est à cette dernière adresse sous la
raison FAVIER ; MARIX et PICART. Source : D31u3-76/Pièce 506."
nformations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et
son équipe «
éclat de bois
»
MAYER
& MARIX,
'facteur d'orgues et d'accordéons' (*1846), 'orgues séraphiques' en 1844.
1840 -
"MARIX Mayer, Facteur d'orgues, associé, rue du faubourg Montmartre, n° 4. Le
20/02/1840, lors d'une sentance arbitrale du tribunal de commerce concernant
ledit mais aussi MARIX Léon, aussi facteur d'orgues, laquelle société est
dissoute à compter du 01/01/1840. Source : D31u3-90/Pièce 616." Informations
généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe «
éclat de bois
»
1845 -
"MARIX Mayer, Facteur d'instruments de
musique, rue du faubourg Montmartre, n° 20. Cité le 16/03/1845, dans un
jugement arbitral du tribunal de commerce où est comparu leditet WINDER
Ernest, fabricant d'accordéons, rue des Fontaines du Temple, n° 5, lesquels
nous ont dit, etc. Source : D31u3-133/Pièce 1096."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et
son équipe «
éclat de bois
»
MARIX
M., 'orgue et
harmonium' en 1855
MAYER-MARIX,
'harmoni-flutes' en 1859, 1862 et 1867. Voyez une publicité dans
Guide du monde élégant à Paris, Janvier 1859, Hôtel du Rhin, place
Vendôme, p. 30 (gallica.bnf.fr)
MORHANGE
L.
(*1875)(yyy1878)(**1884)(1889),
gendre et successeur, 'harmoniflutes, harmoniums, accordeons'
'Pianohandlung' (xx1890)(x1906)(x1912) ------- 'Piano- u.
Harmonium-Handlung' (x1926)
MORHANGE
A[dam]
(*1894)(*1896)(x1906)(*1909)(*1910)(x1912)(**1914)(*1919)(**1921)(x1926),
successeur
A aussi laisser producer temporairement ces pianos par
LEGUERINAIS
(°1856)
|
Liste des exposants
Paris, 1839 | Liste des exposants Paris, 1844 | Liste des
exposants Londres, 1862 | Liste des exposants Paris, 1867 | Liste des
Exposants Paris, 1878 | Liste des exposants Paris, 1889 | Mention
honorable Anvers, 1894 | Médaille de bronze Bruxelles, 1897
|
HENRY |
1840 |
" WILLEMOT,
rue Saige, 3 Instruments de toutes sortes : à cordes, en bois et en
cuivre. - Pianos de tous facteurs. - Musique pour Pianos et autres
Instruments. Romances, chansonnettes."
Guide Bordelais, etc, 1869,
p. 76 |
Bordeaux |
12, rue des Piliers-de-Tutelle
(vvv1855)(yy1857)(***1858)(**1859)(yy1862)
3, rue Saige (y1869)
9, rue Saige (xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1913)(**1921)
|
|
Facteur et/ou marchand de pianos droits et éditeur
de musique
ca. 1855-1921
Repris par WILLEMOT
[WUILLUMOT]
vers 1857; WILLEMOT
était 'professeur, marchand de musique et d'instruments, location de pianos'
WILLEMOT
Veuve (xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)
'Pianohandlung' (xx1890)
Repris par
RIFFAU H. (*1913)(**1921).
|
|
THIBOUT
Amédée
Benoit
(1822 - 1877)
Publicité de 1875
|
1840 |
THIBOUT
sur ce site
Pour lire les commentaires sur les expositions, cliquer sur le lien ci-dessus.
SOUS-MARQUE
PARIS-PIANO d'
Amédée THIBOUT vers 1890. (²³).
'FARFAIT'
était aussi une sous-marque de Amédée THIBOUT utilisée dès 1902 (²¹)
"Thibout
(Amed.) et Cie, facteurs de pianos droits et carrés, location pour la ville
et la campagne, échange et reparation de pianos, B. 1844, Faub. Montmartre,
21."
Annuaire
général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des
départements et des pays étrangers, 1846, p. 559 (gallica.bnf.fr)
"MÉDAILLE
D'ARGENT 1867. Amédée THIBOUT et Cie (N.-C.), facteurs de pianos, magasins
rue du Faubourg-Montmartre, 21, fabrique rue de Laval, 33. Maison fondée en
1840. Médailles aux Expositions 1844 et 1849. - France. Exportation."
Catalogue
officiel des exposants récompensés par le Jury international, 1867, p.
89 (gallica.bnf.fr)
"Un
de nos plus habiles facteurs, M. Amédée Thiboust [sic], avait réuni
dernièrement un grand nombre d'amis, pour l'audition doses pianos nouveau
modèle, qui vont représenter l'industrie française à l'exposition de Vienne.
Ce sont MM. Lavignac et Lack qui ont servi de parrains à ces excellents
instruments et qui en ont fait valoir les ressources et les qualités."
Le
Ménestrel, 13/04/1873, p. 159 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1885 : "April
29, 1885. — MADAME VVE. AMEDEE THIBOUT. Substitute for wood by use of
frames of iron, having abutting arches for resisting tension of strings
; string plate and wrest-plank being also of metal."
The History of the Pianoforte: With an Account of
the Theory of Sound and ..., Edgar Brinsmead, 1889, p. 239
VOIR AUSSI ...
THIBOUT
Aimé (°1834) à
Paris, même époque
|
Paris
Ivry
Saint-Ouen |
rue Coquenard (1840)[?](arr.9)
6, rue des Filles du Calvaire (**1844)(arr.3)
21, rue du Faubourg-Montmartre (1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(**1857)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(**1864)(**1870)(arr.9)
7, rue du Faubourg-Montmartre (xx1861)(***1863)(arr.9)
24 ou 21 (?), rue du Faubourg-Montmartre (*1867)(yy1867)(arr.9)
2, rue Frochot (1870)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(**1888)(xx1890)(**1898)(z1900)(arr.9)
28 [26 ?], rue de Laval (**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1882)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(arr.3)
[28]-33 (33 = fabrique), rue de
Laval (yy1867)(**1870)(**1873)(**1876)(**1877)(**1878)
(yyy1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)
(*1889)(arr.3)
28,
rue Victor Massé (**1888)(xx1889)(x1890)(xx1890)(*1894)(***1896)(**1898)(z1900)(arr.9)
28-33, rue Victor-Massé (**1898)(arr.9)
28, rue Laval (1893)(arr.3)
Magasin : 27, rue
des Petits-Hôtels,
place Lafayette
(***1900)(z1902)(**1904)(x1906)(**1907)(*1909)(*1910)(x1912)(**1914)(arr.10)
Usines : 45, rue des Haies (**1914)(arr.20)
à Paris
Usine à vapeur
(**1881)
à Ivry
Magasin
: 44-46,
6, rue Mathieu prolongée (xx1890)
Usine
:
6, rue Mathieu prolongée (x1906)
Usine : 6, rue Blanqui
(**1911)(**1912)(x1912)
à Saint-Ouen
|
20 à 25 ouvriers produisant 75 à 90 pianos par an 1840
80 ouvriers et 500 pianos par an 1867
700
pianos par an vers 1893 |
'Facteur de pianos'
droits, pianos à queue et harmoniums
ca. 1840-1914 [depuis
1825 (x1912) ou
depuis 1840
(*1913)]
Époux de BARON Marie Louise (ca. 1827 - 1848)(¹⁰)
Élève de PAPE et MUSSARD. (voyez
Pontécoulant, expo 1867)
"THIBOUT (Amédée-Benoit)
s'étabtit en 1840, après avoir fait son apprentissage chez Mussard et
travaillé quatre ans chez PAPE; Mme veuve Thibout [...] acquit le fonds
HERZ en 1891."
Encyclopédie de la musique et dictionnaire du conservatoire, 1927, p. 2079 (gallica.bnf.fr)
THIBOUT
Amédée & Cie
(yy1851)(xxxx1855)(xx1858)(xx1860)(**1870)
"Après avoir fait son
apprentissage chez Mussard et avoir travaillé quatre ans chez PAPE,
THIBOUT (Amédée-Benoit), fils du luthier J.-P. THIBOUT, dont il sera
question plus loin, s’établit fort modestement en 1840. Il n’occupa
d’abord que 20 à 25 ouvriers produisant 75 à 90 pianos par an; en 1867,
il en construisait environ 500 avec 80 ouvriers tant à l’atelier qu’au
dehors; aujourd’hui la maison en emploie une centaine et fait à peu
près 700 pianos. A. THIBOUT s’est acquis une certaine réputation pour la
fabrication des instruments à prix modérés. Il mourut le 14 fév. 1877, à
l’age de 54 ans. Par suite de ce décès, c’est Mme veuve THIBOUT, qui
prit part à l’exposition de 1889 où elle obtint une médaille d’argent
pour ses divers instruments parmi lesquels on remarqua un piano à cadre
en fer au prix très accessible de 550 fr., destiné à l’exportation. Mme
veuve THIBOUT, en présence des suffrages recueillis par ses instruments
et des récompenses précédemment obtenues (médaille d’or, Bruxelles,
Amsterdam, Anvers) ne crut pas devoir accepter cette médaille et, par
exploit d’huissier, elle notifia son refus à l’administration. En 1891,
après avoir acquis le fonds H. HERZ, Mme veuve THIBOUT s’est associée
son fils Hugue-Amédée (né le 2 juin 1862), qui avait été nommé officier
d’académie l’année précédente, et elle continue avec lui, sous la raison
sociale Am. THIBOUT et Cie, son ancienne fabrication."
Les
facteurs d'instruments de musique : les luthiers et la facture instrumentale
: précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893
1877 -
"On nous apprend la mort,
aussi prématurée qu'inattendue, de M. Amédée Thibout, l'honorable chef
d'une de nos plus importantes fabriques dé pianos, mort dans sa
cinquante-quatrième année. Ses obsèques ont eu lieu vendredi dernier à
l'église Notre-Dame-de-Lorette."
La Presse, 20/02/1877, p. 3 (gallica.bnf.fr)
1877 -
"Paris — Dissolution, à
partir du 14 févr. 1877, Jour du décès de M. Thibout, de la Société Amédée
THIBOUT et Cie, fab. de pianos, rue Frochot, 2. — Liquid. : M . Raudeau,
rue de Londres, 56. Jug. du [?] fév. 1877. — G. T."
Archives commerciales de la France. 22/03/1877, p. 363 (gallica.bnf.fr)
THIBOUT
Amédée
Vve. dès 1877
1877 -
"Adjudication en étude de Mr.
Huillier, notaire à Paris, boulevard Haussmann, n° 83, le jeudi 20 septembre
1877, à deux heures. à deux heures, D'UNE FABRIQUE DE PIANOS exploitée à
Paris, r. Laval, 28 et 33, et r. Frochot, 2, dépendant de Société Amédée
Thibout et Cie. Mise a prix 50,000 fr. Marchandises à dire d'expert.
S'adresser audit M. HUILLIER, notaire, et à M. Jules Girandeau, liquidateur,
rue de Londres, n° 56, à Paris."
Le Figaro,
31/08/1877, p. 4 (gallica.bnf.fr) et
Journal
officiel de la République française, 02/09/1877, p. 6124 (gallica.bnf.fr)
1877 -
"L'honorable maison
Amédée Thibout et Cie continuera sa fabrication de pianos droits et
obliques, sous la direction de Mme veuve Thibout assistée de son fils,
et des anciens contre-maîtres de cette importante manufacture."
Le
Ménestrel, 14/10/1877, p. 366 (gallica.bnf.fr)
THIBOUT
A[médée]
& Cie
(**1878)(**1885)(**1880)(xx1889)(x1890)(xx1890)(**1898)(z1900)(z1902)
1890 -
Sous-marque «PARIS-PIANO»
'Pianofabrikant' (xx1890) à Paris
1891 -
Mme. veuve A. THIBOUT a racheté le fonds de Henri HERZ
à la veuve HERZ, mais l'a cédé à
RUCH
(°1869) vers 1891,
voyez
Henri HERZ
(°1825)
1902 -
Sous-marque PARFAIT
'Piano-Fabrik' (x1906)
THIBOUT
Amédée & RIMOUX & Cie
(1907)(x1912)
1907 - "Paris — Formation —
Société en nom collectif Amédée THIBOUT et RIMOUX et Cie, pianos, 27,
Petits-Hôtels — 10 ans — 92.000 fr. — 19 sept. 1907— G. T."
Archives commerciales de la France. 02/10/1907, p. 1246 (gallica.bnf.fr)
'Piano-Fabrik' - 'Herz Pianos' (x1912)
En 1912
HERZ-THIBOUT & Cie,
acheté par
PLEYEL
(°1807)
:
1912 - "Vendeur : Herz et
Thibout et cie - Acquéreur : Pleyel, Lyon et cie - Domicile élu pour les
oppositions : Dufour, notaire, 15, b. Poissonnière - Entrée en
jouissance : de suite - Fonds vendu : Fabr. de pianos et droits
mobiliers, 27, Petits-Hôtels."
Archives commerciales de la France, 04/12/1912, p. 1634 (gallica.bnf.fr)
1913 - "MC/ET/XLVIII/1701
- Cahier des charges pour la vente de 1/6e d’un établissement industriel
et commercial et des noms et marques des pianos Henri Hertz [sic] et
Amédée Thibout et Cie, à la requête de Roger Rimoux, facteur de pianos,
demeurant 27, rue des Petits Hôtels, et Léon Victor Grillet, négociant
en ivoire, demeurant 61, rue de Bretagne. -- En présence de la société
Pleyel, Lyon et Cie. La mise à prix est fixée à 15 180 francs. - À la
suite : 1913, 2 avril. Procès-verbal d’adjudication au profit de Prosper
Paureau, facteur de pianos, demeurant Roissy, pour la somme principale
de 21 200 francs."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
|
Liste des exposants
Paris,
1844 | Médaille d'argent, Paris 1867 | Médaille pour
le Mérite Vienne, 1873
| Médaille d'argent Paris, 1878 | Deux médailles d'argent Melboune,
1880 |
Médaille d'or Amsterdam, 1883 |
Médaille d'or Anvers, 1885
| Médaille d'argent Paris, 1889 | Hors concours Chicago, 1893 | Médaille
d'or Anvers, 1894 | Hors concours Paris, 1900
|
DIEFFENBACHER Jean
Georges
| DEIFFENBACHER |
DIEFFEMBACHER
|
1841 |
Il y
a un autre
DIEFFENBACHER
à Paris, de famille ? (arr.10)
PARIS -
"The working of this upright can been seen trough the glass that is used
instead of a panel." The
Music Trade Review,
1889
PARIS -
"43. DIEFFENBACHER (Louis G-.), à Paris, rue de Vaugirard,
55. — Pianos à cordes croisées, cadre en fer, 7 octaves 1/4, en bois noir.
Pianos droits à cordes demi-obliques, pianos droits à cordes obliques avec
sommier prolongé en fer, pianos grand modèle à cordes croisées avec cadre en
fer, 1 octaves 1/4 d'une très grande puissance de sons. Commission.
Exportation."
Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, p. 4
(gallica.bnf.fr)
"Parmi les
meilleurs pianos appreciés des connaisseurs, on place prix de la manufacture
Dieffenbacher, 30, rue Saint-Sebastien, et Boulevard Richard-Lenoir, 83.
Cette maison, fondée en 1840, s'est acquis une juste réparation par
l'excelente sonorité de ses instruments et leur solidité éprouvée."
L' union de la paix
entre tous les peuples civilisés: organe des ..., Volume 2, 1868, p. 2
|
Paris |
36, rue Saint-Sébastien
(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(arr.11)
38, rue Saint-Sébastien (*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(z1855)(arr.11)
50, rue Saint-Sébastien (xxxx1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(***1863)(**1864)(yy1864)(xx1867)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(arr.11)
13, rue de Sèvres (*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(arr.6)
55, rue de Vaugirard
(**1886)(xx1889)(y1889)(x1890)(xx1890)(*1893)(*1896)(*1897)(arr.6)
53, rue Saint-Placide (1896)(**1898)(z1900)(**1904)(x1906)(**1907)(*1909)(*1910)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912à (*1913)(**1914)(arr.6)
8, rue Bréa
(**1910)(**1911)(x1912)(**1913)(arr.6)
12, rue Campagne-Première
(**1914)(arr.14) |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1847-1914
1848 -
"Nominations de syndics [...] Du sieur
DIEFFENBACHER (Jean-Georges), fab. de pianos, rue St-Sébastien, 38, le 23
septembre à 3 heures [N° 8480 du gr.]."
Gazette de Tribunaux, 16/09/1848, p. 4 (data.decalog.net)
1848 -
"Vérifications et affirmations [...] Du sieur
DIEFFENBACHER (Jean-Georges), fab. de pianos, rue St-Sébas-tien, 36, le 24
novembre à 3 heures TNo 8480 du gr.]."
Gazette de Tribunaux, 18/11/1848, p. 4 (data.decalog.net)
1848 -
"Concordats
[...] Du sieur DIEFFENBACHER (Jean-Georges), fab. de pianos, rue
St-Sebastien, 36, le 8 décembre à 3 heures [Nu 8480 du gr.]."
Gazette des Tribunaux, 03/12/1848, p. 4 (data.decalog.net)
DIEFFENBACHER
Frères & Cie
(1875), Société en 1875 (Archives
commerciales de la France. 03/06/1875, p. 495 (gallica.bnf.fr))
DIEFFENBACHER
Frères
(**1877)(**1878)(**1879)
1879 -
"Paris. — Dissolution, à partir du 1er juillet 1879 de la Société
DIEFFENBACHER frères, fab. de pianos, rue de Sèvres, 13. — Liquid. : les
associés. — Acte du 21 mai 1879. — J. g, d'A."
Archives
commerciales de la France. 29/05/1879, p. 698 (gallica.bnf.fr)
Louis-Georges
DIEFFENBACHER
(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(*1889)(x1890)
"6289 X 86 DIEFFENBACHER, Louis Georges. Naissance : 9 septembre 1840
(Paris, Seine, de père badois) - Lieu de résidence : Paris, Seine."
ArchivesNationales, p. 15
(siv.arch.-nat.culture.fr)
'Pianofabrikant' (xx1890)
DIEFFENBACHER Vve.
(1896)
1896 -
"Vendeur : Dieffenbacher (commun.) - Acquéreur : Dieffenbacher (Vve) -
Domicile élu pour les oppositions : 101, Vaugirard - Entrée en
jouissance : de suite - Fonds vendu : Facteur de pianos, 53, St. Placide."
Archives commerciales de la France, 30/05/1896, p. 684 (gallica.bnf.fr)
DIEFFENBACHER L.
(**1898)
DIEFFENBACHER
P.
(z1900)
1903 - "MC/CM//32, 100607
- 26 février 1903 - Dépôt du contrat de mariage sous le régime de la
communauté de biens avec exclusion des dettes entre Jean Louis
Dieffenbacher, facteur de pianos, et Eugénie Alexandrine Mathilde
Painnet, veuve Fiévet, passé devant Me Ducatel à La Fère (Aisne), le 23
janvier 1903."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
DIEFFENBACHER
[L.] Veuve
(x1906)(**1907)(x1912)
DIEFFENBACHER Fils
- ou -
DIEFFENACHER L.
(**1911)(x1912)(**1913)
'Piano- u.
Harmonium-Handlung' (x1912)
Repris par
FORTIN
G.
en 1912 :
1912 -
"Vendeur : Dieffenbacher - Acquéreur : Fortin - Domicile élu pour les
oppositions : au fonds - Entrée en jouissance : de suite - Fonds vendu :
Vente de pianos, 53, St-Placide (Pub. du 12 mars)."
Archives commerciales de la France, 16/03/1912, p. 382 (gallica.bnf.fr)
DIEFFENBACHER
G. (**1914)
DIEFFENBACHER a racheté la maison
ANGENSCHEIDT
(°1850)
|
Mention honorable Paris, 1889
|
GEHRLING Charles
(ca. 1811 - ?)
Fabrique en 1886,
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration, 1886, p. 142 (gallica.bnf.fr) |
1842 |
Mécaniques pour pianos
"EXPLOSION - Une explosion s'est produite dans la chambre de chauffe
de la fabrique de pianos située 59, rue de l'Ourc, à Paris. Deux
ouvriers, Callot et son fils, 14 ans, ont gravement été brûlés, et
l'état du père est grave."
La
Croix, 09/03/1898 (gallica.bnf.fr)
- (et la grande histoire dans)
Le Petit
Parisien, 09/03/1898, p. 3 (gallica.bnf.fr) - "Hier, à trois heurs de l'après-midi, ont eu
lieu les obsèques des deux victimes de l'accident qui s'est produit mardi
dernier dans l'usine de M. Gehrling, mécanicien en pianos, 59, rue de
l'Ourcq et qui a coûté la vie au mécanicien Joseph Callot et il son fils âge
de quatorze ans. C'est de l'hôpital Saint-Louis que sont partis les deux
rorbillards, qui étaient surcharges de couronnes."
Le Petit
Parisien, 11/03/1898, p. 3 (gallica.bnf.fr) et un autre article plus
longue :
La Presse, 09/03/1898, p. 1 (gallica.bnf.fr)
1910 -
"INCENDIE A LA VILLETTE - Le feu
détruit -une fabrique de pianos - QUATRE BLESSES - Un violent incendie a
éclaté cette nuit, vers onze heures, au n° 59 de la rue de l'Ourcq, dans les
bâtiments où sont natailés les ateliers et les magasins de la fabrique de
pianos fondée par M. Gehrling en 1842 et que dirige actuellement M. Douillet
Le gardien, M. Brière, après avoir fait sa ronde de nuit, venait de regagner
le pavillon qu'il occupe, lorsque son attention fut attirée par les
aboiements de son chien. Croyant que des cambrioleurs s'étaient introduits
dans la maison, il alla voir. Le feu s'était déclaré dans l'atelier tie
scierie, au rez-de-chaussée, et déjà les flammes s'élevaient en hautes
gerbes. L'alarme donnée, des agents accoururent, bientôt rejoints par les
pompiers de Bitche. Mais devant les progrès rapides de l'incendie, qui,
trouvant un aliment facile dans les matériaux amassés, avait pris en
quelques minutes des proportions considérables, ils durent demander du
renfort, bornant leurs efforts à préserver les bâtiments voisins. Bientôt
arrivèrent sur les lieux les pompes de l'état-major des casernes Carpeaux,
Chateau-Landon, Charonne et Blanche. A ce moment, les quatre étapes de la
fabrique étaient embrasés. Les ateliers ne formaient plus qu'un énorme
brasier. Après plus de sept heures de travail au petit jour seulement les
pompiers étaient maîtres du feu. Des établissements de M. Douillet, il ne
restait plus que les murs calcinés et menaçant ruine. Les dégâts
dépasseraient 600,000 francs."
Le Petit
Parisien, 12/04/1910, p. 3 (gallica.bnf.fr)
1910 -
"Zaterdag avond is de groote
pianofabriek Douillet, Ourcqstraat, door een een gewel dige brand ten
gronde vernield geworen. Van de uitgestrekte gebouwen blijft nog enkel
een reusachtige puinhoop. Do scbade is zeer aanzienlijk. Die
politieagenten en een pompier werden erg gekwetst. Het geheimzinnig
drama te Parijs."
De Volksstem, 06/12/1910, p. 2 (aalst.courant.nu)
PUBLICITÉ
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et
de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des
départements et des pays étrangers : Firmin Didot et Bottin réunis,
1889, p. 120 (gallica.bnf.fr)
|
Paris |
27, rue Corbeau (**1852)
Ferdinand (1862)(arr.20)
14, rue Morand (*1867)(arr.11)
53, rue de l'Ourcq (1876)(1878)(arr.19)
59, rue de l'Ourcq (**1886)(1889)(x1890)(1910)(**1911)(*1913)(**1914)(x1922)(**1925)(*1935)(arr.19) |
|
Fabricant de mécaniques pour pianos
ca. 1852-1935
GEHRLING Charles Auguste Daniel : facteur de pianos, né à
Berlin (Allemagne) ca. 1811. Il a été depuis 19 juin 1842
à Paris, et demeure à Paris.(⁴)
Il fabriquait des mécaniques et
claviers pour pianos et appareils pneumatiques, utilisé par des
facteurs suivants
comme BOISSELOT, BURGASSER, KLEIN, FRANTZ,
FOCKE, COUPLEUX Frères et De PROUW-AUBERT.
GEHRLING Ch.
Fils
(y1885)(x1890)
Repris par
DOUILLET A. sous le nom
GEHRLING & DOUILLET.
(1911)(*1913)(**1925)(*1935)
1925 -
"GEHRLING et DOUILLET (Soc. an. des Ane. Etabl.), 59, r. de l'Ourcq,
Paris, 19° T. Nord 13-99. Cap. 1.000.000 de fr. Usine à vapeur, 59,
r. de l'Ourcq. Usine électrique, 40, r. de l'Ourcq. Agences :
Moncalieri (Italie); 12, Calle Nueva de Dulce, Barcelone; 36,
Southwark (Bridge Road E.C.), Londres. Travaux de précision en bois.
Mécaniques de pianos, claviers pour pianos et harmoniums, pièces
détachées pour pianos et orgues. Appareils automatiques pneumatiques
et électriques pour pianos et harmoniums. Pièces détachées de bois
de précision pour appareillage électrique, etc. Meubles de série.
Chambres à coucher et salles à manger. (1/1-111217)." Annuaire
industriel. Répertoire général de la production française, 1925 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1876 : "112,620. Brevet de quinze ans, 28 avril 1876; Gehrling fils,
à Paris, rue de l'Ourcq, n° 53. Mécanique de piano à queue à répétition."
Bulletin des lois de la République française, 07/1877, p. 218 (gallica.bnf.fr)
(la suite)
1912 -
"Saboteurs amateurs. La fabrique de mécaniques pour pianos
automatiques Douillet, 59, rue de l'Ourcq, occupe une soixantaine
d'ouviers. Or, deux fois depuis un mois, les travaux ont été arrêtés
pendant plusieurs heures, parce qu'une main criminelle avait coupé
les courroies de transmission et fait sauteur les poulies, au risque
de tuer plusieurs ouvriers. Une surveildanre fut organisée par deux
inspecteurs de la Sûreté. Avant-hier, Ils surprenaient en flagrant
délit trois apprentis mécaniciens, Louis Robinard, 16 aus, Edouard
Blaux, 13 ans, et Victor Riffet, 15 ans également. Le dernier était
porteur d'un rasoir pour couper les courroies. Ils ont dit qu'ils
avaient agi ainsi uniquement pour faire suspendre les travaux est
avoir ainsi quelques heures de loisir pour aller se promener."
La
Croix, 20/01/1912 (gallica.bnf.fr)
VIENNE -
"4. Gherling ainé in Paris
(Mechaniken); besteht seit 1842, beschäftigt 100 Arbeiter, 10 Frauen und
eine Dampfmaschine von 15 Pferdekraft; er stellte aus 3 Mechaniken und 13
Modelle."
Musikalische Instrumente, [Expo Vienne], Oscar Paul,
1874, p. 70
LONDRES -
"3631. GEHRLING, CH. FILS, 59 Rue de l'Ourcq, Grande Villette, Paris
(Agents, C. ERHARDT & CO., 38 & 39 Brooke Street, Holborn, London, E.C.).
-Pianoforte Actions."
Official Catalogue, 1885, p. 318
|
Diplôme d'honneur Londres, 1862 | Médaille de bronze Paris, 1867 | Médaille de
mérite Vienne, 1873 | Official Catalogue Philadelphie, 1876
| Médaille d'argent
Paris, 1878
| Médaille d'or, Melbourne, 1881
|
Diplôme d'honneur Anvers, 1885 | Médaille d'or Paris, 1889
|
GIRARD
Hyacinthe Joseph
(? - 1871 ?)
|
1842 |
"Girard,
membre de la société syndicale des fabricants de pianos de Paris, fabrique,
location, échange, accord, Banque, 5, entrée par la galerie Vivienne."
Annuaire
du commerce Didot-Bottin, 1859, p. 813 (gallica.bnf.fr)
"GIRARD; location depuis 10 fr. Ventes à tempérament depuis 20 fr., grand
choix d'occasions depuis 500 fr., r. de la Banque, 5, au 1er (Entrée par la
galerie Vivienne)."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration, 1907, p. 2494 (gallica.bnf.fr)
PUB
Paris-adresses : annuaire général de l'industrie et du commerce : corps
constitués, administrations, professions libérales, propriétaires,
rentiers, etc... de Paris et du département de la Seine, 01/01/1931,
p. 1966 (gallica.bnf.fr)
|
Paris |
Galerie Vivienne
(*1850)(arr.2)
5, rue de la Banque,
Galerie Vivienne
(1851)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(y1889)(xx1890) (*1893)(xx1894)(*1895)(*1896)(*1897)(**1898)(z1900)(1901)(*1902)(z1902)(*1903)(**1904)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(**1907)(*1909)(*1910)(**1911)(**1912)(z1931)(arr.2) |
|
'Fabr. et accord de pianos'
droitsca. 1850-1931 [depuis
1848 (z1931]; (*1859)
GIRARD & Cie,
5, rue de la Banque;
Membre de la Société Syndicale des fabricants de Pianos de Paris.
Membre d'
ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris
(°1849)
GIRARD
& Cie (**1864)(**1871)(*1876)
1871
: "Girard. Fabricant de pianos. [Décédé ?]."
Les
anciens élèves de l'école centrale 1832-1888, 1889, p. 80
GIRARD
Fils
dès 1881 :
1881 - "Vendeur : Girard Père -
Acquéreur : Girard Fils - Domicile élu pour les oppositions : rue de la
Banque, 5 - Entrée en jouissance : 1er mai 81 - Fonds vendu : F. facteur
pianos, rue de la Banque, 5."
Archives
commerciales de la France. 19/07/1881, p. 663 (gallica.bnf.fr)
"Girard. Fabricant de
pianos."
Les anciens élèves de l'école centrale 1832-1888, édité 1889, p. 80
GIRARD
(xx1890), 'Pianohandlung'
GIRARD
Joseph
(1893)
GIRARD
A. (x1906)
1908 -
NICLOT L.,
succ. en 1908 :
1908 - "Vendeur : Girard père -
Acquéreur : Niclot - Domicile élu pour les oppositions : au fonds - Entrée
en jouissance : 1 nov. - Fonds vendu : Facteur de pianos, 5, Banque"
Archives
commerciales de la France, 12/12/1908, p. 1590 (gallica.bnf.fr)
GIRARD,
'accordeur de pianos' (**1912)
VOIR AUSSI ...
... autres fabricants avec ce nom :
DE GIRARD
Philippe
(°1805) et
GIRARD (vers 1900)
DE GIRARD
Philippe
(°1805)
|
Liste des exposants
Chicago, 1893 | Liste des exposants Bruxelles, 1897 | Médaille d'Or
Louisiane (État du Sud des États-Unis), 1904
|
MAGNUS
Adolphe |
1842 |
"ANCIENNE
MAISON BESVILLE. - ELFERS ET MAGNUS, successeurs. Pianos, Musique,
Instruments, 20, rue Jeanne-d'Arc, 20. La musique se vend avec la remise
des 2/3 sur les prix marqués. Abonnement depuis 12 francs par an donnant
droit à toute espèce de musique sans exception. Pianos des meilleures
maisons de Paris, garantis très-solides."
Journal du Loiret, 01/11/1873, p. 4
(Aurelia.Orléans.fr)
"Pianos.
- Maison fondée en 1842. Vve. Magnus & Fils, 33, rue Jeanne d'Arc. Orléans.
VBNTE DE PIANOS â 25 francs par mois. LOCATION DE PIANOS DEPUIS 8 fr. PAR
MOIS. Abonnement à la lecture musicale depuis 1 fr. 50 par mois. FABRIQUE DE
VIOLONS, DÉPÔT DE CORDES D'ITALIE. Chanterelles depuis 0 fr 15. AVIS TRÈS
IMPORTANT. La Maison ne vend jamais aucun Piano sans le garantir. NOTA. - La
Maison ne faisant que la Commission pour les instruments de cuivre peut les
laisser à des prix très modérés."
Journal du Loiret, 12/04/1895, p. 4 (Aurelia.Orleans.fr)
"Vve
Magnus & Fils, 33, rue Jeanne d'Arc, Orléans. Pianos.
VENTE + ÉCHANGE + LOCATION + REPARATIONS + ACCORDS.
Seuls dépositaires des pianos FOCKÉ, hors concours,
membre du jury 1900 - Pianos neufs depuis 650 fr. Nota :
La maison ne vend aucun piano sans le garantir. Pianos
de tous Facteurs - Grand abonnement à la lecture
musicale. - Violons - Location, Réparation, Achat de
vieux Violons. - Téléphone 2-30 - Vente de pianos des
pianos de 25 fr. par mois - Dépôt de pianos Erard –
Pleyel – Gaveau, etc. - Nota : la Maison vend les pianos
le même prix que les fabricants et offre l'emballage et
le transport."
Journal du Loiret, 01/07/1903, p. 4
(Aurelia.Orléans.fr)
"Pianos
- Musique - Instruments. Magnus-Focké. Maison fondée en 1842. Exposition
général, dimanche 2 avril. Représentant des Maisons Erard, Pleyel, Gaveau,
Herz, etc. Représentation exclusive des pianos Focké, Steinway. Orgues Estey
et de The Aeolian C° Ltd. Pianola et Pianola-piano."
Journal du Loiret, 02/04/1911, p. 3 (Aurelia.Orléans.fr)
LYON -
"A l'exposition de Lyon M.
