Marques |
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Infos |
Adresses |
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SAAL |
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'Facteur de pianos'
ca. 1850
Époux de LEURET (1850)(¹⁰)
Il y avait un ouvrier-caissier chez
PLEYEL avec le nom SAAL vers 1849. (²⁰)
|
16, rue du Bouloi (1850)(¹⁰)(arr.1),
Paris
Mazevill (1850)(¹⁰) |
S. Nicolas
(1852 - 1882) |
"Hier soir, à sept heures, M. Nicolas S. âgé
de 30 ans environ, facteur de pianos, demeurant impasse des Couronnes, a été
frappé, rue des Panoyaux, d'un coup de couteau à l'épaule droite par sa
maîtresse, à la suite d'une vive discussion. S. blessé, s'est réfugié chez
une amie de sa maîtresse, une dame T. lingère, rue des Panoyaux. (la suite
) |
'Facteur de pianos'
ca. 1852
(la suite)
Là, il est mort au bout de quelques
minutes, d'une hémorragie interne. Virginie V. âgée de 27 ans, ouvrière
boutonnière, demeurant rue du Faubourg-du-Temple, auteur de ce meurtre, a
été arrêtée, ainsi que la dame T."
Le Petit Parisien, 01/09/1882, p. 3
(gallica.bnf.fr) |
Impasse des Couronnes
(1882)(arr.20),
Paris |
SABATIER |
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'Facteur de pianos'
ca. 18?? |
rue Rochechouart (?)(¹⁴)(arr.9),
Paris
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SABOURAIN l'Abbé J. |
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Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1894-1921 [depuis
1898 (*1913)(**1921)]
|
31, rue Grande
(*1913)(**1921),
Saint-Gaultier |
SAEN L. |
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Facteur et/ou marchand de
pianos automatiques et orchestrions ca. 1921-26
'Handlung mit autom. Pianos' (x1926)
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5, rue Bastion-National (**1921)(x1926), Dunkerque |
SAFFROY Ernest |
"ATELIER SPÉCIAL - DE RÉPARATIONS POUR PIANOS de toutes Marques - Vente,
Achat, Echange, Musique, Lutherie - ERNEST SAFFROY - OUVRIER FACTEUR -
Premier Prix d'Accord de la Ville de Paris 18, Rue Lécluse, 18 (Près la
Place Clichy) PARIS."
Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical,
1907 (gallica.bnf.fr)
|
Marchand, accordeur et réparateur de pianos
ca. 1907-10 |
18, rue Lécluse (*1907)(arr.17),
122, rue du Chemin Vert (*1909)(*1910)(arr.11),
Paris |
SAGNARD |
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'Facteur de
pianos' et lutherie ca. 1913-31
'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926) ------- 'Marchand de pianos' (z1931) |
93, rue de Seine (*1913)(**1914)(x1922)(arr.6), 32, avenue de La Motte-Piquet
(**1921)(z1931)(arr.15),
Paris |
SABOURAIN l'Abbé J. |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1894-1921 [depuis
1898 (*1913)(**1921)]
|
31, rue Grande
(*1913)(**1921),
Saint-Gaultier |
SAILLER |
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Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1890; (xx1890)
'Pianohandlung' (xx1890)
|
Gien |
SAINT-AUBIN G. |
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Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1913-26
[depuis 1897
(*1913)(**1921)(x1926)]
SAINT-AUBIN
F. (**1921)
SAINT-AUBIN
F. G.
(x1926) |
5, rue Jean-Burguet
(*1913)(*1915)(*1920)(**1921),
24, rue Cadroin
(x1926),
Bordeaux |
SAINT-AVID |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1926
[depuis 1921 (x1926)]
'Piano-, Musikinstr.- u. Sprechm.-Handlung' (x1926)
|
75, rue Fontindelle (x1926), Nérac |
SAINT-GUIRONS B. |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1912-26 [depuis
1896
(x1912)(**1921) ou
depuis 1922
(x1926)]
'Händler mit Musikal., Pianos, u. Musikinstr.' (x1912)
------- 'Musikal.-, Piano-, Musikinstr.- u. Sprechm.-Handlung' (x1926)
SAINT-GUIRONS
Raymond Fils (x1926), dès 1922 |
78, rue Gambetta (x1912)(**1921)(x1926), Mont-de-Marsan |
SAINT-JEAN Mme. Charles de |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1921-26
[depuis
1884 (**1921)(x1926)]
Successeur de MEYER à St. Amand-les-Eaux ?
'Musikal.- u. Pianohandlung' (x1926) |
20, rue du Docteur-Davaine (**1921)(x1926), St. Amand-les-Eaux |
SAINTIS & Cie |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1890-1906;
(xx1890)(x1906)
'Musikal.- u. Pianohandlung' (xx1890) -------
'Musikal.-, Piano- u.
Musikinstr.-Handlung u. Reparatur-Werkstatt' (x1906) |
Montauban |
SAINT-JULIEN C. F.
| JULIEN C. F. S. |
Deux
pianos
carrés de 1825, n° 139, mentionné dans les archives de vente de PLEYEL
de 1831, p.
76-77
|
'Facteur de pianos' ca. 1825-27
"Saint-Julien (C.-F.), meubles, pianos, S.-Honoré, 314."
Almanach du commerce de Paris, 01/01/1827, p. 283 (gallica.bnf.fr)
"Saint-Julien (C.-F.), fournit aux artistes de l'Opéra et du conservatoire,
r. S.-Honoré, 314."
Almanach du commerce de Paris, 1827, p. 133 (gallica.bnf.fr)
|
314, rue Saint-Honoré (x1827)(arr.1),
Paris |
SAINT-MARC E. C. |
|
'Facteur de pianos'
et éditeur de musique ca.
1890-1913 [depuis
1878
(*1913)]
'Pianomacher u. Stimmer' (xx1890)
Repris par
SCHLEIDEN P. (voir sur cette page, ci-dessus) dès 1899 :
1899 - "Maisons qui [...] se changent de propriétaire [...]
Adresse : 24, Grand-Fossés - Nom : Schleiden - Profession : Pianos -
Prédécesseur : Dme St. Marc."Archives
commerciales de la France. Journal hebdomadaire, 29/07/1899, p.
963 (gallica.bnf.fr)
'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung u.
Reparatur-Werkstatt' (x1906)
|
11, rue Ferrère (xx1890), 24, rue des Grands Fossés (x1906)(*1913),
Tarbes
|
SAINT-OUEN |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1863
1863 -
"Publications de mariages. Du 4 au 11 octobre. [...] 6°
arrondissement (Passy).- Entre : M. Saint-Ouen, facteur de pianos, rue de
Chaillot, 49, et Mlle Saint-Ouen, même maison."
La Presse, 16/10/1863, p. 3 (gallica.bnf.fr)
|
49, rue de Chaillot (*1863)(arr.16),
Paris |
SALAUN
| SALAÜN |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1858
Époux de RENAUDIN Louise Hélouise, couturière
(¹⁰) et
La Presse, 11/10/1858, p. 3 (gallica.bnf.fr)
"SALAUN Jean Marie, Facteur de pianos, faubourg Saint
Honoré, n° 88. Époux de RENAUDIN Louise Héloïse. Cité lors du mariage dudit,
le 23/10/1858, paroisse Sainte Madeleine. Autres : LEVEQUE Jean Louis,
facteur en pianos, petite rue, n° 16 à Reuilly. Source : DQ7/3723/Acte 465."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
» - Voir
LEVEQUE
(°1855)
Il y avait un 'SALOUN'
comme 'finissseur' chez PLEYEL ca. 1858. (²⁰)
|
88 [ou 38], rue du faubourg Saint-Honoré
(x1858)(¹⁰)(arr.8),
Paris
|
SALAUN, SCHWAB & Cie Association
ouvrière |
"Association générale des ouvriers | Facteurs de pianos et orgues |
Fournisseurs brevetés de S. M. l'Empéreur | Expos. Univ. de 1867 | Mention
honorable | SALAÜN, SCHAB & Cie | 38, Rue des Ecluses St. Martin, 8, Passage
Feuillet | Paris."
PARIS -
"MM. SALACH [sic] et SCHWAB. - Cette société,
composée d'ouvriers facteurs, construit des pianos et des harmoniums. Ces
instruments sont bien faits; mais on peut reprocher aux pianos la faiblesse
des sons, et, dans les harmoniums, des timbres qui sont d'une pureté
douteuse. Ces défauts, qui proviennent peut-être de la manutention qu'ont
éprouvée ces instruments, sont faciles à faire disparaître. La société
produit néanmoins de bons instruments, et le jury lui a accordé une Mention
Honorable."
La musique à l'Exposition universelle de 1867,
Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant,
p. 172
|
'Facteurs de pianos'
droits, et facteur et/ou marchand de
orgues et harmoniums ca. 1867-68
Probablement élève de
HERZ Neveu & Cie
(°1863)
1862 -
"Atelier de MM. Herzeneuven [Herz Neuveu] et Cie, rue des Poissonniers, 20.
- MM. Henri Philippe, L. Vivier, Burdin, Ch. Knust fils, Salaun, Legrand,
Beaugeard."
Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs
d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en
bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862,
p. 54 (gallica.bnf.fr)
Membre d'
ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris
(°1849)
Faillite en 15 décembre 1868.
(¹¹)
(la suite)
LE HAVRE -
"2457. SALAUM, SCHWAB et Cie.— Piano et orgue, rue des
Écluses-Saint-Martin, à Paris."
Exposition maritime internationale, Le Havre,
Seine-Maritime, 1868, p. 309 (gallica.bnf.fr)
Mention honorable Paris,
1867 | Liste des exposants Le Havre, 1868
|
38,
rue des Ecluses-Saint-Martin
(*1867)(arr.10), 8,
passage Feuillet (1868)(arr.10),
Paris
|
SALF |
|
Facteur et/ou marchand de pianos et luthier ca. 1875-1912
SALF
(xx1890), 'Musikal.-,
Piano- u. Instrumenten-Händler'
SALF
Vve.
(*1905)
SALF
(x1906)(x1912)
'Geigenbauer, Musikal.-, Piano- u. Instrumenten-Händler' (x1906) ------- 'Geigenbauer u. Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u.
Musikinstr.' (x1912)
SALF
Fils
(*1909) |
32, rue d'Alger
(*1875)(*1876)(xx1890), 22bis, rue d'Alger (*1898)(*1905)(x1906)(x1912),
quai de Cronstadt (*1909), Toulon |
SALIÈRE-VAUDOIS
Georges |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906-12
[depuis 1897 (x1912)];
(x1906)
'Musikal.-, Piano- u.
Musikinstr.-Handlung' (x1906) -------
'Musikal.-, Piano-, Harmonium-, Musikw. u. Musikinstr.-Handlung' (x1912) |
21, rue de l'Abbé Henrion (x1912), Longwy-Bas |
SALINS |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1871-73 |
106, rue du faubourg
Saint-Honoré
(**1871)(**1873)(arr.8),
Paris |
SALLANDRE A. |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1913-26 [depuis
1912
(*1913)(**1921)(x1926)]
'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926) |
3, boulevard Charles-Gay
(*1913)(**1921)(x1926),
Melun |
SALLES Jean Bernard, Aîné |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1849-52
SALLES
Jean Bernard (1849)(1852)(¹⁰)
Membre d'
ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris
(°1849)
|
46, rue neuves Sainte
Catherine
(*1849)(arr.9),
10, rue Albony (1852)(¹⁰)(arr.10),
Paris |
SALLES Aimé-Catherine, Jeune |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1849
SALLES
Aimé-Catherine (1849)
Membre d'
ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris
(°1849) |
1, Place Jessaint
(*1849)(arr.18),
Lachapelle, Paris |
SALMON |
"M. SALMON, Luthier et Facteur d'
instrumens, qui passait par Orléans pour se rendre à Paris a l' honneur de
donner avis que pour reconnaître l'accueil favorable qu' il a réçu de MM.
les amateu;s et Artistes les plus distingués de cette ville, il s' est
décidé à y prendre son domicile et à y exercer son art. Il se charge de
réparer toute espèce d'intrumens à cordes, comme violons, basses, guittares,
harpes et pianos qu' il remet à 5 octaves et ½, et 6 octaves, avec table
d' harmonie dans toute la longueur sans déranger le coffre de l' instrument.
Il leur rend à tous la qualité originaire de leurs sons brillans, sonores et
pleins.M. Salmon, qui travaille depuis trois mois à Orléans, n' a pas voulu
donner le présent avis avant que de pouvoir mettre à même de juger de son
talent les personnes qui l'honoreront de leur confiance.
Il les prie de prendre des informations sur ses ouvrages, et de les voir eux
mêmes chez plusieurs amateurs et professeurs de cette ville, et
principalement chez Mme de Guercheville, Mme d 'Oberlin, Mlle Cécile, M.
Darotte, M. Boudot, M. Demadière, M. de Gargilesse, M. Pillon, M. Hutlin, M.
Martinet, M. Lottin, M. Bordereau, M. Menonville, M. Larousse, etc., etc.
|
'Luthier et Facteur d' instrumens' ca.
1822
Tous les ouvrages que M. Salmon entreprend
sont garantis par lui, et faits à un prix très-raisonnable. Il est inventeur
d'un nouvel instrument qu' il soumettra au jugement et à l' approbation des
amateurs, des artistes, et du Conservatoire de Paris, d'ici à quelques mois
; Il accorde les pianos et croit pouvoir assurer la justesse de sa
partition. Il demeure provisoirement à Orléans, chez M. Fontaine, traiteur,
rue Royale, n.° 55, au premier. On entre par la première porte à gauche dans
la petite rue."
Journal Général du Département du Loiret, 08/06/1822,
p. 4 (Aurelia.Orleans.fr) |
55, rue Royale (***1822), Orléans
Paris |
SALMON Pierre |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1922-27 |
7, rue Gambetta
(**1922)(*1927), Nancy |
SALZEDO
René |
"René SALZÉDO - VENTE, ACCORDS ET RÉPARATIONS DE PIANOS - Elève de L. Blitz,
ex-chef de la Maison Gaveau - 10, Place Clichy, PARIS (9°)."
L'Univers israélite, 16/04/1926, p. 30
(gallica.bnf.fr)
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1925-26
Voir
Léon BLITZ
(°1900)
et
GAVEAU
(°1847) |
10, place Clichy (*1925)(*1926), Paris |
SAMIN
G. |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1926 'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926) |
27, rue de Mons (x1926), Avesnes sur Helpe |
SANGESOET
Jean Baptiste
|
|
'Fabricant de pianos' ca.
1850; (¹⁰) |
Montmartre, Paris |
SANGUINEDE Pierre & Capt |
PARIS -
" 1684.
Sanguinède et Compagnie, fabricant de cordes de pianos, rue du Sentier, 26,
à Paris. Les cordes Sanguinède ont apporté une immense amélioration dans la
facture des pianos. Elles possèdent trois avantages importants :
confectionnées en acier trempé, elles ne sont soumises qu'imperceptiblement
à la dilatation occasionée par les changements de température, d'où il suit
qu'elles tiennent l'accord pour ainsi dire immuable. Du moment où elles ne
s'allongent pas, elles ne sont pas soumises à un remontage continuel et par
conséquent ne peuvent casser. Mais leur qualité la plus justement appréciée
est la pureté des sons qu'elles produisent, et qui doit nécessairement les
faire préférer aux cordes de Berlin ou d'Angleterre. Le public peut, du
reste, établir la comparaison, car plusieurs des pianos admis à l'exposition
sont pourvus des cordes Sanguinède."
Catalogue explicatif et raisonné des produits admis à
l'exposition quinquennale de 1844, p. 209 (gallica.bnf.fr)
"L'Invention des cordes de M. Sanguinède
est un progrès incontestable et d'une importance réelle pour le piano. Avec
ces cordes, les tons du piano sont d'une pureté parfaite les vibrations plus
prolongées, et elles Donnent l'accord malgré les changemens de température.
Ces cordes résistent a l'exécution la plus vigoureuse. Déjà plusieurs de nos
grands planistes las ont adoptées pour leurs pianos, et les principaux
facteurs la emploient par leurs Instrumens de prédilection."
La France Musicale, 07/01/1844, p. 31
(gallica.bnf.fr)
"Sous le n° 1684 MM. Sanguinede exposent des cordes métalliques pour les
pianos. On sait que cet instrument est monté de cordes d' acier pour tous
les tous élevés et moyens et de cordes de laiton pour les octaves basses.
Presque toutes les cordes des anciens pianos sortaient autrefois de
Nuremberg, plus tard les fabriques de Berlin obtinrent la préférence.
M. Pape, en 1826, pensa pouvoir obtenir une augmentation de sonorité en
employant au lieu de fer de l'acier; mais l'acier fin, ayant l'inconvénient
d'être trop sec, il faillait détremper les bouts pour faire la boucle. Le
manque d'égalité dans la trempe lui fit abandonner cette fabrication.
Les Anglais vinrent ensuite s'imposer à nos facteurs en leurs présentant des
cordes d'acier auquel ils parvinrent a donner la dureté convenable tout en
lui conservant du moelleux et de la flexibilité. Il y a cinq ans on fit de
nouveaux essais sur les cordes d'acier trempe, mais le procédé pour faire la
boucle et le recuit étant inconnu, les facteurs reculeront devant l'emploi
de ces cordes qui offraient tant de difficultés, MM. Sanguinede frères de
Genève, ont repris et amélioré la confection de ces cordes d'acier trempé,
et ils sont parvenus a faire la boucle avec facilité sans rien faire perdre
à la corde de sa qualité sonore. Cette corde si douce au toucher, si belle a
l'œil, demande un bien grand travail, car elle sort d'une barre de fer, elle
est forgée, étirée, puis trempée, ensuite résulte au degré voulu c'est un
véritable ressort. MM. Sauguinéde ont une grande chance de succès, en raison
de la perfection qu'ils apportent dans la fabrication et dans la trempe de
ces cordes. Leur qualité principale est une sonorité pure, claire, bleu
vibrante; attaquées
légèrement par les marteaux, elles ont le son de l'harmonica. Beaucoup de
facteurs en font usage, entre autres MM. Pape, Wolfel et Laurent,
Kriegelstein, Hatzenbühler, etc., etc. Ces cordes possèdent encore d'autres
avantages, elles sont moins impressionnables aux changemens de température,
elles tiennent donc mieux l'accord, et étant par conséquent moins souvent
tourmentées par l'accordeur, elles fatiguent et cassent peu. A l'exposition
de l'industrie la différence entre les deux espèces de cordes est si grande
que l'on peut facilement distinguer un instrument monté avec des cordes
Sanguinede au milieu de tous ces pianos jouant ensemble. Nous croyons que
l'usage de ces cordes sera bientôt général, et les nombres dépôts établis
par Al M. Sanguinede permettent facilement dans toutes les provinces à tout
artiste ou amateur de remplacer celles qui viendraient à rompre."
La France Musicale, 1844 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1840 : "BREVET D'INVENTION DE DIX ANS en date du 2 juillet 1840,
Aux sieurs Sanguinède et Capt, à Paris. Pour des cordes de piano en acier.
Les cordes en acier trempé sont régulières dans toute leur longueur, mais
varient de grosseur suivant leurs octaves. Pour les octaves d'en bas et pour
les sons graves, ces cordes sont coniques et de différentes grosseurs.
Suivant les tons et les sons que l'on veut obtenir, elles doivent être pour
les tons graves plus ou moins coniques. Il en est de même pour les
différentes longueurs des pianos, quelles que soient leurs formes. Après de
longues recherches, nous sommes arrivés à un résultat tel, que les sons ont
non-seulement plus d'harmonie et de pureté, mais encore plus d'âme. (voir la
suite ) |
Facteur de pianos
à cordes d'acier
ca. 1840-49
1846 -
"SANGUINEDE Pierre, Fabricant d'acier, boulevard Poissonnière, n°14. Cité le
23/08/1846, dans un acte notarié, comportant société, entre ledit et les
actionnaires commanditaires, nommés dans l'acte, laquelle société de
commerce existe entre Monsieur SANGUINEDE, seul gérant responsable et les
commanditaires nommés dans l'acte. La société ayant pour but la fabrication
des cordes métalliques en acier trempé, à l'usage des pianos, par lequel
ledit a obtenu un brevet, le siège, étant à Paris, sous la raison SANGUINEDE
et Compagnie, à partir du 20/03/1846. Source : D31u3-131/Pièce n° 635."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
1847 -
"SANGUINEDE Pierre, Fabricant
d'acier poli, puis de cordes pour pianos boulevard Poissonnière, n° 14. Cité
le 28/01/1847, dans un acte notarié comportant société entre ledit et les
autres personnes qui y souscriraient. Société créée le 20/03/1846 pour
l'exploitation des cordes métalliques pour pianos, en acier trempé par des
procédés nouveaux, découverts par Monsieur SANGUINEDE. Source :
D31u3-139/Pièce 241."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
(la suite)
Pour
obtenir ces résultats et avantages, rendre les cordes aussi moelleuses qu'il
est nécessaire et pouvoir les accorder sans être sujet à les casser, nous
employons une trempe qui ne laisse rien à désirer. Pour tremper douze cordes
à la fois ayant chacune 20 mètres de longueur, nous employons
2 kilog. ½ de suif blanc,
1 kilog. ½ de suif de bœuf,
1 kilog. d'huile d'olive,
1 kilog. de cire jaune,
16 grammes de corne de cerf,
16 grammes de miel de Chamouny.
cordes d'acier dans du lait, n'importe la quantité, pourvu que l'acier soit
entièrement couvert de ce liquide.
Ce lait doit être mêlé de poussière de charbon de bois. Après une heure
d'ébullition, on retire les cordes d'acier pour les blanchir soit à la
pierre ponce, soit à l'émeri. Après cette opération, et pour obtenir le
revenu de la corde d'acier, nous avons un four ordinaire dans lequel nous
obtenons la chaleur voulue pour les faire revenir, quelles que soient leur
grosseur, leur forme et leur longueur. Les moyens que nous venons de tracer
donnent à nos cordes toute la souplesse possible, et elles ne se cassent
jamais. Ces cordes ont l'avantage de tenir leur accord pendant plusieurs
années sans être obligé de les remettre d'accord."
Description des machines et procédés consignés dans
les brevets d'invention..., 1850, p. 141
Pour voir le brevet original voyez le site
INPI
(¹³)
"Sanguinède et Cie, assortiment de pianos en tous genres, montés
avec les cordes Sanguinède, brevetées d'invention et de
perfectionnement, boul. Poissonnière, 14."
Annuaire du commerce Didot-Bottin,
1848, p. 513 (gallica.bnf.fr)
"Depuis quelques années, le mécanisme des pianos s'est de plus en
p!us perfectionné; mais il manquait, pour faire valoir toute la
bonté de leur jeu, le système de cordes que M. Sanguinède a
découvert, et qui lui a mérité la médaille à l'exposition de 1844.
C'est dans la maison dite du pont de fer (14, boulevard
Poissonnière) que nous engageons les nombreux amateurs de
l'instrument le plus à la mode aujourd'hui, il se rendre, pour se
convaincre et juger de la puissance et de l'éclat de la monture à
laquelle M. Sanguinède a donné son nom. L'instrument
d'accompagnement par excellence, nous fait naturellement penser aux
chanteurs, et, de même qu'il n'est rien de si désagréable qu'un
clavier où quelques notes font défaut, de même aussi on ne saurait
voir sans regret une belle bouche à laquelle il manque quelques
dents."
La Mode : revue des modes, galerie de moeurs, album
des salons, 05/10/1846, p. 245 (gallica.bnf.fr)
Médaille de bronze Paris, 1844
|
Dépôt
: 11, rue de Saintonge (1840)(¹³)(arr.3),
26, rue du Sentier (**1844)(arr.2),
7, boulevard Poissonnière (1844)(arr.9),
14, boulevard Poissonnière (**1847)(*1848)(1849)(arr.9),
Paris
Fabrique : 12, rie Bertheller (1844),
Genève |
SANNIER |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1862-93
SANNIER
L.
(*1875)(*1876) |
32, rue Royale (**1862),
34, rue Royale (x1863)(y1864),
5, rue de la Préfecture (*1875)(*1876), 8,
rue Nicolas-Leblanc (*1893), Lille
|
SANSÈVE |
|
'Facteur de pianos à
queue' ca. 1875-76; (x1863)
|
place Bugeaud (*1875)(*1876), Périgueux |
SANSFAUTE-BOURGAIN |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1926
[depuis
1923 (x1926)]
'Musikal.-, Piano-,
Musikinstr.- u. Sprechm.-Handlung' (x1926) |
12, rue Saint-Aignan (x1926),
Cosne |
SAPÈTE L.
| SAPET |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1921-26
'Pianos' (**1921) -------
'Piano- u.
Musikinstr.-Handlung' (x1926)
SAPET
Jules (x1926)
|
18, rue
de la République (**1921)(x1926), Tournus |
SARAUDY Jules |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos automatiques ca. 1913-26 [depuis
1912
(**1921) ou
depuis 1898
(x1926)]
'Händler mit Pianos, Sprechm. u. -Platten'
(x1926)
|
74[bis], avenue Garibaldi
(**1921)(x1926),
Limoges |
SARI Thomas |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1890-1906 'Musiklehrer, Piano- u.
Instrumenten-Handlung' (xx1890)(x1906) |
37, cours Napoléon (xx1890)(x1906), Ajaccio |
SARLIT G. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1906-21
[depuis
1828 (**1921)]
'Musikal.-, Piano- u.
Musikinstr.-Handlung' (x1906) -------
'Musikal.-,
Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung' (x1912) |
16, rue de Satory (x1906)(x1912)(**1921),
Versaillles |
SARRA |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1863
Mariage de "Sarra, facteur de pianos,
rue Léon, 2. Mlle Neyts, chez son père, rue Chabanais, 14."
L'Indicateur des mariages : relevé des mariages
affichés dans les mairies, 31/03/1963, p. 4 (gallica.bnf.fr)
|
2, rue Léon (***1863)(arr.18),
Paris |
SARRA Pierre Florentin
(Gabriel) |
|
'Fabricant de cordes
d'instruments'
ca. 1830
"SARRA Pierre Florentin (Gabriel), Fabricant de cordes
d'instruments, rue de l'Egout Saint Paul, n° 5. Cité le 26/06/1830, lors de
la succession de LAPRAGNE (ou LAPRUGNE) Sébastienne Rosalie, sa mère,
décédée le 01/01/1830 ; elle aussi, déjà citée au même fichier. Source :
DQ7/3723/Acte 465."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
|
5, rue de
l'Egout Saint Paul (1830)(¹⁰)(arr.6),
Paris |
SARRAMIAC W. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1890-1906
SARRAMIAC
W. (xx1890),
'Piano-Handlung'
SARRAMIAC A.
(x1906),
'Pianobauer u. -Stimmer'
|
cours Platforme (x1906), Agen |
SARRAU |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890;
(xx1890) 'Musikal.- u. Pianohandlung'
(xx1890) |
Châtellerault |
SARRAZIN Vve. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1921
[depuis 1898 (**1921)] |
11,
avenue de la Gare (**1921), Berck Plage |
SARREN J. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926 [depuis
1828 (x1926)] 'Musikal.-,
Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926) |
16, rue Sartory (x1926), Versailles |
SARVONAT G. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926
[depuis 1923 (x1926)] 'Piano-, Musikinstr.-
u. Sprechm.-Handlung'
(x1926) |
25, rue Mercière (x1926), Bourg-en-Bresse |
SASSARD |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906;
(x1906) 'Piano- u. Musikinstr.-Handlung'
(x1906) |
Pontarlier |
SATI Jean |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1880; (¹⁹)
Habitait à la même adresse que
MAROKY
(°1827)
|
10, rue de Répos (1880)(¹⁹), Lyon |
SATIN Edmond |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926
[depuis 1916 (x1926)] 'Piano-, Musikinstr.-
u. Sprechm.-Handlung'
(x1926) |
rue du Temple (x1926), Clamecy |
SATIN Hyppolyte
(ca. 1831 - 1848)(¹⁰) |
|
'Fabricant d'instruments de
musique' ca. 1848; (¹⁰) |
17, rue Croix des Petits Champs (1848)(¹⁹)(arr.1),
Paris
|
SAUER Théodore |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos et facteur d'orgues ca. 1858-63 |
88, boulevard Chave (yy1856), 23, boulevard Dugommier (yy1858), 2, boulevard Dugommier
(xxx1860), 116, rue Consolat (yy1861)(yy1863), Marseille
|
SAULAY |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos et lutherie ca. 1913-31
Succ. de
RICHARD-AUBINEAU
?
