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Facteurs de pianos en France
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SAAL  

'Facteur de pianos' ca. 1850

Époux de LEURET (1850)(¹⁰)

Il y avait un ouvrier-caissier chez PLEYEL avec le nom SAAL vers 1849. (²⁰)

 

16, rue du Bouloi (1850)(¹⁰)(arr.1), Paris

Mazevill (1850)(¹⁰)

S. Nicolas

(1852 - 1882)

 

"Hier soir, à sept heures, M. Nicolas S. âgé de 30 ans environ, facteur de pianos, demeurant impasse des Couronnes, a été frappé, rue des Panoyaux, d'un coup de couteau à l'épaule droite par sa maîtresse, à la suite d'une vive discussion. S. blessé, s'est réfugié chez une amie de sa maîtresse, une dame T. lingère, rue des Panoyaux. (la suite )

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1852


(la suite)

Là, il est mort au bout de quelques minutes, d'une hémorragie interne. Virginie V. âgée de 27 ans, ouvrière boutonnière, demeurant rue du Faubourg-du-Temple, auteur de ce meurtre, a été arrêtée, ainsi que la dame T." Le Petit Parisien, 01/09/1882, p. 3 (gallica.bnf.fr)

 

Impasse des Couronnes (1882)(arr.20), Paris
SABATIER 'Facteur de pianos' ca. 18??  

rue Rochechouart (?)(¹⁴)(arr.9), Paris

 

SABOURAIN l'Abbé J.  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1894-1921 [depuis 1898 (*1913)(**1921)]

 

31, rue Grande (*1913)(**1921), Saint-Gaultier
SAEN L.  

Facteur et/ou marchand de pianos automatiques et orchestrions ca. 1921-26

'Handlung mit autom. Pianos' (x1926)

 

5, rue Bastion-National (**1921)(x1926), Dunkerque
SAFFROY Ernest  

"ATELIER SPÉCIAL - DE RÉPARATIONS POUR PIANOS de toutes Marques - Vente, Achat, Echange, Musique, Lutherie - ERNEST SAFFROY - OUVRIER FACTEUR - Premier Prix d'Accord de la Ville de Paris 18, Rue Lécluse, 18 (Près la Place Clichy) PARIS." Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1907 (gallica.bnf.fr)

 

Marchand, accordeur et réparateur de pianos ca. 1907-10 18, rue Lécluse (*1907)(arr.17), 122, rue du Chemin Vert (*1909)(*1910)(arr.11), Paris
SAGNARD

'Facteur de pianos' et lutherie ca. 1913-31

'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926) ------- 'Marchand de pianos' (z1931)

93, rue de Seine (*1913)(**1914)(x1922)(arr.6), 32, avenue de La Motte-Piquet (**1921)(z1931)(arr.15), Paris
SABOURAIN l'Abbé J.  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1894-1921 [depuis 1898 (*1913)(**1921)]

 

31, rue Grande (*1913)(**1921), Saint-Gaultier
SAILLER  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890; (xx1890)

'Pianohandlung' (xx1890)

 

Gien
SAINT-AUBIN G.  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1913-26 [depuis 1897 (*1913)(**1921)(x1926)]

SAINT-AUBIN F. (**1921)

SAINT-AUBIN F. G. (x1926)

 

5, rue Jean-Burguet (*1913)(*1915)(*1920)(**1921), 24, rue Cadroin (x1926), Bordeaux
SAINT-AVID  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926 [depuis 1921 (x1926)]

'Piano-, Musikinstr.- u. Sprechm.-Handlung' (x1926)

 

75, rue Fontindelle (x1926), Nérac
SAINT-GUIRONS B.  

 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1912-2[depuis 1896 (x1912)(**1921) ou depuis 1922 (x1926)]

'Händler mit Musikal., Pianos, u. Musikinstr.' (x1912) ------- 'Musikal.-, Piano-, Musikinstr.- u. Sprechm.-Handlung' (x1926)

SAINT-GUIRONS Raymond Fils (x1926), dès 1922

78, rue Gambetta (x1912)(**1921)(x1926), Mont-de-Marsan
SAINT-JEAN Mme. Charles de  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1921-26 [depuis 1884 (**1921)(x1926)]

Successeur de MEYER à St. Amand-les-Eaux ?

'Musikal.- u. Pianohandlung' (x1926)

 

20, rue du Docteur-Davaine (**1921)(x1926), St. Amand-les-Eaux
SAINTIS & Cie  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890-1906; (xx1890)(x1906)

'Musikal.- u. Pianohandlung' (xx1890) ------- 'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung u. Reparatur-Werkstatt' (x1906)

 

Montauban
SAINT-JULIEN C. F.
| JULIEN C. F. S.

 

Deux pianos carrés de 1825, n° 139, mentionné dans les archives de vente de PLEYEL de 1831, p. 76-77

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1825-27

"Saint-Julien (C.-F.), meubles, pianos, S.-Honoré, 314." Almanach du commerce de Paris, 01/01/1827, p. 283 (gallica.bnf.fr)

"Saint-Julien (C.-F.), fournit aux artistes de l'Opéra et du conservatoire, r. S.-Honoré, 314." Almanach du commerce de Paris, 1827, p. 133 (gallica.bnf.fr)

 

314, rue Saint-Honoré (x1827)(arr.1), Paris
SAINT-MARC E. C.  

'Facteur de pianos' et éditeur de musique ca. 1890-1913 [depuis 1878 (*1913)]

'Pianomacher u. Stimmer' (xx1890)

Repris par SCHLEIDEN P. (voir sur cette page, ci-dessus) dès 1899 :

1899 - "Maisons qui [...] se changent de propriétaire [...] Adresse : 24, Grand-Fossés - Nom : Schleiden - Profession : Pianos - Prédécesseur : Dme St. Marc."Archives commerciales de la France. Journal hebdomadaire, 29/07/1899, p. 963 (gallica.bnf.fr)

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung u. Reparatur-Werkstatt' (x1906)

 

 

11, rue Ferrère (xx1890), 24, rue des Grands Fossés (x1906)(*1913), Tarbes

 

SAINT-OUEN  

'Facteur de pianos' ca. 1863

1863 - "Publications de mariages. Du 4 au 11 octobre. [...] 6° arrondissement (Passy).- Entre : M. Saint-Ouen, facteur de pianos, rue de Chaillot, 49, et Mlle Saint-Ouen, même maison." La Presse, 16/10/1863, p. 3 (gallica.bnf.fr)

 

49, rue de Chaillot (*1863)(arr.16), Paris
SALAUN
| SALAÜN
 

'Facteur de pianos' ca. 1858

Époux de RENAUDIN Louise Hélouise, couturière (¹⁰) et La Presse, 11/10/1858, p. 3 (gallica.bnf.fr)

"SALAUN Jean Marie, Facteur de pianos, faubourg Saint Honoré, n° 88. Époux de RENAUDIN Louise Héloïse. Cité lors du mariage dudit, le 23/10/1858, paroisse Sainte Madeleine. Autres : LEVEQUE Jean Louis, facteur en pianos, petite rue, n° 16 à Reuilly. Source : DQ7/3723/Acte 465." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois » - Voir LEVEQUE (°1855)

Il y avait un 'SALOUN' comme 'finissseur' chez PLEYEL ca. 1858. (²⁰)

 

88 [ou 38], rue du faubourg Saint-Honoré (x1858)(¹⁰)(arr.8), Paris
SALAUN, SCHWAB & Cie Association ouvrière  

"Association générale des ouvriers | Facteurs de pianos et orgues | Fournisseurs brevetés de S. M. l'Empéreur | Expos. Univ. de 1867 | Mention honorable | SALAÜN, SCHAB & Cie | 38, Rue des Ecluses St. Martin, 8, Passage Feuillet | Paris."

PARIS - "MM. SALACH [sic] et SCHWAB. - Cette société, composée d'ouvriers facteurs, construit des pianos et des harmoniums. Ces instruments sont bien faits; mais on peut reprocher aux pianos la faiblesse des sons, et, dans les harmoniums, des timbres qui sont d'une pureté douteuse. Ces défauts, qui proviennent peut-être de la manutention qu'ont éprouvée ces instruments, sont faciles à faire disparaître. La société produit néanmoins de bons instruments, et le jury lui a accordé une Mention Honorable." La musique à l'Exposition universelle de 1867, Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant, p. 172

 

 

'Facteurs de pianos' droits, et facteur et/ou marchand de orgues et harmoniums ca. 1867-68

Probablement élève de HERZ Neveu & Cie (°1863)

1862 - "Atelier de MM. Herzeneuven [Herz Neuveu] et Cie, rue des Poissonniers, 20. - MM. Henri Philippe, L. Vivier, Burdin, Ch. Knust fils, Salaun, Legrand, Beaugeard." Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862, p. 54 (gallica.bnf.fr)

Membre d' ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris (°1849)

Faillite en 15 décembre 1868. (¹¹)


(la suite)

LE HAVRE - "2457. SALAUM, SCHWAB et Cie.— Piano et orgue, rue des Écluses-Saint-Martin, à Paris." Exposition maritime internationale, Le Havre, Seine-Maritime, 1868, p. 309 (gallica.bnf.fr)

Mention honorable Paris, 1867 | Liste des exposants Le Havre, 1868

 

38, rue des Ecluses-Saint-Martin (*1867)(arr.10), 8, passage Feuillet (1868)(arr.10), Paris
SALF  

Facteur et/ou marchand de pianos et luthier ca. 1875-1912

SALF (xx1890), 'Musikal.-, Piano- u. Instrumenten-Händler'

SALF Vve. (*1905)

SALF (x1906)(x1912)

'Geigenbauer, Musikal.-, Piano- u. Instrumenten-Händler' (x1906) ------- 'Geigenbauer u. Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.' (x1912)

SALF Fils (*1909)

 

32, rue d'Alger (*1875)(*1876)(xx1890), 22bis, rue d'Alger (*1898)(*1905)(x1906)(x1912), quai de Cronstadt (*1909), Toulon
SALIÈRE-VAUDOIS Georges  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906-12 [depuis 1897 (x1912)]; (x1906)

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906) ------- 'Musikal.-, Piano-, Harmonium-, Musikw. u. Musikinstr.-Handlung' (x1912)

 

21, rue de l'Abbé Henrion (x1912), Longwy-Bas
SALINS Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1871-73 106, rue du faubourg Saint-Honoré (**1871)(**1873)(arr.8), Paris
SALLANDRE A. Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1913-26 [depuis 1912 (*1913)(**1921)(x1926)]

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926)

3, boulevard Charles-Gay (*1913)(**1921)(x1926), Melun
SALLES Jean Bernard, Aîné  

'Facteur de pianos' ca. 1849-52

SALLES Jean Bernard (1849)(1852)(¹⁰)

Membre d' ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris (°1849)

46, rue neuves Sainte Catherine (*1849)(arr.9), 10, rue Albony (1852)(¹⁰)(arr.10),  Paris
SALLES Aimé-Catherine, Jeune  

'Facteur de pianos' ca. 1849

SALLES Aimé-Catherine (1849)

Membre d' ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris (°1849)

 

1, Place Jessaint (*1849)(arr.18), Lachapelle, Paris
SALMON  

"M. SALMON, Luthier et Facteur d' instrumens, qui passait par Orléans pour se rendre à Paris a l' honneur de donner avis que pour reconnaître l'accueil favorable qu' il a réçu de MM. les amateu;s et Artistes les plus distingués de cette ville, il s' est décidé à y prendre son domicile et à y exercer son art. Il se charge de réparer toute espèce d'intrumens à cordes, comme violons, basses, guittares, harpes et pianos qu' il remet à 5 octaves et ½, et 6 octaves, avec table d' harmonie dans toute la longueur sans déranger le coffre de l' instrument. Il leur rend à tous la qualité originaire de leurs sons brillans, sonores et pleins.M. Salmon, qui travaille depuis trois mois à Orléans, n' a pas voulu donner le présent avis avant que de pouvoir mettre à même de juger de son talent les personnes qui l'honoreront de leur confiance. Il les prie de prendre des informations sur ses ouvrages, et de les voir eux mêmes chez plusieurs amateurs et professeurs de cette ville, et principalement chez Mme de Guercheville, Mme d 'Oberlin, Mlle Cécile, M. Darotte, M. Boudot, M. Demadière, M. de Gargilesse, M. Pillon, M. Hutlin, M. Martinet, M. Lottin, M. Bordereau, M. Menonville, M. Larousse, etc., etc.

 

'Luthier et Facteur d' instrumens' ca. 1822

Tous les ouvrages que M. Salmon entreprend sont garantis par lui, et faits à un prix très-raisonnable. Il est inventeur d'un nouvel instrument qu' il soumettra au jugement et à l' approbation des amateurs, des artistes, et du Conservatoire de Paris, d'ici à quelques mois ; Il accorde les pianos et croit pouvoir assurer la justesse de sa partition. Il demeure provisoirement à Orléans, chez M. Fontaine, traiteur, rue Royale, n.° 55, au premier. On entre par la première porte à gauche dans la petite rue." Journal Général du Département du Loiret, 08/06/1822, p. 4 (Aurelia.Orleans.fr)

55, rue Royale (***1822), Orléans

Paris

SALMON Pierre Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1922-27 7, rue Gambetta (**1922)(*1927), Nancy
SALZEDO René  

"René SALZÉDO - VENTE, ACCORDS ET RÉPARATIONS DE PIANOS - Elève de L. Blitz, ex-chef de la Maison Gaveau - 10, Place Clichy, PARIS (9°)." L'Univers israélite, 16/04/1926, p. 30 (gallica.bnf.fr)

 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1925-26

Voir Léon BLITZ (°1900) et GAVEAU (°1847)

10, place Clichy (*1925)(*1926), Paris
SAMIN G. Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926)

27, rue de Mons (x1926), Avesnes sur Helpe
 

SANGESOET Jean Baptiste

 

'Fabricant de pianos' ca. 1850; (¹⁰) Montmartre, Paris
SANGUINEDE Pierre & Capt  

PARIS - "1684. Sanguinède et Compagnie, fabricant de cordes de pianos, rue du Sentier, 26, à Paris. Les cordes Sanguinède ont apporté une immense amélioration dans la facture des pianos. Elles possèdent trois avantages importants : confectionnées en acier trempé, elles ne sont soumises qu'imperceptiblement à la dilatation occasionée par les changements de température, d'où il suit qu'elles tiennent l'accord pour ainsi dire immuable. Du moment où elles ne s'allongent pas, elles ne sont pas soumises à un remontage continuel et par conséquent ne peuvent casser. Mais leur qualité la plus justement appréciée est la pureté des sons qu'elles produisent, et qui doit nécessairement les faire préférer aux cordes de Berlin ou d'Angleterre. Le public peut, du reste, établir la comparaison, car plusieurs des pianos admis à l'exposition sont pourvus des cordes Sanguinède." Catalogue explicatif et raisonné des produits admis à l'exposition quinquennale de 1844, p. 209 (gallica.bnf.fr)

"L'Invention des cordes de M. Sanguinède est un progrès incontestable et d'une importance réelle pour le piano. Avec ces cordes, les tons du piano sont d'une pureté parfaite les vibrations plus prolongées, et elles Donnent l'accord malgré les changemens de température. Ces cordes résistent a l'exécution la plus vigoureuse. Déjà plusieurs de nos grands planistes las ont adoptées pour leurs pianos, et les principaux facteurs la emploient par leurs Instrumens de prédilection." La France Musicale, 07/01/1844, p. 31 (gallica.bnf.fr)

"Sous le n° 1684 MM. Sanguinede exposent des cordes métalliques pour les pianos. On sait que cet instrument est monté de cordes d' acier pour tous les tous élevés et moyens et de cordes de laiton pour les octaves basses. Presque toutes les cordes des anciens pianos sortaient autrefois de Nuremberg, plus tard les fabriques de Berlin obtinrent la préférence.  M. Pape, en 1826, pensa pouvoir obtenir une augmentation de sonorité en employant au lieu de fer de l'acier; mais l'acier fin, ayant l'inconvénient d'être trop sec, il faillait détremper les bouts pour faire la boucle. Le manque d'égalité dans la trempe lui fit abandonner cette fabrication.  Les Anglais vinrent ensuite s'imposer à nos facteurs en leurs présentant des cordes d'acier auquel ils parvinrent a donner la dureté convenable tout en lui conservant du moelleux et de la flexibilité. Il y a cinq ans on fit de nouveaux essais sur les cordes d'acier trempe, mais le procédé pour faire la boucle et le recuit étant inconnu, les facteurs reculeront devant l'emploi de ces cordes qui offraient tant de difficultés, MM. Sanguinede frères de Genève, ont repris et amélioré la confection de ces cordes d'acier trempé, et ils sont parvenus a faire la boucle avec facilité sans rien faire perdre à la corde de sa qualité sonore. Cette corde si douce au toucher, si belle a l'œil, demande un bien grand travail, car elle sort d'une barre de fer, elle est forgée, étirée, puis trempée, ensuite résulte au degré voulu c'est un véritable ressort. MM. Sauguinéde ont une grande chance de succès, en raison de la perfection qu'ils apportent dans la fabrication et dans la trempe de ces cordes. Leur qualité principale est une sonorité pure, claire, bleu vibrante; attaquées
légèrement par les marteaux, elles ont le son de l'harmonica. Beaucoup de facteurs en font usage, entre autres MM. Pape, Wolfel et Laurent, Kriegelstein, Hatzenbühler, etc., etc. Ces cordes possèdent encore d'autres avantages, elles sont moins impressionnables aux changemens de température, elles tiennent donc mieux l'accord, et étant par conséquent moins souvent tourmentées par l'accordeur, elles fatiguent et cassent peu. A l'exposition de l'industrie la différence entre les deux espèces de cordes est si grande que l'on peut facilement distinguer un instrument monté avec des cordes Sanguinede au milieu de tous ces pianos jouant ensemble. Nous croyons que l'usage de ces cordes sera bientôt général, et les nombres dépôts établis par Al M. Sanguinede permettent facilement dans toutes les provinces à tout artiste ou amateur de remplacer celles qui viendraient à rompre." La France Musicale, 1844 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1840 : "BREVET D'INVENTION DE DIX ANS en date du 2 juillet 1840, Aux sieurs Sanguinède et Capt, à Paris. Pour des cordes de piano en acier. Les cordes en acier trempé sont régulières dans toute leur longueur, mais varient de grosseur suivant leurs octaves. Pour les octaves d'en bas et pour les sons graves, ces cordes sont coniques et de différentes grosseurs. Suivant les tons et les sons que l'on veut obtenir, elles doivent être pour les tons graves plus ou moins coniques. Il en est de même pour les différentes longueurs des pianos, quelles que soient leurs formes. Après de longues recherches, nous sommes arrivés à un résultat tel, que les sons ont non-seulement plus d'harmonie et de pureté, mais encore plus d'âme. (voir la suite )

 

 

Facteur de pianos à cordes d'acier ca. 1840-49

1846 - "SANGUINEDE Pierre, Fabricant d'acier, boulevard Poissonnière, n°14. Cité le 23/08/1846, dans un acte notarié, comportant société, entre ledit et les actionnaires commanditaires, nommés dans l'acte, laquelle société de commerce existe entre Monsieur SANGUINEDE, seul gérant responsable et les commanditaires nommés dans l'acte. La société ayant pour but la fabrication des cordes métalliques en acier trempé, à l'usage des pianos, par lequel ledit a obtenu un brevet, le siège, étant à Paris, sous la raison SANGUINEDE et Compagnie, à partir du 20/03/1846. Source : D31u3-131/Pièce n° 635." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1847 - "SANGUINEDE Pierre, Fabricant d'acier poli, puis de cordes pour pianos boulevard Poissonnière, n° 14. Cité le 28/01/1847, dans un acte notarié comportant société entre ledit et les autres personnes qui y souscriraient. Société créée le 20/03/1846 pour l'exploitation des cordes métalliques pour pianos, en acier trempé par des procédés nouveaux, découverts par Monsieur SANGUINEDE. Source : D31u3-139/Pièce 241." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »


(la suite)

Pour obtenir ces résultats et avantages, rendre les cordes aussi moelleuses qu'il est nécessaire et pouvoir les accorder sans être sujet à les casser, nous employons une trempe qui ne laisse rien à désirer. Pour tremper douze cordes à la fois ayant chacune 20 mètres de longueur, nous employons
2 kilog. ½ de suif blanc,
1 kilog. ½ de suif de bœuf,
1 kilog. d'huile d'olive,
1 kilog. de cire jaune,
16 grammes de corne de cerf,
16 grammes de miel de Chamouny.
cordes d'acier dans du lait, n'importe la quantité, pourvu que l'acier soit entièrement couvert de ce liquide.
Ce lait doit être mêlé de poussière de charbon de bois. Après une heure d'ébullition, on retire les cordes d'acier pour les blanchir soit à la pierre ponce, soit à l'émeri. Après cette opération, et pour obtenir le revenu de la corde d'acier, nous avons un four ordinaire dans lequel nous obtenons la chaleur voulue pour les faire revenir, quelles que soient leur grosseur, leur forme et leur longueur. Les moyens que nous venons de tracer donnent à nos cordes toute la souplesse possible, et elles ne se cassent jamais. Ces cordes ont l'avantage de tenir leur accord pendant plusieurs années sans être obligé de les remettre d'accord." Description des machines et procédés consignés dans les brevets d'invention..., 1850, p. 141

Pour voir le brevet original
voyez le site INPI
(¹³)

"Sanguinède et Cie, assortiment de pianos en tous genres, montés avec les cordes Sanguinède, brevetées d'invention et de perfectionnement, boul. Poissonnière, 14." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1848, p. 513 (gallica.bnf.fr)

"Depuis quelques années, le mécanisme des pianos s'est de plus en p!us perfectionné; mais il manquait, pour faire valoir toute la bonté de leur jeu, le système de cordes que M. Sanguinède a découvert, et qui lui a mérité la médaille à l'exposition de 1844. C'est dans la maison dite du pont de fer (14, boulevard Poissonnière) que nous engageons les nombreux amateurs de l'instrument le plus à la mode aujourd'hui, il se rendre, pour se convaincre et juger de la puissance et de l'éclat de la monture à laquelle M. Sanguinède a donné son nom. L'instrument d'accompagnement par excellence, nous fait naturellement penser aux chanteurs, et, de même qu'il n'est rien de si désagréable qu'un clavier où quelques notes font défaut, de même aussi on ne saurait voir sans regret une belle bouche à laquelle il manque quelques dents." La Mode : revue des modes, galerie de moeurs, album des salons, 05/10/1846, p. 245 (gallica.bnf.fr)

Médaille de bronze Paris, 1844

 

Dépôt : 11, rue de Saintonge (1840)(¹³)(arr.3), 26, rue du Sentier (**1844)(arr.2), 7, boulevard Poissonnière (1844)(arr.9), 14, boulevard Poissonnière (**1847)(*1848)(1849)(arr.9), Paris

Fabrique : 12, rie Bertheller (1844), Genève

SANNIER

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1862-93

SANNIER L. (*1875)(*1876)

 

32, rue Royale (**1862), 34, rue Royale (x1863)(y1864), 5, rue de la Préfecture (*1875)(*1876), 8, rue Nicolas-Leblanc (*1893), Lille

 

SANSÈVE  

'Facteur de pianos à queue' ca. 1875-76;  (x1863)

 

place Bugeaud (*1875)(*1876), Périgueux
SANSFAUTE-BOURGAIN  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926 [depuis 1923 (x1926)]

'Musikal.-, Piano-, Musikinstr.- u. Sprechm.-Handlung' (x1926)

 

12, rue Saint-Aignan (x1926), Cosne
SAPÈTE L.
| SAPET
 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1921-26

'Pianos' (**1921) ------- 'Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926)

SAPET Jules (x1926)

 

 18, rue de la République (**1921)(x1926), Tournus
SARAUDY Jules  

Facteur et/ou marchand de pianos automatiques ca. 1913-26 [depuis 1912 (**1921) ou depuis 1898 (x1926)]

'Händler mit Pianos, Sprechm. u. -Platten' (x1926)

 

74[bis], avenue Garibaldi (**1921)(x1926), Limoges
SARI Thomas Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890-1906

'Musiklehrer, Piano- u. Instrumenten-Handlung' (xx1890)(x1906)

37, cours Napoléon (xx1890)(x1906), Ajaccio
SARLIT G.  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906-21 [depuis 1828 (**1921)]

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906) ------- 'Musikal.-, Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung' (x1912)

 

16, rue de Satory (x1906)(x1912)(**1921), Versaillles
SARRA  

'Facteur de pianos' ca. 1863

Mariage de "Sarra, facteur de pianos, rue Léon, 2. Mlle Neyts, chez son père, rue Chabanais, 14." L'Indicateur des mariages : relevé des mariages affichés dans les mairies, 31/03/1963, p. 4 (gallica.bnf.fr)

 

2, rue Léon (***1863)(arr.18), Paris
SARRA Pierre Florentin (Gabriel)  

'Fabricant de cordes d'instruments' ca. 1830

"SARRA Pierre Florentin (Gabriel), Fabricant de cordes d'instruments, rue de l'Egout Saint Paul, n° 5. Cité le 26/06/1830, lors de la succession de LAPRAGNE (ou LAPRUGNE) Sébastienne Rosalie, sa mère, décédée le 01/01/1830 ; elle aussi, déjà citée au même fichier. Source : DQ7/3723/Acte 465." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

 

5, rue de l'Egout Saint Paul (1830)(¹⁰)(arr.6), Paris
SARRAMIAC W.  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890-1906

SARRAMIAC W. (xx1890), 'Piano-Handlung'

SARRAMIAC A. (x1906), 'Pianobauer u. -Stimmer'

 

cours Platforme (x1906), Agen
SARRAU Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890; (xx1890)

'Musikal.- u. Pianohandlung' (xx1890)

Châtellerault
SARRAZIN Vve. Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1921 [depuis 1898 (**1921)] 11, avenue de la Gare (**1921), Berck Plage
SARREN J. Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926 [depuis 1828 (x1926)]

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926)

16, rue Sartory (x1926), Versailles
SARVONAT G. Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926 [depuis 1923 (x1926)]

'Piano-, Musikinstr.- u. Sprechm.-Handlung' (x1926)

25, rue Mercière (x1926), Bourg-en-Bresse
SASSARD Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906; (x1906)

'Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906)

Pontarlier
SATI Jean  

'Facteur de pianos' ca. 1880; (¹⁹)

Habitait à la même adresse que MAROKY (°1827)

 

10, rue de Répos (1880)(¹⁹), Lyon
SATIN Edmond Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926 [depuis 1916 (x1926)]

'Piano-, Musikinstr.- u. Sprechm.-Handlung' (x1926)

rue du Temple (x1926), Clamecy
SATIN Hyppolyte

(ca. 1831 - 1848)(¹⁰)

'Fabricant d'instruments de musique' ca. 1848; (¹⁰)  

17, rue Croix des Petits Champs (1848)(¹⁹)(arr.1), Paris

 

SAUER Théodore Facteur et/ou marchand de pianos et facteur d'orgues ca. 1858-63  

88, boulevard Chave (yy1856), 23, boulevard Dugommier (yy1858), 2, boulevard Dugommier (xxx1860), 116, rue Consolat (yy1861)(yy1863), Marseille

 

SAULAY  

Facteur et/ou marchand de pianos et lutherie ca. 1913-31

Succ. de RICHARD-AUBINEAU ?