Focké, le facteur de pianos si connu à Orléans, vient d' être élu hors
concours et membre du jury à l'exposition de Lyon. Nos félicitations à M.
Magnus, son représentant et son beau-frère."
Journal du Loiret, 15/08/1894, p. 4 (Aurelia.Orléans.fr) - voir
FOCKÉ
(°1860)
à Paris.
CARTE POSTALE
|
Orléans
Saint-Malo |
MAISON PRINCIPALE :
20, rue Jeanne-d'Arc
(***1876)(y1877)(x1878)(*1879)
Siège social : 33, rue Jeanne d'Arc
(***1886)(**1887)(***1895)(x1903)
45,
rue de l'Eglise-Saint-Marc
(***1886)(**1887)
13, rue Louis-Rouget (*1906)
30, rue Jeanne d'Arc (x1906)(x1910)(x1912)(*1913)(**1921)(x1926)(*1929)
à Orléans
SUCCURSALE :
4, rue de lza Paroisse
(x1910)(*1913)(**1921)(x1926)
4, rue St. Barbe (*1929)
à Saint-Malo |
|
Facteur et/ou marchand
de pianos droits
ca. 1876-1929 [depuis
1842
(x1906)(x1912)(x1926)]
Orléans
ELFERS
& MAGNUS (***1876)(y1877)(x1878)(*1879)(1886),
par
Vve. MAGNUS
en 1886 ou
BODESCOT,
et voir
ELFERS
1886 - "Orléans. — Prorogation
au 24 juin 1896 de la Société ELFERS et MAGNUS, facteurs de pianos. — Cap. :
30,000 fr. — Acte du 21 juin 1886."
Archives
commerciales de la France, 21/07/1886, p. 908 (gallica.bnf.fr)
"Etude
de Me MERLIN, avocat-agréé à Orléans.
SUIVANT ACTE sous
seings-privés en date à Orléans du 21 juin, portant cette mention :
enregistré à Orléans, le 22 juin 1886. folio 17, recto, case 5°. Reçu pour
droit gradué quarante francs, promesse de vente trois francs, décimes dix
francs soixante quinze centimes, total cinquante trois francs
soicante-quinze centimes (signé) Ollier ; Intervenu entre M. Auguste Elfers,
facteur de pianos, demeurant à Orléans, rue de l'Église Saint-Marc, n° 45,
et Mad. Annette Bodesoot, aussi facteur de pianos, demeuiant à Orléans, rue
Jeanne-d'Arc, n° 33, veuve de M. Adolphe Magnus ; La société en nom
collectif qoi existait entre eux et qui devait prendre fin le 24 juin 1886,
a été prorogée de dix années à compter de cette date c'est-à-dire jusqu'au
24 juin 1896 ; Toutefois chacune des parties aura le droit de la faire
cesser avant cette date du 24 juin de l'une des années prévues pour sa durée
à la charge par elle de prévenir l'autre de son intention à cet égard au
moins six mois d'avance par lettre recommandee ; Le siège social sera à
Orléans, rue Jeannu-d'Arc, n° 33 ; La raison et la signature sociales seront
Elfers et Magnus ; La société sera gérée et administrée par les deux
associés ; Chacun d'eux aura la signature sociale, mais ils ne pourront en
faire usage que pour les besoins de la société et aucun emprunt ne pourra
être fait pour quelque cause que ce soit dans le concours et la signature
des deux. Cette signature sera également indispensable pour les effets
souscrits ou endossés par la société ; Le capital social continuera à être
de trente mille francs dont quinze mille francs fournis par chacun des
associés ; En cas de dissolution, la liquidation de la société sera faite
par le survivant des associés si l'on d'eux est décédé et par eux deux dans
tous les autres cas; Deux exemplaires de l'acte dont est extrait ont été
déposé le 21 juin 1886 l'un au greffe du Tribunal de commerce d'Orléans et
l'autre au greffe de la Justice de Parx du premier arrondissement d'Orléans. Pour extrait : Signé : A. ELFERS. V. MAGNUS."
Journal du Loiret, 26/06/1886, p. 3 (Aurelia.Orléans.fr)
MAGNUS
Veuve & Fils (*1895)(x1903)(*1906)(x1906)
'Musikal.-, Piano- u. Instrumenten-Hdlg.'
(x1906)
1910 - "Liquidation judiciaire du
sieur Jean-Léopold-Raoul MAGNUS, facteur de pianos, demeurant à Orléans, rue
Jeanne d'Arc. Répartition dans la quinzaine de la présente insertion, chez
Me Mercier, agrée, aux seuls créanciers vérifiers et affirmés d'un revenant
dans cette liquidation."
Journal du Loiret, 02/10/1910, p. 3 (Aurelia.Orléans.fr)
MAGNUS
& Fils (x1912)
'Handlung mit Musikal.,
Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.' (x1912)(x1926)
MAGNUS-FOCKÉ
(***1911)(x1912)(*1913)(x1926)
-
MAGNUS, représentant
et beaufrère de
FOCKÉ
(°1860)
à Paris
1912 -
"Publications de mariages du 13
juillet 1912. Entre : [...] M. Magnus (Emile-René], facteur de pianos, rue
Jeanne d'Arc, 30, Mlle Bert (Gabrielle-Marie), quai Barentin, n° 12."
Journal du Loiret, 14/07/1912, p. 4 (Aurelia.Orléans.fr)
MAGNUS-FOCKÉ
& Cie (**1921)(x1926)
Saint-Malo
MAGNUS-FOCKÉ
(x1912)(x1926)
'Musikal.- u. Musikinstr.-Handlung' (x1912)(x1926)
|
|
BORD Antoine
(1814 - 1888)(³¹)
|
1843 |
Voyez les anciennes archives de
BORD,
les régistres d'atelier. (Site : Musée de la Musique, Paris)
Piano
à queue n° 72 ca. 1844-47 (?), hammerfluegel.info
Piano
droit ca. 1858-59, Rijksmuseum, Amsterdam, Pays Bas
Piano
droit de 1864, (Piano du Salon de l'Impératrice installé par le
tapissier Penon à l'Exposition de 1867), Musée national du Château de Compiègne,
France
Piano
droit ca. 1878, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles,
Belgique
Brevet de 1845 : "Bord imagine nn mécanisme ayant pour but de faire
instantanément réagir le marteau pour répéter la note sans être obligé de
laisser remonter la touche entièrement. Ce mécanisme consistait dans la
combinaison du pilote et du ressort qui le tient suspendu et le relève au
besoin. (B. F., 4,332)."
Organographie: La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
Brevet de 1846 : "310° Le brevet d'invention
de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 5 octobre 1846, au
secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Bord (Jean-Denis)
pour un mécanisme à double percussion pour pianos."
Bulletin
des lois de la République française, 01/1847, p. 444 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1855 : "Bord, adapta dans ses pianos une garniture de
chevilles à épaulement pour faciliter l'accord. (B. F. 24,049.)"
Organographie: La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
Brevet de 1857 : l'invention de 'BIBI
BORD'
ou un piano de petit modèle, plus tard connu comme 'pianette'.
BORD
sur ce site
Cliquer sur les liens ci-dessus.
"Pianos
- Le sieur BORD, facteur, égaliseur de pianos, envoyé par Flayel [Pleyel],
en province, passant dans cette ville, prié les personnes qui auraient
des pianos en mauvais état, de s'adresser chez M. Meysonnier [sic] père
et fils, marchands de musique."
Journal de Toulouse, 08/06/1837
"Le
sieur Bord, élève de la maison Pleyel, et arrivant dans cette ville pour s'y
fixer, prévient les personnes qui auront des pianos à faire accorder ou
réparer, de s'adresser, rue de la Pomme, n° 24."
Le Journal de Toulouse, 12/07/1837
"A.
BORD - rue du Sentier, 11. - Spécialité POUR PIANOS À QUEUE. Réduction de
pris, deux années de garanties, et on peut avant de conclure une aHraire,
les comparer avec n'importe quel autre instrument que ce soit."
La France
Musicale, 07/01/1844, p. 55 (gallica.bnf.fr)
Publicité
dans
Annuaire musical et orphéonique de France, 1876, p. 323
Publicité
dans
Annuaire du département de l'Hérault, 1885, p. 11 (Archives
départementales de l’Hérault)
"UN JOLI
CADEAU D'ÉTRENNES -
Aux
approches de la nouvelle année, beaucoup de personnes se trouvent
dans le plus grand embarras quand
il leur faut faire choix d'un cadeau pour un jeune homme ou pour une
jeune fille.
Aujourd'hui que partout on apprend la musique
aux jeunes gens, il est un meuble utile et agréable qui sera toujours accueilli avec reconnaissance ; c'est le piano de A. Bord, cet instrument d'une suprême élégance, d'une sonorité incomparable et d'une solidité telle qu'il peut durer toute la vie. A tous ces égards, les pianos de Bord offrent aux acheteurs des garanties exceptionnelles qui méritent d'être prises en sérieuse considération. Rappelons que M. A. Bord, chevalier de la Légion d'honneur, est, pour les écoles, le fournisseur du ministère de l'instruction publique et que pendant le mois écoulé il a vendu 408 pianos.
S'adresser, pour les commandes, à la maison de
vente, 14 bis, boulevard Poissonnière, à Paris."
Le Panthéon de l'industrie : journal hebdomadaire illustré, 1886,
p. 406 (gallica.bnf.fr)
VOIR AUSSI ...
rue Le Peletier, à
Paris
PUB
Pub pour A. Bord pianos 1902
(museumcollections.rcm.ac.uk)
Pub pour A. Bord pianos 1903
(museumcollections.rcm.ac.uk)
|
Paris
St.
Ouen
Londres,
Angleterre |
11, rue du Sentier
(**1844)(**1846)(**1847)(arr.2)
26, rue du Sentier
(**1845)(arr.2)
36, boulevard Bonne-Nouvelle (1849)(arr.2)
35, boulevard Bonne Nouvelle (**1847)(*1850)
(*1851)(**1852)(xxxx1855)(**1856)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(yy1864)(arr.2)
37 [?], boulevard Bonne
Nouvelle
(z1855)(arr.2)
27, rue Tronchet (1855)(arr.9)
16, rue des Petits Hôtels
(xx1857)(xx1858)(arr.10)
7, 17-18, rue des Petits Hôtels (xx1859)(xx1860)(arr.10)
11bis boulevard
Poissonnière (yy1864)(arr.9)
11, rue Bergère (1864)(²⁵)(arr.9)
14, boulevard Poissonnière
(*1862)(**1864)(1888)(arr.9)
Ateliers : 64, rue des Poissonniers (**1864)(**1870)(arr.18)
Magasins :
14 bis, boulevard Poissonnière (*1859)(xx1861)(xxx1862)(***1863)(**1870)(**1871)(*1872)(**1873)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(xx1885)(**1886)(**1888)(y1889)(x1890)(xx1894)(**1895)(x1896)(**1898)(***1899)(***1900)(z1900)(z1902)(**1904)(x1906)(**1907)(x1907)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.9)
22, rue Gay-Lussac
(x1907)(arr.5)
Usine : 52, rue des
Poissonniers (1865)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(y1889)(**1898)(z1900)(z1902)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.18)
48, rue des Poissonniers (z1900)(z1902)(arr.18)
33,
rue le
Peletier (**1921)(*1922)(**1925)(x1926)(arr.9)
Usine : 8, rue de la Grotte (**1921)(*1922)(x1926)(arr.15)
32, rue Le Peletier
(z1931)(z1932)(arr.9)
à Paris
62-64, boulevard d'Epinay (1876)
[43], avenue Michelet
(**1911)(**1912) (x1912)
à Saint-Ouen
WEEKES & Co, agents, 14, Hanover Street, Hanover Square, W. (***1882)(yyy1907)
74-76, Southampton Row, W.C. (chez
Charles STILES & Co -
1890-1912)(xx1890)(x1906)(yyy1907)(x1912)
Magasin : 141-146, Theobald's Row, W.C. (yyy1907),
à Londres, Angleterre, U.K.
- Il y avait deux
facteurs avec le nom BORD dans l'Almanach des adresses de paris de 1864
(yy1864). Probablement il s'agit d'un autre facteur de celle-ci. |
1200 (vers 1845)
160 ouvriers (1865)
400 ouvriers (1878)
un totale 50.000 pianos vers
1882
12 pianos par jour, 1888 - 1890
3000 pianos par an vers 1900
100.000 (vers 1900)
134.000 (vers 1930)
|
'Facteur de pianos'
droits et pianos
à queue
ca. 1844-1926 [depuis
1840
(x1906)]
Antoine Jean-Denis BORD, fils d'un boulanger de Toulouse.
Il a travaillé chez des facteurs de piano à Marseille et à Lyon et PLEYEL
(³)
à Paris avant de
s'installer lui-même. (*1928). En 1843,
Antoine Bord s'installe à Paris et il se spécialise dans les petits
instruments rafinés.
"En 1843, alors qu’il commença à fabriquer lui même ses premiers pianos,
Antone-Jean-Denis BORD, tout optimiste qu’il put être, ne dut
certainement pas prévoir l’importance qu’acquerrait sa manufacture,
laquelle comporte aujourd’hui 300 ouvriers et d’où il est sorti
jusqu’ici 84 000 pianos, soit une moyenne de 12 par jours. Humble fils
d’un boulanger de la rue des pénitents noirs, à Toulouse, où il naquit
le 13 octobre 1814.
A. BORD reçut du gouvernement français la croix de
la Légion d’honneur (26 sept. 1883). En 1877, Antoine BORD avait appelé
auprès de lui son neveu, M. Antonin BORD, né à Toulouse en 1853, pour en
faire son élève et collaborateur, et à sa mort (5 mars 1888), ce dernier
qui dirigeait les ateliers depuis 4 ans, devint son continuateur. C’est
lui qui présenta en 1889 divers modèles de pianos toujours construits
suivant les principe du bon marché établis par le fondateur, très
remarqués du jury, notamment le piano petit format avec barrage en bois
à 450 francs, celui à cordes verticales à cadre en fonte et sillet en
dessus, le piano demi-oblique avec trois barres de fer et sommier
prolongé ainsi que ceux à cadre en fonte et à cordes croisées.
Ce jeune
facteur s’efforce de propager le système à cordes croisées avec cadre en
fer, et parmi les améliorations qu’il poursuit, il faut citer
particulièrement la prolongation du son, problème qui de longue date,
exerce la sagacité des facteurs, ainsi que l’adoption d’une nouvelle
division du travail permettant à l’ouvrier d’acquérir une plus grande
habileté et lui procurant un salaire plus élevé. Son envoi à Chicago
comprend un petit modèle de piano à queue avec cadre en fonte d’acier et
cordes croisées, construit sur un nouveau plan et dont la puissance,
l’homogénéité des sons ainsi que la qualité du timbre sont à remarquer.
Les pianos droits, également à cadres de métal et cordes croisées, sont
pourvus de mécaniques à lames d’Érard, la seule qui convienne aux
instruments à longue vibrations et d’une pédale douce par rapprochement
des marteaux."
Les
facteurs d'instruments de musique : les luthiers et la facture instrumentale
: précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893
-
En même temps BORD était prèsque le plus grand fabricant en France.
BORD
(**1844)
BORD
Jean Denis (*1849)
BORD A. J[ean] D[enis]
(1855)
Liste des sociétaires de l'Association des
artistes musiciens, vers 1860-61 et 1864 (²⁵)
BORD A.
(*1862)
1865 -
"M. A. Bord emploie dans sa fabrique 160
ouvriers. Les cinq sixièmes des ouvriers travaillent aux pièces, un
sixième seulement à la journée. La moyenne des salaires varie entre 5
francs et 7 francs par jour. Les hommes de peine n'ont que 3 fr. 75
cent. Certains ouvriers gagnent jusqu'à 10 francs par jour. Il n'y a
point de chômage. L'année représente, pour chacun, environ 300 journées
de travail.
Les salaires ne subissent aucune retenue."
Le
mouvement socialiste et l'économie politique: résumé d'un cours public ...,
Henri Dameth, 1865
1869-85 - "Ministère du commerce : dossiers
de proposition pour la Légion d'honneur instruits au titre du ministère
du Commerce, lettres A et B - F/12/5094 - 1867-1885 - BORD Antoine Jean
Denis - Description : Né le 13 octobre 1814, à Toulouse (Haute-Garonne).
Demeurant 14, boulevard Poissonnière et 8, boulevard des Capucines, à
Paris. Facteur de pianos. Secteur(s) d’activité : Musique. Grade(s) dans
la Légion d’honneur : chevalier le 26 septembre 1883. Fait l’objet d’un
dossier dans Léonore : Oui."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
1868 -
Incendie
BORD Jean-Antoine
(1871)
1876 -
Incendie
BORD A. J.
(yyy1878)(**1879)(**1880)
BORD
Antoine Guillaume
dès 1883, fabricant de pianos; né le 12 mars 1853, à Toulouse
(Haute-Garonne), demeurant 14, boulevard Poissonnière, à Paris.
fabricant de pianos ; conseiller du commerce extérieur ; conseiller
municipal à Eaubonne (Val-d'Oise). (²²)
1883 -
BORD Antoine Jean Denis
: Grade dans la Légion d’honneur : chevalier le 26 septembre 1883. (²²)
et
La Presse, 29/09/1883, p. 2 (gallica.bnf.fr)
BORD
J. D.
(***1885)
1885 -
Incendie
1888
- "The
deaths of two well-known musical instrument makers are announced from
Paris this week - of M. Bord, the pianoforte manufacturer, at the age of
seventy-five, and M. Edouard Alexandre, the harmonium maker, at the age
of sixty-four."
The Athenaeum, 17/03/1888,
p. 349
BORD A.
(xx1890) 'Pianofabrikant'
BORD [A.] & Cie
(1893)(**1898)(z1900), successeurs
BORD
Antoine-Guillaume dit Antonin
(1897), "facteur de pianos, délégué cantonal de Paris."
Le
Figaro, 19/01/1897, p. 4 (gallica.bnf.fr)
1903
-
BORD Antoine Guillaume : Grade dans la Légion d’honneur :
chevalier le 20 mai 1903. (²²)
Il avait producé des pianos pour un certain
PASSARD
(°?)
Evian - Morges - Thonon.
BORD A.
par
STILLES CAILLAUX
& Cie, successeurs vers 1900; (x1906)(**1907)(x1907)(x1912)(*1913)(**1914)
BORD A.
& Cie (x1906)
1912 -
Marque des pianos automatiques de BORD sous le nom
AUTOBORD dès 1912
(²¹).
'Piano-Fabrik' (x1912) ------- 'Facteur de pianos'
& 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926)
BORD A.
(*1922)(x1926)
Succ.
par
LEDAN
& CHRIST, agents pour la France, la Suisse et Belgique. la
Suisse et Belgique). 33, rue Le Peletier (IXe). — Manufacture de Pianos
et Pianos Pneumatiques. — Tél. Gut. 54-02. — Met. Le Peletier. — Usine,
8, rue de la Grotte (XVe) (*1922)
Puis c'était repris par
REGY
(°1919)
vers 1925.
BORD S.
(z1931)(z1932)
Et racheté par
PLEYEL en 1933
(à partir du numéro de série 135 901, de 1933 à 1938, et puis entre
1954-1955).
La coté financiele de BORD dans
'Essai
sur les principes de l'économie politique'. Tome 1, par Alphonse Foy,
1878, p. 208-209 (gallica.bnf.fr). (Le nom 'BOREL' doit être 'BORD') Article sur A. BORD dans
'Revue
illustrée de l'Exposition universelle. Organe de l'Exposition de 1900 et
de toutes les expositions', Dir. O. Lartigue, 1900, p. 27-28 (gallica.bnf.fr)
Information specifique concernant la manufacture Bord dans :
Bulletin
de la participation aux bénéfices. Publié par la Société formée pour
faciliter l'étude pratique des diverses méthodes,
1879-1934 (gallica.bnf.fr)
(la suite)
"BORD (A.)
et Cie, — 14 bis, boulevard Poissonnière, Paris. Pianos pour écoles et
communautés."
Annuaire de l'Union fraternelle du commerce et de l'industrie, 1903, p. 401 (gallica.bnf.fr)
"PIANOS -
A. BORD - STILES, CAILLOUX & Cie, successeurs, BOUL. POISSONNIÈRE, 14 bis.
Médaille d'or Exposition Universelle Paris 1889. Hors concours Membre du
jury Exposition Universelle Paris 1900. Fournisseurs du Ministère de
l'Instruction publique pour les Lycées. - 110.000 PIANOS fabriqués à ce
Jour. Fabrication Spéciale pour les colonies. GRAND CHOIX DE PIANOS NEUFS et
d'OCCASION FACILITÉS DE PAIEMENT CATALOGUE FRANCO. Location depuis 10 fr.
par mois - Locaton-vente. 20 fr.par mois. Commission, exportation, BOUL.
POISSONNIÈRE, 14 bis. Téléphone 125.75."
Annuaire-almanach
du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration,
1907, p. 2492 (gallica.bnf.fr)
"PIANOS
A. BORD, (STILES, CAILLAUX & Cie. successeurs) BOUL. POISSONNIÈRE, 14
bis. Médaille d'or Exposition Universelle Paris 1889. Hors concours
Membre du jury d'exposition Universelle Paris 1900. Fournisseurs du
Ministère de l'Instruction publique pour les Lycées. 125.000 PIANOS
fabriqués à ce jour. Fabrication Spéciale pour les colonies. GRAND CHOIX
DE PIANOS NEUFS et d'OCCASION FACILITÉS DE PAIEMENT CATALOGUE FRANCO.
Location depuis 10 fr. par mois. Local.on-vente depuis 20 fr. par mois
AUTOBORD PIANO PNEUMATIQUE AVEC APPAREIL INTÉRIEUR. DISPOSITIF SOLO
DÉTACHANT LE CHANT DE L'ACCOMPAGNEMENT. Commission, exportation, BOUL.
POISSONNIÈRE, 14 bis. Téléphone : GUT. 25.75. Fabrique, r. des
Poissonniers, 52. Nord 07.86. Usine à St-Ouen."
Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1914, p. 2787 (gallica.bnf.fr)
CARTE POSTALE
Voir online le catalogue
BORD de 1890.
"[...] 135.000 pianos vendus à ce jour"
Le Journal, 30/01/1930, p. 4b (gallica.bnf.fr)
SOUS-MARQUES
AUTOBORD dès 1912
(²¹).
|
Médaille de bronze Paris, 1844
| Médaille d'argent Paris,
1849 | Official Catalog Londres, 1851
| Médaille de 1re classe Paris,
1855 | Médaille de bronze Troyes, 1860 | Médaille Londres, 1862
| Liste des exposants Porto, 1865 | Médaille d'argent Paris, 1867
|
Liste des exposants
Londres, 1871 | Médaille d'or, Lyon 1872 | Membre du jury Paris, 1878 - Hors
concours, 1878 | Sydney,
1879 | Première prix, Melbourne 1880 | Médaille d'argent Amsterdam, 1883
| Liste des exposants Londres, 1885
| Médaille d'or Paris, 1889 |
Liste des exposants
Chicago, 1893 |
Liste des exposants Paris,
1896 | Liste des exposants
Bruxelles, 1897 | Hors concours Paris, 1900 | Liste des exposants Hanoi, 1902
|
KNERINGER Jean Pierre Simon
|
1843 |
PARIS -
" 1034.
Kneringer (Simon), élève de Petzold, rue du
Faubourg-Montmartre, 17, vis à vis celle Bergère, à
Paris. Fabrique de pianos perfectionnés en tous genres
et location."
Catalogue explicatif et raisonné des produits admis à
l'exposition quinquennale de 1844, p. 125 (gallica.bnf.fr)
"Manufacture de
Pianos, de Simon KNÉRINGER, élève de PETZOLD, rue du Faubourg
Montmartre, N° 17."
Journal des théâtres. Littérature, musique,
beaux-arts, 08/06/1843, p. 4 (gallica.bnf.fr)
"Auteur de l'EXAMEN DES PRODUITS DE L'INDUSTRIE, ADMIS
A L'EXPOSITION DE 1839. — Prix ; 1 fr.
Manufacture de PIANOS - S. KNERINGER - RUE DU FAUBOURG-MONTMARTRE, 17
M. Simon KNÉRINGER, élève de M. PETZOLD, avec qui il a travaillé pendant
25 ans, informe les artistes et les amateurs qu'il donne tous ses soins
à la confection de ses pianos, et qu'il espère continuer la réputation
que M. PETZOLD s'était acquise par des perfectionnemens ingénieux et une
excellente fabrication. La modération des prix ne nuira en rien à la
parfaite confection de ses pianos."
Satan, 08/06/1843, p. 4 (gallica.bnf.fr)
|
Paris |
17, rue du faubourg-Montmartre
(****1843)(**1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(1851)(³¹)(**1854)(z1855)(arr.9) |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1843-55 Élève de
PETZOLD
(°1814)
Probablement le fils de Jean Simon KNERINGER,
ci-dessus.
Époux de Becu, Adelaide Josephine Josephe
(³¹).
KNERINGER Simon
(vers 1844?)(**1845)(**1846)(*1848)(x1849)(z1855)
'Accordeur de pianos' (**1854)(z1855)
Voir également son frère
KNERINGER Charles Alexandre,
associé de PORCHER Louis Amédée. |
Liste des exposants Paris, 1844
|
SAX Adolphe
(1814 - 1894)
|
1843 |
Instruments de musique en cuivre comme les saxophones, en bois et à
percussion et des pianos !
SAX
sur ce site
Cliquer sur les liens
ci-dessus.
"PIANOS-SAX. -
Toute la presse musicale a retenti de l'heureuse innovation de l'SAX
père, pour la fabrication des Pianos. C'est plutôt une création qu'un
perfectionnement que cette disposition ingénieuse du corps sonore, qui
établit une parfaite compensation entre les chevalets, les cordes et les
tables de l'instrument, et qui sauve-garde ces Pianos des fâcheuses
influences du chaud et de l'humidité. Nous avons vu avec plaisir les
célébrité saitisliques les plus - compétentes prendre sous leur
patronage la société qui s'est formée pour l'exploitation de cette
découverte, et nous avons remarqué q'une heureuse combinaison accorde
par les statuts, à chaque porteur d'une action libérée, entre autres
avantages, un Piano-Sax à titre de prime. Nous pouvons donc, sans
crainte, prédire un grand et légitime succès à la Société des
Pianos-Sax, dotit les actionnaires deviennent forcément les
propagatettrs intéressés, et qui, outre l'excéllent placement d'argent,
restitue en nature l'équivalent des versements."
Journal de Toulouse, 11/08/1853, p. 4
(rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)
"PIANO-SAX de
1,000 fr. qui lui est donné en PRIME. Société en commandite. - Raison
sociale : Sax et C. - Rue Notre-Dame-des-Victoires, 11, à Paris. Capital
social : trois millions, divisé en 3, 000 actions de 1,000 fr. chacune.
- Premier versement, en souscrivant, 50 fr. - Chacque porteur d'une
action aura droit au fur et à mesure de la libération de l'action, à un
PIANO-SAX de 1000 fr. qui lui est donné en PRIME; il aura ensuite droit,
comme actionnaire, aux bénéfices de la Société. Les premiers
souscripteurs seront les premiers servis.
Conseil de surveillance :
ADAM, Adolphe (O.*); BERLIOZ Hector (*); Brandus; DAVID, Félicien (*);
KASTNER, Georges (*); KREUTZER, Léon; MASSÉ; MEYERBEER, Giacomo (C. *);
NIEDERMEYER, Louis (*); THOMAS, Ambroise (*); DE COISLIN, banquier;
JOBERD (*); PAVIE, banquier.
Nota. Un modèle de PIANOS-SAX, garantis pendant trois ans, offerts en
prime aux actionnaires, et du prix de 1,000 fr., est déposé chez M.
Adolphe Sax, rue Saint-Georges, n° 50, où l'on peut le voir et
l'entendre tous les jours. On souscrit à Paris, chez MM. Paton et Cie,
banquiers de la Société, boulevard des Italiens, 6."
La Presse, 27/08/1853, p. 4 (gallica.bnf.fr) - semblabe annonce dans
Journal de Toulouse, 21/09/1853, p. 4 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr)
"PIANOS-SAX - Nous
apprenons à l'instant que des améliorations notables ont été apportées à la
fabrication des pianos de la Société Sax et Ce, et que des auditions
publiques vont avoir lieu très-incessamment. Nous ferons connaître à nos
lecteurs les jours, lieux et heures de ces auditions. En attendant, et comme
la presque totalité des primes des actions libérées a été delivrée aux
actionnaires on souscrit de nouvelles actions au siège de la Société, rue
Saint-Quentin, 18 et 20, où l'on peut entendre et voir journellement ces
pianos."
Le
Figaro, 29/10/1854 (gallica.bnf.fr)
"PIANOS-SAX. -
Désormais, toutes les personnes qui s'intéressent aux perfectionnements
nouveaux apportés au piano, par notre célèbre inventeur Sax, pourront juger
elles-mêmes de leur importance et de leur résultat; des auditions publiques
auront lieu les mardi et jeudi de chaque semaine, de deux à trois heures, à
la salle Sax, rue Neuve-Saint-Georges."
Le Figaro,
12/11/1854, p. 2 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1851 : "Sax (père), chercha à
éviter les inconvénients du tirage des cordes sur la table du piano. Pour
parvenir à ce but, il imagina de faire passer ces cordes en dessus et en
dessous du chevalet et de rendre ainsi parce balancement de force, la
liberté entière à la table d'harmonie. (B. F.)"
Organographie : La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
NÉCROLOGIE
1865 - "C. P. Sax, père des facteurs Alphonse et Adolphe Sax et célèbre facteur
lui-même, mort le 3 mai à l'âge de 76 ans. C. P. Sax était né à Dinan en
1789."
La Musique en 1865, p. 248
|
Paris |
10, rue Saint-Georges
(*1848)(arr.9)
50, rue Saint-Georges (**1844)(z1853)(**1854)(arr.9)
44, rue Notre-Dame-des
Victoires (x1853)(y1854)
18-20, rue Saint-Quentin (arr.?)(z1855)(xx1856)(y1857) voyez (zz1864)
5, rue d'Abbeville (1860)(arr.10)
51, rue
Blanche (1900)(arr.9)
84, rue Myrha (*1910)(*1913)(**1921)(*1929)(arr.18) |
|
'Facteurs de pianos' et instruments de cuivre
ca. 1848-1929
Ch. J. SAX
(père de l'inventeur du saxophone), facteur
d'instruments à souffe, construisit aussi le piano, pour lequel il prit
plusieurs brevets et une médaille en 1855.
1843 -
"SAX Adolphe, Fabricant d'instruments de musique, rue Saint Georges, n°
10. Cité le 13/11/1843, lors d'un acte notarie, comportant dissolution
entre ledit et autres commanditaires, nommés dans l'acte original, pour
l'exploitation d'un brevet obtenu par Monsieur SAX, la société étant
dissoute à compter de ce jour. Puis, le même jour, constitution d'une
nouvelle société avec les mêmes. Source : D31u3-114/Pièces 1750 et
1751."
Informations généaloqiques aimablement
établies par Georges Claude Lebrun et son équipe «
éclat de bois
».
1844 -
"SAX Antoine Joseph dit Adolphe,
Fabricants d'instruments de musique, rue Neuve Saint Geoges, n° 10. Cité
le 18/03/1844, dans un acte sous seing privé comportant dissolution
entre ledit, et des commanditaires nommés dans l'acte original, lesquelq
s'étaient associés dans une société créée le 13/11/1843, laquelle est
dissoute ce jour. Source: D31u3-116/Pièce 453."
Informations généaloqiques aimablement
établies par Georges Claude Lebrun et son équipe «
éclat de bois
».
1844 -
"SAX Adolphe, Fabricant
d'instruments de musique, rue Neuve Saint Georges, n° 10, cité le
28/03/1844, dans un acte sous seing privé comportant société entre ledit
et les actionnaires qui y souscriraient, sous la raison SAX et
Compagnie, ladite société ayant pour objet la fabrication et
l'exploitation des instruments de musique dont le siège est à cette
adresse. Source : D31u3-116/Pièce 551."
Informations généaloqiques aimablement
établies par Georges Claude Lebrun et son équipe «
éclat de bois
».
SAX & Cie
(**1844)(1856)
SAX A. & Cie
(1851)(x1853)
SAX Charles J.
Père
(1855)
1852 -
"SAX Antoine dit
Adolphe (société SAX et Compagnie), Pianos, Dt rue Saint Georges, n° 50.
Cité le 05/07/1852, lors de la faillite desdits ; concordat, 30/09/1852."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
1853 -
"MM. J. Paton et Cie ont l'honneur de prévenir MM. les souscripteurs de la
Société C. Sax et Ce, pour la fabrication des pianos d'après le système
breveté (s.g.d.g.) de Sax, qu'ils ont remis à la Banque de France les sommes
versées à leur caisse, et que la Société C. Sax et Ce, étant définitivement
constituée, leurs fonctions de banquiers, dans cette Société, cessent à
dater de ce jour. Les bureaux de- MM. Sax et Ce sont établis rue
Saint-Georges, 50, où les souscriptions se feront à l'avenir."