AUBINEAU
(x1912) - Voir aussi
AUBINEAU, 'Facteur de
pianos'
SAULAY-AUBINEAU
(*1913)
SAULAY
(**1914)
SAULAY-AUBINEAU
(**1921)(x1922)
SAULAY-AUBINEAU
Mme. (x1926)(z1931)
'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926)
|
54, avenue Bosquet (*1913)(**1914)(**1921)(x1922)(x1926)(z1931)(arr.7),
Paris |
SAURY L. |
Ce facteur a ouvert un atelier dont la
fondation est documentée.
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|
'Facteur de pianos'
(°1849)
|
Paris |
SAUSSINE |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1880-88 |
34, rue de Bellefond
(**1880)(**1883)(**1888)(arr.9),
Paris |
SAUTREUIL Félix |
"SAUTREUIL (Félix), instruments de musique, corde harmoniques, fournitures
pour instruments, abonnements de musique classique et moderne, vend et
répare les pianos, et professeur de violoncelle, chaussée d'Ingouville, 11."
Almanach des 40,000 adresses des fabricants de Paris
et du département : contenant les noms et domiciles des principaux
fabricants, 1873, p. 741 (gallica.bnf.fr)
|
'Facteur de pianos' ca.
1863-76 |
11, rue
Chaussée
[ou chemin] d'Ingouville (x1873)(*1875)(*1876), Le Havre |
SAUTREUIL M. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1921-26
Successeur de
BRESSEAU
(°1891)
SAUTREUIL
Ch. (x1926), 'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926) |
105, rue Victor-Hugo (**1921)(x1926), Le Havre |
SAUVAGE |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1912 'Piano-Handlung'
(x1912) |
quai Maria (x1912), Gray |
SAUVAGE A. |
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|
Facteur et/ou marchand de
pianos
(°1880) |
Marseille |
SAUVAGE-JOUANIN |
Probablement élève de
RODOLPHE
(°1860)
:
1862 -
"Atelier de M. Rodolphe - MM. Grimai, Rebourg, Thuault, Gamichon,
Millet; Boudeaux, Jouffroy, Loidreau, Rouxel, Sauvage, Bib, H. Titeux."
Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs
d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en
bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862,
p. 54 (gallica.bnf.fr)
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1876-1912
'Piano-Hdgl.' (x1906) -------
'Piano- u. Harmonium-Händler u. -Stimmer' (x1912)
|
45, rue Terrusse (yy1876)(yy1877)(yy1878)(yy1879)(yy1880)(yy1881)(yy1882),
1, rue Barbaroux (xxx1897)(xxx1898)(x1906)(xxx1906)(yy1907)(x1912), Marseille
|
SAUVE Théodore Charles
(1811 - 1833)(¹⁰) |
|
'Fabricant de pianos'
ca. 1833 |
60, rue de Cléry (1833)(¹⁰)(arr.2),
Paris |
SAUVIN Denis Victor Désiré
(181? - 1856)(¹⁰) |
|
'Fabricant de pianos'
ca. 1856
Époux de LEQUIRAND [?] Victoire (¹⁰) |
52, rue Amelot (1856)(¹⁰)(arr.11),
Paris |
SAUZEAU Auguste, Fils
(? - 1846)(⁸) |
"Sauzeau fils,
fact. de p. et march. de mus., et instr."
Agenda musical, Paris, 1837 (gallica.bnf.fr)
INFO EXTRA
Un siècle de facture de pianos à Nantes, par Jean-Marc
STUSSI
|
'Luthier et marchand
de musique' (**1836); 'Facteur de pianos et marchand de musique et
d'instrumens' (x1837)
"SAUZEAU Auguste (fils) se destine à la carrière musicale,
car il est Professeur de musique en 1827. Par la suite, il devient Marchand
de musique au Quai de la Fosse (1829-1830) et enfin Compositeur de musique
(année de son décès 1846). On ne sait si à cette date il tenait encore le
magasin de musique. La mention de « SAUZEAU Fils » en 1837 (L. Verbeeck)
semble de ce fait bien correspondre à Auguste. De son mariage avec Louise
Augustine Langlais (°ca. 1804)), sont issus trois enfants : Marie Augustine
(°3/10/1827), Auguste Louis (°29/5/1829) devenu clerc de notaire, marié à
Richer Mathilde Clémence le 20/12/1852, et Alphonse (°27/6/1830). Auguste
SAUZEAU est décédé le 8 janvier 1846, ce dont on pourrait déduire, faute
d’éléments probants (pas de mention d’une affaire SAUZEAU à Nantes après
cette date dans les annuaires spécifiques), que le magasin a disparu après
son décès."
Infos
données par Jean-Marc STUSSI. (⁸) |
Quai de la Fosse (1829-1830)(⁸),
14, rue de la Fosse (**1827), Nantes |
SAUZEAU René Jean, Père
(ca. 1765/66 - 1834)(⁸) |
"SAUZEAU René Jean et Auguste. Luthiers – Marchands de
musique.
Les Sauzeau font partie des premiers facteurs de pianos et marchands de
musique de Nantes au début du 19° siècle. Ils concernent deux personnes :
SAUZEAU René Jean, luthier, et son fils SAUZEAU Auguste, professeur de
musique, marchand de musique, puis compositeur de musique.
(la suite
)
INFO EXTRA
Un siècle de facture de pianos à Nantes,
par Jean-Marc Stussi
|
'Marchand de
musique'
ca.
1822 et
luthier
"SAUZEAU René Jean.
Il et né en 1765 ou 1766 à Nantes paroisse de Sainte-Croix, fils de SAUZEAU
Nicolas et de Boulay Marie Marthe (ca. 1734 Tours – 21/7/1817 Nantes).
Nicolas SAUZEAU se déclare « Marin Mineur décrété » à son mariage le 16
novembre 1764, mais « maître de danse » à la naissance de son fils Pierre le
4 novembre 1769. Cette derrière qualité paraît peu compatible avec celle de
Marin Mineur et est peut-être due à un temps de service militaire. Elle peut
expliquer le devenir ultérieur de son fils René Jean. Lors de son mariage
avec Anne Marie Raimbaud le 17 octobre 1797 à Nantes, René Jean est luthier,
établi au quai de la Fosse. Il tient certainement encore cette qualité en
1822, mais l’a peut-être élargie à celle de marchand de musique et
d’instruments de musique (L. Verbeeck). Il aura deux fils : René, né le 3
octobre 1798, qui deviendra musicien et restera célibataire (+19/4/1858) et
Auguste, né le 22 novembre 1801, qui a tout lieu d’être considéré comme le
successeur de son père dans l’affaire du magasin de musique. René Jean est
décédé le 21 février 1834."
J. M. Stussi,
communication personnelle.
(⁸) |
quai de la Fosse (18??)(⁸),
Nantes |
SAVARESSE
(1777 - 1825)(¹⁰) |
|
'Fabricant de
cordes'
ca. 1825
Époux de HOMARCHAND.
(¹⁰)
SAVARESSE. — 'Mémoire sur la
construction des instruments à cordes et à archet', Paris, Déterville, 1819,
et 'Mémoire sur la fabrication
des cordes d'instruments de musique'. Paris, 1822
"SAVARESSE Philibert, fabricant selon son procédé de
cordes harmoniques, associé, à Grenelle, Seine, plaine de Grenelle, n° 7.
Epoux de SARRA Katherine Marguerite Joséphine. Cité le 31/08/1826, dans un
acte notarié comportant prolongation entre ledit et son épouse et aussi
Monsieur HERTZ Mathias, rue des Fossés Montmartre, n° 6, lesquels se sont
associés dans une société commerciale, pour la fabrication de cordes
harmoniques d'après le procédé de Monsieur SAVARESSE, l'auteur autorisé par
ordonnance du Roi, le 26/03/1825. Source : D31u3-31/pièces 677 et 678."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
VOIR AUSSI ...
HUSSON- BUTHOD & THIBOUVILLE, & Henri SAVARESSE |
13, rue Greneta
(1825)(¹⁰)(arr.2),
7,
plaine de Grenelle, (1826)(¹⁰),
Paris |
SAVART |
INFO
"Méthode de piano (courte et facile),
par Savart. — A Paris, faubourg Poissonnière, n. 12."
Bibliographie de la France, 1837, p.
387
"M. Savart eut recours à lui pour
construire toutes sortes d'appareils destinés à des expériences
d'acoustique."
Revue et gazette musicale de Paris, Volume 6, 1839,
p. 153
SAVART (Félix).
Mémoire sur la construction des instruments à cordes
et à archet, etc., Paris, Déterville, 1819, in-8.
" [...] Nous citerons encore et toujours
à titre de confirmation une expérience que l'on peut faire avec la table
d'harmonie, sur laquelle sont tendues les cordes d'un piano droit. Le piano
étant ouvert à la façon d'un-livre, on se place à quelque distance de la
table, puis on parle à voix haute, on prononce fortement quelques voyelles,
ou l'on donne une note bien accentuée: la table et les cordes se mettent à
vibrer, d'abord un peu confusément, mais bientôt le son s'épure et l'on
n'entend plus que la vibration des cordes qui sont à l'unisson du son
primitivement produit, et qui continuent à résonner, alors que ce son a
cessé d'exister depuis quelques secondes déjà, et que le bruit confus
résultant du trouble apporté à toute la série des cordes a aussi disparu.
Les membranes, à cause de leur peu de masse, de leur grande surface et
aussi de l'extrême facilité avec laquelle elles se subdivisent, sont
éminemment propres à prendre, par communication, le mouvement que l'on
imprime à l'air : si le mode d'ébranlement est énergique, elles en sont
influencées, même à dos distances considérables. Ainsi, avec un sifflet un
peu fort, on détermine aisément d'un bout à l'autre d'une vaste salle la
division acoustique d'une membrane de baudruche ou de papier végétal tendu
sur un cadre de bois ou de carton. (la suite )
|
'Facteur de pianos', compositeur et
pianiste
ca. 1837-56
"Chambre syndicale des fabr. de pianos et autres instruments de musique,
président Savart; siége de la société chez M. Rodhé, Caumartin, 9."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la
magistrature et de l'administration, 1878,
p. 1348 (gallica.bnf.fr)
QUANTIN
Auguste,
successeur.
Pour toutes les infos suivantes, ce
n'est pas sûr qu'il s'agit de la même personne !
INFO
(la suite)
— M. Savart en
faisait usage pour manifester le développement des ventres et des nœuds des
vibrations dans l'air de grandes galeries, au milieu desquelles il faisait
vibrer un gros timbre A porté sur un trépied III, et muni d'un tube
renforçant B (fig. 454). Les pièces à tirage GH, FE servaient à donner au
tube une position convenable. Un piston intérieur, mû par la vis D pouvait
faire varier sa longueur. [...]"
Leçons de physique, Volume, Paul Quentin Desains,
1860 C'était le même SAVART ?
"Savart, compositeur et pianiste de plusieurs princes, fabr. de
pianos supérieurs, locations, échanges, réparations et expéditions,
orgues expressives à vendre et à louer; commissionn. pour
instruments et musiques, Lepelletier, 8."
Annuaire du commerce Didot-Bottin,
1848, p. 513 (gallica.bnf.fr) |
12, faubourg Poissonnière (1837)(arr.9),
8, rue Le Peletier (**1841)(x1843)(xx1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(arr.9),
12, rue Le Peletier
(x1849)(arr.9),
10, rue Le Peletier (*1850)(*1851)(yy1851)(arr.9),
25, boulevard Poissonnière
(z1855)(xx1856)(arr.9),
Paris |
SAVARY |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1890; (xx1890)
'Pianohdgl.' (xx1890) |
Dieppe
|
SAVOYE René
| SAVOY |
"René
SAVOYE et cie - 97, rue de Richelieu, 97, PARIS - AGENTS GÉNÉRAUX pour la
France, la Belgique, la Suisse, l'Italie, l'Espagne et le Portugal du
BALDWIN - Le plus récent et le plus parfait des appareils à jouer du piano.
Et des Orgues américaines HAMILTON - ASSORTIMENT GÉNÉRAL DE MUSIQUE PERFORÉE
four Appareils Automatiques. – Étendue 65 NOTES PIANOS ERARD - Dépôt. des
Pianos RUCH."
Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical,
1907 (gallica.bnf.fr)
|
'Facteur de pianos'
ca. 1907-26
SAVOYE
René & Cie
(*1907)(*1909)
SAVOYE
René (x1912)(x1926)
'Piano-Handlung' (x1912)
------- 'Facteur de pianos' (x1926) |
97, rue Richelieu (*1907)(**1907)(*1909)(x1912)(arr.2),
5, avenue de l'Opéra (x1926)(arr.2), Paris |
SAX Adolphe
(1814 - 1894) |
Ce facteur a ouvert un atelier dont la
fondation est documentée.
Cliquez ici
pour avoir accès à la notice complète dans la rubrique appropriée.
|
'Facteur d'instruments' (°1843) |
Paris |
SAYEN H. |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1905-06
SAYEN
A. (x1906), 'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung u.
-Reparatur-Werkstatt' (x1906)
|
80, rue
d'Antibes (*1905)(x1906), Cannes (Alpes-Maritimes) |
SCHAAF
J. |
Brevet de 1888 : "190319. Brevet de quinze ans, 1er mai 1888; Schaaf,
représenté par Dittmar, à Paris, avenue de l'Opéra, n° 37. Nouveau piano."
Bulletin des lois de la République française, 07/1888,
p. 984 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1905 : "Schaaf (J.), 2 mai 1905, brevet 346878/4749. (Mécanisme de
répétition pour pianos.)."
Bulletin des lois de la République française, 07/1906,
p. 399 (gallica.bnf.fr)
|
Facteur et/ou inventeur ca. 1888-1905 |
Paris ? |
SCHAAF Nicolas |
VOIR AUSSI ...
STOLZ, facteur d'orgues, sur cette page ci-dessus
|
Facteur d'orgues
ca. 1853-55
|
Paris |
SCHAAF Pierre |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1921
|
111, rue de Romainville (**1921), Montreuil-sous-Bois
|
SCHAAN Jacques
| SCHAN |
|
'Facteur de pianos' et
éditeur de musique
ca. 1844-56
"FABRIQUE
DE PIANOS DE SCHAAN - 15, rue Poissonnière PIANOS DROITS à 3 cordes
verticales 6 octaves et 3/4 ; prix sans remise, 600 fr. garantis 3 ans.
PIANOS A LOUER."
La Sylphide, 01/1845 (gallica.bnf.fr) et
1844, p. NP (gallica.bnf.fr)
|
16 (?), rue Vivienne (18??), 15, rue Poissonnière
(1844)(**1845)(**1846)(x1847)(arr.2),
62, rue du faubourg Saint-Honoré
(*1848)(arr.8),
64, rue du faubourg Saint-Honoré
(x1849)(*1850)(*1851)(yy1851)(x1852)(**1853)(**1854)(z1855)(xx1856)
voyez
(*1953)(arr.8),
Paris |
SCHACK J.
|
"Maison du Quistiti - Pianos & orgues, 3 ans de crédit. En payant le prix de
la location mensuellement, on devient propriétaire d'un instrument du
facteur à son choix. - SCHAK, 53, rue Caumartin. Envoie en Province."
Le Monde artiste, 20/05/1876 (gallica.bnf.fr)
"Schack (J.) et Cie, facteurs de
pianos, pianos et orgues de tous les facteurs (3 ans de crédit acquis par
abonnements), accords, réparations, échange, rue Caumartin, 53."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la
magistrature et de l'administration, 1879, p. 1397 (gallica.bnf.fr)
"Pianos, Au
Ouistiti, SCHACK et Cie, rue Caumartin, 53, pianos et orgues, vendus par
abonnement, trois ans de crédit. En payant le prix de la
location-(depuis 2 5 francs par mois) on devient propriétaire d'un
instrument du facteur de son choix. — Envoi en province."
Théâtre de la Porte Saint-Martin: Les enfants du
capitaine Grant, 1879, p. 102 |
'Facteur de
pianos'
droits ca. 1875-79
SCHACK
J. & Cie
(*1875)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)
1877 - "Paris. — Dissolution, à partir du 1er ;
septembre 1877, de la Société SCHACK et Cie (commerce de pianos, etc ) —
Liquid. : J. M. SCHACK. —Acte du même jour. — J. - g. d'A."
Archives commerciales de la France, 09/09/1877,
p. 1150 (gallica.bnf.fr)
1879 - "Dissolutions de
Sociétés [...] Schack et Cie. — Pianos et orgues, Au Ouistiti. — 7 mai 1879.
— Paris."
Archives commerciales de la France : journal
hebdomadaire, 28/12/1879, p. 85 (gallica.bnf.fr)
|
53, rue Caumartin (*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(arr.9),
Paris |
SCHAEFFER Eugène
(1816 - 1873) |
NÉCROLOGIE
1873 - "Eugène Schaeffer, ancien bâtonnier de
l'ordre des avocats à Strasbourg, lors de la mort de son beau-frère Erard,
alla se fixer à Paris pour y prendre la direction de la célèbre fabrique de
pianos de ce nom. Il aimait l'Alsace comme l'aiment de près et de loin tous
les Alsaciens, et ses compatriotes étaient toujours certains de trouver
auprès de lui le meilleur accueil. Il mourut le 27 janvier 1873, et nul
mieux que son voisin J. Janin n'était à même de redire les qualités de celui
qu'il a connu dans l'intimité.
« Nous avons rendu, a dit le charmant critique, au milieu d'un concours
immense des ouvriers dont il était le père, et de ses nombreux amis, les
derniers devoirs de l'amitié à M. Eugène Schaeffer, qui conduisait d'une
façon si bien-veillante cette grande fabrique de pianos fondée par les
Erard, et qui porte leurs noms aux quatre coins de la terre.
M. Schaeffer se recommandait par sa bonté et son esprit.
On l'aimait pour toutes ses vertus et toutes ses grâces inépuisables. Ce
qu'il a fait de bien, par son exemple et par ses conseils, on ne saurait
assez le redire.
» Avant d'être le continuateur de cette illustre maison, M. Schaeffer avait
été (et c'était pour lui un juste sujet d'orgueil) bâtonnier de l'ordre des
avocats dans cette heureuse ville de Strasbourg, dont il n'avait jamais
prévu les misères après tant de splendeurs. (la suite
)
|
"SCHAEFFER (Eugène), né en 1816;
fabricant de pianos, rue du Mail, 13, 2° arrondissement."
(*1867),
chef de la maison
ERARD
NÉCROLOGIE
(la suite)» Nous
avons perdu en M. Schaeffer un caractère, un exemple, un homme enfin.
Son bon sens, son esprit, sa générosité sans bornes, entouraient cet
aimable front d'une véritable auréole. Il avait beaucoup d'autorité dans
son langage, et les plus hauts placés dans le monde de l'industrie et
des beaux-arts l'écoutaient avec les plus sympathiques déférences.
» Ce qui ajoutait surtout à cette force si bien cachée une grâce de
plus, c'était la simplicité de l'homme, sa modestie, sa vie à part, son
labeur de tous les jours, son profond mépris pour toutes les vanités qui
arrêtent soudain tant de grands artistes dans leur carrière. Pas une
douleur ne lui était étrangère; il prenait sa part de tous les deuils;
il avait des consolations pour toutes les misères.
» Sa plus grande louange il l'eût trouvée dans toutes les voix qui
entouraient sa tombe à peine fermée, et dans les regrets de ces ouvriers
dont il avait fait une famille.
O brave homme! l'honneur de tous les tiens jamais ils n'oublieront
l'amitié réciproque qui t'unissait à tant d'artistes et d'artisans qui
vivaient de ta pensée, et cette fête de ta bonne humeur, de ta douce et
facile galté, que j'ai partagée si longtemps. »"
Bibliographie alsacienne, 1873, p.
107-109 (gallica.bnf.fr) |
13, rue du Mail (*1867)(arr.2),
Paris |
SCHAF P.
| SCHAFF |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits ca. 1912-26 [ depuis
1904
(*1913)]
'Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906) ------- 'Piano-,
Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung' (x1912)(x1926) |
90, boulevard de la
Gare (*1913)(**1921)(x1926),
Chelles (près de Paris) |
SCHAF P.
| SCHAFF |
|
Facteur de pianos
ca. 1926
'Pianobauer' (x1926) |
133, avenue Président
Wilson
(x1926),
Le
Pré-St.-Gervais |
SCHAFF |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1890-1906
'Musikal.- u.
Pianohandlung' (xx1890)
1901 -
"Déclaration de faillite : Granville. —
SCHAFF, facteur de pianos, à Avranches avec suce. à Granville.— 12 déc. 1901.
1 — S. M. Houel."
Archives commerciales de la France : journal
hebdomadaire, 28/12/1901, p. 211 (gallica.bnf.fr)
'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906)
Il
y a un
SCHAF
(°1904)
à Chelles, voir ci-dessus
|
rue des Juifs (x1906), Granville
Avranches |
SCHALTENBRANDT
Jean-Georges
(1796 - 18??)
|
|
'Ouvrier ébéniste en
pianos' ca. 1849
Demandait sa
naturalisation en 1848 -
"27° M. Jean-Georges Schaltenbrandt, né le 7
février 1796 dans le canton de Berne, en Suisse, ouvrier ébéniste en pianos,
demeurant à Paris."
Bulletin des lois de la Republique Francaise, 1849,
p. 54
|
Paris |
SCHANNON Thomas
(1783 - 1827) |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1827
Époux de FRANLHIN Anne
(¹⁰) |
40, rue (de la) Pépinière (1827)(¹⁰)(arr.8),
Paris |
SCHAYRER François-Xavier |
Brevet de 1844 : "1191. M. Schayrer (F.), à Paris; nouveau moyen de
prolonger les sons dans les pianos, consistant dans l'application des
anches libres au mécanisme. (7 novembre. — 5 ans.)"(*1844)
Bulletin des lois de la République française,
07/1845, p. 66-67 (gallica.bnf.fr)
|
'Facteur de pianos'
ca. 1844-59
Quelqu'un avec le nom SCHAYRER était
égaliseur chez PLEYEL ca. 1859 (²⁰)
"[...] Ce nouveau piano sort des ateliers de la maison Pleyel et des mains de M. Schayrer, le premier et le plus ancien contre-maître de la maison, qui, après y avoir travaillé longtemps sous la direction du savant et ingénieux artiste dont on ne saurait trop déplorer la perte, vient de l'achever ainsi sous les yeux de M. Wolff, son habile continuateur.
[...]"
Le Mercure parisien : sciences, littérature, études de
moeurs, théâtres, poésie, peinture, modes, bibliographie, commerce et
industrie, etc. etc. etc., 25/12/1855, p. 2-3 (gallica.bnf.fr)
|
7? rue Projeté du Delta
(*1844)(arr.9),
11,rue Projeté du Delta
(1851)(³¹)(arr.9),
Paris |
SCHEBEN |
|
'Facteur de pianos' ca. 1858
Quelqu'un avec le nom 'SCHEBEN' était ouvrier-tableur chez PLEYEL vers
1856-59. (²⁰)
|
5, rue Neuve-Coquenard, impasse de l'Ecole
(1858)(¹⁰)(arr.9),
81, rue Taitbout (dès 1858)(¹⁰)(arr.9),
Paris |
SCHECK F. |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1897
|
25, rue Marjollin (*1897), Levallois-Perret,
Paris |
SCHECK Hans
Publicité
dans
Le Messin, 19/05/1898, p. 4 (kiosque.limedia.fr)
Publicité
dans
Le Courrier de Metz, 18/12/1898, p. 3 (kiosque.limedia.fr)
Publicité
dans
Le Lorrain, 01/08/1902, p. 4
(kiosque.limedia.fr)
|
"Leçons de Cithare. - S'adresser par écrit à M. H. Scheck, professeur de
cithare - rue Jurue 21."
Le Messin, 05/03/1890, p. 4 (kiosque.limedia.fr)
"Hans Scheck - commerce d'instruments de musique et de cordes 6, rue des
Jardins, Metz. Instruments à archets et à vent de toutes sortes. Grand dépôt
de violons de toutes qualités. Cithares, guitares, flutes, clarinettes,
trompettes, etc. Aocordéons, hérophones, xylophones. Cordes (spécialité)
pour tous les instruments à archets, cordes pour cithares, archets de
violons, étuis de violons, étuis de cithares. Fournitures et accessoires
Etudes (aussi pour apprendre de soi-même) pour tous les instruments.
Musiques et études pour cithares. Prix modérés."
La Gazette de Lorraine journal de Metz, 10/05/1891, p. 8
(kiosque.limedia.fr)
"Instruments
de musique - les meilleurs et les meilleures marché. - H. SCHECK - 6, rue
des Jardins, 6 - Violons, Cithares, Pistons, Flûtes et en général tous
instruments à vent et à cordes. Pianos à queue et pianos simples des
meilleurs fabriques. Orgues américaines, pour églises, écoles, particuliers.
Harmonium système allemand, tonalité garantie. Accessoires pour tous les
instruments. Musique religieuse. Méthodes et lecture musicale. Sur demande
la maison envoie de la musique au choix."
Le
Lorrain écho de Metz et d'Alsace-Lorraine, 27/05/1893, p. 4
(kiosque.limedia.fr)
"H.
SCHECK - Dépôt de pianos, d'instruments et de musique. - Metz, rue des
Jardins, 6 - Atelier dans la maison même pour toutes les réparations de
pianos et d'harmoniums. Accord de pianos. Réparations promptes et soignées
de tous les instruments de musique. Achat et vente de pianos d'occasions, en
bon état. — Location de pianos."
Le Messin, 08/05/1896, p. 4 (kiosque.limedia.fr)
"PIANOS
- Instruments parfaits, à louer bon marché. Dépôt permanent de pianos en
noyer et noir, occasions avantageuses. - M. Scheck - 2, rue des Clercs METZ
rue des Clercs, 2."
La Gazette de Lorraine journal de Metz, 18/12/1903, p. 4
(kiosque.limedia.fr)
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits ca. 1891-1930
[depuis
1891 (x1906)(x1912)(**1921)(x1926)]
'Professeur de cithare' (y1884)(y1888)(y1890) ---------
'Dépôt de pianos' (z1896)(z1898) ---------
'Musikal.-, Piano-, Musikunstr.- u. Musikwerke-Hdlg.' (x1906) ---------
'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u. Musikinstr., sowie Reparateur'
(x1912) ------- 'Handlung mit Musikal., Pianos u. Musikinstr., sowie
Reparatur-Werkstatt' (x1926)
Repris par
HAEFLINGER G. (**1921)
SCHECK
H[ans]
Vve.
(x1926)(*1929)
Succ. par Albert DAUGE (y1930), 'Phonographes et disques'
(la suite)
"PIANOS
- M. MONNIOT, ex-accordeur de la Maison GAVEAU passera à Metz, tous les
mercredis. Les personnes qui voudront l'honorer de leur confiance, sont
pri6es de vouloir s'adresser à la MAISON H. SCHECK - 9, rue de l'Esplanade
(place de la République)."
Metzer freies Journal – Le Républicain lorrain, 20/10/1922, p. 4
(kiosque.limedia.fr) - Voir
MONNIOT à Nancy
CARTE POSTALE
Carte Postale sur MetzAvant
VOIR AUSSI ...
... un autre avec le nom
SCHECK
à Levallois-Perret |
22, rue des Clercs (y1884), 21, rue Jurue
(y1888)(y1890), 6, rue des Jardins [près de la
Cathédrale](y1891)(y1893)(z1896)(z1898)(y1899)(y1901),
[2],
rue des Clercs [Priester-strasse]
(y1902)(y1903)(x1906)(y1908)(y1909),
Magasin : 13, Kapellenstrasse (x1912),
8, rue de Esplanade
[l’actuelle rue Winston Churchill] (y1911)(x1912)(**1921)(x1926)(*1929)(y1930),
9, rue de l'Esplanade [place de la République] (y1922),
Metz |
SCHEGER |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1794
'Piano
à clavier demi-ovale',
inventé par
Scheger
en 1794
(*1886)
|
Paris |
SCHEINEDER |
|
'Facteur de pianos' ca.
?? |
Place Saint-Etienne (?),
Dijon |
SCHEL
| SCHEIL |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1846-49
Époux de REIJENTOER. (1849)(¹⁰) - "Publications
de Mariages. Entre : [...] M. Schel, facteur de pianos, rue de l'Arbre-Sec,
52, et Mlle Reijentjes, à Batignolles."