AUBINEAU (x1912) - Voir aussi AUBINEAU, 'Facteur de pianos'

SAULAY-AUBINEAU (*1913)

SAULAY (**1914)

SAULAY-AUBINEAU (**1921)(x1922)

SAULAY-AUBINEAU Mme. (x1926)(z1931)

'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926)

 

54, avenue Bosquet (*1913)(**1914)(**1921)(x1922)(x1926)(z1931)(arr.7), Paris
SAURY L.

 

Ce facteur a ouvert un atelier dont la fondation est documentée.
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'Facteur de pianos' (°1849)

Paris
SAUSSINE 'Facteur de pianos' ca. 1880-88 34, rue de Bellefond (**1880)(**1883)(**1888)(arr.9), Paris
SAUTREUIL Félix  

"SAUTREUIL (Félix), instruments de musique, corde harmoniques, fournitures pour instruments, abonnements de musique classique et moderne, vend et répare les pianos, et professeur de violoncelle, chaussée d'Ingouville, 11."  Almanach des 40,000 adresses des fabricants de Paris et du département : contenant les noms et domiciles des principaux fabricants, 1873, p. 741 (gallica.bnf.fr)

 

'Facteur de pianos' ca. 1863-76 11, rue Chaussée [ou chemin] d'Ingouville (x1873)(*1875)(*1876), Le Havre
SAUTREUIL M.  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1921-26

Successeur de BRESSEAU (°1891)

SAUTREUIL Ch. (x1926), 'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926)

 

105, rue Victor-Hugo (**1921)(x1926), Le Havre
SAUVAGE Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1912

'Piano-Handlung' (x1912)

quai Maria (x1912), Gray
SAUVAGE A.  

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Facteur et/ou marchand de pianos  (°1880) Marseille
SAUVAGE-JOUANIN

 

Probablement élève de RODOLPHE (°1860) :

1862 - "Atelier de M. Rodolphe -  MM. Grimai, Rebourg, Thuault, Gamichon, Millet; Boudeaux, Jouffroy, Loidreau, Rouxel, Sauvage, Bib, H. Titeux." Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862, p. 54 (gallica.bnf.fr)

 
 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1876-1912

'Piano-Hdgl.' (x1906) ------- 'Piano- u. Harmonium-Händler u. -Stimmer' (x1912)

 

 

45, rue Terrusse (yy1876)(yy1877)(yy1878)(yy1879)(yy1880)(yy1881)(yy1882), 1, rue Barbaroux (xxx1897)(xxx1898)(x1906)(xxx1906)(yy1907)(x1912)Marseille

 

SAUVE Théodore Charles

(1811 - 1833)(¹⁰)

 

'Fabricant de pianos' ca. 1833 60, rue de Cléry (1833)(¹⁰)(arr.2), Paris
 

SAUVIN Denis Victor Désiré

(181? - 1856)(¹⁰)

 

'Fabricant de pianos' ca. 1856

Époux de LEQUIRAND [?] Victoire (¹⁰)

52, rue Amelot (1856)(¹⁰)(arr.11), Paris
SAUZEAU Auguste, Fils

(? - 1846)(⁸)

"Sauzeau fils, fact. de p. et march. de mus., et instr." Agenda musical, Paris, 1837 (gallica.bnf.fr)

 

INFO EXTRA

Un siècle de facture de pianos à Nantes, par Jean-Marc STUSSI

 

'Luthier et marchand de musique' (**1836); 'Facteur de pianos et marchand de musique et d'instrumens' (x1837)

"SAUZEAU Auguste (fils) se destine à la carrière musicale, car il est Professeur de musique en 1827. Par la suite, il devient Marchand de musique au Quai de la Fosse (1829-1830) et enfin Compositeur de musique (année de son décès 1846). On ne sait si à cette date il tenait encore le magasin de musique. La mention de « SAUZEAU Fils » en 1837 (L. Verbeeck) semble de ce fait bien correspondre à Auguste. De son mariage avec Louise Augustine Langlais (°ca. 1804)), sont issus trois enfants : Marie Augustine (°3/10/1827), Auguste Louis (°29/5/1829) devenu clerc de notaire, marié à Richer Mathilde Clémence le 20/12/1852, et Alphonse (°27/6/1830). Auguste SAUZEAU est décédé le 8 janvier 1846, ce dont on pourrait déduire, faute d’éléments probants (pas de mention d’une affaire SAUZEAU à Nantes après cette date dans les annuaires spécifiques), que le magasin a disparu après son décès." Infos données par Jean-Marc STUSSI. (⁸)

 

Quai de la Fosse (1829-1830)(⁸), 14, rue de la Fosse (**1827), Nantes
SAUZEAU René Jean, Père

(ca. 1765/66 - 1834)(⁸)

"SAUZEAU René Jean et Auguste. Luthiers – Marchands de musique.
Les Sauzeau font partie des premiers facteurs de pianos et marchands de musique de Nantes au début du 19° siècle. Ils concernent deux personnes :
SAUZEAU René Jean, luthier, et son fils SAUZEAU Auguste, professeur de musique, marchand de musique, puis compositeur de musique.

(la suite )

INFO EXTRA

Un siècle de facture de pianos à Nantes, par Jean-Marc Stussi

 

'Marchand de musique' ca. 1822 et luthier

"SAUZEAU René Jean. Il et né en 1765 ou 1766 à Nantes paroisse de Sainte-Croix, fils de SAUZEAU Nicolas et de Boulay Marie Marthe (ca. 1734 Tours – 21/7/1817 Nantes). Nicolas SAUZEAU se déclare « Marin Mineur décrété » à son mariage le 16 novembre 1764, mais « maître de danse » à la naissance de son fils Pierre le 4 novembre 1769. Cette derrière qualité paraît peu compatible avec celle de Marin Mineur et est peut-être due à un temps de service militaire. Elle peut expliquer le devenir ultérieur de son fils René Jean. Lors de son mariage avec Anne Marie Raimbaud le 17 octobre 1797 à Nantes, René Jean est luthier, établi au quai de la Fosse. Il tient certainement encore cette qualité en 1822, mais l’a peut-être élargie à celle de marchand de musique et d’instruments de musique (L. Verbeeck). Il aura deux fils : René, né le 3 octobre 1798, qui deviendra musicien et restera célibataire (+19/4/1858) et Auguste, né le 22 novembre 1801, qui a tout lieu d’être considéré comme le successeur de son père dans l’affaire du magasin de musique. René Jean est décédé le 21 février 1834." J. M. Stussi, communication personnelle. (⁸)

 

quai de la Fosse (18??)(⁸), Nantes
SAVARESSE

(1777 - 1825)(¹⁰)

 

'Fabricant de cordes' ca. 1825

Époux de HOMARCHAND. (¹⁰)

SAVARESSE. — 'Mémoire sur la construction des instruments à cordes et à archet', Paris, Déterville, 1819, et 'Mémoire sur la fabrication des cordes d'instruments de musique'. Paris, 1822

"SAVARESSE Philibert, fabricant selon son procédé de cordes harmoniques, associé, à Grenelle, Seine, plaine de Grenelle, n° 7. Epoux de SARRA Katherine Marguerite Joséphine. Cité le 31/08/1826, dans un acte notarié comportant prolongation entre ledit et son épouse et aussi Monsieur HERTZ Mathias, rue des Fossés Montmartre, n° 6, lesquels se sont associés dans une société commerciale, pour la fabrication de cordes harmoniques d'après le procédé de Monsieur SAVARESSE, l'auteur autorisé par ordonnance du Roi, le 26/03/1825. Source : D31u3-31/pièces 677 et 678." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

VOIR AUSSI ...

  HUSSON- BUTHOD & THIBOUVILLE, & Henri SAVARESSE

 

13, rue Greneta (1825)(¹⁰)(arr.2), 7, plaine de Grenelle, (1826)(¹⁰), Paris
SAVART  

INFO

"Méthode de piano (courte et facile), par Savart. — A Paris, faubourg Poissonnière, n. 12." Bibliographie de la France, 1837, p. 387

"M. Savart eut recours à lui pour construire toutes sortes d'appareils destinés à des expériences d'acoustique." Revue et gazette musicale de Paris, Volume 6, 1839, p. 153

SAVART (Félix). Mémoire sur la construction des instruments à cordes et à archet, etc., Paris, Déterville, 1819, in-8.

" [...] Nous citerons encore et toujours à titre de confirmation une expérience que l'on peut faire avec la table d'harmonie, sur laquelle sont tendues les cordes d'un piano droit. Le piano étant ouvert à la façon d'un-livre, on se place à quelque distance de la table, puis on parle à voix haute, on prononce fortement quelques voyelles, ou l'on donne une note bien accentuée: la table et les cordes se mettent à vibrer, d'abord un peu confusément, mais bientôt le son s'épure et l'on n'entend plus que la vibration des cordes qui sont à l'unisson du son primitivement produit, et qui continuent à résonner, alors que ce son a cessé d'exister depuis quelques secondes déjà, et que le bruit confus résultant du trouble apporté à toute la série des cordes a aussi disparu.  Les membranes, à cause de leur peu de masse, de leur grande surface et aussi de l'extrême facilité avec laquelle elles se subdivisent, sont éminemment propres à prendre, par communication, le mouvement que l'on imprime à l'air : si le mode d'ébranlement est énergique, elles en sont influencées, même à dos distances considérables. Ainsi, avec un sifflet un peu fort, on détermine aisément d'un bout à l'autre d'une vaste salle la division acoustique d'une membrane de baudruche ou de papier végétal tendu sur un cadre de bois ou de carton. (la suite )

 

 

'Facteur de pianos', compositeur et pianiste ca. 1837-56

"Chambre syndicale des fabr. de pianos et autres instruments de musique, président Savart; siége de la société chez M. Rodhé, Caumartin, 9." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1878, p. 1348 (gallica.bnf.fr)

QUANTIN Auguste, successeur.

Pour toutes les infos suivantes, ce n'est pas sûr qu'il s'agit de la même personne !

INFO
(la suite)

 — M. Savart en faisait usage pour manifester le développement des ventres et des nœuds des vibrations dans l'air de grandes galeries, au milieu desquelles il faisait vibrer un gros timbre A porté sur un trépied III, et muni d'un tube renforçant B (fig. 454). Les pièces à tirage GH, FE servaient à donner au tube une position convenable. Un piston intérieur, mû par la vis D pouvait faire varier sa longueur. [...]" Leçons de physique, Volume, Paul Quentin Desains, 1860 C'était le même SAVART ?

"Savart, compositeur et pianiste de plusieurs princes, fabr. de pianos supérieurs, locations, échanges, réparations et expéditions, orgues expressives à vendre et à louer; commissionn. pour instruments et musiques, Lepelletier, 8." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1848, p. 513 (gallica.bnf.fr)

 

12, faubourg Poissonnière (1837)(arr.9),  8, rue Le Peletier (**1841)(x1843)(xx1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(arr.9), 12, rue Le Peletier (x1849)(arr.9), 10, rue Le Peletier (*1850)(*1851)(yy1851)(arr.9), 25, boulevard Poissonnière (z1855)(xx1856)(arr.9), Paris
SAVARY Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890; (xx1890)

'Pianohdgl.' (xx1890)

 

Dieppe

SAVOYE René
| SAVOY
 

"René SAVOYE et cie - 97, rue de Richelieu, 97, PARIS - AGENTS GÉNÉRAUX pour la France, la Belgique, la Suisse, l'Italie, l'Espagne et le Portugal du BALDWIN - Le plus récent et le plus parfait des appareils à jouer du piano. Et des Orgues américaines HAMILTON - ASSORTIMENT GÉNÉRAL DE MUSIQUE PERFORÉE four Appareils Automatiques. – Étendue 65 NOTES PIANOS ERARD - Dépôt. des Pianos RUCH." Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1907 (gallica.bnf.fr)

 

'Facteur de pianos' ca. 1907-26

SAVOYE René & Cie (*1907)(*1909)

SAVOYE René (x1912)(x1926)

 'Piano-Handlung' (x1912) ------- 'Facteur de pianos' (x1926)

97, rue Richelieu (*1907)(**1907)(*1909)(x1912)(arr.2), 5, avenue de l'Opéra (x1926)(arr.2), Paris
SAX Adolphe 

(1814 - 1894)

 

Ce facteur a ouvert un atelier dont la fondation est documentée.
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'Facteur d'instruments'  (°1843) Paris
SAYEN H.  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1905-06

SAYEN A. (x1906), 'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung u. -Reparatur-Werkstatt' (x1906)

 

80, rue d'Antibes (*1905)(x1906), Cannes (Alpes-Maritimes)
SCHAAF J.

 

Brevet de 1888 : "190319. Brevet de quinze ans, 1er mai 1888; Schaaf, représenté par Dittmar, à Paris, avenue de l'Opéra, n° 37. Nouveau piano." Bulletin des lois de la République française, 07/1888, p. 984 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1905 : "Schaaf (J.), 2 mai 1905, brevet 346878/4749. (Mécanisme de répétition pour pianos.)." Bulletin des lois de la République française, 07/1906, p. 399 (gallica.bnf.fr)

  

Facteur et/ou inventeur ca. 1888-1905 Paris ?
SCHAAF Nicolas  

VOIR AUSSI ...

STOLZ, facteur d'orgues, sur cette page ci-dessus

 
 

Facteur d'orgues ca. 1853-55

 

Paris
SCHAAF Pierre  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1921

 

111, rue de Romainville (**1921), Montreuil-sous-Bois
SCHAAN Jacques
| SCHAN
 

 

'Facteur de pianos' et éditeur de musique ca. 1844-56

"FABRIQUE DE PIANOS DE SCHAAN - 15, rue Poissonnière PIANOS DROITS à 3 cordes verticales 6 octaves et 3/4 ; prix sans remise, 600 fr. garantis 3 ans. PIANOS A LOUER." La Sylphide, 01/1845 (gallica.bnf.fr) et 1844, p. NP (gallica.bnf.fr)

16 (?), rue Vivienne (18??), 15, rue Poissonnière (1844)(**1845)(**1846)(x1847)(arr.2), 62, rue du faubourg Saint-Honoré (*1848)(arr.8), 64, rue du faubourg Saint-Honoré (x1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(x1852)(**1853)(**1854)(z1855)(xx1856) voyez (*1953)(arr.8), Paris
 

SCHACK J.

 

 

 

 

"Maison du Quistiti - Pianos & orgues, 3 ans de crédit. En payant le prix de la location mensuellement, on devient propriétaire d'un instrument du facteur à son choix. - SCHAK, 53, rue Caumartin. Envoie en Province." Le Monde artiste, 20/05/1876 (gallica.bnf.fr)

"Schack (J.) et Cie, facteurs de pianos, pianos et orgues de tous les facteurs (3 ans de crédit acquis par abonnements), accords, réparations, échange, rue Caumartin, 53." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1879, p. 1397 (gallica.bnf.fr)

"Pianos, Au Ouistiti, SCHACK et Cie, rue Caumartin, 53, pianos et orgues, vendus par abonnement, trois ans de crédit. En payant le prix de la location-(depuis 2 5 francs par mois) on devient propriétaire d'un instrument du facteur de son choix. — Envoi en province." Théâtre de la Porte Saint-Martin: Les enfants du capitaine Grant, 1879, p. 102

 

 

'Facteur de pianos' droits ca. 1875-79

SCHACK J. & Cie (*1875)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)

1877 - "Paris. — Dissolution, à partir du 1er ; septembre 1877, de la Société SCHACK et Cie (commerce de pianos, etc ) — Liquid. : J. M. SCHACK. —Acte du même jour. — J. - g. d'A." Archives commerciales de la France, 09/09/1877, p. 1150 (gallica.bnf.fr)

1879 - "Dissolutions de Sociétés [...] Schack et Cie. — Pianos et orgues, Au Ouistiti. — 7 mai 1879. — Paris." Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 28/12/1879, p. 85 (gallica.bnf.fr)

 

53, rue Caumartin (*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(arr.9), Paris
SCHAEFFER Eugène

(1816 - 1873)

 

NÉCROLOGIE

1873 - "Eugène Schaeffer, ancien bâtonnier de l'ordre des avocats à Strasbourg, lors de la mort de son beau-frère Erard, alla se fixer à Paris pour y prendre la direction de la célèbre fabrique de pianos de ce nom. Il aimait l'Alsace comme l'aiment de près et de loin tous les Alsaciens, et ses compatriotes étaient toujours certains de trouver auprès de lui le meilleur accueil. Il mourut le 27 janvier 1873, et nul mieux que son voisin J. Janin n'était à même de redire les qualités de celui qu'il a connu dans l'intimité.

« Nous avons rendu, a dit le charmant critique, au milieu d'un concours immense des ouvriers dont il était le père, et de ses nombreux amis, les derniers devoirs de l'amitié à M. Eugène Schaeffer, qui conduisait d'une façon si bien-veillante cette grande fabrique de pianos fondée par les Erard, et qui porte leurs noms aux quatre coins de la terre.

M. Schaeffer se recommandait par sa bonté et son esprit.

On l'aimait pour toutes ses vertus et toutes ses grâces inépuisables. Ce qu'il a fait de bien, par son exemple et par ses conseils, on ne saurait assez le redire.

» Avant d'être le continuateur de cette illustre maison, M. Schaeffer avait été (et c'était pour lui un juste sujet d'orgueil) bâtonnier de l'ordre des avocats dans cette heureuse ville de Strasbourg, dont il n'avait jamais prévu les misères après tant de splendeurs. (la suite )

 

 

"SCHAEFFER (Eugène), né en 1816; fabricant de pianos, rue du Mail, 13, 2° arrondissement." (*1867), chef de la maison ERARD

NÉCROLOGIE
(la suite)

» Nous avons perdu en M. Schaeffer un caractère, un exemple, un homme enfin. Son bon sens, son esprit, sa générosité sans bornes, entouraient cet aimable front d'une véritable auréole. Il avait beaucoup d'autorité dans son langage, et les plus hauts placés dans le monde de l'industrie et des beaux-arts l'écoutaient avec les plus sympathiques déférences.

» Ce qui ajoutait surtout à cette force si bien cachée une grâce de plus, c'était la simplicité de l'homme, sa modestie, sa vie à part, son labeur de tous les jours, son profond mépris pour toutes les vanités qui arrêtent soudain tant de grands artistes dans leur carrière. Pas une douleur ne lui était étrangère; il prenait sa part de tous les deuils; il avait des consolations pour toutes les misères.

» Sa plus grande louange il l'eût trouvée dans toutes les voix qui entouraient sa tombe à peine fermée, et dans les regrets de ces ouvriers dont il avait fait une famille.

O brave homme! l'honneur de tous les tiens jamais ils n'oublieront l'amitié réciproque qui t'unissait à tant d'artistes et d'artisans qui vivaient de ta pensée, et cette fête de ta bonne humeur, de ta douce et facile galté, que j'ai partagée si longtemps. »" Bibliographie alsacienne, 1873, p. 107-109 (gallica.bnf.fr)

 

13, rue du Mail (*1867)(arr.2), Paris
SCHAF P.
| SCHAFF
 

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1912-26 [depuis 1904 (*1913)]

'Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906) ------- 'Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung' (x1912)(x1926)

90, boulevard de la Gare (*1913)(**1921)(x1926), Chelles (près de Paris)
SCHAF P.
| SCHAFF

 

 

Facteur de pianos ca. 1926

'Pianobauer' (x1926)

133, avenue Président Wilson (x1926), Le Pré-St.-Gervais
SCHAFF  

'Facteur de pianos' ca. 1890-1906

'Musikal.- u. Pianohandlung' (xx1890)

1901 - "Déclaration de faillite : Granville. — SCHAFF, facteur de pianos, à Avranches avec suce. à Granville.— 12 déc. 1901. 1 — S. M. Houel." Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 28/12/1901, p. 211 (gallica.bnf.fr)

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906)

Il y a un SCHAF (°1904) à Chelles, voir ci-dessus

 

rue des Juifs (x1906), Granville

Avranches

 

SCHALTENBRANDT Jean-Georges

(1796 - 18??)

 

 

'Ouvrier ébéniste en pianos' ca. 1849

Demandait sa naturalisation en 1848 - "27° M. Jean-Georges Schaltenbrandt, né le 7 février 1796 dans le canton de Berne, en Suisse, ouvrier ébéniste en pianos, demeurant à Paris." Bulletin des lois de la Republique Francaise, 1849, p. 54

 

Paris
SCHANNON Thomas

(1783 - 1827)

 

'Facteur de pianos' ca. 1827

Époux de FRANLHIN Anne (¹⁰)

 

40, rue (de la) Pépinière (1827)(¹⁰)(arr.8), Paris
 SCHAYRER François-Xavier  

Brevet de 1844 : "1191. M. Schayrer (F.), à Paris; nouveau moyen de prolonger les sons dans les pianos, consistant dans l'application des anches libres au mécanisme. (7 novembre. — 5 ans.)"(*1844) Bulletin des lois de la République française, 07/1845, p. 66-67 (gallica.bnf.fr)

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1844-59

Quelqu'un avec le nom SCHAYRER était égaliseur chez PLEYEL ca. 1859 (²⁰)

"[...] Ce nouveau piano sort des ateliers de la maison Pleyel et des mains de M. Schayrer, le premier et le plus ancien contre-maître de la maison, qui, après y avoir travaillé longtemps sous la direction du savant et ingénieux artiste dont on ne saurait trop déplorer la perte, vient de l'achever ainsi sous les yeux de M. Wolff, son habile continuateur. [...]" Le Mercure parisien : sciences, littérature, études de moeurs, théâtres, poésie, peinture, modes, bibliographie, commerce et industrie, etc. etc. etc., 25/12/1855, p. 2-3 (gallica.bnf.fr)

 

7? rue Projeté du Delta (*1844)(arr.9), 11,rue Projeté du Delta (1851)(³¹)(arr.9),  Paris
SCHEBEN  

'Facteur de pianos' ca. 1858

Quelqu'un avec le nom 'SCHEBEN' était ouvrier-tableur chez PLEYEL vers 1856-59. (²⁰)

 

5, rue Neuve-Coquenard, impasse de l'Ecole (1858)(¹⁰)(arr.9), 81, rue Taitbout (dès 1858)(¹⁰)(arr.9),  Paris
SCHECK F.  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1897

 

25, rue Marjollin (*1897), Levallois-Perret, Paris
SCHECK Hans 

Publicité dans Le Messin, 19/05/1898, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

Publicité dans Le Courrier de Metz, 18/12/1898, p. 3 (kiosque.limedia.fr)

Publicité dans Le Lorrain, 01/08/1902, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

 

 

"Leçons de Cithare. - S'adresser par écrit à M. H. Scheck, professeur de cithare - rue Jurue 21." Le Messin, 05/03/1890, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

"Hans Scheck - commerce d'instruments de musique et de cordes 6, rue des Jardins, Metz. Instruments à archets et à vent de toutes sortes. Grand dépôt de violons de toutes qualités. Cithares, guitares, flutes, clarinettes, trompettes, etc. Aocordéons, hérophones, xylophones. Cordes (spécialité) pour tous les instruments à archets, cordes pour cithares, archets de violons, étuis de violons, étuis de cithares. Fournitures et accessoires Etudes (aussi pour apprendre de soi-même) pour tous les instruments. Musiques et études pour cithares. Prix modérés." La Gazette de Lorraine journal de Metz, 10/05/1891, p. 8 (kiosque.limedia.fr)

"Instruments de musique - les meilleurs et les meilleures marché. - H. SCHECK - 6, rue des Jardins, 6 - Violons, Cithares, Pistons, Flûtes et en général tous instruments à vent et à cordes. Pianos à queue et pianos simples des meilleurs fabriques. Orgues américaines, pour églises, écoles, particuliers. Harmonium système allemand, tonalité garantie. Accessoires pour tous les instruments. Musique religieuse. Méthodes et lecture musicale. Sur demande la maison envoie de la musique au choix." Le Lorrain écho de Metz et d'Alsace-Lorraine, 27/05/1893, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

"H. SCHECK - Dépôt de pianos, d'instruments et de musique. - Metz, rue des Jardins, 6 - Atelier dans la maison même pour toutes les réparations de pianos et d'harmoniums. Accord de pianos. Réparations promptes et soignées de tous les instruments de musique. Achat et vente de pianos d'occasions, en bon état. — Location de pianos." Le Messin, 08/05/1896, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

"PIANOS - Instruments parfaits, à louer bon marché. Dépôt permanent de pianos en noyer et noir, occasions avantageuses. - M. Scheck - 2, rue des Clercs METZ rue des Clercs, 2." La Gazette de Lorraine journal de Metz, 18/12/1903, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

 

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1891-1930 [depuis 1891 (x1906)(x1912)(**1921)(x1926)]

'Professeur de cithare' (y1884)(y1888)(y1890) --------- 'Dépôt de pianos' (z1896)(z1898) --------- 'Musikal.-, Piano-, Musikunstr.- u. Musikwerke-Hdlg.' (x1906) --------- 'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u. Musikinstr., sowie Reparateur' (x1912) ------- 'Handlung mit Musikal., Pianos u. Musikinstr., sowie Reparatur-Werkstatt' (x1926)

Repris par HAEFLINGER G. (**1921)

SCHECK H[ans] Vve. (x1926)(*1929)

Succ. par Albert DAUGE (y1930), 'Phonographes et disques'


(la suite)

"PIANOS - M. MONNIOT, ex-accordeur de la Maison GAVEAU passera à Metz, tous les mercredis. Les personnes qui voudront l'honorer de leur confiance, sont pri6es de vouloir s'adresser à la MAISON H. SCHECK - 9, rue de l'Esplanade (place de la République)." Metzer freies Journal – Le Républicain lorrain, 20/10/1922, p. 4 (kiosque.limedia.fr) - Voir MONNIOT à Nancy

CARTE POSTALE

Carte Postale sur MetzAvant

VOIR AUSSI ...

