home |
Facteurs de pianos en France
GAVEAU
à Paris (°1847)
"Sous la direction artistique de M. R. Bussine du Conservatoire vient de se fonder l'Institut moderne de Musique [...] Pour les inscriptions et tous renseignements on est prié de s'adresser au siège des cours, 20, rue Chaptal, ou à la maison Gaveau (Nouvelle Succursale) 6, rue de la Chaussée d'Antin. Par exception le cours d'ensemble de MM. Bottin frères se fait à la nouvelle succursale de la maison Gaveau, 6 rue de la Chaussée d'Antin : M. Edme Gaveau fils èst directeur de cette succursale." L'Europe artiste : beaux-arts, peinture, sculpture, gravure, théâtre, chorégraphie, musique, expositions, musées, librairie artistique, bulletin des ventes..., 26/01/1890, p. 184 Nécrologie "Le 3 mars est mort, à Paris, à l'âge de 75 ans, M. Joseph-Gabriel Gaveau, fondateur de la célèbre manufacture de pianos aujourd'hui dirigée par ses fils. Parti d'une situation modeste, simple puvrier pianiste, en 1846, M. Gaveau était, grâce à sa persévérance et à son esprit d'ordre, arrivé à créer -une maison qui ne tarda pas à devenir l'une des premières de France, tant par l'importance de sa fabrication que par la qualité des instruments. Il apporta notamment d'importants perfectionnements à l'échappement el à la confection desarmaLures du sommier. Travailleur acharné, M. Gaveau était d'une grande loyauté en affaires est avait su s'attirer l'estime de tous ceux qui l'approchèrent. Ses obsèques bnL été célébrées à l'église S'-Ambroise. Nous adressons à sa famille nombreuse (il laisse 7 enfants et 10 petits-enfants), l'expression de notre condoléance bien sincère." Revue musicale Sainte-Cécile : publication bi-mensuelle, 17/03/1899, p. 88 (gallica.bnf.fr)
"NÉCROLOGIE — C'est avec un vif regret que nous apprenons, la mort de M. Joseph-Gabriel Gaveau, fondateur d'une des maisons les plus justement estimées de la facture de pianos, à laquelle il avait su donner une importance artistique et commerciale considérable, et qui est aujourd'hui dirigée par ses fils, qui lui conservent le bon renom depuis longtemps acquis par son créateur. M. Gaveau est mort, à l'âge de soixante-quatorze ans." Le Monde artiste : théâtre, musique, beaux-arts, littérature, 19/03/1899, p. 191 (gallica.bnf.fr)
L'Usine de Fontenau-sous-Bois LES « GAVEAU » "C'est l'expression consacrée : on dit un « Gaveau », comme on dit un « stradivarius » ou un « saxe ».
— Un « Gaveau » c'est un piano, — c'est le piano.
« Comment se fabrique un piano ? nous répond-il en souriant. Diable,
l'histoire est longue, et je vous la conterai un autre jour, à moins que
vous ne m'accompagniez à l'usine, à Fontenay-sous-Bois. En ce cas, je
ferai mieux que vous dire, je vous montrerai comment on fabrique un
piano.
« Le public s'imagine malaisément, nous dit en chemin M. Gaveau, les multiples détails dont il faut se préoccuper dans la fabrication du piano. Se douterait-il par exemple que plus de vingt essences différentes de bois sont nécessaires à sa construction ? L'heureux choix des bois est une des conditions essentielles de la bonne qualité des au double point de vue de la solidité et de la sonorité, et, suivant leur essence, leur épaisseur, c'est un séjour de trois à huit ans qu'ils doivent faire soit en plein air, soit sous des hangars couverts.
- En effet, on ignore tout cela.