La Presse, 07/04/1849, p. 4 (gallica.bnf.fr)
Probablement famille de
BROD Henry
|
18, rue neuve Breda (**1846)(x1847)(*1848)(arr.9),
22,
rue neuve Breda (x1849)(*1850)(arr.9),
52, rue de l'Arbre Sec
(1849)(¹⁰)(arr.1),
Paris
100, rue des Dames (1849)(¹⁰),
Batignolles |
SCHEIL Joachim
| SCHEL |
|
'Luthier' ca. 1795
Famille de SCHEIL Marie, épouse de
BROD Henry |
Paris |
SCHELL |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1912
'Händler mit Musikal., Pianos u.
Musikinstr.' (x1912)
|
rue des Urselines (x1912), Falaise |
SCHEMITZ
(demoiselle) |
|
'Facteur de pianos' ca. 1859
Épouse de
KMARREC, artiste lyrique
(1859)(¹⁰) |
97, rue du faubourg Poissonnière (1859)(¹⁰)(arr.9),
20, rue de Bellefond (1859)(¹⁰)(arr.9),
Paris
|
SCHENDEL |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1828-29 |
3, rue du Foin au Marais (x1828)(*1829)(arr.3),
Paris |
SCHÉRER
Alois (ca. 1795 - 1838) |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1838
1838 - "ÉTAT CIVIL DE
NANCY. [...] ÉTAT des personnes décédées au-dessus de l'âge
de 20 ans. [...] 30. — [...] Aloise Schérer, 43 ans, facteur de pianos."
Journal de la Meurthe, 05/06/1838, p. 4 (kiosque.limedia.fr)
|
Nancy |
SCHEWER Jean
| SCHWERR |
|
'Facteur de
fortepianos' ca. 1783 |
rue des Fossés à
Saint-Germain (*1783)(arr.1),
Paris |
SCHIEDMAYER & Cie |
|
'Facteur de pianos'
droits ca. 1878
|
3, Broglieplatz (y1878), Strasbourg |
SCHIERTZ |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits
ca. 1860
|
Paris |
SCHILLIO
Ad. |
Ce facteur a ouvert un atelier dont la
fondation est documentée.
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|
Facteur et/ou marchand de
pianos
(°1879) |
Roubaix | Lille
(maison principale en 1921) |
Rouen | Paris
| Cambrai |
Valenciennes | Douai |
Dunkerque |
SCHILLIO André |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1926
'Piano-Händler' (x1926)
|
26, rue du Rivage (x1926), 2-4, place de la République
(x1926), Béthune |
SCHILLIO
Henri |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
ca.1931
'Marchand de pianos' (z1931) |
9, rue de Bondy (z1931)(arr.10),
Paris |
SCHINDLER A. |
Ce facteur a ouvert un atelier dont la
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|
'Facteur de pianos'
(°1884) |
Paris |
SCHLACHTER Balthasar
(ca. 1797 - 1850)(¹⁰) |
Brevet de 1848 : "129° Le brevet
d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 26 mai 1848, au
secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par les citoyens
Rheinlander (Christian) et Schlachter (Balthazar), rue du
Grand-Saint-Michel, n° 7, faubourg Saint-Martin, pour un système de pianos
dits à double traction."
Bulletin des lois, 1849, p. 599
|
'Facteur de pianos' ca.
1827-50
'Ébéniste' en 1827 (¹⁰)
Époux de PINQUET Madeleine Adélaïde (¹⁰), ils ont une fille née en 1827
(¹⁰)
Probablement il était un ouvrier-caissier chez PLEYEL vers 1833-47 (²⁰)
RHEINLANDER
& SCHLACHTER
(**1847)(x1849), voyez aussi
RHEINLANDER
Membre d'
ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris
(°1849)
|
60, rue Amelot (1827)(¹⁰)(arr.11),
7,
rue du Grand-Saint-Michel faubourg
Saint-Martin (*1849)(arr.10),
89, rue
Hauteville (*1849)(1850)(¹⁰)(arr.10),
Paris |
SCHLACHTER Balthasar |
Brevet de 1855 : "Perfectionnements apportés dans la mécanique de
pianos."
Catalogue des brevets d'invention, 1855
|
'Facteur de pianos' ca.
1855-56
Époux de BASSLER (1856)(¹⁰)
|
58, rue de la Rochefoucault
(**1855)(arr.9),
112, rue d'Enfer (1856)(¹⁰)(arr.14),
Paris |
SCHLAILE
& KURZ |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1912
'Piano-, Musikwerke- u.
Sprechm.-Handlung' (x1912)
|
6, Kuhngasse (x1912), Strasbourg |
SCHLEIDEN |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1875-90
SCHLEIDEN
E. Fils (xx1890), 'Pianohandlung' |
rue Abbé-Girard (*1875)(*1876), 10, rue de la Treille
(xx1890), Clermont-Ferrand |
SCHLEIDEN A. |
|
'Facteur de pianos' ca. 1862; (**1862) |
Strasbourg |
SCHLEIDEN Paul |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1899-1926 [depuis
1880 (x1912) ou
depuis 1878
(x1926)]
Successeur de SAINT-MARC E. C.
(°1878), dès 1899, voir ci-dessous
'Pianobauer u. -Stimmer, auch Händler mit Pianos, Harmoniums u.
Musikinstr.' (x1912)(x1926)
|
24, rue des Grands Fossés (x1912), [24],
rue du
Maréchal-Foch (**1921)(x1926), Tarbes |
SCHLOSSER Ch. J. |
|
'Facteur de
pianos'
ca. 18??
Il y avait un 'SCHLOESSER' come ouvrier-vernisseur chez PLEYEL vers
1858-59. (²⁰)
|
Paris |
SCHMAHL J. M. |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1760-92
Voir
SCHMAHL Johann Matthäus
in Ulm, Allemagne |
Strasbourg ?
Ulm, Allemagne |
SCHMETZ |
|
'Facteur de
pianos'
ca. 1869
1869 - "Publications de Mariages. M. Schmetz, facteur de
pianos, rue de Verneuil, 50, et Mlle Saire, même rue."
La Presse, 18/07/1869, p. 3 (gallica.bnf.fr)
|
50, rue de Verneuil (**1869)(arr.7),
Paris |
SCHMID Frédéric Guillaume
| SCHMITT
"BONNE PLACE pour de suite à Strasbourg
(Alsace), trouve ACCORDATEUR ET RÉPARATEUR DE PIANOS - Dans une maison de
premier ordre. S'adresser à SCHMID et DUBIED, pianos à Strasbourg (Alsace)."
Le Ménestrel, 26/01/1907, p. 32
(gallica.bnf.fr) |
INFO EXTRA
SCHMID-OBERDOERFFER, manufacture de pianos à
Strasbourg, par Jean-Marc Stussi
|
'Facteur de pianos'
droits
ca. 1896-1929 [depuis 1846
(x1912)(x1926)]
Successeur de
SCHMID-OBERDOERFFER
(°1846),
'Manufacture de pianos'
"Die Firma F.
Schmid-Oberdörfer [sic] in Strassburg ist geändert lt. Handelsgerichtlicher
Eintragung in Schmid & Dubied (vorm. F. Schmid-Oberdörffer)."
Zeitschrift für Instrumentenbau, Paul de Wit, 1907, p. 929
(daten.digitale-sammlungen.de)
SCHMID
F. (*1896)(*1897)(*1903)
SCHMID
& DUBIED
(*1905)(*1906)(*1907)(x1912)(**1921)(x1926)(xx1927)
'Musikal.-, Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Händler, auch -Reparateur'
(x1912)(x1926)
1926 -
Propriétaire : P. DUBIED (x1926)
BIO
"Après
le décès, en 1908, de Frédéric Guillaume, les sociétaires SCHMID sont
Emile Charles SCHMID et son cousin Charles SCHMID. L’activité de la
maison va s’élargir avec l’ouverture, courant 1906 ou début 1907, d’un
nouveau magasin au 3 rue du Vieux-Marché-aux-Vins avec annexe sur le 9
Quai Desaix, destiné à la vente de musique et d’autres instruments de
musique que le piano dont la vente reste au 22 Grand’Rue. La raison
sociale deviendra ultérieurement « SCHMID-DUBIED ». Entre 1926 et 1951,
année de fermeture, l’affaire sera tenue par DUBIED seul (R. Pierre).
Paul Victor DUBIED. Paul Victor DUBIED est né le 6 octobre 1878 à
Strasbourg, fils de Strohecker décédé avant la naissance de Paul Victor
et de Marguerite Caroline DUBIED originaire de Boveresse (NE, CH).
A-t-il été formé chez les SCHMID-OBERDOERFFER ? Le 9 décembre 1905,
résidant 22 Grand’Rue, il se marie, à Strasbourg, avec Jeanne Marguerite
Barbe Treser (°29/6/1886, Schiltigheim). La présence des témoins Fritz
SCHMID, propriétaire, et Emile SCHMID, négociant, s’explique logiquement
par les relations d’affaire. Fritz (diminutif germanique de Frédéric)
est Frédéric Guillaume, tandis que Emile est Emile Charles, né en 1858 à
Paris (6° ancien), fils de Edouard Emile SCHMID (1825- ?), facteur de
pianos à Paris et Caroline Lobstein."
Jean-Marc Stussi
Liste des exposants
Strasbourg, 1927
|
22, Grand rue [Langstrasse] (*1896)(*1897)(*1903)(*1905)(*1906)(*1907)(x1912)(**1921)(x1926),
3, rue du Vieux Marché aux
Vins [Alter Weinmarkt](*1907)(*1909)(x1912)(**1921)(x1926)(*1922)(xx1927)(*1929), Strasbourg |
SCHMID-OBERDOERFFER |
Ce facteur a ouvert un atelier dont la
fondation est documentée.
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|
'Facteurs de pianos' (°1846) |
Strasbourg |
SCHMIDT |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1912-14
|
9, Impasse Daunay (**1912)(**1913)(yy1914)(arr.11),
Paris |
SCHMIDT
Alfred Edouard
| SCHEMITS
|
|
'Fabricant de pianos'
ca. 1856
Époux de SCHMIDT Aglaë (1856)(¹⁰)
1856 -
"Publications de mariages entre : [...] M. Schemits
[sic], fabricant de pianos, rue de la Michodière,
18, et Mlle Schemits [sic], rue des Moulins, 7."
Le Pays : journal des volontés de la France,
23/06/1856, p. 4 (gallica.bnf.fr) -
voir ci-dessous SCHMIDT Charles, même adresse : 7, rue des Moulins
(1857-71) |
18, rue de la Michodière (**1856)(¹⁰)(arr.2),
Paris |
SCHMIDT Charles J. H.
|
Quelqu'un avec le nom SCHMIDT était un ouvrier vernisseur chez PLEYEL
vers 1859. (²⁰)
|
'Facteur de pianos' ca.
1836-71
C'est de la famille de
Tobias SCHMIDT
(°1788)
???
PARIS -
"Voici maintenant
Schmidt (Charles), qui prétend, avec son cla-violin, imiter les effets des
instruments à archets, mais cet instrument se réduit à une imitation plus ou
moins servile du Plectroeuphon de Gama, de Nantes, et du Polyplectrum.
En 1830, Licthental [LICHTENTHAL] fabriqua à Bruxelles un piano-viole.
C'était un grand piano à queue monté de cordes en boyau; une barre placée
au-dessous des cordes servait à contenir autant de petites poulies qu'il y
avait de cordes ; une barre inférieure faisait le même office. Chaque archet
sans fin, après avoir traversé les deux poulies, s'enroulait sur un tambour
mû par une manivelle. En touchant une note, l'archet se rapprochait de la
corde par le mouvement de la touche et attaquait la corde plus ou moins
fortement. — Enfin, en 1833, même construction ou à peu près, par Heiz, de
Hongrie."
La musique à l'Exposition universelle de 1867,
Louis-Adolphe le Doulcet Pontécoulant, p. 132-133.
Voyez
LICHTENTHAL
de Bruxelles
(°1823)
Liste des exposants Paris, 1839
| Liste des exposants Paris, 1844
|
Liste des exposants
Paris, 1855 |
20, rue Bourbon-Villeneuve (**1836)(**1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(***1841)(*1842)(x1843)(xx1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1851)(yy1851)(x1852)(**1854)(*1855)(z1855)(xx1856)(arr.2),
29, rue des Grands-Augustins (*1802)(***1847)(arr.5),
20, rue d'Aboukir (1849)(*1850)(arr.2),
7, rue des Moulins
(xx1857)(xx1858)(*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(x1863)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(arr.1),
Paris |
SCHMIDT Tobias
(1755 - 1831) |
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|
'Facteur de pianos'
(°1785) |
Paris |
SCHMIDT Frères
|
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
droits
ca. 1864-78
SCHMIDT
(**1864)(**1870)
SCHMIDT
Frères
(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)
Brevet de 1887 : "187544. Brevet de quinze ans, 12 décembre 1887;
Schmidt, représenté par Chassevent, à Paris, boulevard de Magenta, n°
11. Piano à jeu automatique et à la main."
Bulletin des lois de la République française, 07/1888,
p. 145 (gallica.bnf.fr)
|
81, rue du Bac
(**1864)(**1870)(arr.7),
148, rue Montmartre
(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(arr.2),
150, rue Montmartre (?)(arr.2),
Paris |
SCHMIDT
Léopold |
1834 - "NOUVEL INSTRUMENT A VENT. M. Léopold Schmidt est
l'inventeur d'un nouvel instrument à vent qu'il appelle Lyre d'Apollon. Le
principe sur lequel est établie la lyre de monsieur Schmidt est déjà connu
depuis long-temps ; c'est la vibration des lames métalliques mises en jeu
par l'action de lair. Ces lames étant composées d'un mélange de cuivre et
d'argent, il en résulte des sons d'une nature particulière ; et les
Allemands toujours empressés d'étendre le domaine musical, en ont fait
plusieurs applications ingénieuses. [...][...]"
Le Courrier de la Drôme et de l'Ardèche, 11/03/1834,
p. (memoire.arald.org) |
'Facteur de pianos'
et/ou inventeur ca. 1834 |
Paris ? |
SCHMIT
Jules Fils |
|
Facteurs et/ou marchands de
pianos
ca. 1912
'Piano-Reparateur und -Stimmer' (x1912) |
24, rue Dutemps (x1912), Toulouse |
SCHMITE-HENNINGSEN
Henry
| SCHMIDT | SCHMITTE | SCHMIETE | SCHIMTE | Prénoms : Henning
|
Ce facteur a ouvert un atelier dont la
fondation est documentée.
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|
'Facteur de pianos'
(°1786) |
Paris
|
SCHMITT |
|
Facteur et/ou
marchand de pianos ca. 1890
'Musikal.- u. Piano-Handlung' (xx1890) |
25, Faubourg de France (xx1890), Belfort |
SCHMITT Charles |
|
Facteurs et/ou marchands de
pianos
ca. 1906
'Piano-Reparateur und Händler' (x1906) |
2, rue Baubuisson (x1906), Toulouse |
SCHMITT |
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|
Facteur et/ou
marchand de pianos
(°1893) |
Paris |
SCHMITT & Cie
|
"Le Salon de lecture musicale que la maison SCHMITT et Cie
vient d'adjoindre à ses magasins de musique et de pianos obtient un succès
légitime, surtout parmi les personnes de passage à Paris qui peuvent ainsi
se mettre au courant des œuvres nouvellement parues (22, rue du
Quatre-Septembre)."
La Vie parisienne : moeurs élégantes, choses du jour,
fantaisies, voyages, théâtres, musique, modes, 04/05/1872, p. 336
(gallica.bnf.fr)
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1872-78
Repris par
ALARD
dès 1876
1876 -
"CEDER des petit fonds de comm. de Musique et
Pianos, 22, r. du 4-Septembre."
Le Figaro, 02/04/1876, p. 3 (gallica.bnf.fr)
|
22, rue du 4 Septembre
(x1872)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(arr.2),
Paris |
SCHMITT Charles |
|
Facteurs et/ou marchands de
pianos
ca. 1906
'Piano-Reparateur und Händler' (x1906) |
2, rue Baubuisson (x1906), Toulouse |
SCHMITT Jacques |
|
'Facteur de
clavecins'
ca. 1787
SCHMITT Jacques, Facteur de Clavecin était
marié avec PERRIN Suzanne Antoinette, le 01/05/1787, voir
l'acte (nl.geneanet.org)
|
Paris |
SCHMITT
& MAURER |
|
Facteurs et/ou marchands de
pianos
ca. 1929 |
rue des Trois-Rois (**1929), Mulhouse |
SCHMITT Nicolas |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1824
SCHMITT Nicolas, facteur de pianos, et (1799)
Marie Cunégonde Françoise Schittig, (Maisons-de-strasbourg.fr)
|
Strasbourg |
SCHMITZ Ferdinand
(? - 1810)(³¹) |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1810
1810 -
"MC/RE/XLII/13 - 24 novembre 1810 - Inventaire après décès :
Schmitz, Ferdinand. Ponceau (rue du), n° 41. Facteur de pianos."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
|
41, rue du Ponceau (1810)(³¹)(arr.2),
Paris |
SCHNARB L.
| SCHNERB |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1881-88
|
17, avenue Mac-Mahon
(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(arr.17),
Paris
|
SCHNEIDER |
Essaya des cordes
plaquées argent
(¹)
-
Brevet de 1827 : "En 1827,
Schneider, que nous avons vu plus haut employer des cordes d'un nouvel
argent, imagina de faire plaquer en argent toutes les cordes de ses
instruments pour les préserver de la rouille. On reprocha à cette innovation
l'inexactitude d'adhérence existant entre l'acier, qui est fort dur, et
l'argent, qui est au contraire très-tendre."
Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857
inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861
|
'Facteur de pianos' ca. 1827
|
Paris |
SCHNEIDER |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1889-95
DANJARD
& SCHNEIDER (avant 1889)
Succ. par
DANJARD (y1889)(xx1890)
'Pianofabrikant' (xx1890)
|
15, rue du faubourg Montmartre (y1889)(xx1890)(*1893)(*1895)(arr.9),
Paris |
SCHNEIDER |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1875-76
|
1, rue d'Amiens (*1875)(*1876), Lille |
SCHNEIDER Ant. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1913 [depuis
1904
(*1913)] |
3-5, rue Kléber (*1913),
Strasbourg |
SCHNEIDER Charles Ferdinand |
|
'Facteur
de pianos'
ca. 1857
Époux de PROTOY Louise Augustine Léonore
(1857)(¹⁰)
|
32, rue de Bellefond (1857)(¹⁰)(arr.9),
Paris |
SCHNEIDER Eugène Alphonse
(1858 - ?)(¹⁰) |
|
'Mécanicien en pianos'
ca. 1878
1878 - "SCHNEIDER Eugène
Alphonse, Mécanicien en pianos, rue de Crimée, n° 191. Cité comme étant né
le 13/12/1858 à la Villette, Seine. et sur la liste des tirés au sort de la
classe 1878 à Paris 19e. Autres : feus SCHNEIDER Jacob et FRIAUD Thérèse.
Source : AP/D1R1/413/289/PINET Alain."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
|
191,
rue de Crimée (1878)(¹⁰)(arr.19),
Paris |
SCHNEIDER
J. J. |
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|
Facteur et/ou marchand de pianos
(°1901) |
Metz |
SCHNEIDER Pierre |
Il y avait un
SCHNEIDER ca. 1846 qui était 'vernisseur' et un SCHNEIDER fils ca. 1851-57
comme 'finisseur', 'égaliseur' et 'tableur' chez PLEYEL. (²⁰) |
Facteur et/ou marchand de pianos
droits
ca. 1870-192 6
Représentant de
IBACH, Leipzig, Allemagne
(**1907)
'MusiqueAb-Edition - Pianos, Instruments' (**1921) ------- 'Le Magasin Musicale'
(**1921)(x1926) ------- 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926)
SCHNEIDER
Richard Henri & Cie (x1912), 'Export,
Import u. Konsignation von Pianos' - 'General-Agent für die Baldwin Company
in Cincinnati und Rud. Ibach Sihn in Barmen'
SCHNEIDER
& Cie
(**1914)
LE
MAGASIN MUSICAL, Pierre SCHNEIDER
(x1926)
|
10, rue des Martyrs
(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(arr.9),
7, rue Saint-Lazare
(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(arr.9),
84, rue Saint-Lazare
(**1912)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.9),
69-71, Avenue Malakoff
(**1921)(*1922)(x1926)(arr.16),
Paris
|
SCHNELL Jean Jacques
(1740 - 1815 ?) |
Ce facteur a ouvert un atelier dont la
fondation est documentée.
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|
'Facteur de clavecins'
(°1777) |
Paris |
SCHNELL |
|
Brevet de 1899 : "Schnell, 12 juillet 1899, brevet 260510, (Table à double
résonnance pour pianos droits et à queue.)"
Bulletin des lois de la République française, 01/1901,
p. 896 (gallica.bnf.fr)
|
Paris ? |
SCHNITZER
Aloys Alcide Louis (ca. 1854 -
1902) |
1902 -
"Une découverte au bord du canal
Saint-Martin. Une dame V. passait hier soir, vers neuf heures, quai
Jemmapes, le long du canal Saint-Martin, quand, en face du numéro 50 du quai
Jemmapes, elle remarqua sur la berge un assez volumineux portefeuille de
cuir. Elle fit aussitôt part de sa découverte à un gardien de la paix de
service non loin de là. Le portefeuille fut ouvert. Il contenait, outre des
papiers d'affaires, des cartes de visite au nom de M. Alcide-Louis
Schnitzer, facteur de pianos, 5, rue de l'Equerre. La famille Schnitzer a
été immédiatement prévenue par les soins de M. Durand, commissaire de police
de la porte Saint-Martin, qui a ouvert une enquête. On ignore si on se
trouve en présence d'un suicide ou d'un crime. Des recherches faites dans le
canal n'ont amené aucune découverte nouvelle." (lire la suite
) |
'Facteur de pianos'
ca. 1902
(la suite)
"Sur les bords du canal Saint-Martin - On vient de
retirer du canal Saint-Martin le cadavre de M. Aloys Schnitzer, âgé de
cinquante-huit ans, facteur de pianos, demeurant 5, rue de l'Equerre. Le
malheureux s'était jeté à l'eau hier soir et des passants avaient trouvé son
portefeuille sur la berge, ce dont nous parlons d'autre part. Par les soins
du commissaire de police, le corps du défunt a été transporté à son
domicile."
Journal des débats politiques et littéraires,
02/09/1902, p. 3-4 (gallica.bnf.fr) |
5,
rue de l'Équerre (x1902)(arr.19),
Paris |
SCHOBLOCH |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1829-30
"Schobloch, loue
et fait des échanges, r. Montmartre, 41."
Almanach du commerce de Paris..., Duverneuil, 1829, p. 142
(gallica.bnf.fr)
|
41, rue Montmartre
(x1829)(arr.2),
25, rue du Caire (ca. 1830?)(arr.2),
Paris |
SCHOCK |
"PIANOS, HARMONIUMS ET 0RGUES - Location Échange - Accords Réparations - A.
SCHOCK - facteur - 49-51, rue Beauvoisine, 49-51 ROUEN - Pianos de toutes
Marques - Neufs et d'Occasion - Atelier spécial pour la réparation."
Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical,
1909 (gallica.bnf.fr)
|
'Facteur de pianos' ca.
1909-26 [depuis
1894 (x1926)]
'L. Schock, Rouen, Pianos, Musiques' (?) -------
'Piano- u. Harmonium-Händler'
(x1912)(x1926)
SCHOCK
A.
(x1912)(*1913)
Successeur de
GOBELIN
(°1894)
au moins dès 1913
SCHOCK
L[éon]
(**1921)(x1926) |
Succursale : 49-51, rue Beauvoisine (*1909)(*1913),
47, rue Beauvoisine
(x1912),
21, rue
Thiers (*1913)(**1921)(x1926),
Rouen |
SCHOEN Louis Jules
(ca. 1812 - ?) (³²)
|
"Schoen, facteur de pianos droits, carrés et à queue, à 7 octaves,
perfectionnés, garantis 3 ans, Basse-du-Rempart, 46; B. 1839, A. 1844, A.
Acad. Ind. 1843 et 1844."
Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des
départements et des pays étrangers, 1846, p. 559 (gallica.bnf.fr)
"Schoen, facteur de pianos droits, carré et à queue, à 7 octaves,
perfectionnés, garantis 3 ans, Basse-du-Rempart, 46; B [bronze] 1839, A
[argent] 1844, A [argent] Acad. Ind. 1843 et 1844."
Annuaire du commerce Didot-Bottin,
1848, p. 513 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"M. Schoen,
à Paris, rue Richer, 42. - Il expose un piano carré à trois cordes et un
pianino à trois cordes qui a mérité d'être placé le premier des instruments
de cette espèce. Récemment établi, il confectionne par an trente-six pianos
et occupe douze ouvriers tant dans ses ateliers qu'à l'extérieur."
Rapport du Jury Central, Exposition, des produits de l'Industrie Française
en 1839, M. Savart, rapporteur, 1839
PARIS -
"M. Schoen, également né en Pologne, s'est fixé à Paris après avoir
travaillé dans les ateliers d'Allemagne, d'Angleterre et de France. Parmi
les instruments exposés parce jeune et habile facteur, on a surtout remarqué
un pianino d'un extérieur très élégant, orné dans le goût de la renaissance,
et qui brillait encore davantage par la beauté du son. Sous ce rapport il a
été même classé en première ligne au concours dans la catégorie des
pianinos. Ce résultat a été obtenu pur une ouverture et un nouveau barrage
delà table d'harmonie servant à augmenter la puissance de la sonorité.
En outre, M. Schœn a perfectionné le mécanisme en appliquant à ses pianinos
un nouveau système de fourches en cuivre.
Cet instrument est à six octaves et demie, avec quatre touches ajoutées
montant jusqu'au la. Pour le piano carré M. Schœn a adopté le sommier
prolongé en fer ou en bois garni de cuivre; le mécanisme fonctionne dans des
fourches en cuivre d'un nouveau modèle, et qui en garantissent la solidité.
M. Schœn, qui se présentait pour la première fois à l'exposition, y a trouvé
les encouragements qu'il méritait : il a reçu la médaille de bronze."
Revue et gazette musicale de Paris, Volume 6, 1839, p. 323
PARIS -
"72. — SCHOEN, facteur de pianos, à Paris, rue
Basse-du-Rempart, n. 46.
Les pianos de M. Schoen se recommandent assez par leur bonne confection et
leur fini pour qu'il ne soit pas nécessaire de s'étendre à ce sujet;
cependant il peut être utile de rappeler qu'il a obtenu à l'exposition
nationale de 1839 une médaille pour la supériorité de ses instruments. Il
expose un piano droit d'un nouveau modèle, remarquable par la force, la
qualité des sons, et l'élégance de son extérieur."
6e exposition des produits des membres de l'Académie
de l'Industrie, à l'Orangerie des Tuileries en 1842,
p. 36 (gallica.bnf.fr)
(la suite )
|
'Facteur de pianos' carrés, pianos droits et pianos à queue ca. 1836-77
SCHOEN Fils ,
époux de VIVIEN (1852)(¹⁰)
SCHOEN
& LAVAL
(***1869)(**1870)(**1871)
1869 -
"TRIBUNAL DE COMMERCE DE
LA SEINE. Dépôt au Greffe. — Actes de sociétés. [...] Schoen et
Laval, pianos, boul. Malesherbes, 42. (Acte s. s. p., 23 juillet.)"
Journal officiel de l'Empire français,
25/07/1869, p. 1306 (gallica.bnf.fr)
SCHOEN C.
(**1873)(**1877)
(la suite)
PARIS -
"M. SCHOEN, à Paris, rue Basse-du-Rempart, 46. - M. Schoen a exposé un
piano à queue de grand format, qui a obtenu le sixième rang au concours, et un
piano droit à cordes obliques placé au onzième rang. Il confectionne
quatre-vingt-dix pianos par an et occupe vingt-deux ouvriers. M. Schoen est un
artiste habile qui mérite à tous égards la médaille d'argent que le jury lui
décerne."
Rapport du Jury central, Paris Jury central, Imprimerie de Fain et
Thunot, 1844, p. 540
PARIS -
"1002. Schoen fabricant de pianos, rue Basse-du-Rempart, 46, à Paris, B.
1839 ; A. 1843; exposition de l'industrie ; expose : Un piano à queue, sept
octaves en la ; un piano carré, sept octaves ; un piano droit, nouveau modèle,
en ébène, avec ornements dorés, style renaissance, d'une beauté remarquable. La
fabrique de cet exposant occupe une place distinguée dans le monde commercial,
et jouit d'une honorable réputation parmi les artistes et les amateurs : elle
doit ces avantages à la parfaite exécution de ses instruments et à leur
solidité."