... un autre avec le nom SCHECK à Levallois-Perret 

22, rue des Clercs (y1884), 21, rue Jurue (y1888)(y1890), 6, rue des Jardins [près de la Cathédrale](y1891)(y1893)(z1896)(z1898)(y1899)(y1901), [2], rue des Clercs [Priester-strasse] (y1902)(y1903)(x1906)(y1908)(y1909), Magasin : 13, Kapellenstrasse (x1912), 8, rue de Esplanade [l’actuelle rue Winston Churchill] (y1911)(x1912)(**1921)(x1926)(*1929)(y1930), 9, rue de l'Esplanade [place de la République] (y1922), Metz
SCHEGER  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1794

'Piano à clavier demi-ovale', inventé par Scheger en 1794 (*1886)

 

Paris
SCHEINEDER 'Facteur de pianos' ca. ?? Place Saint-Etienne (?), Dijon
SCHEL
| SCHEIL
 

'Facteur de pianos' ca. 1846-49

Époux de REIJENTOER. (1849)(¹⁰) - "Publications de Mariages. Entre : [...] M. Schel, facteur de pianos, rue de l'Arbre-Sec, 52, et Mlle Reijentjes, à Batignolles." La Presse, 07/04/1849, p. 4 (gallica.bnf.fr)

Probablement famille de BROD Henry

 

 

18, rue neuve Breda (**1846)(x1847)(*1848)(arr.9), 22, rue neuve Breda (x1849)(*1850)(arr.9), 52, rue de l'Arbre Sec (1849)(¹⁰)(arr.1), Paris

100, rue des Dames (1849)(¹⁰), Batignolles

 

SCHEIL Joachim
| SCHEL
'Luthier' ca. 1795

Famille de SCHEIL Marie, épouse de BROD Henry

Paris
SCHELL  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1912

'Händler mit Musikal., Pianos u. Musikinstr.' (x1912)

 

rue des Urselines (x1912), Falaise
SCHEMITZ (demoiselle) 'Facteur de pianos' ca. 1859

Épouse de KMARREC, artiste lyrique (1859)(¹⁰)

 

97, rue du faubourg Poissonnière (1859)(¹⁰)(arr.9), 20, rue de Bellefond (1859)(¹⁰)(arr.9), Paris

 

SCHENDEL 'Facteur de pianos' ca. 1828-29 3, rue du Foin au Marais (x1828)(*1829)(arr.3), Paris
SCHÉRER Alois

(ca. 1795 - 1838)

 

'Facteur de pianos' ca. 1838

1838 - "ÉTAT CIVIL DE NANCY. [...] ÉTAT des personnes décédées au-dessus de l'âge
de 20 ans. [...] 30. — [...] Aloise Schérer, 43 ans, facteur de pianos." Journal de la Meurthe, 05/06/1838, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

 

Nancy
SCHEWER Jean
| SCHWERR
'Facteur de fortepianos' ca. 1783 rue des Fossés à Saint-Germain (*1783)(arr.1), Paris
SCHIEDMAYER & Cie  

'Facteur de pianos' droits ca. 1878

 

3, Broglieplatz (y1878), Strasbourg
SCHIERTZ  

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1860

 

Paris
SCHILLIO Ad.  

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Facteur et/ou marchand de pianos  (°1879)  Roubaix | Lille (maison principale en 1921) | Rouen | Paris | Cambrai | Valenciennes | Douai | Dunkerque
SCHILLIO André  

Facteur et/ou marchand de pianos  ca. 1926

'Piano-Händler' (x1926)

 

26, rue du Rivage (x1926), 2-4, place de la République (x1926), Béthune
SCHILLIO Henri Facteur et/ou marchand de pianos ca.1931

'Marchand de pianos' (z1931)

 9, rue de Bondy (z1931)(arr.10), Paris
SCHINDLER A.  

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'Facteur de pianos'  (°1884) Paris
SCHLACHTER Balthasar

(ca. 1797 - 1850)(¹⁰)

Brevet de 1848 : "129° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 26 mai 1848, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par les citoyens Rheinlander (Christian) et Schlachter (Balthazar), rue du Grand-Saint-Michel, n° 7, faubourg Saint-Martin, pour un système de pianos dits à double traction." Bulletin des lois, 1849, p. 599

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1827-50

'Ébéniste' en 1827 (¹⁰)

Époux de PINQUET Madeleine Adélaïde (¹⁰), ils ont une fille née en 1827 (¹⁰)

Probablement il était un ouvrier-caissier chez PLEYEL vers 1833-47 (²⁰)

RHEINLANDER & SCHLACHTER (**1847)(x1849), voyez aussi RHEINLANDER

Membre d' ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris (°1849)

60, rue Amelot (1827)(¹⁰)(arr.11), 7, rue du Grand-Saint-Michel faubourg Saint-Martin (*1849)(arr.10), 89, rue Hauteville (*1849)(1850)(¹⁰)(arr.10), Paris
SCHLACHTER Balthasar  

Brevet de 1855 : "Perfectionnements apportés dans la mécanique de pianos." Catalogue des brevets d'invention, 1855

 

'Facteur de pianos' ca. 1855-56

Époux de BASSLER (1856)(¹⁰)

 58, rue de la Rochefoucault (**1855)(arr.9), 112, rue d'Enfer (1856)(¹⁰)(arr.14), Paris
SCHLAILE & KURZ  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1912

'Piano-, Musikwerke- u. Sprechm.-Handlung' (x1912)

 

6, Kuhngasse (x1912), Strasbourg
SCHLEIDEN Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1875-90

SCHLEIDEN E. Fils (xx1890), 'Pianohandlung'

rue Abbé-Girard (*1875)(*1876), 10, rue de la Treille (xx1890), Clermont-Ferrand
SCHLEIDEN A. 'Facteur de pianos' ca. 1862; (**1862) Strasbourg
SCHLEIDEN Paul  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1899-1926 [depuis 1880 (x1912) ou depuis 1878 (x1926)]

Successeur de SAINT-MARC E. C.  (°1878), dès 1899, voir ci-dessous

'Pianobauer u. -Stimmer, auch Händler mit Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.' (x1912)(x1926)

24, rue des Grands Fossés (x1912), [24], rue du Maréchal-Foch (**1921)(x1926), Tarbes
SCHLOSSER Ch. J.  

'Facteur de pianos'  ca. 18??

Il y avait un 'SCHLOESSER' come ouvrier-vernisseur chez PLEYEL vers 1858-59. (²⁰)

 

Paris
SCHMAHL J. M. 'Facteur de pianos' ca. 1760-92

Voir SCHMAHL Johann Matthäus in Ulm, Allemagne

Strasbourg ?

 Ulm, Allemagne

SCHMETZ  

'Facteur de pianos' ca. 1869

1869 - "Publications de Mariages. M. Schmetz, facteur de pianos, rue de Verneuil, 50, et Mlle Saire, même rue." La Presse, 18/07/1869, p. 3 (gallica.bnf.fr)

 

50, rue de Verneuil (**1869)(arr.7), Paris
SCHMID Frédéric Guillaume
| SCHMITT

"BONNE PLACE pour de suite à Strasbourg (Alsace), trouve ACCORDATEUR ET RÉPARATEUR DE PIANOS - Dans une maison de premier ordre. S'adresser à SCHMID et DUBIED, pianos à Strasbourg (Alsace)." Le Ménestrel, 26/01/1907, p. 32 (gallica.bnf.fr)

 

INFO EXTRA

SCHMID-OBERDOERFFER, manufacture de pianos à Strasbourg, par Jean-Marc Stussi

 

 

'Facteur de pianos' droits ca. 1896-1929 [depuis 1846 (x1912)(x1926)]

Successeur de SCHMID-OBERDOERFFER (°1846), 'Manufacture de pianos'

"Die Firma F. Schmid-Oberdörfer [sic] in Strassburg ist geändert lt. Handelsgerichtlicher Eintragung in Schmid & Dubied (vorm. F. Schmid-Oberdörffer)." Zeitschrift für Instrumentenbau, Paul de Wit, 1907, p. 929 (daten.digitale-sammlungen.de)

SCHMID F. (*1896)(*1897)(*1903)

SCHMID & DUBIED (*1905)(*1906)(*1907)(x1912)(**1921)(x1926)(xx1927)

'Musikal.-, Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Händler, auch -Reparateur' (x1912)(x1926)

1926 - Propriétaire : P. DUBIED (x1926)

BIO

"Après le décès, en 1908, de Frédéric Guillaume, les sociétaires SCHMID sont Emile Charles SCHMID et son cousin Charles SCHMID. L’activité de la maison va s’élargir avec l’ouverture, courant 1906 ou début 1907, d’un nouveau magasin au 3 rue du Vieux-Marché-aux-Vins avec annexe sur le 9 Quai Desaix, destiné à la vente de musique et d’autres instruments de musique que le piano dont la vente reste au 22 Grand’Rue. La raison sociale deviendra ultérieurement « SCHMID-DUBIED ». Entre 1926 et 1951, année de fermeture, l’affaire sera tenue par DUBIED seul (R. Pierre).

Paul Victor DUBIED. Paul Victor DUBIED est né le 6 octobre 1878 à Strasbourg, fils de Strohecker décédé avant la naissance de Paul Victor et de Marguerite Caroline DUBIED originaire de Boveresse (NE, CH). A-t-il été formé chez les SCHMID-OBERDOERFFER ? Le 9 décembre 1905, résidant 22 Grand’Rue, il se marie, à Strasbourg, avec Jeanne Marguerite Barbe Treser (°29/6/1886, Schiltigheim). La présence des témoins Fritz SCHMID, propriétaire, et Emile SCHMID, négociant, s’explique logiquement par les relations d’affaire. Fritz (diminutif germanique de Frédéric) est Frédéric Guillaume, tandis que Emile est Emile Charles, né en 1858 à Paris (6° ancien), fils de Edouard Emile SCHMID (1825- ?), facteur de pianos à Paris et Caroline Lobstein."
Jean-Marc Stussi

Liste des exposants Strasbourg, 1927

 

22, Grand rue [Langstrasse] (*1896)(*1897)(*1903)(*1905)(*1906)(*1907)(x1912)(**1921)(x1926), 3, rue du Vieux Marché aux Vins [Alter Weinmarkt](*1907)(*1909)(x1912)(**1921)(x1926)(*1922)(xx1927)(*1929), Strasbourg
SCHMID-OBERDOERFFER  

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'Facteurs de pianos'  (°1846) Strasbourg
SCHMIDT  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1912-14

 

9, Impasse Daunay (**1912)(**1913)(yy1914)(arr.11), Paris
SCHMIDT Alfred Edouard
| SCHEMITS

 

'Fabricant de pianos' ca. 1856

Époux de SCHMIDT Aglaë (1856)(¹⁰)

1856 - "Publications de mariages entre : [...] M. Schemits [sic], fabricant de pianos, rue de la Michodière, 18, et Mlle Schemits [sic], rue des Moulins, 7." Le Pays : journal des volontés de la France, 23/06/1856, p. 4 (gallica.bnf.fr) - voir  ci-dessous SCHMIDT Charles, même adresse : 7, rue des Moulins (1857-71)

 

18, rue de la Michodière (**1856)(¹⁰)(arr.2), Paris
SCHMIDT Charles J. H.

 

 

 

 

 

Quelqu'un avec le nom SCHMIDT était un ouvrier vernisseur chez PLEYEL vers 1859. (²⁰)

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1836-71

C'est de la famille de Tobias SCHMIDT (°1788) ???

PARIS - "Voici maintenant Schmidt (Charles), qui prétend, avec son cla-violin, imiter les effets des instruments à archets, mais cet instrument se réduit à une imitation plus ou moins servile du Plectroeuphon de Gama, de Nantes, et du Polyplectrum.
En 1830, Licthental [LICHTENTHAL] fabriqua à Bruxelles un piano-viole. C'était un grand piano à queue monté de cordes en boyau; une barre placée au-dessous des cordes servait à contenir autant de petites poulies qu'il y avait de cordes ; une barre inférieure faisait le même office. Chaque archet sans fin, après avoir traversé les deux poulies, s'enroulait sur un tambour mû par une manivelle. En touchant une note, l'archet se rapprochait de la corde par le mouvement de la touche et attaquait la corde plus ou moins fortement. — Enfin, en 1833, même construction ou à peu près, par Heiz, de Hongrie."
La musique à l'Exposition universelle de 1867, Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant, p. 132-133. Voyez LICHTENTHAL de Bruxelles (°1823)

Liste des exposants Paris, 1839 | Liste des exposants Paris, 1844 | Liste des exposants Paris, 1855

20, rue Bourbon-Villeneuve (**1836)(**1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(x1843)(xx1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1851)(yy1851)(x1852)(**1854)(*1855)(z1855)(xx1856)(arr.2), 29, rue des Grands-Augustins (*1802)(***1847)(arr.5), 20, rue d'Aboukir (1849)(*1850)(arr.2), 7, rue des Moulins (xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(x1863)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(arr.1), Paris

SCHMIDT Tobias

(1755 - 1831)

 

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'Facteur de pianos'  (°1785) Paris
SCHMIDT Frères

 

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1864-78

SCHMIDT (**1864)(**1870)

SCHMIDT Frères (**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)

Brevet de 1887 : "187544. Brevet de quinze ans, 12 décembre 1887; Schmidt, représenté par Chassevent, à Paris, boulevard de Magenta, n° 11. Piano à jeu automatique et à la main." Bulletin des lois de la République française, 07/1888, p. 145 (gallica.bnf.fr)

 

81, rue du Bac (**1864)(**1870)(arr.7), 148, rue Montmartre (**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(arr.2), 150, rue Montmartre (?)(arr.2), Paris
SCHMIDT Léopold

 

1834 - "NOUVEL INSTRUMENT A VENT. M. Léopold Schmidt est l'inventeur d'un nouvel instrument à vent qu'il appelle Lyre d'Apollon. Le principe sur lequel est établie la lyre de monsieur Schmidt est déjà connu depuis long-temps ; c'est la vibration des lames métalliques mises en jeu par l'action de lair. Ces lames étant composées d'un mélange de cuivre et d'argent, il en résulte des sons d'une nature particulière ; et les Allemands toujours empressés d'étendre le domaine musical, en ont fait plusieurs applications ingénieuses. [...][...]" Le Courrier de la Drôme et de l'Ardèche, 11/03/1834, p. (memoire.arald.org)

 

'Facteur de pianos' et/ou inventeur ca. 1834 Paris ?
SCHMIT Jules Fils Facteurs et/ou marchands de pianos ca. 1912

'Piano-Reparateur und -Stimmer' (x1912)

24, rue Dutemps (x1912), Toulouse
 

SCHMITE-HENNINGSEN Henry
| SCHMIDT | SCHMITTE | SCHMIETE | SCHIMTE | Prénoms : Henning

 

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'Facteur de pianos'  (°1786)   

 Paris

 

SCHMITT   Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890

'Musikal.- u. Piano-Handlung' (xx1890)

25, Faubourg de France (xx1890), Belfort
SCHMITT Charles Facteurs et/ou marchands de pianos ca. 1906

'Piano-Reparateur und Händler' (x1906)

2, rue Baubuisson (x1906), Toulouse
SCHMITT  

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Facteur et/ou marchand de pianos  (°1893) Paris
SCHMITT & Cie  

"Le Salon de lecture musicale que la maison SCHMITT et Cie vient d'adjoindre à ses magasins de musique et de pianos obtient un succès légitime, surtout parmi les personnes de passage à Paris qui peuvent ainsi se mettre au courant des œuvres nouvellement parues (22, rue du Quatre-Septembre)." La Vie parisienne : moeurs élégantes, choses du jour, fantaisies, voyages, théâtres, musique, modes, 04/05/1872, p. 336 (gallica.bnf.fr)


 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1872-78

Repris par ALARD dès 1876

1876 - "CEDER des petit fonds de comm. de Musique et Pianos, 22, r. du 4-Septembre." Le Figaro, 02/04/1876, p. 3 (gallica.bnf.fr)

 

22, rue du 4 Septembre (x1872)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(arr.2), Paris
SCHMITT Charles Facteurs et/ou marchands de pianos ca. 1906

'Piano-Reparateur und Händler' (x1906)

2, rue Baubuisson (x1906), Toulouse
SCHMITT Jacques    

'Facteur de clavecins'  ca. 1787

SCHMITT Jacques, Facteur de Clavecin était marié avec PERRIN Suzanne Antoinette, le 01/05/1787, voir l'acte (nl.geneanet.org)

 

Paris
SCHMITT & MAURER Facteurs et/ou marchands de pianos ca. 1929 rue des Trois-Rois (**1929), Mulhouse
SCHMITT Nicolas  

'Facteur de pianos' ca. 1824 

SCHMITT Nicolas, facteur de pianos, et (1799) Marie Cunégonde Françoise Schittig, (Maisons-de-strasbourg.fr)

 

Strasbourg
 

SCHMITZ Ferdinand

(? - 1810)(³¹)

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1810

1810 - "MC/RE/XLII/13 - 24 novembre 1810 - Inventaire après décès : Schmitz, Ferdinand. Ponceau (rue du), n° 41. Facteur de pianos." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

 

41, rue du Ponceau (1810)(³¹)(arr.2), Paris
SCHNARB L.
| SCHNERB
 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1881-88

 

 

17, avenue Mac-Mahon (**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(arr.17), Paris

 

SCHNEIDER  

Essaya des cordes plaquées argent (¹) -

Brevet de 1827 : "En 1827, Schneider, que nous avons vu plus haut employer des cordes d'un nouvel argent, imagina de faire plaquer en argent toutes les cordes de ses instruments pour les préserver de la rouille. On reprocha à cette innovation l'inexactitude d'adhérence existant entre l'acier, qui est fort dur, et l'argent, qui est au contraire très-tendre." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

  

 

'Facteur de pianos' ca. 1827

 

Paris
SCHNEIDER  

'Facteur de pianos' ca. 1889-95

DANJARD & SCHNEIDER (avant 1889)

Succ. par DANJARD (y1889)(xx1890)

'Pianofabrikant' (xx1890)

 

15, rue du faubourg Montmartre (y1889)(xx1890)(*1893)(*1895)(arr.9), Paris
SCHNEIDER

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1875-76

1, rue d'Amiens (*1875)(*1876), Lille
SCHNEIDER Ant. Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1913 [depuis 1904 (*1913)] 3-5, rue Kléber (*1913), Strasbourg
SCHNEIDER Charles Ferdinand  

'Facteur de pianos' ca. 1857

Époux de PROTOY Louise Augustine Léonore (1857)(¹⁰)

 

32, rue de Bellefond (1857)(¹⁰)(arr.9), Paris
SCHNEIDER Eugène Alphonse

(1858 - ?)(¹⁰)

 

'Mécanicien en pianos' ca. 1878

1878 - "SCHNEIDER Eugène Alphonse, Mécanicien en pianos, rue de Crimée, n° 191. Cité comme étant né le 13/12/1858 à la Villette, Seine. et sur la liste des tirés au sort de la classe 1878 à Paris 19e. Autres : feus SCHNEIDER Jacob et FRIAUD Thérèse. Source : AP/D1R1/413/289/PINET Alain." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

 

191, rue de Crimée (1878)(¹⁰)(arr.19), Paris
SCHNEIDER J. J.  

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Facteur et/ou marchand de pianos  (°1901) Metz
SCHNEIDER Pierre

Il y avait un SCHNEIDER ca. 1846 qui était 'vernisseur' et un SCHNEIDER fils ca. 1851-57 comme 'finisseur', 'égaliseur' et 'tableur' chez PLEYEL. (²⁰)

 

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1870-1926

Représentant de IBACH, Leipzig, Allemagne (**1907)

'MusiqueAb-Edition - Pianos, Instruments' (**1921) ------- 'Le Magasin Musicale' (**1921)(x1926) ------- 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926)

SCHNEIDER Richard Henri & Cie (x1912), 'Export, Import u. Konsignation von Pianos' - 'General-Agent für die Baldwin Company in Cincinnati und Rud. Ibach Sihn in Barmen'

SCHNEIDER & Cie (**1914)

LE MAGASIN MUSICAL, Pierre SCHNEIDER (x1926)

 

 

10, rue des Martyrs (**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(arr.9), 7, rue Saint-Lazare (**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(arr.9), 84, rue Saint-Lazare (**1912)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.9), 69-71, Avenue Malakoff (**1921)(*1922)(x1926)(arr.16), Paris

SCHNELL Jean Jacques

(1740 - 1815 ?)

 

Ce facteur a ouvert un atelier dont la fondation est documentée.
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'Facteur de clavecins' (°1777) Paris
SCHNELL  

Brevet de 1899 : "Schnell, 12 juillet 1899, brevet 260510, (Table à double résonnance pour pianos droits et à queue.)" Bulletin des lois de la République française, 01/1901, p. 896 (gallica.bnf.fr)

 

Paris ?
SCHNITZER Aloys Alcide Louis

(ca. 1854 - 1902)

 

1902 - "Une découverte au bord du canal Saint-Martin. Une dame V. passait hier soir, vers neuf heures, quai Jemmapes, le long du canal Saint-Martin, quand, en face du numéro 50 du quai Jemmapes, elle remarqua sur la berge un assez volumineux portefeuille de cuir. Elle fit aussitôt part de sa découverte à un gardien de la paix de service non loin de là. Le portefeuille fut ouvert. Il contenait, outre des papiers d'affaires, des cartes de visite au nom de M. Alcide-Louis Schnitzer, facteur de pianos, 5, rue de l'Equerre. La famille Schnitzer a été immédiatement prévenue par les soins de M. Durand, commissaire de police de la porte Saint-Martin, qui a ouvert une enquête. On ignore si on se trouve en présence d'un suicide ou d'un crime. Des recherches faites dans le canal n'ont amené aucune découverte nouvelle." (lire la suite )

 

'Facteur de pianos' ca. 1902


(la suite)

 "Sur les bords du canal Saint-Martin - On vient de retirer du canal Saint-Martin le cadavre de M. Aloys Schnitzer, âgé de cinquante-huit ans, facteur de pianos, demeurant 5, rue de l'Equerre. Le malheureux s'était jeté à l'eau hier soir et des passants avaient trouvé son portefeuille sur la berge, ce dont nous parlons d'autre part. Par les soins du commissaire de police, le corps du défunt a été transporté à son domicile." Journal des débats politiques et littéraires, 02/09/1902, p. 3-4 (gallica.bnf.fr)

 5, rue de l'Équerre (x1902)(arr.19), Paris
SCHOBLOCH  

'Facteur de pianos' ca. 1829-30

"Schobloch, loue et fait des échanges, r. Montmartre, 41." Almanach du commerce de Paris..., Duverneuil, 1829, p. 142 (gallica.bnf.fr)

 

41, rue Montmartre (x1829)(arr.2), 25, rue du Caire (ca. 1830?)(arr.2), Paris
SCHOCK  

"PIANOS, HARMONIUMS ET 0RGUES - Location Échange - Accords Réparations - A. SCHOCK - facteur - 49-51, rue Beauvoisine, 49-51 ROUEN - Pianos de toutes Marques - Neufs et d'Occasion - Atelier spécial pour la réparation." Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1909 (gallica.bnf.fr)

 

'Facteur de pianos' ca. 1909-26 [depuis 1894 (x1926)]

'L. Schock, Rouen, Pianos, Musiques' (?) ------- 'Piano- u. Harmonium-Händler' (x1912)(x1926)

SCHOCK A. (x1912)(*1913)

Successeur de GOBELIN (°1894) au moins dès 1913

SCHOCK L[éon] (**1921)(x1926)

Succursale : 49-51, rue Beauvoisine (*1909)(*1913), 47, rue Beauvoisine (x1912), 21, rue Thiers (*1913)(**1921)(x1926), Rouen
SCHOEN Louis Jules

(ca. 1812 - ?)(³²)

 

 

 

 

 

 

"Schoen, facteur de pianos droits, carrés et à queue, à 7 octaves, perfectionnés, garantis 3 ans, Basse-du-Rempart, 46; B. 1839, A. 1844, A. Acad. Ind. 1843 et 1844." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1846, p. 559 (gallica.bnf.fr)

"Schoen, facteur de pianos droits, carré et à queue, à 7 octaves, perfectionnés, garantis 3 ans, Basse-du-Rempart, 46; B [bronze] 1839, A [argent] 1844, A [argent] Acad. Ind. 1843 et 1844." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1848, p. 513 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "M. Schoen, à Paris, rue Richer, 42. - Il expose un piano carré à trois cordes et un pianino à trois cordes qui a mérité d'être placé le premier des instruments de cette espèce. Récemment établi, il confectionne par an trente-six pianos et occupe douze ouvriers tant dans ses ateliers qu'à l'extérieur." Rapport du Jury Central, Exposition, des produits de l'Industrie Française en 1839, M. Savart, rapporteur, 1839

PARIS - "M. Schoen, également né en Pologne, s'est fixé à Paris après avoir travaillé dans les ateliers d'Allemagne, d'Angleterre et de France. Parmi les instruments exposés parce jeune et habile facteur, on a surtout remarqué un pianino d'un extérieur très élégant, orné dans le goût de la renaissance, et qui brillait encore davantage par la beauté du son. Sous ce rapport il a été même classé en première ligne au concours dans la catégorie des pianinos. Ce résultat a été obtenu pur une ouverture et un nouveau barrage delà table d'harmonie servant à augmenter la puissance de la sonorité. En outre, M. Schœn a perfectionné le mécanisme en appliquant à ses pianinos un nouveau système de fourches en cuivre. Cet instrument est à six octaves et demie, avec quatre touches ajoutées montant jusqu'au la. Pour le piano carré M. Schœn a adopté le sommier prolongé en fer ou en bois garni de cuivre; le mécanisme fonctionne dans des fourches en cuivre d'un nouveau modèle, et qui en garantissent la solidité. M. Schœn, qui se présentait pour la première fois à l'exposition, y a trouvé les encouragements qu'il méritait : il a reçu la médaille de bronze." Revue et gazette musicale de Paris, Volume 6, 1839, p. 323

PARIS - "72. — SCHOEN, facteur de pianos, à Paris, rue Basse-du-Rempart, n. 46.
Les pianos de M. Schoen se recommandent assez par leur bonne confection et leur fini pour qu'il ne soit pas nécessaire de s'étendre à ce sujet; cependant il peut être utile de rappeler qu'il a obtenu à l'exposition nationale de 1839 une médaille pour la supériorité de ses instruments. Il expose un piano droit d'un nouveau modèle, remarquable par la force, la qualité des sons, et l'élégance de son extérieur."
6e exposition des produits des membres de l'Académie de l'Industrie, à l'Orangerie des Tuileries en 1842, p. 36 (gallica.bnf.fr)

(la suite )

 

 

'Facteur de pianos' carrés, pianos droits et pianos à queue ca. 1836-77

SCHOEN Fils, époux de VIVIEN (1852)(¹⁰)

SCHOEN & LAVAL (***1869)(**1870)(**1871)

1869 - "TRIBUNAL DE COMMERCE DE LA SEINE. Dépôt au Greffe. — Actes de sociétés. [...] Schoen et Laval, pianos, boul. Malesherbes, 42. (Acte s. s. p., 23 juillet.)" Journal officiel de l'Empire français, 25/07/1869, p. 1306 (gallica.bnf.fr)

SCHOEN C. (**1873)(**1877)


(la suite)

PARIS - "M. SCHOEN, à Paris, rue Basse-du-Rempart, 46. - M. Schoen a exposé un piano à queue de grand format, qui a obtenu le sixième rang au concours, et un piano droit à cordes obliques placé au onzième rang. Il confectionne quatre-vingt-dix pianos par an et occupe vingt-deux ouvriers. M. Schoen est un artiste habile qui mérite à tous égards la médaille d'argent que le jury lui décerne." Rapport du Jury central, Paris Jury central, Imprimerie de Fain et Thunot, 1844, p. 540

PARIS - "1002. Schoen fabricant de pianos, rue Basse-du-Rempart, 46, à Paris, B. 1839 ; A. 1843; exposition de l'industrie ; expose : Un piano à queue, sept octaves en la ; un piano carré, sept octaves ; un piano droit, nouveau modèle, en ébène, avec ornements dorés, style renaissance, d'une beauté remarquable. La fabrique de cet exposant occupe une place distinguée dans le monde commercial, et jouit d'une honorable réputation parmi les artistes et les amateurs : elle doit ces avantages à la parfaite exécution de ses instruments et à leur solidité." Catalogue explicatif et raisonné des produits admis à l'exposition quinquennale de 1844, p. 211 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "[texte idem à 1845]" Expo 1843 - 7e exposition des produits des membres de l'Académie de l'Industrie, à l'Orangerie des Tuileries en 1843, p. 96 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "200. —SCHOEN, facteur de pianos, à Paris, rue Basse-du-Rempart, 46.
Les pianos droits que M. Scboen a exposés en 1839 ont été cités au premier rang et lui ont valu l'honorable encouragement d'une médaille, et une réputation méritée par la rondeur, l'égalité et la force des sons.
Il expose aujourd'hui un piano à queue à sept octaves complètes (du la au la), et un piano droit. Ces instruments réunissent toutes les qualités des premiers, et de nouveaux perfectionnements apportés à leur confection ne laissent rien à désirer sous le double rapport de la bonté et du fini joints à l'élégance de l'extérieur." Expo 1845 - 8e exposition des produits des membres de l'Académie de l'Industrie, à l'Orangerie des Tuileries en 1845, p. 88 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "[texte idem à 1845]" Expo 1846 -  9e exposition des produits des membres de l'Académie de l'Industrie, à l'Orangerie des Tuileries en 1846, p. 32 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "M. Schœn avait exposé plusieurs pianos de différents genres; le jury, voulant récompenser les efforts de cet artiste, lui accorde le rappel de la médaille d'argent qu'il avait obtenue en 1844." Rapport du Jury central, Paris Jury central, 1849

Médaille de bronze Paris, 1839 | Liste des exposants Paris, 1842 | Liste des exposants Paris, 1843 | Médaille d'argent Paris, 1844 | Liste des exposants Paris, 1845 | Liste des exposants Paris, 1846 | Rappel de médaille d'argent Paris, 1849

 

34, rue Richer (+1836)(arr.9), 42, rue Richer (*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(*1840)(x1840)(***1841)(arr.9), et 46, rue Basse-du-Rempart (x1840)(**1841)(*1842)(**1843)(x1843)(**1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(x1852)(**1854)(arr.9), 12, rue de la Vieille Boucherie (1852)(¹⁰)(arr.5), 15, rue de la Neuve Vierge (1852)(¹⁰)(arr.7), 3, passage de la Meule (*1855)(arr.?), 42, boulevard Malesherbes (***1869)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(arr.8), Paris
SCHOENEWERK Louis  

'Facteur de pianos' droits dès 1840-63

'Ouvrier employé de la maison ERARD' (barre d'adresse)

Brevet de 1848 : "Schœnewerk établit un piano à cordes obliques avec pédale expressive, opérant non plus par choc et subitement, mais d'une manière progressive." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861

  Brevet d'invention, 1863

 

Rennes
SCHOLTUS A. Fils 'Facteur de pianos' ca. 1875

11bis, rue de Maubeuge (*1875)(arr.9), Paris

SCHOLTUS Pierre

(ca. 1812 - ?)