La Presse, 16/10/1853, p. 4 (gallica.bnf.fr)
"SAX Charles, père. Nouveau système de pianos et fabricant d'instruments de
musique, rue Saint Georges, n° 50. Cité le 07/07/1853, dans un acte notarié
comportant société entre ledit et TETARD Charles, négociant, rue Notre Dame
des Victoires, n° 44, lesquels ont formé une société en nom collectif entre
eux et ceux qui deésieraient prendre des actions, sous la raison SAX er
Compagnie, dont le siège est rue Notre Dame des Victoires, n° 44. Source :
D31u3-179/Pièce 1620."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
"SAX Charles, père, Fabricant d'instruments de musique, rue Saint Georges,
n° 50. Cité le 24/09/1853, dans un acte notarié comportant société entre
ledit et TETARD Charles, négociant, rue Notre Dame des Victoires, n° 44,
agissant en tant que fondateurs de la société en commandite C. SAX et
Compagnie, pour un nouveau système de pianos, etc qui commence ce jour.
Source: D31u3-180/Pièce 2165."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
1854 -
"Cabinet de M. Emile DUTREIH, ancien principal clerc de notaire à Paris, y
demeurant, rue Ménars, 12. D'un procès-verbal de délibération d'assemblée
générale des actionnaires de la société des pianos Sax, dite SAX et Ce,
formée par actes devant Me Mertian, notaire, des sept juillet et
vingt-quatre septembre mil huit cent cinquante-trois, Ledit procès-verbal en
date du trois juillet mil huit cent cinquante-quatre, enregistré, Il appert
: Que les décisions suivantes ont été prises, à l'unanimité, par l'assemblée
générale, à laquelle assistaient trente-sept actionnaires porteurs de quatre
cent deux actions définitives, donnant droit à soixante-cinq voix
délibératives : Article L'assemblée générale accepte définitivement la
démission donnée et réitérée par M. Charles TETARD, négociant, demeurant à
Paris, rue Notre-Dame-des-Victoires, 44, de ses fonctions de gérant de la
Société Sax et Ce, et de laquelle démission acte lui a déjà été donné par la
sentence arbitrale rendue par MM. Payen, Fumet et Prunier, le douze avril
dernier, déposée, en-registrée et publiée conformément à la loi, et aux
dispositions de laquelle sentence l'assemblée donne, en tant que de besoin,
son adhésion pour qu'elle soit exécutée selon sa forme et teneur, Article 2.
Aucune présentation de nouveau gérant n'ayant été faite dans des conditions
acceptables, il demeure convenu, par modification aux statuts sociaux: 1°
que tous les pouvoirs de gestion et d'administration de la société des
pianos Sax, dite SAX et Ce, sont, à partir de ce jour, réunis
provisoirement, ainsi que la signature sociale, aux mains de M. SAX père,
seul gérant restant, qui accepte; et 2° que le comité de surveillance aura
mission d'examiner toutes propositions de nouvelle gérance, d'en débattre
les conditions et de faire ensuite tels rapports et convocations d'assemblée
qu'il appartiendra. Arlicle 3. Sont désignés comme membres du comité de
surveillance définitif les personnes dénommées au procès-verbal. Article 4.
Au moyen de la présente délibération, leséquestre judiciaire de la société
peut être levé à la di-ligence de M. Sax père. Article 5. Pour faire publier
ces présentes, tous pouvoirs sont don-nés au porteur d'un extrait : Pour
extrait : DUTREIH."
Gazette des Tribunaux, 07/07/1854,
p. 4 (data.decalog.net)
1855 -
Faillite en 1855 : "8 octobre. — Société en commandite SAX et Cie.,
fabrication de pianos, rue Saint-Quentin, 18 et 20.—Juge-commissaire: M.
Fossin. — Syndic: M. Breuillard, rue des Martyrs, 38."
Gazette de
l'industrie et du commerce, 14/10/1855, p. 5 (gallica.bnf.fr)
1857 -
"Déclaration de faillites: Du 9 au 12 octobre. Du sieur Charles SAX père,
gérant de la société de pianos Sax et Ce, ledit sieur Sax demeurant rue
Saint-Quentin, 18 et 20."
Messager
de la Bourse, Paris, 14/10/1857, p. 7 (gallica.bnf.fr) et
La Presse, 09/10/1857, p. 3 (gallica.bnf.fr)
1858 -
"Clôtures pour insuffisance d'actifs - 25 janvier 1838. — SAX
(Charles) père, gérant de la Société de pianos Sax et Cie rue
Saint-Quentin, 18 et 20."
Gazette de l'industrie et du commerce, 24/02/1858, p. 7 (gallica.bnf.fr)
SAX Alphonse Junior
(1860)
1862 -
"Atelier de M. Alphonse Sax. - MM. Alphonse Sax;, Auguste Bourdon,
Siméon Hagard, Léon Boucard, Hippolyte Richard, Jean Thint, Charles
Emmanuel, Jean. Total : 8."
Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs
d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en
bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862,
p. 52 (gallica.bnf.fr)
Repris par
Henri SELMER
vers 1928
|
Pour ses instruments en cuivre :
Médaille d'argent Paris, 1844 | Médaille d'or et Croix de
la Légion d'Honneur, Paris, 1849 | Council Medal Londres, 1851 | Médaille de
deuxième classe (piano) et grande médaille d'honneur Paris, 1855
|
Médaille première classe-argent grand module Besancon,
1860 | Médaille Londres, 1862 | Diplôme d'honneur Bayonne, 1864 | Grand prix,
Paris, 1867 | Médaille d'or Paris, 1900
|
DE
PROUW
Algemeen handelsblad, 22 mai 1854, p. 2
|
1844 |
TITRE
"Frs Btes de S.M.
le Roi des Pays Bas." (1854)(*1867)
Piano
droit ca. 1875, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
DE PROUW
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BURGASSER
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Brevet de 1869 par AUBERT : "Système de barrage à sommiers fixes pour
pianos, fondu en métal d'un seul
morceau."
Catalogue
des brevets d'invention, France. Ministère de l'agriculture,
1869
"Pianos
supér. avec 300 f. de réduction, garant. 5 ans, payables en 18 mois. De
Prouw, Aubert et Cie, r. du Temple, 198, pr. du boulevard."
La Presse, 27/11/1865, p. 4 (gallica.bnf.fr)
"PIANOS
supérieurs avec 300 fr. de réduction, garantis 5 ans, payables en 18
mois. De Prouw, Aubert et Ce, r. du Temple, 198, près le boul.»"
Le Pays : journal des volontés de la France,
01/04/1866, p. 3 (gallica.bnf.fr)
"PIANOS.
- De Prouw, Aubert et Cie. - 39, boulevard du Temple. Ancienne et bonne
maison bien connue des artistes et du public parisien non-seulement par
l'excellence de sa fabrication, mais encore et surtout par le bon marché
et les garanties qu'elle offre à sa clientèle. C'est à ce titre que nous
la recommandons à nos lecteurs. (Exposants de la classe 40. Exposition
universelle de 1867.)"
Guide
général ou Catalogue indicateur de Paris, 1867, p. 40 (gallica.bnf.fr)
"Pianos
supérieurs avec 300 fr. de réduction, garantis 5 ans; payables en 18 mois. -
Deprouw, Aubert et Cie, 39, boulev. du Temple."
La Presse, 31/10/1868, p. 4 (gallica.bnf.fr)
VOIR AUSSI ...
DEPROUW
à Bruxelles
|
Paris
Amsterdam (Pays Bas) |
52, rue de Bondy (1854)(z1855)(xx1856)(arr.10)
42,
Boulevard du Temple (?)(arr.3)
6, rue Meslay (xx1860)(xx1861)(arr.3)
198, rue du Temple [ci-devant Meslay, 6] (*1859)(xx1861)(xxx1862)(***1863)(**1864)(yy1864)(yy1865)(*1866)(*1867)(arr.3)
39, boulevard du Temple (**1868)(1869)(**1870)(**1871)(**1873)(arr.3)
33-35, boulevard du Temple
(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(yyy1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(**1888)(a)(y1889)(x1890)(xx1890)(arr.3)
33, boulevard du Temple (1878)(1883)(b)(y1889)(arr.3)
35, boulevard du Temple (1878)(xx1879)(arr.3)
FABRIQUE : 93, rue Oberkampf
(**1870)(**1871)(**1873)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(b)(y1889) (arr.11)
FABRIQUE : 95, rue Oberkampf
(**1881)
(arr.11)
17, rue de Malte (18??)(arr.11)
42, boulevard du Temple (1887)(y1889)(arr.3)
8, rue d'Angoulème
(**1888)(arr.11)
FABRIQUE : 9, rue St. Ambroise
(a)(y1889) (xx1890)(arr.11)
23, boulevard des Filles-du-Calvaire
(z1900)(z1902)(arr.3)
37, boulevard du Temple (1889)(*1895)(*1896)(**1898)(**1907)(**1914)(arr.3)
à Paris
'Maison à
Amsterdam' (*1859)(xxx1862)(**1864) |
40 ouvriers et 300 pianos par an (1878)
|
'Manufacture
de pianos' droits
ca. 1854-1914
Ils sont des facteurs hollandais. Voir
DE PROUW-LAMBERT in Amsterdam. Probablement avec une succursale
DE PROUW
à Bruxelles (Belgique).
De
PROUW-LAMBERT
& Cie
(1849)(1854)(z1855)(xx1856), Fournisseurs de S. M. le Roi des Pays Bas, maison à
Amsterdam, N. Z. Voorburgwal, n° 548.
De
PROUW Constantin
(1849)(1855)
H. De
PROUW-F. AUBERT
(dès 1866):
Mariage de "Aubert, fabricant de pianos, rue du Temple, 198. Mme Prouw,
s. prof., à Amsterdam (Hollande)." (*1866)
C’est
De PROUW-AUBERT
qui eût l’idée de la vente à tempérament, qui contribua beaucoup à
répandre le piano dans la classe bourgeoise.
Les
facteurs d'instruments de musique: les luthiers et la facture instrumentale
: précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893
De
PROUW-AUBERT
(***1863)
De
PROUW-AUBERT & Cie
(xx1860)(***1863)(*1867)
1871 - "Dissolutions. — Prouw,
Aubert et Ce, pianos, boulevard du Temple, 39. (Acte, M* Jozon, not., 19
septembre.)"
Journal
officiel de la République française, 25/09/1871, p. 3677 (gallica.bnf.fr)
De
PROUW-AUBERT
(**1871)(**1873)(*1875)(**1877)(**1880)(**1881)(**1884)(1886),
AUBERT Marie-Arthur
- "Paris.
La Société H. DE PROUW, femme AUBERT et Cie, connue aussi sous la
dénomination de AUBERT (Henriette, née DE PROUW), et Cie, fab. de pianos,
boul. du Temple, 42, puis 33 et 35, composée de veuve AUBERT, née Henriette
DE PROUW et de commanditaires. J.-c. : M. Launey.- S. : M. Lesage."
Archives
commerciales de la France. Journal hebdomadaire..., 1890 (gallica.bnf.fr)
Repris par
A.
AUBERT ou AUBERT Arthur-Philippe
vers 1883.
1886 - Faillite en 1886 : "Paris. —
AUBERT (Marie-Arthur), fab. de pianos, sous le nom de PROUW - AUBERT, boul.
du Temple, 33 et 35.—J.-e. : M. Bresson. — S. : M. Cotty."
Archives
commerciales de la France. 29/09/1886, p. 1219 (gallica.bnf.fr) - et - "Du
sieur AUBERT (Marie-Arthur), fabricant de pianos, sous le nom de
PROUW-AUBERT, à Paris, boulevard du Temple, 33 ou 35, où il demeure; Entre
les mains de M. Cotty, 27, quai de la Tournelle, et Gehrling, 59, rue de
l'Ourcq, syndics de la faillite. (N. 903 du gr.)"
Journal officiel de la République française, 1886, p. 4630 - Voir
GEHRLING Charles (°1842) sur cette page ci-dessus
AUBERT-DE PROUW dès 1883 ? (voir barre
d'adresse : rue de Malte, 17); (z1900)
1887 -
"Paris. — Formation de la Société en commandite H. DE PROUW et Fe AUBERT
et Cie, fab. de pianos, boul. du Temple, 42. — Durée : 10 ans. - Cap :
18,500 fr. — Acte du 1er oct. 1887. — G. P."
Archives commerciales de la France, 29/10/1887, p. 1363 (gallica.bnf.fr)
Puis,
DE PROUW AUBERT laisse sa succession à
BURGASSER & THEILMANN (°1887) en 1887,
parce que
AUBERT
était faillite en 1886
(Archives
commerciales de la France. Journal hebdomadaire...,
1888, p. 757 (gallica.bnf.fr)) Selon Pizzi Burgasser était peut
être un tableur chez A. Aubert. (¹)
AUBERT
Henriette [& Cie](a),
née DE PROUW
(y1889)(x1890)
DE
PROUW-AUBERT & Cie
(b); (y1889)
De
PROUW-AUBERT, Maison AUBERT
(xx1890),
'Pianofabrikant'
1891 -
"Réparation de faillite et de liquidation : faillis : Aubert (Henriette) née
de Prouw et Cie - Profession : fab. de pianos - Demeure : Boul. du Temple,
42 - Syndic : Lesage - Sommes : 16 30."
Archives
commerciales de la France. 17/01/1891, p. 53 (gallica.bnf.fr)
AUBERT-DE
PROUW
(z1900)(z1902)
(la suite)
"200
pianos neufs, premier ordre, occasions, garantis dix ans. Toutes facilités.
De Prouw-Auber, fabricant, 35, boulevard du Temple."
Le Petit
Journal, 28/12/1875, p. 4 (gallica.bnf.fr)
Publicité
dans
Annuaire musical et orphéonique de France, 1876, p. 315
"Pianos
et orgues. — DE PROUW-AUBER, fabricant, 35, boulevard du Temple.
Fournisseur de S. M. le roi des Pays-Bas. Grand choix de pianos
neufs de premier ordre garantis dix ans, prix réduits, pianos pour
l'exportation et les colonies; manufacture, rue Oberkampf, 93, envoi
du catalogue."
Théâtre de la Porte Saint-Martin: Les enfants du
capitaine Grant, 1879, p. 103
"PROUW-AUBERT
(de), boulevard du Temple, 35. — Fabrication de premier ordre, médaillée aux
Expositions universelles de Paris, Havre, Amsterdam. — Cadres en fer, Cordes
croisées. — Facilités et grande remise aux artistes."
Annuaire général de la musique et des sociétés chorales et instrumentales de
France, 1888, p. 122
"DE PROUW
AUBERT & Cie (ancienne maison) fondée en 1846, seuls réels fabricants de
pianos de cette marque (NE PAS CONFONDRE méd. aux grandes expositions,
fabr., rue Oberkampf, 93; maison de vente et bureau, boul. du Temple,
33. (Catalogue franco)."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des
départements et des pays étrangers : Firmin Didot et Bottin réunis, 1889,
p. 1829 (gallica.bnf.fr)(b)
"AUBERT
(Hte)(née DE PROUW) & Cie, fabricants SEULS porteurs DES NOMS de cette
marque : fabrication artistique résistant à tous les climats: pianos à
cadres, en fer et à cordes croisées, toutes facilités; magasin, boul. du
Temple, 42 (et à partir du 15 avril, meme boul. 33 et 35). [Manufacture,
rue St-Ambroise, 9."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des
départements et des pays étrangers : Firmin Didot et Bottin réunis, 1889,
p. 1829 (gallica.bnf.fr) (a)
|
Liste des exposants Paris,
1867 | Médaille d'argent Le Havre, 1868 |
Médaille de bronze Paris
Paris, 1875 | Liste des exposants Paris, 1878 | Médaille d'argent
Amsterdam, 1883
|
COIFFIER
|
1845 |
"Coiffier,
facteur de pianos, pianos droits et demi-obliques, garantis pendant deux ans.
envois en province et à l'étranger, St-Antoine, 86; manufacture : rue de
Bordeaux à Charenton-le-Pont, près Paris."
Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la
magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de
Paris, des départements et des pays étrangers, 1852, p. 680-681 (gallica.bnf.fr)
"Coiffier,
pian. droits et ½ obliq., locat. et acc., env. prov. et étra., St.
Antoine, 222; manuf. r. des Bordeaux, à Charenton." Almanach-Bottin du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales villes du monde, 1854, p. 867-868 (gallica.bnf.fr)
|
Paris
Montargis |
MAISON
PRINCIPALE : 16, rue des Lions
Saint-Paul (**1846)(x1847)(arr.4)
86, rue Saint- Antoine
(1847)(¹⁰)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(**1852)(arr.4)
62, rue de Flandre
(1847)(¹⁰)(arr.19)
222, rue Saint-Antoine
(yy1851)(**1854)(arr.4)
Usine : 23, rue des Bordeaux
aux carrières de Charenton (1852)(**1854)(1856)(¹⁰)(arr.1)
42, rue de Luxembourg
(xx1856)(arr.1)
23, rue de Bordeaux
(1857)
78, boulevard de
Sébastopol (xx1860)(arr.2)
59, rue de Grenelle
(**1896)(**1898)(arr.7)
16, rue Sainte Antoine
(*1913)(arr.4)
68, rue du Bac (**1904)(x1906)(**1907)(*1909)(*1910)(arr.7)
40, rue du Bac (x1912)(*1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(*1922)(x1922)(x1926)(arr.7)
à Paris
SUCCURSALE : route d'Orléans (**1921)(x1926)
à Montargis
|
|
'Facteur de pianos'
ca. 1846-1926 [depuis 1845
(x1912)]
Paris
Époux de LEONARD.
(1847)(¹⁰)
COIFFIER
Jacques Nicolas
(1856)
1856 -
Faillite en 1856 : "1er
avril 1856. — COIFFIER (Jacques-Nicolas), facteur de pianos, à
Carrière-Charenton.— Juge-commissaire; M. Larenaudière.— Syndic : M.
Lacoste, rue Chabanuais, 8."
Gazette de l'industrie et du commerce, 06/04/1856, p. 8 (gallica.bnf.fr)
1857 -
"Répartitions de
dividendes - COIFFIER (Jacques-Nicolas), facteur de pianos, à
Carrières-Charenton, rue de Bordeaux, 23. — Syndic : M. Lacoste, rue
Chabanais, 8. — Dividende de 6 fr. 17 c. 0/0, unique répartition."
Gazette de l'industrie et du commerce, 22/02/1857, p. 11 (gallica.bnf.fr)
COIFFIER
Ch[arles]
(**1896)(**1898)(**1904)(x1906)(*1909)(*1910)(x1912)(x1926)
'Piano- u.
Harmonium-Handlung' (x1912)(x1926)
Avait producé aussi des
pianos pour :
GOEURY
(°?)(Paris)
Montargis
'Piano-Handlung' (x1926)
Brevet de 1900 : "300111. Brevet de quinze ans, 8 mai 1900; Coiffier,
représenté par la société Marillier et Robelet, à Paris, boulevard
Bonne-Nouvelle, n° 42. Nouveau barrage pour pianos."
Bulletin
des lois de la République française, 01/1902, p. 904 (gallica.bnf.fr)
VOIR AUSSI ...
Edouard
COIFFIER à Paris, et un
COIFFIER
Julien vers 1903 à Saint-Denis. |
|
EXBEN |
1845 |
Brevet de 1876 : "112,618. Brevet de quinze ans, 13 mai 1876; Exben et
Zielinski, rue Lhôte, n° 8, à Bordeaux (Gironde). Système de répétition
des notes, applicable à toutes mécaniques de pianos droits."
Bulletin des lois de la République française, 07/1877, p. 218 (gallica.bnf.fr)
|
Bordeaux |
8, rue Lhôte (*1875)(*1876)(1883)(xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(*1906)(*1907)(*1909)
173, rue Palais Gallien, ange Foudaudège
(*1913)(1914)(**1921) (*1922)(***1835)(**1938)
62, rue Fondaudège (x1906)(x1912)(*1913)(**1921)(*1922)(x1926)
173, rue du Palais-Gallien, angle Fondaudège
(x1926)(***1935) |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1875-1938 [depuis
1845
(x1926)]
EXBEN Mme. P.
(?)
EXBEN
& ZIELINSKI
(*1875)(*1876)(1880), voyez aussi chez
ZIELINSKI
1883 -
"Bordeaux. — Dissolution, à partir du 28 fév. 1883, de la Société
EXBEN et ZIELINSKI, facteurs de pianos, r. Lhôte, 8. — Liquid. : M.
Exben. — Acte du même jour."
Archives commerciales de la France. 16/03/1883, p. 381 (gallica.bnf.fr)
EXBEN
(xx1890),
'Pianofabrik'
'Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung u. Reparatur-Werkstatt'
(x1906) ------- 'Piano-, Harmonium- u.
Musikinstr.-Handlung' (x1912)
EXBEN
Mme. Vve. (x1912)
EXBEN
& SIRVENTON
en 1914
(**1921)(*1922)(x1926):
1914 -
"Bordeaux. — Formation. — Soc. en nom collectif EXBEN et SERVENTON
[sic],
factage de pianos 173, Palais-Gallien, — 8 ans. — 82,000 fr. — 10 fév.
1914."
Archives commerciales de la France, 11/03/1914, p. 340 (gallica.bnf.fr)
'Piano- u.
Musikinstr.-Handlung' & 'Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung'
(x1926)
SIRVENTON [Jacques]
(x1926)(***1935)(**1938), successeur
|
|
GAVIOLI Giacomo, père
(1786 - 1875)
&
GAVIOLI
Ludovico & Cie,
son fils
(1807 - 1875)
&
GAVIOLI
Claude, petits-fils
|
1845 |
'PIANO
GAVIOLI' (barre
d'adresse) utilisée dès 1902 pour les pianos mécaniques (²¹).
GAVIOLI
sur ce
site
Cliquer sur les liens ci-dessus.
"Gavioli (L.), ingénieur-mécanicien, membre
de plusieurs académies, (anc. maison Corvi) manufacture d'instruments de
musique à cylindres et à touches; orgues-mécaniques à claviers, pianos et
claviflutes pour salon, orgues portatives avec panorama mécanique, orgues,
trombones, Harmoniflûtes, melotons, etc., etc.; nouveau système Gavioli
breveté, six med. d'or et deux méd. d'argent, Aligre, 14, et
Faub.-St-Antoine, 170."
Annuaire
et almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l
..., 1859
" Gavioli
et Cie, pianos,
pianos-violon et pianos-flûte ci manivelle, 2 méd. d'argent exposit. univ.
1878, avenue de Taillebourg 2 bis (place du Trône)." et
"Gavioli fils,
pianos mécaniques, méd. à l'exposit. Paris 1878, rue des
Charbonniers-St-Antoine, 15 (av. Daumesnil, 34) (voir Orgues)."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration, 1881, p. 1522 (gallica.bnf.fr)
INFO EXTRA
The Rise, Blossom and Fall of the Gavioli
Factory, par Dr. Hans van Oost, Pays Bas
|
Paris
Manchester |
14, rue d'Aligre (1852)(1854)(1855)(*1859)(zz1862)(***1863)(zzz1864)(arr.12)
170, rue du Faubourg Saint Antoine
(*1859)(arr.12)
3, rue de Citeaux (*1867)(arr.12)
49, rue de la Rapée
(arr.12)
(b)
13, rue des
Charbonniers Saint-Antoine (*1867)(**1871)(arr.15)
(b)
15, rue des Charbonniers-Saint-Antoine(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(yyy1878)(**1879)(**1880)(1882)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(arr.15)
(a)
USINE : 2
[bis], avenue de Taillebourg, Place du Trône
(1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(**1888)(y1889)(xx1890)(1892)(*1893)(*1894)(*1895)(*1897)(**1898)(z1902)(arr.11)
2bis, Place de la
Nation
(**1880)(**1883)(**1884)(**1886)(arr.11)
(b)
34,
avenue Daumesnil, près de la Gare
(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(arr.12)
115,
rue
de Bercy (1902)(arr.12)
(b) 77, rue de Charonne
(xx1890)(**1904)(arr.11)
175 bis, rue Bercy
(z1902)(1903)(*1905)(x1906)(*1907)(**1907)(*1909)(*1911)(arr.12)
Usine : 44, quai de
la Rapée
(z1902)(x1906)(**1907)(arr.12)
15, Place de la Nation (**1898)(*1913)(arr.11)
49, rue de la Rapée (*1913)(arr.12)
à Paris
17, Milton Street, Lower Broughton (x1906), Manchester, Angleterre, U.K.
|
|
Pianos droits, pianos mécaniques, harmoniums, piano-harmoniums,
mandolines, harpes et orgues
ca. 1852-1913 [ depuis
1845
(x1906)]
'Facteur d'instruments' ca. 1845-1913
'Facteur de pianos mécaniques
et d'orgues' dès 1806, à Modena, Italie. Il a eu trois fils, Claude, Anselme et
Henry.
'Société Anonyme des Etablis'
1862 -
"Atelier de M. Cavioli [Gavioli], rue d'Aligre, 14. - MM. Cavioli, 4 ex.,
Renaldy fils."
Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs
d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en
bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862,
p. 54 (gallica.bnf.fr)
Successeur de
CORVI :
"Gavioli,
successeur de Corvi, facteur, rue d'Aligre, 14."
Annuaire spécial des artistes musiciens, 1863, p. 127 (gallica.bnf.fr)
GAVIOLI Anselme & Cie
(1889), un des trois fils de Ludovico GAVIOLI.
1892 -
"Paris. — Formation. - Société en nom
collectif GAVIOLI et Cie, fab. d'orgues et pianos mécaniques, 2 bis, av.
Taillebourg.—10 ans. — 260,000 f."
Archives commerciales de la France. 27/01/1892, p. 114 (gallica.bnf.fr)
YVER
Fils (*1894), successeur
?
GAVIOLI
& Cie
(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1883)(**1884)(**1888)(xx1890)(1903)(a)
'Drehpianos' - 'Pianofabrikant' (xx1890)
1903 -
"Paris.— Modification aux statuts. - Société
GAVIOLI et Cie, fab. d'orgues, pianos mécaniques, 175 bis, Bercy.—
Substitution de M. Gavioli fils à M. Gavioli son père décédé. — L."
Archives commerciales de la France, 28/01/1903, p. 114 (gallica.bnf.fr)
GAVIOLI
& Cie
, 'Fabrique von Drehpianos'
(x1906)
Propriétaires : A.
GAVIOLI, P. YVER & L. JALAGUIER (x1906)
'Fabriken in Paris und
Waldkirch in Baden' (x1906)
GAVIOLI Fils
GAVIOLI
[C.] Fils
(xx1890)(**1904)(b)
GAVIOLI
Claude Fils
(b)
ou Ludovico ? dès 1871,
(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)
GAVIOLI Fils
(b)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(xx1890)
'Pianofabrikant' + 'Pianohandlung' (xx1890)
|
Liste des exposants Londres, 1862
|
Médaille de bronze Paris, 1867
|
Official Catalogue Philadelphie, 1876 | Médaille d'argent Paris, 1878 |
Diplôme d'honneur, Bruxelles, 1880
| Liste des exposants Paris, 1882 |
Médaille d'or Amsterdam, 1883 | Médaille d'or Anvers, 1885 |
Liste des exposants Paris, 1885
|
Médaille d'argent Paris, 1889 | | Mention
honorable Amsterdam, 1883 | Médaille d'or Ancers, 1885 | Hors concours
Paris, 1889
|
Diplôme d'honneur Anvers, 1894
| Diplôme d'honneur Paris, 1900
|
JACQUOT Charles
(1804 - 1880)
Le Journal de la Meurthe, 26/02/1914, p. 4 (kiosque-lorrain.fr)
|
1845 |
Violons, pianos et harmoniums
TITRE
'Fournisseur du Conservatoire de Nancy'
(*1909)
NANCY - "Exposition des produits de l'industrie
départementale. [...] N'avez-vous pas désiré avec la fortune le talent
du musicien qui donne une si harmonieuse voix aux violons et aux
guitares de M. Jacquot, ce facteur-artiste, déjà décoré d’une médaille;
[...]"
Journal de la Meurthe, 05/06/1838, p. 3 (kiosque.limedia.fr)
"ANNONCES. - FABRIQUE
D’INSTRUMENTS DE MUSIQUE. - MEDAILLE D’ARGENT - C. JACQUOT - MÉDAILLE DB
BRONZE. - LUTHIER, Rue de la Poissonnerie, 19, à Nancy. LOUE TOUS LES
INSTRUMENS, PIMOS ET HARPES D'OCCASION - Tient magasin d’instruments de
musique en tous genres, fabrique violons, alto et bases d’après les
anciens modèles italiens, lient les cordes de Naples et de France pour
tous les instruments et en général tout ce qui concerne la lutherie,
etc., etc.
31. JACQUOT a l’honneur de prévenir MM. les amateurs et professeurs de
musique, qu’il arrive de Paris avec un grand nombre d’instruments, tels
que pianos des meilleurs facteurs de la capitale, mélodiums, harmoniums
d’église et de salon, orgues expressifs de toutes les dimensions,
accordéons de tous les genres, assortiment complet d'instruments en
cuivre de premier choix, de flûtes, clarinettes, hautbois, musettes,
flageolets, beau choix assorti de violons et violoncelles italiens et
autres, pianos carrés à six octaves de 100 à 300 fr., pianos droits à
six octaves et demie de 350 à 600 fr., orgues à tambourin, tabatières à
musique de toutes dimensions à 2, 3, 4 et 6 airs. Les prix de ces
articles sont tellement bas, que les personnes qui voudront bien visiter
son magasin en seront étonnées. Il garantit la bonté de ces instruments
et se charge également de toutes réparations et de bonifier les violons,
violoncelles, quintes, etc."
L'Espérance : courrier de Nancy, 13/11/1845, p. 4
(kiosque.limedia.fr)
"Exposition de l'Industrie de 1849 à Paris : Premier et second prix.
Avis aux amateurs de musique - M.
JACQUOT, marchand luthier à Nancy, qui a obtenu trois médailles, un
premier et un second prix à l’exposition parisienne de 1849, continue à
fabriquer des violons d’après les plus beaux et les meilleurs modèles
italiens, dans les prix de 50 à 200 fr. Il a aussi un beau choix de
violons italiens. Ses instruments sont vendus à garantie. Il tient
également un assortiment d’instruments en cuivre et autres, et un choix
de pianos de plusieurs fabricants de Paris. Il loue et vend ces
instruments dans les prix les plus modérés."
Journal de la Meurthe et des Vosges, 31/08/1850, p. 4
(kiosque.limedia.fr)
"JACQUOT, élève d'Érard,
r. Gambetta, Membre du Jury, hors concours, Paris 1900. [...] JACQUOT.
1. r. Gambetta, 19, maison fondée en 1832. Fournisseur du Conservatoire
de musique de Nancy et de l'armée, membre de la Chambre syndicale des
facteurs d'instruments de musique de Paris, hors concours, dip. Mme
d'honneur, médailles d'or et d'argent Pont-à-Mousson. [...] JACQUOT, r.
Gambetta, 19, fournisseur du Conservatoire de musique de Nancy et de
l'armée. Membre du Jury, hors concours Paris 1900, pianos et instruments
neufs et d'occasion, vente à tempérament, location, accords, réparations, instruments de cuivre et de bois Abonnement à la lecture
musicale."
Annuaire
des artistes et de l'enseignement dramatique et musical,
1909 (gallica.bnf.fr)
" Jacquot
(Fernand), luthier d’art, lils et successeur de la Maison Albert
Jacquot, fondée en 1827. Téléphone 11.18. (Voir publicité ci-dessous.)
[...] Pianos droits et à queue - Toutes les premières marques — Vente,
Achat, Location, Réparations, Accords - Fernand JACQUOT, Luthier, 19,
Rue Gambetta, NANCY - Télép. 11.18 - Pleyel, Erard, Gaveau,
Kriegelstein, Lary, Mussard, Ruch, Regy, etc."
Annuaire administratif, statistique, historique et
commercial de la Meurthe, 01/01/1922, p. 727 (gallica.bnf.fr)
|
Mirécourt
Paris
Nancy |
?
à Mirécourt
58, rue Saint-Louis au Marais (?)(arr.4)
48,
rue de l'Echiquier (1858)(¹⁰)(arr.10)
à Paris
19, rue Poissonnerie
(rue
Gambetta actuelle) (y1845)(***1860)(y1862)(*1875)(*1876)
17, rue Gambetta
(*1888)
19, rue Gambetta (*1886)(xx1890)(*1893)(*1898)(*1903)(y1905)(x1906)(*1909)(x1912)(**1914)(**1921)(*1922)(xxx1922)(x1926)
à Nancy |
|
'Fabrique d'instruments',
luthier, marchand ou facteur de pianos
ca. 1858-1926 [depuis 1632
(x1906)(x1912) ou
depuis 1827
(*1913)(**1921)(*1922)(x1926) à Nancy ou
depuis
1845
ou
depuis 1854
à Paris]
JACQUOT
Charles
(1804-1880),
établit sa maison à Mirécourt, où son fils,
Pierre-Charles JACQUOT
(1828-1895)(chevalier
de la légion d'honneur),
lui succéda. Famille du précédent, un autre Charles
Jacquot quitta
Nancy en 1854 et
s'établit à Paris.
1858 -
"JACQUOT Charles, négociant, rue
de l'Echiquier, n° 48. Cité le 31/12/1858, lors d’un acte sous seing privé,
comportant dissolution entre ledit et CUNY Marie Alexandrine, même adresse,
pour l'exploitation d'un fonds de marchand luthier, créé le 27/03/1858 et
dissous ce jour. Source : D31u3-213/0000."
Informations généaloqiques aimablement
établies par Georges Claude Lebrun et son équipe
«
éclat de bois
»
JACQUOT
Albert
(*1886)(1892)(1908),
a publié : 'La musique en Lorraine' et un
'Dictionnaire
des instruments de musique', 1886
JACQUOT
[C.] & Fils
(x1890)(xx1890)
'Geigenbauer, Musikal.-, Piano- u.