Catalogue explicatif et raisonné des produits admis à
l'exposition quinquennale de 1844, p. 211 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"[texte idem à 1845]" Expo 1843 -
7e exposition des produits des membres de l'Académie de
l'Industrie, à l'Orangerie des Tuileries en 1843, p. 96 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"200. —SCHOEN, facteur de pianos, à Paris, rue
Basse-du-Rempart, 46.
Les pianos droits que M. Scboen a exposés en 1839 ont été cités au premier rang
et lui ont valu l'honorable encouragement d'une médaille, et une réputation
méritée par la rondeur, l'égalité et la force des sons.
Il expose aujourd'hui un piano à queue à sept octaves complètes (du la au la),
et un piano droit. Ces instruments réunissent toutes les qualités des premiers,
et de nouveaux perfectionnements apportés à leur confection ne laissent rien à
désirer sous le double rapport de la bonté et du fini joints à l'élégance de
l'extérieur." Expo 1845 -
8e exposition des produits des membres de l'Académie de
l'Industrie, à l'Orangerie des Tuileries en 1845, p. 88 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"[texte idem à 1845]" Expo 1846 -
9e exposition des produits des membres de l'Académie de
l'Industrie, à l'Orangerie des Tuileries en 1846, p. 32 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"M. Schœn avait exposé plusieurs
pianos de différents genres; le jury, voulant récompenser les efforts de
cet artiste, lui accorde le rappel de la médaille d'argent qu'il avait obtenue
en 1844."
Rapport du Jury central, Paris Jury central, 1849
Médaille de bronze Paris, 1839
| Liste des exposants Paris, 1842
| Liste des exposants Paris, 1843
| Médaille d'argent
Paris,
1844
| Liste des exposants Paris, 1845 |
Liste des exposants Paris, 1846
| Rappel de médaille d'argent
Paris,
1849
|
34, rue Richer (+1836)(arr.9),
42, rue Richer (*1838)(x1839)(xx1839)(yy1839)(*1840)(x1840)(***1841)(arr.9),
et 46, rue Basse-du-Rempart
(x1840)(**1841)(*1842)(**1843)(x1843)(**1844)(**1845)(**1846)(x1847)(*1848)(x1849)(*1850)(*1851)(x1852)(**1854)(arr.9),
12, rue de la Vieille Boucherie (1852)(¹⁰)(arr.5),
15, rue de la Neuve Vierge (1852)(¹⁰)(arr.7),
3, passage de la Meule (*1855)(arr.?), 42, boulevard Malesherbes
(***1869)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(arr.8),
Paris |
SCHOENEWERK Louis |
|
'Facteur de pianos'
droits dès 1840-63
'Ouvrier employé de la maison ERARD'
(barre d'adresse)
Brevet de 1848 : "Schœnewerk établit un piano à cordes obliques avec pédale
expressive, opérant non plus par choc et subitement, mais d'une manière
progressive."
Organographie : La facture instrumentale depuis 1789
jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant,
1861
Brevet d'invention, 1863
|
Rennes |
SCHOLTUS A. Fils |
|
'Facteur de pianos' ca. 1875 |
11bis, rue de Maubeuge
(*1875)(arr.9), Paris |
SCHOLTUS Pierre
(ca. 1812 - ?) |
Ce facteur a ouvert un atelier dont la
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|
'Facteur de pianos' (°1848) |
Paris |
SCHON Bernard
|
|
'Facteur de pianos' ca. 18??
Un certain
Bernard SCHON
(le nom semble
indiquer une origine alsacienne), facteur de piano-forte.
|
Angers |
SCHÔNE Jean Godefroi | Godefroy
(1775 - ?)(¹²) |
"Schône dit Godefroy, f. claviers pour forté et orgues, r. Harlay, au
Marais, 6."
Almanach du commerce de Paris, 1827, p. 132 (gallica.bnf.fr)
|
'Facteur de pianos'
ca. 1819-48
Il était né en 24/08/1775.
son pays d'origine était Haute-Saxe (aujourd'hui Allemagne), à Zörbig. Sa
profession était ébéniste avant d'établir comme facteur de claviers pour
pianos à Paris. Il a demandé sa naturalisation en 1833. (¹²)
Voir
GODEFROID dit SCHÔNE |
67, rue Montmartre (*1819)(arr.2),
6, rue Harlay au Marais
(*1820)(x1823)(x1825)(x1827)(x1829)(*1833)(z1835)(**1836)(**1837)(*1838)(x1839)(yy1839)(**1840)(x1840)(**1841)(*1843)(arr.1),
71, boulevard Saint-Antoine (x1839)(arr.4),
71, boulevard Beaumarchais
(**1837)(*1838)(x1840)(**1841)(arr.4),
18, rue Geoffroy L'Asnier (*1848)(arr.4),
Paris |
SCHÖRNSTEIN
| SCHÖNSTEIN |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits ca. 1866-1913 [ depuis
1866
(x1912)(*1913)]
Repris par
TOURNIAIRE dès
(°1868)
SCHÖNSTEIN
Mlles.
(xx1890), 'Musikal.- u. Piano-Handlung'
Repris par STRUBIN-TOUNIAIRE
H. (x1912)(*1913),
voir ci-dessous |
Faubourg de France
(xx1890), 34, rue du faubourg de
France (x1912)(*1913), Belfort |
SCHOTT Frères |
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|
'Facteur de pianos'
(°1818) |
Mayenne | Paris | Bruxelles | Anvers |
Londres |
SCHOTT Thiébaut Antoine
(1797 - 1836)
Piano carré ca. 1820-30, Collection Eric Feller,
Allemagne |
'T. A. Schott,
Fabricant de physharmonicas, Strasbourg, Breveté par sa Majesté'
Piano
carré ca. ? (la table d'harmonie comporte la mention «Schott élève de
Loegel», Musée des Arts décoratifs de Strasbourg, France
Piano
carré ca. 1820-30, Collection Eric Feller, Allemagne
Piano
carré n° 433 ca. 1820-30, nterencheres.com 11/2024
|
'Facteur de
pianos' ca. 1820-32 (*1832), et il est né à Rothau dans le Bas Rhin.
GRUCKER
& SCHOTT ca. 1830
"Schott, Thiebaut-Antoine, facteur de
Pianos. Maît. Né à Rothau, le 15 Janvier 1797. Init. 29. X. 5822."
Tableau général de la loge symbolique et du souv. Chapitre de la
vraie..., 1834
SCHOTT
(x1839)(***1842)
SCHOTT
a été l'élève de
LOEGEL Chrétien.
Brevet de 1830 : "Gruker
(Jean-Gustave), libraire et Schott (Thiébaut-Antoine), fabricans
d'instrumens à Strasbourg (Bas-Rhin) à 3 avril 1830. Instrument de
musique qu'ils nomment physarmonica (5 ans)."
Recueil industriel, manufacturier, agricole et
commercial, de la..., Volume 15, 1830, p. 266 -
ou la description complète dans
Description des machines et procédés..., Volume
30, Numéros 2806 à 2930, 1836, p. 165-169 et image 31 p. 477
|
Strasbourg |
SCHOTTE |
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|
'Facteur de pianos' (°1850) |
Paris |
SCHOTTE & Co |
|
Facteur et/ou marchand de pianos et éditeurs de musique ca. 1921-22
SCHOTTE
& Co à Boulogne-sur-Mer en 1921, comme Successeur de
HANON
(°1873)
|
1, Impasse rue de Lille (**1921)(*1922) ,
Boulogne-sur-Mer |
SCHOTTE & MERTENS |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits ca. 1859-63
SCHOTT
[sic]
& MERTENS (*1859)(x1863)
SCHOTT
(**1864)
Voyez aussi
SCHOTTE
(°1850)
et
MERTENS
(°1850)
"Schotte et Mertens, pianos droits et obliques, échange et location de
pianos, envoie en province et à l'étranger, Crussol, 12."
Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1859, p.
814 (gallica.bnf.fr)
|
12, Passage Saint-Sébastien
(*1859)(arr.11),
12, rue de Crussol (xx1858)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(x1863)(arr.11),
1, Passage Saint-Sébastien (xx1861)(**1864)(arr.11),
6, rue Saint
Pierre Popincourt (?)(arr.11),
Paris |
SCHOULOFF |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits
ca. 18??
|
France |
SCHOULER Charles Gaspard |
|
'Fabricant de pianos'
ca. 1843 |
18, rue de Paradis (1843)(¹⁰)(arr.10),
Paris
|
SCHOUSEN C.
|
|
'Facteur de pianos'
droits
ca. 1859-98
SCHOUSEN
C. (xx1890), 'Pianofabrikant'
1866
- "Lundi, à une heure de l'après-midi, un violent incendie a éclaté au bois
de Romainville, rue de Paris, 24, dans la fabrique de pianos de M. Schousen.
En moins d'une heure, ce vaste établissement a été tout en flammes. Le feu a
été maîtrisé à cinq heures du soir, mais il a fallu le combattre
énergiquement jusqu'au matin. La cause parait être accidentelle : 26 pianos
confectionnés, un grand nombre en cours de fabrication, un outillage de la
valeur d'au moins 10,000 fr., une grande quantité de bois ouvrés ont été la
proie des flammes. Le dommage est évalué à 160,000 fr. au moins. Le tout est
assuré. Les maisons voisines ont pu être préservées."
Moniteur belge: journal officiel,
20/06/1866, p. 3204 et
Le Petit Journal, 20/06/1866, p. 2
(gallica.bnf.fr)
|
Fabrique : 24, rue de Paris
(1866), Romainville
11, rue des Récollets (*1859)(arr.10),
13, rue
des Récollets
(**1864)(arr.10),
52, rue du Faubourg Saint-Denis
(**1870)(arr.10),
23, rue Albouy
(**1871)(**1873)(*1875)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(arr.10),
22[sic], rue Albouy (*1876)(arr.10),
21, boulevard de Strasbourg
(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(xx1890)(*1893)(**1898)(arr.10),
Paris |
SCHOUTHEER H. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1905-21 [depuis
1896 (x1912)]
Arras
Successeur de
CHARLANT
(°1860); (*1906)(*1913)(**1921)
SCHOUTHEER-BERCHE
(x1912), 'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.' à
Arras
Paris-Plage
'Händler mit Musikal., Pianos u. Musikinstr.' (x1912) à Paris-Plage |
MAISON PRINCIPALE : 57, rue Saint-Aubert
(*1905)(*1906), 52-54, rue Saint-Aubert
(x1912)(*1913)(**1921),
Arras
SUCCURSALE :
4, rue de Paris, villa Bleuette
(*1913),
52, rue de Paris (**1921), Paris-Plage (Le Touquet)
|
SCHREIBER |
Quatre
pianos carrés de 1831, sans numéro, mentionné dans les archives de vente de
PLEYEL
de 1831-32, p. 76
|
'Facteur
de pianos' ca. 1831 |
Paris ? |
SCHRECK Philippe
(? - 1869) |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1849-78
SCHRECK Philippe, Facteur
de pianos était marié avec GUILLERY Joséphine Désirée. Un acte de
01/04/1870,
acte 261
(nl.geneanet.org), parle qu'il est décedé le 24 octobre 1869. Les héritiers
étaient sa femme et ses enfants Marie Désirée majeur Eugène Louis et Emile
Maurice mineur.
SCHRECK
Philippe (**1849)
Membre d'
ASSOCIATION DES FACTEURS DE PIANOS, à Paris
(°1849)
YOT
E. & SCHRECK & Cie
(°1849), associé de YOT vers 1855.
Mention honorable Paris, 1855 | Mention honorable Paris, 1867 | Médaille de
bronze Paris, 1878
|
22, rue Bellefond (*1849)(arr.9),
117, rue du faubourg Saint-Denis (1852-53)(¹⁰)(arr.10), 162, rue du Faubourg Saint-Denis (1855)(arr.10),
66,
rue des Poissonniers (*1867)(arr.18),
31, rue Labat (1869)(acte
261)(arr.18), 54,
rue des Poissonniers (1878)(arr.18),
Paris |
SCHROEDER Gerd |
"Schrœder (Jean-Louis-Désiré), naquit à Paris, 64,
rue Montorgueil, le 24 décembre 1828, fils de Gerd-Schrœder, facteur de
pianos, et d'Anne-Marie-Charlotte Balbien."
Dictionnaire des sculpteurs de l'Ecole française au
dix-neuvième siècle, 1914-21, p. 247 (gallica.bnf.fr)
|
'Facteur de pianos'
ca. 1828-34
Il y avait un SCHRÖEDER qui était 'finisseur' chez PLEYEL ca. 1840-57 (²⁰)
|
64,
rue Montorgueil (1828)(arr.2),
8, rue Marie-Stuart
(xx1834)(arr.2),
Paris |
SCHROEDER H. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits ca. 18?? |
Paris |
SCHUBLEART |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 18??
|
Paris | Londres |
SCHUG
Rudolf & Söhne |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 19??
|
Klingenthal (Bas-Rhin) |
SCHULLER-LACOMBE |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1924-26
Succ. de
E. PEFFER et de
LACOMBE(x1926)
'Fournisseurs de l'Armée' (1924) -------
'Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926)
|
MAISON PRINCIPALE : Strasbourg
SUCCURSALE : 7, rue Saint-Georges (x1926),
Nancy |
SCHÜLTZ Frédéric Henri Chrétien
(1799 - ?) |
Ce facteur a ouvert un atelier dont la
fondation est documentée.
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|
'Facteur de pianos' (°1835) |
Marseille |
SCHULZ & Cie |
Brevet de 1892 : "223451. Brevet de quinze ans, 4 août 1892; Schulz,
représenté par Nauhardt, à Paris, boulevard de Magenta, n° 30.
Dispositif réglable pour tendre la table d'harmonie des pianos."
Bulletin des lois de la République française, 07/1893,
p. 641 (gallica.bnf.fr)
|
Facteur de pianos'
droits, pianos automatiques et orchestrions
ca. 1913 |
79, Avenue du
Pont-de-Saint-Ouen (*1913), Gennevilliers (Seine) |
SCHUMACHER Henri
(ca. 1758 - 1825) (¹⁰) |
|
'Fabricant de
harpes'
ca. 1825
Époux de SURET Marie Anne (¹⁰) |
7, rue Lesdiguières (1825)(¹⁰)(arr.4),
Paris |
SCHUMACHER Otto |
|
Facteur et /ou marchand de
pianos ca. 1912-26
[depuis 1896 (x1912)(x1926)] 'Uhrmacher, führt
auch Pianos, Musikw., Musikinstr. u. Sprechm.' (x1912)(x1926) |
66-68, Vaubanstrasse (x1912), 84, Vaubanplatz
(x1926),
Mulhouse |
SCHUMACHER Michel |
|
'Fabricant de pianos'
ca. 1820-25
Époux de PICARD Amable
Prudence (¹⁰) |
112, rue
Saint-Martin (*1820)(1821)(¹⁰)(x1823)(arr.3),
23, rue Traversière Saint-Honoré (x1825)(arr.12),
Paris
|
SCHUMANN
Robert |
|
SOUS-MARQUE
'SCHUMANN-Paris' et/ou
'Robert SCHUMANN', Marque déposée sont probablement des sous-marques de
VERCRUYSSE C.
& DHONDT O. à Lille
|
Lille |
SCHUMMACHER Martin |
|
'Fabricant de
pianos'
ca. 1820
Époux de PICARD Amable Prudence (¹⁰)
|
112, rue Saint-Martin (1820)(¹⁰)(arr.4),
Paris |
SCHUSTER Georges |
|
'Fabricant de pianos'
ca. 1847-52 Époux de DIETRICH
Madeleine (1847)(¹⁰) |
1er, rue de Chabrol
(1847)(¹⁰)(arr.10), 137, rue du faubourg
Saint-Martin (1852)(¹⁰)(arr.10),
Paris
|
SCHWANDER G. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits ca. 18??
Probablement
ci-dessous une marque fausse: voyez le nom : "SCKWANDER".
|
Paris |
SCHWANDER Henry |
Ce facteur a ouvert un atelier dont la
fondation est documentée.
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|
'Facteur
de pianos' et successeur de DIETRICH
(°1849)
|
Paris |
SCHWANDER Jean
( 1812
- 1882)
|
Ce facteur a ouvert un atelier dont la
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|
'Fabrication
de mécaniques - équipe presque tous les pianos français
et pianos pneumatiques' (°1835) |
Paris |
SCHWANDER Pierre Jacques |
"Schwander (Jacques), vente, location, accord, échange, réparation, à
Montmartre, Chaussée Clignancourt, 9."
Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1859,
p. 814 (gallica.bnf.fr)
|
'Facteur de pianos' et 'mécaniques pour pianos'
ca. 1851-59
SCHWANDER
& KUTT
(x1851),
voir
KUTT
1851 -
"SOCIÉTÉS. Etude de Me PLUOT, huissier, rue des Déchargeurs, 3. D'un
acte sous seing privé, fait double à Paris le vingt-cinq mai mil huit cent
cinquante-un, enregistré, il appert qu'une société en nom collectif est
formée pour six ans, à commencer du premier juillet mil huit cent
cinquante-un, pour la fabrication des mécaniques pour pianos, entre : M.
Pierre-Jacques SCHWANDER, mécanicien pour pianos, demeurant à Montmartre,
chaussée de Clignancourt, 77, et M. André KUTT, aussi mécanicien pour
pianos, demeurant à Montmartre, rue Dejean, 3, sous la raison sociale
SCHWANDER et KUTT. Le siège social est à Montmartre, rue de la Nation, 6, et
chacun des associés aura la signature sociale pour les opérations de la
société; la signature seule d'un des associés n'obligera pas la société. Le
capital social est de quatre mille francs, partie eu espèces, partie en
oulils, apporté par nioiliê par chacun des associés. Pour extrait: PLUOT."
Gazette des Tribunaux, 31/10/1851, p. 4
(data.decalog.net)
1852 -
"SCHWANDER Pierre Jacques, mécanicien
pour pianos, associé, à Montmartre (près Paris, Seine) chaussée de
Clignancourt et alors (maintenant) rue de la Nation, n° 6. Cité le
30/01/1852, dans un acte sous seing privé comportant dissolution entre ledit
et KUTT André, aussi mécanicien en pianos, lui, aussi à Montmartre, à la
seconde adresse, n° 3.
Source : Archives de Paris/Tribunal de Commerce/D31u3-174/pièce n°307/LEBRUN
Georges Claude."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
SCHWANDER,
KUTT & HEMMERDIN
(y1857)
1854 -
"Suivant acte passé devant M.
Fournier, notaire à La Chapelle Saint-Denis, assisté de témoins, le quatorze
septembre mil huit cent cinquante-quatre, enregistré, M. André KUTT,
mécanicien pour pianos, demeurant précédemment a Montmartre, rue de la
Nation, 6, et depuis à La Chapelle-Saint-Denis, rue de la Goutte-d'Or. M.
Pierre-Jacques SCHWANDER, de même profession, demeurant au même lieu, mêmes
rue et numéro. Et M. Henri HEMMERDIN, facteur de pianos, demeurant à
Montmartre, rue de la Nation, 6, et précédemment rue Lévisse, 7 ; Après
avoir expose que, suivant contrat passé devant ledit M. Fournier, notaire,
le treille janvier mil huit cent cinquante-deux, ils ont formé entre eux une
société en nom collectif, pour la fabrication des mécaniques pour pianos,
sous la raison sociale : SCHWANDER, KUTT et HEMMERDIN, et que celle société
a été contractée pour trois, six ou neuf années, au choix respectif des
associés, à compter du premier février mil huit cent cinquante-deux. et avec
faculté à chacun d'eux de faire cesser ladite société à l'expiration de la
première ou de la seconde période, en prévenant ses co-associés six mois
d'avance, Ont, d'un commun accord, consenti à ce que ladite société cessât à
l'égard de M. Kutt à compter du jour de l'acte ci-extrait; Et MM. Schwander
et Hemmerdin ont déclaré vouloir coulinuejJ ladite sociélé dans les termes
arrêtés par eux suivant le contrat sus-daté, sans autre modification que
celle touchant la raison sociale, qui est désormais : SCHWANDER et
HEMMERDIN. Pour faire publier l'acte ci-extrait, tout pouvoir a été donné au
porteur d'une expédition ou d'un extrait. Signé: FOCRNIER."
Gazette des Tribunaux, 24/09/1854, p. 4
(data.decalog.net)
1857 -
"Suivant acte reçu
par Me Fornier, notaire à La Chapelle-Saint-Denis, soussigné, le vingt-neuf
avril mil huit cent cinquante-sept, enregistré, M. Pierre-Jacques SCHWANDER,
facteur de pianos, demeurant à Paris, rue du Bac, 93. Et M. Henri HEMMERDIN,
mécanicien pour pianos, demeurant à Montmartre, rue de la Nation, 6. Ont
déclaré dissoute, à compter du jour de l'acte ci-extrait, la société formée
ous la raison sociale SCHWANDER, KUTT et HEMMERDIN, ainsi qu'il résulte d'un
acte reçu par ledit Me Fournier le trente janvier mil huit cent
cinquante-deux, et depuis modifiée par le retrait de M. Kutt, et continuée
sous la raison sociale SCHWANDER et HEMMERDIN, en vertu d'un acte reçu par
le même notaire le quatorze septembre mil huit cent cinquante-quatre. MM.
Schwander et Hemmerdin ont reconnu que la liquidation de cette société avait
lieu entre eux. Pour extrait : Signé : Fournier."
Gazette des Tribunaux, 08/05/1857, p. 4
(data.decalog.net)
SCHWANDER
& HEMMERDIN
(xx1858)
Repris par
HEMMERDIN Henri
dès 1858. Et SCHWANDER travaillait pour son propre nom.
|
77, chaussée de Clignacourt
(x1851)(arr.18),
rue de la Goutte-d'Or (xx1854)(arr.18),
6, rue de la Nation
(1852)(¹⁰)(xx1854)(1855)(y1857)(xx1858)(arr.12),
93, rue du Bac (y1857)(xx1858)(arr.7),
fabrique : 77, rue de
Ménilmontant (xx1858)(arr.20),
9, Chaussée de Clignancourt (xx1859)(arr.18),
Paris |
SCHWEIKART Jean Baptiste
Jérémie
| SCHWEICKHART
(1751 - 1819) |
signature sur un orgue de
1783
Orgue
de 1783,
Historisches Museum Basel, Suisse
Orgue
de 1784, église de Dorlisheim, France
"J.-B.
Schweickart (1751 - 1819) :
Un des plus remarquables facteurs d’orgues parisiens vers 1787", Daniel
PIOLLET, Rencontres Harmoniques de Lausanne 2006)
|
'Facteur d'orgues'
ca. 1781-1820; (*1802)
"Des autres facteurs d’orgues, il n’y a
rien à dire, si ce n’est que J. B. Schweickhart, (1781-1816)[sic] avait
fait, en 1781, l’orgue saisi chez Papillon de la Ferté, lors de son
arrestation en l’an III." Constant Pierre,
Les facteurs d'instruments de musique, 1893
1793 - "SCHWEIKERT Jean
Baptiste. (ou Schweikart), facteur d'orgues, rue de la Poterie, n° 10,
avant, rue de la Tixeranderie, à Paris depuis 1771. Cité comme étant
détenteur d'une carte de sûreté établie le 22/07/1793. Il est âgé de 40 ans,
né à Ottobeyren, Bavière
Source : AN/F7/4786/157/BOURMAUD Paulette."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
"Effets de feu M. Roslin, anc. Fermier-général. 1° [...] Le 27 & le 28, très
bel Orgue de Schweickart, en bois d'acajou, [...]"
Affiches, annonces et avis divers, ou Journal général
de France, 07/1790, p. 2531 (gallica.bnf.fr)
|
rue de la Poterie
(*1783)(1784)(arr.4),
24, rue de la Poterie (*1788)(x1789)(arr.4), 10, rue de la Poterie (1793)(¹⁰)(arr.4),
105, rue Cul-de-Sac-Coqueret (*1802)(*1803-1804)(arr.5),
87,
Hôtel Soubise, rue Vieille-du-Temple
(*1807)(arr.3),
49, rue du faubourg Saint-Antoine (*1809)(arr.11),
29, rue des Ecouffes au Marais (x1820)(arr.4),
Paris |
SCHWARTZ |
SCHWARTS |
|
'Facteur de Pianos' ca. 1850-61
1861 - "Publications de Mariages. Du 17 au 24 novembre. [...] 11°
arrondissement. - Entre : [...] M. Schwartz, facteur de pianos, rue des Cinq
Moulins, 12, et Mlle Gerber, rue des Couronnes, 5."
La Presse, 22/11/1861, p. 3 (gallica.bnf.fr) |
12, rue des Cinq Moulins
(**1861)(arr.18),
Paris |
SCHWERR Jean |
|
'Facteur de
Forte-Piano' carrés
ca. 1782-83 |
rue
des Fossés Saint-Germain (xx1782)(*1783)(arr.6),
Paris
|
SCHWEYER |
|
'Facteur de pianos' ca. 1850-64 |
46,
rue de la Fontaine-au-Roi (*1859)(xx1859)(xx1860)(xx1861)(x1863)(yy1864)(arr.11),
Paris
|
SCIEBERT |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1801 'Marchand de musique' (*1801) |
rue de la Loi (*1801)(arr.8),
Paris |
SCHWINDT Jean Philippe |
|
'Facteur de Pianos-Forte'
ca. 1787 |
Paris
|
SCILLÉ J. B.
|
|
'Facteur de pianos' ca.
1850-60 |
Toulouse |
SCOTT |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 18??
|
Paris - Londres |
SCREPEL-POLLET |
MARQUE
'SCREPEL-POLLET-
PIANOS -ROUBAIX' dès 1909 (²¹)
"Pianos de tous facteurs Erard, Pleyel, Gaveau,
Burgasser, etc. Vente, location, échanges, accords, réparations. 50 pianos
en magasin. E. SCREPEL-POLLET. 138bis, Grande-rue, Roubaix. Maison de
confiance."
Journal de Roubaix, 24/12/1895, p. 4
(bn-r.fr)
La
Maison SCREPEL-POLLET, Pianos, 138, Grande-Rue, Roubaix, nous informe
qu’à titre d’agent régional de la marque Gaveau, elle ouvrira, lundi
prochain 8 septembre, une maison à Lille, 73, rue Esquermoise. Elle y
mettra en vente, outre tous les modèles droits et à queue de pianos et
autopianos Gaveau, un magnifique choix de pianos de toutes marques."
L'Écho du Nord : journal politique, administratif, commercial et
littéraire, 05/09/1924, p. 2 (gallica.bnf.fr)
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
droits et instruments automatiques et accordeur ca. 1895-1929
Roubaix
SCREPEL-POLLET
E. (**1895)
SCREPEL-POLLET
(x1906)(x1912)
'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung u.
Reparatur-Werkstatt' (x1906) ------- 'Musikal.-, Piano-,
Harmonium-, Musikinstr. u. Saiten-Händler' (x1912)(x1926)
SCREPEL-POLLET
& Cie
(1912)(*1913)
1912 -
"Roubaix.— Formation.—Soc. en nom collectif
SCRÈPET [sic]-POLLET pianos et instruments de musique, 138, Gde-Rue. —
250,000 fr. — 30 mai 1912."
Archives commerciales de la France, 03/07/1912,
p. 926 (gallica.bnf.fr)
SCREPEL-POLLET
(x1926)
Leurs pianos automatiques
étaient producés par
NALLINO
(1872)
Lille
SCREPEL-POLLET
(x1926), 'Piano-Handlung' (x1926) |
138bis, Grande-rue (**1895)(x1906), 138, Grande-rue
(*1905)(*1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913)(**1921)(y1924)(x1926), Roubaix
73, rue Esqermoise
(y1924)(x1926)(*1929), Lille |
SCUOPPO Pierre |
|
'Facteur de pianos' ca. 1921-26
'Maunufacture de pianos automatiques' (**1921) -------
'Fabrik Selbstspiel. Pianos' (x1926)
|
30, boulevard de la Corderie
(**1921)(x1926), Marseille |
SECURET Paul
(? - 1842) (¹⁰) |
|
'Accordeur et facteur de pianos'
ca. 1842 |
16,
rue du Cloître
(1842)(¹⁰)(arr.4),
Paris |
SEEGER Ad. |
Quelques pianos ont été fabriqués par :
SCHINDLER
(°1884)
|
LEGUERINAIS
(°1856) |
'Facteur de pianos'
droits
ca. 1904-32
Successeur de
CREMER
(°1874)
'Piano-Handlung' (x1912) ------- 'Marchand de pianos' (z1931)
" Le
piano portatif.