 

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'Facteur de pianos'  (°1848)

Paris

SCHON Bernard  

'Facteur de pianos' ca. 18??

Un certain Bernard SCHON (le nom semble indiquer une origine alsacienne), facteur de piano-forte.

 

Angers
SCHÔNE Jean Godefroi
| Godefroy

(1775 - ?)(¹²)

"Schône dit Godefroy, f. claviers pour forté et orgues, r. Harlay, au Marais, 6."  Almanach du commerce de Paris, 1827, p. 132 (gallica.bnf.fr)

 

'Facteur de pianos' ca. 1819-48

Il était né en 24/08/1775.
son pays d'origine était Haute-Saxe (aujourd'hui Allemagne), à Zörbig. Sa profession était ébéniste avant d'établir comme facteur de claviers pour pianos à Paris. Il a demandé sa naturalisation en 1833. (¹²)

Voir GODEFROID dit SCHÔNE

 

67, rue Montmartre (*1819)(arr.2), 6, rue Harlay au Marais (*1820)(x1823)(x1825)(x1827)(x1829)(*1833)(z1835)(**1836)(**1837)(*1838)(x1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(**1841)(*1843)(arr.1), 71, boulevard Saint-Antoine (x1839)(arr.4), 71, boulevard Beaumarchais (**1837)(*1838)(x1840)(**1841)(arr.4), 18, rue Geoffroy L'Asnier (*1848)(arr.4), Paris

SCHÖRNSTEIN
| SCHÖNSTEIN

 

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1866-1913 [depuis 1866 (x1912)(*1913)]

Repris par TOURNIAIRE dès (°1868)

SCHÖNSTEIN Mlles. (xx1890), 'Musikal.- u. Piano-Handlung'

Repris par STRUBIN-TOUNIAIRE H. (x1912)(*1913), voir ci-dessous

 

Faubourg de France (xx1890), 34, rue du faubourg de France (x1912)(*1913), Belfort
SCHOTT Frères  

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'Facteur de pianos'  (°1818) Mayenne | Paris | Bruxelles | Anvers | Londres
SCHOTT Thiébaut Antoine

(1797 - 1836)

 

 

Piano carré ca. 1820-30,
Collection Eric Feller, Allemagne

 

'T. A. Schott, Fabricant de physharmonicas, Strasbourg, Breveté par sa Majesté'

Piano carré ca. ? (la table d'harmonie comporte la mention «Schott élève de Loegel», Musée des Arts décoratifs de Strasbourg, France
Piano carré ca. 1820-30, Collection Eric Feller, Allemagne
Piano carré n° 433 ca. 1820-30, nterencheres.com 11/2024

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1820-32 (*1832), et il est né à Rothau dans le Bas Rhin.

GRUCKER & SCHOTT ca. 1830

"Schott, Thiebaut-Antoine, facteur de Pianos. Maît. Né à Rothau, le 15 Janvier 1797. Init. 29. X. 5822." Tableau général de la loge symbolique et du souv. Chapitre de la vraie..., 1834

SCHOTT (x1839)(***1842)

SCHOTT a été l'élève de LOEGEL Chrétien.

Brevet de 1830 : "Gruker (Jean-Gustave), libraire et Schott (Thiébaut-Antoine), fabricans d'instrumens à Strasbourg (Bas-Rhin) à 3 avril 1830. Instrument de musique qu'ils nomment physarmonica (5 ans)." Recueil industriel, manufacturier, agricole et commercial, de la..., Volume 15, 1830, p. 266   - ou la description complète dans Description des machines et procédés..., Volume 30, Numéros 2806 à 2930, 1836, p. 165-169 et image 31 p. 477

 

Strasbourg
SCHOTTE  

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'Facteur de pianos'  (°1850) Paris
SCHOTTE & Co  

Facteur et/ou marchand de pianos et éditeurs de musique ca. 1921-22

SCHOTTE & Co à Boulogne-sur-Mer en 1921, comme Successeur de HANON (°1873)

 

1, Impasse rue de Lille (**1921)(*1922), Boulogne-sur-Mer

SCHOTTE & MERTENS  

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1859-63

SCHOTT [sic] & MERTENS (*1859)(x1863)

SCHOTT (**1864)

Voyez aussi  SCHOTTE (°1850) et MERTENS (°1850)

"Schotte et Mertens, pianos droits et obliques, échange et location de pianos, envoie en province et à l'étranger, Crussol, 12." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1859, p. 814 (gallica.bnf.fr)

 

12, Passage Saint-Sébastien (*1859)(arr.11), 12, rue de Crussol (xx1858)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(x1863)(arr.11), 1, Passage Saint-Sébastien (xx1861)(**1864)(arr.11), 6, rue Saint Pierre Popincourt (?)(arr.11), Paris
SCHOULOFF  

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 18??

 

France
SCHOULER Charles Gaspard 'Fabricant de pianos' ca. 1843  

18, rue de Paradis (1843)(¹⁰)(arr.10), Paris

 

SCHOUSEN C.

 

 

 

'Facteur de pianos' droits ca. 1859-98

SCHOUSEN C. (xx1890), 'Pianofabrikant'

1866 - "Lundi, à une heure de l'après-midi, un violent incendie a éclaté au bois de Romainville, rue de Paris, 24, dans la fabrique de pianos de M. Schousen. En moins d'une heure, ce vaste établissement a été tout en flammes. Le feu a été maîtrisé à cinq heures du soir, mais il a fallu le combattre énergiquement jusqu'au matin. La cause parait être accidentelle : 26 pianos confectionnés, un grand nombre en cours de fabrication, un outillage de la valeur d'au moins 10,000 fr., une grande quantité de bois ouvrés ont été la proie des flammes. Le dommage est évalué à 160,000 fr. au moins. Le tout est assuré. Les maisons voisines ont pu être préservées." Moniteur belge: journal officiel, 20/06/1866, p. 3204 et Le Petit Journal, 20/06/1866, p. 2 (gallica.bnf.fr)

 

Fabrique : 24, rue de Paris (1866), Romainville

11, rue des Récollets (*1859)(arr.10), 13, rue des Récollets (**1864)(arr.10), 52, rue du Faubourg Saint-Denis (**1870)(arr.10), 23, rue Albouy (**1871)(**1873)(*1875)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(arr.10), 22[sic], rue Albouy (*1876)(arr.10), 21, boulevard de Strasbourg (**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(xx1890)(*1893)(**1898)(arr.10), Paris

SCHOUTHEER H.  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1905-21 [depuis 1896 (x1912)]

Arras

Successeur de CHARLANT (°1860); (*1906)(*1913)(**1921)

SCHOUTHEER-BERCHE (x1912), 'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.' à Arras

Paris-Plage

'Händler mit Musikal., Pianos u. Musikinstr.' (x1912) à Paris-Plage

 

 

MAISON PRINCIPALE : 57, rue Saint-Aubert (*1905)(*1906), 52-54, rue Saint-Aubert (x1912)(*1913)(**1921), Arras

SUCCURSALE : 4, rue de Paris, villa Bleuette (*1913), 52, rue de Paris (**1921), Paris-Plage (Le Touquet)

 

SCHREIBER  

Quatre pianos carrés de 1831, sans numéro, mentionné dans les archives de vente de PLEYEL de 1831-32, p. 76

 

'Facteur de pianos' ca. 1831 Paris ?
SCHRECK Philippe

(? - 1869)

 

'Facteur de pianos' ca. 1849-78

SCHRECK Philippe, Facteur de pianos était marié avec GUILLERY Joséphine Désirée. Un acte de 01/04/1870, acte 261 (nl.geneanet.org), parle qu'il est décedé le 24 octobre 1869. Les héritiers étaient sa femme et ses enfants Marie Désirée majeur Eugène Louis et Emile Maurice mineur.

SCHRECK Philippe (**1849)

Membre d' ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris (°1849)

YOT E. & SCHRECK & Cie (°1849), associé de YOT vers 1855.

Mention honorable Paris, 1855 | Mention honorable Paris, 1867 | Médaille de bronze Paris, 1878

 

22, rue Bellefond (*1849)(arr.9), 117, rue du faubourg Saint-Denis (1852-53)(¹⁰)(arr.10), 162, rue du Faubourg Saint-Denis (1855)(arr.10), 66, rue des Poissonniers (*1867)(arr.18), 31, rue Labat (1869)(acte 261)(arr.18), 54, rue des Poissonniers (1878)(arr.18), Paris
SCHROEDER Gerd  

"Schrœder (Jean-Louis-Désiré), naquit à Paris, 64, rue Montorgueil, le 24 décembre 1828, fils de Gerd-Schrœder, facteur de pianos, et d'Anne-Marie-Charlotte Balbien." Dictionnaire des sculpteurs de l'Ecole française au dix-neuvième siècle, 1914-21, p. 247 (gallica.bnf.fr)

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1828-34

Il y avait un SCHRÖEDER qui était 'finisseur' chez PLEYEL ca. 1840-57 (²⁰)

 

 64, rue Montorgueil (1828)(arr.2), 8, rue Marie-Stuart (xx1834)(arr.2), Paris
SCHROEDER H.  

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 18??

 

Paris
SCHUBLEART  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 18??

 

Paris | Londres
SCHUG Rudolf & Söhne  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 19??

 

Klingenthal (Bas-Rhin)
SCHULLER-LACOMBE  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1924-26

Succ. de E. PEFFER et de LACOMBE(x1926)

'Fournisseurs de l'Armée' (1924) ------- 'Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926)

 

MAISON PRINCIPALE : Strasbourg

SUCCURSALE : 7, rue Saint-Georges (x1926), Nancy

SCHÜLTZ Frédéric Henri Chrétien

(1799 - ?)

 

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'Facteur de pianos'  (°1835) Marseille
SCHULZ & Cie  

Brevet de 1892 : "223451. Brevet de quinze ans, 4 août 1892; Schulz, représenté par Nauhardt, à Paris, boulevard de Magenta, n° 30. Dispositif réglable pour tendre la table d'harmonie des pianos." Bulletin des lois de la République française, 07/1893, p. 641 (gallica.bnf.fr)

Facteur de pianos' droits, pianos automatiques et orchestrions ca. 1913 79, Avenue du Pont-de-Saint-Ouen (*1913), Gennevilliers (Seine)
SCHUMACHER Henri

(ca. 1758 - 1825)(¹⁰)

'Fabricant de harpes' ca. 1825

Époux de SURET Marie Anne (¹⁰)

7, rue Lesdiguières (1825)(¹⁰)(arr.4), Paris
SCHUMACHER Otto Facteur et /ou marchand de pianos ca. 1912-26 [depuis 1896 (x1912)(x1926)]

'Uhrmacher, führt auch Pianos, Musikw., Musikinstr. u. Sprechm.' (x1912)(x1926)

66-68, Vaubanstrasse (x1912), 84, Vaubanplatz (x1926), Mulhouse
SCHUMACHER Michel 'Fabricant de pianos' ca. 1820-25

Époux de PICARD Amable Prudence (¹⁰)

 

112, rue Saint-Martin (*1820)(1821)(¹⁰)(x1823)(arr.3), 23, rue Traversière Saint-Honoré (x1825)(arr.12), Paris

 

SCHUMANN Robert  

 

SOUS-MARQUE

'SCHUMANN-Paris' et/ou 'Robert SCHUMANN', Marque déposée sont probablement des sous-marques de VERCRUYSSE C. & DHONDT O. à Lille

Lille
SCHUMMACHER Martin  

'Fabricant de pianos' ca. 1820

Époux de PICARD Amable Prudence (¹⁰)

 

112, rue Saint-Martin (1820)(¹⁰)(arr.4), Paris
SCHUSTER Georges 'Fabricant de pianos' ca. 1847-52

Époux de DIETRICH Madeleine (1847)(¹⁰)

 

1er, rue de Chabrol (1847)(¹⁰)(arr.10), 137, rue du faubourg Saint-Martin (1852)(¹⁰)(arr.10), Paris

 

SCHWANDER G.  

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 18??

Probablement ci-dessous une marque fausse: voyez le nom : "SCKWANDER".

 

Paris
SCHWANDER Henry  

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'Facteur de pianos' et successeur de DIETRICH (°1849)

 

Paris
SCHWANDER Jean

(1812 - 1882)

 

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'Fabrication de mécaniques - équipe presque tous les pianos français et pianos pneumatiques'  (°1835) Paris
SCHWANDER Pierre Jacques  

"Schwander (Jacques), vente, location, accord, échange, réparation, à Montmartre, Chaussée Clignancourt, 9." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1859, p. 814 (gallica.bnf.fr)

 

 

'Facteur de pianos' et 'mécaniques pour pianos' ca. 1851-59

SCHWANDER & KUTT (x1851), voir KUTT

1851 - "SOCIÉTÉS. Etude de Me PLUOT, huissier, rue des Déchargeurs, 3. D'un acte sous seing privé, fait double à Paris le vingt-cinq mai mil huit cent cinquante-un, enregistré, il appert qu'une société en nom collectif est formée pour six ans, à commencer du premier juillet mil huit cent cinquante-un, pour la fabrication des mécaniques pour pianos, entre : M. Pierre-Jacques SCHWANDER, mécanicien pour pianos, demeurant à Montmartre, chaussée de Clignancourt, 77, et M. André KUTT, aussi mécanicien pour pianos, demeurant à Montmartre, rue Dejean, 3, sous la raison sociale SCHWANDER et KUTT. Le siège social est à Montmartre, rue de la Nation, 6, et chacun des associés aura la signature sociale pour les opérations de la société; la signature seule d'un des associés n'obligera pas la société. Le capital social est de quatre mille francs, partie eu espèces, partie en oulils, apporté par nioiliê par chacun des associés. Pour extrait: PLUOT." Gazette des Tribunaux, 31/10/1851, p. 4 (data.decalog.net)

1852 - "SCHWANDER Pierre Jacques, mécanicien pour pianos, associé, à Montmartre (près Paris, Seine) chaussée de Clignancourt et alors (maintenant) rue de la Nation, n° 6. Cité le 30/01/1852, dans un acte sous seing privé comportant dissolution entre ledit et KUTT André, aussi mécanicien en pianos, lui, aussi à Montmartre, à la seconde adresse, n° 3.
Source : Archives de Paris/Tribunal de Commerce/D31u3-174/pièce n°307/LEBRUN Georges Claude."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

SCHWANDER, KUTT & HEMMERDIN (y1857)

1854 - "Suivant acte passé devant M. Fournier, notaire à La Chapelle Saint-Denis, assisté de témoins, le quatorze septembre mil huit cent cinquante-quatre, enregistré, M. André KUTT, mécanicien pour pianos, demeurant précédemment a Montmartre, rue de la Nation, 6, et depuis à La Chapelle-Saint-Denis, rue de la Goutte-d'Or. M. Pierre-Jacques SCHWANDER, de même profession, demeurant au même lieu, mêmes rue et numéro. Et M. Henri HEMMERDIN, facteur de pianos, demeurant à Montmartre, rue de la Nation, 6, et précédemment rue Lévisse, 7 ; Après avoir expose que, suivant contrat passé devant ledit M. Fournier, notaire, le treille janvier mil huit cent cinquante-deux, ils ont formé entre eux une société en nom collectif, pour la fabrication des mécaniques pour pianos, sous la raison sociale : SCHWANDER, KUTT et HEMMERDIN, et que celle société a été contractée pour trois, six ou neuf années, au choix respectif des associés, à compter du premier février mil huit cent cinquante-deux. et avec faculté à chacun d'eux de faire cesser ladite société à l'expiration de la première ou de la seconde période, en prévenant ses co-associés six mois d'avance, Ont, d'un commun accord, consenti à ce que ladite société cessât à l'égard de M. Kutt à compter du jour de l'acte ci-extrait; Et MM. Schwander et Hemmerdin ont déclaré vouloir coulinuejJ ladite sociélé dans les termes arrêtés par eux suivant le contrat sus-daté, sans autre modification que celle touchant la raison sociale, qui est désormais : SCHWANDER et HEMMERDIN. Pour faire publier l'acte ci-extrait, tout pouvoir a été donné au porteur d'une expédition ou d'un extrait. Signé: FOCRNIER." Gazette des Tribunaux, 24/09/1854, p. 4 (data.decalog.net)

1857 - "Suivant acte reçu par Me Fornier, notaire à La Chapelle-Saint-Denis, soussigné, le vingt-neuf avril mil huit cent cinquante-sept, enregistré, M. Pierre-Jacques SCHWANDER, facteur de pianos, demeurant à Paris, rue du Bac, 93. Et M. Henri HEMMERDIN, mécanicien pour pianos, demeurant à Montmartre, rue de la Nation, 6. Ont déclaré dissoute, à compter du jour de l'acte ci-extrait, la société formée ous la raison sociale SCHWANDER, KUTT et HEMMERDIN, ainsi qu'il résulte d'un acte reçu par ledit Me Fournier le trente janvier mil huit cent cinquante-deux, et depuis modifiée par le retrait de M. Kutt, et continuée sous la raison sociale SCHWANDER et HEMMERDIN, en vertu d'un acte reçu par le même notaire le quatorze septembre mil huit cent cinquante-quatre. MM. Schwander et Hemmerdin ont reconnu que la liquidation de cette société avait lieu entre eux. Pour extrait : Signé : Fournier." Gazette des Tribunaux, 08/05/1857, p. 4 (data.decalog.net)

SCHWANDER & HEMMERDIN (xx1858)

Repris par HEMMERDIN Henri dès 1858. Et SCHWANDER travaillait pour son propre nom.

 

77, chaussée de Clignacourt (x1851)(arr.18), rue de la Goutte-d'Or (xx1854)(arr.18), 6, rue de la Nation (1852)(¹⁰)(xx1854)(1855)(y1857)(xx1858)(arr.12), 93, rue du Bac (y1857)(xx1858)(arr.7), fabrique : 77, rue de Ménilmontant (xx1858)(arr.20), 9, Chaussée de Clignancourt (xx1859)(arr.18), Paris
SCHWEIKART Jean Baptiste Jérémie
| SCHWEICKHART

(1751 - 1819)

 

signature sur un orgue de 1783

Orgue de 1783, Historisches Museum Basel, Suisse
Orgue de 1784, église de Dorlisheim, France

"J.-B. Schweickart (1751 - 1819) :
Un des plus remarquables facteurs d’orgues parisiens vers 1787", Daniel PIOLLET,  Rencontres Harmoniques de Lausanne 2006)

 

 

'Facteur d'orgues' ca. 1781-1820; (*1802)

"Des autres facteurs d’orgues, il n’y a rien à dire, si ce n’est que J. B. Schweickhart, (1781-1816)[sic] avait fait, en 1781, l’orgue saisi chez Papillon de la Ferté, lors de son arrestation en l’an III." Constant Pierre, Les facteurs d'instruments de musique, 1893

1793 - "SCHWEIKERT Jean Baptiste. (ou Schweikart), facteur d'orgues, rue de la Poterie, n° 10, avant, rue de la Tixeranderie, à Paris depuis 1771. Cité comme étant détenteur d'une carte de sûreté établie le 22/07/1793. Il est âgé de 40 ans, né à Ottobeyren, Bavière
Source : AN/F7/4786/157/BOURMAUD Paulette."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

"Effets de feu M. Roslin, anc. Fermier-général. 1° [...] Le 27 & le 28, très bel Orgue de Schweickart, en bois d'acajou, [...]" Affiches, annonces et avis divers, ou Journal général de France, 07/1790, p. 2531 (gallica.bnf.fr)

 

rue de la Poterie (*1783)(1784)(arr.4), 24, rue de la Poterie (*1788)(x1789)(arr.4), 10, rue de la Poterie (1793)(¹⁰)(arr.4), 105, rue Cul-de-Sac-Coqueret (*1802)(*1803-1804)(arr.5), 87, Hôtel Soubise, rue Vieille-du-Temple (*1807)(arr.3), 49, rue du faubourg Saint-Antoine (*1809)(arr.11), 29, rue des Ecouffes au Marais (x1820)(arr.4), Paris
SCHWARTZ
| SCHWARTS
 

'Facteur de Pianos' ca. 1850-61

1861 - "Publications de Mariages. Du 17 au 24 novembre. [...] 11° arrondissement. - Entre : [...] M. Schwartz, facteur de pianos, rue des Cinq Moulins, 12, et Mlle Gerber, rue des Couronnes, 5." La Presse, 22/11/1861, p. 3 (gallica.bnf.fr)

 

12, rue des Cinq Moulins (**1861)(arr.18), Paris
SCHWERR Jean 'Facteur de Forte-Piano' carrés ca. 1782-83 rue des Fossés Saint-Germain (xx1782)(*1783)(arr.6), Paris
SCHWEYER 'Facteur de pianos' ca. 1850-64  

46, rue de la Fontaine-au-Roi (*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(x1863)(yy1864)(arr.11), Paris

 

SCIEBERT Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1801

'Marchand de musique' (*1801)

rue de la Loi (*1801)(arr.8), Paris
SCHWINDT Jean Philippe 'Facteur de Pianos-Forte' ca. 1787  Paris
 

SCILLÉ J. B.

 

'Facteur de pianos' ca. 1850-60 Toulouse
SCOTT  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 18??

 

Paris - Londres
SCREPEL-POLLET  

MARQUE

'SCREPEL-POLLET- PIANOS -ROUBAIX' dès 1909 (²¹)

"Pianos de tous facteurs Erard, Pleyel, Gaveau, Burgasser, etc. Vente, location, échanges, accords, réparations. 50 pianos en magasin. E. SCREPEL-POLLET. 138bis, Grande-rue, Roubaix. Maison de confiance." Journal de Roubaix, 24/12/1895, p. 4 (bn-r.fr)

La Maison SCREPEL-POLLET, Pianos, 138, Grande-Rue, Roubaix, nous informe qu’à titre d’agent régional de la marque Gaveau, elle ouvrira, lundi prochain 8 septembre, une maison à Lille, 73, rue Esquermoise. Elle y mettra en vente, outre tous les modèles droits et à queue de pianos et autopianos Gaveau, un magnifique choix de pianos de toutes marques." L'Écho du Nord : journal politique, administratif, commercial et littéraire, 05/09/1924, p. 2 (gallica.bnf.fr)

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos droits et instruments automatiques et accordeur ca. 1895-1929

Roubaix

SCREPEL-POLLET E. (**1895)

SCREPEL-POLLET (x1906)(x1912)

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung u. Reparatur-Werkstatt' (x1906) -------  'Musikal.-, Piano-, Harmonium-, Musikinstr. u. Saiten-Händler' (x1912)(x1926)

SCREPEL-POLLET & Cie (1912)(*1913)

1912 - "Roubaix.— Formation.—Soc. en nom collectif SCRÈPET [sic]-POLLET pianos et instruments de musique, 138, Gde-Rue. — 250,000 fr. — 30 mai 1912." Archives commerciales de la France, 03/07/1912, p. 926 (gallica.bnf.fr)

SCREPEL-POLLET (x1926)

Leurs pianos automatiques étaient producés par NALLINO (1872)

Lille

SCREPEL-POLLET (x1926), 'Piano-Handlung' (x1926)

138bis, Grande-rue (**1895)(x1906), 138, Grande-rue (*1905)(*1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913)(**1921)(y1924)(x1926), Roubaix

 73, rue Esqermoise (y1924)(x1926)(*1929), Lille

SCUOPPO Pierre  

'Facteur de pianos' ca. 1921-26

'Maunufacture de pianos automatiques' (**1921) ------- 'Fabrik Selbstspiel. Pianos' (x1926)

 

30, boulevard de la Corderie (**1921)(x1926), Marseille
SECURET Paul

(? - 1842)(¹⁰)

'Accordeur et facteur de pianos' ca. 1842 16, rue du Cloître (1842)(¹⁰)(arr.4), Paris
SEEGER Ad.