Instr.-Handlung' (xx1890) à Nancy
'Elève d'Erard' (*1903)
JACQUOT
E. Ch. Albert
(x1906)(x1912)
'Geigenbauer, Musikal.-, Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-u.
Saiten-Händler u. -Reparatur-Werkstatt' (x1906) -------
'Geigenbauer, Musikal.-Verleger, sowie Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.'
(x1912)
JACQUOT
Fernand Fils (1884 -?)(*1913)(**1921)(*1922)(xxx1922)
à Nancy
'Musique et Instruments et Luthier Fabricant'
(*1913) -------
'Musique - Pianos - Instruments et Luthier
Fabricant' (**1921) ------- 'Geigenmacher, Musikal.-Verleger, sowie Händler
mit Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.' (x1926)
JACQUOT
Fernand
(**1914)(x1926),
fils & successeur
"Le créateur de la lignée des
luthiers Jacquot a été Charles Jacquot (né en 1804 à Mirecourt) qui s’est
illustré par ses talents de luthier. Arrivé à Nancy en 1824, il crée trois
ans après son atelier et magasin de musique au 19 rue de la Poissonnerie.
Son fils Pierre Charles (1828 – 1900), également devenu luthier, s’est aussi
qualifié, au moins entre 1878 et 1890, de « fabricant de pianos », opérant,
comme d’autres, en apposant sa plaque d’adresse sur des instruments acquis
chez un autre fabricant. Ses fils Etienne Charles Albert (1853 – 1915) et
Jules Victor (né en 1855) ont continué la tradition familiale de la lutherie
et du magasin de musique sans que l’on sache cependant s’ils vendaient ou
fabriquaient encore des pianos sous leur nom. Albert est en outre devenu
très connu par son érudition en histoire de la musique et des instruments de
musique. On lui doit de nombreuses publications sur ces sujets." (⁸)
J.M. Stussi, Facteurs
de pianos de Nancy, Strasbourg, Le Mans, Mâcon et Angers. Doc.
Personnels
PUB
Annuaire général des Vosges pour l'année 1905, p.
571 (kiosque.limedia.fr)
VOIR AUSSI ...et
DAUB-JACQUOT
(°1830)
à
Saint-Quentin
INFO EXTRA
Les facteurs de pianos à Nancy
(2010) (site www.musimen.com)
|
Liste des exposants, Nancy 1838 |
Médaille d'argent Paris, 1889
|
LIGIER Jacques |
1845 |
Brevet
de 1862 :
"337° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la
demande a été déposée, le 4 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du
département du Puy-de-Dôme, par le sieur Ligier (Jacques), facteur de pianos,
à Clermont-Ferrand, pour un instrument de musique portatif dit
orpheï."
Bulletin
des lois de la République française, France, Imprimerie
nationale, 1864
|
Clermont-Ferrand
Mirecourt |
11 bis, rue Pascal
(*1875)(*1876)(*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(*1906)(*1907)(*1909)
8, rue Saint-Genès (*1913)(**1921)(*1922)(*1934)(**1935)
Usines à Mirecourt
(Vosges) vers 1900 |
|
Pédagogue,
clarinettiste, chef d'orchestre, marchand de musique et pianos droits,
et éditeur de musique et compositeur.
'Marchand
de musique' (*1906)(*1907)
F.
MOYEN, successeur (*1876)
SOULACROUP Jean
(1845 - 1919), successeur, voir
SOULACROUP
à Clermont-Ferrand.
SOULACROUP
(*1893)(*1895)
SOULACROUP-LIGIER (*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(*1907)(*1909)(*1913).
Repris par
LAPUE Mlls
(**1921)
Repris par
LAPUE Mlle. Marie
(*1922)
Repris par
CONNEN André
(*1934), ex-facteur-accordeur diplômé de la maison PLEYEL.
|
Mention honorable
Clermont-Ferrand, 1863
|
AURY
Jacques-Jean
(? - 1850)(³¹)
Piano droit ca. 1847,
Photo : Claude Germain - © Cité de la Musique, Paris, France
|
1846 |
Piano
droit ca. 1847,
intérieur,
détail,
Cité de la Musique, Paris, France
Brevet
de 1846 : "Aury chercha à raccourcir les cordes jusqu'au chevalet au
moyen d'une tringle fixée par son extrémité courbe au sommet inférieur.
Les cordes, au dire de l'inventeur, étant plus courtes, sont moins
sujettes aux influences atmosphériques. (B. F., 2,895)."
Organographie: La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
Bulletin des lois de la République française,
07/1846, p. 680 (gallica.bnf.fr)
- Brevet d'invention de quinze ans -en date du 2 février 1846, au sieur
Aubry, à Paris, pour des perfectionnements aux pianos - Il s'agit
d'abord d'une tringle que l'on voit fig.20 pl. XVIII que l'on fixe par
son extrémité courbe en sommier du bas, et elle aboutit à 0, 02 du
chevalet. A on autre extrémité s'agrafent les cordes c, un au bout même
de la tringle, les autres a de cochets. Cette tringle a pour effet de
saccourir les cordes jusqu'au chevalet. Son aplatissement ver le sommier
lui donne de la frexibilité et la table d'harmonie est plus sensible aux
vibrations: les cordes etant plus courtes sont moins sujettes aux
influences [?] shériques. En second lieu, l'inventeur décrit un étouffoir
que est placé devant qui est en mouvement par le clavier. Cet étouffoir
est représenté fig. 21. La figure 22 représente un échappement à ponte
mobile. Cette
disposition permet de régler par devant tous les marteaux. En vissant eu
en dévissant la vis VR, on fait marcher la pièce moble PM, rapportée
dans l'échappement. Le ressort K est pris dans la petite fourche et dans
un cordonnet de soie; ce ressort, ainsi disposé, donne un jeu prompt et
doux. Enfin, la figure 23 rerésente une touche. La fourche F s'adapte à
la touche. Ces fourches se mettent et se retirent à volonté dans les
garnitures de la barre balancier.
Description des
machines et procédés spécifiés dans les brevets d'invention, 1851,
p. 184-185 -
MM. Aury et Ziegler, facteurs de pianos, rue Bleue, 2, présentent un
nouveau système de pianos."
Bulletin de la
Société d'encouragement pour l'industrie nationale, Volume 46, 1847,
p. 220
|
Paris |
2, rue Bleue (*1847)(x1847)(*1848)(arr.9)
ateliers : 35,
Marais Saint-Martin (x1847)(*1848)(arr.4)
5, rue de Montholon
(**1847)(arr.9)
18, rue Truffaut (1850)(³¹) |
|
'Facteur
de pianos'
droits et
pianos carrés
Jean-Frédéric
ZIEGLER
devenait contre-maitre en 1846 chez AURY
avant de s'associer vers 1846-47 :
ZIEGLER
& AURY (1846)(***1847)
1846 - "AURY
Jacques Jean, Fabricant de pianos, rue Bleue, n° 22. Cité le 23/09/1846,
dans un acte notarié comportant société entre ledit et ZIEGLER Frédéric,
facteur de pianos, même adresse, lesquels se sont associés en nom
collectif pour une fabrique de pianos, à cette adresse, sous la raison
AURY et ZIEGLER qui a commencé le 12/09/1846. Source : D31u3-136/Pièce
1772."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
1847 -
"AURY Jacques Jean, Fabricant de
pianos, rue Bleue, n° 2. Cité le 31/05/1847, dans un acte sous seing
privé comportant dissolution entre ledit et ZIEGLER Jean Frédéric, même
profession et adresse, lesquels étaient associés en nom collectif dans
une société créée le 23/09/1846, devant notaire pour la fabrication et
la vente de pianos, laquelle est dissoute ce jour. Source :
D31u3-142/Pièce 1042."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
AURY
& Cie (1847)
1850 -
"MC/RE/LXVI/29 - 4 octobre
1850 - Inventaire après décès de Jacques-Jean Aury, facteur de pianos, à
Matignolles Monceaux, rue Truffaut, n° 18."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
"Aury
et Ziegler, inventeurs de plusieurs perfectionnements approuvés par les
professeurs et les facteurs les plus distingués de Paris, Bleue, 2 ;
ateliers, Marais-St-Martin, 35. Ces perfectionnements ont pour premier
avantage de pouvoir livrer, à qualités égales, à bien meilleur marche.
Ils consistent principalement, 1°
dans J'emploi des ressorts qui, en raccourcissant les cordes, donnent à
l'instrument une puissance de sons égale dans les pianos droits à celle
des pianos à queue ordin., en facilitent et en maintiennent l'accord;
2°
dans le clavier dont le jeu est partont égal, facile, inaltérable et
sans le moindre bruit : 3°
dans l'étouffoir qui ne laisse plus ni continuation ni confusion dans le
son ; 4°
dans le mouvement de la pédale forte, etc. Tous ces perfectionnements
sont si naturels et si incontestables, qu'i's se comprennent très -
clairement, même par les personnes étrangères à la fabrication."
Annuaire du commerce Didot-Bottin,
1847, p. 470 (gallica.bnf.fr)
|
|
ELCKÉ Frédéric
|
1846 |
Piano
droit ca. 1864, et
sa signature, Musée des Beaux-Arts du Havre, France
ELCKE
sur ce site
Pour lire les commentaires sur les expositions, cliquer sur le lien ci-dessus.
|
Paris |
151, rue de l'Université
(1849)(arr.7)
112, rue de Richelieu (après 1849)(*1850)(*1851)(**1852)(arr.2)
Fabrique : 3-5,
Boucherie-des-Invalides
(*1850)(*1851)(arr.6)
47,
rue
de Babylone (yy1851)(**1852)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(**1864)(yy1864)(xx1868)(**1870)(xx1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1884) (***1885)(**1888)(y1889)(*1894)(*1895)(*1896)(*1897)(**1898)(1900)(*1902)(*1903)(*1905)(*1907)(**1907)(*1909)(*1910)(**1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(*1920)(**1921)(x1922)(z1931)(arr.7)
45-47, rue de Babylone (x1912)(x1926)(arr.7)
89, boulevard Saint-Michel (x1926)(arr.5)
|
Plus de 200 pianos par an en 1855 100 ouvriers et 700
pianos par an en 1890
21.600
pianos fabriqués en 1900
36.100 (vers 1930)
41.400 pianos en 1960 (¹)
41.950 pianos en 1965 (¹) |
'Facteur de
pianos' ca. 1849-1926 [depuis
1846 (x1926)]
"Une semblable exactitude
aux expositions est à noter pour l’établissement créé en 1846 par Fréd.
Elcké. (Médailles de bronze 1849, de 2e classe 1855, menton à Londres
1862, méd. de bronze, Paris 1867 et d’argent 1878.) En 1878, ce facteur
qui s’était fait aussi une loi de vendre à des prix peu élevés, et ne
construisait que des pianos droits, avait réalisé de grand progrès
constatés dans le rapport du jury. En prenant la direction de la maison
(1878), M. Ed. Gouttière résolut d’attendre sa fabrication aux pianos à
queue. A ce titre il reçut un diplôme d’honneur à Anvers (1885) et à
Bruxelles (1888), mais c’est à l’exposition de 1889 que M. Gouttière
obtint la meilleure consécration de son succès. En le plaçant « le
premier sur la liste des médailles d’or », le jury reconnut à ses
instruments de remarquables qualités. (..) En 1878 ce facteur qui
s'était fait aussi une loi de vendre à des prix peu élevés, et ne
construisait que des pianos droits."
Les
facteurs d'instruments de musique: les luthiers et la facture instrumentale
: précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893
ELCKÉ
Frédéric
(1849)
ELCKÉ
F. & GOMBEAU
(entre 1849 et 1855),
la maison
GOMBEAU
est fondée en 1848. Voyez GOMBEAU,
ELCKÉ & GOMBEAU
(*1850)(*1851)(*1852) sont les successeurs de
FAURÉ & ROGER
(°1840), ci-dessus.
ELCKÉ F. & Cie
dès 1870; (1872)(**1873)(*1876)(**1876)(**1877):
'Annuaire-almanach
du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration',
1879, p. 1395-1397 (gallica.bnf.fr)(**1880)
1870 -
"TRIBUNAL DE COMMERCE DE LA SEINE -Dépôt au greffe. — Actes de sociétés.
Formations. — Elcké et Cie, pianos, r. Babylone, 47. (Acte s. s. p., 3
fév.)"
Journal officiel de l'Empire français, 25/02/1870, p. 370 (gallica.bnf.fr)
ELCKÉ F. & Cie Ed.
GOUTTIERE
son associé vers 1870 est devenu son successeur (¹)
vers 1878
Edmond GOUTTIERE
(1885) né à Lille en 1833;
(**1879)(y1889)(**1881)
1878 -
"Paris : — Dissolution, à partir du 30 juin 1878, de la Société ELCKÊ et
Cie, fab. de pianos, rue de Babylone, 47. — Liquid. : M. Gouttière, l'un
des associés. — Acte du 12 août 1878.— J. g. d'A."
Archives commerciales de la France. 29/08/1878, p. 1106 (gallica.bnf.fr)
PISSON-ELCK[E
(dès 1910)(¹)(z1931),
voir
PISSON, successeur
1910 -
"Vers 1910, M. PISSON prend la direction de la firme, puis son fils,
qui continua jusqu'en 1965 environ."
Histoire du piano: de 1700 à 1950, 1983, p. 231 (¹)
ELCKÉ F.
(x1926), 'Facteur de pianos' & 'Piano- u.
Harmonium-Handlung' (x1926)
LUCHE
Camille,
vers 1927-31
1881 -
"Un incendie considérable a éclaté hier, vers trois heures du matin, dans la
fabrique de pianos de M. Elcké et Cie, successeurs [sic] de M. Gouttière,
47, rue Babylone. Les ateliers, les immeubles, les mobiliers de quelques
locaires ont été entièrement consumés. Le feu a pris des proportions si
considérables en quelques instants, que de nombreux habitants des maisons
voisines ont dû déménager à la hâte. Les pompiers, venus en grand nombre des
postes voisins, ont attaqué le feu par la cour de la caserne de Babylone et
celle de la fabrique. Jusqu'à sept heures du matin, ils ont travaillé pour
l'en rendre maîtres. Une pompe à vapeur a fouctionné jusqu'à midi pour noyer
les decombres. L'eau projetée par la pompe se congelait en tombant sur le
sol, et plusieurs pompiers, des gardiens de la paix, des personnes occupées
aux chaînes sont tombées en glissant et se sont fait quelques légères
confusions. Dans la matinée, la plupart des locataires ont réintégre leur
domicile."
Le Petit Parisien, 18/01/1881, p. 3 (gallica.bnf.fr) et
La Presse, 18/01/1881,
p. 3 (gallica.bnf.fr)
|
Médaille
de bronze Paris, 1849
| Médaille de 2e classe Paris,
1855 | Mention honorable Londres, 1862
| Médaille de bronze, 1867
| Liste des exposants Le Havre, 1868 | Médaille d'or Lyon, 1872 |
Médaille d'argent Paris, 1878 |
Diplôme d'honneur Anvers 1885 | Hors concours Bruxelles, 1888 | Médaille d'or Paris, 1889 | Liste des
exposants Chicago, 1893 | Grand prix Anvers, 1894 | Diplôme d'honneur
Amsterdam, 1895 | Grand prix Bruxelles, 1897 | Grand prix Paris, 1900
|
FISCHER Gge. |
1846 |
FISCHER
sur ce site
Cliquer sur le lien
ci-dessus si vous voulez lire les commentaires sur les expositions.
Peut-être les pianos de FISCHER sont plus tard fabriqués
par
ETESSE
(°1850)(Tours)
|
Saumur |
49, rue d'Orléans,
en face l'Hôtel de Londres (**1890)
15bis, rue de Nantilly
(*1913)(*1922) |
|
'Facteur de pianos' droits ca. 1890-1922
FISCHER V.
(?)
FISCHER
Léonard & Fils
(xx1890), 'Musikal.- u. Instr.-Handlung'
1890 -
"LIQUIDATION Pour cause de fin de bail et cessation de commerce Pianos,
Musique, Instruments Maison LÉONARD FISCHER Rue d'Orléans, 49, SAUMUR."
L'Écho Saumurois, 13-14/01/1890, p. 3 (archives.ville-saumur.fr)
1890 -
"A LOUER pour Noël 1890, MAISON AVEC MAGASIN Rue d'Orléans, en face
l'Hôtel de Londres, Occupée par Mme FISCHER, marchande de pianos. S'adresser
à Mme BRINDEAU, à Sainte-Anne, et chez M. MEYER, rue d'Alsace."
L'Écho Saumurois, 13-14/01/1890, p. 3 (archives.ville-saumur.fr)
Repris par
PILLET-BERSOULLÉ vers
1891, inventeur et fabricant de fixe-chevilles PILLET, et marchand de
pianos.
Puis repris par
OLIVE P.
Puis repris par
COUTARD Marcel (*1929)
|
Médaille d'argent Saumur
?, 1846 | Médaille de bronze Angers, 1853
|
Médaille de bronze Angers, 1857 | Grand prix Saumur, 1891
|
GOLL Frédéric |
1846 |
VOIR AUSSI
...
GOLL
Johann-Hans-Jacob à Vienne, Autriche
et le même
GOLL
Johann-Hans-Jacob
à Zürich, Suisse et
GOLL Chr. L. à Kirchheim, Allemagne |
Grenoble
Draguignan |
rue de la Paix
(*1875)(*1876)
2, rue de la Paix (xx1890),
à Grenoble
30, Allées d'Azémar (*1898)
1, boulevard de la Liberté (*1902)(*1903)(*1905)(x1906)
35, Allées d'Azémar (*1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913)
à Draguignan
|
|
Facteur et/ou marchand de pianos
et orgues
ca. 1875-1913
Dans le New York City Directory de
1845-48, on retrouve le même nom qu'un pianiste. :
New York City Directory, 1845, p. 147,
New York City Directory, 1848, p. 169
Grenoble
1882 - "Nice. —, GOLL (Frédéric),
facteur de pianos, Jug. du 16 mai. 1882. — Syndic : M. Muaux."
Archives commerciales de la France. 28/05/1882, p. 738 (gallica.bnf.fr)
GOLL
H.
(xx1890)
GOLL
Fils
(*1893)
'Piano- u. Harmonium-Handlung'
(xx1890)
Draguignan
'Piano-Handlung' (x1906)
-------'Facteur d'orgues et de pianos'
(*1906)(*1907)(*1909)
-------
'Hândler mit Musikal., Pianos, Orgeln u.
Phonographen' (x1912) -------
'Facteur d'orgues et instruments pneumatiques' (*1913)
GOLL
Frédéric Fils
(x1912)
|
|
HURON |
1846 |
HURON
sur ce site
Cliquer sur le lien ci-dessus.
" Magasin
de pianos & d'Harmoniums. Locations et réparations. HURON, facteur de
pianos, Rue des Juifs, 6, à Blois. Tous les Instruments, quels que soient
leurs prix, sont vendus avec toutes les garanties possibles pour les
acheteurs, et aux mêmes prix que chez les facteurs de Paris. Les
Réparations, faites avec tout le soin désirables, sont traitées dans les
mêmes conditions de prix."
Annuaire du département de Loir-et-Cher', 1862
(archives.culture41.fr)
"Magasin
de pianos et d'harmoniums - Huron - Facteur de Pianos - Rue Denis-Papin, 13,
à Blois. Magasin de musique, lutherie et instruments de toutes espèces,
successeur de Messieurs Marchand et Damenez. Violons et cordes harmoniques
des meilleurs provenances."
Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1874 (archives.culture41.fr)
" Vente,
accords, location & réparation de pianos et d'harmoniums des meilleurs
maisons de Paris et vendus aux mêmes prix. - Médaille d'or obtenue pour ses
pianos. Huron, rue Denis-Papin, n° 13, à Blois, s'esr adjoint son Fils,
facteur et accordeur des premières Maisons de Paris, Herz, Gaveau, Erard. -
Toutes les réparations sont faites promptement et avec soin, et à des prix
très modérés. Magasin de Musique, Instruments de cuivre, violons, cordes,
etc."
Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1878 (archives.culture41.fr)
" Manufacture
de Pianos. Ateliers de fabrication à Paris - Magasin de Ventes, Locations,
Accords, et Réparations - J. Huron - Élève d'Erard - Rue Denis-Papin, 13,
Blois. Pianos droits, depuis 800 fr. - Obliques. - Cordes croissées, etc. -
Indépendamment des Pianos de ma fabrication, on trouve toujours un grand
choix des Instruments des meilleurs Maisons, telles que : Erard, Pleyel,
Herz, Gaveau, Debain, au même prix qu'à Paris. Instruments de musique en
tous genres - Musique. - Abonnement musical. - Cordes harmoniques -
Fournitures pour Musiques militaires."
Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1883 (archives.culture41.fr)
|
Blois
Paris |
1, rue des Papegaux
(xxx1850)(xxx1851)(xxx1852)
rue des Juifs (xxx1853)
6, rue des Juifs
(xxx1854)(xxx1855)(xxx1856)(xxx1857)(xxx1858)(xxx1860)(xxx1861)(xx1862)(xxx1863)(xxx1864)(xxx1865)(xxx1866)(z1867)(xxx1868)(xxx1869)(xxx1870)
20, rue des Marchands (xxx1870)
13, rue Denis-Papin
(xxx1872)(xxx1873)(xxx1874)(xxx1875)(xxx1876)(xxx1877)(xxx1878)(xxx1880)(xxx1881)(xxx1882)(x1883)(xxx1883)(xxx1884)(xxx1885)(xxx1886)(xxx1887)(xxx1888)
95, rue Denis-Papin (xxx1879)(xxx1880)(xxx1881)(xxx1882)
rue Denis-Papin (xx1890)
6,
rue Porte Côté
(xxx1889)(xxx1890)(xxx1891)(xxx1892)(xxx1893)(xxx1894)(xxx1895)(xxx1896)(*1897)(xxx1897)(*1898)(xxx1898)(xxx1899)(xx1900)(xx1901)(**1902)(xxx1902)(xxx1903)(xxx1904)(xxx1905)
8, rue Porte Côté (*1903)(1904)(*1905)(x1906)(*1907)(*1909)
à
Blois
Ateliers :
6, rue Meissonnier
(**1914)(**1921)(x1926)(z1931)(arr.17)
à Paris
|
|
'Manufacture de Pianos'
ca. 1850-1931 [ depuis 1846
(*1907)]
'Élève d'ERARD' (mentionné sur ses lettres anno 1904 et l'articles sur
l'expositions de Huron)
Successeur de
MARCHAND,
Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1870
(archives.culture41.fr)
HURON
Louis (xxx1872)(xxx1874),
facteur de pianos,
Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1872, p. 227
(archives.culture41.fr)
Successeur de
DAMENEZ,
Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1874
(archives.culture41.fr)
HURON
& Fils,
Annuaire du département de Loir-et-Cher', 1878
(archives.culture41.fr)
HURON
Louis
(xxx1879)(xxx1880)(xxx1881)
HURON
Joseph ou
HURON Fils (xxx1883)(xxx1884)(xxx1885)(xxx1886)(xxx1887)(xxx1888)(xxx1889)(xx1890)(x1906)
'Musikal.-, Piano- u. Instr.-Handlung' (xx1890) -------
'Musikal.-, Piano- u. Instrumenten-Handlung' (x1906) ------- Piano- u.
Harmonium-Handlung' (x1926)
1904 -
"A CÉDER bonne maison de
province. Musique. Pianos. Instruments. S'adresser à M. Huron, à Blois."
Le Ménestrel, 18/12/1904, p. 406 (gallica.bnf.fr)
Repris par
PLOUCHART G.
à Blois,
probablement dès 1906,
Annuaire du département de Loir-et-Cher, 1906, p. 443
HURON
R[ené] (**1914)(**1921)(x1926)(z1931)
(la suite)
"INSTRUMENTS -
MUSIQUE - Ancienne Maison HURON fondée en 1846 G. PLOUCHART, Suc - Facteur,
Luthier - MÉDAILLE D'OR 1875 - DIPLOMES D'HONNEUR 1883-1893 - 8, rue
Porte-Côte, 8, BLOIS (Téléphone 0.59) - Pianos neufs et d'occasion île
toutes marques. - Harmoniums. - Accords et entretien de grandes orgues. -
Instruments à cordes et à vent bois et cuivre. Fournitures générales -
Atelier spécial de réparations de tous instruments, Accords, Ventes,
Locations, Echanges. - Musique française et étrangère - abonnement à la
lecture musicale - Phonographes et cylindres Pathé - Dépositaire du piano
"Cecilian" pour le Loir-et-Cher et l'Indre."
Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique
et musical, 1907, p. 742 (gallica.bnf.fr)
|
Médaille d'or Blois, 1875
| Diplôme d'honneur Blois, 1883
| Diplôme d'honneur Blois, 1893
|
PÉRICHON
Alexandre |
1846 |
'Membre de la
Société du progres de libre industriel'
|
Paris
Le Hâvre |
MAISON PRINCIPALE :
22, passage Tivoli (1856)(¹⁰)(arr.9)
10, rue de l'Odéon (1856)(¹⁰)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(*1862)(***1863)(**1864)(yy1864)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(xx1890)(arr.6)
à Paris
SUCCURSALE :
9, Place Louis XVI (18??)
9, Place Gambetta
(xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)
rue Saint-Adresse (*1902)(*1903)
au Havre |
|
'Facteur de pianos et orgues' ca. 1856-1903
Époux de POIRE (1856)(¹⁰)
Probablement la même
personne qu'on peut trouver sur le nom PÉRICHON Jeune,
maison fondée en 1835, voyez ci-dessus.
'Pianohandlung' (xx1890) au Havre et à Paris
PÉRICHON
Mme. Veuve
(*1896)(*1897)(*1898)(*1902)(*1903)
Repris par
A.
PÉRICHON Neveu
(quand ?)
Repris par
L. JOUVE (de
Alger (maintenant Algérie) ?) (quand ?)
ROUEN - "M.
Perrichon [sic], de Paris, a exposé divers pianos dont l'ébénisterie et
la sculpture sont remarquables ; l'un d'eux, en bois de rose incrusté, à
trois cordes obliques, est d'une sonorité assez heureuse." Expo Rouen,
1859 -
Revue des Races Latines, 07/1859, p. 384-385 (gallica.bnf.fr)
VOIR AUSSI ...
PÉRICHON
Aîné
à Paris
|
Liste des exposants
Rouen, 1859 | Mention Honorable Exposition de Nantes,
1861
|
SCHMID-OBERDOERFFER
| OBERDÖRFER
SCHMID Georges Frédéric
&
Philippe Jacques OBERDOERFFER
| OBERDÖRFER
(1815 -
?)(⁸)
|
1846 |
INFO EXTRA
SCHMID-OBERDOERFFER, manufacture de pianos à
Strasbourg, par Jean-Marc Stussi
|
Strasbourg |
22, Lange-strasse (1875)(y1878)(1885)
ou 22, Grand rue [Lange-strasse] (1885)(⁸)(xx1890)(*1896)(*1897)(*1903)(*1905)(*1906)(*1907)
3, Vieux Marché aux Vins
[Alter Weinmarkt](x1906)(*1907)(*1909)(*1910)(*1922) (*1929)
9, Desaix - Staden (?) |
|
'Facteurs de pianos'
droits, harmoniums
et orgues ca. 1875-1929
Selon
Weltadressbuch der gesammten Musikinstrumenten-Industrie, 1890, p.
61 (digital.slub-dresden.de), la maison était fondée en 1820.
OBERDOERFFER
Ph. (x1854), accordeur et fabrique de pianos (**1874)(y1878)
1874 - "Ph. Oberdörfer, Pianofortefabrik. Vom Inhaber
Philipp Oberdörfer gegründet."
Handbuch der Leistungsfähigkeit der gesammten
Industrie Deutschlands, Oesterreichs Elsass-Lothringens und der Schweiz,
1874, p.
113
SCHMID-OBERDOERFFER
F.
(x1906)
1906 - Propriétaires : E. SCHMID & P. DUBIED (x1906), successeurs
SCHMID-DUBIED
(y1907)
1907 -
"Die Firma F.
Schmid-Oberdörfer [sic] in Strassburg ist geändert lt.
Handelsgerichtlicher Eintragung in Schmid & Dubied (vorm. F.
Schmid-Oberdörffer)."
Zeitschrift für Instrumentenbau, Paul de Wit, 1907, p. 929
(daten.digitale-sammlungen.de)
"La manufacture de
pianos
SCHMID-OBERDOERFFER
a été créée en 1846 à Strasbourg à l’initiative de Georges Frédéric
SCHMID (1815-1904) et de Philippe Jacques OBERDOERFFER (1815-1892).
Installée au 22 Grand’Rue, elle a produit des pianos droits sous cette
raison sociale, jusqu’en de 1905, puis sous celle de «
SCHMID-OBERDOERFFER – SCHMID-DUBIED Succr » et enfin SCHMID-DUBIED
jusque dans les années 1930. Cette maison a surtout été tenue, après 1884,
par la famille SCHMID en particulier par Frédéric Guillaume (1844-1908)
qui assure, avec un cousin, l’affaire de « facture instrumentale »
jusqu’en 1905. En 1906, les propriétaires en sont SCHMID-DUBIED qui
ouvrent dès 1907 une deuxième enseigne au 3 rue du Vieux-aux-Vins, avec
annexe au 9 Quai Desaix, spécialisée dans la vente de musique et
d’instruments de musique. Elle a cessé son activité en 1951. Les
événements de 1870 ont amené une dispersion de plusieurs membres des
deux familles SCHMID et OBERDOERFFER vers Paris et la province (Mâcon,
Le Mans)."
Jean-Marc
Stussi
Successeur :
SCHMID &
DUBIED
(y1907)
|
Mention honorable Paris, 1889
|
VAN OVERBERGH
Pierre-Jean
|
1846
? |
Pianos droits,
pianos à queue, surtout des 'Pianos d'art'
VAN OVERBERGH
sur ce site
Pour lire les commentaires sur les expositions, cliquer sur le lien ci-dessus.
Brevet de 1846 : "495° Le
brevet d'invention de quinze ans. dont la demande a été déposée, le 6
novembre 1846, au sécrétariat de la préfecture du département de la Seine,
par le sieur Vau Overbergh (Pierre-Jean), pour un piano à double table
d'harmonie."
Bulletin
des lois de la République française, 01/1847, p. 459 (gallica.bnf.fr) - et -
"Van-Overbergh, construisit des pianos avec double table
d'harmonie dans le but d'augmenter l'intensité du son, de le rendre plus
sonore et plus plein. (B. F. 4517.)"
Organographie : La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
Brevet de 1849 : "328° Le certificat d'addition dont la demande a été déposée,
le 27 janvier 1849, au secrétariat de la préfecture du département de la
Seine, par le sieur Van Overbergh (Pierre-Jean), à Batignolles-Monceaux,
Grande-Rue, 50, et se rattachant au brevet d'invention de quinze ans pris,
le 6 novembre 1846, pour un piano à double table d'harmonie; addition
consistant en perfectionnements généraux."
Bulletin
des lois de la République française, 07/1850, p. 68 (gallica.bnf.fr)
"Par
Brevet d'invention sans garantie du gouvernement Pianos Van Overberh [sic],
droits et obliques, à double table d'harmonie, et remplaçant pour le son les
meilleurs pianos à queue. Il faut les voir pour pouvoir s'en rendre compte.
- Prix : de 1000 à 1200 fr. A Batignolles. Grande rue, 50."
La Presse, 29/12/1846, p. 4 (gallica.bnf.fr)
"Van Overbergh,
facteur de pianos, breveté du roi (sans garantie du gouvern.) seul inventeur
des pianos droits à double table d'harmonie, remplaçant par le son les
pianos à queue, Grande-Rue, 50, aux Batignolles."
Annuaire
du commerce Didot-Bottin,
1848, p. 513 (gallica.bnf.fr)
"PIANOS
- VAN-OVERBERGH, 9, rue de Choiseul. — Par brevet d'invention et de
perfectionnement, PIANOS DROITS A DOUBLE TABLE D'HARMONIE. A la faveur
de ce système, on obtient des sons qui, par leur supériorité et leur
puissance, remplacent avantageusement ceux des Pianos à queue : leur
double construction en fer et en bois présente, d'ailleurs, plus que
tout autre mécanisme, des garanties de solidité et de durée. Cette
invention, sanctionnée par l'expérience, a obtenu, après un examen
approfondi, les suffrages de tous les hommes compétents. Approuvé parle
jury de 1849, qui lui a décerné une récompense nationale. - MEDAILLE A
L'EXPOSITION." La
Sylphide,
10/07/1850, p. 16 (gallica.bnf.fr)
|
Paris
Batig-nolles |
176, rue du faubourg
Saint-Denis (1840)(¹⁰)(arr.10)
11, rue de Ponthieu (1847)(¹⁰)(arr.8)
50, Grande rue (y1846)(**1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1859), Batignolles (1849, Seine)(arr.17)
16, Impasse Béranger
(zz1855) Batignolles-Monceaux
9, rue de Choiseul (*1851)(***1851)(yy1857)(**1852)(zz1853)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(**1857)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(arr.2)
6, rue de Choiseul (1859)(**1864)(arr.2)
30, Grande rue, Batignolles (*1859)(x1860)(xx1861)(**1864)(arr.17) |
|
'Fabricant de pianos'
ca. 1840-64; (*1860)
Il s'est marié le 31/12/1840,
paroisse Saint Laurent, avec DUPERCHE Caroline Célestine. Il était menuisier
à ce moment.