La Galerie des Machines. Il est difficile d'imaginer un établissement mieux approprié à sa. destination et répondant mieux aux multiples exigences de l'industrie moderne que l'usine modèle que MM. Gaveau frères viennent de faire construire à Fontenay-sous-Bois, sur un terrain de plus de 50000 mètres de superficie. Les bâtiments, construits en meulières et en briques, recouverts d'ardoises, percés de larges baies vitrées qui laissent pénétrer à flot l'air et la lumière, sont d'une note claire et fort agréable à l'œil. M. Gaveau m'arrache à ma contemplation : « Voici l'atelier du barrage. C'est ici que le piano prend naissance. Ces bois de sapin et de hêtre, découpés en morceaux appropriés à leur emploi, formeront la carcasse de l'instrument. Cette carcasse de barreaux massifs supporte le cadre en 1er et la table d'harmonie, l'âme du piano. Le tablage ou l'ajustage de la table est une opération qui demande les plus grands soins.
Comme vous le voyez, ajoute M. Gaveau, en me précédant dans un
atelier où se dressent maintenant des silhouettes de pianos, l'enfant a
grandi.
La genèse d'un piano.
Nous sommes dans l'atelier de placage, et M. Gaveau me montre,
soigneusement allongées sur des rayons, de minces feuilles de bois de
toutes essences ; quelques-unes embaument l'air. Pour les décrire de façon fidèle, je devrais entrer dans des détails dont l'aridité pourrait effrayer vos lecteurs, d'autant plus que nous ne sommes tributaires de personne, que tout, tout absolument, depuis les marteaux de feutre dès mécaniques jusqu'aux flambeaux et aux pupitres, est fabriqué à l'usine même. Tenez ! ceci vous intéressera davantage. »
Le montage des marteaux. Et M. Gaveau pénétrant, dans une immense galerie me montre des machines de toutes puissances, de tous modèlcs, qui saisissent dans leurs grilles de fer d'énormes troncs d'arbres à peine équarris, les enlèvent, les transforment en quelques instants en planches de toutes épaisseurs; plus loin, ces planches passent sous de grands rabots mécaniques qui les rendent polies comme du marbre.
L'assemblée des claviers.
Quand on songe qu'ici tout est à l'avenant, faut-il s'étonner que des
instruments dont la fabrication est l'objet de tant de soins aient
conquis par leur valeur technique, par la qualité de leur son, la faveur
de tous les artistes, comme ils ont, par l'élégance du meuble, acquis
droit de cité dans la plupart des salons ? Le piano à queue Louis XV en noyer sculpté y coudoie le piano Empire en amboine; le piano droit Louis XIV voisine avec le grand piano de concert en palissandre frisé; et, devant ces sculptures, ces dentelles, qui vont être dispersées aux quatre coins de la terre, ma pensée se reporte aux arbres de tout à l'heure, érables et sycomores, coupés dans quelque forêt du Nouveau Monde. René MIR." Revue illustrée, 15/02/1900, p. 29-32 (gallica.bnf.fr)
Le finissage et l'accord
"La manufacture de pianos Gaveau occupe une superficie de 14.000 mètres environ, sur un terrain de plus de 3o.ooo mètres. Les i6.ooo mètres, non affectés à l'usine, comprennent les rues et les immeubles de la cité ouvrière. Elle fabrique annuellement environ 2.000 pianos droits ou à queue, trouvant leurs débouchés tant en France qu'à l'étranger, et emploie pour cette fabrication 35o ouvriers et ouvrières. Depuis sa fondation en 1847, le nombre des pianos fabriqués par elle s'élève à 38.500. Les bâtiments de l'usine, construits en meulières et en briques, sont élevés sur cave, et se composent d'un rez-de-chaussée et d'un premier étage. Signalons au rez-de-chaussée une grande galerie de 75 mètres de long sur 11 mètres de large, où sont débités les bois achetés en forêt, et qui est reliée à la ligne de Vincennes par une voie de raccordement, ainsi que différents ateliers réservés l'un à la fabrication des pièces de serrurerie et de mécanique, un autre au barrage et le troisième au tablage. C'est dans ce dernier qu'on pose les cadres de fer et les tables d'harmonie, les sommiers d'accoche et de chevilles. Des milliers de tables y sont exposées sur des soupentes pendant plusieurs mois, afin de prendre, avant la mise en place définitive, la chaleur de la pièce maintenue constamment à 30 degrés. A côté de l'atelier du tablage se trouvent ceux affectés au filage et à la pose des cordes. Une machine de 3oo chevaux, établie dans un pavillon central, fournit l'énergie aux différentes machines-outils réparties dans ces divers ateliers, ainsi qu'aux deux dynamos utilisées pour l'éclairage électrique. De chaque côté du pavillon, dans deux bâtiments à un étage, sont installés les séchoirs.