Quelques pianos ont été fabriqués par : SCHINDLER (°1884) | LEGUERINAIS (°1856)

 

'Facteur de pianos' droits ca. 1904-32

Successeur de CREMER (°1874)

'Piano-Handlung' (x1912) ------- 'Marchand de pianos' (z1931)

"Le piano portatif. Ce piano est construit par M. Seeger, 32, boulevard de Strasbourg, Paris." La Nature - Revue des sciences et de leurs applications aux arts et à l'industrie, Volume 60, 1932, p. 45

Brevet de 1904 : "Brevet de quinze ans, 22 septembre 1904 ; Seeger (A.), à Paris, rue du Bac, n° 134. — Mécanisme pour piano droit à double échappement." Bulletin des lois de la République française, 1905, p. 1434 (gallica.bnf.fr)

Brevet de 1906 : "371986. Brevet de quinze ans, 6 février 1906; - Seeger (A.), représenté par la société Ch. Thirion et J. Bonnet, à Paris, boulevard Beaumarchais, n° 95. Perfectionnements aux mécaniques de pianos." Bulletin des lois de la République française, 01/1908, p. 1859 (gallica.bnf.fr)

 

134, rue du Bac (1904)(arr.7), 76, rue du Château d'Eau (*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.10), 35, rue du Château d'Eau (F1923)(arr.10), ateliers : 55, rue du Château d'Eau (**1911)(**1912)(x1912)(**1914)(yy1914)(**1921)(*1922)(x1922)(F1923)(z1931)(arr.10), 32, boulevard de Strasbourg (*1929)(z1931)(1932)(arr.10), Paris
SEEGER Albert Facteur et/ou marchand de pianos droits et réparations ca. 1921-29 16, Cité Falaise (**1921)(*1922)(x1922)(*1929)(arr.18), Paris
SEFFERT Auguste  

'Finisseur de pianos' ca. 1879

Cité le 22/02/1879, lors de l'enregistrement dudit et disparu hier. Il est âgé de 32 ans. (¹⁰)

 

144, boulevard de Belleville (1879)(¹⁰)(arr.20), Paris
SÉGARD  

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 18??, probablement celui de Levallois ou de Soissons, ci-dessous.

 

[Paris]
SÉGARD  

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1912

 

36, rue Chaptal (**1912), Levallois-Perret
SÉGARD Lucien  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890-1926 [depuis 1848 (*1913)(**1921)(x1926)]

SÉGARD (xx1890)(x1906)

'Musikinstr.-Handlung' (xx1890) ------- 'Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906) ------- 'Händler mit Pianos, Harmoniums, Musikinstr. u. Phonographen' (x1912) ------- 'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums, Musikinstr. u. Sprechm.' (x1926)

SÉGARD L[ucien] (x1912)(*1913)(**1921)(x1926)

 

18, rue du Collège (x1912)(*1913), 9, rue du Collège (**1921), 7, rue Thiers (x1926), Soissons
SEGLIERI Dante
| SEGHIERI
 

1928 - "Arrestation de trois incendiaires. M. DANTE SEGLIERI ET SES DEUX FILS ACCUSES D'AVOIR MIS LE FEU A LEUR FABRIQUE DE PIANO SONT ARRETES

Marseille, 27 février. — Hier soir le feu éclatait soudain dans la fabrique de pianos que dirigent, 78, boulevard Bopard, M. Dante Seglieri et ses fils Virgile, 27 ans, et Saturnin, 33 ans.

L'alarme fut aussitôt donnée et bientôt les familles logées dans la maison menacée se mettaient en mesure d'arriver jusqu'au foyer.

La besogne fut assez difficile. Des portes, des fenêtres furent brisées ; enfin les sauveteurs arrivèrent dans le local de la fabrique, où fort heureusement ils purent rapidement éteindre le feu.

 

 

'Fabrique de pianos' ca. 1926-28

'Fabrik selbstspiel. Pianos' (x1926)


(la suite)


Mais le commissaire de police appelé aux Constatations, fit de graves découvertes. En effet, quatre doyers furent repérés. Des boîtes en fer pleines de pétrole furent retrouvées ; à proximité de ces boîtes des bois découpées prêts à flamber et une bouteille de pétrole brisée furent aussi découverts."
L'Echo d'Alger : journal républicain du matin, 28/02/1928, p. 6 (gallica.bnf.fr)

 

78, boulevard Bopard [Bompard] (x1926)(**1928), Marseille
SEGLOB
| SEYBOLD
 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1931

'Marchand de pianos' (z1931)

Voir   SEYBOLD (°1911)

 

27, rue de Maubeuge (z1931)(arr.9), Paris
 

SEGRETIN Noël Louis

(ca. 1817 - 1867)(¹⁰)

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1867

Célibataire (¹⁰)

 

8, petite rue Saint Pierre [Amelot](1867)(¹⁰)(arr.11), Paris
SEIFFERT A.  

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1929

 

104, rue Saint-Maur (*1929)(arr.11), Paris
SEILLÉ  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906

'Piano- u. Orgel-Handlung' (x1906)

196, cours Victor Hugo (x1906), Bordeaux
SEILLÉ  

'Facteur de pianos' ca. 1875-76

13, place des Blancs (*1875)(*1876), Toulouse
SEILLE  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1884-88

23, rue Grenelle-St-Germain (**1884)(**1885)(**1888)(arr.7), Paris
SEITZ Clodius  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890-1921; (xx1890)

'Musikal.-, Piano u. Instr.-handlung' (xx1890) ------- 'Piano-Handlung' (x1912)

 

9, rue du Phénix (x1912)(*1913)(**1921), Roanne
SELTER 'Facteur ordinaire des maisons J. & R. des Filles de la Légion d'honneur' ca. 1813 [rue Barbette (1821)], Paris
SELMER Henri  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1913-21 [depuis 1885 (*1913)(**1921)]

Successeur de SAX Adolphe (°1843) vers 1928

 

 

MAISON PRINCIPALE : 8, rue Lebouteux (*1895)(*1896)(arr.17), 4, Place Dancourt (*1893)(*1905)(*1906)(*1909)(*1913)(**1921)(arr.18), Paris

USINE : à Gaillon (*1921)

SUCCURSALE : 48, St-Alban's avenue Bedford Park (*1913)(**1921), Londres, U.K.

SUCCURSALE : 150, East 86th Street (*1913), 117-119, West 46th Street (**1921), New York, U.S.

 

SELVANT Barthélemy Alphonse  

'Facteur d'orgues' ca. 1866

1866 - "SELVANT Barthélemy Alphonse, Facteur d'orgues, boulevard Mazas, n° 28 à Paris 12e, Veuf en premières noces de GAMBIN Henriette, puis époux de BELTZER Claudine Marceline Françoise, revendeuse, rue Saint Bernard, n° 2 à Paris 11e (elle, veuve en premières noces de LEROY Pierre Philippe). Cité le 01/12/1866, lors du mariage dudit. Sont également cités : SELVANT Barthélemy, ébéniste et GENET Henriette Marie, décédée à Paris 13e (les père et mère de l'époux) ; BELTZER François Xavier, décédé à Gentilly, Seine, et BRIDEL Françoise Euphrosine Elisabeth, 63 ans (les père et mère de l'épouse). Témoins : BOYER Jean Baptiste, sculpteur ; CHANTEPRE Jean Louis Nicolas, ébéniste ; PRIVE Jacques, ébéniste et LONGUET Aimé, ébéniste. R : Le couple est âgé de : lui, 41 ans, né le 03/07/1824 à Paris ancien VIIIe ; elle, 26 ans, née le 03/11/1839, à Fougerolles (du Plessis), Mayenne. Source : Fichier JUHEL." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

28, boulevard Mazas (1866)(¹⁰)(arr.4), Paris
SELZER Remhold
| Rumbold | Reinhold
 

'Facteur de pianos' ca. 1852-73

Liste des sociétaires de l'Association des artistes musiciens, vers 1848-53, 1856-57, 1859, 1861 (²⁵)

 

55, boulevard Chave (xxx1852)(xxx1853)(xxx1854)(yy1856)(y1865)(x1873), Marseille
SENGER Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906)

10, rue du Moulin (x1906), Caen
SEPTIER R. Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926

'Piano-, Musikinstr.- u. Saiten-Handlung' (x1926)

19, place du Palais (x1926), Tours
 

SERAN Edouard

(ca. 1821 - 1853)(¹⁰)

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1853

168, rue de la Roquette (1853)(¹⁰)(arr.11), Paris
SERAPHIN Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1839 3, Petite rue Taranne (xx1839)(arr.6), Paris
SERGENT  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1888-1926 [depuis 1838 (*1913)(**1921)(x1926)]

SERGENT F. (*1913)(**1921)(x1926)

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstrumenten-Handlung u. Repar.-Werkstatt' (x1906) ------- 'Musikal.-, Piano-, Harmonium-, Musikinstr. u. Saiten-Handlung' (x1912)(x1926)

1, rue Colbert (*1898)(*1906)(x1906)(*1909)(x1912)(*1913)(**1921)(x1926), Tours
SERRÉ Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1921  50, Grande-rue (**1921), Sens
SERS Fils & FRESSE
| SORS
 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1913-21 [depuis 1905 (*1913)(**1921)]

 

31, boulevard Marceau (*1913)(**1921), Oran (Algérie)
 

SERUZIER

 

 Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1880-81 36, rue de Penthièvre (**1880)(**1881)(arr.8), Paris
SERVAIN H. & Cie  

Cliquez ici pour avoir accès à la notice complète dans la rubrique appropriée.

 

Facteur et/ou marchand de pianos  (°1911) Nantes
SERVAIS Henri Félix
| SERVAS

 

 

 

"Servais (Félix), fab. pianos droits, pianos à bascule, pianos obliques verticaux, pianos à queue, petit format, garantis deux ans, J.-J.- Rousseau, 15." Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, 1846, p. 559 (gallica.bnf.fr)

"Servais, fab. spéciale de pianos droits, garantis, exportation, Montmartre, 121." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1850, p. 612 (gallica.bnf.fr)

 

Facteur de pianos' droits, carrés, pianos à queue et pianos basculants ca. 1840-50

"SERVAIS, facteur de pianos et marchand de dentelles, rue Jean-Jacques-Rousseau, 15." Faillites en 02/02/1847. (*1847)(¹⁰).

15, rue J. J. Rousseau (**1846)(*1847)(x1847)(arr.1), 121, rue Montmartre (x1849)(*1850)(arr.2), Paris
SERVAN J.  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1921-26 [depuis 1918 (x1926)]

'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926)

 

6, rue de la Croix Verte (**1921)(x1926), Rouen
SERVANT Jean Gustave 'Facteur de pianos' ca. 1842 25, passage Tivoli (1842)(¹⁰)(arr.9), Paris
SERVEL Louis  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926 [depuis 1911 (x1926)]

'Editions Musicales' & 'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926)

 

3, rue Saint Denis (x1926), Montpellier
 

SERVEL M.

Pub de 1921, Musique-Adresses de 1921, p. 403

 

 

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1921-29

'Pièces détachées et répar. d'autopianistes' (*1929)

 

61, Avenue Anatole (*1929), Colombes

9, Quai Saint-Michel (**1921)(arr.5), Atelier : 16, cité Papillon (**1921)(arr.14), Paris

SERVET Jules Léon  

'Facteur de pianos' ca. 1878

1878 - "SERVET Jules Léon, facteur de pianos, rue des Islettes, n° 11 avec ses parents. Cité sur la liste des tirés de la classe 1878 à Paris 18e. Il est né le 16/05/1858 à Montmartre, Seine. Fils de François Constant et de THUMAS ? Léontine Cécile. Frère de Charles Eugène Constant, appelé de la classe 1875. Source : Archives de Paris/Listes électorales/D31u3/413/n°743/PINET Alain." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

 

11, rue des Islettes (1878)(¹⁰)(arr.18), Paris
SERWY Ernest-Joseph

(1814 - ?)(¹²)

 

'Facteur de pianos' ca. 1848-49; (**1849)

Né le 13 fevrier 1814 à Hingen (Belgique). (¹²) et Bulletin des lois de la Republique Francaise, 1849, p. 178

1848 - "BB/11/546, Dossier n°6322 X4 - SERWY, Ernest Joseph. Né(e) le 13 février 1814 à Hingen (Belgique). Qualité : facteur de pianos. Objet : naturalisation. Ouverture du dossier : 04 mai 1848." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)

Probablement un élève de ERARD :

1862 - "Atelier de M. Erard. - MM. C. Heinbach, A. Heinbach, Aboud, A. Chassac, Houpemaine, Ribinet, Régnier, Barois, Battis, Auguste Dufour, Becker, Taillant, Vibert, Bader, Bara, Bailly, L'huillier, Dutrich, Spranger, Doucet, Delecour, Thomas, Tapin, Àllinger, Serwy, Cordelier, Dorne, Audibert. Bonnardel." Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862, p. 53 (gallica.bnf.fr)

 

La Chapelle près de Paris
SÉRY Alphonse

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1860-70

Paris
SÉRY Charles  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1853-63

À Lyon se trouvait un SERY Charles, accordeur de pianos, rue de Cuire, 17. (*1853)

SERY Ces. (**1862), 'Pianos de Paris, vente, location et accords'

SERY Alex. (x1863)

 

17, rue de Cuire (*1853), 2, Place de la Préfecture (xx1857)(**1860), 7, place Impératrice (**1862), 7, place Impériale (x1863), Lyon
SÉVÉNOT-DUMÉNIL Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1885 26, rue de Navarin (**1885)(arr.9), Paris
SEVRAY  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906

'Musikal.--Handlung' (x1906)

 

51, Grande rue (x1906), Saint-Mandé
SEYBOLD René  

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Facteur et/ou marchand de pianos droits et accordéons (°1911) Strasbourg
SEYD Théodore Diederich Wilhelm Christian

(1807 - ?)(¹²)

 

'Facteur de pianos' ca. 1838

Né à Barop, Prusse, aujourd'hui Allemagne. Demandait son admission à domicile en 1838. (¹²)

Moselle
SEYRIG Jean Gotthelf
 | SEYRICH | SAURICH | Johann Gottlob

(ca. 1792 - 1867)

&

SEYRIG Jean Théophile

 

 

Nouveau piano droit ca. 1837,
  Photo chez Gallica

 

 

Piano piramidal ca. 1837, et sa signature, l'intérieur vu de dos, Cité de la Musique, Paris, France
Piano piramidal ca. 1837, Association Piano Story, Rouen, France

NOUVEAU PIANO DROIT

1837 - "NOUVEAU PIANO DROIT DU FACTEUR SEYRIG, PASSAGE DES PETITS-PÈRES, 5. Nous avons donné dans notre prospectus le dessin d'un meuble-instrument qui nous à paru fort ingénieux et qui s'achève en ce moment dans les ateliers du facteur Seyrig. Comme on a dû le voir au premier coup d'œil, ce piano a la forme d'une lyre et le clavier en est surmonté par un sujet peint à l'huile, et qui peut varier au gré de l'amateur depuis le portrait en pied, le tableau de famille ou même le simple ornement, jusqu'au paysage ou au tableau historique le mieux conçu et le plus habilement exécuté. Il est certain que la forme du piano droit se prête à des modifications nombreuses qui, réglées par un goût judicieux, pourraient lui donner un nouveau prix comme objet d'ameublement, indépendamment de l'utilité qui lui est propre comme instrument. Personne n'ignore que le piano droit, en ne le considérant que comme meuble, est universellement préféré au piano carré dont la forme lourde et anguleuse peut à peine racheter ce qu'elle a de disgracieux par l'avantage qu'on lui attribue en général de communiquer à l'instrument plus de solidité et un plus grand volume de son. Quoiqu'il en soit, le nouveau piano droit du facteur Seyrig nous semble devoir, même comme instrument, se placer en tête de ce que l'on a fait dé mieux en ce genre, jusqu'à ce jour. Nous nous bornerons à signaler les trois qualités principales du système dans lequel il est construit. D'abord les marteaux frappent en dessus, c'est-à-dire contre le sommier, comme dans tout piano droit, et quiconque est un peu au fait des derniers perfectionnemens apportés à la fabrication des pianos sait que ce système appliqué au piano carré est un des plus importans. Il en résulte, en effet, une intensité de son, une pureté que n'a jamais atteint le système dans lequel le marteau frappe en dessous La physique explique fort bien: les causes de cette différence, et ici la théorie et la pratique sont d'accord. En second lieu, par suite du renversement dans le mécanisme, la table d'harmonie qui, dans le piano droit ordinaire, se trouve placée par derrière, est ici placée par devant; c'est cette même surface couverte de peinture qui s'élève au-dessus du clavier et du même côté. Or, qui n'a apprécié la différence de son qui résulte pour l'oreille, de cette différence de disposition passez derrière au piano droit ordinaire au moment où l'exécutant est assis au clavier, et vous trouverez que pour vous le son a presque doublé de puissance et de qualité. A ces deux avantages s'en joint un troisième encore plus grand en ce qu'il procure au mécanisme tout entier Un perfectionnement qu'il attendait depuis longtemps. Il paraîtrait qu'au moyen d'une simplification qui renverse tout le système ordinaire, le marteau frappe et se relève avec une telle vivacité que le clavier se prête avec une facilité inconnue jusqu'à présent à toutes les exigences de l'exécution la plus légère et la plus brillante. La cadence surtout y gagne une netteté qu'aucun autre mécanisme n'avait sur lui donner. Il est inutile de dire que, grâce à cette modification, le mécanisme entier contracte une solidité deux fois plus grande. On sait que tel est en général l'avantage: de toute simplification, et ici le résultat ne ment pas au principe.  Or, si l'on considère que le défaut de solidité dans le mécanisme est le reproche le plus fondé que l'on ait adressé jusqu'à ce jour au piano droit, il faut reconnaître qu'en y remédiant le facteur Seyrig a rendu à son art un service essentiel dont la faveur publique ne peut manquer de lui tenir compte." Le Bazar Parisien, 1837, p. 3 (gallica.bnf.fr)

 

 

'Facteurs de pianos' carrés et des pianos droits et harpes;  ingénieurs et inventeurs ca. 1828-67

 Lettres, sciences, arts : Encyclopédie universelle du XXe siècle, 1908, p. 194

SEYRIG Théophile [ou Jean Théophile] (x1837)(1860), 'facteur de pianos, mécanicien'

SEYRIG Gotthelf [ou Jean Gotthelf], facteur de pianos (yy1845)(1860)

1866 - "Attendu qu'il est constant, en fait, qu'un incendie a, le 28 septembre 1866, détruit l'établissement de tannerie avec tout ce qu'il contenait sis a Laeken, occupé à cette époque et aussi antérieurement, à litre de bail à loyer, par Auguste Vanderkindere, corroyeur-tanneur, et appartenant à Théophile Seyrig père, décédé depuis lors, représenté par l'appelant, son fils; [...]" La Belgique judiciaire: gazette des tribunaux belges et étrangers, 1873, p. 227

PARIS - "1509 (1164). Rien n’a été accordé au piano de M. Seyrig, à Paris, galerie Vivienne, n° 5." Le musée artistique et industriel: exposition 1834, p. 200

28 ouvriers en 1839 (⁶)

"Expositions permanentes, rue de la chaussée d'Antin, n° 11 [...] Beaux et bons pianos de différentes formes, par Seyrig." Bulletin du Journal des garanties commerciales pour servir de guide aux acheteurs, 15/11/1834, p. 6 (gallica.bnf.fr)

"Seyrig, [facteur de pianos] et harpes, envoie en province, pass. des Petits-Pères, 5." Almanach du commerce de Paris, 1838, p. 177 (gallica.bnf.fr)

"A vendre D'OCCASION : Un piano de SEYRIG, à 6 octaves, carré à coings ronds et lyre (très-petit). Prix : 250 fr. [...] rue Vivienne, 2bis, au magasin de musique.Le Ménestrel, 20/11/1842, p. 3 (Gallica

"16th Feb. 1838. 7567. A grant unto Johann Gottlob SEYRIG, late of Paris, in the kingdom of France, mechanician, now of Old Compton Street, Soho, in the county of Middlesex, for his invention of “Certain improvements in expressing or extracting liquids or moisture from woollen, cotton, and other stuffs and substances, either in a manufactured or unmanufactured state”; 6 months." Titles of Patents of Invention: Chronologically ..., 1854, p. 1034

"301° Le sieur Seyrig (Gotthelf), facteur de pianos, faisant élection de domicile à Paris, chez le sieur Fleulard, demeurant rue Labruyère, n° 30, auquel a été délivré, le 29 octobre dernier, le certificat de sa demande d'un brevet d'importation et de perfectionnement de dix ans, pour une machine rotative propre à teindre, blanchir et laver les étoffes où autres matières premières." Bulletin des lois de la République Française, 1845, p. 257

"Au sieur Seyrig (J.-G.), domicilié à Bruxelles, petite rue des Bouchers, hôtel des Chasseurs-Chasteleer, un brevet d'importation de dix années, pour des perfectionnements dans la fabrication du sucre, brevetés en France pour quinze ans, le 20 septembre 1850, en faveur du sieur Seyrig (Th.)." Bulletin, 1851, p. 252

NÉCROLOGIE

1867 - "Familiennachrichten. Todesanzeige. Verwandten und den zahlreichen Freunden und Bekannten hiermitt die traurige Nachtricht, dass am 17. d. M. unser geliebter Gatte, Vater, Bruder und Onkel, Johann Gottlob Seyrig, geboren zu Mettelwitz (Sachsen), in seinem 75. Lebensjahre zu Brüssel in dem herrn entschlafen ist. Brüssel, Januar 1867. Die trauernden Hinterbliebenen." Leipziger Zeitung: Amtsblatt des Königlichen Landgerichts und des ..., 1867, p. 572

Liste des exposants Paris, 1834

INFO EXTRA

Delphine Seyrig : Une vie, 2018, p. 12

 

55, rue de Grenelle Saint-Honoré (1827-33)(x1827)(*1829)(x1829)(*1833)(+ Salons)(arr.1), 24, rue du Bouloi (x1827)(1827-1831)(x1829)(arr.1), 5, Galerie Vivienne (**1834)(x1837)(arr.2), 5, Passage des Petits Pères, Galerie Vivienne (*1835)(z1835)(*1837)(**1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(arr.2), 7, Passage des Petits Pères, Galerie Vivienne (**1836)(arr.2), 2, rue Vivienne (**1841)(xx1842)(arr.2), 6, rue des Filles-du-Calvaire (1844)(¹³)(arr.3), 22, rue Notre-Dame-des-Victoires (1850)(**1851)(y1860)(arr.2), 51, rue faubourg Saint-Martin (1851)(*1852)(arr.10), 2, rue Barbette (y1863), Paris

 Old Compton Street, Soho, in the county of Middlesex (1838)

New-Lenton, Nottingham Angleterre

petite rue des Bouchers, hôtel des Chasseurs-Chasteleer (**1851), Bruxelles, Belgique (en 1867)

 

 

SEYS  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1875

20, rue d'Alger (*1875), Le Havre
SEYTRE Claude-Félix  

'Autopanphones',  Nouveau manuel complet du facteur d'orgues, ou, Traité théorique..., Volume 3, 1849, p. 4
84

Pour voir le brevet original
voyez le site INPI
(¹³)

 

 

'Facteur de pianofortes mécaniques' ca. 1841

INFO EXTRA

Voir l'article "Piano pneumatique." (de Seytre) dans Larousse mensuel illustré, 1929, p. 41-42 (gallica.bnf.fr)

 

3, place de la Préfecture (1841)(¹³), Lyon
SHALSK  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 18??

 

Paris
SHARP  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1920

VOIR AUSSI ...

  TRIPIER

 

Paris - New York
SIBILAT  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 18??

 

Paris
SHOEHS [?]  

Piano carré ca. 1790, Eric Feller Early Keyboard Instruments Collection, Germany

'Facteur de pianos' ca. 1790 rue Saint-Honoré (1790)(arr.1), Paris
SIABAS-MAQUAIRE  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1912

'Handlung mit Musikal., Pianos u. Musikinstr.' (x1912)

 

rue Carnot (x1912), Wimmereux
SIBUET  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1875-76

 

58, quai de la Guillotière (*1875)(*1876), Lyon
SIABAS  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890-1926

Boulogne-sur-Mer

SIABAS (xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)

'Pianohandlung' (xx1890)

SIABAS-MAQUAIRE (*1903)(*1905)(*1909)

Wimereux
[depuis 1896 (**1921)(x1926)]

SIABAS A. (*1913)(**1921)

SIABAS-MAQUAIRE A. (x1926), 'Handlung mit Musikal., Pianos u. Musikinstr.' (x1926)

 

 

27, rue Monsigny (xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897), 51, rue Faidherbe (*1903), Boulogne-sur-Mer

rue Carnot (*1905)(*1909)(*1913)(**1921)(x1926), Wimereux

 

SIBAU Charles François

(1837 - ?)

 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1857

1857 - "SIBAU Charles François, Facteur de pianos, à Montrouge (près Paris, Seine). Cité sur la liste des tirages au sort de la classe 1857. Autres : SIBAU Jean François et VERON Louise François, dt adresse susdite (ses père et mère). R : il est né à Montrouge le 25/12/1837 ; taille : 1,640 ; libéré ; instruction : 1, 2." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

 

Paris
SICARD Jean-François

(1801 - 1849 ?)

 

"Sicard, facteur de pianos, tient un grand assortiment de pianos de Paris, musique nouvelle, lutherie, dépôt d'orgues et toutes espèces d'instrumens de musique; fait la pacotille, r. de la Fosse, 15." Almanach général des commerçans de Paris et des départemens : contenant plus de 100,000 adresses vérifiées à domicile, 1840, p. 1103 (gallica.bnf.fr)

"Sicard entreprend la fabrication des pianos." Histoire de Nantes sous le règne de Louis-Philippe, 1830-1848, par Félix Libaudière, 1900, p. 27 (gallica.bnf.fr)1

 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1827-51

'Facteur de pianos' (*1837)(***1841)(**1842)

'Marchand de musique' (*1832)

'Marchand de musique et facteur d'instrumens' (**1836), et probablement éditeur de musique

SICARD & Cie (x1849)

SICARD Francis dans la Liste des sociétaires de l'Association des artistes musiciens, vers 1853 (²⁵), comme professeur de piano.

"Jean François SICARD. Marchand papetier. Marchand de Musique – Facteur de pianos. Parmi les plus anciens marchands de musique et de pianos de Nantes, on note, entre 1820 et 1849, la présence de Jean-François Sicard. En 1825, il est installé comme marchand papetier à la rue de la Fosse. On apprend par Libaudière (1900), qu’il s’établit comme fabricant et/ou marchand de pianos en 1837, mais en fait dès 1831, au décès de sa fille Mélanie, il se dit déjà Marchand de musique à cette adresse. Selon L. Verbeeck, il serait facteur de pianos en 1842. Il aurait également été fabricant de pianos, sauf à considérer que la qualité de « facteur de pianos » ne concerne que le travail d’entretien et accords. On ne connaît pas de plaque d’adresse à son nom. S’il a créé un atelier de fabrication, celui-ci précède de peu celui créé en 1846 par Dominique Joseph LÉTÉ au 15, rue de Crébillon, jusque là luthier et marchand de musique. Jean François SICARD est né le 5 avril 1801 à Nantes, fils de Jean Sicard, libraire et de Jeanne Adelaïde Gallet (ou Gallé). Il est décédé le 27 juin 1849. Son affaire semble s’être arrêtée après son décès, car en 1851 il n’y a plus de Sicard au 12 rue du Commerce." J.M. Stussi, communication personnelle.