Ce piano est construit par M. Seeger, 32, boulevard de Strasbourg, Paris."
La Nature - Revue des sciences et de leurs applications aux arts et à
l'industrie, Volume 60, 1932, p. 45
Brevet de 1904 : "Brevet de quinze ans, 22
septembre 1904 ; Seeger (A.), à
Paris, rue du Bac, n° 134. —
Mécanisme pour piano droit à double
échappement."
Bulletin des lois de la République française, 1905,
p. 1434 (gallica.bnf.fr)
Brevet de 1906 : "371986. Brevet de quinze ans, 6 février 1906; - Seeger
(A.), représenté par la société Ch. Thirion et J. Bonnet, à Paris, boulevard
Beaumarchais, n° 95. Perfectionnements aux mécaniques de pianos."
Bulletin des lois de la République française, 01/1908,
p. 1859 (gallica.bnf.fr)
|
134, rue du Bac (1904)(arr.7),
76, rue du Château d'Eau (*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.10),
35,
rue du Château d'Eau (F1923)(arr.10),
ateliers : 55, rue
du
Château d'Eau (**1911)(**1912)(x1912)(**1914)(yy1914)(**1921)(*1922)(x1922)(F1923)(z1931)(arr.10),
32, boulevard de Strasbourg (*1929)(z1931)(1932)(arr.10),
Paris |
SEEGER Albert |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
droits et réparations
ca. 1921-29 |
16, Cité Falaise
(**1921)(*1922)(x1922)(*1929)(arr.18),
Paris |
SEFFERT
Auguste |
|
'Finisseur de
pianos' ca. 1879
Cité le 22/02/1879, lors de l'enregistrement dudit et disparu hier. Il
est âgé de 32 ans. (¹⁰) |
144, boulevard de Belleville (1879)(¹⁰)(arr.20), Paris |
SÉGARD |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits ca. 18??, probablement celui de Levallois
ou de Soissons, ci-dessous.
|
[Paris] |
SÉGARD |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits ca. 1912 |
36, rue Chaptal (**1912), Levallois-Perret |
SÉGARD Lucien |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890-1926
[depuis 1848 (*1913)(**1921)(x1926)]
SÉGARD
(xx1890)(x1906)
'Musikinstr.-Handlung'
(xx1890) -------
'Piano- u. Musikinstr.-Handlung'
(x1906) ------- 'Händler mit Pianos,
Harmoniums, Musikinstr. u. Phonographen' (x1912) -------
'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums, Musikinstr. u. Sprechm.'
(x1926)
SÉGARD
L[ucien]
(x1912)(*1913)(**1921)(x1926) |
18,
rue du Collège (x1912)(*1913),
9, rue du Collège (**1921), 7, rue Thiers
(x1926), Soissons |
SEGLIERI Dante
| SEGHIERI |
1928 - "Arrestation de trois incendiaires. M.
DANTE SEGLIERI ET SES DEUX FILS ACCUSES D'AVOIR MIS LE FEU A LEUR
FABRIQUE DE PIANO SONT ARRETES
Marseille, 27 février. — Hier soir le feu éclatait soudain dans la
fabrique de pianos que dirigent, 78, boulevard Bopard, M. Dante
Seglieri et ses fils Virgile, 27 ans, et Saturnin, 33 ans.
L'alarme fut aussitôt donnée et bientôt les familles logées dans la
maison menacée se mettaient en mesure d'arriver jusqu'au foyer.
La besogne fut assez difficile. Des portes, des fenêtres furent brisées ;
enfin les sauveteurs arrivèrent dans le local de la fabrique, où fort
heureusement ils purent rapidement éteindre le feu. |
'Fabrique de pianos'
ca. 1926-28
'Fabrik selbstspiel. Pianos'
(x1926)
(la suite)
Mais le commissaire de police appelé aux Constatations, fit de graves
découvertes. En effet, quatre doyers furent repérés. Des boîtes en fer
pleines de pétrole furent retrouvées ; à proximité de ces boîtes des bois
découpées prêts à flamber et une bouteille de pétrole brisée furent aussi
découverts."
L'Echo d'Alger : journal républicain du matin,
28/02/1928, p. 6 (gallica.bnf.fr) |
78, boulevard Bopard [Bompard]
(x1926)(**1928),
Marseille |
SEGLOB
| SEYBOLD |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1931
'Marchand de pianos'
(z1931) Voir
SEYBOLD
(°1911) |
27, rue de Maubeuge (z1931)(arr.9),
Paris |
SEGRETIN Noël Louis
(ca. 1817 - 1867)(¹⁰) |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1867
Célibataire (¹⁰) |
8, petite rue Saint Pierre
[Amelot](1867)(¹⁰)(arr.11),
Paris |
SEIFFERT A. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits ca. 1929 |
104, rue Saint-Maur
(*1929)(arr.11),
Paris |
SEILLÉ |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1906
'Piano- u. Orgel-Handlung' (x1906)
|
196, cours Victor Hugo (x1906), Bordeaux |
SEILLÉ |
|
'Facteur
de pianos'
ca. 1875-76
|
13, place des Blancs (*1875)(*1876), Toulouse |
SEILLE |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1884-88
|
23, rue Grenelle-St-Germain
(**1884)(**1885)(**1888)(arr.7),
Paris |
SEITZ Clodius |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1890-1921; (xx1890)
'Musikal.-, Piano u. Instr.-handlung' (xx1890) -------
'Piano-Handlung' (x1912) |
9, rue du Phénix (x1912)(*1913)(**1921), Roanne |
SELTER |
|
'Facteur ordinaire des maisons J. & R. des Filles de la
Légion d'honneur' ca. 1813 |
[rue Barbette (1821)], Paris |
SELMER Henri |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1913-21 [depuis 1885
(*1913)(**1921)]
Successeur de
SAX Adolphe
(°1843)
vers 1928 |
MAISON PRINCIPALE : 8, rue Lebouteux
(*1895)(*1896)(arr.17), 4, Place Dancourt
(*1893)(*1905)(*1906)(*1909)(*1913)(**1921)(arr.18),
Paris
USINE : à Gaillon (*1921)
SUCCURSALE : 48, St-Alban's avenue Bedford Park (*1913)(**1921),
Londres, U.K.
SUCCURSALE : 150, East 86th Street (*1913), 117-119, West 46th
Street (**1921), New York, U.S.
|
SELVANT
Barthélemy Alphonse |
|
'Facteur
d'orgues'
ca. 1866
1866 -
"SELVANT Barthélemy Alphonse, Facteur d'orgues, boulevard Mazas, n° 28 à Paris
12e, Veuf en premières noces de GAMBIN Henriette, puis époux de BELTZER
Claudine Marceline Françoise, revendeuse, rue Saint Bernard, n° 2 à Paris
11e (elle, veuve en premières noces de LEROY Pierre Philippe). Cité le
01/12/1866, lors du mariage dudit. Sont également cités : SELVANT
Barthélemy, ébéniste et GENET Henriette Marie, décédée à Paris 13e (les père
et mère de l'époux) ; BELTZER François Xavier, décédé à Gentilly, Seine, et
BRIDEL Françoise Euphrosine Elisabeth, 63 ans (les père et mère de
l'épouse). Témoins : BOYER Jean Baptiste, sculpteur ; CHANTEPRE Jean Louis
Nicolas, ébéniste ; PRIVE Jacques, ébéniste et LONGUET Aimé, ébéniste. R :
Le couple est âgé de : lui, 41 ans, né le 03/07/1824 à Paris ancien VIIIe ;
elle, 26 ans, née le 03/11/1839, à Fougerolles (du Plessis), Mayenne. Source
: Fichier JUHEL."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
|
28,
boulevard Mazas (1866)(¹⁰)(arr.4),
Paris |
SELZER Remhold
|
Rumbold |
Reinhold |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1852-73
Liste des sociétaires de l'Association des artistes
musiciens, vers 1848-53, 1856-57, 1859, 1861 (²⁵)
|
55, boulevard Chave
(xxx1852)(xxx1853)(xxx1854)(yy1856)(y1865)(x1873),
Marseille |
SENGER |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1906
'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906) |
10, rue du Moulin (x1906), Caen |
SEPTIER R. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1926
'Piano-, Musikinstr.- u. Saiten-Handlung' (x1926) |
19, place du Palais (x1926), Tours |
SERAN Edouard
(ca. 1821 - 1853)(¹⁰)
|
|
'Facteur
de pianos'
ca. 1853
|
168, rue de la Roquette (1853)(¹⁰)(arr.11),
Paris |
SERAPHIN |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1839 |
3, Petite rue Taranne (xx1839)(arr.6),
Paris |
SERGENT |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1888-1926 [ depuis
1838
(*1913)(**1921)(x1926)]
SERGENT
F.
(*1913)(**1921)(x1926)
'Musikal.-, Piano-
u. Musikinstrumenten-Handlung u. Repar.-Werkstatt' (x1906) ------- 'Musikal.-, Piano-,
Harmonium-, Musikinstr. u. Saiten-Handlung' (x1912)(x1926)
|
1, rue Colbert (*1898)(*1906)(x1906)(*1909)(x1912)(*1913)(**1921)(x1926),
Tours |
SERRÉ |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1921 |
50,
Grande-rue (**1921), Sens |
SERS Fils & FRESSE
| SORS |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1913-21 [depuis 1905 (*1913)(**1921)]
|
31, boulevard Marceau
(*1913)(**1921), Oran (Algérie) |
SERUZIER
|
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1880-81 |
36, rue de Penthièvre
(**1880)(**1881)(arr.8),
Paris |
SERVAIN H. & Cie |
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|
Facteur et/ou marchand de pianos
(°1911) |
Nantes |
SERVAIS Henri Félix
| SERVAS
|
"Servais (Félix), fab. pianos droits, pianos à bascule, pianos obliques
verticaux, pianos à queue, petit format, garantis deux ans, J.-J.- Rousseau,
15."
Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de
l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des
départements et des pays étrangers, 1846, p. 559 (gallica.bnf.fr)
"Servais, fab. spéciale de pianos droits, garantis, exportation, Montmartre,
121."
Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1850,
p. 612 (gallica.bnf.fr)
|
Facteur de pianos'
droits, carrés, pianos à queue et pianos basculants
ca. 1840-50
"SERVAIS, facteur de pianos et
marchand de dentelles, rue Jean-Jacques-Rousseau, 15."
Faillites en 02/02/1847.
(*1847)(¹⁰). |
15, rue J. J. Rousseau
(**1846)(*1847)(x1847)(arr.1),
121, rue Montmartre (x1849)(*1850)(arr.2),
Paris |
SERVAN J. |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1921-26 [depuis
1918
(x1926)]
'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926)
|
6, rue de la Croix Verte (**1921)(x1926),
Rouen |
SERVANT Jean Gustave |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1842 |
25, passage Tivoli
(1842)(¹⁰)(arr.9),
Paris |
SERVEL Louis |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1926 [depuis
1911 (x1926)]
'Editions Musicales' & 'Musikal.-, Piano- u.
Musikinstr.-Handlung' (x1926)
|
3, rue Saint Denis (x1926), Montpellier |
SERVEL M.
Pub de 1921,
Musique-Adresses de 1921, p. 403
|
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1921-29
'Pièces détachées et
répar. d'autopianistes' (*1929)
|
61, Avenue Anatole (*1929),
Colombes
9, Quai Saint-Michel (**1921)(arr.5),
Atelier : 16, cité Papillon (**1921)(arr.14),
Paris |
SERVET Jules Léon |
|
'Facteur de pianos' ca.
1878
1878 - "SERVET Jules
Léon, facteur de pianos, rue des Islettes, n° 11 avec ses parents. Cité
sur la liste des tirés de la classe 1878 à Paris 18e. Il est né le
16/05/1858 à Montmartre, Seine. Fils de François Constant et de THUMAS ?
Léontine Cécile. Frère de Charles Eugène Constant, appelé de la classe
1875. Source : Archives de Paris/Listes
électorales/D31u3/413/n°743/PINET Alain."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
|
11, rue des Islettes
(1878)(¹⁰)(arr.18),
Paris |
SERWY Ernest-Joseph
(1814 - ?)(¹²) |
|
'Facteur de
pianos' ca. 1848-49;
(**1849)
Né le 13 fevrier 1814 à
Hingen (Belgique). (¹²) et
Bulletin des lois de la Republique Francaise, 1849,
p. 178
1848 - "BB/11/546,
Dossier n°6322 X4 - SERWY, Ernest Joseph. Né(e) le 13 février 1814 à
Hingen (Belgique). Qualité : facteur de pianos. Objet : naturalisation.
Ouverture du dossier : 04 mai 1848."
siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)
Probablement un élève de ERARD :
1862 -
"Atelier de M. Erard. - MM. C. Heinbach, A. Heinbach, Aboud, A.
Chassac, Houpemaine, Ribinet, Régnier, Barois, Battis, Auguste Dufour,
Becker, Taillant, Vibert, Bader, Bara, Bailly, L'huillier, Dutrich,
Spranger, Doucet, Delecour, Thomas, Tapin, Àllinger, Serwy, Cordelier,
Dorne, Audibert. Bonnardel."
Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs
d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en
bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862,
p. 53 (gallica.bnf.fr)
|
La Chapelle près de Paris |
SÉRY Alphonse |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits ca. 1860-70 |
Paris |
SÉRY Charles |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1853-63
À Lyon se trouvait un
SERY Charles,
accordeur de pianos, rue de Cuire, 17. (*1853)
SERY
Ces. (**1862), 'Pianos de Paris,
vente, location et accords'
SERY
Alex. (x1863)
|
17,
rue de Cuire (*1853),
2, Place de la Préfecture
(xx1857)(**1860), 7, place Impératrice (**1862), 7, place Impériale (x1863),
Lyon |
SÉVÉNOT-DUMÉNIL |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1885 |
26, rue de Navarin (**1885)(arr.9),
Paris |
SEVRAY |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1906
'Musikal.--Handlung'
(x1906)
|
51, Grande rue (x1906),
Saint-Mandé |
SEYBOLD René |
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|
Facteur et/ou marchand de
pianos droits et accordéons
(°1911) |
Strasbourg |
SEYD Théodore Diederich Wilhelm
Christian
(1807 - ?)(¹²) |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1838
Né à Barop, Prusse, aujourd'hui Allemagne. Demandait son admission à
domicile en 1838. (¹²)
|
Moselle |
SEYRIG Jean Gotthelf
| SEYRICH | SAURICH
|
Johann Gottlob(ca. 1792 - 1867)
&
SEYRIG Jean Théophile
Nouveau piano droit ca. 1837,
Photo chez Gallica
|
Piano
piramidal ca. 1837, et
sa signature,
l'intérieur vu de dos, Cité de la Musique,
Paris, France
Piano
piramidal ca. 1837, Association Piano Story, Rouen, France
NOUVEAU PIANO DROIT
1837 - "NOUVEAU PIANO DROIT DU
FACTEUR SEYRIG, PASSAGE DES PETITS-PÈRES, 5. Nous avons donné dans notre
prospectus le dessin d'un meuble-instrument qui nous à paru fort ingénieux
et qui s'achève en ce moment dans les ateliers du facteur Seyrig. Comme on a
dû le voir au premier coup d'œil, ce piano a la forme d'une lyre et le
clavier en est surmonté par un sujet peint à l'huile, et qui peut varier au
gré de l'amateur depuis le portrait en pied, le tableau de famille ou même
le simple ornement, jusqu'au paysage ou au tableau historique le mieux conçu
et le plus habilement exécuté. Il est certain que la forme du piano droit se
prête à des modifications nombreuses qui, réglées par un goût judicieux,
pourraient lui donner un nouveau prix comme objet d'ameublement,
indépendamment de l'utilité qui lui est propre comme instrument. Personne
n'ignore que le piano droit, en ne le considérant que comme meuble, est
universellement préféré au piano carré dont la forme lourde et anguleuse
peut à peine racheter ce qu'elle a de disgracieux par l'avantage qu'on lui
attribue en général de communiquer à l'instrument plus de solidité et un
plus grand volume de son. Quoiqu'il en soit, le nouveau piano droit du
facteur Seyrig nous semble devoir, même comme instrument, se placer en tête
de ce que l'on a fait dé mieux en ce genre, jusqu'à ce jour. Nous nous
bornerons à signaler les trois qualités principales du système dans lequel
il est construit. D'abord les marteaux frappent en dessus, c'est-à-dire
contre le sommier, comme dans tout piano droit, et quiconque est un peu au
fait des derniers perfectionnemens apportés à la fabrication des pianos sait
que ce système appliqué au piano carré est un des plus importans. Il en
résulte, en effet, une intensité de son, une pureté que n'a jamais atteint
le système dans lequel le marteau frappe en dessous La physique explique fort bien:
les causes de cette différence, et ici la théorie et la pratique sont
d'accord. En second lieu, par suite du renversement dans le mécanisme, la
table d'harmonie qui, dans le piano droit ordinaire, se trouve placée par
derrière, est ici placée par devant; c'est cette même surface couverte de
peinture qui s'élève au-dessus du clavier et du même côté. Or, qui n'a
apprécié la différence de son qui résulte pour l'oreille, de cette
différence de disposition passez
derrière au piano droit ordinaire au moment où l'exécutant est assis au
clavier, et vous trouverez que pour vous le son a presque doublé de
puissance et de qualité. A ces deux avantages s'en joint un troisième encore
plus grand en ce qu'il procure au mécanisme tout entier Un perfectionnement
qu'il attendait depuis longtemps. Il paraîtrait qu'au moyen d'une
simplification qui renverse tout le système ordinaire, le marteau frappe et
se relève avec une telle vivacité que le clavier se prête avec une facilité
inconnue jusqu'à présent à toutes les exigences de l'exécution la plus
légère et la plus brillante. La cadence
surtout y gagne une netteté qu'aucun autre mécanisme n'avait sur lui donner.
Il est inutile de dire que, grâce à cette modification, le mécanisme entier
contracte une solidité deux fois plus grande. On sait que tel est en général
l'avantage: de toute simplification, et ici le résultat ne ment pas au
principe. Or, si l'on considère que le défaut de solidité dans le
mécanisme est le reproche le plus fondé que l'on ait adressé jusqu'à ce jour
au piano droit, il faut reconnaître qu'en y remédiant le facteur Seyrig a
rendu à son art un service essentiel dont la faveur publique ne peut manquer
de lui tenir compte."
Le Bazar Parisien, 1837, p. 3 (gallica.bnf.fr) |
'Facteurs de pianos'
carrés et des pianos droits
et harpes; ingénieurs et inventeurs
ca. 1828-67
Lettres, sciences, arts : Encyclopédie universelle du XXe
siècle, 1908, p. 194
SEYRIG
Théophile [ou Jean Théophile] (x1837)(1860),
'facteur de pianos,
mécanicien'
SEYRIG
Gotthelf
[ou Jean Gotthelf],
facteur de pianos (yy1845)(1860)
1866 - "Attendu qu'il est constant, en fait,
qu'un incendie a, le 28 septembre 1866, détruit l'établissement de tannerie
avec tout ce qu'il contenait sis a Laeken, occupé à cette époque et aussi
antérieurement, à litre de bail à loyer, par Auguste Vanderkindere,
corroyeur-tanneur, et appartenant à Théophile Seyrig père, décédé depuis
lors, représenté par l'appelant, son fils; [...]"
La Belgique judiciaire: gazette des tribunaux belges
et étrangers, 1873, p. 227
PARIS -
"1509 (1164). Rien n’a été
accordé au piano de M. Seyrig, à Paris, galerie Vivienne, n° 5."
Le musée artistique et industriel: exposition 1834, p. 200
28 ouvriers en 1839
(⁶)
"Expositions permanentes, rue de la chaussée d'Antin, n° 11 [...] Beaux et
bons pianos de différentes formes, par Seyrig."
Bulletin du Journal des garanties commerciales
pour servir de guide aux acheteurs, 15/11/1834, p. 6 (gallica.bnf.fr)
"Seyrig, [facteur de pianos] et harpes, envoie en province,
pass. des Petits-Pères, 5."
Almanach du commerce de Paris, 1838, p. 177
(gallica.bnf.fr)
"A vendre D'OCCASION : Un piano de SEYRIG, à 6 octaves, carré à coings ronds
et lyre (très-petit). Prix : 250 fr. [...] rue Vivienne, 2bis, au magasin de
musique." Le Ménestrel, 20/11/1842,
p. 3 (Gallica
"16th
Feb. 1838. 7567. A grant unto Johann Gottlob SEYRIG, late of Paris, in the
kingdom of France, mechanician, now of Old Compton Street, Soho, in the
county of Middlesex, for his invention of “Certain improvements in
expressing or extracting liquids or moisture from woollen, cotton, and other
stuffs and substances, either in a manufactured or unmanufactured state”; 6
months."
Titles of Patents of Invention: Chronologically ...,
1854, p. 1034
"301° Le sieur Seyrig (Gotthelf), facteur de
pianos, faisant élection de domicile à Paris, chez le sieur Fleulard, demeurant
rue Labruyère, n° 30, auquel a été délivré, le 29 octobre dernier, le certificat
de sa demande d'un brevet d'importation et de perfectionnement de dix ans, pour
une machine rotative propre à teindre, blanchir et laver les étoffes où autres
matières premières."
Bulletin des lois de la République Française, 1845,
p. 257
"Au sieur
Seyrig (J.-G.), domicilié à Bruxelles, petite rue des Bouchers, hôtel des
Chasseurs-Chasteleer, un brevet d'importation de dix années, pour des
perfectionnements dans la fabrication du sucre, brevetés en France pour quinze
ans, le 20 septembre 1850, en faveur du sieur Seyrig (Th.)."
Bulletin, 1851, p. 252
NÉCROLOGIE
1867 - "Familiennachrichten.
Todesanzeige. Verwandten und den zahlreichen Freunden und Bekannten hiermitt die
traurige Nachtricht, dass am 17. d. M. unser geliebter Gatte, Vater, Bruder und
Onkel, Johann Gottlob Seyrig, geboren zu Mettelwitz (Sachsen), in seinem 75.
Lebensjahre zu Brüssel in dem herrn entschlafen ist. Brüssel, Januar 1867. Die
trauernden Hinterbliebenen."
Leipziger Zeitung: Amtsblatt des Königlichen Landgerichts
und des ..., 1867, p. 572
Liste des exposants Paris, 1834
INFO EXTRA
Delphine Seyrig : Une vie, 2018, p. 12
|
55, rue de Grenelle Saint-Honoré (1827-33)(x1827)(*1829)(x1829)(*1833)(+
Salons)(arr.1),
24, rue du Bouloi (x1827)(1827-1831)(x1829)(arr.1),
5, Galerie Vivienne (**1834)(x1837)(arr.2),
5, Passage des Petits Pères, Galerie Vivienne (*1835)(z1835)(*1837)(**1837)(*1838)(x1839)(xx1839)(arr.2),
7, Passage des Petits Pères,
Galerie Vivienne
(**1836)(arr.2),
2, rue Vivienne (**1841)(xx1842)(arr.2),
6, rue des
Filles-du-Calvaire (1844)(¹³)(arr.3),
22, rue Notre-Dame-des-Victoires (1850)(**1851)(y1860)(arr.2),
51, rue faubourg Saint-Martin (1851)(*1852)(arr.10),
2, rue Barbette (y1863), Paris
Old Compton Street, Soho, in the county of
Middlesex (1838)
New-Lenton, Nottingham Angleterre
petite rue
des Bouchers, hôtel des Chasseurs-Chasteleer (**1851),
Bruxelles, Belgique (en 1867)
|
SEYS |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1875
|
20, rue d'Alger (*1875), Le Havre |
SEYTRE Claude-Félix |
'Autopanphones',
Nouveau
manuel complet du facteur d'orgues, ou, Traité théorique..., Volume 3,
1849, p. 484
Pour voir le brevet original voyez le site
INPI
(¹³)
|
'Facteur de pianofortes mécaniques' ca. 1841
INFO EXTRA
Voir l'article
"Piano
pneumatique." (de Seytre) dans Larousse mensuel illustré, 1929, p.
41-42 (gallica.bnf.fr)
|
3, place de la Préfecture (1841)(¹³),
Lyon |
SHALSK |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 18??
|
Paris |
SHARP |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1920
VOIR AUSSI ...
TRIPIER |
Paris - New York |
SIBILAT |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 18??
|
Paris |
SHOEHS
[?] |
Piano
carré ca. 1790, Eric Feller Early Keyboard Instruments
Collection, Germany
|
'Facteur de pianos' ca. 1790 |
rue Saint-Honoré (1790)(arr.1),
Paris |
SIABAS-MAQUAIRE |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1912
'Handlung mit Musikal., Pianos u. Musikinstr.' (x1912)
|
rue Carnot (x1912), Wimmereux |
SIBUET |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1875-76
|
58, quai de la Guillotière (*1875)(*1876), Lyon |
SIABAS |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1890-1926
Boulogne-sur-Mer
SIABAS
(xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)
'Pianohandlung' (xx1890)
SIABAS-MAQUAIRE
(*1903)(*1905)(*1909)
Wimereux
[depuis 1896 (**1921)(x1926)]
SIABAS
A.
(*1913)(**1921)
SIABAS-MAQUAIRE
A. (x1926),
'Handlung mit Musikal., Pianos u. Musikinstr.' (x1926) |
27, rue Monsigny (xx1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897), 51,
rue Faidherbe (*1903), Boulogne-sur-Mer
rue Carnot (*1905)(*1909)(*1913)(**1921)(x1926),
Wimereux
|
SIBAU
Charles François (1837 - ?) |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1857
1857 - "SIBAU Charles François,
Facteur de pianos, à Montrouge (près Paris, Seine). Cité sur la
liste des tirages au sort de la classe 1857. Autres : SIBAU Jean
François et VERON Louise François, dt adresse susdite (ses père et
mère). R : il est né à Montrouge le 25/12/1837 ; taille : 1,640 ;
libéré ; instruction : 1, 2."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
» |
Paris |
SICARD Jean-François
(1801 - 1849 ?) |
"Sicard, facteur de pianos, tient un grand assortiment de pianos de
Paris, musique nouvelle, lutherie, dépôt d'orgues et toutes espèces
d'instrumens de musique; fait la pacotille, r. de la Fosse, 15."
Almanach général des commerçans de Paris et des
départemens : contenant plus de 100,000 adresses vérifiées à domicile,
1840, p. 1103 (gallica.bnf.fr)
"Sicard entreprend la fabrication des pianos."
Histoire de Nantes sous le règne de
Louis-Philippe, 1830-1848, par Félix Libaudière, 1900, p. 27
(gallica.bnf.fr)1
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1827-51
'Facteur de pianos'
(*1837)(***1841)(**1842)
'Marchand de musique' (*1832)
'Marchand de
musique et facteur d'instrumens' (**1836), et probablement éditeur de
musique
SICARD
& Cie
(x1849)
SICARD
Francis dans la
Liste des sociétaires de l'Association des
artistes musiciens, vers 1853 (²⁵), comme professeur de piano.
"Jean François SICARD. Marchand papetier. Marchand
de Musique – Facteur de pianos. Parmi les plus anciens marchands de
musique et de pianos de Nantes, on note, entre 1820 et 1849, la présence
de Jean-François Sicard. En 1825, il est installé comme marchand
papetier à la rue de la Fosse. On apprend par Libaudière (1900), qu’il
s’établit comme fabricant et/ou marchand de pianos en 1837, mais en fait
dès 1831, au décès de sa fille Mélanie, il se dit déjà Marchand de
musique à cette adresse. Selon L. Verbeeck, il serait facteur de pianos
en 1842. Il aurait également été fabricant de pianos, sauf à considérer
que la qualité de « facteur de pianos » ne concerne que le travail
d’entretien et accords. On ne connaît pas de plaque d’adresse à son nom.
S’il a créé un atelier de fabrication, celui-ci précède de peu celui
créé en 1846 par
Dominique Joseph LÉTÉ
au 15, rue de Crébillon, jusque là luthier et marchand de musique. Jean
François SICARD est né le 5 avril 1801 à Nantes, fils de Jean Sicard,
libraire et de Jeanne Adelaïde Gallet (ou Gallé). Il est décédé le 27
juin 1849. Son affaire semble s’être arrêtée après son décès, car en
1851 il n’y a plus de Sicard au 12 rue du Commerce."
J.M. Stussi,
communication personnelle.