Au premier étage se trouvent les galeries réservées aux ateliers de
la mécanique, du clavier, de l'ajustage et du réglage. Ces dernières comprennent le bâtiment dit des expéditions renfermant tous les pianos finis (400 à 600 en moyenne), un abri pour les accumulateurs d'électricité, les ateliers de laquage et de garnissage des marteaux, enfin le réfectoire des ouvriers servant aussi de salle de réunions à la Société de secours mutuels et de salle des fêtes.
Plus loin s'étendent les communs, un magasin à fer et un hangar
couvert pour le séchage du bois près duquel se trouve un vaste réservoir
approvisionné de 50.000 litres d'eau.
Les allocations attribuées par cette Société aux malades sont de 2
francs par jour pour les hommes et de 1 fr. 50 pour les femmes et apprentis,
pendant les 6 premiers mois, de 1 franc pendant les 3 mois suivants et de 0
fr. 50 pendant les 3 derniers mois, de telle sorte pourtant que l'indemnité
accordée aux sociétaires hommes ne dépasse pas 500 francs et que celle des
femmes et apprentis n'excède pas 405 francs par an.
Carte postale de 1908 Terrible Sinistre à Fontenay-sous-Bois.
"L'usine Gaveau
détruite par le feu. La violence de l'incendie. Sur les lieux d
sinistre. - Les blessés. - Les dégats. L'enquête de la police
De l'enquete officielle ouverte sur les causes de ce gigantesque
incendie il ne résulte encore rien ou presque rien. Quatre cents ouvriers sans travail
Au nomhre de 400
à 500 environ, ceux-ci en effet, étaient accourus dès que le
premier signal du feu fut donné.
Rappelons brièvement les faits : Un ouvrier tableur, Cladé, assisté de M- Louis Oustry, réclamait à la maison Gaveau, représentée par M. André Aron, le prix de son outillage détruit lors de l'incendie des usines de pianos sises à Fontenay-sous-Bois; il demandait en outre une indemnité en raison du chômage résultant de la perte de ses outils. Comme le conseil des prud'hommes, le tribunal décide que le patron est dépositaire des outils apportés à l'usine, que, comme tel, il est responsable de leur perte, alors qu'il ne prouve pas que l'incendie est la conséquence d'un accident fortuit ; qu'il doit indemniser l'ouvrier du chômage forcé occasionné par la destruction de son outillage. Sur l'exception d'incompétence, le tribunal n'a eu à se prononcer qu'indirectement. M. Gaveau, ayant renoncé à ce moyen à la barre, il reste établi que le conseil des prud'hommes est compétent, car le contrat de dépôt d'outils est un accessoire du contrat de travail, ainsi que les obligations qui résultent de la responsabilité patronale, telle que celle d'indemniser l'ouvrier du chômage forcé. A M. Gaveau, qui prétendait être exonéré de sa propre responsabilité par une clause d'un règlement d'atelier affiché et qui, sous ce prétexte, refusait l'indemnité de chômage, prétendait imposer le règlement à 70 000 qu'il avait accepté de l'assurance et ne voulait rembourser qu'une partie de la valeur des outils brûlés, le tribunal a répondu que Cladé avait, à bon droit, refusé la somme offerte, que la clause d'exonéralion de responsabilité était nulle d'ordre public, bien qu'acceptée par Cladé, et que le règlement de l'assurance, fait sans lui, ne pouvait lui être opposé. Le tribunal a condamné la maison Gaveau à payer : 1422 fr. 50, valeur intégrale des outils brûlés et estimée par M. Bourgeois, conseiller prud'homme ; 2200 fr, d'indemnité de chômage." L'Ouvrier syndiqué, 01/03/1909, p. 4 (gallica.bnf.fr) "Die Firma Gaveau, Pianofabrik in Paris (Magazin und Konzertsaal : 45 u. 47 Rue de la Boétie, Fabrik in Fontenay-sous-Bois) ist in eine Aktiengesellschaft mit einem Kapital von 3 Millionen Francs umgewandelt worden und firmiert jetzt : Société anonyme des Etablissements Gaveau. Herr Etienne Gaveau wurde zum geschäftsführenden Direktor der Aktiengesellschaft ernannt." Zeitschrift für Instrumentenbau, 11/1910, p. 843 (daten.didgitale-Sammlungen.de)
1912
"Dans
la récente promotion du ministère du commerce, nous relevons avec
plaisir la nomination, au grade de chevalier de la Légion
d'honneur,- de M. Louis-Etienne Gaveau, conseiller du commerce
extérieur et administrateur-directeur de la Manufacture de pianos
Gaveau, c'est-à-dire continuateur de l'oeuvre de son père, qui fonda
la maison au milieu du siècle dernier.