Il y a ROBIN à Nantes, 20, rue de la Fosse (1853-55)

 

15, rue de la Fosse (*1827)(*1828)(*1840)(*1841)(xx1841), rue de la Fosse (x1842)(x1843), 20, rue de la Fosse (xx1845)(*1848)(x1849)(*1850), 12, rue du Commerce (avant 1849 ?), Passage Pommeraye (*1851), Nantes
SICOT  

"Sicot, fact. et accord. de pianos, f. les réparat. au p. juste prix, Cherche-Midi, 24." Almanach-Bottin du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales villes du monde, 1854, p. 867-868 (gallica.bnf.fr)

 

'Facteur de pianos' ca. 1854 24, rue Cherche-Midi (**1854)(arr.6), Paris
SICURET Paul 'Fabricant de pianos' ca. 1835  

60, rue du faubourg Saint Denis (1835)(¹⁰)(arr.10), Paris

 

SIGROS L. Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890

'Pianohandlung' (xx1890)

 

21, rue Commines (xx1890)(arr.3), Paris

 

 

SILBERMANN Godefroi

(1683 - 1753)

*

SILBERMANN Jean-Daniel

(1717 - 1766)

*

SILBERMANN  Jean-Henri

(1727 - 1799)

 

Ce facteur a ouvert un atelier dont la fondation est documentée.
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'Facteur de clavecins' (°1727) Paris
SILVESTRE Hippolyte  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1868-90

Médaille d'or Paris, 1889

 

36, rue Grenette (*1868)(*1875)(*1876), Lyon

24, rue du faubourg Poissonnière (1889)(x1890), Paris

 

SILVY Antoine  

Facteur, accordeur et marchand de pianos ca. 1861-79

 

 

13, rue Basse-Peirier (yy1861)(yy1863)(yy1866)(yy1868), 43, rue Basse-Peirier (xxx1865), 13, rue de Village (yy1869)(xxx1874)(*1875)(*1876)(yy1876)(yy1877)(yy1878), 84, vieux Chemin de Rome (yy1879), Marseille

 

SIMIOT & BROLET  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1860-75

 

 

3, place de l'Ancienne Douane (**1860), 5, place [Passage] de l'Ancienne Douane (*1868)(*1875), Lyon

 

SIMOENS M. & LOREZ V.  

Facteurs et/ou marchands de pianos automatiques ca. 1921-26

'Fabrik von selbstspiel. Pianos' (x1926)

 

70, rue du Général Chanzy (**1921)(x1926), Roubaix
SIMON 'Facteur de pianos' ca. 1820  

19 & 25, rue du Bouloi (arr.9), Paris

 

SIMON Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1875  

18, rue Saint-Martin (*1875), Cambrai

 

SIMON Eugène

(ca. 1824 - ?)(***1873)

'Facteur de pianos' ca. 1850 Paris
SIMON Fils 'Facteur de pianos' ca. 1864 18, boulevard des Invalides (**1864)(arr.7), Paris
SIMON Louis  

'Facteur de pianos' ca. 1844

Époux de EMERY Adèle Léontine Elisabeth. (1844)(¹⁰)

 

35, rue Neuve Saint Augustin (1844)(¹⁰)(arr.2), Paris
SIMON Louis-Narcisse, Fils  

Brevet de 1846 : "828° Le certificat l'addition dont la demande a été déposée, le 9 octobre 1846, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Simon (Louis-Narcisse) et se rattachant au brevet d'invention de quinze ans qu'il a pris, le 27 février 1846, pour un genre d'orgue expressif. Ladite addition consiste dans un mécanisme qui permet de substituer les anches libres aux cordes de pianos." Bulletin des lois de la République française, 01/1847, p. 494 (gallica.bnf.fr)

'Fab. et accord. de pianos' ca. 1859

Repris par Alfred GODARD (dès ?)

64, rue de Sèvres (*1859)(arr.6), Paris
SIMON René  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906-12

'Musikinstr.- u. Piano-Händler u. Geigenbauer' (x1906)

'Geigenbauer, Händler mit Pianos, Musikinstr. u. Saiten' (x1912)

 

rue de la Rampe (x1906), 25, rue de Lorraine (x1912), Auch
SIMOND  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1839

 

32, rue Neuve Saint Eustache (xx1839)(arr.18), Paris
SIMOND  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1839

 

32, rue Neuve Saint Eustache (xx1839)(arr.18), Paris
SIMONET-BEAUCOLIN Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1912-26 [depuis 1908 (x1926)]

'Musikal.-, Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung' (x1912)(x1926)

61, rue Saint-Jean (x1926), Neufchâteau
SIMONET Louis Philibert 'Facteur de pianos' ca. 1855 74, rue du Château d'Eau (1855)(¹⁰)(arr.10), Paris
SIMONIN 'Facteur de pianos et de harpes' ca. 1801-16  

rue des Aveugles (*1801), 1149, rue de Tournon (*1798-1799)(*1800-1801)(*1802)(**1802)(*1803-1804)(arr.6), 19, rue de l'Odéon (*1809)(x1810)(*1811)(*1812)(*1813)(*1814)(*1816)(arr.6), Paris

 

SIMONIN  

Facteur et/ou marchand de pianos droits et violons ca. 1875-76

'Fournisseur du Conservatoire National de Toulouse' ca. 1875-76

 

3, rue Romiguière (*1875)(*1876), Toulouse
SIMONNEAU P. Ch. 'Facteur de clavecins' ca. 1777-89  

rue Saint Landry (*1777)(*1779)(xx1782)(*1783)(***1789)(arr.4), Paris

 

SIMONNET E.  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1913-26 [depuis 1908 (*1913)(**1921)(x1926)]

'Piano-, Musikinstr.- u. Sprechm.-Handlung' (x1926)

 

 

rue des Deux Anges (*1913), 68, boulevard de la République (**1921), 34, rue de l'Étape (x1926), Reims

 

SIMONNET Fils & Cie  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1912

'Piano-Handlung' (x1912)

 

 

19, rue Vauquelin (x1912)(arr.5), Paris

 

SIMONNET F. B.  

'Professeur et facteur de pianos' carrés (date ?) (¹⁵)

 

Montauban
SIMONNOT  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1909

SIMONNOT Fils & Cie (1909)

1909 - "Paris.— Formation. — Société en nom collectif SIMONNOT fils et Cie, pianos, 19, av. Vauquelin — 5 ans — 8,000 fr. — 22 janv. 1909 — p. A." Archives commerciales de la France, 27/01/1909, p. 124 (gallica.bnf.fr)

 

19, avenue Vauquelin (1909), Montfermeil (?), près de Paris
SIMMONAC  

'Marchand de pianos' ca. 1856

Époux de ODE, rentière (1856)(¹⁰)

 

25, avenue de Montaigu (1856)(¹⁰)(arr.??), 21, rue Saint-Georges (1856)(¹⁰)(arr.9), Paris
SIMOUTRE Nicolas Eugène  

METZ - "1243. Allinger (Léonard), Strasbourg (Bas-Rhin) et Simoutre (Eugène), Mulhouse (Haut-Rhin). Deux pianos avec ressorts à traction. G. n. C. 1244." Ville de Metz. Exposition universelle de 1861, p. 156

METZ - "Nous nous arrêtons toujours avec un vif intérêt devant la vitrine de M. Simoutre, luthier, à Mulhouse. M. Simoutre est un artiste dans toui»l’acception du mot, un homme amoureux de son art et qui lui consacre toute son activité et toute son intelligence. Aussi ses efforts sont-ils éclairés et a-t-il profondément étudié toutes les questions scientifiques qui se rattachent à son industrie. Ses remarquables travaux sur l’acoustique lui ont donné des indications pratiques excellentes ; aussi ses instruments se distinguent-ils par une sonorité et une égalité hors ligne, par des qualités moelleuses et caressantes qui les font rechercher de tous les véritables mélomanes. Le bois employé par M. Simoutre n’est pas séché artificiellement, grave défaut que les matières premières employées par la lutherie moderne ne présentent que trop souvent. C’est uniquement l’âge et l’action de l'air qui produisent la dessication naturelle des bois mis en œuvre par M. Simoutre. Aussi ses produits ont-ils une valeur très-grande et que nous nous plaisons à constater. C’est surtout dans l'œuvre de réparation des vieux instruments qu’excelle l’exposant; ou plutôt, il n’a que bien peu de temps à consacrer à la fabrication des instruments neufs, les commandes de réparation lui arrivant très-nombreuses de l'Alsace, de l’Allemagne, pays pour lesquels la musique est l’objet d’un véritable culte. Cependant M. Simoutre expose un violon, un alto et un violoncelle neufs exécutés sur différents patrons. Les sons ont une douceur et une vibration admirables. Les prix des instruments neufs, traités dans les conditions supérieures, sont de 200 francs pour les violons neufs et 300 francs pour les violons imités des grands maîtres. 400 francs et 600 francs pour les violoncelles. Nous par lons des instruments imitation, et c’est en ce point que l’exhibition de M. Simoutre est particulièrement remarquable. Ainsi, sa vitrine offre un alto admirable, d’après Amati, et qui ne le cède en rien à son modèle ; un violon d’après Mazini qui fait la joie des connaisseurs. Ces instruments ont le vernis authentique qui leur donne leur cachet archéologique. Ce sont des pièces d’une haute valeur. Au reste, en tant qu’industriel, M. Simoutre a toujours dans ses magasins des centaines d'instruments de vente courante depuis 8 francs jusqu’à 2,000 francs pièce. Les réparations de l’exposant sont toujours garanties, il ne les entreprend que quand il est sûr de réussir. Il a aussi appliqué aux pianos un nouveau système de table d’harmonie, mais le temps lui a manqué pour en exposer un spécimen." L'Exposition universelle de Metz, 15/09/1861, p. 2 (kiosque.limedia.fr)

 

"Fabrique de pianos - et abonnement pour les accorder. M. E. Simoutre, élève de la maison Erard de Paris, associé représentant de la maison Allinger de Strasbourg, a l’honneur d'informer les pianistes qu’il vient d’arriver à Porrentruy. Ayant dû terminer les pianos du dernier peifectionnement, destinés à MM Michel et Quinche, il n'a pu se trouver, comme il l'avait annoncé, du 5 au 10 de ce mois. Il séjournera quelques jours dans celte ville pour accorder et réparer les pianos des personnes qui voudront bien l'honorer de leur confiance.
Les personnes qui ont des piànos de sa maison, ont tout intérêt de les confier à M. Simonne, qui en connaît parfaitement bien la facture. Prix des pianos avec garantie de 10 années contre tout défaut de facture, et retour facultatif à leur maison pour tout instrument qui ne remplirait pas les conditions voulues. Rendus franco de tous frais à Porrentruy :
- Pianos petit format, noyer, 7 octaves Fr. 660
- Pianos petit format, acajou, id. » 700
- Pianos petit format, palissandre id. » 730
- Pianos moyen format, basse oblique double table d’harmonie phonique, acajou » 750
- Idem en palissandre » 815
- Pianos nouveau format, ancien système Allinger, palissandre » 860
- Pianos nouveau format, nouveau système Simoutre, acajou  » 900
- Idem en palissandre « 1000
- Pianos grand format, nouveau système Simoutre, palissandre » 1500
Lorsque les pianos sont vendus avec les frais à la charge de l’acheteur, il y a une réduction de 50 fr. pour les petits formats, et de 80 fr. pour les grands formats. Le prix de l’abonnement pour deux accords par an est de 8 francs." Le Jura, 18/04/1861, p. 3 (e-newspaperarchives.ch)

"Manufacture d’instruments de musique. - M. E. SIMOUTRE, FACTEUR & ACCORDEUR DE PIANOS, élève de la maison Erard de Paris ; Associé représentant de la manufacture Allinger de Strasbourg, a l'honneur d'informer les pianistes que, devant encore séjourner quelques jours à Porrentruy, il continuera à accorder et à réparer les pianos que l’on voudra lui confier; il rappelle en même temps que toutes les personnes qui ont des pianos île la maison ont tout intérêt à les lui faire visiter, pour qu'il puisse bien en constater leur entretien. Le prix des abonnements pour les accords de pianos est de 5 fr.; pour les personnes qui ont des pianos Allinger, 4 fr., ceux-ci vendus avec garantie de 10 années contre défauts de facture, ou refus facultatif pour tous les insti umentsqui ne rempliraient pas les conditions de beaulédes sons, douceur du toucher, sonorité relative au format et solidité de facture. PRIX DES PIANOS rendu, franco de tout frais, à Porrentruy.
Pianos, petit format, noyer, 7 octaves » 660 fr. Ce piano, simple et gracieux, se recommande moins par son extrême bon marché que par son excellente construction, qui en fait un délicieux instrument d’étude.
(lire la suite )

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1860-64

ALLINGER Léonard & SIMOUTRE Eugène (*1861), voyez ALLINGER (°1830), à Strasbourg

SIMOUTRE & HENRY (**1862)

SIMOUTRE (*1864)


(la suite)

Le même piano, en accajou, » 700 fr. id. id. en palissandre, 730 fr.
Pianos doubles, table phonique, construit d’après un système de barrage spécial :
En accajou 750 fr. En palissandre » 8?5
Nouveau format Allinger » 880
Nouveau format Simoutre » 980
Piano gr. format artistique, pour concert 1500 f.
Ces pianos, déformé droite, a autant de sonorité qu’un piano à queue de petit modèle.
MM. Allinger & Simoutre feront une réduction de 60 fr. pour les pianos de petit format et de 80 francs pour les grands aux personnes qui prendront les frais à leur charge.
Aux pianos de MM. Allinger & Simoutre MM. Simoutre, père & frères, y joinent un magnifique assortiment d'instruments à cordes, tels que :
Violons, de 10 fr. à 2000 fr.
Altos, de 20 fr. à 800 fr.
Violoncelles, de 40 fr. à 1200 fr.
Contre-basses, bien faites, 100, 150, 200 & 600 f.
Archets en bois des îles, de 2 fr. à 160 fr.
Boîtes à violon, de 8 fr. b 15 fr. et au-dessus sur commande.
Cordes harmoniques de Naples et d’Allemagne, gros et détail.
Fabrique de pianos à Strasbourg, rue Neuve des Bateliers, n° 2, et quai des Bateliers, n° 31.
Maison à Metz, rue Fournirue, 24.
Maison de Lutherie, pour réparation et fabrication, à Mulhouse, rue du Bassin, n° 20, et rue du Temple, n° 1. Les réparations faites sur les instruments à cordes sont garanties d’exécution pat faite et artistique. Les personnes qui habitent an-dehors et qui voudraient m’honorer de leur confiance, sont priées de s’adresser à l'hôtel de l'Ours, à Porrentruy. P. S. - M. Simoutre se rendra dans les différentes localités du Jura bernois, ainsi qu'à la Chaux-de-Fonds." Le Jura 06/06/1861, p. 4 (e-newspaperarchives.ch)

"M. SIMOUTRE, facteur de pianos, annonce qu'il arrivera à Neuchâtel lundi 12 septembre, pour l'entretien de ses pianos. Ayant réussi à réaliser, dans la fabrication de mes instruments, un perfectionnement important, je me propose d'amener avec moi un modèle-spécimen. Ce perfectionnement, qui peut s'adapter à tous mes pianos, donne une augmentation de son aux 4me, 5me, 6me et 7me octaves. Aujourd'hui ce 7me octave est chanta ut et vibrant, avec des sons brillants et moelleux, et sans augmentation de prix. Ma garantie esl de dix années contre tous défauts de solidité dans la fabrication. J'expédie franco dans toute la Suisse, aux prix indiqués dans mes prix-courants. En outre, pour les pianos livrés sur commande, sans avoir été choisis au préalable, l'acheteur reste complètement libre de retourner son instrument, dans les 8 jours après la réception, sans autre contrôle que son bon vouloir. Je prie les personnes qui veulent me charger de l'accordage de leur piano, de me le faire savoir à l'hôtel du Faucon, à Neuchâtel, ou au bureau de cette feuille." Feuille d'Avis de Neuchâtel, 10/09/1864, p. 3

Médaille deuxième classe, argent, petit module, Metz, 1861

VOIR AUSSI ...

  SIMOUTRE à Bâle, Suisse

 

Fabrique de pianos : 2, ue Neuve des Bateliers (**1861), 31, quai des Bateliers (**1861), Strasbourg


24, rue Fournirue (**1861), Metz

 
Maison de Lutherie, pour réparation et fabrication, : 20, rue du Bassin (**1861), 1, rue du Temple (**1861), Mulhouse

Bâle, Suisse

SINARD Ernest  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1912-26 [depuis 1902 (*1913)(**1921) ou depuis 1912 (x1926)]

'Musiklehrer, handelt auch mit Musikal., Pianos u. Musikinstr.' (x1912) ------- 'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926)

 

 

23, rue Victor-Hugo (x1912)(*1913)(**1921)(x1926), Orange

 

SINGER Léopold 'Facteur de pianos' ca. 1869 19, rue François Rude (*1869), Dijon
SINGIER  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906-12

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906) ------- 'Musikal.-, Piano-, Harmonium-, Musikinstr. u. Saiten-Handlung' (x1912)

 

[11], rue Vielez-Martin (x1906)(x1912), Saint-Nazaire
SINGLARD  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906

'Musikal.- u. Piano-Hdlg.' (x1906)

 

 

12, Grande rue (x1906), Cette (Hérault)

 

SINOU  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906-26

SINOU [Mlle] (x1906)(x1912)(*1913)(**1921)(x1926)

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906)(x1912)(x1926)

 

28, rue St. Yves (x1906)(x1912), 32, rue Emile Zola (*1913)(**1921)(x1926), Brest
SIR    

Facteur et/ou marchand de pianos et luthier ca. 1893-29 [depuis 1893 (x1912)(*1913)(x1926)]

Léon SIR (1855 - 1927) et son fils Léo SIR (1883 - 1915)

SIR Léo (x1912), 'Streichinstr.-Macher u. Händler mit Musikal.-, Pianos, Harmoniums, Musikinstr. u. Phonographen'

SIR Léon (*1913)(**1921)

SIR Léo (x1926), 'Streichinstr.-Macher u. Händler mit Musikal.-, Pianos, Harmoniums, Musikinstr. u. Sprechm.'

SIR A. Mme. (19??)

 

Place d'Armes (19??), 7, rue Puyguéraud (x1912)(*1913)(**1921)(x1926)(*1929), Marmande
SIRVENTON G.
| SIRVANTON
 

'Facteur-accordeur de pianos' ca. 1890-1921-26 [depuis 1878 (x1912)(*1913)(x1926)]

'Musikal.-, Piano-, Harmonium- u. Instrumenten-Handlung' (xx1890) ------- Distributeur de E. DIENST, Leipzig, Allemagne (x1906) & 'Piano- u. Instrumenten-Handlung' (x1906) ------- 'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.' (x1912)(x1926)

 

 

rue du Pont St. Jean (xx1890), 32, rue Sainte-Catherine (x1906)(*1909)(x1912)(*1913)(**1921)(x1926), 2, rue St.-Louis (x1912)(**1921)(x1926), Bergerac

SIRVENTON Jacques
|
SERVENTON
 

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Successeur de EXBEN  (°1845)

 

 Bordeaux
SKALDMIR H. Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1900 Paris
SLECK Gervais  

'Facteur de pianos' ca. 1861

Liste des sociétaires de l'Association des artistes musiciens, vers 1854, 1856-57, 1859, 1861 (²⁵)

 

94, rue du faubourg Saint-Antoine (1861)(²⁵)(arr.12), Paris
SMELIER
| SMELCER | SCHEMELSER
 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1871-93

 

 

5, rue Lavoisier (**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(arr.8), 216, rue du faubourg Saint-Honoré (**1885)(arr.8), 5, avenue Carnot (**1888)(*1893)(arr.17), Paris

 

SMIT Eugène  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926 [depuis 1922 (x1926)]

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926)

 

26, rue Masson (x1926), Maisons-Lafitte
SMITS Adrien Louis

(1811 - ?)(¹²)

 

'Mécanicien en pianos'  ca. 1830

Né à Anvers (Belgique), en 1811. (¹²)

 

Paris
SOCHAY  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1868-75

 

15, rue du chemin Neuf (*1868)(*1875), Lyon
SOCIÉTÉ ANONYME DES PIANOS PNEUMATIQUES FRANÇAIS
|
S. F. I. M. P.
 

Pub de 1921, Adresses-Musique de 1921, p. 415

SOUS-MARQUE

MONOLA-PIANO (**1914)(x1922), piano pneumatique

 

 

'Manufacture de pianos automatiques' ca. 1914-22

1914 - "Paris, — Formation. — Soc. anon, dits Soc. DES PIANOS PNEUMATIQUES FRANÇAIS, 47, Rome. -  30 ans. - 220.000 fr. — 1 oct. 1943." Archives commerciales de la France. 25/02/1914, p. 258 (gallica.bnf.fr)

Successeur de LIMONAIRE Frères (°1840)

S.F.I.M.P. ou SOCIÉTÉ POUR LA FABRICATION INSTRUMENTS DE LA MUSIQUE PNEUMATIQUE, successeur de la SOCIÉTÉ DES PIANOS PNEUMATIQUES FRANÇAIS (°1914); (**1921)

"Société pour la Fabriction des Instruments de Musique Pneumatiques. (S. A. au capital de 3 milions de francs.) - Anciens Établissements Limonaire frères - Manufacture de Pianos automatiques. - Orgues Abbey. - Harmoniums Bonnel. - Pianos pneumatiques Le Cantola, Le Monola, Orphée Piano. - Siège social, 5 avenue de l'Opéra. - Tél. Cent. 77-80. Magasins de vente, 47, rue de Rome. - Tél. Wagram 13-39. - Usines, 79, rue Claude-Decaen (XIIe), et 166, avenue Daumesnil. - Tél. Roq. 04-08." Musique-Adresses, 1921, p. 142

 

 Siège social : 5, avenue de l'Opéra (**1921)(arr.1), Magasins de vente : 47, rue de Rome (1914)(**1921)(x1922)(arr.8), Usines : 79, rue Claude-Decaen (**1921)(arr.12), 166, avenue Daumesnil (**1914)(**1921)(arr.12), Paris
SOCIÉTÉ ANONYME PNEUMA

Facteur et/ou marchand de pianos mécaniques ca. 1913

'Automatic-Piano' (*1913)

Voir PNEUMA

33, rue des Archives (arr.4), 22-23, Passage des Panoramas (*1913)(arr.2), Paris
SOCIÉTÉ DE FACTEURS DE PIANOS DE PARIS

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'Facteurs de pianos'  (°1849)

Autres noms de cette société sont :

ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS DE PARIS (*1856)

SOCIÉTÉ DES PIANOS FRANÇAIS (1899)

 

Paris

SOCIÉTÉ ANONYMES DU MONOLA-PIANO  

'Fabrikant des Klavier-Einbau-Kunstspiel-Apparates «Monola»' ca. 1912-22

Voir THOUVENOT M. Paul

 

Neuilly-sur-Seine | Paris | Pré-Saint-Gervais
SOCIÉTÉ DES PIANOS FRANÇAIS

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'Facteurs de pianos'  (°1849)

Autres noms de cette société sont :

SOCIÉTÉ DE FACTEURS DE PIANOS DE PARIS (*1849)

SOCIÉTÉ DES PIANOS FRANÇAIS (1899)

 

Paris

SOCIÉTÉ GÉNÉRALE PIANOS-FORTE A MÉCANIQUE EN MÉTAL  

1885 - "Sociétés anonymes [...] 112. 14 sept. Cic générale des pianos-forte à mécanique en métal, système Beunan, 3, rue Rondelet (D. 6 nov.)." Journal des sociétés civiles et commerciales, 11/1885, p. 155 (gallica.bnf.fr)

1886 - "Paris. — Dissolution, à partir du 28 sept. 1886, de la Société GÉNÉRALE PIANOS-FORTE A MÉCANIQUE EN MÉTAL, rue Rondelet, 3. — Liquid. : M. Courally, rue Léon Cogniet, 11, auquel est adjoint M. David, directeur du service commercial de la Société. Délib. du même jour. L." Archives commerciales de la France, 30/10/1886, p. 1363 (gallica.bnf.fr)

 

3, rue Rondelet (1885)(1886)(arr.12), Paris
SOCIÉTÉ A.R.L. COMPAGNIE NATIONALE DES PIANOS

 

1931 - "PARIS. — Modification. — Société A.R.L. COMPAGNIE NATIONALE DES PIANOS, instruments de musique et pianos. 89, boulevard Saint-Michel. — 30 ans. — 25.000 fr. — 13 août 1931. — A. P." Archives commerciales de la France. 28/08/1931, p. 4171 (gallica.bnf.fr)

 

89, boulevard Saint-Michel (1931)(arr.5), Paris
SOCIÉTÉ LE CLAVIER  

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1867

"Rampal, membre de la société le Clavier de Marseille (Bouches-du-Rhône)." Annuaire de l'association pour..., Volumes 1-2, 1867

 

Marseille
SOISSON  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890-93

'Pianohandlung' (xx1890)

 

43, rue de la Chapelle (xx1890)(*1893)(arr.18), Paris
 

SOMER Antoine Jean
| SOMMER

(ca. 1738 - ?)(¹⁰)

 

 

'Facteur d'orgues' ca. 1772-1783

Fils de Nicolas SOMER, ci-dessous.

 

rue du Marché Pallu, vis-à-vis la Vierge de l'Hôtel Dieu, au 1er étage chez le sieur LEJEUNE (1772)(¹⁰)(arr.9), rue du Marché Palu (*1777)(arr.4), rue Neuve Saint Martin (1778)(¹⁰)(arr.4), rue du faubourg Saint-Denis (*1783)(arr.10), Paris
SOMER Etienne
| SOMMER
'Facteur d'orgues' ca. 1779 rue de Bourbon Villeneuve (*1779)(arr.2), Paris
SOMER Jean 'Facteur d'orgues' ca. 1788-90  

4, rue du faubourg Saint Martin (*1788)(x1789)(arr.10), 64, rue du faubourg Saint Martin (1790)(¹⁰)(arr.10), Paris

 

 

SOMER Jean Baptiste
| SOMMER

(ca. 1741 - ?)(¹⁰)

 

'Facteur d'orgues' ca. 1793 (¹⁰)

Natif de Paris (¹⁰)

 

rue du Marché Saint Jean, venant de la rue Saint Laurent (1793)(¹⁰)(arr.4), Paris

 

SOMER Jacques Joseph
| SOMMER

(ca. 1725 - 1779)(¹⁰)

 

'Facteur d'orgues' et 'Facteur de clavecins'  ca. 1777-79

1779 - "SOMER Jacques Joseph, facteur d'orgues, à Paris (? sans précision, mais paroisse Saint Philippe du Haut Pas). Cité le 02/11/1779, lors de l'inhumation dudit, âgé de 54 ans. Autres : SOMER Louis Nicolas et SOMER Antoine Jean; tous deux facteurs d'orgues (référencés) et tous deux témoins et frères. Source : AP/Etat civil reconstitué/PINET Alain." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

 

Place Maubert (*1777)(*1779)(arr.5), Paris
 

SOMER Louis Nicolas
| SOMMER
| SOMMERE | SOMMER

(ca. 1731 - ?)(¹⁰)

 

 

"Nicolas Somer, facteur d'orgues de Mgr le Dauphin, demeurant rue Saint-Jacques. C'est ainsi qu'il est désigné dans l'acte de mariage de son fils Jacques-Joseph, également facteur d'orgues. Nous n'avons trouvé aux actes de l'état civil rien de personnel à Nicolas lui-même. Nicolas eut trois fils, Louis, Nicolas et Antoine-Jean, qui furent également facteurs d'orgues. Ils vivaient encore le 1er novembre 1779, lorsque leur frère aîné mourut.
Ils signèrent l'acte de décès (actes de l'état civil). Les comptes des Menus-Plaisirs conservés aux Archives Nationales indiquent qu'un orgue fabriqué pour la Dauphine, par Nicolas Somer, fut payé en 1749. L' Almanach-Dauphin pour 1769 nous apprend qu'il était syndic et juré de sa corporation." Inventaire de Marie-Josèphe de Saxe, dauphine de France. Portrait de La Cour. Cartel de Gravelot, 1883, p. 78-79 (gallica.bnf.fr)

 

 

'Facteur d'orgues' ca. 1777-93

Natif de Paris (¹⁰)

 

 rue Contrescarpe-Sainte-Généviève  (*1777)(*1783)(**1786)(*1788)(x1789)(arr.5), 12, rue de la Contrescarpe venant de la rue Saint Jacques (1793)(¹⁰)(arr.5), Paris
SOMERT
| SOMER
 

"Á vendre Excellent PIANO de Johannes Zumpe Chez Somer, facteur d'orgues, faub. St. Martin, n° 89." Affiches, annonces et avis divers, ou Journal général de France, 21/03/1807, p. 1254 (gallica.bnf.fr)

 

'Facteur d'orgues' ca. 1807, 'Facteur de pianos', 'Accordeur de pianos' ca. 1807-20 89, rue du faubourg Saint-Martin (**1807)(**1818)(*1819)(**1820)(x1820)(arr.10), Paris
SONDEREGGER  

Facteurs et/ou marchands de pianos ca. 1858-63

PELOUTIER & SONDEREGGER (yy1858) - Voir PELOUTIER à Marseille.