Il y a
ROBIN
à Nantes, 20, rue de la Fosse (1853-55) |
15, rue de la Fosse
(*1827)(*1828)(*1840)(*1841)(xx1841), rue de la Fosse (x1842)(x1843),
20, rue de la Fosse (xx1845)(*1848)(x1849)(*1850), 12, rue du Commerce
(avant 1849 ?), Passage Pommeraye (*1851), Nantes |
SICOT |
"Sicot, fact. et accord. de pianos, f. les réparat. au p. juste prix,
Cherche-Midi, 24."
Almanach-Bottin du commerce de Paris, des départemens de la France et des
principales villes du monde, 1854, p. 867-868 (gallica.bnf.fr)
|
'Facteur de pianos' ca. 1854 |
24, rue Cherche-Midi (**1854)(arr.6),
Paris |
SICURET Paul |
|
'Fabricant de pianos' ca.
1835 |
60, rue du faubourg Saint Denis (1835)(¹⁰)(arr.10),
Paris
|
SIGROS
L. |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1890
'Pianohandlung' (xx1890) |
21, rue Commines (xx1890)(arr.3),
Paris
|
SILBERMANN Godefroi
(1683 - 1753)
*
SILBERMANN
Jean-Daniel
(1717 - 1766)
*
SILBERMANN
Jean-Henri
(1727 - 1799)
|
Ce facteur a ouvert un atelier dont la
fondation est documentée.
Cliquez ici
pour avoir accès à la notice complète dans la rubrique appropriée.
|
'Facteur de clavecins'
(°1727) |
Paris |
SILVESTRE Hippolyte |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1868-90
Médaille d'or Paris, 1889
|
36, rue Grenette (*1868)(*1875)(*1876), Lyon
24, rue du faubourg Poissonnière (1889)(x1890), Paris
|
SILVY Antoine |
|
Facteur, accordeur et marchand de
pianos ca. 1861-79
|
13, rue Basse-Peirier
(yy1861)(yy1863)(yy1866)(yy1868), 43, rue Basse-Peirier (xxx1865), 13, rue de Village
(yy1869)(xxx1874)(*1875)(*1876)(yy1876)(yy1877)(yy1878), 84, vieux Chemin de Rome
(yy1879), Marseille
|
SIMIOT &
BROLET |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1860-75
|
3, place de l'Ancienne Douane (**1860),
5, place [Passage] de l'Ancienne Douane
(*1868)(*1875), Lyon
|
SIMOENS M. & LOREZ V. |
|
Facteurs et/ou marchands de pianos automatiques ca. 1921-26
'Fabrik von selbstspiel. Pianos' (x1926)
|
70, rue du Général Chanzy (**1921)(x1926),
Roubaix |
SIMON |
|
'Facteur de pianos' ca. 1820 |
19 & 25, rue du
Bouloi (arr.9),
Paris
|
SIMON |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1875 |
18, rue Saint-Martin (*1875), Cambrai
|
SIMON Eugène
(ca. 1824 - ?)(***1873) |
|
'Facteur de pianos' ca. 1850 |
Paris |
SIMON Fils |
|
'Facteur de pianos' ca. 1864 |
18, boulevard des Invalides
(**1864)(arr.7), Paris |
SIMON Louis |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1844
Époux de EMERY Adèle Léontine
Elisabeth. (1844)(¹⁰)
|
35, rue Neuve Saint Augustin
(1844)(¹⁰)(arr.2),
Paris |
SIMON Louis-Narcisse,
Fils |
Brevet de 1846 : "828° Le certificat l'addition dont la demande a été
déposée, le 9 octobre 1846, au secrétariat de la préfecture du département
de la Seine, par le sieur Simon (Louis-Narcisse) et se rattachant au brevet
d'invention de quinze ans qu'il a pris, le 27 février 1846, pour un genre
d'orgue expressif. Ladite addition consiste dans un mécanisme qui permet de
substituer les anches libres aux cordes de pianos."
Bulletin des lois de la République française, 01/1847,
p. 494 (gallica.bnf.fr)
|
'Fab. et accord. de pianos'
ca. 1859
Repris par
Alfred
GODARD
(dès ?) |
64, rue de Sèvres (*1859)(arr.6),
Paris |
SIMON René |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1906-12
'Musikinstr.- u. Piano-Händler u. Geigenbauer' (x1906)
'Geigenbauer, Händler mit Pianos, Musikinstr. u. Saiten'
(x1912)
|
rue de la Rampe
(x1906), 25, rue de Lorraine (x1912), Auch |
SIMOND |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1839
|
32, rue Neuve Saint Eustache
(xx1839)(arr.18),
Paris |
SIMOND |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1839
|
32, rue Neuve Saint Eustache
(xx1839)(arr.18),
Paris |
SIMONET-BEAUCOLIN |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1912-26
[depuis 1908
(x1926)]
'Musikal.-, Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung' (x1912)(x1926) |
61, rue Saint-Jean (x1926), Neufchâteau |
SIMONET
Louis Philibert |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1855 |
74, rue du Château d'Eau
(1855)(¹⁰)(arr.10),
Paris |
SIMONIN |
|
'Facteur de pianos et de
harpes'
ca. 1801-16 |
rue des Aveugles (*1801), 1149,
rue de Tournon (*1798-1799)(*1800-1801)(*1802)(**1802)(*1803-1804)(arr.6),
19,
rue de l'Odéon (*1809)(x1810)(*1811)(*1812)(*1813)(*1814)(*1816)(arr.6),
Paris
|
SIMONIN |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
droits et violons ca. 1875-76
'Fournisseur
du Conservatoire National de Toulouse'
ca. 1875-76 |
3, rue Romiguière
(*1875)(*1876), Toulouse |
SIMONNEAU P.
Ch. |
|
'Facteur de clavecins'
ca. 1777-89 |
rue Saint Landry
(*1777)(*1779)(xx1782)(*1783)(***1789)(arr.4),
Paris
|
SIMONNET E. |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1913-26
[depuis 1908 (*1913)(**1921)(x1926)]
'Piano-, Musikinstr.- u. Sprechm.-Handlung'
(x1926)
|
rue des Deux Anges (*1913), 68, boulevard de la
République (**1921), 34, rue de l'Étape (x1926), Reims
|
SIMONNET Fils & Cie |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1912
'Piano-Handlung' (x1912)
|
19, rue Vauquelin (x1912)(arr.5),
Paris
|
SIMONNET F. B. |
|
'Professeur et
facteur de pianos'
carrés (date ?)
(¹⁵)
|
Montauban |
SIMONNOT |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1909
SIMONNOT
Fils & Cie
(1909)
1909 - "Paris.— Formation. — Société
en nom collectif SIMONNOT fils et Cie, pianos, 19, av. Vauquelin — 5
ans — 8,000 fr. — 22 janv. 1909 — p. A."
Archives commerciales de la France, 27/01/1909,
p. 124 (gallica.bnf.fr) |
19, avenue Vauquelin (1909),
Montfermeil (?), près de
Paris |
SIMMONAC |
|
'Marchand de pianos'
ca. 1856
Époux de ODE, rentière (1856)(¹⁰)
|
25, avenue de Montaigu (1856)(¹⁰)(arr.??),
21, rue Saint-Georges (1856)(¹⁰)(arr.9),
Paris |
SIMOUTRE Nicolas Eugène |
METZ -
"1243. Allinger (Léonard),
Strasbourg (Bas-Rhin) et Simoutre (Eugène), Mulhouse (Haut-Rhin). Deux
pianos avec ressorts à traction. G. n. C. 1244."
Ville de Metz. Exposition universelle de 1861,
p. 156
METZ -
"Nous nous arrêtons toujours avec un vif intérêt devant la vitrine de M.
Simoutre, luthier, à Mulhouse. M. Simoutre est un artiste dans
toui»l’acception du mot, un homme amoureux de son art et qui lui consacre
toute son activité et toute son intelligence. Aussi ses efforts sont-ils
éclairés et a-t-il profondément étudié toutes les questions scientifiques
qui se rattachent à son industrie. Ses remarquables travaux sur l’acoustique
lui ont donné des indications pratiques excellentes ; aussi ses instruments
se distinguent-ils par une sonorité et une égalité hors ligne, par des
qualités moelleuses et caressantes qui les font rechercher de tous les
véritables mélomanes. Le bois employé par M. Simoutre n’est pas séché
artificiellement, grave défaut que les matières premières employées par la
lutherie moderne ne présentent que trop souvent. C’est uniquement l’âge et
l’action de l'air qui produisent la dessication naturelle des bois mis en
œuvre par M. Simoutre. Aussi ses produits ont-ils une valeur très-grande et
que nous nous plaisons à constater. C’est surtout dans l'œuvre de réparation
des vieux instruments qu’excelle l’exposant; ou plutôt, il n’a que bien peu
de temps à consacrer à la fabrication des instruments neufs, les commandes
de réparation lui arrivant très-nombreuses de l'Alsace, de l’Allemagne, pays
pour lesquels la musique est l’objet d’un véritable culte. Cependant M.
Simoutre expose un violon, un alto et un violoncelle neufs exécutés sur
différents patrons. Les sons ont une douceur et une vibration admirables.
Les prix des instruments neufs, traités dans les conditions supérieures,
sont de 200 francs pour les violons neufs et 300 francs pour les violons
imités des grands maîtres. 400 francs et 600 francs pour les violoncelles.
Nous par lons des instruments imitation, et c’est en ce point que
l’exhibition de M. Simoutre est particulièrement remarquable. Ainsi, sa
vitrine offre un alto admirable, d’après Amati, et qui ne le cède en rien à
son modèle ; un violon d’après Mazini qui fait la joie des connaisseurs. Ces
instruments ont le vernis authentique qui leur donne leur cachet
archéologique. Ce sont des pièces d’une haute valeur. Au reste, en tant
qu’industriel, M. Simoutre a toujours dans ses magasins des centaines
d'instruments de vente courante depuis 8 francs jusqu’à 2,000 francs pièce.
Les réparations de l’exposant sont toujours garanties, il ne les entreprend
que quand il est sûr de réussir. Il a aussi appliqué aux pianos un nouveau
système de table d’harmonie, mais le temps lui a manqué pour en exposer un
spécimen."
L'Exposition universelle de Metz, 15/09/1861, p. 2 (kiosque.limedia.fr)
"Fabrique de pianos - et abonnement pour les accorder. M. E.
Simoutre, élève de la maison Erard de Paris, associé représentant de la
maison Allinger de Strasbourg, a l’honneur d'informer les pianistes qu’il
vient d’arriver à Porrentruy. Ayant dû terminer les pianos du dernier
peifectionnement, destinés à MM Michel et Quinche, il n'a pu se trouver,
comme il l'avait annoncé, du 5 au 10 de ce mois. Il séjournera quelques
jours dans celte ville pour accorder et réparer les pianos des personnes qui
voudront bien l'honorer de leur confiance.
Les personnes qui ont des piànos de sa maison, ont tout intérêt de les
confier à M. Simonne, qui en connaît parfaitement bien la facture. Prix des
pianos avec garantie de 10 années contre tout défaut de facture, et retour
facultatif à leur maison pour tout instrument qui ne remplirait pas les
conditions voulues. Rendus franco de tous frais à Porrentruy :
- Pianos petit format, noyer, 7 octaves Fr. 660
- Pianos petit
format, acajou, id. » 700
- Pianos petit
format, palissandre id. » 730
- Pianos moyen
format, basse oblique double table d’harmonie phonique, acajou » 750
- Idem en
palissandre » 815
- Pianos nouveau
format, ancien système Allinger, palissandre » 860
- Pianos nouveau
format, nouveau système Simoutre, acajou » 900
- Idem en
palissandre « 1000
- Pianos grand
format, nouveau système Simoutre, palissandre » 1500
Lorsque les pianos sont vendus avec les frais à la charge de l’acheteur, il
y a une réduction de 50 fr. pour les petits formats, et de 80 fr. pour les
grands formats. Le prix de l’abonnement pour deux accords par an est de 8
francs."
Le Jura, 18/04/1861, p. 3
(e-newspaperarchives.ch)
"Manufacture d’instruments de musique. - M.
E. SIMOUTRE, FACTEUR & ACCORDEUR DE PIANOS, élève de la maison Erard de
Paris ; Associé représentant de la manufacture Allinger de Strasbourg, a
l'honneur d'informer les pianistes que, devant encore séjourner quelques
jours à Porrentruy, il continuera à accorder et à réparer les pianos que
l’on voudra lui confier; il rappelle en même temps que toutes les
personnes qui ont des pianos île la maison ont tout intérêt à les lui
faire visiter, pour qu'il puisse bien en constater leur entretien. Le
prix des abonnements pour les accords de pianos est de 5 fr.; pour les
personnes qui ont des pianos Allinger, 4 fr., ceux-ci vendus avec
garantie de 10 années contre défauts de facture, ou refus facultatif
pour tous les insti umentsqui ne rempliraient pas les conditions de
beaulédes sons, douceur du toucher, sonorité relative au format et
solidité de facture. PRIX DES PIANOS rendu, franco de tout frais, à
Porrentruy.
Pianos, petit format, noyer, 7 octaves » 660 fr. Ce piano, simple et
gracieux, se recommande moins par son extrême bon marché que par son
excellente construction, qui en fait un délicieux instrument d’étude.
(lire la suite
)
|
'Facteur de pianos' ca. 1860-64
ALLINGER
Léonard & SIMOUTRE Eugène
(*1861), voyez
ALLINGER
(°1830), à Strasbourg
SIMOUTRE
& HENRY
(**1862)
SIMOUTRE
(*1864)
(la suite)
Le même piano, en accajou, » 700 fr. id. id. en palissandre, 730 fr.
Pianos doubles, table phonique, construit d’après un système de barrage
spécial :
En accajou 750 fr. En palissandre » 8?5
Nouveau format Allinger » 880
Nouveau format Simoutre » 980
Piano gr. format artistique, pour concert 1500 f.
Ces pianos, déformé droite, a autant de sonorité qu’un piano à queue de
petit modèle.
MM. Allinger & Simoutre feront une réduction de 60 fr. pour les pianos
de petit format et de 80 francs pour les grands aux personnes qui
prendront les frais à leur charge.
Aux pianos de MM. Allinger & Simoutre MM. Simoutre, père & frères, y
joinent un magnifique assortiment d'instruments à cordes, tels que :
Violons, de 10 fr. à 2000 fr.
Altos, de 20 fr. à 800 fr.
Violoncelles, de 40 fr. à 1200 fr.
Contre-basses, bien faites, 100, 150, 200 & 600 f.
Archets en bois des îles, de 2 fr. à 160 fr.
Boîtes à violon, de 8 fr. b 15 fr. et au-dessus sur commande.
Cordes harmoniques de Naples et d’Allemagne, gros et détail.
Fabrique de pianos à Strasbourg, rue Neuve des Bateliers, n° 2, et quai
des Bateliers, n° 31.
Maison à Metz, rue Fournirue, 24.
Maison de Lutherie, pour réparation et fabrication, à Mulhouse, rue du
Bassin, n° 20, et rue du Temple, n° 1. Les réparations faites sur les
instruments à cordes sont garanties d’exécution pat faite et artistique.
Les personnes qui habitent an-dehors et qui voudraient m’honorer de leur
confiance, sont priées de s’adresser à l'hôtel de l'Ours, à Porrentruy.
P. S. - M. Simoutre se rendra dans les différentes localités du Jura
bernois, ainsi qu'à la Chaux-de-Fonds."
Le Jura 06/06/1861, p. 4
(e-newspaperarchives.ch)
"M. SIMOUTRE, facteur de pianos, annonce qu'il arrivera à Neuchâtel
lundi 12 septembre, pour l'entretien de ses pianos. Ayant réussi à
réaliser, dans la fabrication de mes instruments, un perfectionnement
important, je me propose d'amener avec moi un modèle-spécimen. Ce
perfectionnement, qui peut s'adapter à tous mes pianos, donne une
augmentation de son aux 4me, 5me, 6me et 7me octaves. Aujourd'hui ce 7me
octave est chanta ut et vibrant, avec des sons brillants et moelleux, et
sans augmentation de prix. Ma garantie esl de dix années contre tous
défauts de solidité dans la fabrication. J'expédie franco dans toute la
Suisse, aux prix indiqués dans mes prix-courants. En outre, pour les
pianos livrés sur commande, sans avoir été choisis au préalable,
l'acheteur reste complètement libre de retourner son instrument, dans
les 8 jours après la réception, sans autre contrôle que son bon vouloir.
Je prie les personnes qui veulent me charger de l'accordage de leur
piano, de me le faire savoir à l'hôtel du Faucon, à Neuchâtel, ou au
bureau de cette feuille."
Feuille d'Avis de Neuchâtel, 10/09/1864,
p. 3
Médaille deuxième classe, argent, petit module, Metz, 1861
VOIR AUSSI ...
SIMOUTRE à Bâle, Suisse
|
Fabrique de pianos : 2, ue Neuve des
Bateliers (**1861), 31, quai des Bateliers (**1861), Strasbourg
24, rue Fournirue (**1861), Metz
Maison de Lutherie, pour réparation et fabrication, : 20, rue du Bassin
(**1861), 1, rue du Temple (**1861), Mulhouse
Bâle, Suisse |
SINARD Ernest |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1912-26 [depuis
1902 (*1913)(**1921) ou depuis 1912
(x1926)]
'Musiklehrer, handelt auch mit Musikal., Pianos u.
Musikinstr.' (x1912) ------- 'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung'
(x1926)
|
23, rue Victor-Hugo (x1912)(*1913)(**1921)(x1926), Orange
|
SINGER Léopold |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1869 |
19, rue François Rude
(*1869), Dijon |
SINGIER |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1906-12
'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906) ------- 'Musikal.-, Piano-, Harmonium-, Musikinstr. u. Saiten-Handlung' (x1912)
|
[11], rue Vielez-Martin (x1906)(x1912), Saint-Nazaire |
SINGLARD |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1906
'Musikal.- u. Piano-Hdlg.' (x1906)
|
12, Grande rue (x1906), Cette (Hérault)
|
SINOU |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1906-26
SINOU
[Mlle] (x1906)(x1912)(*1913)(**1921)(x1926)
'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906)(x1912)(x1926)
|
28, rue St. Yves (x1906)(x1912), 32, rue Emile Zola
(*1913)(**1921)(x1926), Brest |
SIR |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos et luthier ca. 1893-29 [depuis 1893
(x1912)(*1913)(x1926)]
Léon SIR (1855 - 1927) et son fils Léo
SIR (1883 - 1915)
SIR
Léo (x1912), 'Streichinstr.-Macher u.
Händler mit Musikal.-, Pianos, Harmoniums, Musikinstr. u. Phonographen'
SIR
Léon
(*1913)(**1921)
SIR
Léo (x1926),
'Streichinstr.-Macher u. Händler mit Musikal.-, Pianos, Harmoniums,
Musikinstr. u. Sprechm.'
SIR
A. Mme. (19??) |
Place d'Armes (19??), 7, rue Puyguéraud
(x1912)(*1913)(**1921)(x1926)(*1929), Marmande |
SIRVENTON G.
| SIRVANTON |
|
'Facteur-accordeur de
pianos'
ca. 1890-1921-26 [ depuis
1878
(x1912)(*1913)(x1926)]
'Musikal.-, Piano-,
Harmonium- u. Instrumenten-Handlung' (xx1890) -------
Distributeur de E. DIENST, Leipzig, Allemagne (x1906) &
'Piano- u. Instrumenten-Handlung' (x1906) -------
'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.'
(x1912) (x1926) |
rue du Pont St. Jean (xx1890), 32, rue
Sainte-Catherine (x1906)(*1909)(x1912)(*1913)(**1921)(x1926),
2, rue St.-Louis
(x1912)(**1921)(x1926),
Bergerac |
SIRVENTON Jacques
|
SERVENTON |
Ce facteur a ouvert un atelier dont la
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|
Successeur de EXBEN
(°1845)
|
Bordeaux |
SKALDMIR H. |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1900 |
Paris |
SLECK Gervais |
|
'Facteur de pianos' ca. 1861
Liste des sociétaires de l'Association des artistes
musiciens, vers 1854,
1856-57, 1859, 1861 (²⁵)
|
94, rue du faubourg Saint-Antoine (1861)(²⁵)(arr.12),
Paris |
SMELIER
| SMELCER
| SCHEMELSER |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1871-93
|
5, rue Lavoisier
(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(arr.8),
216, rue du faubourg Saint-Honoré (**1885)(arr.8),
5, avenue Carnot (**1888)(*1893)(arr.17),
Paris
|
SMIT Eugène |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1926 [depuis
1922
(x1926)]
'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926)
|
26, rue Masson (x1926), Maisons-Lafitte |
SMITS Adrien Louis
(1811 - ?)(¹²) |
|
'Mécanicien en pianos'
ca. 1830
Né à Anvers (Belgique), en 1811.
(¹²)
|
Paris |
SOCHAY |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1868-75
|
15, rue du chemin Neuf (*1868)(*1875), Lyon |
SOCIÉTÉ ANONYME DES PIANOS PNEUMATIQUES FRANÇAIS
|
S. F. I. M. P. |
Pub de
1921,
Adresses-Musique de 1921,
p. 415
SOUS-MARQUE
MONOLA-PIANO
(**1914)(x1922), piano pneumatique
|
'Manufacture de pianos automatiques' ca. 1914-22
1914 -
"Paris, — Formation. — Soc. anon, dits Soc.
DES PIANOS PNEUMATIQUES FRANÇAIS, 47, Rome. - 30 ans. - 220.000 fr. — 1
oct. 1943."
Archives commerciales de la France. 25/02/1914, p. 258 (gallica.bnf.fr)
Successeur de
LIMONAIRE Frères
(°1840)
S.F.I.M.P.
ou SOCIÉTÉ POUR LA FABRICATION INSTRUMENTS DE LA
MUSIQUE PNEUMATIQUE,
successeur de la
SOCIÉTÉ DES PIANOS PNEUMATIQUES FRANÇAIS (°1914); (**1921)
"Société pour la Fabriction des Instruments de Musique
Pneumatiques. (S. A. au capital de 3 milions de francs.) - Anciens
Établissements Limonaire frères - Manufacture de Pianos automatiques. -
Orgues Abbey. - Harmoniums Bonnel. - Pianos pneumatiques Le Cantola, Le
Monola, Orphée Piano. - Siège social, 5 avenue de l'Opéra. - Tél. Cent.
77-80. Magasins de vente, 47, rue de Rome. - Tél. Wagram 13-39. - Usines,
79, rue Claude-Decaen (XIIe), et 166, avenue Daumesnil. - Tél. Roq. 04-08."
Musique-Adresses, 1921, p. 142
|
Siège social : 5, avenue de l'Opéra (**1921)(arr.1),
Magasins de vente : 47, rue de Rome
(1914)(**1921)(x1922)(arr.8),
Usines : 79, rue Claude-Decaen (**1921)(arr.12),
166, avenue Daumesnil (**1914)(**1921)(arr.12),
Paris |
SOCIÉTÉ ANONYME PNEUMA |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos mécaniques
ca. 1913
'Automatic-Piano '
(*1913)
Voir
PNEUMA |
33, rue des Archives (arr.4),
22-23, Passage des Panoramas (*1913)(arr.2),
Paris |
SOCIÉTÉ DE FACTEURS DE PIANOS DE PARIS |
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|
'Facteurs de pianos' (°1849)
Autres noms de cette
société sont :
ASSOCIATION
DES FACTEURS DE PIANOS DE PARIS
(*1856)
SOCIÉTÉ
DES PIANOS FRANÇAIS
(1899)
|
Paris |
SOCIÉTÉ
ANONYMES DU MONOLA-PIANO |
|
'Fabrikant des Klavier-Einbau-Kunstspiel-Apparates
«Monola»' ca. 1912-22
Voir
THOUVENOT
M. Paul
|
Neuilly-sur-Seine |
Paris | Pré-Saint-Gervais |
SOCIÉTÉ DES PIANOS FRANÇAIS |
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|
'Facteurs de pianos' (°1849)
Autres noms de cette
société sont :
SOCIÉTÉ
DE FACTEURS DE PIANOS DE PARIS
(*1849)
SOCIÉTÉ
DES PIANOS FRANÇAIS
(1899)
|
Paris |
SOCIÉTÉ GÉNÉRALE PIANOS-FORTE A MÉCANIQUE EN MÉTAL |
|
1885 -
"Sociétés anonymes
[...] 112. 14 sept. Cic générale des pianos-forte à mécanique en métal, système
Beunan, 3, rue Rondelet (D. 6 nov.)."
Journal des sociétés civiles et commerciales, 11/1885,
p. 155 (gallica.bnf.fr)
1886 -
"Paris. — Dissolution, à partir du 28 sept. 1886, de la Société GÉNÉRALE
PIANOS-FORTE A MÉCANIQUE EN MÉTAL, rue Rondelet, 3. — Liquid. : M. Courally, rue
Léon Cogniet, 11, auquel est adjoint M. David, directeur du service commercial
de la Société. Délib. du même jour. L."
Archives commerciales de la France, 30/10/1886,
p. 1363 (gallica.bnf.fr) |
3, rue Rondelet
(1885)(1886)(arr.12),
Paris |
SOCIÉTÉ A.R.L. COMPAGNIE NATIONALE DES PIANOS |
|
1931 - "PARIS. — Modification. — Société A.R.L. COMPAGNIE NATIONALE DES PIANOS,
instruments de musique et pianos. 89, boulevard Saint-Michel. — 30 ans. — 25.000
fr. — 13 août 1931. — A. P."
Archives commerciales de la France. 28/08/1931,
p. 4171 (gallica.bnf.fr)
|
89, boulevard Saint-Michel (1931)(arr.5),
Paris |
SOCIÉTÉ LE CLAVIER |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits ca. 1867
"Rampal, membre de la société le Clavier de
Marseille (Bouches-du-Rhône)." Annuaire de l'association pour..., Volumes
1-2, 1867 |
Marseille |
SOISSON |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1890-93
'Pianohandlung' (xx1890)
|
43, rue de la Chapelle
(xx1890)(*1893)(arr.18),
Paris |
SOMER Antoine Jean
| SOMMER
(ca. 1738 - ?)(¹⁰)
|
|
'Facteur d'orgues' ca.
1772-1783
Fils de
Nicolas SOMER,
ci-dessous.
|
rue du Marché Pallu,
vis-à-vis la Vierge de l'Hôtel Dieu, au 1er étage chez le sieur LEJEUNE
(1772)(¹⁰)(arr.9), rue du Marché Palu (*1777)(arr.4),
rue Neuve Saint Martin (1778)(¹⁰)(arr.4), rue du faubourg Saint-Denis (*1783)(arr.10),
Paris |
SOMER Etienne
| SOMMER |
|
'Facteur d'orgues' ca. 1779 |
rue de Bourbon Villeneuve
(*1779)(arr.2),
Paris |
SOMER Jean |
|
'Facteur d'orgues' ca. 1788-90 |
4, rue du faubourg Saint Martin (*1788)(x1789)(arr.10),
64, rue du faubourg Saint Martin (1790)(¹⁰)(arr.10),
Paris
|
SOMER Jean Baptiste
| SOMMER
(ca. 1741 - ?)(¹⁰) |
|
'Facteur d'orgues' ca. 1793
(¹⁰)
Natif de
Paris (¹⁰) |
rue du Marché Saint Jean,
venant de la rue Saint Laurent (1793)(¹⁰)(arr.4),
Paris
|
SOMER Jacques Joseph
| SOMMER(ca. 1725 - 1779)(¹⁰) |
|
'Facteur d'orgues'
et
'Facteur de clavecins' ca.
1777-79
1779 - "SOMER Jacques Joseph,
facteur d'orgues, à Paris (? sans précision, mais paroisse Saint Philippe du
Haut Pas). Cité le 02/11/1779, lors de l'inhumation dudit, âgé de 54 ans. Autres
: SOMER Louis Nicolas et SOMER Antoine Jean; tous deux facteurs d'orgues
(référencés) et tous deux témoins et frères. Source : AP/Etat civil
reconstitué/PINET Alain."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
|
Place Maubert (*1777)(*1779)(arr.5),
Paris |
SOMER
Louis
Nicolas
| SOMMER
| SOMMERE | SOMMER
(ca. 1731 - ?)(¹⁰)
|
"Nicolas Somer, facteur
d'orgues de Mgr le Dauphin, demeurant rue Saint-Jacques. C'est ainsi qu'il est
désigné dans l'acte de mariage de son fils Jacques-Joseph, également facteur
d'orgues. Nous n'avons trouvé aux actes de l'état civil rien de personnel à
Nicolas lui-même. Nicolas eut trois fils, Louis, Nicolas et Antoine-Jean, qui
furent également facteurs d'orgues. Ils vivaient encore le 1er novembre 1779,
lorsque leur frère aîné mourut.