Et puis le 07/12/1847,
paroisse Saint Philippe du Roule, lui, demeurant rue de Ponthieu, n° 11 avec
LESAFFRE MASSE Barbe. (¹⁰)
1851 -
"MC/ET/LXXVII/656 - 20 novembre 1851 - Obligation, emprunt, 2000f. -
Intervenant 1, en première partie : Nom, qualité : (M.) Van Overbergh,
Pierre Jean. Profession : facteur de pianos, Paris. Domicile : Paris (Paris)
rue de Choiseul, 9. Intervenant 2, en deuxième partie : Nom, qualité : (M.)
Laporte, Louis Eugene. Profession : propriétaire. Domicile : Paris (Paris)
rue Christine, 4."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
(la suite)
"Pianos à double table d'harmonie, de Van Overbergh. Force et suavité de
son. Rue Choiseul, 9."
Journal des débats politiques et littéraires, 09/11/1851, p. 3
(gallica.bnf.fr)
"VAN-OVERBERG
[sic], 9, rue de Choiseul, Paris. - Inventeur breveté (S. G. D. G.) — Pianos
à double table d'harmonie. Récompense nationale. 1849."
Almanach
commercial et illustré de l'Exposition de Londres, 1852, p. 71 (gallica.bnf.fr)
"Pianos
à double table d'harmonie par VAN OVERBERG [sic], facteur breveté, rue de
Choiseul, 9, admis à l'Exposition universelle de 1855. Ces pianos se
recommandent par une solidité à toute épreuve ; la double table d'harmonie
leur donne plus de puissance et de sonorité que n'en ont les pianos à
queue."
Courrier
franco-italien. Journal hebdomadaire non politique, 07/01/1858, p. 1 (gallica.bnf.fr) et
L'Éclair
: revue hebdomadaire de la littérature, des théâtres et des arts, paraissant
tous les samedis, 1853, p. 621 (gallica.bnf.fr)
"VAN-OVERBERG, seul invr. bte des pianos à double table
d'harmonie ayant la puissce. des meilleurs pianos à queue, 9, Choiseul.
Export. Pianos à double échappement btes de."
Gazette des Tribunaux, 28/11/1853, p. 4
(data.decalog.net)
"PIANOS
A DOUBLE TABLE D'HARMONIE - Par Van Overbergh, facteur breveté - Admis à
l'Exposition universelle de 1855. Rue de Choiseul, 9. Le mérite et
toutes les qualités des pianos de Van Overberg sont depuis longtemps
appréciés. Une invention nouvelle, la double table d'harmonie, donne à
ses pianos droits plus de puissance et de sonorité que n'en ont les
incommodes pianos à queue. Ces pianos se recommandent par une solidité à
toute épreuve; leur construction en bois et en fer leur permet de
résistera toutes les températures. Le public trouve dans les salons de M. Van Overbergh un splendide assortiment de pianos de luxe de tous
styles, bois de rose, marqueterie, genre Boule, ornés de bronze, chêne
antique sculpté, ébéne et or."L'Abeille impériale : messager des familles : revue du grand monde, des
modes et de l'industrie, 1855, p. 7 (gallica.bnf.fr)
et
L'Ami des
sciences : journal du dimanche, Volume 2, 1856, p. 328 et
Courrier
franco-italien. Journal hebdomadaire non politique, 25/12/1856, p. 160 (gallica.bnf.fr)
et
Revue franco-italienne : journal hebdomadaire non politique : sciences,
industrie, commerce, littérature, beaux-arts, théâtres, 21/02/1856, p.
64 (gallica.bnf.fr)
"PIANOS
à double table d'harmonie par VAN OVERBERG, facteur breveté, rue de
Choiseul, 9, admis à l'Exposition universelle de 1855. Ces pianos se
recommandent par une solidité à toute épreuve ; la double table
d'harmonie leur donne plus de puissance et de sonorité que n'en ont les
pianos à queue."
Courrier franco-italien : journal hebdomadaire non politique, 12/02/1857,
p. 4 (gallica.bnf.fr)
|
Mention honorable Paris, 1849 | Official catalog Londres, 1851 | Médaille de 2e classe
Paris, 1855
|
1847 |
|
La France compte 120 facteurs. |
|
|
|
|
|
BARDIES Joseph
|
1847 |
Piano
droit ca. 1850,
Museo degli Strumenti Musicali, Castello Sforzesco, Milan, Italie
PARIS -
"M. Bardies, facteur de Paris, a
exposé, entre autres, un charmant piano droit qui, malgré sa dimension
modérée, possède des sons purs et éclatans."
Le travail universel : revue complète des oeuvres de
l'art et de l'industrie exposées à Paris en 1855, p. 602 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"M. Bardies, élève de Roller,
dont il a fidèlement recueilli la tradition, expose un piano droit de forme
élégante, et à cordes obliques. Cet instrument, du plus petit modèle en
usage, réunit néanmoins autant, pour ne pas dire mieux, que quelques autres
du plus grand format, les conditions requises de sonorité ot de solidité. Le
mécanisme en est si simple, que toute réparation devient facile; tout en est
juste, bien entendu, savamment calculé. En ce temps où chaque facteur veut
avoir son côté distinctif, son idée à lui, son invention, il devient rare de
trouver un piano à la fois solide, sonore et simple c'est pourquoi nous
mentionnons tout spécialement celui-ci.
Cependant, M. Bardies n'est pas resté stationnaire. Par d'intelligentes
recherches, il a donné aux principes de sa fabrication le degré de
perfection auquel il aspirait. Non-seulement il a avantageusement modifié
ces principes, mais de plus, il a imaginé un nouveau mécanisme applicable
aux étouffoirs, qui a pour résultat la prolongation rationnelle des sons et
l'indépendance des vibrations. Cette invention fait honneur à son génie
inventif. En outre il a heureusement simplifié le mécanisme de la
transposition dans les pianos droits, en établissant un rapport direct
entre la clef qui opère le mouvement de translation du clavier et les
étouffoirs.
Dans l'ancien système, il fallait, avant de la tourner cette clef, lever les
préalablement les étouffoirs en pesant sur la pédale; l'oubli de cette
formalité pouvait entraîner de graves accidents. Avec le procédé de M.
Bardies, cette précaution devient inutile; la clef agit sur toutes les
parties de la mécanique, et la dispose au mouvement qu'elle va subir.
M. Bardies expose en outre un piano-table ou bureau qui est une merveille de
difficulté vaincue. Ce meuble n'a pas plus de 15 centimètres d'épaisseur;
or, dans cet espace étroit tiennent la mécanique et le clavier. Celui-ci est
mobile, en forme de tiroir. L'instrument fermé offre toutes les apparences
d'un élégant bureau, sur lequel même des casiers pourraient être disposés.
M. Halévy possède un meuble de ce genre, construit spécialement pour son
usage. Tous les compositeurs voudront avoir le pareil."
La France Musicale, 1855, p. 290 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"Bardies (J.), à Paris, Bd
Poissonnière, 12. - Pianos."
Quinze visites musicales à l'Exposition universelle de
1855, Adrien de La Fage, 1856, p. 210
PARIS -
"M. BARDIES. - Nous attendions mieux de
M. Bardies, non que les instruments exposés par ce facteur soient mauvais,
mais nous espérions mieux, et la médaille de 1° classe, qui lui avait été
accordée en 1855, devait faire présager des pianos d'une plus grande valeur
musicale que ceux qui figurent dans les galeries du Champ-de-Mars. En 1847,
M. Bardies cherchait à obtenir, dans ses instruments, la continuité du son
et faisait breveter les moyens qu'il avait imaginés pour parvenir à ce but,
et la même année il créait un mécanisme qu'il nommait serrure de
transposition."
La musique à
l'Exposition universelle de 1867, Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant,
p. 133-134
PARIS -
"Pianoforti verticali. - [...] indi una firma poco conosciuta, quella
di Bardies; il suo mobile regolare di Palessandro senza pretensioni aveva
bella e discretamente forte ed eguale voce, sopratutto bellissimi bassi;
[...]"
Il Pianoforte, guida pratica per costruttori,
accordatori, etc., Sievers, 1868, p.
2 26
|
Paris |
24, rue Chabrol [près
de la rue Hautteville]
(1840)(y1846)(**1847)(x1847)(*1848) (1849)(arr.10)
ateliers : 28, rue Chabrol
(*1851)(**1852)(arr.10)
12, boulevard Poissonnière
[ci-devant Chabrol 24]
(x1849)(*1851)(¹⁰)(yy1851)(**1852)(**1854)(yy1855)(z1855)(**1856)(xx1856)(xx1857)(z1857)(xx1858)(*1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(***1863)(yy1864)(arr.9)
81, rue de la
Harpe (1851)(¹⁰)(adresse d'habitation)(arr.5)
10, rue de la Fidélité
(1863)(arr.10)
6, rue Hauteville
(**1864)(***1864)(**1870)(arr.10)
4, rue de Hauteville
(**1864)(*1867)(arr.10)
7, rue de la Tour d'Auvergne
(*1875)(**1876)(**1877)(arr.9)
48, rue des Vinaigriers (**1876)(arr.10) |
|
'Facteur de pianos' droits 1840-77
'Elève de
ROLLER', ou il
a été sept ans contre-maître de
ROLLER & BLANCHET
(°1826).
Marié en 1851 avec Adèle Victoire CHEMIN. (¹⁰)
Brevet de 1847 :
"Bardies, chercha la continuité du son; mais il chercha vainement,
car ses moyens pour y parvenir n'offraient rien de nouveau." (BF
6427.)
Pontécoulant, 1861 et
Catalogue
des brevets d'invention, France min. de l'agric, 1847
Brevet de 1847 : "76° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la
demande a été déposée, le 11 août 1847, au secrétariat de la préfecture du
département de la Seine, par le sieur Bardies (Joseph), rue de Chabrol, 'n° 24,
pour une serrure de transposition applicable aux pianos transpositeurs."
Bulletin des lois de la
République française, Volume 2, 1849, p. 294
Brevet
de 1864 : "Joseph Bardies, of No. 10, Rue de la Fidelité, Paris, in the Empire
of France, Piano Manufacturer, for an invention for — Certain improvements in
the manufacture of pianos."
Chronological index of
patents applied for and patents granted, 1864, p. 220 - BARDIES,
Joseph. — (Provisional protection only.) — Certain improvements in the
manufacture of pianos, so as to prevent the atmosphere having any injurious
effect on them, either by damaging the glued joints, or in any way interfering
with the tune of the instrument. The patentee surrounds the board of the wrest
pins and also that of the hitch pins with iron, and connects the two boards by
means of iron bars conveniently fixed by means of screws and bolts. The
sounding board is glued on one side only; the other side is fixed by screws,
which allows for the swelling which takes place in very damp places."
Patents for inventions:
abridgments of specifications relating to paints, 1871, p. 437-438
Pour voir le
brevet original voyez le site
INPI
(¹³)
"Spécialité,
pianos droits à cordes obliques, genre de MM. Roller et Blanchet, par
Bardies, leur ex-contre-maître, rue de Chabrol, 24, près la rue Hauteville."
La Presse, 29/12/1846, p. 4 (gallica.bnf.fr)
"Spécialité,
pianos droits à cordes obliques genre MM. Roller et Blanchet, par Bardies,
leur ex-contre-maître, rue de Chabrol, 24, près la rue Hauteville."
La Presse, 07/01/1847, p. 4 (gallica.bnf.fr)
"Bardies,
fab. de painos droits à cordes obliques. Après avoir dirigé, comme
contre-maître, pendant sept ans les ateliers de MM. Roller et Blanchet,
M. Bardies garantit les instruments d'une égalité de sons parfaite,
locations et réparations, Chabrol, 24, près la rue Hauteville."
Annuaire du commerce Didot-Bottin,
1848, p. 513 (gallica.bnf.fr) ; et (x1847)
"Bardies,
ancien contre-maître de MM. Roller et Blanchet, fabrique de pianos
droits à cordes verticales, obliques et demi-obliques à sons
prolongés, et transpositeurs d'un nouveau système, boulev
Poissonnière, 12 ateliers. Chabrol. 28."
Annuaire général du commerce, de l'industrie,
de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000
adresses de Paris, des départements et des pays étrangers,
1852, p. 680-681 (gallica.bnf.fr)
Bardies utilisait aussi 'le système ROLLER', qu'il faisait publicité :
Pub. in 'Le Luth
Français', 1856
"Bardies.
fab.de pianos droits d'une nouv. forme très-élégante, pianos à
cordes, verticales dont la charpente est en fer, construits exprès
pour l'exportation, boulev. Poissonnière, 12."
Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1857, p. 794 (gallica.bnf.fr)
"Bardiès,
pianos droits, cordes obliques, pianos transpositeurs,. exportation,
médaille 1re classe, en 1855, boulevard Poissonnière, 12."
Annuaire spécial des artistes musiciens,
1863, p. 115 (gallica.bnf.fr)
|
Médaille de 1ère classe Paris, 1855 | Liste des exposants Paris, 1867
|
BONNAVENTURE
| BONAVENTURE
|
1847 |
SOUS-MARQUES
LE PERFECT LE PARFAIT
INFO EXTRA
CAEN AVANT/APRES. Le magasin Bonnaventure, institution caennaise aux plusieurs vies, 13/03/2022
|
Caen
Flers |
7, rue de l'Oratoire
(1892)(**1897)(x1906)(*1909)(*1913)(**1921)(*1922)
2-8, rue Froide (1979)
65, rue des Rosiers (?) Ateliers : 14, rue de Lengannerie
(**1921) à Caen
SUCCURSALE :
9, rue de Paris (**1921)
à Flers |
|
'Facteurs de pianos' droits et éditeur de musique
ca. 1892-1921 [ depuis
1847
(*1912)(x1926) ou
depuis
1889 (x1912)]
Caen
BONNAVENTURE & ROOTHAAN
(1892), voyez
ROOTHAAN
(°1900)
1892 -
"Caen. —Dissolution. — 1
juil. 92. — Société BONAVENTURE et. ROOTHAAN, facteurs de pianos, 7,
Oratoire. — M. Bonaventure continue seul.— 27 juil. 92."
Archives commerciales de la France. 28/09/1892, p. 1195 (gallica.bnf.fr)
BONNAVENTURE
E.
(?)
BONNAVENTURE
& Fils
(1906)(1907)(x1912)(*1913)
'Musikal.-Hdlg.' (x1906) -------
'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums, Streichinstr. u.
Saiten' (x1912)
BONNAVENTURE
Georges
(**1921)(*1922)
BONNAVENTURE
Georges Vve.
(x1926), 'Händler mit Musikal., Pianos,
Harmoniums, Streichinstr. u. Saiten' (x1926)
1935 - En 1935 BONNAVENTURE
achète PAGNY.
(Archives
commerciales de la France, 20/12/1935, p. 5004 (gallica.bnf.fr) )
Repris par Fernand OLIVIER
(19??), successeur
Puis repris par LEBRETON (vers 1957)
Ces pianos sont été producés par
LEGUERINAIS
(°1856)
|
|
BUCHER
Michel (1812 - 1867)(¹⁰)(¹²)(³¹)
Paris-adresses : annuaire général de l'industrie et du commerce : corps
constitués, administrations, professions libérales, propriétaires,
rentiers, etc... de Paris et du département de la Seine, 01/01/1907,
p. 1667 (gallica.bnf.fr)
Pub de 1909 |
1847 |
"Bücher,
facteur et accordeur de pianos neufs et d'occasion, échange, location, fait
toutes sortes de réparations, rue Richer, 58, Faub .-Montmartre."
Annuaire
du commerce Didot-Bottin, 1851, p. 655 (gallica.bnf.fr)
"Bücher,
spécialité de peanos droits et obliques, export., boul. Bonne Nouvelle,ll;
fabrique, Fontaine-au-Roi, 41."
Annuaire
du commerce Didot-Bottin, 1857, p. 794 (gallica.bnf.fr)
"Das
Haus Bucher, Pianoforte-Fabrik, 11 Boulevard Bonne Nouvelle, gehört seit
langer Zeit zu den ersten Häusern dieser Branche in Paris. Es empfielt sich
turch seine vortrefflichen und prachtvollen Pianos jeder Gattung, die zu den
billigsten Preisen und untr Garantie für ihre Solidität und Klangfülle
verkauft werden."
Frankfurter Journal, 03/03/1859, p. 1
" BUCHER,
spécialité de pianos droits et obliques, pianos à queue, commission,
exportation, pianos d occasion et location, rue d'HAUTEVILLE, 5; fabrique,
Faub.-du-Temple, 99, cour de Bretagne."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration, 1881, p. 1522 (gallica.bnf.fr)
"BUCHER,
maison fondée en 1848. GAUSS FRÈRES ET CIE successeurs, commission,
exportation, pianos cadre en fer; location, accords, réparation, vente
avec facilité de paiement, pianos d'occasion. MAGASINS : 31, FAUB.
POISSONNIÈRE, 31. FABRIQUE : 142, rue de Ménilmontant, 142. Téléph.
297.34."
Annuaire-almanach
du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration,
1907, p. 2493 (gallica.bnf.fr)
BAYONNE - "Bucher
(Michel), Paris, 5, r. Hauteville. Méd. br. 98. Pianos."
Exposition Internationale Franco-Espagnole sous le
patronage de l'Empereur ..., 1864, p. 139
PARIS -
"Les pianos droits exposés par M. Bucher sont de bons instruments, mais ils
ne sortent pas de la ligne ordinaire; ils sont cependant bien construits,
ils sont doués d'une sonorité un peu faible; néanmoins ces instruments se
distinguent par une grande égalité et un clavier facile."
La musique à l'Exposition universelle de 1867,
Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant,
p. 158
PARIS -
"Boucher [sic] Gauss, faubourg Poissonnière 31, Paris. - shows a large
sized upright in plain reddish colored wood, with a dull polish that suits
the instrument much better than a lustrous surface would have done."
The Music Trade Review, 1889, p. 78
PARIS -
"56. GAUSS (Charles), Successeur de la maison Boucher [sic], à Paris, rue du
Faubourg-Poissonnière, 31. — Pianos."
Catalogue général officiel de l'exposition universelle
de 1889, p. 4 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"55.
Gauss (Charles), à Paris, rue du Faubourg-Poissonnière, 31 . — Trois pianos
droits. Ancienne Maison Bûcher."
Catalogue général officiel. Tome troisième, Groupe
III : instruments et procédés généraux des lettres, des sciences et des
arts : classes 11 à 18, 1900, p. 519 (archive.org)
"MANUFACTURE DE PIANO - CE n'est point nous qu'on surprendra jamais à médire
et à nous plaindre du présent, à regretter et à exalter un passé en
désaccord avec nos mœurs et nos habitudes.
Que de plaintes stériles sur la disparition progressive de 1 immense piano à
queue, où les cordes, disent avec raison ses fidèles amateurs, s'étalaient
largement à leur aise, où le mécanisme avait ses franches coudées, où les
ondes sonores se développaient largement dans de vastes espaces, et combien
d'autres plaintes n'a-t-on pas formulées sur le piano droit, si étriqué, où
l'on ne peut, dans une insuffisante capacité, installer des cordes d'une
médiocre longueur qu'à l'aide de multiples artifices, etc., etc., etc !
(la suite )
|
Paris |
50, rue de Picpus (1844)(¹⁰)(arr.12)
usine : Faubourg du
Temple (1848)
(¹)(arr.10)
58, rue
Richer (1849)(*1850)(*1851)(arr.9)
32, rue Chabrol (**1854)(z1855)(arr.10)
Ateliers : 41, rue de
la Fontaine au Roi (yy1851)(**1854)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(**1864)(arr.11)
11,
boulevard Bonne-Nouvelle
(**1852)(**1854)(xxxx1855)(yyy1855)(z1855)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(***1863)(yy1864)(arr.2)
5,
rue d'Hauteville (**1864)(zzz1864)(*1867) (**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(1882)(**1883)(**1884)(**1885)(arr.10)
Fabrique : 99, rue du faubourg du Temple, cour de Bretagne
(**1870)(**1873)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(y1889)(x1890)(*1898)(**1898)(z1900)(z1902)(arr.11)
18, boulevard Malesherbes
(**1885)(**1886)(arr.8)
Magasin : 31, rue du faubourg Poissonnière,
à l'entresol (**1885)(**1886)(**1888)(xx1889)(y1889)(x1890)(xx1890)(*1893)(xx1894)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)(**1898)(***1900)(z1900)(*1902)(z1902)(*1903)(**1904)(*1905)(*1906)(x1906)(**1907)(x1907)(*1909)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(x1922)(x1926)(*1929) (arr.9)
Fabrique : 142, rue de Ménilmontant
(*1902)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(**1907)(*1909)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.20)
|
|
'Fabricant de pianos'
droits et pianos à queue ca. 1844-1929 [depuis
1848 (xx1890)(x1906)(x1907)(x1912)(x1926)]
'Ouvrier en pianos' (1848)
------- 'Accordeur de
pianos' (***1863)
1848 -
"BB/11/561, Dossier n°8085 X4
- BUCHER, Michel. Né(e) le 30 septembre 1812 à Oeffingen (Wurtemberg).
Qualité : ouvrier en pianos. Objet : naturalisation. Ouverture du dossier :
07 juin 1848."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹) -
(¹²)
Mariage en 1844 : HEMET
Alexandrine Louise Eugénie (¹⁰)
BUCHER Michel
(1855)(1864)(*1867)
"Bücher, fabricant, pianos
droits et obliques, exportation, boulevard Bonne-Nouvelle, 11."
Annuaire spécial des artistes musiciens,
1863, p. 116 (gallica.bnf.fr)
GAUSS Charles,
successeur de
BUCHER
(°1847) en 1867.
1882 -
"Constitutions de sociétés du 15 juillet au 15 septembre 1882
[...] 911. 19 août. Bücher et Gauss, pianos, 5, rue Hauteville (A. P. 23
août)."
Journal des sociétés civiles et commerciales, 11/1882, p. 118 (gallica.bnf.fr)
BUCHER
& GAUSS
(1882)(**1883)(**1884)(x1884)(**1885)(**1886)(**1888)(y1889)(xx1890)
'Pianofabrikant' (xx1890)
1893 -
"Décrets de naturalisation de
l’année 1893 - GAUSS, Charles Albert. Naissance : 7 décembre 1839,
Cannstatt, Wurtemberg. Profession : facteur de pianos. Résidence :
Paris, Seine, France."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
GAUSS
[Charles],
gendre et successeur
(anc. BUCHER)(1889)(x1890)(*1898)(z1900)(z1902)(**1904)(x1906)
1906-12 -
Propriétaires : GAUSS Senior, Albert & Emil GAUSS (x1906)
(x1912), 'Piano-Fabrik'
GAUSS Frères
& Cie
(**1907)(x1907)(*1909)(**1911)(**1912)(x1912)(**1914),
successeur de
leur père.
'Piano-Fabrik' & 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912)
------- 'Facteur de pianos' & 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926)
GAUSS
Frères
(yy1914)
GAUSS
Albert,
gendre et successeur - Manufacture
de pianos et pianos pneumatiques; (*1913)(1914)(**1921)(x1922)(x1926)(*1931)
:
1914 -
"Vendeur : Gauss frères - Acquéreur : Gauss (Albert) - Domicile élu pour des
oppositions : au fonds - Entrée en jouissance : 1 juil. - Désignation des
fonds vendus : Pianos, 31, Orfèvre."
Archives commerciales de la France. 25/02/1914, p. 264 (gallica.bnf.fr)
(la suite)
Nous faisons grâce à nos lecteurs des banales critiques du piano droit,
qui a, du reste, un argument décisif en sa faveur : l'inéluctable
nécessité, l'impossibilité d'installer d'autres instruments dans nos
salons exigus. Mais tandis que des amateurs pessimistes s'acharnaient à
la critique inutile des conditions faites à l'art par les habitudes de
la vie moderne, des facteurs plus intelligents et plus pratiques,
comprenant que les récriminations contre des faits au-dessus de toutes
les volontés ne sauraient conduire à aucune espèce de résultat, se sont
attachés à tirer tout le parti possible de la situation qui leur était
faite, et les obstacles ont eu pour eux les résultats qu'ils ont
toujours avec les hommes énergiques, ils sont, devenus pour eux une
occasion de triomphe, ils leur ont fourni le moyen d'accomplir des
miracles. Voyez les bons pianos américains, voyez les pianos des grandes
maisons françaises qui ont le mieux soutenu la concurrence américaine,
voyez la maison Bûcher et Gauss (ancienne maison Bûcher), et que l'on
dise si les pianos à cordes croisées, avec cadre en fer, tels que les
construit cette maison, ne réalisent pas toute la solidité, toute la
sonorité qu'il est possible de demander à un instrument.
MM. Bûcher et Gauss nous semblent même avoir réalisé une condition plus
difficile encore que d'obtenir dans des pianos droits l'ampleur des sons
des pianos à queue, ces grandes harpes horizontales, ils ont donné aux
sons de leurs pianos droits une tenue qui semble à peine conciliable
avec le mode de production du son dans le piano quel qu'il soit. Tout
ceci (qu'on veuille bien nous comprendre), n'est pas une attaque directe
ni indirecte contre le piano à queue, mais la simple constatation de ce
lait que les grands facteurs, que MM. Bûcher et Gauss ont triomphé,
d'une façon aussi heureuse qu'inattendue, des difficultés très grandes
que leur présentaient les pianos droits, de l'exiguïté relative des
cordes, de la condensation du mécanisme, etc. Il ne faut rien exagérer,
et quand on va répétant partout que le piano à queue est une espèce
disparue au même titre que le mammouth ou l'ours des cavernes, on commet
une exagération certaine. Non, le piano à queue n'est pas mort; mais
fût-il décédé, nous aurions maintenant quelque hésitation à le pleurer.
Il nous a été donné, ces jours derniers, de tapoter sur les touches
(notre talent d'artiste ne va pas plus loin) de pianos sortis des
ateliers de MM. Bucher et Gauss (99, rue du Faubourg-du-Temple) et
exposés dans leur maison de vente de la rue du
Faubourg-Poissonnière, 31 ; nous avons retrouvé et essayé d'autres
spécimens du même type dans la succursale que la même maison possède
boulevard Malesherbes, 18, et nous croyons, après expérience, qu'il faut
être bien pessimiste, bien prévenu ou bien superstitieux pour rien
regretter du passé, pour prétendre que l'exécution musicale, faisant
exception à la loi générale du progrès, a perdu quoi que ce soit.
Ce qui nous a plus particulièrement intéressé, dans la production de la
maison Bûcher et Gauss, ce sont, parmi ses pianos droits, ses pianos à
cordes croisées.
Et pourquoi, sera-t-on tenté de nous demander, pourquoi cette
prétërence? Parce que le piano à cordes croisées de MM. Bûcher et Gauss
a pour nous le mérite de résoudre d'une façon tout à fait heureuse une
très grosse difficulté; c'est que ces éminents facteurs ont eu
l'habileté vraiment singulière de donner à un instrument d'une extrême
condensation une sonorité égale à celle de ces enconbrantes machines
qu'on appelle des pianos à queue; c'est qu'ils sont arrivés à y réaliser
cette tenue du son qu'on avait si longtemps et si vainement demandée aux
pianos; c'est, pour nous résumer d'un mot, qu'ils ont su se plier aux
exigences de la vie actuelle, et que tout en subissant ces réductions de
volumes qu'imposait l'exiguïté des salons modernes, ils ont su nous
éviter un sacrifice que d'autres avaient cru inévitable : ils ont donné
à leurs pianos des proportions discrètes, mais ils leur ont laissé et
ils ont accru l'amplitude de leur sonorité. A.C."
Le Panthéon de l'industrie : journal hebdomadaire illustré, 1884, p.
226 (gallica.bnf.fr)
|
Liste
des exposants Paris, 1849 |
Liste des exposants Paris, 1855 | Méd. Nantes, 1861
|
Liste des exposants Bayonne, 1864 | Liste
des exposants Paris, 1867 | Médaille de bronze Paris, 1889 | Médaille d'argent
Paris, 1900
|
GAVEAU
Joseph
Gabriel
(1824 - 1899)(³³)
|
1847 |
Piano droit modèle n° 1, n° 10725,
Museu de la Música, Barcelona, Espagne Piano
droit fin 19ème siècle, Abbaye Notre-Dame, Celles-sur-Belle,
Poitou-Charentes,
France Piano
droit fin 19ème siècle, Centraal Museum, Utrecht, Pays Bas Piano
droit ca. 1903, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique
GAVEAU
sur ce site
Cliquer sur les liens ci-dessus.
NÉCROLOGIE
1896 -
"Des obsèques [...] De Mme
Gaveau. femme du facteur de pianos, décédée à Nogent-sur-Marne, à l'âge de
66 ans"
Le
Figaro, 05/08/1896, p. 2 (gallica.bnf.fr)
1899 -
"C'est avec un vif
regret que nous apprenons, à la dernière heure, la mort de M. Joseph-Gabriel
Gaveau, fondateur d'une des maisons les plus justement estimées de la
facture de pianos, à laquelle il avait su donner une importance artistique
et commerciale considérable, et qui est aujourd'hui dirigée par ses fils,
qui lui conservent le bon renom depuis longtemps acquis par son créateur. M.
Gaveau est mort vendredi dernier, à l'âge da 74 ans."
Le
Ménestrel, 05/05/1899, p. 80 (gallica.bnf.fr)
1899 -
"Le 3 mars est mort, à Paris, à
l'âge de 75 ans, M. Joseph-Gabriel Gaveau, fondateur de la célèbre
manufacture de pianos aujourd'hui dirigée par ses fils. Parti d'une
situation modeste, simple ouvrier pianiste, en 1846, M. Gaveau était, grâce
à sa persévérance et à son esprit d'ordre, arrivé à créer une maison qui ne
tarda pas à devenir l'une des premières de France, tant par l'importance de
sa fabrication que par la qualité des instruments. Il apporta notamment
d'importants perfectionnements à l'échappement el à la confection des
armatures du sommier. Travailleur acharné, M. Gaveau était d'une grande
loyauté en affaires est avait su s'attirer l'estime de tous ceux qui
l'approchèrent. Ses obsèques ont été célébrées à l'église St-Ambroise. Nous
adressons à sa famille nombreuse (il laisse 7 enfants et 10 petits-enfants),
l'expression de notre condoléance bien sincère."
Revue
Musicale Sainte-Cécile, 17/03/1899, p. 88 (gallica.bnf.fr)
DOCUMENTS
Beaux documents sur GAVEAU
et un des six fils Gabriel GAVEAU chez
Pianos ESTHER
Fabrique de pianos
Magasin de pianos
1858 - "Un violent incendie a éclaté la nuit dernière, à deux heures du matin,
dans les vastes ateliers d'une fabrique de pianos, situés au fond d'une
cour de la maison n° 14 [24?], rue des Amandiers, et formés par un
bâtiment da construction légère comprenant seulement un rez-de-chaussée.
Le feu s'est rapidement propagé, et lorsque les secours ont commencé à
être organisés, il embrasait 20 mètres de la façade et menaçait
d'envahir les bâtimens
voisins, qui tous servent d'ateliers et ne sont pas plus solident
établis.
Mais, grâce à l'activité déployée par les sapeurs-pompiers, secondés par
les sergens de ville et les habitans du voisinage, le feu a été
circonscrit. On a préservé de ses atteintes les bâtimens mitoyens; mais
l'atelier et les bois, les outils, les pianos, qu'il contenait en grande
quantité, ont été la proie des flammes. Une enquête a été ouverte par le
commissaire pour rechercher la cause, encore ignorée, de ce sinistre."
La Presse, 13/05/1858, p. 2 (gallica.bnf.fr)
LA SUITE
La suite d'histoire GAVEAU voyez 1893,
avec la retraite de Joseph GAVEAU
|
Paris |
Fabrique : 24, rue des
Amandiers Popincourt (xx1856)(arr.20)
34, rue faubourg du
Temple (1850)(¹⁰)(*1851)(**1852)(arr.11)
53, rue des Vinaigriers (1847)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(x1862)(***1863)(**1864)(yy1864)(arr.10)
52, rue Beaubourg (après 1850)(¹⁰)(arr.3)
10, rue Taitbout
(yy1851)(**1854)(yy1855)(z1855) (**1856)(xx1856)(xx1857)(arr.9)
Magasins : 14, boulevard Montmartre (*1867)(**1870)(**1871)(**1873)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(***1885)(arr.9)
14, boulevard Poissonnière (1872)(arr.9)
Fabrique : rue Servant-Prolongée
(**1870)
Usine et bureaux : 47, rue Servan
(**1871)(**1873)(1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(yyy1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(y1889)(*1895)(1896)(*1897)(arr.11)
Usine et bureaux :
47-49, rue Servan (1885)(x1890)(xx1890)(*1894)(*1896)(*1897)(arr.11)
45-47, rue Servan (*1909)(arr.11)
[32]-34, rue Blanche - dès 1898 (1900)(*1903)(1905)(arr.9)
SUCCURSALES :
Magasins de vente :
8, boulevard Montmarte (**1886)(**1888)(y1889)(xx1890)(*1893)(arr.9)
10, rue de l'Odéon (*1893)(arr.6)
(Fabrique)
76-78, rue Marcel et Jacques Gaucher
68, rue Castel
(**1911)(**1912)(x1912)
à Fontenay-sous-Bois |
400 ouvriers en 1896 et 1800
pianos par an
350
ouvriers et 2000 pianos par an vers 1898
95.000 (vers 1939) |
'Facteur
et accordeur de pianos'
(1850)(*1851)(**1852)(*1859)(¹⁰)
1847 -
Joseph GAVEAU
crée les étouffoirs à lames en remplacement de ceux à baïonnettes.