SONDEREGGER & COUVERTIER (xxx1860)

SONDEREGGER (yy1861)(yy1863)

 

4, rue de l'Union (yy1858), 84, boulevard de la Magdelein (yy1861), 84, Chemin Neuf de Magdeleine (xxx1860)(yy1863), Marseille
SONDINGER Charles
| SOUDINGER
 

Facteur et/ou marchand de pianos automatiques et phonographes ca. 1900-14

CHAUVET succr. (x1912), 'Piano-Handlung' - 'Mechan. u. elektr. Pianos, Pianophone etc.'

Mention honorable Paris, 1900

 

25-35, rue d'Hauteville (1900)(arr.10), 25, rue d'Hauteville (x1912)(**1914)(arr.10), 32, avenue de la Republique (**1911)(**1912)(**1913)(**1914)(arr.11), Paris
 

« SONORITÉ »

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926

'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926)

 

93, rue de Dunkerque (x1926)(arr.9), Paris
SOPER  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1913-21 [depuis 1910 (*1913)(**1921)]

SOPER A. (*1913)(**1921)

 

11, quai du Parc (*1913)(**1921), Saint-Dié
 

SORILLET Raoul

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1892

 

34, rue du Petit Saint-Jean (xxx1892), Marseille
SORIA Anne Vernier  

Brevet de 1835 :  petit clavier pour enfants

Brevet de 1840 : "Rapport fait par M. Francœur, au nom du comité des arts mécaniques, sur un nouveau clavier de piano inventé par madame Soria, rue Férou, 24 - Les difficultés d'exécution musicale dont on réussit à triompher sur le piano, et l'excessive complication des compositions, forcent les personnes qui veulent s'adonner à l'art de jouer cet instrument à se livrer à cette étude dés l'âge le plus tendre; à cet âge, les organes n'étant pas encore formés, on peut, par un exercice long et soutenu, vaincre les dispositions naturelles vicieuses des muscles, et obtenir dans les doigts une grande mobilité, en même temps que l'esprit se meuble et se nourrit d'idées musicales, et contracte l'habitude de la lecture. Mais, dans une très-grande jeunesse, on rencontre un obstacle qu'on avait regardé jusqu'ici comme insurmontable. Les petits doigts des enfants ne peuvent s'étendre sur le clavier de nos grands pianos, et rendre les effets que le compositeur a voulu obtenir; l'écartement et la largeur des touches ne permettent pas à ces petites mains de faire résonner les octaves, encore moins les dixièmes; et on se voit forcé, pour y suppléer, ou de ne leur faire jouer que des pièces composées exprès pour le jeune âge, ou d'arriver aux effets en faisant sautiller les mains, et par conséquent en donnant à l'enfant de mauvaises habitudes. Madame Soria a voulu éviter cet inconvénient, en armant le piano d'un clavier à touches plus étroites et plus courtes, et comme il ne fallait pas faire construire, pour le jeune âge, des pianos qu'on aurait été obligé de rebuter plus tard, ce qui eût entraîné des frais inutiles, madame Soria a imaginé de se servir du piano à clavier ordinaire, sur lequel on adapte son clavier réduit et portatif. Il en résulte qu'on peut enlever cet appareil lorsqu'une grande personne veut jouer l'instrument, ou substituer on autre clavier portatif à plus larges touches, quand la croissance de l'enfant le permet, faisant ainsi grandir le clavier avec lui. Au reste, le mécanisme employé est fort simple. Chaque touche de l'appareil attaque, lorsqu'on l'abaisse, un petit levier coudé qui transmet l'action à la touche de même rang dans le grand clavier, en sorte que c'est comme si le doigt avait été posé sur celle-ci, ce que met en jeu l'échappement et fait résonner la corde. Ainsi l'enfant en jouant sur le clavier réduit, dont l'étendue est proportionnée à celle de ses doigts, se trouve dans le même état que s'il eût joué sur le grand clavier: il peut jouer toute espèce de musique des pianos ordinaires, du moins s'il a acquis l'instruction suffisante pour ce genre d'exécution. Ici, il se présente une objection à laquelle il faut avoir égard : ->

 

 

Inventrice ca. 1835-40


(la suite)

 (la suite)  ces leviers, qui se trouvent ajoutés au mécanisme général des pianos, exigent dans les doigts le développement d'une force plus grande, et on peut craindre que les mains ne contractent une pesanteur qu'il serait, par suite, difficile de perdre; bien que nous ayons reçu à cet égard des témoignages propres à nous rassurer, nous ne voudrions pas garantir que cet objection soit sans valeur. C'est à l'expérience, c'est aux gens de l'art à prononcer; quant à nous, qui ne prétendons pas donner des leçons aux artistes, ni présenter nos opinions comme des régies auxquelles ils doivent se soumettre, nous nous sommes bornés à examiner la partie mécanique de l'appareil de madame Soria. Nous avons trouvé qu'elle fonctionnait bien et sans dureté, que le mérite de l'exécution des leviers doit sans doute entrer pour beaucoup dans cet effet, et que, lorsqu'ils seront bien ajustés, on n'aura que peu de reproches à faire à cet appareil. Le comité des arts mécaniques pense, messieurs, que le clavier réduit de madame Soria peut rendre des services pour enseigner le piano aux enfants dés l'âge de quatre à cinq ans, et qu'il sera employé avec utilité dans les pensionnats. Nous vous proposons donc de remercier madame Soria de sa communication, et d'insérer le présent rapport au Bulletin." Bulletin de la Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale, 1840. 39e année. N° 427-438, p. 41 - 42

"INVENTION MUSICALE. Les deux Claviers réduits, de Mme SORIA., exposés a l'industrie de 1809, sont de deux grandeurs ; l'un destiné aux enfans de 5 a 10 ans, l'autre à ceux de 10 à 13. D'après son expérience, Mme Soria assure qu'ils sont indispensable à l'éducation musicale parce qu'ils abrègent la longueur des études et font jouir d'avance de progrès qu'il est impossible a l'enfance de retirer avec les pianos ordinaires, ce qui n'est pas heureux dans un temps où les sciences sont si cultivées, et où cet instrument est si a la mode. Mme Soria offre à MM. les amateurs de lui faire l'honneur devenir visiter chez elle son invention ; elle met beaucoup de prix à cette aimable démarche de la part du public. Mme Soria, rue Férou, 24, près St-Sulpice, les lundis, mercredis et vendredis, depuis midi jusqu'à cinq-heures." L'Indépendant, 24/02/1841, p. NP (gallica.bnf.fr)

Liste des exposants Paris, 1839

 

24, rue Férou (1839)(1841)(arr.6), Paris
SORMANI Paul-Joseph  

'Ingenieur civile' ca. 1840-45

Brevet de 1841 : Piano basque - ''83° M. Sormani (Paul-Joseph), ingénieur civil, demeurant Paris, rue Croix-des-Petits-Champs, n° 46 auquel a été délivré, le 6 février, dernier le certificat de sa demande d'un brevet d'invention de cinq ans, pour un piano basque ou timbale chromatique." Bulletin des lois de la République française, 01/1841, p. 859 (gallica.bnf.fr)

Pour voir le brevet original
voyez le site INPI
(¹³)

 

46, rue Croix-des-Petits-Champs (1841)(***1844)(arr.1), Paris
SOSTÈNE Hippolyte  

"MUSIQUE & INSTRUMENTS - Vve H. SOSTENE - 62, rue des Carmes et 46, rue des Carmes - Rouen - PIANOS & ORGUES - NEUFS & D'OCCASION des meilleurs Facteurs - à des Prix Modérés - Achat de violons et Violoncelles anciens - Accords, réparations, échanges - Abonnement à la Lecture Musicale." Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1907 (gallica.bnf.fr)

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1897-1913 [depuis 1895 (*1913)]

SOSTÈNE H. (*1898)

SOSTÈNE Vve. [H.] (x1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913)

'Piano-, Harmonium-, Musikinstr. u. Saiten-Handlung' (x1912)

Repris par DAMAMME (**1921)

 

62, rue des Carmes (*1897)(*1898)(*1902)(*1903)(x1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913), 46, rue des Carmes (*1907)(*1909)(*1913), Rouen
SOU Alphonse
| SON
 

 

'Facteur de pianos' ca. 1855-1902

Époux de DAUVE, la future demeure à Melun, Seine et Marne (1858)(¹⁰)

Liste des exposants Paris, 1878

 

14, rue de Paradis Poissonnière (1858)(¹⁰)(arr.10), 28, rue Joubert (*1859)(arr.9), 23, rue Joubert (xx1860)(xx1861)(x1863)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(arr.9), 63, rue Dulong (**1873)(arr.17), 33 [?], rue Joubert (y1877)(arr.9), 1, rue Lafayette (**1885)(**1888)(arr.10), 30, avenue de Clichy (**1898)(z1900)(z1902)(arr.17), 14, Impasse des Deux-Nèthes (z1900)(z1902)(arr.18), Paris

 

 

SOU Mlle.

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890; (xx1890)

'Musikal.- u. Pianohandlung' (xx1890)

 

Saint-Germain-en-Laye
SOUBEIRAN Joseph  

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Facteur et/ou marchand de pianos  (°1881) Marseille
SOUCHÈRE 'Facteur de pianos' ca. 1855 23, rue de Rocroy (xx1856)(arr.10), Paris
SOUCHET A.  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1912

'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.' (x1912)

  

6, rue Barente (x1912), Thiers
SOUCHET Louis  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906-21 [depuis 1900 (**1921)(x1926)]; (x1906)

'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.' (x1912) ------- 'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums, Musikinstr. u. Sprechmaschinen' (x1926)

  

28, rue Saint-Malo (x1912)(**1921)(x1926), Bayeux
SOUCHETTE  

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Facteur et/ou marchand de pianos  (°1811) Angers
SOUDET Narcisse-Pierre
| SOUDEL | SOUDEY

 

Brevet de 1846 : "269° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 23 septembre 1846, an secrétariat de la préfecture du département de la Seine-Inférieure, par le sieur Soudet (Narcisse-Pierre), pour un piano droit à double octave, dont le son se trouve doublé volonté." Bulletin des lois de la République française, 01/1847, p. 440 (gallica.bnf.fr)

  

 

'Facteur de pianos' ca. 1847-76

Liste des sociétaires de l'Association des artistes musiciens, vers 1859, 1861, 1864 (²⁵)

 

1, boulevard d'Ingouville (**1847), 27, place Napoléon III (*1875)(*1876), Le Havre (Seine Inférieure)

SOUFLÉTO

'Facteur de pianos' ca. 1839   1, rue Neuve Mont-Morency (xx1839)(arr.3), Paris

SOUFLÉTO François
| SOUFFLETO

(1794 - 1872)

 

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'Facteur de pianos'  (°1827) Paris
SOUFFRANT Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1875-76 2, quai Penthièvre (*1875)(*1876), Nantes
 

SOULACROUP Jean

(1845 - 1919)

Facture de 1897

 

 

Facture de 1900

 

 

'Facteurs de pianos' ca. 1890-1913; (xx1890)

Successeur de LIGIER (°1845)

SOULACROUP (xx1890)(*1893)(*1895)

'Musikal.- u. Pianohandlung' (xx1890)

SOULACROUP-LIGIER (*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(x1906)(*1907)(*1909)(*1913)

'Musikal.-Verlag, Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Hdlg.' (x1906)

Succ. par ARMEY & LAPUT (x1912), 'Händler mit Musikal, Pianos, Harmoniums u. Saiten'

Puis repris par LAPUE Mlle. Marie. (*1922)

Repris par CONNEN André (*1934)

 

11 bis, rue Pascal (*1893)(*1895)(*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(*1906)(*1907)(*1909), 11bis-14, rue Pascal (x1906), 11bis, rue Pascal (x1912), 8, rue Saint-Genès (*1913), Clermont-Ferrand

Usines à Mirecourt (Vosges) vers 1900

SOULODRE F.   Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1913-26 [depuis 1887 (*1913)(x1926)]

'Piano-Handlung' (x1926)

143, rue Sainte-Catherine (*1913)(**1921)(x1926), Bordeaux
SOUMILLON G. Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1921-29 [depuis 1919 (x1926)]; (*1929)

'Piano- und Musikinstrument-Handlung' (x1926)

4, rue de Mons (**1921)(x1926), Maubeuge
SOUPLET  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1929

SOUPLET Vve. (*1929)

 

46, Avenue Bosquet (*1929)(arr.7), Paris
SOUPLET Fils  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906-26

SOUPLET Fils (x1906)

'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906)(x1926)

SOUPLET G. (**1921)(x1926)

 

31, rue de Paris (x1906), 18, rue de la République (**1921)(x1926), Saint-Germain-en-Laye
SOUPLET L.

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1913 [depuis 1883 (*1913)]

SOUPLET Vve. L. (*1913)

14, rue Charles Brunette (*1913), Chauny
« SOURDINE FANNY »  

1869 - "PIANOS -PERFECTIONNES AVEC SOURDINE FANNY - Tous les facteurs de pianos s'appliquent aujourd'hui à fournir de
bons instruments; dans le nombre il eu est dont la réputation méritée les a placer au premier rang; nuis ils font payer cette préférence par des prix souvent fort élevés. Parmi la manufactures qui depuis dix ans se sont montées, il en est qui peuvent rivaliser, comme perfectionnements, avec les maisons de premier ordre, et cependant leurs pria tout testés rationnels. Ces pianos sont bien construits sous tous les rapports bonne qualité de son, solidité, claviers faciles, etc. Nous avons aussi obtenu le droit d'appliquer la SOURDINE-FANNY brevetée, qui permet l'accompagnement sourdine, et avec laquelle on peut ne couvrir que la basse en laissant le chant découvert. Ces divers effets indépendant des deux pédales, tout facultatifs; il suffit de tirer un bouton au registre pour avoir l'effet de sourdine, ou de le pommer pour rendre immédiatement au piano plus grande sonorité. Le piano aura donc comme le violon, l'orgue et d'autres Instruments, une sourdine.
Outre ces avantages de pouvoir accompagner en sourdine, soit un chaut, soit un solo de violon, on pourra tout en garantissant la marteaux du piano sur lesquelles cette sourdine se trouve placée, étudier à demi-voix, sans crainte d'importuner, par des études consciencieux, sa famille ou ses voisins. Cette sourdine, qui peut s'appliquer par  ses mécanisme simple a tous systèmes de piano, tris que ceux de Pleyel, d'Erard et autres fait partie des avantages de ceux que vous offrons, et sur lesquels ou peut apprécier la derniers perfectionnements auxquels on est parvenu. - Agence centrale: Aux  Inventions modernes, 45, rue Richelieu, à Paris." La France musicale, 03/01/1869, p. 296 (gallica.bnf.fr)

 

'Aux Inventions Modernes'

1868 - "Nous sommes heureux de signaler une invention qui intéresse tous les artistes et les gens du monde amis du progrès, a enfin trouvé le moyen de permettre à chacun d'étudier le piano sans importuner sa famille ou ses voisins. Il s'agit de la Sourdine-Fanny, qui assourdit les sons du piano et les rend comme voilés pour l'exécutant lui-même, tout en conservant les effets de nuances. Au point de vue artistique, la Sourdine-Fanny permet d'atténuer la basse en laissant le chant découvert. On peut se rendre compte de l'application de la Sourdine-Fanny à son dépôt exclusif, rue de Richelieu, 45. Nota. — La Sourdine-Fanny peut s'adapter à tous les systèmes de pianos." La Vie Parissienne, 1868, p. 948

45, rue de Richelieu (1868)(arr.1), Paris
SOURNIN Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1907  

28, avenue de Tourville (**1907)(arr.7), Paris

 

SOURY  

1881 - "Un incendie considérable s' est déclaré la nuit dernière, vers trois heures du matin, dans un magasin situé n° 100, rue de Cléry, appartenant à M. Soutoul, marchand tailleur d'habillements civils et militaires. Le feu a pris au premier étage, dans un dépôt de tissus; les pièces d'étoffe en grand nombre alimentaient les flammes, à la chaleur desquelles les vitres volaient en éclat. Un courant d'air s'étant établi vers une cour très-étroite sur laquelle donnent les magasins, le feu a pris une intensité extraordinaire et en quelques instants a gagné les étages supérieurs habités par M. Soury, facteur de pianos ; [...]" Journal du Loiret, 30/03/1881, p. 3 (Aurelia.Orléans.fr)

 

'Facteur de pianos' ca. 1880 rue de Cléry (**1881), Orléans
SOURZAC Jean-Baptiste 'Facteur de pîanos' ca. 1848-50, 'Facteur de meubles et de pianos' 1851-54  

83, rue d'Aubagne (z1848)(z1849), 6, rue Perrin-Solliers (z1850), 18, rue Perrin-Solliers (xx1851), 4, rue des Beaux Arts (xxx1852)(xxx1853)(xxx1854), Marseille

 

SOUTY  

'Facteur de Pianos et Harmoniums' ca. 1897-1913 [depuis 1835 (*1913)]

P,robablement successeur de LECUYER dès (*1897)

'Facteur de pianos' (*1897)(*1907)

'Pianobauer- u. -Händler' (x1906)

'Pianobauer u. Händler mit Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.' (x1912)

SOUTY G[eorges] (x1912)(*1913)

 

6, Place Robillard (*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913), Auxerre
SOUVRAY L. Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926-29 [depuis 1920 (x1926)]

'Piano- u. Musikinstr.-Händler' (x1926) ------- 'Facteur de Pianos et Harmoniums' (*1929)

7, rue du Stade (*1929), Caen
SOYE D.  

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'Facteur de pianos'  (°1834) Bordeaux
SOYER E.  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906-12

'Piano-Handlung' (x1912)

Probablement succ. par BELLANGER (x1912)

 

2, rue Beccaria (x1906)(x1912)(arr.12), Paris
SPARINBURG A.
| SPARENBURG
 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1922-26

'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926)

 

3, rue Franklin (x1922)(x1926)(arr.16), Paris
SPECHT  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890-1900

 

18, rue Mollet (*1897), Bois-Colombes, Paris
SPECHT  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1878

 

3, rue Blaise (**1878)(arr.6), Paris
SPECHT  

'Facteur de pianos' ca. 1807

En Belgique il y avait un SPECHT vers 1844.

 

179, rue Saint-Martin (*1807)(arr.3), Paris
SPECHT E.

"SPECHT (F.), manufacture de pianos et Orgues, Fabrication de 1er Ordre, location, réparation, tabourets de pianos, chaises hautes pour Orgues. — Casiers à musique métronome, etc., Commission, Exportation, Chemin-Vert, 85." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1878, p. 1350 (gallica.bnf.fr)

 

'Facteur de pianos' ca. 1876-88

WILSON & SPECHT en 1876

1876 - "Paris- — Formation de la Société en nom collectif WILSON et SPECHT, fab. de pianos et orgues, rue du Chemin-Vert, 85. — Durée : 5 ans. — Cap. 6,000 fr. — Acte du 5 juillet 1876. — Joum. gén. d'aff." Archives commerciales de la France, 27/07/1876, p. 934 (gallica.bnf.fr)

1877 - "Paris. — Dissolution, à partir du 7 mars 1877, de la Société WILSON et SPECHT b.de pianos et orgues, rue du Chemin art, 85. — Liquid. : M. -WILSON. — Acte 7 mars 1877. — J.g.d.A." Archives commerciales de la France. 22/03/1877, p. 363 (gallica.bnf.fr)

SPECHT F. (**1878)

SPECHT E. (**1879)(**1880)(**1881)(**1888)

 

 85, rue du chemin Vert (1876)(1877)(**1878)(**1879)(arr.11), 168, boulevard Voltaire (**1880)(**1881)(arr.11), 229, boulevard Voltaire (**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(arr.11), Paris
SPECHT F. 'Réparateur de pianos' ca. 1921-22 58, boulevard de Reuilly (**1921)(*1922)(x1922)(arr.12) Paris
SPINA Frères  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1900

rue Caraman (?), Philippeville
 

SPIEGELHALTER W.

 

'Facteur de pianos' ca. 1835-50

'Facteur du Roi' (voir barre d'adresse)

Paris
SPOHN
| SPON
 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1876-1906 [depuis 1820 (x1912)]

'Musikal.-, Piano- u. Instr.-Handlung' (xx1890)

BRÉS C. J. & SPOHN (x1906), 'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung'

Succ. par BRÈS (x1912)

 

[19], Boulevard de l'Esplanade (*1876)(xx1885), 190, Boulevard de l'Esplanade (xx1890), 3, place de la Comédie (x1906), Montpellier
SPHOR  

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1900

 

Paris
SPHORR W. & Cie

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1860-70

Paris
SREMER  

'Marchand de pianos'  ca. ?

Elle faisait la commerce des forté-pianos et pratiquait la location de ces instruments.

 

130, rue de la Haye (?), Metz
STAEGLIN Martin  

'Facteur de pianos' avant 1844

Faillite 02/07/1844

 

17, rue Moreau (1844)(¹⁰)(arr.12), Paris
STANLEY  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1870-80

 

74, rue Jean-Jacques Rousseau (**1914)(arr.1), Paris
STANDARD MELODY (The)  

'Manufacture de pianos'  ca. 1920-30

 

8, rue Parmentier (*1929), près de Paris
 

STARCK August

 

'Facteur de pianos' droits ca. 1878-1906 [Fondation en 1899 (x1906)]

Il y avait un STARCK qui était 'finisseur' chez PLEYEL vers 1840-52 (²⁰)

12, Grosse Spitzengasse (y1878), 36, Spiessgasse (x1906),  Strasbourg
STAUB Jacques  

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Facteur et/ou marchand de pianos  (°1870)

Paris - Nantes - Le Mans
STAUB Jean Joseph  

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'Facteurs de pianos'  (°1848)

Nancy

STAUDT Franz Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926

'Orgelbauer u. Händler mit Pianos u. Harmoniums' (x1926)

14, rue du Château (x1926), Puttelange
STECKLER Christian

(1746 - 1838)(¹⁰)

 

"Deux Forté-piano neufs & supérieurement finis. S'adresser au nommé Christian Steckler, Facteur d'instrumens, rue Pierre Hardie, n° 3216, à Metz." Affiches des évêchés et Lorraine, 07/10/1779, p. 313

"Deux Fortépianos faits dans le dernier goût, chez le Sr. Steckler, Lutier [sic], rue Fournirue, à Metz." Affiches des Evêchés et Lorraine, 18/09/1788, p. 1 (kiosque.limedia.fr)

 

'Facteur de pianos et harpes' et 'Facteur d'instruments' ca. 1779-1813; (1779)

Veuf de BAILLON. (¹⁰)

Un facteur d'instruments KRUMPHOLTZ a marié sa fille, Anne Marguerite, avant d'établir à Paris. (⁷)(²³)

'Luthier' (y1808)

3216, rue Pierre Hardie (1779), rue Fournirue (y1788)(y1790)(y1808), 419, Fournirue (1799-1813)(²), Metz

43, rue de Lille (1838)(¹⁰)(arr.7), Paris

STEEGMÜLLER Frédéric  

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'Facteur de pianos' (°1839) Strasbourg
STEENBAKKERS Félix  

Facteur et/ou marchand de pianos automatiques ca. 1926

Tribunal civil : Steenbakkers contre Damelincourt en 1925, dans Recueil périodique des assurances : revue mensuelle : doctrine, jurisprudence, législation des assurances terrestres et maritimes, 1926, p. 133-135 (gallica.bnf.fr)

 

10, rue Franklin (19??), La Madeleine (Nord)
 

STEENS J.