Ils signèrent l'acte de décès (actes de l'état civil). Les comptes des
Menus-Plaisirs conservés aux Archives Nationales indiquent qu'un orgue fabriqué
pour la Dauphine, par Nicolas Somer, fut payé en 1749. L' Almanach-Dauphin pour
1769 nous apprend qu'il était syndic et juré de sa corporation."
Inventaire de Marie-Josèphe de Saxe, dauphine de France.
Portrait de La Cour. Cartel de Gravelot, 1883, p. 78-79 (gallica.bnf.fr)
|
'Facteur d'orgues' ca. 1777-93
Natif de
Paris (¹⁰)
|
rue
Contrescarpe-Sainte-Généviève (*1777)(*1783)(**1786)(*1788)(x1789)(arr.5), 12, rue de la Contrescarpe
venant de la rue Saint Jacques
(1793)(¹⁰)(arr.5),
Paris |
SOMERT
| SOMER |
"Á vendre Excellent PIANO de Johannes Zumpe Chez Somer, facteur d'orgues,
faub. St. Martin, n° 89."
Affiches, annonces et avis divers, ou Journal général
de France, 21/03/1807, p. 1254 (gallica.bnf.fr)
|
'Facteur d'orgues' ca. 1807,
'Facteur de pianos', 'Accordeur de pianos' ca. 1807-20 |
89, rue du faubourg
Saint-Martin (**1807)(**1818)(*1819)(**1820)(x1820)(arr.10),
Paris |
SONDEREGGER |
|
Facteurs et/ou marchands de
pianos
ca. 1858-63
PELOUTIER
& SONDEREGGER (yy1858) -
Voir
PELOUTIER
à Marseille.
SONDEREGGER
& COUVERTIER
(xxx1860)
SONDEREGGER
(yy1861)(yy1863)
|
4, rue de l'Union (yy1858), 84, boulevard de
la Magdelein (yy1861), 84, Chemin Neuf de Magdeleine (xxx1860)(yy1863),
Marseille |
SONDINGER Charles
| SOUDINGER |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
automatiques et phonographes
ca. 1900-14
CHAUVET
succr. (x1912),
'Piano-Handlung' - 'Mechan. u. elektr. Pianos, Pianophone etc.'
Mention honorable Paris, 1900 |
25-35, rue d'Hauteville
(1900)(arr.10), 25, rue d'Hauteville
(x1912)(**1914)(arr.10),
32, avenue de la Republique
(**1911)(**1912)(**1913)(**1914)(arr.11), Paris |
« SONORITÉ
»
|
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926
'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926)
|
93, rue de Dunkerque (x1926)(arr.9),
Paris |
SOPER |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1913-21 [depuis
1910 (*1913)(**1921)]
SOPER
A. (*1913)(**1921) |
11, quai
du Parc (*1913)(**1921), Saint-Dié |
SORILLET Raoul
|
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1892
|
34, rue du Petit Saint-Jean (xxx1892), Marseille |
SORIA Anne Vernier |
Brevet de 1835 : petit clavier pour enfants
Brevet de 1840 : "Rapport fait par M. Francœur, au nom du comité des arts
mécaniques, sur un nouveau clavier de piano inventé par madame Soria, rue
Férou, 24 - Les difficultés d'exécution musicale dont on réussit à triompher
sur le piano, et l'excessive complication des compositions, forcent les
personnes qui veulent s'adonner à l'art de jouer cet instrument à se livrer
à cette étude dés l'âge le plus tendre; à cet âge, les organes n'étant pas
encore formés, on peut, par un exercice long et soutenu, vaincre les
dispositions naturelles vicieuses des muscles, et obtenir dans les doigts
une grande mobilité, en même temps que l'esprit se meuble et se nourrit
d'idées musicales, et contracte l'habitude de la lecture. Mais, dans une
très-grande jeunesse, on rencontre un obstacle qu'on avait regardé jusqu'ici
comme insurmontable. Les petits doigts des enfants ne peuvent s'étendre sur
le clavier de nos grands pianos, et rendre les effets que le compositeur a
voulu obtenir; l'écartement et la largeur des touches ne permettent pas à
ces petites mains de faire résonner les octaves, encore moins les dixièmes;
et on se voit forcé, pour y suppléer, ou de ne leur faire jouer que des
pièces composées exprès pour le jeune âge, ou d'arriver aux effets en
faisant sautiller les mains, et par conséquent en donnant à l'enfant de
mauvaises habitudes. Madame Soria a voulu éviter cet inconvénient, en armant
le piano d'un clavier à touches plus étroites et plus courtes, et comme il
ne fallait pas faire construire, pour le jeune âge, des pianos qu'on aurait
été obligé de rebuter plus tard, ce qui eût entraîné des frais inutiles,
madame Soria a imaginé de se servir du piano à clavier ordinaire, sur lequel
on adapte son clavier réduit et portatif. Il en résulte qu'on peut enlever
cet appareil lorsqu'une grande personne veut jouer l'instrument, ou
substituer on autre clavier portatif à plus larges touches, quand la
croissance de l'enfant le permet, faisant ainsi grandir le clavier avec lui.
Au reste, le mécanisme employé est fort simple. Chaque touche de l'appareil
attaque, lorsqu'on l'abaisse, un petit levier coudé qui transmet l'action à
la touche de même rang dans le grand clavier, en sorte que c'est comme si le
doigt avait été posé sur celle-ci, ce que met en jeu l'échappement et fait
résonner la corde. Ainsi l'enfant en jouant sur le clavier réduit, dont
l'étendue est proportionnée à celle de ses doigts, se trouve dans le même
état que s'il eût joué sur le grand clavier: il peut jouer toute espèce de
musique des pianos ordinaires, du moins s'il a acquis l'instruction
suffisante pour ce genre d'exécution. Ici, il se présente une objection à
laquelle il faut avoir égard : ->
|
Inventrice ca. 1835-40
(la suite)
(la suite) ces
leviers, qui se trouvent ajoutés au mécanisme général des pianos, exigent
dans les doigts le développement d'une force plus grande, et on peut
craindre que les mains ne contractent une pesanteur qu'il serait, par suite,
difficile de perdre; bien que nous ayons reçu à cet égard des témoignages
propres à nous rassurer, nous ne voudrions pas garantir que cet objection
soit sans valeur. C'est à l'expérience, c'est aux gens de l'art à prononcer;
quant à nous, qui ne prétendons pas donner des leçons aux artistes, ni
présenter nos opinions comme des régies auxquelles ils doivent se soumettre,
nous nous sommes bornés à examiner la partie mécanique de l'appareil de
madame Soria. Nous avons trouvé qu'elle fonctionnait bien et sans dureté,
que le mérite de l'exécution des leviers doit sans doute entrer pour
beaucoup dans cet effet, et que, lorsqu'ils seront bien ajustés, on n'aura
que peu de reproches à faire à cet appareil. Le comité des arts mécaniques
pense, messieurs, que le clavier réduit de madame Soria peut rendre des
services pour enseigner le piano aux enfants dés l'âge de quatre à cinq ans,
et qu'il sera employé avec utilité dans les pensionnats. Nous vous proposons
donc de remercier madame Soria de sa communication, et d'insérer le présent
rapport au Bulletin."
Bulletin de la Société d'Encouragement pour
l'Industrie Nationale, 1840. 39e année. N° 427-438,
p. 41 - 42
"INVENTION MUSICALE. Les deux Claviers réduits, de Mme SORIA., exposés a
l'industrie de 1809, sont de deux grandeurs ; l'un destiné aux enfans de
5 a 10 ans, l'autre à ceux de 10 à 13. D'après son expérience, Mme Soria
assure qu'ils sont indispensable à l'éducation musicale parce qu'ils
abrègent la longueur des études et font jouir d'avance de progrès qu'il
est impossible a l'enfance de retirer avec les pianos ordinaires, ce qui
n'est pas heureux dans un temps où les sciences sont si cultivées, et où
cet instrument est si a la mode. Mme Soria offre à MM. les amateurs de
lui faire l'honneur devenir visiter chez elle son invention ; elle met
beaucoup de prix à cette aimable démarche de la part du public. Mme
Soria, rue Férou, 24, près St-Sulpice, les lundis, mercredis et
vendredis, depuis midi jusqu'à cinq-heures."
L'Indépendant, 24/02/1841, p. NP
(gallica.bnf.fr)
Liste des exposants Paris, 1839
|
24, rue Férou (1839)(1841)(arr.6),
Paris |
SORMANI Paul-Joseph |
|
'Ingenieur civile' ca. 1840-45
Brevet de 1841 :
Piano basque - ''83° M. Sormani
(Paul-Joseph), ingénieur civil, demeurant Paris, rue
Croix-des-Petits-Champs, n° 46 auquel a été délivré, le 6 février,
dernier le certificat de sa demande d'un brevet d'invention de cinq ans,
pour un piano basque ou timbale chromatique."
Bulletin des lois de la République française,
01/1841, p. 859 (gallica.bnf.fr)
Pour voir le brevet original voyez le site
INPI
(¹³)
|
46, rue Croix-des-Petits-Champs
(1841)(***1844)(arr.1),
Paris |
SOSTÈNE Hippolyte |
"MUSIQUE & INSTRUMENTS - Vve H. SOSTENE - 62, rue des Carmes et 46, rue des
Carmes - Rouen - PIANOS & ORGUES - NEUFS & D'OCCASION des meilleurs Facteurs
- à des Prix Modérés - Achat de violons et Violoncelles anciens - Accords,
réparations, échanges - Abonnement à la Lecture Musicale."
Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical,
1907 (gallica.bnf.fr)
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1897-1913 [depuis 1895 (*1913)]
SOSTÈNE
H. (*1898)
SOSTÈNE
Vve. [H.] (x1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913)
'Piano-, Harmonium-, Musikinstr. u. Saiten-Handlung'
(x1912)
Repris par
DAMAMME (**1921)
|
62, rue des Carmes
(*1897)(*1898)(*1902)(*1903)(x1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913), 46, rue des Carmes
(*1907)(*1909)(*1913),
Rouen |
SOU Alphonse
| SON |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1855-1902
Époux de
DAUVE, la future demeure à Melun, Seine et Marne
(1858)(¹⁰)
Liste des exposants Paris, 1878 |
14, rue de Paradis Poissonnière
(1858)(¹⁰)(arr.10),
28, rue Joubert (*1859)(arr.9),
23, rue Joubert
(xx1860)(xx1861)(x1863)(**1864)(yy1864)(**1870)(**1871)(**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(arr.9),
63, rue Dulong (**1873)(arr.17), 33 [?], rue Joubert (y1877)(arr.9),
1, rue Lafayette (**1885)(**1888)(arr.10),
30, avenue de Clichy (**1898)(z1900)(z1902)(arr.17),
14, Impasse des Deux-Nèthes
(z1900)(z1902)(arr.18),
Paris
|
SOU Mlle.
|
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890; (xx1890)
'Musikal.- u. Pianohandlung' (xx1890)
|
Saint-Germain-en-Laye |
SOUBEIRAN Joseph |
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|
Facteur et/ou marchand de
pianos
(°1881) |
Marseille |
SOUCHÈRE |
|
'Facteur de pianos' ca.
1855 |
23, rue de Rocroy (xx1856)(arr.10),
Paris |
SOUCHET
A. |
|
Facteur et/ou
marchand de pianos ca. 1912
'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u.
Musikinstr.' (x1912) |
6, rue Barente
(x1912),
Thiers |
SOUCHET
Louis |
|
Facteur et/ou
marchand de pianos ca. 1906-21 [depuis
1900 (**1921)(x1926)]; (x1906)
'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u.
Musikinstr.' (x1912) ------- 'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums,
Musikinstr. u. Sprechmaschinen' (x1926) |
28, rue Saint-Malo
(x1912)(**1921)(x1926),
Bayeux |
SOUCHETTE |
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|
Facteur et/ou marchand de
pianos
(°1811) |
Angers |
SOUDET Narcisse-Pierre
| SOUDEL | SOUDEY |
Brevet de 1846 : "269° Le brevet d'invention de quinze ans, dont
la demande a été déposée, le 23 septembre 1846, an secrétariat de la
préfecture du département de la Seine-Inférieure, par le sieur Soudet
(Narcisse-Pierre), pour un piano droit à double octave, dont le son se
trouve doublé volonté."
Bulletin des lois de la République française, 01/1847,
p. 440 (gallica.bnf.fr)
|
'Facteur de pianos' ca. 1847-76
Liste des sociétaires de l'Association des artistes
musiciens, vers 1859, 1861, 1864 (²⁵)
|
1, boulevard d'Ingouville
(**1847), 27,
place Napoléon III (*1875)(*1876),
Le Havre (Seine Inférieure) |
SOUFLÉTO
|
|
'Facteur de pianos' ca. 1839
|
1, rue Neuve Mont-Morency (xx1839)(arr.3),
Paris |
SOUFLÉTO François
| SOUFFLETO
(1794 - 1872) |
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'Facteur de pianos'
(°1827) |
Paris |
SOUFFRANT |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos
ca. 1875-76 |
2, quai Penthièvre (*1875)(*1876), Nantes |
SOULACROUP Jean
(1845 - 1919)
Facture de 1897
|
Facture de 1900 |
'Facteurs de pianos'
ca. 1890-1913; (xx1890)
Successeur de
LIGIER
(°1845)
SOULACROUP
(xx1890)(*1893)(*1895)
'Musikal.- u. Pianohandlung' (xx1890)
SOULACROUP-LIGIER
(*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(x1906)(*1907)(*1909)(*1913)
'Musikal.-Verlag, Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Hdlg.' (x1906)
Succ. par ARMEY & LAPUT (x1912), 'Händler mit Musikal, Pianos, Harmoniums u.
Saiten' Puis repris par
LAPUE Mlle. Marie.
(*1922)
Repris par
CONNEN André
(*1934) |
11 bis, rue
Pascal (*1893)(*1895)(*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(*1906)(*1907)(*1909),
11bis-14, rue Pascal (x1906), 11bis, rue Pascal (x1912), 8,
rue Saint-Genès (*1913),
Clermont-Ferrand
Usines à Mirecourt (Vosges) vers 1900 |
SOULODRE F. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1913-26 [depuis
1887
(*1913)(x1926)]
'Piano-Handlung'
(x1926) |
143, rue Sainte-Catherine
(*1913)(**1921)(x1926),
Bordeaux |
SOUMILLON G. |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1921-29
[depuis 1919 (x1926)];
(*1929) 'Piano- und
Musikinstrument-Handlung' (x1926) |
4, rue de Mons (**1921)(x1926),
Maubeuge |
SOUPLET |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1929
SOUPLET
Vve.
(*1929) |
46, Avenue Bosquet (*1929)(arr.7),
Paris |
SOUPLET Fils |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1906-26
SOUPLET
Fils
(x1906)
'Musikal.-, Piano- u.
Musikinstr.-Handlung' (x1906)(x1926)
SOUPLET
G.
(**1921)(x1926)
|
31, rue de Paris (x1906), 18, rue de la République (**1921)(x1926), Saint-Germain-en-Laye |
SOUPLET L. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits
ca. 1913 [ depuis
1883
(*1913)]
SOUPLET Vve. L.
(*1913) |
14, rue Charles Brunette
(*1913),
Chauny |
«
SOURDINE FANNY » |
1869 -
"PIANOS -PERFECTIONNES AVEC SOURDINE FANNY -
Tous les facteurs de pianos s'appliquent aujourd'hui à fournir de
bons instruments; dans le nombre il eu est dont la réputation méritée les a
placer au premier rang; nuis ils font payer cette préférence par des prix
souvent fort élevés. Parmi la manufactures qui depuis dix ans se sont
montées, il en est qui peuvent rivaliser, comme perfectionnements, avec les
maisons de premier ordre, et cependant leurs pria tout testés rationnels.
Ces pianos sont bien construits sous tous les rapports bonne qualité de son,
solidité, claviers faciles, etc. Nous avons aussi obtenu le droit
d'appliquer la SOURDINE-FANNY brevetée, qui permet l'accompagnement
sourdine, et avec laquelle on peut ne couvrir que la basse en laissant le
chant découvert. Ces divers effets indépendant des deux pédales, tout
facultatifs; il suffit de tirer un bouton au registre pour avoir l'effet de
sourdine, ou de le pommer pour rendre immédiatement au piano plus grande
sonorité. Le piano aura donc comme le violon, l'orgue et d'autres
Instruments, une sourdine.
Outre ces avantages de pouvoir accompagner en sourdine, soit un chaut, soit
un solo de violon, on pourra tout en garantissant la marteaux du piano sur
lesquelles cette sourdine se trouve placée, étudier à demi-voix, sans
crainte d'importuner, par des études consciencieux, sa famille ou ses
voisins. Cette sourdine, qui peut s'appliquer par ses mécanisme simple
a tous systèmes de piano, tris que ceux de Pleyel, d'Erard et autres fait
partie des avantages de ceux que vous offrons, et sur lesquels ou peut
apprécier la derniers perfectionnements auxquels on est parvenu. - Agence
centrale: Aux Inventions modernes, 45, rue Richelieu, à Paris."
La France musicale, 03/01/1869, p. 296
(gallica.bnf.fr)
|
'Aux
Inventions Modernes'
1868 -
"Nous
sommes heureux de signaler une invention qui intéresse tous les artistes et
les gens du monde amis du progrès, a enfin trouvé le moyen de permettre à
chacun d'étudier le piano sans importuner sa famille ou ses voisins. Il
s'agit de la Sourdine-Fanny, qui assourdit les sons du piano et les rend
comme voilés pour l'exécutant lui-même, tout en conservant les effets de
nuances. Au point de vue artistique, la Sourdine-Fanny permet d'atténuer la
basse en laissant le chant découvert. On peut se rendre compte de
l'application de la Sourdine-Fanny à son dépôt exclusif, rue de Richelieu,
45. Nota. — La Sourdine-Fanny peut s'adapter à tous les systèmes de pianos."
La Vie Parissienne, 1868, p. 948 |
45, rue de Richelieu (1868)(arr.1),
Paris |
SOURNIN |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1907 |
28, avenue de Tourville (**1907)(arr.7),
Paris
|
SOURY |
1881 - "Un incendie
considérable s' est déclaré la nuit dernière, vers trois heures du matin,
dans un magasin situé n° 100, rue de Cléry, appartenant à M. Soutoul,
marchand tailleur d'habillements civils et militaires. Le feu a pris au
premier étage, dans un dépôt de tissus; les pièces d'étoffe en grand nombre
alimentaient les flammes, à la chaleur desquelles les vitres volaient en
éclat. Un courant d'air s'étant établi vers une cour très-étroite sur
laquelle donnent les magasins, le feu a pris une intensité extraordinaire et
en quelques instants a gagné les étages supérieurs habités par M. Soury,
facteur de pianos ; [...]"
Journal du Loiret, 30/03/1881, p. 3
(Aurelia.Orléans.fr)
|
'Facteur de pianos' ca. 1880 |
rue de Cléry (**1881), Orléans |
SOURZAC
Jean-Baptiste |
|
'Facteur de pîanos' ca.
1848-50,
'Facteur de meubles et de pianos' 1851-54 |
83, rue d'Aubagne (z1848)(z1849), 6, rue
Perrin-Solliers (z1850), 18, rue Perrin-Solliers (xx1851), 4, rue des Beaux Arts
(xxx1852)(xxx1853)(xxx1854), Marseille
|
SOUTY |
|
'Facteur de Pianos et Harmoniums' ca. 1897-1913 [depuis
1835 (*1913)]
P,robablement successeur de
LECUYER
dès (*1897)
'Facteur de pianos' (*1897)(*1907)
'Pianobauer- u. -Händler' (x1906)
'Pianobauer u. Händler mit
Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.'
(x1912)
SOUTY
G[eorges]
(x1912)(*1913)
|
6, Place Robillard
(*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913),
Auxerre |
SOUVRAY L. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1926-29 [depuis
1920 (x1926)]
'Piano- u. Musikinstr.-Händler' (x1926) ------- 'Facteur de Pianos et
Harmoniums' (*1929) |
7, rue du Stade (*1929), Caen |
SOYE D. |
Ce facteur a ouvert un atelier dont la
fondation est documentée.
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|
'Facteur de pianos'
(°1834) |
Bordeaux |
SOYER E. |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1906-12
'Piano-Handlung' (x1912)
Probablement succ. par
BELLANGER (x1912)
|
2, rue Beccaria (x1906)(x1912)(arr.12), Paris |
SPARINBURG A.
| SPARENBURG |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1922-26
'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926)
|
3, rue Franklin (x1922)(x1926)(arr.16), Paris |
SPECHT |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1890-1900
|
18, rue Mollet (*1897),
Bois-Colombes, Paris |
SPECHT |
|
Facteur et/ou marchand de
pianos ca. 1878
|
3, rue
Blaise (**1878)(arr.6), Paris |
SPECHT |
|
'Facteur de pianos' ca. 1807
En Belgique il y avait un
SPECHT
vers 1844. |
179, rue Saint-Martin
(*1807)(arr.3), Paris |
SPECHT E. |
" SPECHT
(F.), manufacture de pianos et Orgues, Fabrication de 1er Ordre,
location, réparation, tabourets de pianos, chaises hautes pour Orgues. —
Casiers à musique métronome, etc., Commission, Exportation, Chemin-Vert,
85."
Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de
la magistrature et de l'administration, 1878, p. 1350
(gallica.bnf.fr) |
'Facteur de pianos' ca. 1876-88
WILSON
& SPECHT en 1876
1876 -
"Paris- — Formation de la Société en nom
collectif WILSON et SPECHT, fab. de pianos et orgues, rue du Chemin-Vert,
85. — Durée : 5 ans. — Cap. 6,000 fr. — Acte du 5 juillet 1876. — Joum. gén.
d'aff."
Archives commerciales de la France, 27/07/1876,
p. 934 (gallica.bnf.fr)
1877 -
"Paris. — Dissolution, à partir du 7
mars 1877, de la Société WILSON et SPECHT b.de pianos et orgues, rue du
Chemin art, 85. — Liquid. : M. -WILSON. — Acte 7 mars 1877. — J.g.d.A."
Archives commerciales de la France. 22/03/1877,
p. 363 (gallica.bnf.fr)
SPECHT
F.
(**1878)
SPECHT
E.
(**1879)(**1880)(**1881)(**1888)
|
85, rue du chemin Vert (1876)(1877)(**1878)(**1879)(arr.11),
168,
boulevard Voltaire (**1880)(**1881)(arr.11),
229, boulevard Voltaire
(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(arr.11),
Paris |
SPECHT F. |
|
'Réparateur de pianos' ca. 1921-22 |
58, boulevard de Reuilly
(**1921)(*1922)(x1922)(arr.12)
Paris |
SPINA Frères |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1900
|
rue Caraman (?),
Philippeville |
SPIEGELHALTER W.
|
|
'Facteur de pianos' ca. 1835-50 'Facteur
du Roi' (voir barre d'adresse) |
Paris |
SPOHN
| SPON |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1876-1906
[depuis 1820
(x1912)]
'Musikal.-, Piano- u. Instr.-Handlung' (xx1890)
BRÉS C. J. & SPOHN
(x1906), 'Musikal.-, Piano- u.
Musikinstr.-Handlung'
Succ. par
BRÈS (x1912)
|
[19], Boulevard de l'Esplanade (*1876)(xx1885), 190,
Boulevard de l'Esplanade (xx1890),
3, place de la Comédie (x1906),
Montpellier |
SPHOR |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits
ca. 1900
|
Paris |
SPHORR W. & Cie |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits
ca. 1860-70 |
Paris |
SREMER |
|
'Marchand de pianos'
ca. ?
Elle faisait la commerce des forté-pianos
et pratiquait la location de ces instruments.
|
130, rue de la Haye (?), Metz |
STAEGLIN Martin |
|
'Facteur de pianos' avant 1844
Faillite 02/07/1844
|
17, rue Moreau (1844)(¹⁰)(arr.12),
Paris |
STANLEY |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1870-80
|
74, rue Jean-Jacques Rousseau (**1914)(arr.1),
Paris |
STANDARD MELODY (The) |
|
'Manufacture de pianos'
ca. 1920-30
|
8, rue Parmentier (*1929),
près de Paris |
STARCK August
|
|
'Facteur de pianos'
droits
ca. 1878-1906
[Fondation en 1899
(x1906)]
Il y avait un STARCK qui était 'finisseur' chez PLEYEL vers 1840-52 (²⁰) |
12, Grosse Spitzengasse
(y1878), 36, Spiessgasse (x1906), Strasbourg |
STAUB Jacques |
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|
Facteur et/ou marchand de pianos
(°1870) |
Paris - Nantes - Le Mans |
STAUB Jean Joseph |
Ce facteur a ouvert un atelier dont la
fondation est documentée.
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|
'Facteurs de pianos' (°1848) |
Nancy |
STAUDT Franz |
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926
'Orgelbauer u. Händler mit Pianos u. Harmoniums' (x1926) |
14, rue du Château (x1926),
Puttelange |
STECKLER Christian
(1746 - 1838)(¹⁰) |
"Deux Forté-piano neufs & supérieurement finis.
S'adresser au nommé Christian Steckler, Facteur d'instrumens, rue Pierre
Hardie, n° 3216, à Metz."
Affiches des évêchés et Lorraine, 07/10/1779, p. 313
"Deux Fortépianos
faits dans le dernier goût, chez le Sr. Steckler, Lutier [sic], rue
Fournirue, à Metz."
Affiches des Evêchés et Lorraine, 18/09/1788, p. 1
(kiosque.limedia.fr)
|
'Facteur
de pianos et harpes' et
'Facteur d'instruments' ca.
1779-1813; (1779)
Veuf de BAILLON. (¹⁰)
Un facteur d'instruments
KRUMPHOLTZ
a marié sa fille, Anne Marguerite, avant d'établir à Paris. (⁷)(²³)
'Luthier' (y1808) |
3216, rue Pierre Hardie
(1779), rue Fournirue (y1788)(y1790)(y1808), 419, Fournirue (1799-1813)(²),
Metz
43, rue de Lille (1838)(¹⁰)(arr.7),
Paris |
STEEGMÜLLER Frédéric |
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|
'Facteur de pianos'
(°1839) |
Strasbourg |
STEENBAKKERS Félix |
|
Facteur et/ou marchand de pianos automatiques
ca. 1926
Tribunal civil :
Steenbakkers contre
Damelincourt en 1925, dans
Recueil périodique des
assurances : revue mensuelle : doctrine, jurisprudence, législation des
assurances terrestres et maritimes, 1926, p. 133-135
(gallica.bnf.fr) |
10, rue Franklin (19??), La Madeleine (Nord) |
STEENS J.
|
|
Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1926
'Piano-Handlung'
(x1926) |
15, boulevard Eurvin
(x1926), Boulogne-sur-Mer |
STEGER
Joseph
| STEGHER
(ca. 1801 - 1840)
|
"PIANOS DROITS - DE ROLLER ET BLANCHET, DE PARIS - Facteurs de la Pleine
(médaillé d’or de 1834). M. Blanchet a l’honneur d’informer MM. les amateurs
et artistes de cette ville qu’ils peuvent accorder une entière confiance,
pour l’entretien de Ces nouveaux instrumens à M. Joseph Stegher, facteur à
Nancy, rue des Champs, n.° 17. Le rapport de l'institut de France sur
l’invention de ce genre de piano, copié partout présentement, se trouve chez
M. Ferrand, papetier, rue des Dominicains, n.° 20 ; il pourra prémunir
contre lés imitations qui, jusqu’ici, sont loin d’en donner une idée
avantageuse."
Journal de la Meurthe, 28/07/1834, p. 4 (kiosque.limedia.fr)
"AVIS. - Le sieur STÉGER, facteur de pianos, neveu et
successeur de M. Stezle, a l’honneur de prévenir le public qu’il continue
l’établissement de feu son oncle, fait, répare, vend et lotte toutes sortes
de pianos et garantit tout ouvrage."
Journal de la Meurthe, 16/11/1836, p. 3 (kiosque.limedia.fr)
"Beaux APPARTEMENTS à
LOUER, rue de l’Esplanade, n.° 7, fraîchement décorés, au. 1.er étage,
salon, chambre à coucher, cuisine et cabinet. S’adresser chez M. Steger, rue
des Champs, facteur de pianos, n° 19 et 17."
Journal de la Meurthe, 20/07/1837, p. 4 (kiosque.limedia.fr)
|
'Facteur de pianos'
ca. 1834-40
Successeur et neveu de Joseph STEZLE (y1836), voir
ci-dessous
STEGER a repris en 1836, après le décès de STEZLE son
atelier 19, rue des Chaps
1840 - "ÉTAT des personnes
décédées à Nancy pendant la même quinzaine, [...] — Joseph Steger, 39 ans,
facteur de pianos."