1850 -
Il est marié avec Josephine Eugénie NEIGEON [NAIGEON] (1828-1858)(¹⁰)(³³)
'Facteur
et accordeur de pianos' (*1851)(**1852)
'Pianos accordéons'
(**1854)
1862 -
Joseph GAVEAU se remarie avec Maria
Louisa Emma Courtin (1836-1896)(³³)(³⁴)
: "Gaveau,
fabricant de pianos, rue des Vinaigriers, n. 53 est marié avec Mlle
Courtin, sans prof., même maison."
L'Indicateur
des mariages de Paris, 25/05/1862, p. 3 (gallica.bnf.fr) et
La Presse, 30/05/1862, p. 3 (gallica.bnf.fr) - Avec elle il a eu 7 enfants
GAVEAU
J. G.
(1855)(***1885)(x1890))
1862 - Ouvriers de l'
"Atelier de M. Gaveau. MM. Vigé, Georges Siegrist, Hutinet, Josset,
Terris, Lamar, Dutarte, Coutillac, Lafontaine."
Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs
d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et
en bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres
en 1862, p. 54 (gallica.bnf.fr)
GAVEAU
O. [??] (xx1890), 'Pianofabrikant'
1866 -
Joseph Gabriel GAVEAU, le père, a été nommé en 1866 avec le titre
Officier de la Légion d'honneur. (¹⁸)
GAVEAU
Joseph Gabriel
(1883)
Il meurt en 1893 - Voir
ARTICLES
GAVEAU
Frères
[mais aussi mentionné comme
GAVEAU A.]
(*1893)(**1911)(**1912) -> Voyez la suite sur les
Frères
GAVEAU sur la date de
1893
BIO
"S’il
est un nom très connu du public, c’est certainement celui de Joseph Gabriel
Gaveau, né à Romorantin en 1824. Il n’a pas non plus accumulé les brevets
d’inventions, pourtant il a introduit bien des modifications à la
construction du piano et donné son nom à une mécanique adoptée par beaucoup
de facteurs français et étrangers, connue sous le nom de mécanique Gaveau.
Il est aussi l’auteur d’une transformation de la mécanique de piano à queue
d’Érard, à laquelle il applique le ressort à boudin et d’un système de piano
démontable en cinq parties. M. Gaveau a tenté d’obtenir l’amplification du
son par réflexion, en plaçant une glace à quelques millimètres de la table
d’harmonie; l’expérience nous fixera sur la valeur de cette innovation
présentée à l’exposition de 1889. En attendant, elle témoigne du souci et
des soins que ce facteur apporte à sa fabrication. Depuis peu, M. Gaveau
s’est adjoint ses six fils qu’il a placé à la tête des différents services
de son usine."
Les
facteurs d'instruments de musique : les luthiers et la facture instrumentale
: précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893
"GAVEAU (Jos.-Gab.), né à Romorantin en 1824, fonde sa maison en 1847;
il n'accumule pas les brevets, mais pourtant apporte différentes
modifications dans la construction, et donne son nom à une mécanique
adoptée par divers facteurs. Il tente d'obtenir l'amplification du son
par réflexion, en plaçant une glace à quelques millimétrés de la table
d'harmonie (1889). Il s'adjoint ses six fils, qu'il place à la téte de
différents services de son usine. Depuis vingt-cinq ans, M. Etienne
GAVEAU dirige la maison de la rue de la Boétié. Plus de 70.000 pianos
furent fabriqués depuis la fondation de cette maison. M. Gabriel GAVEAU,
frère du précédent, continue de son côté la fabrication ses instruments
sont des plus remarquables au point de vue de la sonorité; quelques
artistes désireraient un clavier plus léger; c'est là une modification
relativement facile à faire. Gabriel GAVEAU, aidé de Marcel Tounier,
exploite un appareil appelé le canto, rappelant le pianor. Le canto
offre l'avantage de pouvoir s'adapter sans aucune modification à tous
les pianos. Il permet d'obtenir la prolongation du son. Un courant
électrique ordinaire, atteroatif ou continu, suffit à l'actionner."
Encyclopédie de la musique et dictionnaire du conservatoire, 1927,
p. 2078 (gallica.bnf.fr) - Voyez
Gabriel GAVEAU
(°1911)
"Gaveau,
fabrique de pianos avec contre-tirage en fer, résistant à toutes les
températures et tenant parfaitement l'accord, pianos spéciaux pour
l'exportation, Taitbout 10, fabr. rue des Amandiers-Popincourt 24."
Almanach-Bottin du commerce de Paris, des départemens de la France et
des principales villes du monde, 1856, Paris, p. 1015 (gallica.bnf.fr)
sur GAVEAU
'La maison Gaveau, Manufacture de pianos 1847-1971', René Beaupain, 2009
SITE FAMILLE GAVEAU
L'histoire de la famille
GAVEAU
VOIR AUSSI ...
... un
E.
GAVEAU
vers 1860, mais c'était qui ? C'est Edme ? Et un autre avec le nom
GAVAU
INFO EXTRA
La Maison Gaveau sur archives.fontenay-sous-bois.fr
|
Médaille de bronze Paris, 1855 | Médaille d'argent Troyes, 1860
|
Médaille d'argent Toulouse, 1866 | Médaille d'argent Paris,, 1867 |
Liste des exposants, Lyon, 1872 | Médaille d'or pour un
système de barrage équilibré dans les pianos droits, Paris, 1878 |
Diplôme d'honneur Amsterdam, 1883 | Liste des exposants Nice, 1884
| Diplôme d'honneur Anvers, 1885
|
Diplôme d'honneur Toulouse, 1887
|
Diplôme d'honneurLe Hâvre, 1887 | Médaille d'or Paris, 1889
| Hors concours Lyon, 1893 | Liste des exposants Chicago, 1893 | Liste
des exposants Anvers, 1894 | Hors concours Amsterdam, 1895 |
Liste des exposants Rouen, 1896 |
Liste des exposants Paris, 1896 | Hors concours Paris, 1900 | Exposition internationale des Arts Décoratifs et
Industriels Modernes, Paris, Grand Prix, 1925
|
MAZIÈRES
| MAZIERES |
1847 |
CARTE POSTALE
|
Angoulème |
60, rue de beaulieu
(*1875) rue d'Iéna (*1876)
1, rue de Jena (xx1890)
24, rue Friedland
(x1906)(*1913)
9, Place du Murier (*1921) |
|
Facteur et/ou marchand
de pianos droits ca. 1875-1921
(x1912)
HURY
Gaston
(*1929)
|
|
LE BOULCH
|
1847 |
|
Caen |
rue Ste Adlaide (18??)
4, 7, 8, rue de l'Oratoire (*1929) |
|
Facteur et/ou marchand
de pianos droits et éditeur de musique ca. 1847-1929
LE
BOULCH G.
(*1929), probablement successeur d'un autre facteur/marchand.
VOIR AUSSI ...
... un autre
LE BOULCH
(°1810)
à Versailles
|
|
LÉTÉ Dominique-Joseph
(1804 - 1871)
Magasin de pianos
Vuillemin-Didion, 15, rue Crébillon, Nantes 1924
Didion L. Nantes, dans
Gazette Artistique de Nantes 30-09-1886
L'Union Agricole et maritime, 03/07/1892, p. 8
Facture de l'ÉTÉ de 1865
Facture de DIDION à Nantes, fin 19ème siècle |
1847 |
"LÉTÉ,
(M. 0.) exposition de Nantes 1861, (M. vermeil) Angers 1864, manufacture de
pianos, vente, accord et réparation, r. Crébillon, 15, au coin de celle
Santeuil, atelier r. d'Erlon. 2."
Almanach
des 40,000 adresses des fabricants de Paris et du département : contenant
les noms et domiciles des principaux fabricants, 1873, p. 523-524 (gallica.bnf.fr)
EXTRA INFO
Un siècle de facture de
pianos à Nantes, par Jean-Marc STUSSI
|
Mirecourt
Nantes |
?
à Mirecourt
rue Crébillon
(xx1842)(xx1843)
6, passage la Ponneraye
(xx1845)(*1848)(yy1849)(*1850)
8, rue Crebillon
(xx1845)(*1848)(yy1849)(*1850)
16 [?], rue Crebillon
(**1862)
15, rue Crebillon
(y1853)(xx1854)(yyy1855)(y1856)(xx1857)(xx1858)(xx1859)(xx1861)(y1864)(F1865)(x1873)(*1875)(*1876)(1894)(**1895)(*1913)(*1922)
atelier : 2, rue d'Erlon
(F1865)(x1873)
19, avenue de Rennes
(**1925)
à Nantes
Fabrique : 2, rue d'Erlon (xx1892)(1894)
Nouvelle usine : Avenue Joncourt, (fevr. 1924),
à
Nantes - Chatenay
|
|
'Facteur de pianos'
droits et orgues ca. 1842-1924
LÉTÉ-MOITESSIER
(avant 1826), à Mirécourt.
Voir
MOITESSIER
(°1830)
"Né en 1804 à Mirecourt, Dominique Joseph Lété se destine à la
lutherie. Après un passage chez Gand à Paris, il est à Nantes à partir
de 1825 où il exerce comme luthier (1825-1831), puis marchand de musique
au 15 rue Crébillon. A partir de 1847, il se met à la facture de pianos
qu’il vend sous son nom. Il n’est pas établi que son atelier de facture
de pianos se trouvait également à la rue Crébillon, siège de son magasin
er de sa résidence. Les premiers pianos connus de lui rappellent, avec
le couvercle de clavier en double cylindre, ceux d’Erard et de Pleyel.
Dominique Joseph Lété est décédé le 24 mai 1871 à Nantes, sans
descendance bien qu’ayant été marié. Son affaire est continuée par son
neveu par alliance Louis Didion-Robina. Sa production peut être estimée
à environ 1400 instruments entre 1847 et 1871, dont environ 60 dès
1850."
J.M. Stussi,
communication personnelle.
Liste des sociétaires de
l'Association
des artistes musiciens, vers 1850-53 et 1856.
LETE
Père
(1865), 'Facteur de pianos'
LETE
Dominique-Joseph
(1870)
M. Louis
DIDION, son
neveu et successeur
depuis 1871, fut plus ambitieux. Le facteur exposa des pianos droits à
cordes obliques, établis pour résister aux influences atmosphérique du
voisinage de la mer. La majeure partie des pièces ayant servi à la
fabrication de ces instruments était de provenances parisienne :
LETE-DIDION.
LETE-DIDION,
dès 1871 Didion neveu et
successeur.
1886 -
"Didion. — Nom d'un fabricant de pianos à Nantes, lauréat de l'Exposition
universelle de 1878, hors concours - nombreuses médailles aux expositions
régionales de Bretagne depuis 1861."
Répertoire général de bio-bibliographie bretonne, par René Kerviler,
1886-1908, p. 168-169 (gallica.bnf.fr)
VUILLEMIN-DIDION
Ch.,
Succ. (*1913), voyez
VUILLEMIN.
Médaille de l'Exposition Nationale de Nantes, 1861
PARIS -
"Comme objets de
mode et comme instruments se distinguant par des qualités artistiques,
M. Lété, de Nantes, a envoyé du chef-lieu de la Loire Inférieure deux
pianos droits, l'un en acajou, à cordes droites, et l'autre en
palissandre, à cordes demi-obliques. Ces instruments se font remarquer
par une élégance et un bon goût joints à un excellent mécanisme,
principalement celui à cordes demi-obliques, dont le son a tout autant
de puissance qu'un bon piano demi-queue. Ces deux instruments sont
construits dans des conditions de solidité à pouvoir supporter toute
espèce de température. L'ingénieux industriel a aussi ajouté derrière
l'instrument, qui d'ordinaire est négligé par la plupart des facteurs,
un châssis mobile, divisé en deux parties et imitant le devant d'une
bibliothèque, ce qui rend ce côté du piano agréable à l'œil. Les
amateurs de bons et précieux pianos doivent donc des encouragements à la
consciencieuse fabrication de M. Lété, et son succès ne peut être
douteux." Expo 1849,
Revue et gazette
musicale de Paris, Volume 16, 1849
Image d'un piano droit exposé sur l'exposition de Nantes en 1861
PARIS -
"M. Lété, de Nantes, fabrique des pianos droits qui ne craignent aucune
comparaison et semble défier toute concurrence. Les divers instruments qu'il
avait à l'Exposition ont été considérés comme des chefs-d'oeuvre, et tous
les musiciens les ont appréciés à l'égal des meilleurs produits des grands
facteurs de Paris. Homme de goût en même temps qu'habile artiste, M. Lété
sait donner à ses pianos une enveloppe élégante et splendide, ainsi qu'on
peut juger par la gravure placée plus haut."
Exposition de l'Industrie à Nantes, 1861,
p. 146
|
List des exposants Paris, 1849
| Médaille d'or Nantes, 1861 |
Médaille de Vermeil
Angers, 1864 |
Médailles d'or Angers et Nantes, 1878 | Médaille d’argent Paris, 1878 |
Diplôme d'honneur, 1882 | Diplôme d'honneur Niort, 1882 | Hors concours
Vannes 1883 | Hors concours Nantes, 1886 |
Hors concours Paris,
1889
| Hors concours Nantes,
1892
|
FRANCHE Charles Louis
|
1848 |
FRANCHE
sur ce site
Cliquer sur les liens ci-dessus.
|
Paris |
quai du Marché Neuf
(1847)(¹⁰)(arr.4) 29, rue du faubourg
Saint-Martin (x1847)(*1848)(arr.10)
[16 et] 18, rue du Bac (*1849)(x1849)(arr.7)
48, rue de l'Université
(*1851)(arr.7)
25,
rue du Bac (*1850)(*1851)(**1852)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(xx1868)(arr.7)
42, rue de
l'Université,
au coin de la rue du Bac (*1850)(yy1851)(**1852)(**1854) (xxxx1855)(z1855)(**1856)(**1857)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)
(**1864)(*1867)(xx1868)(**1870)(**1871)(arr.7)
40, rue de l'Université, au coin de la rue du Bac (**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(*1889)(y1889)(xx1890)(arr.7)
|
|
'Facteur de pianos' droits et pianos à queue, 'Pianos à
répétition et pianos transpositeurs' ca. 1847-90
'Ex-contre-maître en chef de la maison H. Herz'
(y1889)
Époux de LAUBIER Joséphine Julie (1847)(¹⁰)
FRANCHE
F.
(*1875)(*1876)
FRANCHE
C.
(**1871)(**1873)(**1876)(**1877)(**1885)(xx1890)
'Pianofabrikant' (xx1890)
Repris par
DANTI L.
en 1889
Membre d'
ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris
(°1849)
TÊTE D'UNE FACTURE
|
Médaille de bronze Paris, 1849 | Société des Sciences 1851 | P.M.
exposition universelle 1852 | Prize medal Londres, 1851 | Médaille
d'or, soc. des Sciences bordeaux, 1852 | Médaille 2e classe, Paris 1855
|
Médaille d'argent acd. Nat., 1857 | Liste des exposants
Londres, 1862 | Médaille de bronze Paris, 1867 | Liste des
exposants Le Havre, 1868 | Mention honorable
Paris, 1878 |
Médaille de bronze Paris, 1889
|
GERVEX Alexandre-Auguste
(1819 - ?)
Pub 1903
Pub 1909
|
1848 |
'Spécialité de pianos
demi-obliques'
SOUS-MARQUE
'BERTINI'
était une sous-marque de Félix GERVEX,
dès 1899 (²¹).
Sous-marque de
GERVEX dès 1899 (²¹)
PARIS -
"60. GERVEX (Félix L.), à
Paris, rue des Poissonniers, 23. — Pianos droits."
Catalogue général officiel de l'exposition
universelle de 1889, p. 5 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"Mons. Gervex, Paris. -The two
uprights shown by this maker arrest attention by the fact that they are
almost, if not quite, the only pianos in the section made in the old
style; that is with the shallow key boards and high backs, and the
streight legs from the front edge of the instrument that were in vogue
about a decade ago, but which style is now so rarely met with. They are
well made and very neat and compact. The action ans tone of both are
good."
The Music Trade Review, 1889, p. 78
|
Paris
Levallois-Perret |
54, rue Montmartre (**1849)(arr.2)
51, rue de
la Grande Truanderie (1852)(¹⁰)(arr.1)
114, rue du
faubourg Poissonnière (xxxx1855)(z1855)(xx1856)(arr.9)
4, rue Montholon
(***1856)(xx1857)(arr.9)
22, rue Buffault
(xx1858)(xx1859)(1881)(arr.9)
49, rue des
Poissonniers [Montmartre] (*1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(arr.18)
169, rue du faubourg Poissonnière (?)(arr.9)
FABRIQUE : 23, rue de Poissonniers,
Montmartre
(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(yyy1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(xx1889)(y1889)(x1890)(xx1890)(xx1894)(*1895)(*1896)(arr.18)
MAGASIN :
34, rue Richer (**1888)(y1889)(xx1890)(*1893)(*1896)(*1897)(z1900)(*1902)(z1902)(*1903)(**1904)(x1906)(*1907)(**1907)(*1909)(*1910)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(*1922)(x1922)(x1926)(arr.9)
à Paris
16, rue Barbès (*1897)
à
Levallois-Perret |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1849-1926 [depuis
1850
(y1889)(xx1890)(x1906)(x1912)(x1926)]
"C’est de 1850 que date la maison
fondée par GERVEX père auquel son fils
Félix
a succédé. Il a obtenu une médaille de bronze en 1878 pour ses pianos
droits et un système de pédales à ressort en bois, et une médaille
d’argent en 1889. Périodiquement M. Gervex fait une loterie entre ses
locataires de pianos et le gagnant reçoit un instrument de son choix."
Les
facteurs d'instruments de musique : les luthiers et la facture instrumentale
: précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893
"GERVEX dont la maison fut fondée en
1850, a l'idée de faire périodiquement une loterie entre ses locataires
de pianos, le gagnant ayant droit à un instrument de son choix."
Encyclopédie de la musique et dictionnaire
du conservatoire, 1927, p. 2079 (gallica.bnf.fr)
Membre d'
ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris
(°1849)
"Félix Nicolas
GERVEX, facteur de piano." - Époux de Joséphine Peltier.
BUCH
& GERVEX
(xxxx1855)(z1855)(xx1856), BUCH Jean Pierre fonda sa maison vers 1836
[probalement en succedant qq'un] et a associé avec
GERVEX vers 1848. Voir
BUCH
(°1836)
1864 -
"MC/ET/CVI/952 - 2 février 1864 - Obligation d'une somme de 8 000 francs
par Félix Nicolas Gervex, facteur de pianos, 49, rue des Poissonniers,
au profit de Pierre Nicolas Lavocat, propriétaire, 19, rue des
Grands-Augustins."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
GERVEX &
Fils
dès 1874 jusqu'à au moins
(yyy1878).
1874 -
"Formations. — Gervex et
fils, pianos, r. des Poissonniers, 23. (Acte Me Tougard, not., 7
avril)."
Journal officiel de la République française, 15/05/1874, p. 3290 (gallica.bnf.fr)
GERVEX Felix
(xx1857)(*1859)(**1864)(**1871)(**1873)(*1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(1883)
GERVEX Félix L.
(1889)(xx1890)(x1906)
'Pianofabrikant' (xx1890) -------
'Piano- u. Harmonium-Handlung'
(x1912)(x1926)
Le peintre Henri (Alexandre)
GERVEX (1852-1929), était
le fils
de Joséphine Peltier et Félix Nicolas
Gervex.
GERVEX Vve. (*1913)
GERVEX Félix L.
(x1912)(x1926)
"La première scie fut
présentée à Paris par la maison de pianos Gervex (de la rue Richer);
c'est déjà cette vieille maison, fondée en 1850, qui a eu l'idée de
faire périodiquement une loterie entre ses locataires de pianos, le
gagnant ayant droit à un instrument de choix. C'est en mai 1925 que la
scie musicale fit son apparition à la Foire de Paris, stand Gervex; son
succès fut rapide, non seulement les jazz s'en emparèrent mais quelques
musiciens ne dédaignèrent pas d'avoir recours à elle pour jouer même des
pièces classiques. La sonorité en est jolie, elle rappelle les sons «
portamente » de la guitare hawaïenne et un peu la voix humaine."
Le
Ménestel, 23/11/1928, p. 490 (gallica.bnf.fr)
Ce facteur a aussi fabriqué des pianos pour
TURION
(°1911).
"F. GERVEX,
rue Montholon, 4 - Fabrique et spécialité de pianos demi-obliques. —
Belle qualité de son. — Solidité garantie. Exportation."
Le
Luth français. Journal de la facture instrumentale, 1856, p. 8 (gallica.bnf.fr)
INFO EXTRA
BUCH Jean-Pierre et BUCH
Francis à Paris, par Jean-Marc STUSSI
|
Médaille de bronze Paris, 1878
|
Médaille d'argent Amsterdam, 1883 | Médaille d'argent Paris, 1889
|
GOMBEAU L. |
1848 |
"L.
GOMBEAU, fabricant de pianos, contre-tirage et à sommier d'une seule
épaisseur, à l'épreuve de toute température. - Ci-devant rue de Richelieu,
112, Présentement rue Cadet, 2 bis. - Vente et location."
Le Luth
français. Journal de la facture instrumentale, 1856, p. 8 (gallica.bnf.fr)
"GOMBEAU
(L.), ancienne maison FAURE et ROGER, exposition universelle 1855, facteur
de pianos, faub. Montmartre, 42, pass. des Deux-Sœurs, 8 et 10, ci-de v
Richelieu, 112." et "GOMBEAU, fab. de pianos, ne laissant rien à
désirer sous le triple rapport de la sonorité, de la solidité et de la
beauté, exposition universelle de 1855, commission, exportation spéciale
pour le Brésil, r. du Faubourg-Montmartre, 42, 8 et 10, passage des
Deux-Sœurs."
Almanach
des 40,000 adresses des fabricants de Paris et du département : contenant
les noms et domiciles des principaux fabricants, 1864 (gallica.bnf.fr), p. 214 et
429
"Gombeau, ventes et
locations, accords et réparations, faub. Montmartre, 42."
Almanach des 40,000 adresses des fabricants de Paris et du département :
contenant les noms et domiciles des principaux fabricants, 1873, p. 206 (gallica.bnf.fr)
Il existait aussi un GOMBEAU Victor,
'facteur de pianos', vers 1851, à Paris, arrondissement 7.
|
Paris
Reuil |
Fabrique : 3 - 5,
Boucherie-des-Invalides
(*1851)(arr.6)
16, rue le Peletier (1852)(¹⁰)(arr.9)
112,
rue de Richelieu (*1851)(yy1851)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(xx1856)(arr.2)
2bis, rue Cadet
(1856)(arr.9)
2[bis], rue Cadet (**1857)(xx1857)(xx1859)(arr.9)
12
[sic], rue du faubourg Montmartre (***1863)( arr.9)
42, rue du faubourg Montmartre [Passage
des Deux-Sœurs 8-10]
(1852) (¹⁰)(z1855)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1860)(xx1861)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(yyy1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(**1889)(xx1890)(z1902)(arr.9)
8-[10], Passage des Deux-Sœurs
(*1859)(xx1860)(xx1861)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(**1877)(**1878)(**1879)(**1881)(arr.9)
13, rue Dupins (x1865)(arr.6)
8, Passage des Deux-Sœurs
(z1855)(xx1856)(*1875)(*1876)(**1876)(**1888)(xx1890)(*1895)(*1896)(*1897)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(arr.9)
54, rue Lafayette
(**1898)(z1902)(**1904)(**1907)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(yy1914)(arr.10)
152-154, avenue de Paris (**1914)
à Reuil
|
|
'Facteur de pianos' droits
ca. 1851-1914
ELCKÉ
F. & GOMBEAU
(entre 1849 et 1855), la maison ELCKE est fondée en 1846 comme
successeurs de FAURÉ & ROGER
(°1840)
ci-dessus.
1851 - "Elcké et Gombeau (ancienne
maison Faure et Roger), B 1849, Richelieu, 112, fabrique,
Boucherie-des-Invalides, 3 et 5."
Annuaire
du commerce Didot-Bottin, 1851, p. 655 (gallica.bnf.fr)
GOMBEAU, époux de DISSOUBRET.
(1852)(¹⁰)
GOMBEAU
L.
(*1855)(xx1857)(*1859)(yy1864)(**1870)(**1873)(**1876)
PEURIOT F.,
dès 1865, (yyy1878)(**1879)(**1880)(**1881)(xx1890)(**1898)(z1902)(x1906)(*1909)(x1912), successeur
1865 -
Mariage de "Peuriot, facteur de pianos,
rue Dupins, 13. - Mlle Gombeau, à Boulogne." L'Indicateur
des mariages de Paris..., 16-04-1865 (gallica.bnf.fr)
'Pianohandlung' (xx1890)(x1906)(x1912)
PEURIOT G.
(**1911)(1913)(**1914)
TROYES - "Nous nous sommes également arrêté avec
intérêt devant les pianos'de M. Gombeau, qui vient dignement compléter la
liste des exposants parisiens. Notre tâche est bien facile avec lui, car
nous n'avons que du bien à en dire comme facture et comme conditions de
vente."
Expo Troyes,
Le Chercheur, 20/05/1860 (gallica.bnf.fr)
-
L'Exposition de Troyes illustrée. Journal du Concours,
1860, p. 28 (gallica.bnf.fr)
PARIS - "PEURIOT.
- France. - Pianos d’une sonorité puissante, mais un peu métallique; prolongement à la basse; travail qui dénote un chercheur."
Chouquet,
Rapport sur les instruments de musiques à l'exposition universelle de 1878
|
Médaile de bronze Paris,
1849 | Liste des exposants Paris, 1855 |
Mention honorable
Paris,
1878
|
NICOLAS Eugène Eléonor
(1810 - ?)(***1876) |
1848 |
|
Paris |
56, rue de Seine à Saint-Germain (*1848)(x1849)(arr.6)
63 [?], rue de Seine à Saint-Germain (1855)(arr.6)
62, rue de Seine Saint-Germain
(*1850)(*1851)(**1854)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(arr.6)
Passage Dauphine, Esc. H. (xx1890)(arr.6)
|
|
'Facteur de pianos'
droits ca.
1848-90
Repris par
CONSTENSOUX
(xx1890)
'Pianofabrikant' (xx1890)
"Nicolas,
fabr. spéciale de pianos droits, accord et location, Seine-St-Germain, 56."
Annuaire
du commerce Didot-Bottin,
1848, p. 513 (gallica.bnf.fr)
|
Liste des exposants Paris, 1855
|
ROEMER George Frédéric
(ca. 1812 - ?)(¹⁰)(***1878) |
1848 |
|
Paris |
12, rue Bichat (1842)(¹⁰)(arr.10)
10, rue des Marais
(1852)(¹⁰)(arr.4)
49, rue Grenetat
(1852)(¹⁰)(arr.2)
16, rue Bichat (1853)(¹⁰)(xxxx1855)[14](xx1856)(xx1857)(1858)(¹⁰)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(z1878)(arr.10)
120, rue Lafayette (adresse
d'habitation en 1858)(¹⁰)(arr.10)
27, rue Richard Lenoir
(1867)(¹⁰)(arr.11)
24, boulevard
Richard-Renoir
(**1876)(arr.11)
106, rue du Chemin Vert
(yyy1878)(arr.11)
|
|
'Facteur de pianos'
droits ca. 1842-78
Il est né à Niederbronn, Bas Rhin. (¹⁰)
Il y a trois fils (?) de
ROEMER dans les archives de Paris :
ROEMER, facteur de pianos, marié avec SCHAALE, modiste,
vers 1852, 10, rue des Marais à 49, rue Grenetat.
Et un ROEMER, facteur de
pianos, époux de RIEGEL, 16, rue Bichat à Vuederbrune en 1853.
Et puis un
autre ROEMER, facteur de pianos, époux de MAIRE en 1858, de 16, rue Bichat
à 120, rue Lafayette. (¹⁰) et
La Presse, 27/10/1858, p. 3 (gallica.bnf.fr)
Repris par
Charles VLOEBERGH,
facteur wallon (Belgique) qui se fixe à Paris vers 1869. |
Liste des exposants Paris, 1878
|
SCHOLTUS Pierre
(1812 - ?) (***1879)
Pub. dans 'Le Luth
Français', 1857
|
1848 |
SCHOLTUS
sur ce site
Cliquer sur les liens
ci-dessus.
Problèmes chez un location d'un piano Scholtus : 'Pasicrisie,
ou, Recueil général de la jurisprudence des cours de France et ..., L.
M. Devilleneuve, France. Cour de cassation, 1852
et
Recueil général des lois et des arrêts : en matière civile, criminelle,
commerciale et de droit public, 1857, p. 443 (gallica.bnf.fr)
Une autre histoire
dans
The Solicitors' journal &
reporter, Volume 2
de 1858
"Le puff au déménagement. Dimanche dernier, je ne connaissais pas
encore M. Scholtus. Une annonce de la Patrie vient de me réveler
l'existence de ce personnage. On lit dans un coin obscur du carré de
M. Delamare l'annonce que cet industriel y a déposée.
Vente de Pianos. La démolition-prochaine de l'hôtel, rue Laffitte, a
forcé Scholtus, fabricant dé Pianos et d'Orgues à quitter ses vastes
magasins et à s'installer provisoirement rue de Provence.
(la suite )
|
Paris |
rue Frépillon (1841)(l'acte)
1, rue Bleue (*1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(**1852)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(***1856)(xx1856)(**1857)(xx1857)(xx1858)(xx1859)(arr.9)
3, rue Lepelletier (**1854)(arr.9)
42, rue Lafitte (*1859)(arr.9)
27, rue Lafitte (xx1860)(***1863)(arr.9)
28, rue de
Provence (*1859)(xx1861)(***1863)(yy1864)(arr.9)
Ateliers : 10, rue des
Gardes Saint-Denis (*1859)(**1864)(**1870)(**1873)(arr.18)
9,
rue Cadet (y1866)(*1867)(xx1868)(**1870)(***1870)(**1871)(arr.9)
64, rue Lafayette, au coin de la rue Cadet (**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(arr.10)
15, rue Cadet
(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(1878)(arr.9)
Fabrique : 22, rue des Gardes (**1876)(arr.18)
13, rue de la Tour-de-Dames (1882)(arr.9) |
|
'Facteur de pianos' droits caa. 1841-82
1841 -
SCHOLTUS Pierre, Facteur de pianos était marié avec WASEM Madeleine,
Journalière, le 20/02/1841, voir
l'acte
(nl.geneanet.org)
1856 -
"SCHOLTUS (Pierre), facteur de pianos à Paris. - Lettre relative à sa
participation à l'exposition universelle de 1855 et dénonçant en
particulier le musicologue Fétis. 1856. (arch-nat.culture.gouv.fr
p. 69)
1873 -
"Déclarations de faillites. Du 31 mars 1873. [...] Scholtus, fabricant
de pianos, rue Lafayette, 64. - J. c., M Séguier; s. pr., M. Dufay, rue
de Rivoli, 74."
La Presse, 03/04/1873, p. 4 (gallica.bnf.fr)
1877 -
"M. Pierre Scholtus, facteur de pianos, 64, rue de Lafayette, a
l'honneur de prévenir ses amis et ses parents de la perte douloureuse
qu'il vient de faire en la personne de Mme Scholtus, son épouse, dont
les convoi, service et enterrement auront lieu le lundi 20 du courant, à
9 heures très précises. On est prié de considérer le présent avis comme
une lettre d'invitation."
La Presse, 20/08/1877, p. 4 (gallica.bnf.fr) et
Le
Gaulois, 20/08/1877, p. 3 (gallica.bnf.fr)
1878 -
Acheté par
FRANTZ
(°1878)
en 1878 :
1878 -
"Vendeur : Scholtus - Acquéreur : Frantz - Domicile élu pour les
oppositions : Faub. Poissonnière, 68, ch. M. Raineau - Entrée en
jouissance : de suite - Fonds vendu : F. de facteur de pianos rue
Lafayette, 64."
Archives commerciales de la France, 10/10/1878, p. 1301 (gallica.bnf.fr)
"SCHOLTUS, établi en 1848, construisit en 1856 un piano de voyage de
82 notes, du poids très réduit de 60 kilos, et mesurant 1 m. 10 de
largeur. Il imagina aussi une pédale douce par le rapprochement des
marteaux et des crampons, contre le tirage des cordes, qui porte son
noms."
Encyclopédie de la musique et dictionnaire du conservatoire, 1927,
p. 2078 (gallica.bnf.fr)
(la suite)
— Jusqu'à
installation définitive, il continuera à vendre ses Pianos et ses
Tabourets, Casiers brevetés: à des prix réduits, exceptionnels et
sans commission d'intermédiaire. Location, Échange.
Après avoir lu cette annonce, on se demande tout naturellement
pourquoi M. Scholtus s'est décidé, jusque installation définitive, à
vendre ses pianos et ses tabourets à dès prix réduits. M. Scholtus
ne s'était-il donc pas considéré comme définitivement installé, dans
l'hôtel de la rue Laffitte, avant que de prendre cette mesuré
extrême ? Et M. Scholtus ne redoute-t-il pas que la clientèle, ne
l'abandonne, lorsqu'il sera définitivement installé ? On trouve des
gens qui ont l'esprit si mal fait.
Un déménagement entraînant des frais et devant grossit
considérablement le débit du compte de profils et pertes, nous ne
saurions trop engager M. Scholtus à être prudent, à maintenir ses
prix.
D'autres que nous auraient vu dans cette annonce un puff au
déménagement.
La candeur dont nous avons toujours fait preuve et qui est si
fortement prisée aux zouaves de la garde, ne pouvait faire naître
dans notre esprit cette mauvaise intention. - Edmond Martin."