 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926

'Piano-Handlung' (x1926)

15, boulevard Eurvin (x1926), Boulogne-sur-Mer
 

STEGER Joseph
| STEGHER

(ca. 1801 - 1840)

 

"PIANOS DROITS - DE ROLLER ET BLANCHET, DE PARIS - Facteurs de la Pleine (médaillé d’or de 1834). M. Blanchet a l’honneur d’informer MM. les amateurs et artistes de cette ville qu’ils peuvent accorder une entière confiance, pour l’entretien de Ces nouveaux instrumens à M. Joseph Stegher, facteur à Nancy, rue des Champs, n.° 17. Le rapport de l'institut de France sur l’invention de ce genre de piano, copié partout présentement, se trouve chez M. Ferrand, papetier, rue des Dominicains, n.° 20 ; il pourra prémunir contre lés imitations qui, jusqu’ici, sont loin d’en donner une idée avantageuse." Journal de la Meurthe, 28/07/1834, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

"AVIS. - Le sieur STÉGER, facteur de pianos, neveu et successeur de M. Stezle, a l’honneur de prévenir le public qu’il continue l’établissement de feu son oncle, fait, répare, vend et lotte toutes sortes de pianos et garantit tout ouvrage." Journal de la Meurthe, 16/11/1836, p. 3 (kiosque.limedia.fr)

"Beaux APPARTEMENTS à LOUER, rue de l’Esplanade, n.° 7, fraîchement décorés, au. 1.er étage, salon, chambre à coucher, cuisine et cabinet. S’adresser chez M. Steger, rue des Champs, facteur de pianos, n° 19 et 17." Journal de la Meurthe, 20/07/1837, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1834-40

Successeur et neveu de Joseph STEZLE (y1836), voir ci-dessous

STEGER a repris en 1836, après le décès de STEZLE son atelier 19, rue des Chaps

1840 - "ÉTAT des personnes décédées à Nancy pendant la même quinzaine, [...] — Joseph Steger, 39 ans, facteur de pianos." Journal de la Meurthe, 21/12/1840, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

STEGER Mme. (yy1841)

1872 - "Décès déclarés du 12 au 16 juin 1872. [...] - Le 16 : Clara-Frederique-Sophie Stezle, 60 ans, veuve de Joseph Steger, facteur de pianos; [...]" L'Espérance : courrier de Nancy, 18/06/1872, p. 3 (kiosque.limedia.fr)

NANCY - "Exposition des produits de l'industrie départementale. [...] N'avez-vous pas désiré avec la fortune le talent du musicien qui donne une si harmonieuse voix aux violons et aux guitares de M. Jacquot, ce facteur-artiste, déjà décoré d’une médaille; n’avez-vous pas envié l’art de M.lle Mazel, en vous extasiant devant les pianos de Warneck, Niederlaender, Steger, pianos si bons et si beaux qu’on les diraient sortis des ateliers de Pape et d’Erard. Oh ! heureux et mille fois heureux les riches et les artistes, car si ceux-ci ont la puissance magique de l’or, ceux-là ont la puissance' plus magique encore du talent. Laquelle des deux faut-il envier ?..." Journal de la Meurthe, 05/06/1838, p. 3 (kiosque.limedia.fr)

Liste des exposants Nancy, 1838

 

17, rue des Champs (y1834), 17-19, rue des Champs (yy1837), 17, près le Jardin Botanique (yy1841), Nancy
 

STEGERER Jean Charles

(ca. 1810 - 1854)(¹⁰)

 

 

'Fabricant de pianos' ca. 1854

 

86, rue de Rochechouart (1854)(¹⁰)(arr.9), Paris
 

STEHLIN Benoît

 

 

ARCHIVES

"Constitution de 765 l. de rente viagère (Remboursée le 15 avril 1784) par Marie-Anne Dupuy,
veuve de Nicolas-Joseph NOEL, marchand de bois carré rue Gerard BOQUET, par Saint-Paul à
Françoise LEMAIRE, veuve en 1/ères/ noces de Benoit STEHLIN, facteur de cladecuis [clavecins ?], et épouse séparée de biens de Leger BRENDLÉ, maître de cladecuis
[clavecins ?], suivant leur contrat passé devant
DAVIER (Et LXIII) le 18 janvier 1775, demeurant rue du Sepulchre, fg Saint-Germain, paroisse." (Arch. Nat. :  MC/ET/XXVIII/475 p. 192)

 

 

'Facteur de clavecins' ca. 1779; (¹⁰)

Probablement fils de Benoist STEHLIN, et à son tour fils de George STEHLIN, venant de Suisse.

 

 Paris
STEHLIN Charles  

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1875-90 [depuis 1834 (*1913)]

'Musikal.- u. Piano-Handlung' (xx1890)

Repris par HUTIN C. à Besançon au moins dès 1895.

 

99, Grande-rue (*1875), 99-101, Grande rue (*1876), 99, Grande-rue (xx1890), Besançon
STEHLIN DEZINNER
| DE ZINNER | DE ZINNEZ | DEZINNER

 

STEHLIN
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... un STEHLIN en Suisse 

 

'Artiste, facteur et régénérateur de piano et de harpe' ca. 1805-21

Venant de Genève, en Suisse

"Ancien collaborateur d'Erard" (**1806)

Autres facteurs à Toulouse en 1807 sont KOENIGS et CAMPARDON

"Le Veridique de l'Hérault, qui n'est jamais gai volontairement, le sera pour ainsi dire malgré lui, lorsqu'il insérera des annonces comme celle qu'on va lire :  M. Sthelin, artiste, facteur et régénérateur de pianos et de harpes, auteur du jeu céleste, ayant exercé ses talens dans les deux capitales de l'Europe, offre aux amateurs de Montpellier expérience de son génie ; il fait honneur à une confiance méritée et digne de foi.  On nous assure que la première idée du rédacteur avait été de traduire cette annonce en bon français, mais qu'il ne s'en est pas senti capable." Le Miroir des spectacles, des lettres, des moeurs et des arts, 18/01/1822, p. 4 (gallica.bnf.fr)

 

Genève (Suisse)

Bordeaux

31, place de la Mairie, Maison Sirven (***1805), 31, place de la Commune, maison Sirven (x1805), 595, rue des Couteliers, chez M. Gratien (**1806),  11, rue du Collège-Royal (1821), Toulouse

chez M. Billet, hôtel des Célestins, au troisième étage (xx1811),12, rue Saint-Jean (z1822), 16, place du Plâtre (zz1822), Lyon

STEIMLE Bernard Jonathan
| STEINLÉ
 

'Facteur de pianos' ca. 1851

Il y avait un ouvrier-tableur chez PLEYEL avec le nom STEINLÉ vers 1850. (²⁰)

 

7, rue Rochechouart (1851)(³¹)(arr.9), Paris
 

STEIGER Jean Baptiste
| STEGER

(1759 - 1818)(¹⁰)

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1803-18

Époux de MARCUS Géneviève. (¹⁰)

 

37, rue de Tixeranderie (*1803-1804)(*1805)(arr.4), rue Barre du Bec (1818)(¹⁰)(arr.3), Paris
STEIN Jean Joseph  

'Facteur d'orgues' ca. 1846-47

1846 - "STEIN Joseph, Facteur d'orgues, Barouillère [de la Barillerie], n° 4. Cité le 04/09/1846, lors d'un acte notarié, comportant société en nom collectif à l'égard dudit et en commandite à l'égard des porteurs d'actions, etc. pour l'exploitation d'un brevet et de la fabrication des orgues expressifs, auxquels il a été donné le nom d'orgues Stein ; le siège provisoire : rue Barouillère sous la raison STEIN et Compagnie, sous la dénomination de fafrication d'orgues STEIN. Source: D31u3-136/Pièce 1683." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

1847 - "STEIN Jean Joseph, Facteur d'orgues, rue de la Barillerie, n° 4. Cité le 13/04/1847, dans un acte notarié comportant société entre ledit société créée le 04/09/1846, en commandite par actions, sous la raison STEIN et Compagnie pour la fabrication des orgues expressifs STEIN, comprenant les 18 actionnaires dot Monsieur THIBAUT, facteur de pianos, rue Favart, n° 12, possède deux actions, lui, en nom collectif et le reste en commandite (400 actions de 500 francs chacune). Source : D31u3." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois » - Voir THIBOUT Aimé Justin (°1834)

1848 - "STEIN Jean Joseph et Compagnie, Orgues d'églises, rue Cassette, n° 9. Cité le 25/04/1848, lors de la faillite desdits.  Source : 3Ga les faillites)." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

 

4, rue de la Barillerie (1846)(¹⁰)(arr.11), 9, rue Cassette (1848)(¹⁰)(arr.6), Paris
STEIN Pierre dit Emile  

Brevet de 1860 : "612° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 28 juin 1860, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Stein (Pierre dit Emile), facteur de pianos, à Paris-Montmartre, Petite-Rue Saint-Denis, n°1 pour un appareil mécanique à jouer automatiquement les pianos, pianos-orgues, orgues et tous instruments de musique à clavier de piano." Bulletin des lois de la République française, 07/1867, p. 373-374 (gallica.bnf.fr)

 

'Facteur de pianos' et d'orgues ca. 1856-60

1856-57 - "STEIN Emile, Fabricant d'orgues, rue d'Enfer, n° 43. Cité le 28/04/1856, lors de la faillite dudit ; concordat, 08/01/1857. Source : 3Ga les faillites)." Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son équipe « éclat de bois »

43, rue d'Enfer (1856-57)(¹⁰)(arr.4) ?, 1, Petite-Rue Saint-Denis (1860)(arr.18), Paris
STEINER  

"Annonces. - Pianos. M. Steiner, facteur, accordeur et marchand de pianos, à Lille, venant depuis 3 ans, tous les trois mois à Ypres [Belgique], pour accords et réparations de Pianos, arrivera en cette ville dans quelques jours. S'adresser à l'Hôtel de l'Épée Royale, Grand'Place, où il descendra comme d'habitude. MM. les amateurs, trouveront au magasin de M. Steiner, rue Esquermoise, 63, à Lille, des pianos et harmoniums d'excellents facteurs de Paris, qu'il vend à prix-fixe et 3 ans de garantie. Les prix sont 700 fr. et au-dessus. Il peut livrer un bon piano neuf de Plegel [Pleyel ?], à Cordes verticales, pour 1,000 fr. y compris les frais de transport de Lille à Ypres." Le Propagateur, 07/11/1855, p. 4

 

'Facteur de pianos' ca. 1855

63, rue Esquermoise (y1855), Lille
STEINER A.  

"Steiner (A.), facteur de pianos et harmoniums, vente, échange, location, accords et réparat., commiss. exportat., Richer, 53." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1857, p. 795 (gallica.bnf.fr)

 

'Facteur de pianos' droits ca. 1857-63

STEINER A. (xx1857)

53, rue Richer (xx1857)(xx1858)(arr.9), 14, boulevard du Temple (*1859)(xx1861)(xx1862)(x1863)(arr.11), 45, rue Jean-Baptiste Pigalle (xx1859)(arr.9), 48, rue Jean-Baptiste Pigalle (xx1860)(arr.9), Paris
STEINMANN 'Facteur de pianos' ca. 1856 83, rue Blanche (xx1856)(arr.9), Paris
STELBEIN L.  

Piano droit ca. ??, Église paroissiale, Sainte-Colombe, Landes, France

 

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca.1870-80 Paris
STELLBERG Joseph  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 18??

 

Metz
 STELLE Benoit 'Facteur de clavecin' ca. 1777 rue des Cordeliers (jusqu'à 1777)(arr.13), Paris
 STÉMER  

"La Dlle Stémer, rue de la Haye, N°. 130, à Metz, vend et loue d'excellens forté-piano, à juste prix." Journal des Départements de la Moselle, de la Meurthe, de la Meuse, des ..., 17/02/1791, p. (kiosque.limedia.fr)

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1791

 

130, rue de la Haye (y1791), Metz
STEMPFLY  

PARIS - "670 M. Stempfly, rue Grange-aux-Belles, n. 17. Un piano à coins arrondis." Expo 1824 Rapport du Jury d'admission des produits de l'industrie du Département de la Seine, 1825, p. 71

 

 

'Facteur de pianos' ca. 1825

Jury d'admission Paris, 1823

 

17, rue Grange-aux-Belles (*1825)(arr.10), Paris
STENBERG A.

Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 18??

Paris
STERCKX L.  

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906-10

 

 

81-83, rue Legendre (x1906)(arr.17), 104, rue La Fayette (*1907)(*1909)(*1910)(arr.10), Paris

 

STESSE Pierre Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 18?? Paris
STEZLE Georges  

"Avis. Georges Stezte, rue St.-Dizier, No. 330 à Nancy, successeur au commerce de M. B. Troestler, tient magasin de musique et d'instrumens, pianos en acajou à 2 et 3 cordes, papiers blancs et de couleurs, de tous formats et qualités, tout ce qui constitue les fournitures de bureaux, le dessin .et la peinture , registres de toutes grandeurs et réglures, étuis de mathématiques, cartes géographiques, etc. Il vient de recevoir de Paris les plus . nouvelles cartes de France, divisées en 133 départemens; petites à 2 fr., grandes à 6 fr. Almanachs et agendas brochés, cartonnés et reliés en maroquin dorés sur tranche et sur plat." Journal de la Meurthe, 08/01/1812, p. 1 (kiosque.limedia.fr)

"Abonnement de musique. Un Abonnement de musique manquait à la ville de Nancy, MM. les amateurs de cette ville et des trois départemens sont prévenus qu'ils pourront en tout temps s'abonner chez Georges Stezle, au magasin de musique et d'instrumens, rue Saint-Dizier, n.° 330. Son abonnement est déja composé de 7 à 8 cents oeuvres choisis, pour le piano, harpe violon, alto, basse, flûte, clarinette, cor, basson, lyre ou guitarre, ouvertures et simphonie à grand orchestre, airs d'opéra et romances. Chaque abonné recevra un catalogue des oeuvres qui composent l'abonnement et sur lequel il pourra faire un choix. Les augmentations de l'abonnement seront annoncées aux abonnés par un catalogue supplémentaire. On s'abonnera aà l'année, au mois, ou à l'oeuvre : pour l'année 30 francs, pour 6 mois 16 francs, pour 3 mois 8 francs 50 centimes, pour un mois 3 francs, par oeuvre pour huit jours 75 centimes. Pour l'année et pour 6 mois, on changera d'oeuvres ad libitim; pour 3 mois on recevra 15 oeuvres, et pour un mois 4 ou 1 par semaine, en rapportant les précedens. Le prix de l'abonnement se payera d'avance. Les titres, paque et envois d'argent, doivent être affranchis." Journal de la Meurthe, 11/09/1812, p. 8 (kiosque.limedia.fr)

"M. Stezle, rue de l'Esplanade, vient de recvoir quantité de nouveautés, tant en musique qu'en objets d'étrennes, le tout à prix moderé." Journal, affiches, annonces et avis divers du département de la Meurthe, 30/12/1827, p. 6 (kiosque.limedia.fr)

 

 

Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1812-31

Frère de Joseph STEZLE (⁸), ci-dessous

1812 - 'Successeur au commerce de M. B. Troestler' (y1812) - voir TROESTLER, à Nancy dès 1812

'Magasin de musique et d'instrumens' (yy1812)

'Marchand de musique' (**1822)

1831 - Faillite - "Vente à l’enchère d’un fonds de magasin de musique à Nancy. - Le jeudi 22 septembre 1831, à deux heures de relevée, maison du sieur Georges Stezle, rue de l’Esplanade, à Nancy, il sera, à la réquisition de M.e Thiriot, avoué, comme syndic propisoire de la faillite dudit sieur Georges Stezle, dûment autorisé, procédé à lâ vente au plus offrant d’un magasin considérable de musique, dont le fonds se compose principalement d’oeuvres de grands-maîtres, tels que les collections de quatuors, quintettes, etc., de Mozar[t], Haydn, etc. Collections des oeuvres de piano, des mêmes, de Moscheles, Pleyel, C[r]amer et autres auteurs, morceaux de Rossini arrangés poiir l’harmonie, le tout destiné tant à la vente qu’à l’abonnement. Morceaux de chants, partitions d’opéras au piano et nouveautés. Méthodes pour différens instrumens, études, vocalises, exercices, etc., etc. Ce magasin, administré avec activité et intelligence, offrirait un commerce d’autant plus lucratif que l’on pourrait y joindre la Commission, et que ce genre d’établissement, unique à Nancy, deviendrait également utile aux villes et campagnes voisines. Le nombre des abonnés du sieur Stezle était considérable comme l’indique le registre qu’il tenait à cet égard et qui sera remis à l’acquéreur qui pourra s’en aider utilement. Les curieux seront admis à examiner cette collection de musique et à prendre connaissance de l’inventaire qui la concerne, ledit jour jeudi 22 septembre, de 9 heures du matin à midi, dans le magasin où doit se faire la vente. Le commissaire-priseur, Lefèvre." Journal de la Meurthe, 13/09/1831, p. 3 (kiosque.limedia.fr)

1831 - "Tribunal de Commercé de Nancy. Publication légale. - Les créanciers du sieur Georges Stezle, marchand de papiers et de musique a Nancy, sont invités de se trouver lundi 12 décembre 1831, à dix heures du matin, dans la salle des audiences du tribunal de commerce, place 'Carrière, n.° 5, à une assemblée dans laquelle il sera procédé à la vérification et affirmation dés créances. Michel, greffier." Journal de la Meurthe, 10/12/1831, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

 

330, rue Saint-Dizier (yy1812), rue de l'Esplanade (y1827)(y1831), Nancy
STEZLE Joseph
| STELZ

(1767 - 1836)(⁸)

 

 

"A vendre, place Carrière, no 25, au premier étage, un forte-piano de Stezle, à six octaves, en acajou; [...]" Journal, affiches, annonces et avis divers du département de la Meurthe, 23/07/1819, p. 8 (kiosque.limedia.fr)

"Stelz [sic], fact. de pianos, r. de Jardin des Plantes." Agenda musical pour l'année 1836 : contenant tous les renseignements utiles aux amateurs de musique et aux artistes, Volume 3, 1836 (gallica.bnf.fr) & Agenda musical, Paris, 1837, p. 247 (gallica.bnf.fr)

"Le facteur nancéien de pianoforte Joseph STEZLE est né le 17 janvier 1767 à Lay-Saint-Christophe, localité à 12 km au NNE de Nancy. Arrivé à Nancy en 1783 avec ses parents, il se forme d’abord à la facture d’orgues chez le facteur d’orgues Jean-François Vautrin. La révolution et ses conséquences sur la facture d’orgues l’obligent à s’orienter vers la facture de pianoforte, en plein développement à la fin du 18° siècle et au début du 19° siècle. On ne connaît pour le moment rien de son activité avant 1800, date à laquelle il tient un atelier au 19 rue des Champs à Nancy. Jusqu’autour de 1822-1825, il semble qu’il ait surtout procédé à des réparations, entretiens et accords, mais il n’est pas exclu qu’il ait aussi fabriqué des instruments. Il vendait ou achevait aussi des instruments qu’il se procurait chez des fabricants parisiens, parmi lesquels figurait Erard. Au début des années 1820, il se met cependant davantage à la fabrication propre d’instruments, l’apogée de sa production se situant entre 1825 et 1836. Son atelier était modeste, comprenant deux ou trois ouvriers permanents ou intérimaires, mais il rayonnait sur toute la Lorraine sud. Ses qualités de fabricant de pianoforte sont clairement établies par l’inventaire successoral. Il ne subsiste actuellement aucun instrument sorti de son atelier, hormis un instrument d’un autre fabricant sur lequel il a apposé sa griffe au crayon. Une partie de son activité était dévolue à la location de pianos dont il détenait au moins 50 exemplaires de divers modèles. Entre 1800 et 1820, il intervient également comme facteur d’orgues, assurant des entretiens et des réparations ainsi que la (re)construction de quatre orgues. Après son décès le 1 octobre 1836, son atelier a été continué par son neveu par alliance Joseph Steger [voir ci-dessus] jusqu’au décès de celui-ci en 1840, facteur dont on ne sait s’il a produit des instruments pendant ces quelques années." (⁸) Les facteurs de pianos à Nancy, J. M. Stussi

La production de Stezle qui a probablement dû être de l’ordre de 400 instruments en 35 ans d’activité. (⁸)

INFO EXTRA

Un atelier de facture de pianos à Nancy au début du XIXe siècle : Joseph Stezle, par Jean-Marc STUSSI

 

'Facteur de pianos' et/ou marchand de pianos ca. 1800-37

MANGEOT (°1830) était un élève de M. STEZLE (y1830)

STEZLE (**1836)(x1837)

1836 - "ÉTAT des personnes décédées à Nancy, pendant la 1.re quinzaine d'octobre. [...] 2. [oct.] — [...] Joseph Mezle [sic], 69 ans, facteur de pianos." Journal de la Meurthe, 23/10/1836, p. 3 (kiosque.limedia.fr)

1836 - "AVIS. — Les personnes qui ont loué des pianos chez feu M. Joseph Stezle, facteur d’instruments à Nancy, sont priées de vouloir bien en prévenir M. H. COLLIGNON, commissaire-priseur en cette ville." Journal de la Meurthe, 28/11/1836, p. 3 (kiosque.limedia.fr)

1836 - "VENTE APRÈS DÉCÈS, DE QUARANTE-DEUX PIANOS, ET D’OBJETS MOBILIERS, Rue des Champs, n.° 19.
Le lundi 5 décembre 1836, 9 heures du matin, et jours suivants, il sera procédé à la vente au comptant, et perçu 5 centimes en sus par franc, de différents objets 'consistant en batterie et ustensiles de cuisine, faïence; bois de lit, couchers, tables, chaises, fauteuils, 3 belles glaces, 2 pendules, commodes, un secrétaire antique avec incrustations en ébène, représentant la création (meuble rare et recherché), linge de lit, de table et de corps, 2 montres en or, dont une à répétition et musique, une autre en argent.
42 pianos, boites de pianos, plusieurs sommiers d'orgue et tuyaux, 6 violons, 2 contre-basses, 1 hautbois, 5 établis, outils, plomb, étain, ferraille, madniers en, noyer, hetre, tilleul, 2 autres en palissandre, feuilles e placage en acajou et orme, et quantité d'autres objets.
7 hectolitres 92 litres de vins de 1854, futailles, bouteilles vides, cuve et cuveaux.
Et le mercredi, à 9 heures du matin, rue Stanislas, n.° 5, il sera procédé à la continuation de la vente du mobilier qui se trouve dans un appartement de ladite maison.
ORDRE DE La VENTE.
Le lundi, les meubles et la boutique;
Lé mardi, les pianos, orgues et violons ;
Le mercredi, vente du mobilier, rue Stanislas.
Le commissaire-priseur, H. COLLIGNON."
Journal de la Meurthe, 20/11/1836, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

STEGER a repris l'atelier de STEZLE : 19, rue des Champs à Nancy

1837 - "Étude de GUIBAL, avoué. - ADJUDICATION PREPARATOIRE. - VENTE PAR LICITATION, A l'admission des étrangers.
On fait savoir que le lundi 17 avril 1837, dix heures du matin, en l’étude et par-devant M.e BLANCHEUR, notaire à Nancy, commis a cet effet par jugement du tribunal.de première instance de la même ville, en date du 24 janvier 1857, il sera procédé à l’adjudication préparatoire.
DE TROIS MAISONS, SITUÉES Á NANCY.
La première, rue des Champs, n.° 17, entre la maison suivante, au midi, celle du sieur Mangin, au nord et le Jardin-Botanique, au levant.
La seconde, rue des Champs n.° 19, entre la maison précédente, au nord, l’école forestière, au midi, et le Jardin Botanique; au levant.
Et la troisième, rue de l’Esplanade 1 ou Stanislas, n.° 7, entre la maison du sieur Vachter, au levant, et celle du sieur Biaise, au couchant.
Ces trois maisons dépendent de la succession du sieur Joseph Stezle, décédé facteur de pianos à Nancy.
Elles seront vendues en trois lots composés, le premier; de la maison rue des Champs, n.° 17. Le second, de la maison même rue, n.° 19. A cet effet; les communications existant actuellement entre ces deux maisons seront bouchées, à frais communs, par les adjudicataires deres deux lots. Néanmoins, ces deux premiers lots, après avoir été adjugés partiellement, seront vendus ensemble aux enchères et l’adjudication en gros sera preférée à celle en détail, si lé prix surpasse la somme des prix, de ces deux adjudications. Et le troisième lot se composera de la maison rue Stanislas, n.° 7;
ESTIMATION.
Le premier lot est estimé .......... 4,500 fr.
Le second 5,050 fr.
Ét le troisième 15,600 fr.
Total 24,950 fr.
Cette vente par licitation se poursuit à la requête 1.° du sieur Jean-Baptiste-Charles Stezle, commis-négociant, demeurant à Nancy ; 2.° du sieur Jean-Baptiste-Louis Ange Stezle, voyageur de commerce,
demeurant' aussi à Nancy ; 3.° et de demoiselle Marie-Adélaïde-Caroline Stezle, majeure, professeur de musique, demeurant à Besançon ; tous lesquels poursuivant ont constitué pour leur avoué M.e Charles-Eugène Guibal, licencié en droit, de M.e Mengin, avoué au tribunal de première instance de Nancy, et demeurant en cette ville, rue des Quatre-Églises, n.° 52.
Contre 1.° le sieur François Stezle horloger, demeurant à Commercy ; 2.° demoiselle Anne Stezle, majeure, rentière, demeurant à Nancy; 5,° dame Catherine-Emilie Lorenziti, épouse du sieur Joseph-Etienne Toussaint Jourdan, employé des contribue lions indirectes, demeurant à Nancy, en qualité de tutrice, maintenue par le conseil de famille, de Joseph-Etienne-Toussaint Stezle, son fils mineur, né de son premier mariage avec feu le sieur Georges Stezle ; 4.° et ledit sieur Joardan, tant pour assister ét autoriser sa dite épouse, que comme co-tuteur du même mineur Stezle. Tous lesquels.ont constitué pour leur avoué M.c Victor Munier, demeurant à Nancy, rue des Quatre-Eglises, n.° 149. Lès curieux pourront prendre communication des clauses et conditions de l'adjudication soit en l'étude de M.e BLANCHEUR, notaire, rue des; Quatre-Eglises, n.° 50, soit en celles de M.es GUIBAL, àvoué des poursuivants, rue des Quatre-Eglises, n.° 52. et MUNIER avoué des co-licitants, même rue, n.° 49." Journal de la Meurthe, 12/03/1837, p. 4 (kiosque.limedia.fr) - Voir Georges STEZLE, ci-dessus - Voir
LORENZITI, à Nancy

1836 - Succ. par Joseph STEGER [voir ci-dessus], neveu, Journal de la Meurthe, 16/11/1836, p. 3 (kiosque.limedia.fr)

1837 - "Vente de quinze Pianos, APRÈS DÉCÈS, Rue des Champs, n.° 19. Le lundi 12 juin 1837, deux heures de relevée il sera procédé à la vente au comptant et perçu 5 centimes en sus par franc, de 9 petits pianos pour les commençants, 5 grands pianos à 6 octaves, 1 piano organisé à 6 octaves, 2 orgues à claviers, 1 grand orgue d’église, 2 harpes, 1 secrétaire en marqueterie, 1 poêle en faience, le tout provenant de la succession de feu Joseph Stezle, facteur d’instruments à Nancy. - Le commissaire-priseur, H. COLLIGNON." Journal de la Meurthe, 08/06/1837, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

 

19, rue des Champs (ca. 1800)(y1837), rue des Champs, près le Jardin-des-Plantes (y1830), rue du Jardin des Plantes (**1836)(x1837), Nancy
STEZLE Louis  

"— A vendre, à 40 pour 0/0 de remise, UN BON PIANO carré, en acajou, 5 cordes, 6 octaves 1/2, du prix de 1,200 fr, sortant des ateliers de Rinaldi, à Paris. S’adresser à MM. Louis et Stéphane Stezle, rues -Stanislas, 41, et Poissonnerie, 13, à Nancy. Grand abonnement musical. — Pianos de Paris." Journal de la Meurthe et des Vosges, 11/07/1844, p. 4 (kiosque.limedia.fr)

"En vente chez L. STEZLE, marchand de musique, rue de la Poissonnerie, 13, à Nancy. Deux bons pianos droit et carré, des ateliers de Frost, de Strasbourg, à des prix très-avantageux. Au même magasin, grand assortiment de pianos de Paris à vendre et à louer. Grand abonnement de lecture musicale pour la ville et la campagne." Journal de la Meurthe et des Vosges, 13/05/1845, p. 3 (kiosque.limedia.fr)

 

 

'Marchand de musique' ca. 1844-45

Probablement fils et successeuer de Georges STEZLE ?

STEZLE Louis & Stéphane (y1844)

 

13, rue de la Poissonnerie (yy1842)(yy1844)(y1845), Nancy
STEZLE Stéphane

(? - 1905)

 

"M. Stéphane STEZLE, Rue Stanisla