Journal de la Meurthe, 21/12/1840, p. 4 (kiosque.limedia.fr)
STEGER
Mme. (yy1841)
1872 - "Décès déclarés du 12 au
16 juin 1872. [...] - Le 16 : Clara-Frederique-Sophie Stezle, 60 ans, veuve
de Joseph Steger, facteur de pianos; [...]"
L'Espérance : courrier de Nancy, 18/06/1872, p. 3 (kiosque.limedia.fr)
NANCY -
"Exposition des produits de l'industrie
départementale. [...] N'avez-vous pas désiré avec la fortune le talent
du musicien qui donne une si harmonieuse voix aux violons et aux
guitares de M. Jacquot, ce facteur-artiste, déjà décoré d’une médaille;
n’avez-vous pas envié l’art de M.lle Mazel, en vous extasiant devant les
pianos de Warneck, Niederlaender, Steger, pianos si bons et si beaux
qu’on les diraient sortis des ateliers de Pape et d’Erard. Oh ! heureux
et mille fois heureux les riches et les artistes, car si ceux-ci ont la
puissance magique de l’or, ceux-là ont la puissance' plus magique encore
du talent. Laquelle des deux faut-il envier ?..."
Journal de la Meurthe, 05/06/1838, p. 3 (kiosque.limedia.fr)
Liste des exposants Nancy, 1838
|
17, rue des Champs (y1834),
17-19, rue des Champs (yy1837), 17, près le Jardin Botanique (yy1841), Nancy |
STEGERER Jean Charles
(ca. 1810 - 1854)(¹⁰)
|
|
'Fabricant de pianos'
ca. 1854
|
86, rue de Rochechouart (1854)(¹⁰)(arr.9),
Paris |
STEHLIN Benoît
|
ARCHIVES
"Constitution de 765 l. de rente viagère (Remboursée le
15 avril 1784) par Marie-Anne Dupuy,
veuve de Nicolas-Joseph NOEL, marchand de bois carré rue Gerard BOQUET, par
Saint-Paul à
Françoise LEMAIRE, veuve en 1/ères/ noces de Benoit STEHLIN, facteur de
cladecuis [clavecins ?], et épouse séparée de biens de Leger BRENDLÉ, maître
de cladecuis
[clavecins ?], suivant
leur contrat passé devant
DAVIER (Et LXIII) le 18 janvier 1775, demeurant rue du Sepulchre, fg
Saint-Germain, paroisse."
(Arch. Nat. :
MC/ET/XXVIII/475 p. 192)
|
'Facteur de clavecins' ca. 1779; (¹⁰)
Probablement fils de Benoist STEHLIN, et à son tour
fils de George STEHLIN, venant de Suisse.
|
Paris |
STEHLIN Charles |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits
ca. 1875-90 [depuis
1834
(*1913)]
'Musikal.- u. Piano-Handlung' (xx1890)
Repris par
HUTIN
C. à Besançon au moins dès 1895.
|
99, Grande-rue (*1875), 99-101, Grande rue
(*1876),
99, Grande-rue (xx1890), Besançon |
STEHLIN DEZINNER
| DE ZINNER | DE ZINNEZ | DEZINNER |
STEHLIN
sur ce site
VOIR AUSSI ...
...
un
STEHLIN
en Suisse |
'Artiste,
facteur et régénérateur de piano et de harpe' ca. 1805-21
Venant de
Genève, en Suisse
"Ancien collaborateur d'Erard" (**1806)
Autres facteurs à Toulouse en 1807 sont
KOENIGS et
CAMPARDON
"Le Veridique de l'Hérault, qui n'est jamais
gai volontairement, le sera pour ainsi dire malgré lui, lorsqu'il insérera
des annonces comme celle qu'on va lire : M. Sthelin, artiste,
facteur et régénérateur de pianos et de harpes, auteur du jeu céleste, ayant
exercé ses talens dans les deux capitales de l'Europe, offre aux amateurs de
Montpellier expérience de son génie ; il fait honneur à une confiance
méritée et digne de foi. On nous assure que la première idée du
rédacteur avait été de traduire cette annonce en bon français, mais qu'il ne
s'en est pas senti capable."
Le Miroir des spectacles, des lettres, des moeurs et
des arts, 18/01/1822, p. 4 (gallica.bnf.fr)
|
Genève (Suisse)
Bordeaux
31,
place de la Mairie, Maison Sirven (***1805), 31, place de la Commune,
maison Sirven (x1805),
595,
rue des Couteliers, chez M. Gratien (**1806),
11, rue du Collège-Royal (1821), Toulouse
chez M. Billet, hôtel des Célestins, au troisième étage (xx1811),12,
rue Saint-Jean (z1822), 16, place du Plâtre (zz1822), Lyon |
STEIMLE Bernard Jonathan
| STEINLÉ |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1851
Il y avait un ouvrier-tableur chez PLEYEL
avec le nom STEINLÉ vers 1850. (²⁰) |
7, rue Rochechouart (1851)(³¹)(arr.9),
Paris |
STEIGER Jean Baptiste
| STEGER
(1759 - 1818)(¹⁰)
|
|
'Facteur de pianos'
ca. 1803-18
Époux de MARCUS Géneviève. (¹⁰) |
37, rue de Tixeranderie
(*1803-1804)(*1805)(arr.4),
rue Barre du Bec (1818)(¹⁰)(arr.3),
Paris |
STEIN Jean Joseph |
|
'Facteur d'orgues'
ca. 1846-47 1846 - "STEIN Joseph, Facteur d'orgues, Barouillère
[de la Barillerie], n° 4. Cité le
04/09/1846, lors d'un acte notarié, comportant société en nom collectif à
l'égard dudit et en commandite à l'égard des porteurs d'actions, etc. pour
l'exploitation d'un brevet et de la fabrication des orgues expressifs,
auxquels il a été donné le nom d'orgues Stein ; le siège provisoire : rue
Barouillère sous la raison STEIN et Compagnie, sous la dénomination de
fafrication d'orgues STEIN. Source: D31u3-136/Pièce 1683."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
»
1847 - "STEIN Jean Joseph, Facteur d'orgues,
rue de la Barillerie, n° 4. Cité le 13/04/1847, dans un acte notarié
comportant société entre ledit société créée le 04/09/1846, en commandite
par actions, sous la raison STEIN et Compagnie pour la fabrication des orgues
expressifs STEIN, comprenant les 18 actionnaires dot Monsieur THIBAUT,
facteur de pianos, rue Favart, n° 12, possède deux actions, lui, en nom
collectif et le reste en commandite (400 actions de 500 francs chacune).
Source : D31u3."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
» - Voir
THIBOUT Aimé Justin
(°1834)
1848 - "STEIN Jean Joseph et Compagnie,
Orgues d'églises, rue Cassette, n° 9. Cité le 25/04/1848, lors de la
faillite desdits.
Source : 3Ga les faillites)."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
» |
4, rue de la Barillerie (1846)(¹⁰)(arr.11),
9, rue Cassette (1848)(¹⁰)(arr.6), Paris |
STEIN Pierre dit Emile |
Brevet de 1860 : "612° Le brevet d'invention
de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 28 juin 1860, au
secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Stein
(Pierre dit Emile), facteur de pianos, à Paris-Montmartre, Petite-Rue
Saint-Denis, n°1 pour un appareil mécanique à jouer automatiquement les
pianos, pianos-orgues, orgues et tous instruments de musique à clavier de
piano."
Bulletin des lois de la République française, 07/1867,
p. 373-374 (gallica.bnf.fr)
|
'Facteur de pianos'
et d'orgues
ca. 1856-60
1856-57 - "STEIN Emile, Fabricant d'orgues, rue d'Enfer, n° 43. Cité
le 28/04/1856, lors de la faillite dudit ; concordat, 08/01/1857.
Source : 3Ga les faillites)."
Informations généaloqiques aimablement établies par Georges Claude Lebrun et son
équipe
«
éclat de bois
» |
43, rue d'Enfer (1856-57)(¹⁰)(arr.4)
?, 1, Petite-Rue Saint-Denis (1860)(arr.18),
Paris |
STEINER |
"Annonces. -
Pianos. M. Steiner, facteur, accordeur et marchand de pianos, à Lille,
venant depuis 3 ans, tous les trois mois à Ypres [Belgique], pour accords et
réparations de Pianos, arrivera en cette ville dans quelques jours.
S'adresser à l'Hôtel de l'Épée Royale, Grand'Place, où il descendra comme
d'habitude. MM. les amateurs, trouveront au magasin de M. Steiner, rue
Esquermoise, 63, à Lille, des pianos et harmoniums d'excellents facteurs de
Paris, qu'il vend à prix-fixe et 3 ans de garantie. Les prix sont 700 fr. et
au-dessus. Il peut livrer un bon piano neuf de Plegel [Pleyel ?], à Cordes
verticales, pour 1,000 fr. y compris les frais de transport de Lille à
Ypres."
Le Propagateur, 07/11/1855, p. 4
|
'Facteur de pianos'
ca. 1855 |
63,
rue Esquermoise (y1855), Lille |
STEINER A. |
"Steiner (A.), facteur de pianos et harmoniums, vente, échange, location,
accords et réparat., commiss. exportat., Richer, 53."
Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1857, p.
795 (gallica.bnf.fr)
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'Facteur de pianos'
droits ca. 1857-63
STEINER
A. (xx1857) |
53, rue Richer (xx1857)(xx1858)(arr.9),
14, boulevard du Temple (*1859)(xx1861)(xx1862)(x1863)(arr.11),
45, rue
Jean-Baptiste
Pigalle (xx1859)(arr.9),
48, rue Jean-Baptiste Pigalle (xx1860)(arr.9),
Paris |
STEINMANN |
|
'Facteur de pianos'
ca. 1856 |
83, rue Blanche (xx1856)(arr.9),
Paris |
STELBEIN L. |
Piano
droit ca. ??, Église paroissiale, Sainte-Colombe, Landes, France
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits
ca.1870-80 |
Paris |
STELLBERG Joseph |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 18??
|
Metz |
STELLE Benoit |
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'Facteur de clavecin'
ca. 1777 |
rue des Cordeliers (jusqu'à 1777)(arr.13),
Paris |
STÉMER |
" La Dlle Stémer, rue de la Haye,
N°. 130, à Metz, vend et loue d'excellens forté-piano, à juste prix."
Journal des Départements de la Moselle, de la Meurthe, de la Meuse, des ...,
17/02/1791, p. (kiosque.limedia.fr)
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1791
|
130, rue de la Haye (y1791),
Metz |
STEMPFLY |
PARIS -
"670 M. Stempfly, rue Grange-aux-Belles, n. 17. Un piano à coins arrondis."
Expo 1824
Rapport du Jury d'admission des produits de
l'industrie du Département de la Seine, 1825, p. 71
|
'Facteur de pianos' ca. 1825
Jury d'admission Paris, 1823 |
17, rue Grange-aux-Belles (*1825)(arr.10),
Paris |
STENBERG A. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits
ca. 18?? |
Paris |
STERCKX L. |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1906-10
|
81-83, rue Legendre
(x1906)(arr.17), 104, rue La Fayette
(*1907)(*1909)(*1910)(arr.10),
Paris
|
STESSE Pierre |
|
Facteur et/ou marchand de pianos
droits
ca. 18?? |
Paris |
STEZLE Georges |
"Avis. Georges Stezte, rue St.-Dizier, No. 330 à Nancy, successeur
au commerce de M. B. Troestler, tient magasin de musique et
d'instrumens, pianos en acajou à 2 et 3 cordes, papiers blancs et de
couleurs, de tous formats et qualités, tout ce qui constitue les
fournitures de bureaux, le dessin .et la peinture , registres de toutes
grandeurs et réglures, étuis de mathématiques, cartes géographiques,
etc. Il vient de recevoir de Paris les plus . nouvelles cartes de
France, divisées en 133 départemens; petites à 2 fr., grandes à 6 fr.
Almanachs et agendas brochés, cartonnés et reliés en maroquin dorés sur
tranche et sur plat."
Journal de la Meurthe, 08/01/1812, p. 1 (kiosque.limedia.fr)
" Abonnement de musique. Un Abonnement de
musique manquait à la ville de Nancy, MM. les amateurs de cette ville et des
trois départemens sont prévenus qu'ils pourront en tout temps s'abonner chez
Georges Stezle, au magasin de musique et d'instrumens, rue Saint-Dizier, n.°
330. Son abonnement est déja composé de 7 à 8 cents oeuvres choisis, pour le
piano, harpe violon, alto, basse, flûte, clarinette, cor, basson, lyre ou
guitarre, ouvertures et simphonie à grand orchestre, airs d'opéra et
romances. Chaque abonné recevra un catalogue des oeuvres qui composent
l'abonnement et sur lequel il pourra faire un choix. Les augmentations de
l'abonnement seront annoncées aux abonnés par un catalogue supplémentaire.
On s'abonnera aà l'année, au mois, ou à l'oeuvre : pour l'année 30 francs,
pour 6 mois 16 francs, pour 3 mois 8 francs 50 centimes, pour un mois 3
francs, par oeuvre pour huit jours 75 centimes. Pour l'année et pour 6 mois,
on changera d'oeuvres ad libitim; pour 3 mois on recevra 15 oeuvres, et pour
un mois 4 ou 1 par semaine, en rapportant les précedens. Le prix de
l'abonnement se payera d'avance. Les titres, paque et envois d'argent,
doivent être affranchis."
Journal de la Meurthe, 11/09/1812, p. 8 (kiosque.limedia.fr)
"M. Stezle, rue de l'Esplanade, vient de recvoir quantité de nouveautés,
tant en musique qu'en objets d'étrennes, le tout à prix moderé."
Journal, affiches, annonces et avis divers du département de la Meurthe,
30/12/1827, p. 6 (kiosque.limedia.fr)
|
Facteur et/ou marchand de pianos
ca. 1812-31
Frère de Joseph STEZLE
(⁸), ci-dessous
1812 - 'Successeur
au commerce de M. B. Troestler' (y1812) - voir
TROESTLER, à Nancy dès
1812
'Magasin
de musique et d'instrumens' (yy1812)
'Marchand de musique'
(**1822)
1831 - Faillite
- "Vente à l’enchère d’un fonds de magasin de
musique à Nancy. - Le jeudi 22 septembre 1831, à deux heures de relevée,
maison du sieur Georges Stezle, rue de l’Esplanade, à Nancy, il sera, à la
réquisition de M.e Thiriot, avoué, comme syndic propisoire de la faillite
dudit sieur Georges Stezle, dûment autorisé, procédé à lâ vente au plus
offrant d’un magasin considérable de musique, dont le fonds se compose
principalement d’oeuvres de grands-maîtres, tels que les collections de
quatuors, quintettes, etc., de Mozar[t], Haydn, etc. Collections des oeuvres de
piano, des mêmes, de Moscheles, Pleyel, C[r]amer et autres auteurs, morceaux de
Rossini arrangés poiir l’harmonie, le tout destiné tant à la vente qu’à
l’abonnement. Morceaux de chants, partitions d’opéras au piano et
nouveautés. Méthodes pour différens instrumens, études, vocalises,
exercices, etc., etc. Ce magasin, administré avec activité et intelligence,
offrirait un commerce d’autant plus lucratif que l’on pourrait y joindre la
Commission, et que ce genre d’établissement, unique à Nancy, deviendrait
également utile aux villes et campagnes voisines. Le nombre des abonnés du
sieur Stezle était considérable comme l’indique le registre qu’il tenait à
cet égard et qui sera remis à l’acquéreur qui pourra s’en aider utilement.
Les curieux seront admis à examiner cette collection de musique et à prendre
connaissance de l’inventaire qui la concerne, ledit jour jeudi 22 septembre,
de 9 heures du matin à midi, dans le magasin où doit se faire la vente. Le
commissaire-priseur, Lefèvre."
Journal de la Meurthe, 13/09/1831, p. 3 (kiosque.limedia.fr)
1831 -
"Tribunal de Commercé de Nancy. Publication légale. - Les créanciers du
sieur Georges Stezle, marchand de papiers et de musique a Nancy, sont
invités de se trouver lundi 12 décembre 1831, à dix heures du matin, dans
la salle des audiences du tribunal de commerce, place 'Carrière, n.° 5, à
une assemblée dans laquelle il sera procédé à la vérification et affirmation
dés créances. Michel, greffier."
Journal de la Meurthe, 10/12/1831, p. 4 (kiosque.limedia.fr)
|
330, rue
Saint-Dizier (yy1812), rue de l'Esplanade (y1827)(y1831), Nancy |
STEZLE Joseph
| STELZ
(1767 - 1836)(⁸) |
"A vendre, place Carrière, no 25, au premier étage, un forte-piano de
Stezle, à six octaves, en acajou; [...]"
Journal, affiches, annonces et avis divers du département de la Meurthe,
23/07/1819, p. 8 (kiosque.limedia.fr)
"Stelz [sic], fact. de pianos, r. de Jardin des Plantes."
Agenda musical pour l'année 1836 : contenant tous les
renseignements utiles aux amateurs de musique et aux artistes, Volume 3,
1836 (gallica.bnf.fr) &
Agenda
musical,
Paris, 1837, p. 247 (gallica.bnf.fr)
"Le
facteur nancéien de pianoforte Joseph STEZLE est né le 17 janvier 1767 à
Lay-Saint-Christophe, localité à 12 km au NNE de Nancy. Arrivé à Nancy en
1783 avec ses parents, il se forme d’abord à la facture d’orgues chez le
facteur d’orgues Jean-François Vautrin. La révolution et ses conséquences
sur la facture d’orgues l’obligent à s’orienter vers la facture de
pianoforte, en plein développement à la fin du 18° siècle et au début du 19°
siècle. On ne connaît pour le moment rien de son activité avant 1800, date à
laquelle il tient un atelier au 19 rue des Champs à Nancy.
Jusqu’autour de 1822-1825, il semble qu’il ait surtout procédé à des
réparations, entretiens et accords, mais il n’est pas exclu qu’il ait aussi
fabriqué des instruments. Il vendait ou achevait aussi des instruments qu’il
se procurait chez des fabricants parisiens, parmi lesquels figurait Erard.
Au début des années 1820, il se met cependant davantage à la fabrication
propre d’instruments, l’apogée de sa production se situant entre 1825 et
1836.
Son atelier était modeste, comprenant deux ou
trois ouvriers permanents ou intérimaires, mais il rayonnait sur toute la
Lorraine sud. Ses qualités de fabricant de pianoforte sont clairement
établies par l’inventaire successoral. Il ne
subsiste actuellement aucun instrument sorti de son atelier, hormis un
instrument d’un autre fabricant sur lequel il a apposé sa griffe au crayon.
Une partie de son activité était dévolue à la location de pianos dont il
détenait au moins 50 exemplaires de divers modèles. Entre 1800 et 1820, il
intervient également comme facteur d’orgues, assurant des entretiens et des
réparations ainsi que la (re)construction de quatre orgues. Après son décès
le 1 octobre 1836, son atelier a été continué par son neveu par alliance
Joseph Steger [voir ci-dessus] jusqu’au décès de celui-ci en 1840, facteur dont on ne sait
s’il a produit des instruments pendant ces quelques années."
(⁸)
Les facteurs de pianos à Nancy,
J. M. Stussi
La production de Stezle qui a probablement dû être de
l’ordre de 400 instruments en 35 ans d’activité.
(⁸)
INFO EXTRA
Un atelier de facture de pianos à Nancy au début du XIXe siècle : Joseph
Stezle, par Jean-Marc STUSSI
|
'Facteur de pianos'
et/ou marchand de pianos ca. 1800-37
MANGEOT
(°1830) était un élève de M. STEZLE (y1830)
STEZLE
(**1836)(x1837)
1836 - "ÉTAT des personnes
décédées à Nancy, pendant la 1.re quinzaine d'octobre. [...] 2. [oct.] —
[...] Joseph Mezle [sic], 69 ans, facteur de pianos."
Journal de la Meurthe, 23/10/1836, p. 3 (kiosque.limedia.fr)
1836 - "AVIS. — Les personnes
qui ont loué des pianos chez feu M. Joseph Stezle, facteur d’instruments à
Nancy, sont priées de vouloir bien en prévenir M. H. COLLIGNON,
commissaire-priseur en cette ville."
Journal de la Meurthe, 28/11/1836, p. 3 (kiosque.limedia.fr)
1836 - "VENTE APRÈS DÉCÈS, DE QUARANTE-DEUX PIANOS, ET D’OBJETS
MOBILIERS, Rue des Champs, n.° 19.
Le lundi 5 décembre 1836, 9 heures du matin, et jours suivants, il sera
procédé à la vente au comptant, et perçu 5 centimes en sus par franc, de
différents objets 'consistant en batterie et ustensiles de cuisine,
faïence; bois de lit, couchers, tables, chaises, fauteuils, 3 belles
glaces, 2 pendules, commodes, un secrétaire antique avec incrustations en
ébène, représentant la création (meuble rare et recherché), linge de lit, de
table et de corps, 2 montres en or, dont une à répétition et musique, une
autre en argent.
42 pianos, boites de pianos, plusieurs sommiers d'orgue et tuyaux, 6
violons, 2 contre-basses, 1 hautbois, 5 établis, outils, plomb, étain,
ferraille, madniers en, noyer, hetre, tilleul, 2 autres en palissandre,
feuilles e placage en acajou et orme, et quantité d'autres objets.
7 hectolitres 92 litres de vins de 1854, futailles, bouteilles vides, cuve
et cuveaux.
Et le mercredi, à 9 heures du matin, rue Stanislas, n.° 5, il sera procédé à
la continuation de la vente du mobilier qui se trouve dans un appartement de
ladite maison.
ORDRE DE La VENTE.
Le lundi, les meubles et la boutique;
Lé mardi, les pianos, orgues et violons ;
Le mercredi, vente du mobilier, rue Stanislas.
Le commissaire-priseur, H. COLLIGNON."
Journal de la Meurthe, 20/11/1836, p. 4 (kiosque.limedia.fr)
STEGER a repris l'atelier de STEZLE : 19, rue des Champs à
Nancy
1837 - "Étude de GUIBAL,
avoué. - ADJUDICATION PREPARATOIRE. - VENTE PAR LICITATION, A l'admission
des étrangers.
On fait savoir que le lundi 17 avril 1837, dix heures du matin, en l’étude
et par-devant M.e BLANCHEUR, notaire à Nancy, commis a cet effet par
jugement du tribunal.de première instance de la même ville, en date du 24
janvier 1857, il sera procédé à l’adjudication préparatoire.
DE TROIS MAISONS, SITUÉES Á NANCY.
La première, rue des Champs, n.° 17, entre la maison suivante, au midi,
celle du sieur Mangin, au nord et le Jardin-Botanique, au levant.
La seconde, rue des Champs n.° 19, entre la maison précédente, au nord,
l’école forestière, au midi, et le Jardin Botanique; au levant.
Et la troisième, rue de l’Esplanade 1 ou Stanislas, n.° 7, entre la maison
du sieur Vachter, au levant, et celle du sieur Biaise, au couchant.
Ces trois maisons dépendent de la succession du sieur Joseph Stezle, décédé
facteur de pianos à Nancy.
Elles seront vendues en trois lots composés, le premier; de la maison rue
des Champs, n.° 17. Le second, de la maison même rue, n.° 19. A cet effet;
les communications existant actuellement entre ces deux maisons seront
bouchées, à frais communs, par les adjudicataires deres deux lots.
Néanmoins, ces deux premiers lots, après avoir été adjugés partiellement,
seront vendus ensemble aux enchères et l’adjudication en gros sera preférée
à celle en détail, si lé prix surpasse la somme des prix, de ces deux
adjudications. Et le troisième lot se composera de la maison rue Stanislas,
n.° 7;
ESTIMATION.
Le premier lot est estimé .......... 4,500 fr.
Le second 5,050 fr.
Ét le troisième 15,600 fr.
Total 24,950 fr.
Cette vente par licitation se poursuit à la requête 1.° du sieur
Jean-Baptiste-Charles Stezle, commis-négociant, demeurant à Nancy ; 2.° du
sieur Jean-Baptiste-Louis Ange Stezle, voyageur de commerce,
demeurant' aussi à Nancy ; 3.° et de demoiselle Marie-Adélaïde-Caroline
Stezle, majeure, professeur de musique, demeurant à Besançon ; tous lesquels
poursuivant ont constitué pour leur avoué M.e Charles-Eugène Guibal,
licencié en droit, de M.e Mengin, avoué au tribunal de première instance de
Nancy, et demeurant en cette ville, rue des Quatre-Églises, n.° 52.
Contre 1.° le sieur François Stezle horloger, demeurant à Commercy ; 2.°
demoiselle Anne Stezle, majeure, rentière, demeurant à Nancy; 5,° dame
Catherine-Emilie Lorenziti, épouse du sieur Joseph-Etienne Toussaint
Jourdan, employé des contribue lions indirectes, demeurant à Nancy, en
qualité de tutrice, maintenue par le conseil de famille, de
Joseph-Etienne-Toussaint Stezle, son fils mineur, né de son premier mariage
avec feu le sieur Georges Stezle ; 4.° et ledit sieur Joardan, tant pour
assister ét autoriser sa dite épouse, que comme co-tuteur du même mineur
Stezle. Tous lesquels.ont constitué pour leur avoué M.c Victor Munier,
demeurant à Nancy, rue des Quatre-Eglises, n.° 149. Lès curieux pourront
prendre communication des clauses et conditions de l'adjudication soit en
l'étude de M.e BLANCHEUR, notaire, rue des; Quatre-Eglises, n.° 50, soit en
celles de M.es GUIBAL, àvoué des poursuivants, rue des Quatre-Eglises, n.°
52. et MUNIER avoué des co-licitants, même rue, n.° 49."
Journal de la Meurthe, 12/03/1837, p. 4 (kiosque.limedia.fr) - Voir
Georges STEZLE, ci-dessus - Voir
LORENZITI, à Nancy
1836 - Succ. par Joseph
STEGER [voir ci-dessus], neveu,
Journal de la Meurthe, 16/11/1836, p. 3 (kiosque.limedia.fr)
1837 -
"Vente de quinze Pianos, APRÈS DÉCÈS, Rue des Champs, n.° 19. Le
lundi 12 juin 1837, deux heures de relevée il sera procédé à la vente au
comptant et perçu 5 centimes en sus par franc, de 9 petits pianos pour les
commençants, 5 grands pianos à 6 octaves, 1 piano organisé à 6 octaves, 2
orgues à claviers, 1 grand orgue d’église, 2 harpes, 1 secrétaire en
marqueterie, 1 poêle en faience, le tout provenant de la succession de feu
Joseph Stezle, facteur d’instruments à Nancy. - Le commissaire-priseur, H.
COLLIGNON."
Journal de la Meurthe, 08/06/1837, p. 4 (kiosque.limedia.fr)
|
19, rue des Champs (ca.
1800)(y1837),
rue des Champs, près le Jardin-des-Plantes (y1830), rue du Jardin des
Plantes (**1836)(x1837), Nancy |
STEZLE Louis |
"— A vendre, à 40 pour 0/0 de remise, UN BON PIANO
carré, en acajou, 5 cordes, 6 octaves 1/2, du prix de 1,200 fr, sortant
des ateliers de Rinaldi, à Paris. S’adresser à MM. Louis et Stéphane
Stezle, rues -Stanislas, 41, et Poissonnerie, 13, à Nancy. Grand
abonnement musical. — Pianos de Paris."
Journal de la Meurthe et des Vosges, 11/07/1844, p. 4
(kiosque.limedia.fr)
"En vente chez L. STEZLE, marchand de musique, rue de la
Poissonnerie, 13, à Nancy. Deux bons pianos droit et carré, des ateliers de
Frost, de Strasbourg, à des prix très-avantageux. Au même magasin, grand
assortiment de pianos de Paris à vendre et à louer. Grand abonnement de
lecture musicale pour la ville et la campagne."
Journal de la Meurthe et des Vosges, 13/05/1845, p. 3
(kiosque.limedia.fr)
|
'Marchand de musique' ca. 1844-45
Probablement fils et
successeuer de Georges STEZLE ?
STEZLE
Louis & Stéphane
(y1844)
|
13, rue de la Poissonnerie
(yy1842)(yy1844)(y1845), Nancy |
STEZLE Stéphane (? - 1905) |
"M. Stéphane STEZLE, Rue Stanisla | | | |