Le
Tintamarre. Critique de la réclame, satire des puffistes, 08/04/1860,
p. 6 (gallica.bnf.fr)
Waldteufel
(compositeur) y était 'piano-tester'.
|
Médaille de bronze Paris, 1849 | Liste des exposants Londres, 1851 |
Liste des exposants N.Y., 1853
| Liste des exposants Paris, 1855 | Liste des exposants Paris, 1867
|
STAUB
Jean Joseph
(1813 - 1891)
STAUB magasin, rue de faubourg
Stanislas, Nancy
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des
départements et des pays étrangers, 1901, p. 2310 (gallica.bnf.fr)
Expo Liège 1905
Pub de 1906
Pub de 1921
Image de la fabrique,
Annuaire administratif, statistique, historique et
commercial de la Meurthe, 01/01/1922, p. 728 (gallica.bnf.fr) |
1848 |
STAUB
sur ce site
Cliquer sur ce lien ci-dessus de lire les commantaires sur les expositions.
PERFECTIONNEMENTS
1859 : M. STAUB a
apporté à la mécanique employée par lui, une série de
perfectionnements : en 1859, il inventait une nouvelle mécanique à
échappement à équerre et un nouveau système de lames d'étouffoirs.
1860 : il créa et appliqua une mécanique, à double échappement
pour piano
droit.
1875 : une nouvelle mécanique à répétition simple.
M. STAUB construit aussi un piano oblique à coudage renversé avec cadre
en fer système compensateur.
dans :
Bulletin de la Société industrielle de l'Est, 1906, p. 133-141 (gallica.bnf.fr)
1891 - "Autorisation de travaux à
Nancy. M. STAUB (Henri Gabriel), fabricant de pianos, rue du faubourg
Stanislas, 32. Construire un caveau de 4 cases, dans la concession 3248
(1e série) au cimetière de Préville. (Caveau, marbrier)."
L'Immeuble et la construction dans l'Est, 24/05/1891, p. 31 (gallica.bnf.fr) [décès
de J. STAUB]
1913 - "JAUVILLE. — Une nouvelle
usine: — L'entreprise Evrard, de Nancy, édifie actuellement à la
Malgrange, derrière l'usine électrique « Fabius Henrion », d'importants
bâtiments pour la manufacture de pianos « STAUB ». Cette firme doit en
effet transférer sous peu ses ateliers et services divers dans les
nouveaux bâtiments."
L'Immeuble et la construction dans l'Est, 10/08/1913, p. 285 (gallica.bnf.fr)
"STAUB
(J.), Manufacture de pianos à Nancy, maison fondée en 1849. Médailles
aux expositions universelles et internationales. Diplôme d'honneur hors
concours. MÉDAILLE D'OR - EXPOSITION INTERNATIONALE BRUXELLES 1897.
Solidité garantie. Nouveau système de pédale progressive pianissimo dite
rationnelle. Fabrication spéciale de pianos à cadre en fer pour
l'exportation. COMMISSION. - EXPORTATION à Paris : M. Gehrling, rue de
l'Ourcq, 59 et 46. Adresser demandes et correspondance à Nancy."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration, 1898, p. 2147 (gallica.bnf.fr) - voir GEHRLING
(°1842)
"Nancy
- MANUFACTURE DE PIANOS - maison fondée en 1849 - MÉDAILLES D’ARGENT, D’OR
ET D’HONNEUR AUX EXPOSITIONS - de 1850, 1852, 1855, 1857, 1861, 1865, 1867,
1875, 1878, 1879, 1880 et 1831 - 32, rue du faubourg Stanislas, 32 - VENTE,
LOCATION, COMMISSION, ÉCHANGE, RÉPARATIONS, EXPORTATION - Extrait du rapport
du jury de la classe XIII (Exposition internationale, Paris 1879). PIANOS .
— En première ligne figure la Maison J. STAUB, de Nancy. Belles qualités de
son, chaudes et nourries, égalisation presque absolue: fabrication très
soignée. Les pianos présentés par M. J. STAUB se recommandent
particulièrement à l’attention par un système de pédales qui permet
d’obtenir les pianissimo les plus délicats par gradations insensibles. Ce
système consiste dans un mouvement ingénieux de bascule, qui, en même temps
qu’il abaisse le clavier, rapproche le marteau des cordes. La course du
marteau, comme celle de la touche, se trouvant ainsi diminuée simultanément
sans secousse, on arrive à produire des sonorités voilées, éteintes, tout à
fait charmantes ; ce système déjà connu, mais perfectionné par M. J. STAUB,
est certainement le meilleur moyen que nous ayons vu jusqu’à ce jour Nous
devons encore citer, parmi les améliorations, le pupitre à bascule employé
par le même facteur. Ce pupitre est formé par la partie moyenne du panneau
de face, qu’un mouvement très simple amène à l’inclinaison voulue;
maintenant, si l’on ajoute aux qualités de diverses natures que nous venons
de signaler,- en nous efforçant d’en faire ressortir l’importance, que la
Maison J. STAUB fabrique elle-même tout ce qui entre dans la construction de
ses pianos, qu’elle est la seule, parmi ses concurrentes, à posséder une
manufacture aussi complète, on comprendra sans étonnement que le jury lui
ait décrné la première médaille d’or. - FABRICATION, SUR COMMANDE, DE PIANOS
EN TOUS GENRES ET DE TOUS STYLES - Envoi faanco, sur demande affranchie, du
Catalogue illustré."
Annuaire général des Vosges 1891, p. 372 (kiosque.limedia.fr)
"Manufacture
de Pianos - Fondée en 1848 - E. BERNET-STAUB succ.r - L. WŒRLI,
Directeur — Bureaux - Magasins — Avenue de la Malgrange — Usine
électrique - Ateliers - Chantiers — Avenue de la Malgrange et Rue
Tourtel - JARV1LLE (M.- & - M.) - Adresse télégraphique :
Pianos-Staub-Jarville — Téléphone : Jarville 14 - PARIS - BRUXELLES -
HANOI - Médaille d’Or - DIPLOME D’HONNEUR - HORS CONCOURS - Exposition
de Liège 1905. Diplôme d’Honneur - Nancy 1909, Exposition Internationale
de l’Est de la France - GRAND PRIX - PIANOS CADRE EN FER - + PIANOS
PNEUMATIQUES +"
Annuaire administratif, statistique, historique et
commercial de la Meurthe, 01/01/1922, p. 728 (gallica.bnf.fr)
Dépôts de barres d'adresses de STAUB :
STAUB & J. STAUB
(1911)(²¹)
J. STAUB (1911)(²¹)
PUB
Vosges Annuaire général de Léon Louis année 1883, p. 334
(kiosque.limedia.fr)
Vosges Annuaire général de Léon Louis année 1884, p.
334 (kiosque.limedia.fr)
Annuaire général des Vosges pour l'année 1899, p.
423 (kiosque.limedia.fr)
|
Nancy
Jarville
Paris
Metz |
MAISON PRINCIPALE :
58, faubourg Stanislas
(xx1865)
32, rue du
Faubourg-Stanislas (**1866)(*1868)(*1870)(*1871-73)(*1875)(*1876)(yyy1878)(xx1890)(y1891)(*1893)(**1894)(*1898)(y1899)(*1903)(*1905)(x1906)(*1909)(*1910)(1911)(x1912)(*1921)
113, rue de Toul (1886)
8, rue de Toul (*1913)
à Nancy
SUCCURSALE :
rue Tourtel (xxx1922)
avenue de la Malgrange
(**1921)**1922)(xxx1922)(*1923)(*1924)(x1926)(*1927)(**1928)(*1935)(*1938)
à Jarville (Meurthe-et-Moselle)
SUCCURSALE :
30, avenue de Clichy (**1873)(arr.18)
9, rue Caumartin
(yyy1878)(**1914), Maision à Paris:
ROHDE-STAUB
46 & 59, rue de l'Ourcq
(**1898)(x1906)(**1907)(x1912)(**1914)(arr.19)
-
GEHRLING M.
(°1842) sur cette page
à Paris
Dépôt à Metz (y1864)
|
plus de 10.000
pianos in 1878
en totale
25.005 pianos
1926 |
'Facteur de pianos'
droits ca. 1859-1938 [depuis
1850 (y1884)
ou depuis
1849 (xx1890)(y1891) ou depuis
1848 (x1906)(x1912)(x1926)]
Nancy
Produisait aussi des
pianos de luxe.
STAUB-WARNECKE (**1852)(xx1853)(y1853)(**1854)(yyy1855)(y1856)(xx1857)(xx1858)(XX1859)
Liste des sociétaires de l'Association des artistes musiciens,
vers 1856-57, 1859, 1861, 1864 (²⁵)
STAUB Joseph
(1864)
1865 - "Hier, entre ouze heures
et midi, le feu a pris dans un hallier, chez M. Cherrier, voiturier, au
faubourg Stanislas. Le petit bâtiment a été à peu près brûlé. Heureusement,
on est parvenu à sauver de tout dégât les ateliers de M. Staub, fabricant de
pianos, qui sont placés à côté de la propriété de M. Cherrier."
L'Espérance : courrier de Nancy, 22/06/1865, p. 3 (kiosque.limedia.fr)
STAUB,
WARNECKE & GUERLACH
(**1866)(*1868)(*1870)(*1871-73)(*1875)(*1876) - Voir
WARNECKE
STAUB
J. & Cie
(**1873)
1887 - "Les incendies sont comme
les jésuites : ils ne vont jamais seuls. Lundi soir, la maison Staub,
fabrique de pianos, jalouse de voir tous les Nancéiens s’occuper de la
faculté de médecine, se mit à brûler avec une ardeur qui eût certainement
fait plaisir à Néron, s’il avait encore été de ce monde. Les pompiers, avant
tout homme du monde, ont tenu à lui faire plaisir, et ont montré à son égard
leur activité ordinaire. Ils se sont décidés à éteindre l’incendie au moment
où ils ont été certains qu’il ne pourrait plus y avoir de rivalité entre les
deux maisons incendiées et que les dégâts seraient à peu près égaux."
Le Mémorial des Vosges, 03/03/1887, p. 2 (kiosque.limedia.fr)
STAUB
Joseph (xx1890), 'Pianofabrik'
1891 - "Décès. [...] Jean Staub, 77 ans, fabricant de pianos,
rue du Faubourg-Stanislas, 32."
Est républicain, 07/04/1891, p. 4 (kiosque.limedia.fr)
STAUB Henry-Gabriel
(*1891)(1897)(*1909), son fils,
il a
repris sa maison en 1891
STAUB
J. (x1906),
'Piano-Fabrik'
STAUB
J. G. (x1912),
'Piano-Fabrik u. -Handlung'
1912 - Propriétaires : les
héritiers de STAUB, directeur : Louis WOERLI (x1912)
1912 -
"ADJUDICATION - En l'Étude de M. LAISSY, Le 26 Février 1912, 1° à 2 heures
du soir : D'un Fonds de Commerce de Pianos; (fabrication, vente et
éventuellement location de pianos), exploité à Nancy, rue du faubourg
Stanislas, 32, et rue de Toul, dépendant de la succession de M. STAUB, et
comprenant : 1°
Clientèle, titres et marques de fabrique, médailles, réeompenses, droit au
bail ; 2° Matériel, Marchandises et matières-premières. Misé à prix: 60,000
fr. (outre le prix des marchandises et le loyer);
2°
Et à 2 heures du soir : D'une grande Maison, sise à Nancy, rue du faubourg
Stanislas, 32, et rue de Toul, 3 et 5. Cet immeuble sera vendu en 2 lots,
avec faculté de réunion. Mises à prix : 1er lot : 100,000. fr. 2e lot (dans
lequel est exploité le fonds de commerce) : 150,000 fr.
S'adresser: 1° à M. Laissy, notaire à Nancy; 2° à M. GUERRE, à Nancy, rue
Charles 111 ; 3°- à M. Pety, à Paris, rue Lallier, 4."
L'Immeuble et la construction dans l'Est, 04/02/1912, p. 919 (gallica.bnf.fr)
- Voir information extra
sur
GUERRE par Jean-Marc Stussi
BERNET-STAUB E. & Cie
(**1914)(**1921)(*1922) jusqu'en 1933 (⁸)
"BERNET-STAUB (E ). av. de la
Malgrange. Jarville (M.-et-M.). T. Jarville 14, Ad. t. Pianos STAUB,
Jarville. Ferrov. : GV. gare Jarville-la-Malgrange ; PV. gare Nancy ; PV.
wagon complet gare Jarville-la-Malgrange. Direct. : L. Woerli. Usine élect.,
ateliers et chantiers, r. Tourtel, Jarville (M.-et-M.). Fabrique de pianos
ordinaires et pianos pneumatiques. (17-H8700)" Annuaire
industriel. Répertoire général de la production française, 1925 (gallica.bnf.fr)
Une autre combination est
STAUB-SEYBOLD
pour des pianos mécaniques vers 1920. Voyez
SEYBOLD
à Strasbourg (°1911).
GUERRE,
LAMBINET & Cie - J. STAUB,
dès 1933 (⁸) - Voir 'information extra' sur
GUERRE par Jean-Marc Stussi
Jarville
BERNET-STAUB E. & Cie
(x1926), 'Piano-Fabrik'
(x1926)
Paris
Dépot de pianos à Paris vers
1859 chez
HUSSON,
BUTHOD & THIBOUVILLE
(°1790)
1898-1914 -
Représentant à Paris : GEHRLING M.
(°1842)
sur cette page, ci-dessus; (**1898)(x1906)(**1907)(**1914)
RHODÉ-STAUB
était sorte de succursale à Paris, semble davantage constituer une
association distincte de la maison-mère STAUB, dans laquelle ROHDÉ fabrique
peut-être ses propres pianos, mais vend aussi les pianos STAUB.
(⁸)
"Originaire de Menzingen (ZG) en Suisse
où il est né le 9 avril 1813, Jean Joseph STAUB arrive à Nancy en 1842.
Il rejoint l’atelier de G. L. WARNECKE comme ébéniste et facteur de
pianos. Le 10 mars 1845, il épouse Hortense, la fille de G. L. WARNECKE,
dont il aura six enfants. (¹) Marie Elisabeth Georgette, née le
21.10.1846, épousera à Nancy le 27.1.1866 Johannès Henri Rohde,
facteur-fabricant de pianos puis Editeur de musique à Paris, fils de
Jean Rohde, également facteur de pianos à Paris; ce couple aura six
enfants. (²) Paul Gaspard, né le 28.10.1848, qui deviendra
facteur et fabricant de pianos dans l’entreprise STAUB jusque vers
1900; il épousera le 20.1.1877 à Nancy Marie Marguerite Aimée Blaise.
(³) Marceline Anna Maria née le 11.12.1855, épousera, à Nancy, le
7.7.1877, Hippolite GUERRE, comptable chez STAUB, né le 6.4.1849
à Cirey-sur-Vezouze. (³²) Pauline Octavie née le 28.6.1857,
épousera le 7.4.1883, Jacques Emile BERNET, employé de commerce,
né à Nancy le 24.9.1858. Le couple aura une fille, Marthe Marie née le
26.3.1884. (⁵) Gabriel Henry né le 6.1.1859; deviendra facteur
et fabricant de pianos, marié le 10.10.1900 à Nancy à Marie
Armbruster. Ce couple n’a pas eu d’enfants. Hortense est décédée à
la naissance d’un enfant mort-né le 23 décembre 1859. J. STAUB ne se
remariera pas.
Au décès de G. L. WARNECKE, son atelier est repris par J. STAUB et les
fils WARNECKE sous le nom de STAUB-WARNECKE. Installé au 37 rue
Saint-Nicolas à Nancy, le développement des affaires entraîne la
construction d’une nouvelle manufacture (2500 m2 d’ateliers
bois) avec bureaux et appartements sis 32bis Faubourg Stanislas.
Celle-ci y restera jusque vers 1914 sous différentes dénominations selon
l’association avec les collaborateurs directs : STAUB-WARNECKE
(1848-1868), STAUB-WARNECKE-GUERLACH (1868-1872), puis STAUB-GUERLACH
(1872-1877) par suite du retrait des fils WARNECKE (dont l’un était
décédé), et enfin Manufacture STAUB à partir de 1878 dans laquelle J.
STAUB a les pleins pouvoirs. A Paris, STAUB bénéficiait du concours de
son gendre J. ROHDÉ avec lequel il était associé sous la raison
ROHDÉ-STAUB,
9 rue Caumartin. J. STAUB avait entrepris une collaboration avec SEYBOLD
de Strasbourg pour des pianos mécaniques. Après le décès de J. STAUB le
1. avril 1891, son fils Henry Gabriel prend la direction de la
manufacture qu’il assumera jusqu’à son décès le 20.2.1911. La
manufacture devient alors « E. BERNET-STAUB – Successeur » (E.
BERNET
étant le gendre de J. STAUB) dont la direction est assurée par L. Woerli,
précédemment contre-maître. Entre 1910 et 1914, la manufacture
s’installe dans de nouveaux locaux à Jarville (faubourg de Nancy). Au
décès de E. BERNET en 1933, la manufacture devient « Manufacture de
pianos GUERRE, LAMBINET et Cie - J. STAUB» (patronymes des gendres de J.
STAUB et Hippolyte GUERRE). Suite à la crise de 1929 et à une évidente
désaffection pour le piano, la manufacture sera obligée de fermer en
1936. En près de 90 ans d’existence, plus de 25 000 pianos sont sortis
de la manufacture, plaçant la maison J. STAUB parmi les premiers
fabricants de pianos de France. La qualité de la production de la maison
STAUB a été reconnue par l’octroi de nombreuses récompenses aux
expositions nationales et internationales. Elle s’est imposée par le
sens commercial et technique de J. STAUB et de ses successeurs : barrage
en fer forgé destiné à prévenir la séparation des cordes, adoption du
mécanisme à échappement à équerres, perfectionnement du mécanisme
inventé par Érard, création de lames étouffoirs (1859); mécanisme à
double échappement pour piano droit (1860); mécanisme à répétition
simple (1875); pédale « pianissimo » rapprochant les claviers des
cordes; clavier transpositeur par demi-tons; adoption du mécanisme Schwander; pupitre à bascule. La maison exportait dans de nombreux
pays." (⁸)
Les facteurs de pianos à Nancy, J. M. Stussi
WARNECKE
était le beaupaire de
STAUB, le dernier avait
épousé Hortense sa fille.
INFO EXTRA
Manufacture de pianos, J.
STAUB à Nancy par Julien TURGAN,
1878
STAUB, fabricant de pianos à Nancy,
par Jean-Marc Stussi
GUERRE,
facteur de pianos à Nancy, par Jean-Marc Stussi
Les facteurs de pianos à Nancy,
& numération, J. M. Stussi
J. M. Stussi, Facteurs
de pianos de Strasbourg, Le Mans, Mâcon et Angers. Doc. Personnels
(⁸)
|
Médaille d'argent
Toulouse, 1850 | Liste des exposants,
Paris 1855 | Médaille d'honneur Toulouse, 1857 | Médaille deuxième classe, argent, petit module Metz, *1861
| Médaille de
bronze Bayonne, 1864 | Médaille
de bronze, 1878 |
Médaille d'or, Paris, 1879
| Diplôme d'honneur, Bar-le-Duc, 1880 |
Médaille d'or Épinal, 1881
|
Médaille d'argent Anvers, 1894 | Médaille de
bronze Lyon, 1894 | Diplôme de médaille de bronze Lyon, 1894 |
Médaille d'argent Anvers, 1894 | Médaille d'or
Bruxelles, 1897 | Médaille de bronze Paris, 1900
| Médaille d'or Hanoï, 1902 | Grand prix Paris, 1905 | Grand prix Nancy,
1905 | Diplôme d'honneur, Liège, 1905
| Grand prix Nancy, 1909 | Grand prix Nancy, 1910
|
TRUCHOT Guillaume (1814 - ?) |
1848 |
Brevet de 1858 : "33730. B. de 15 ans, 17 septembre; Truchot,
représenté par Le Blanc, Paris, rue Sainte-Appoline, 2. Système de
machines destinées à obtenir la garniture des marteaux de pianos avec
régularité et économie." Catalogue
des brevets d'invention, France. Ministère de l'agriculture,
1858
Brevet de 1876 : "113,892. Brevet de quinze ans, 10 juillet 1876; Truchot,
représenté par Cartier, à Paris, rue du Temple, n° 32. Perfectionnements au
presses à coller en panneaux les garnitures de feutre des marteaux de pianos."
Bulletin des lois de la République française, 07/1877, p. 927 (gallica.bnf.fr)
|
Paris |
3, rue Phelippeaux (x1836)(arr.3)
5, rue du Roi Doré (**1837)(arr.3)
79, rue Saint Louis (1849)(¹⁰)(arr.4)(b)
67, rue Saint-Louis au Marais (**1854)(z1855)(xx1856)(xx1857)(arr.4)
7, rue Saint-Louis au Marais (*1859)(arr.4)
162, rue du Faubourg-Saint-Denis (1878)(x1890)(*1893)(z1900)(**1912)(*1913)(arr.10)
69, rue de Lyon (*1897)(**1898)(**1904)(arr.12)
|
|
Facteur et/ou marchand
de pianos droits
et garniseur de marteaux,
'accordeur de pianos' ca. 1836-1904; (**1837)(z1855)(xx1856)(*1859)
TRUCHOT Guillaume était né ca. 1814
(***1876).
TRUCHOT
Louis
(1849)(b)
1849 -
"TRUCHOT Louis, facteur de pianos, rue Saint Louis, n° 79. Cité le
26/03/1849, comme témoin, âgé de 48 ans lors de l'engagement volontaire
à la mairie du VIIIe arrondissement de QUETIER Paul Victor, horloger
pour le 3e du génie. Source: AP/Vbis11H1-40/LEBRUN Georges Claude."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
TRUCHOT Guillaume
& COLLIN Auguste L.
(yyy1878)(x1890)(*1893)(z1900)(**1912), successeurs de
TRUCHOT, fournitures pour pianos
TRUCHOT
(**1904)
Quelque chose à faire avec
COLLIN
à Paris
?
"Maison Truchot -
Fondée en 1848 - Inventeur de la machine à tendre les feutres et du
découpage des feuilles en bandes en chan[?]eins - Truchot & Collin -
garnisseurs de marteaux pour pianos - Garnitures à la main et en bandes à la
compression - Exposition Universelle de 1878 - Médaille de bronze -
Exposition Universelle de 1889 Médaille d'argent - 162, faubourg Saint-Denis
- Paris."
Annuaire
des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1893 (gallica.bnf.fr)
|
Médaille de bronze Paris, 1878 | Médaille d'argent Paris, 1889 |
Médaille d'or Paris, 1900
|
WINTER Jean H.
(? - 1866) |
1848 |
|
Bordeaux |
8, rue Puypaulin
(yy1856)(yy1857)(***1858)(**1859)(yy1862)
67, rue de la Dévise (yy1862)
|
|
'Facteur de pianos' ca.
1848-62
Il venait de Lübeck en 1848, et meurt en
1866. Il representait la maison Érard
à Bordeaux. (⁶) - (yy1862)
|
|
DIETRICH J.
|
1849 |
SCHWANDER
sur ce site
Cliquer sur le lien ci-dessus.
|
Paris |
137, rue du faubourg Saint-Denis (xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(xxx1862)(***1863)(**1864)(yy1864)(x1868)(**1870)(**1871)(**1873)(arr.10)
36, rue des ...? (?)
15, rue d'Evangile (*1875)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(***1885)(**1888)(arr.18)
14-16, rue d'Evangile (z1900)(arr.18) |
|
'Facteur de pianos'
droits
ca. 1857-78
Il y avait un DIETRICH qui était
'finisseur' chez PLEYEL dès 1850. (²⁰)
Repris par
Henry SCHWANDER,
'Facteur
de pianos' ca. 1875-88,
famille de
Jean SCHWANDER (°1835),
connu pour ses méchaniques pour les pianos et fournitures pour pianos?
TOULOUSE - "Dietrich, à Paris, pianos. - Médaille
d'or de 1re classe."
VIIIe Exposition des Beaux-Arts et de l'Industrie à Toulouse en 1865 :
Liste des récompenses, 1865, p. 29
PARIS -
"M. DIETRICH, à Paris, - a envoyé un
piano demi-oblique ordinaire et un piano demi-oblique grand format. Ces
deux instruments se distinguent par une bonne facture et par une grande
qualité de son. On s'aperçoit facilement que cet exposant a puisé
d'excellents principes dans les grands ateliers de Paris où il a
travaillé. Le Jury regrette de n'avoir aucun renseignement sur
l'importance de sa fabrication; mais, jugeant son mérite d'après ses
oeuvres, il lui décerne une médaille d'or de 1re classe."
Exposition des Beaux-Arts et de l'Industrie à
Toulouse, dans les bâtiments de l'ancien monastère des Jacobins : Année
1865, p. 266
PARIS -
"MM. SCHWANDER (Henri). -
France. - Pianos droits avec nouvelle mécanique à double échappement (sans
attrape)."
Chouquet, Rapport sur les instruments de musiques à
l'exposition universelle de 1878
"Dietrich
(J.), fab. de pianos droits, démi-obliques d'une bonté remarquable,
Faub. -St. Denis, 137."
Annuaire
du commerce Didot-Bottin, 1857 (gallica.bnf.fr),
Paris p. 794-795
et (*1859)(xxx1862)
|
Liste des exposants
Toulouse [ou Bordeaux ?], 1854 | Médaille d'or de 1re
classe Toulouse,
1865 | Médaille d'argent Bordeaux, 1865 |
Médaille d'or Toulouse, 1866
| Liste des exposants Paris, 1875 | Médaille de bronze Paris, 1878 (Schwander)
|
GAUDONNET Pierre
Hammerfluegel.net
|
1849 |
GAUDONNET
sur ce site
Cliquer sur les liens ci-dessus.
|
Paris |
26, rue Dauphine (yy1851)(**1852)(**1854)(xxxx1855)(z1855)(**1856) (*1857)(xx1857)(xx1858)(arr.6)
20, rue Dauphine (**1857)(arr.6)
79, rue de Seine (*1859)(xx1859)(xx1860)(1862)(**1864)(yy1864)(*1867)(**1870)(**1871)(1872)(**1873)(arr.6) |
|
'Facteur de pianos'
droits et pianos à queue ca. 1841-73
GAUDONNET Pierre
(xxxx1855)(yy1864)
GAUDONNET
Frères
(1862)
GAUDONNET
Ainé (1867)
GAUDONNET Pierre
(**1870)(**1871)
"Gaudonnet
(Pierre), fact. de pianos, de son prolongé, médaille à l'exposition
universelle de 1855, méd. A [d'argent] société d'encouragement 1857,
Seine, 79."
Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1860,
p. 914 (gallica.bnf.fr)
VOIR AUSSI ...
GAUDONNET Amable,
peut-être fils ou frère de Pierre GAUDONNET, ou n'est-il pas de la famille (?), était établi dans la passage
Dauphine vers 1859.
|
Médaille de 2e classe Paris, 1855 | Médaille d'argent, 1857 | Liste des exposants
Londres, 1862 | Liste des exposants Paris,
1867
|
KREBS Charles |
1849 |
BARROUIN
sur ce site
PARIS -
"11. BARROUIN (Félix), a Paris,
rue de Sèvres, 91. — Piano renfermant un appareil régulateur pour durcir a
volonté, le toucher des claviers. Auto-clavier ou clavier somnambule. Voir
son appareil régulateur pour durcir les claviers graduellement, (breveté S.
G. D. G.). Voir également à la fin du volume, l'annonce intitulée :
Auto-Clavier."
Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, p. 2
(gallica.bnf.fr)
PARIS -
"Piano
renfermant un appareil régulateur pour durcir à volonté le toucher des
claviers, auto-clavier ou clavier somnambul." Expo 1889
-
Rapports du jury international, Volume 2, 1891, p. 492
PARIS -
"9. Barrouin (Félix-J.),
facteur de pianos, à Paris, rue de Sèvres, 91. — Pianos et régulomanes."
Catalogue général officiel. Tome troisième, Groupe III : instruments
et procédés généraux des lettres, des sciences et des arts : classes
11 à 18, 1900, p. 514 (archive.org)
"Très
bons pianos dont la construction ne laisse rien à désirer. Prix de fabrique,
de 450 à 1,300 francs. – C. KREBS, rue de Sèvres, 91."
La Presse, 13/09/1863, p. 4 (gallica.bnf.fr)
"Krebs (Ch.),
vente, location, accords., réparations et échange de pianos, motion bien
connue pour la solidité de ses instruments, r. de Sèvres, 91."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration, 1871, p. 1223 (gallica.bnf.fr)
|
Paris
|
91, rue de Sèvres (*1859)(xx1861)(**1864)(xx1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(xx1889)(y1889)(x1890)(xx1890)(1892)(*1894)(**1895)(**1898)(***1900)(z1900)(z1902)(**1904)(x1906)(**1907)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.6)
91, rue de
Givors (xx1894)(1894) |
|
'Facteur de pianos' et harmoniums ca. 1859-1914 [ depuis
1849
(*1913) ou
depuis 1850
(z1900)(x1907)]
I l était un facteur
aveugle. (⁷)
Charles KREBS était marié avec
Anne Catherine COQUET
(1827-1864), la soeur de Marie COQUET de la marque
PEAUCELLE-COQUET
(°1860)(¹⁵)
BARROUIN, aveugle, qui a créé une école d'expertise de pianos, gratuite pour
les aveugles dans la rue de Sèvres, 91, Paris, et devenait associé de
Charles KREBS
(°1849) et il lui
cédera sa maison. (¹)
Puis en 1864,
après la mort de sa femme, il est remarié :
1864 - "Publications
de mariages. Du 4 au 11 décembre. 6e arrondissement (Luxembourg). Entre : M.
Krebs, facteur de pianos, rue de Sèvres, 91, et, Mme veuve Berthelot, même
maison."
La Presse, 11/12/1864, p. 3 (gallica.bnf.fr)
1884 - Son associé
BARROUIN
lui sédera en 1884 :
BARROUIN Félix J.
(Archives
commerciales de la France. 13/01/1884, p. 47 (gallica.bnf.fr));
(1884)(x1890)(***1900)(**1914)
BARROUIN
[F.]
(xx1890)(z1900)
'Pianofabrikant' (xx1890)
BARROUIN
A. (x1906), 'Piano-Handlung'
'Facteur de Pianos' - 'Piano-Fabrik' &
'Marchand de pianos et orgues'
(x1912)
Puis repris par
LAPLANCHE
(°1850) vers 1921
Brevet de 1892 : "Régulateur de touches de piano, par M. Barrouin,
facteur de pianos, rue de Sèvres, à Paris. M. Barrouin, facteur de
pianos, a imaginé un appareil simple, peu coûteux et susceptible d'être
appliqué aux pianos déjà construits, afin de permettre aux exécutants de
graduer à volonter la résistance des touches [...]." Lire la suite dans
Bulletin de
la Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale, 1892. 91e année.
4e série, tome 7, p. 442
(la suite)
"BARROUIN (F.),
A., ANCIENNE MAISON CH. KREBS, FONDÉE EN 1850. M. H. Expos, univ. Paris
1889, (B)(V)(O). 12 dipl. d’hon. Exp. rég. et coL 1890-1892 et (O) Tunis
1893 (A) Lyon 1894 (O) Bordeaux 1895 (O) Rouen 1896 (B)(A). Exp. univ.
Bruxelles 1897. Exp. univ. 1900 (B). Pianos neufs, cadre en fer et bois dur
depuis 50 fr: Maison connue, pour la solidité, belle sonorité et agréable
toucher du clavier. Garantie 10 à 15 ans selon le modèle. Fort escompte au
comptant, facilité de paie ment par termes, location condition nelle depuis
20 fr. ; spécialité, système dit « Régulomane », pour durcir graduellement
le toucher du clavier, pour la gymnastique graduée des doigts, méthode
spèciale. Prime donnée en vendant le piano, breveté s. g. d. g. et approuvée
et censurée par les jurys et conservatoires de musique. Envoi des catalogues
et description de pianos et harmoniums sur demande. 91, RUE DE SÈVRES, 91."
Paris-adresses : annuaire général de l'industrie et du commerce : corps
constitués, administrations, professions libérales, propriétaires, rentiers,
etc... de Paris et du département de la Seine, 01/01/1907, p. 1667
(gallica.bnf.fr)
|
Liste des exposants
Paris, 1878 |
Mention honorable Paris, 1889 | Liste des exposants Tunis, 1893
|
Diplôme de médaille d'argent, Lyon, 1894
| Liste des exposants Bordeaux, 1895
| Liste des exposants Rouen, 1896
|
Médaille de
bronze Bruxelles, 1897 | Médaille de bronze Paris, 1900
|
MORICE Charles
|
1849 |
SOUS-MARQUE
Une marque vendu par lui
était
DIEMER & Cie
dès 1898 (²¹)
|
Rennes
Saint-Malo |
MAISON PRINCIPALE : 10, quai de Nemours (xx1890)
3, rue Lafayette
(***1898)(x1906)
6, rue Le Bastard
(x1912)(*1913)
à Rennes
SUCCURSALE : 1, rue Vincent (x1912)(chez
Mlle. DUROCHER - 1912)
à Saint-Malo (xx1890)(x1906)
|
|
'Facteur de pianos'
droits,
marchand de musique et éditeur ca. 1890-1920 [depuis
1849 (x1912)]
MORICE [Charles]
(xx1890)(x1906)(x1912)
'Pianohändler u. Stimmer' (xx1890) à
Rennes
'Musikal.-, Piano u. Instr.-Handlung'
(xx1890) à Saint-Malo
'AU MENESTREL BRETON' (x1906)(1920)
'Musikal.-, Piano- u.
Musikinstr.-Handlung' (x1906) à Rennes
'Handlung mit Musikal., Pianos, Harmoniums
u. Musikinstr.' (x1912) à Rennes
'Musikal.-, Piano-, Harmonium- u.
Musikinstr.-Handlung' (x1912) à Saint-Malo
1920 -
Maisons GAUDU
(°1840),
voyez ci-dessous, et de MORICE
(°1849)
de Rennes étaient réunies vers 1920.
|
|
SAURY François Léandre
(ca. 1820 - 1882)
|
1849 |
PARIS -
"M. SAURY. - Genre
ordinaire, rien de particulier à signaler, ce qui n'empêche pas M. Saury de
bien construire ; mais je l'engage à soigner la sonorité qui pêche, et par
faiblesse, et par un peu de lourdeur. Mais ces légers défauts sont rachetés
par la docilité du clavier et une grande égalité dans toute son étendue."
La musique à l'Exposition universelle de 1867,
Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant,
p. 171
"Saury, facteur de pianos droits, demi-obliques et obliques, grande
solidité, barres de fer, prix très-modérés, commiss., exportat.,
Faub.-du-Temple, 25."
Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1857, p.
795 (gallica.bnf.fr)
"Saury, facteur de pianos droits et
demi-obliques, grande solidité, barres de fer, prix modère, commission,
exportation; fabr., passage Ménilmontant, 9; magasin, rue de Cléry, 100."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la
magistrature et de l'administration, 1879, p. 1397 (gallica.bnf.fr)
" SAURY,
maison fondée en 1849, recommandable par sa bonne fabrication et ses prix
moderés pianos barrés en fer, garantis contre l'humidité, commiss., export.,
rue des Récollets, 13."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration, 1884, p. 1640 (gallica.bnf.fr)
|
Paris |
25, rue du Faubourg-du-Temple
(**1854)(xxxx1855)(z1855)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(x1863)(**1864)(yy1864)(**1871)(**1873)(arr.11)
MAGASIN : 100, rue de Cléry, près de la port Saint-Denis (*1867)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(arr.2)
FABRIQUE : 9, Passage de Ménilmontant, ci-devant, faubourg du Temple 25
(**1870)(**1878)(**1879)(**1880)(**1873)(**1881)(**1883)(arr.11)
13, rue des Récollets
(**1884)(**1885)(**1888)(xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(arr.10)
6, rue de Nice (**1898)(z1900)(**1904)(x1906)(**1907)(arr.11) |
|
'Facteur de pianos' ca. 1849-1904
"SAURY François Léandre, ébéniste,
demeurant rue du faubourg du Temple, n° 95, puis rue du buisson Saint Louis,
n° 20. Époux de EBERHART Henriette Adélaïde. Cité lors du baptême d'une
fille dudit, le 07/07/1840, puis d'une autre fille, le 19/04/1842 et de
nouveau d'une autre fille, le 29/10/1843, paroisse Saint Laurent.
En 1840, EBERHART Henri Georges, ébéniste, parrain. Sources : Archives de
Paris/D6j/2575 et 2577 et 2578/JOLY Patrick."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
"SAURY
François Léandre :
facteur de pianos, né à Dunkerque le 22 novembre 1812, fils de Cirques SAURY
(chaudronnier) et Marie Françoise HOLTZ; épouse à Paris 5e (Seine) le 21
février 1837 de Henriette Adélaïde EBERHART, née ca. 1820.
Enfants : Julie Henriette, née à Paris 5e le 6 juillet 1840 ; Clémentine
Henriette, née à Paris 5e le 18 avril 1842 ; Louise Antonia, née à Paris 5e
le 28 octobre 1843 ; Léon Victor (voir ci-dessous)
Domiciles : 1840-1856, Paris, 95 rue du faubourg du Temple, puis 20 rue du
Buisson Saint Louis ; 1855-1873, 25 rue du faubourg du Temple ; 1867-1881,
100 rue de Cléry.
Témoin au mariage à Dunkerque le 23 septembre 1856 Denis Saury (oncle de
l’épouse). Décès de François Léandre SAURY, à Paris 2e le 23/5/1882.
SAURY Léon Victor
: facteur de pianos, né à Paris 5e (Seine) le 27 juillet 1846, † Paris 11e
(Seine) le 23 décembre 1894; épouse à Paris 20e (Seine) le 22 janvier 1876
Honorine Armande AUBRY, née à La Villette (Seine) le 23 février 1851 fille
de Joseph Christophe (horloger) et Louise Joséphine DUBOIS."
Informations généaloqiques aimablement établies par Christian Declerck
et son site
Dictionnaire des musiciens à Dunkerque - et -
Généalogie musiciens
de Dunkerque et Boulogne sur MerQue c'est mystérieux est dans l'article ci-dessous, on trouve "la
fabrique de pianos SAURY, ERARD & Cie", et l'adresse de 'Passage
Ménilmontant'. Il s'agit de
ERARD Nicolas
(°1865). Quel est le
lien entre SAURY et Nicolas ERARD ?
SAURY
L.
(1855)
SAURY
(xx1890)(z1900)
'Pianofabrikant' (xx1890)
INCENDIE 1877
"Voici de nouveaux détails sur le grave incendie du passage
Ménilmontant. - Les premiers renseignements avaient fait croire que le feu
s'était déclaré dans la scierie mécanique de la fabrique de pianos Saury,
Erard et Cie; on sait maintenant que les flammes sont sorties
primitivement d'un local voisin occupé par M. Janson, fabricant de chapeaux.
On croit qu'une poutre du plancher surchauffe par un tuyau de calorifère
toujours allumé aura déterminé l'incendie. De ce foyer, le feu n'a pas tardé
à envahir les ateliers de la fabrique de pianos. Toutes ces constructions
étaient légères, le vent soufflait violemment et en une heure, toutes les
maisons, du n° 9 au n° 19 bis, couvrant un espace carré de plus de cent
mètres, étaient en feu. Les dégâts en marchandises sont énormes. Une
vingtaine de ménages sont restés sans asile. Plusieurs personnes avaient dû
quitter leur demeure sans avoir même le temps de se vêtir. Tout a été brûlé.
Outre les pertes matérielles, on a à déplorer un grave accident. Un caporal
de pompiers de la caserne du Château-d'Eau, qui était monté sur un pan de
mur calciné par les flammes, est tombé dans le brasier; deux pompiers se
sont précipités à son secours et ont pu le retirer des décombres. Mais,
transporté à l'hôpital du Val-de-Grâce, ce malheureux est mort quelques
heures après des suites de ses affreuses blessures. Jean de Paris."
Le Figaro, 07/10/1877, p. 2 (gallica.bnf.fr)
|
Liste des exposants Paris, 1855 | Liste des exposants Paris, 1867
|
SOCIÉTÉ DE FACTEURS DE PIANOS DE PARIS
|
1849 |
'Manufacture de pianos'
DIFFÉRENTES MARQUES
SUR LA MÊME ADRESSE
Autres noms de cette société
sont :
ASSOCIATION
DES FACTEURS DE PIANOS DE PARIS
(*1856)
DES
FACTEURS DE PIANOS ET ORGUES
(*1868)
SOCIÉTÉ
DES FACTEURS DE PIANOS DE PARIS
(1880)(z1900)
SOCIÉTÉ
DES PIANOS FRANÇAIS
(**1898)(1899)(z1902)(**1904)(x1906)(**1914)
ASSOCIATION
OUVRIÈRE
(xx1890)(*1909)
ASSOCIATION
(x1907)
LONDRES -
"L'ASSOCIATION DES OUVRIERS, qui a envoyé deux pianos droits, dont un
d'une admirable richesse, attire tous les regards." La France
Musicale, 13/07/1851
LONDRES -
"We noticed two pianos (No.
475) by an association of workmen ; one is in marqueterie, rather pretty.
The tone of the French pianofortes, with which many of our readers are
doubtless acquainted, is very distinct from the English. It is shorter, more
frappanl and piercing, requiring much greater force of finger to bring out ;
aud this character of tone, witli the stiffness of the touch, may account
for the inclination to force or "thrash" the instrument sometimes observable
in the foreign pianists, who, from being accustomed to these instruments,
are scarcely prepared for the self sustaining tones of our English piano,
with their light aud delicate touch. As a general rule, foreign pianos are
not admired in this country ; aud we must ourselves give our own the
reference, as possessing sweeter and more musical tones."
Crystal Palace, and its contents : being an
illustrated cyclopaedia of the great exhibition of the industry of all
nations, 1851, p. 202 (archive.org)
SOCIÉTÉ DE FACTEURS DE PIANOS DE PARIS
sur ce site
Cliquer sur le lien ci-dessus.
FACTEURS
Une société des facteurs
différents :
BOUVIER,
CARRÈRE,
CASTELAIN,
CHAMP-RAMEAU & CIE
(°1905),
CORNIBÉ,
DÉTIR,
GERVEX
(°1848),
HANEL BENARD & Cie
(°1885),
LECLERC,
LISSARRAGUE
de Versailles,
LOUBENS,
LOWELS,
PETERSDORFF,
REITTER,
RIDOUX (x1906),
SCHLACHTER,
YOT-SCHRECK
(°1849),
ZINKERNAGEL,
...
INFO EXTRA
ASSOCIATION
DES FACTEURS DE PIANOS DE PARIS
(°1849) (gallica.bnf.fr)
"Note
présentée à l'Assemblée nationale sur l'article 109 du projet de
constitution relatif à l'interdiction du remplacement militaire." par Armengaud, 10 juillet 1848 (gallica.bnf.fr).
|
Paris |
32, rue de Chabrol (1849)(*1857)(arr.10)
162, rue faubourg Saint-Denis (xxxx1855)(***1857)(arr.10)
122, rue Saint-Martin
(***1857)
magasin : 13 (?), Place de la Bourse (?)(arr.2)
magasin : 15, Place de la Bourse (*1859)(arr.2)
66, rue des Poissonniers (*1859)(1865)(1867)(1872)(arr.18)
117, boulevard Richard-Lenoir
(xx1890)(**1898)(z1902)(**1904)(x1906)(**1907)(**1910)(**1912)(x1912)(arr.11)
54, rue des Poissonniers (**1873)(*1876)(xx1890)(1897)(*1913)(**1921)(arr.18)
2-4, Impasse d'Oran
(z1900)(arr.18)
14, boulevard du Temple (**1914)(arr.3) |
310 pianos en 1880
1050 pianos en 1910 |
SOCIÉTÉ DE FACTEURS DE PIANOS DE PARIS
p. 363-364 ('Manuel du Spéculateur à la bourse', 1855) cette société était
fondée par
14 ouvriers, facteurs de pianos et
sous la direction de
GISCOS & HALBOT.
"L'association des facteurs de pianos compte aujourd'hui trente-cinq
membres, tous associés ; elle n'emploie pas d'auxiliaires. Dévastes
ateliers ou magasins qu'elle loue 2,000 fr. lui suffisent à peine. A
la fin de 1849, sou actif s'élevait déjà à 23,921 fr."
Journal des
économistes: revue de l'économie politique, des questions, 1856,
p. 342
"D'après une notice que nous avons sous les yeux, l'association des
facteurs de pianos fut fondée par quatorze simples ouvriers, sans
capital, sans crédit, à qui les délégués du Luxembourg ne voulaient
accorder aucune avance. Ils parvinrent à louer dans un coin perdu de
Paris un méchant grenier qu'ils transformèrent en atelier. Ceux qui
avaient des outils les y portèrent; ceux qui avaient des économies (c'était
le bien petit nombre) les donnèrent pour acheter d'autres outils ;
ceux qui n'avaient rien vendirent leurs pauvres bijoux, leurs
meubles, leur linge même. Tout cela mis ensemble, ils se trouvèrent
à la tête d'une somme de 230 francs. Ce n'était point assez. Il
fallut prélever des souscriptions hebdomadaires sur le salaire de
ceux qui travaillaient. Ceux qui n'étaient pas occupés mirent en
gage ce qui leur restait, jusqu'aux bagues de leurs femmes, pour
faire face à la contribution. Ils se passèrent de feu, malgré le
froid ; ils renoncèrent au vin, qui est la moitié du repas d'un
Français. Ils vécurent de pain sec en travaillant comme des nègres
et ils eurent même le courage de mettre leurs enfants à ce régime.
Enfin, sou par sou, de privation en privation, ils ramassèrent à
grand'peine un millier de francs pour acheter des matériaux et se
mettre à l'œuvre. Un marchand de bois leur fit crédit. Ils
travaillèrent deux mois sans toucher un liard de paye, firent un
piano, le vendirent, en commencèrent un second, puis deux, puis
quatre. Le 4 mai 1849, ils reçurent leur premier argent, et, toutes
dettes soldées, il revint à chaque membre 6 fr. 60 c. Sur cette
somme, on réserva 5 francs à titre de salaire, et on convint de
consacrer le surplus à un banquet frugal où les quatorze associés se
réunirent avec leurs femmes et leurs familles pour célébrer leur
première victoire. Pendant un long mois encore, le salaire ne
s'éleva pas au delà de 5 francs par semaine et par tête. En juin, un
boulanger offrit d'acheter un piano payable en pain, et on convint
d'un prix de 480 francs. La valeur de ce pain ne devait point être
défalquée sur le montant du salaire; chacun était autorisé à en
manger à sa faim et à en emporter pour sa femme et ses enfants.
Cependant la supériorité de leur fabrication attirait des acheteurs.
En août, le salaire hebdomadaire monta à 10 francs, à 12 fr. 50 c.,
à 20 francs; encore ne fut-il jamais payé au complet. Chaque samedi
on prélevait sur la recette la somme nécessaire à l'acquisition des
matières premières. Les ouvriers recevaient un dividende sur le
reliquat et un bon pour le surplus. A la fin de 1850, ils étaient
trente-deux associés, à la tête d'un fonds de marchandises de 40,000
francs, dans un atelier qui leur coûtait 2,000 francs de louer par
an. En 1852, ils se divisèrent en deux associations, dont l'une
subsiste encore. Nous l'avons visitée en 1863. Elle est établie dans
une vaste usine qui lui appartient en propre, qui marche à la vapeur
et qui est pourvue de l'outillage le plus perfectionné. Autant que
nous sommes capable d'en juger, les pianos étaient de bonne qualité,
sonores, de bonne mine et d'un prix modéré. Le capital de
l'association s'est accru, par l'accumulation des bénéfices, jusqu'à
163,000 francs, et elle a fait, en 1862, pour 205,000 francs
d'affaires. Elle compte à l'heure qu'il est trente-trois membres
associés, et emploie, en outre, douze ouvriers ordinaires. [...]"
Revue
britannique: Choix d'articles traduits des meilleurs écrits ...,
Volume 1, 1864, p. 318
"Ainsi, la société des facteurs de pianos, qui, après s'être vu
refuser les secours qu'elle demandait à l'état, a dû passer par une
série d'épreuves héroïquement supportées, se composait, en 1863, de trente-deux membres, possédait un capital de 103,000 fr., et avait
fait, en 1862, pour 205,000 fr. d'affaires."
Étude sur les
associations coopératives: précédée d'une dissertation sur les ...,
Félix Du Boys, 1866, p. 65
DES
FACTEURS DE PIANOS ET ORGUES
(*1868)
SOCIÉTÉ DES FACTEURS DE PIANOS
(z1900)
SOCIÉTÉ
DES PIANOS FRANÇAIS
ou
ASSOCIATION OUVRIÈRE
(xx1890)(**1898)(1899)(z1902)(**1904)(x1906)(x1912)(**1914)
'Facteurs de pianos' (xx1890)
"Société des fact.
de pian. de Paris, [expo] Londres, pian. perfect. et de t. g., prop. à exp.;
solid., élégan., prix mod.; loc., éch.; ateliers et magas., comm., export.,
faub.-St-Denis, 162." Almanach-Bottin du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales villes du monde, 1854, p. 867-868 (gallica.bnf.fr)
"ASSOCIATION
- Marque de fabrique. Société des Pianos Français. - PIANOS OBLIQUES grands
formats fabriqués par les meilleurs ouvriers Pianistes de Paris sortant delà
grande facture el travaillant pour leur compte. — Pas de frais généraux, 400
francs, meilleur marché que tous les autres fabricants. — PROPRIÉTÉ
exclusive du PIANO EXTRA RICHE très grand format avec grandes cordes
obliques CROISÉES ayant la puissance de sonorité du piano à queue et défiant
toute la facture, sans aucune exception, tant par sa qualité tout à fait
exceptionnelle que par son prix qui est au moins 1500 francs meilleur marché
que ceux des autres grands {acteurs. — Ateliers modèles les plus grands de
Paris. Succès sans précécédent. — Tarif réduit avec gravure envoyé franco."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la
magistrature et de l'administration, 1898,
p. 2147 (gallica.bnf.fr)
"ASSOCIATION -
(26e année). Marque de fabrique. Société des Pianos Français. Pianos
Obliques fabriqués par les meilleurs ouvriers de Paris, 400 fr., meilleur
marché que tous les autres facteurs. Tarif et gravures envoyés franco. E.
BOURLON, blv. Richard Lenoir, 117."
Paris-adresses : annuaire général de l'industrie et du commerce : corps
constitués, administrations, professions libérales, propriétaires, rentiers,
etc... de Paris et du département de la Seine, 01/01/1907, p. 1666
(gallica.bnf.fr) - Voir
BOURLON
|
Médaille d'or, Louisiane (État du Sud
des États-Unis), 1904
|
WEINGARTNER
Jacques (Jacob)
| WEINGAERTNER
(1819 - 1903)
Paris-adresses
: annuaire général de l'industrie et du commerce, 1900, p. 1308 (gallica.bnf.fr)
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des
départements et des pays étrangers, 1901, p. 2310 (gallica.bnf.fr)
Pub 1911
Probablement il était
Eugène Weingartner devant la vitrine de sa succersale, 96, boulevard Saint-Germain |
1849 |
"WEINGARTNER,
fabricant de pianos, excellent mécanisme. - Solidité. - Prix moderés. - A
Paris, rue de la chaussée-d'Antin, 30 - EXPORTATION."
Le Luth
français. Journal de la facture instrumentale, 1856, p. 8 (gallica.bnf.fr)
"Weingatner
[sic], fact. et accordeur de pianos, fab. très-soignée, Buffaut, 9."
Almanach des 40,000 adresses des fabricants de
Paris et du département : contenant les noms et domiciles des principaux
fabricants, 1873, p. 206 (gallica.bnf.fr)
"WEINGARTNER Maison fondée en 1849. MÉDAILLE D'OR HANOÏ - Successeur de PAPE
ET DELOUCHE ET DE BONNARDEL. ACHAT, VENTE, LOCATION de pianos neufs et
d'occasion ERARD, PLEYEL, etc., droits et à queue. Facilités de paiement;
Pianos mécaniques et électriques d'occasion, - r. Drouot, 7. Téléph.
254.26. Succles. : boul. St-Germain, 96, et boul. Saint-Michel, 1. Téléph.
823.41. COMMISSION. EXPORTATION."
Annuaire-almanach
du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration,
1907, p. 2496 (gallica.bnf.fr)
"WEINGARTNER, 7, r. Drouot,
Paris, 9°. T. Centr. 54,-26 et Gob. 23-41. Succ. : 96, bd St-Germain (en
face le square Cluny). Manufacture de pianos. (17-16068)." Annuaire
industriel. Répertoire général de la production française, 1925
LILLE -
"36. - Weingartner (Eugène-Théodore),
rue Drouot, 7, Paris. Piano droit." p. 219 et
"36. - Weingartner (Eugène-Théodore), rue Drouot, 7, Paris. 2 pianos droits
avec additions nouvelles." p. 220 - dans
Exposition de Lille 1902, dans le Palais des Arts Libéraux
HANOI -
"WEINGARTNER (Eug.), à Paris,
rue Drouot, 7, et boulevard Saint-Michel, 1. Facteur de pianos. Piano à
cordes croisées. Cadre metallique."
L'Exposition de Hanoi, 05/11/1902, p. 5 (gallica.bnf.fr)
PUB
Paris-adresses : annuaire général de l'industrie et du commerce : corps
constitués, administrations, professions libérales, propriétaires,
rentiers, etc... de Paris et du département de la Seine, 01/01/1931,
p. 1967 (gallica.bnf.fr)
|
Paris |
38, rue Taitbout (*1850)(*1851)(yy1851)(**1852) (**1854)(arr.9)
30,
rue de la Chausée d'Antin (yy1855)(z1855)(***1856)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(***1863)(**1864)(arr.9)
9, rue de Buffault
(1867)(**1870)(**1871)(**1873)(x1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(arr.9)
7, rue Drouot
(**1898)(z1900)(z1902)(*1903)(**1904)(x1906)(**1907)(*1909)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1914)(yy1914)(**1921)
(*1922)(x1922)(**1925)(x1926) (*1929)(z1931)(arr.9)
Succursale :
1, boulevard Saint-Michel (**1888)(y1889)(xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(**1898)(z1900)(z1902)(*1905)(x1906)(*1907)(**1907)(*1909)(*1910)(arr.5)
Succursale : 96, boulevard Saint-Germain
(en face le square Cluny)(x1906)(**1907)(**1911)(**1912)(**1914)(yy1914)(**1925)(arr.6)
86, boulevard
Saint-Germain
(**1921)(x1926)(arr.6) |
|
'Facteur de pianos'
droits et pianos à queue ca. 1850-1929
[depuis 1849 (z1900)(z1902)]
'Weingartner, facteur et accordeur de pianos,
Chaussée-d'Antin, 30.' (*1859)
Il est né le 29 avril 1819, à Duisdorf près
de Bonn en Allemagne. Il
meurt à Paris 5e, le 29 juin 1903.
WEINGARTNER
Jacques
(Jacob)
dès 1849 (yy1855)
WEINGARTNER
& Cie (*1851)(**1852)(xxxx1855)
Sa fille Henriette Césarine
WEINGARTNER était mariée avec
Pierre Joseph
Léonard LABROUSSE qui fondait sa maison en 1876. (¹⁴)
WEINGARTNER
& Fils,
dès 1887 au moins jusqu'en 1910;
(y1889)(xx1890)(x1906)
1887 -
"Paris. — Formation de la Société en nom collectif WEINGARTNER et fils (achat,
vente et location de pianos), boul. St-Michel, 1. Durée : 10 ans du 1er
nov.1887. Cap. : 68,000 fr.— Acte du 16 nov. 1887."
Archives
commerciales de la France. 10/12/1887, p. 1538 (gallica.bnf.fr)
'Pianofabrikant' (xx1890)
1890 - "1211° WEINGARTNER
(Eugène-Théodore), facteur de pianos, né le 26 août 1864 de père étranger et
de mère d'origine française, à Paris, y demeurant, 1, boulevard
Saint-Michel.
Déclaration souscrite le 4 novembre 1890, en vertu de l'article 10 du Code
civil, devant le juge de paix du Ve arrondissement de Paris."
Bulletin
officiel du Ministère de la Justice, 1890, p. 552 (gallica.bnf.fr)
1898 -
"Vendeur : Imbert (Dme)
Acquéreur : Weingartner - Domicile élu pour les oppositions : 86, b. St.
Michel - Entrée en jouissance : 4 avril - Fonds vendu : couronnes, 86, b.
St.-Michel."
Archives
commerciales de la France. 30/03/1898, p. 389 (gallica.bnf.fr)
1898 -
"AVAERT (V.), directeur de la
manufacture de pianos Weingartner, 14, rue Notre Dame-de-Lorette."
Revue
mensuelle - Touring-club de France, 15/08/1898, p. 313 (gallica.bnf.fr)
1904 -
"Vendeur : Crinon - Acquéreur :
Weingartner - Domicile élu pour les oppositions : 7, rue Drouot - Entrée en
jouissance : de suite - Fonds vendu : Location de pianos, 4, Drouot."
Archives
commerciales de la France. 16/01/1904, p. 60 (gallica.bnf.fr)
'Pianohandlung' (x1906)(x1912)
------- 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926)
WEINGARTNER
E[ugène Théodore] (1864 -
1920),
fils et successeur avant (z1900)(x1912)(*1913)(**1921)(x1926)
Successeur de
BONNARDEL
(x1906)(**1907)(x1912)
Successeur de
PAPE & DELOUCHE
(°1851);
(x1906)(**1907)(x1912)
La femme d'Eugène Théodore
WEINGARTNER, Anna BASTE,
était probablement son successeur après sa mort en 1920. Et elle est morte
le 30 septembre 1946 à Paris 14e. Le beau-frère d'Anna BASTE était aussi facteur
de pianos : voir
VINCENT
Georges
(°1902)(¹⁴)
WEINGARTNER Eugène
1930 -
WEINGARTNER Vve. vends le fonds de commerce (en
association dès 1923) de 7, rue Drouot à
Gabriel GAVEAU
(°1911),
Recueil de droit commercial et de droit social : droit
commercial, droit bancaire, propriété industrielle, droit ouvrier,
assurances sociales, 1931, p. 133-134 (gallica.bnf.fr)
Les pianos avec la signature
WEINGARTNER
sont dans une période faits par des facteurs différents:
MUSSARD
(°1822)
|
KRIEGELSTEIN
(°1831)
|
KLEIN
(°1791)
|
SCHINDLER
(°1884)
|
Liste des exposants Lille, 1902
|
Liste des exposants Hanoi, 1902 | Grand prix Luisiane, 1904
|
YOT
Christophe Eugène
|
1849 |
'YOT E., SCHRECK Ph., & Cie - Association Ouvrière'
Succursale : Mulhouse (chez : E. HEIDET LUGINO &
Cie)(?)
Brevet de 1855 : "MM. Yot, Schreck et comp., à Paris; barrage-archet faisant
fonction de tirant. (14 fév.—15 ans.)"
Bulletin de la
Société d'encouragement pour l'industrie nationale, Volume 55, 1856, p.
554
PARIS - "M. YOT SCHRECK. - Les instruments
exposés par cette société d'ouvriers facteurs, réunis sous la direction de
M. Yot Schreck, sont de bons instruments, bien construits, et qui me
paraissent d'une sonorité satisfaisante et d'une bonne solidité. Cette
société livre de bons pianos, à un prix fort raisonnable, et accessible à
tout le monde.
Le travail de cette société a été apprécié par le jury qui lui a accordé,
comme marque d'intérêt, une Mention Honorable."
La musique à l'Exposition universelle de 1867,
Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant,
p. 176
LYON -
"Diplôme de médaille d'or. Association des facteurs d'instruments de
musique, MM. François, L. Maître et Cie, Paris."
Bulletin
Officiel de l'Exposition de 1894, Lyon, 1894, p. 3
1859 -
"Un incendie s'est manifesté, avant-hier, à neuf heures du matin,
rapporte le Droit, dans une manufacture de pianos, rue des Poissonniers,
64, à la Chapelle-Saint-Denis. Le feu a pris dans un atelier, situé au
troisième étage. On a lieu de penser qu'une allumette chimique, jetée la
veille dans un tas de sciure et de copeaux placé autour du pied d'un
poteau, s'est enflammée fortuitement et a déterminé l'incendie. Ce
poteau, soutenant une solive qui conselidait l'étage supérieur, a été
détruit ainsi qu'une grande partie du parquet.
Grâce au concours empressé et immédiat des ouvriers, des habitants du
voisinage, des sapeurs-pompiers et de la gendarmerie, la manufacture a
pu être préservée de sa ruine; elle est assurée pour une somme de
165,800 fr."
La Presse, 26/07/1859, p. 3 (gallica.bnf.fr)
"Yot, Schreck et Cie, Société des fabriques de Pianos de Paris, r. 3
des Poissonniers, 66, à la Chapelle-St-Denis; magasins, place de la
Bourse, 15." Annuaire
et almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et
de l ..., 1859
"YOT,
SCHRECK et Cie, société des facteurs de pianos de Paris, M. H. Londres et
Paris; fab. rue des Poissonniers, 64, à La Chapelle-St-Denis, ci-dev. r. du
Faub.-St-Denis, 162; magasins, pl. de la Bourse, 15; prix de fabrique."
Almanach
des 40,000 adresses des fabricants de Paris et du département : contenant
les noms et domiciles des principaux fabricants, 1864, p. 265 (gallica.bnf.fr) |
Paris |
42, rue des
Tournelles (**1849)(arr.4)
38, rue de Tourville
(1851)(¹⁰)(arr.7)
99, rue du faubourg
Saint-Martin (1852)(¹⁰)(arr.10)
162,
rue
du Faubourg Saint-Denis (yy1853)(*1855)(z1855) (**1856)(xx1856)(xx1857)(xx1858)(yy1864)(arr.10)
122, rue du
faubourg Saint-Martin (1855)(arr.10)
62, rue des Poissonniers, (xx1859)(xx1860)(xx1861)(arr.18)
64,
rue des Poissonniers [à la Chapelle Saint-Denis] (y1859)(yy1864)(arr.18)
66, rue des Poissonniers [Chapelle], (**1864)(*1867)(arr.18)
54, rue des Poissonniers [Chapelle], (*1876)(arr.18)
34, rue des Poissonniers
[Chapelle], (18??)(arr.18)
A la Chapelle St. Denis
Magasins : 13, Place de la Bourse (?)(arr.2)
15, Place de la Bourse(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(***1863)(yy1864)
(arr.2) |
|
'Facteur de pianos' droits ca. 1849-76
Membre d'
ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris
(°1849)
- voir
'Manuel du Spéculateur à la bourse, 1855, p. 363-364
YOT
Eugène (**1849)
"Il est
assez rare qu’une association ouvrière ait une existence durable, la 'Société
des facteurs de pianos' fondée en 1849 s’est cependant maintenue 50 ans.
En 1867, sous la raison sociale
YOT, SCHRECK et Cie,
elle obtint une mention honorable; vers 1870, M.
HANEL
(°1870),
remplaça M.
SCHRECK
(et vers 1873 M.
ANSEL
remplaca M.
YOT)
et aux expositions de 1878 et 1889, il représenta l’association avec M.
BÉNARD
(méd. de bronze). Leurs instruments sont bons et de prix raisonnables."
Les
facteurs d'instruments de musique : les luthiers et la facture instrumentale
: précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893
(ajusté)
1851 -
"YOT Christophe Eugène,
Facteur de pianos, rue de Tourville, n° 38. Cité comme parrain d'un fils de
SCHRECK Philippe, facteur de pianos et de GUILLON Joséphine Désirée, le
04/04/1851, paroisse Saint Vincent de Paul. Source : AP/D6j/3796/JOLY
Patrick."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
Brevet d'invention, 1855
NORQUIN,
YOT & Cie (yy1851)(yy1853)(xx1854) -
Voir
NORQUIN
1853 -
"Etude de M. BEAUVOIS, agréé,
sise à Paris, rue Notre-Dame-des-Victoires, 32. D'une délibération de
l'assemblée générale des actionnaires de la société YOT, SCHRECK et Cie,
connue sous la dénomination de Société des facteurs de Pianos de Paris dont
le siège est à Paris, rue du Faubourg-Saint-Denis, 162, en date du premier
octobre mil huit cent cinquante-trois, enregistrée le huit dudit, par
Pommey, qui a reçu cinq francs cinquante centimes pour les droits, Il appert
: Que les sieurs Paul-Jules PIRON, demeurant à Paris, rue de
Grenelle-Saint-Honoré, 23, Antoine-Joseph GRETEN, demeurant à Paris, rue
Popincourt, 52, et Pierre BAILLET, demeurant à La Chapelle-Saint-Denis, rue
Constantine, 20, Tous trois facteurs de pianos, ont été reçus et sont
devenus associés en nom collectif de ladite société, et que le sieur
François REITTER en est le nouveau gérant. Pour extrait : BEAUVOIS. (7721) "
Gazette des Tribunaux, 10/10/1853, p. 4 (data.decalog.net) - Voir aussi
BAILLET,
PIRON,
GRETEN et
REITTER
YOT E., SCHRECK Ph.,
& Cie - Association Ouvrière
dès 1851 (yy1851)(1855)(X1857)(xx1857)(1859)(**1864)
YOT, HANEL
& Cie
(°1870),
successeurs
HANEL, ANSEL &
Cie
(°1873),
successeurs.
HANEL, BENARD
& Cie
(°1885), successeurs.
Et puis repris vers 1897 par
BENARD CHAMP & Cie,
et puis par
CHAMP & Cie
(°1899), puis par
CHAMP-RAMEAU
(°1905).
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Liste des exposants 1851, Londres
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Mention honorable Paris, 1855 | Mention honorable Paris, 1867 | Médaille de bronze
Paris,
1878
| Médaille de bronze Paris, 1889
|
1849 |
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"Parlez-nous donc de la
spécialité qui peut et qui doit s'impatroniser en tout; par exemple, ne
serait-il pas bon que M. Erard, qui a porté les grands pianos à queue au
plus haut point de sonorité, de solidité et de docilité, ne fît que des
pianos à queue, et qu'il renvoyât à Roller
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et Blanchet tous ceux qui lui demandent
des pianos droits, dont ils ont fait leur spécialité depuis longtemps, et
que ceux-ci renvoyassent à Pleyel pour les pianos carrés, et à Pape pour les
pianos consoles, tables, buffets, ou pour les pianos à huit octaves, etc."
La Presse, 29/08/1849, p. 3
(gallica.bnf.fr) |
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Volume, 1834
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les arts et les manufactures, tant en France que dans les pays étrangers
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général des commerçans de Paris et des départemens : contenant plus de
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