"Maison
GAVEAU - La guerre est venue surprendre la Maison Gaveau, comme toutes
les grandes industries françaises, en plein travail.
Une grande gêne fut néanmoins apportée à la fabrication par la
réquisition de l'Usine de Fontenay ou l'autorité militaire installa,
pendant 15 mois, d'août 1914 à octobre 1915, le dépôt du 12e régiment
d'artillerie. ÉTABLISSEMENTS
GAVEAU ÉTIENNE GAVEAU, ADMINISTRATEUR-DIRECTEUR - SIÈGE SOCIAL : 45 ET 47, RUE LA BOÉTIE, PARIS - USINE MODÈLE A FONTENAY-SOUS-BOIS "La Maison GAVEAU a été fondée à Paris en 1847 par M. Joseph GAVEAU qui, pendant quarante-six années d'un labeur assidu, parvint à réaliser d'importants progrès dans l'art de la fabrication du piano. Ses traditions de travail et de probité commerciale furent fidèlement poursuivies par son fils, M. Étienne GAVEAU, qui, depuis plus de vingt-cinq ans, assume la direction de la Maison et s'applique à doter les pianos qui portent son nom de tous les perfectionnements de la facture moderne. En 1907, le siège social fut installé dans l'immeuble qu'il occupe aujourd'hui, 45 et 47, rue La Boétie, au cœur du quartier le plus élégant et le plus riche de Paris. Cette vaste construction à sept étages commencée en 1906 contient non seulement les services administratifs, les magasins de vente et les ateliers de révision, mais encore deux salles de concerts où se donnent les séances des plus importantes Sociétés musicales telles que les Concerts Lamoureux, les Concerts Colonne, la Société Philharmonique, la Société Bach, etc. L'usine, située depuis 1898 à Fontenay-sous-Bois (Seine),occupe un quadrilatère de plus de 17 000 mètres carrés; les ateliers proprement dits représentent une superficie de 11 000 mètres carrés. Une commutatrice et un groupe électrogène distribuent le courant aux machines-outils. Deux chaudières assurent le chauffage général. Il n'existe pas de feux nus. A la veille de la guerre, les machines-outils de la scierie débitaient en douze mois 2 000 arbres de toutes essences et travaillaient au total plus de 6000 mètres cubes de pièces de bois constituant les diverses parties du piano. La consommation annuelle atteignait 48000 mètres carrés de placage, 3.000.000 de mètres linéaires de fil d'acier, 250000 kilos de fonte spéciale, 1.250.000 vis et 600.000 chevilles. La production moyenne s'élevait à 10 pianos par jour. Désireux de contribuer de façon directe à la Défense nationale, les Usines GAVEAU ont consacré depuis 1916, une part importante de leur activité à la fabrication de pièces pour l'aviation. L'outillage dont sont dotées ces usines et la présence parmi les ouvriers d'une main-d'œuvre spécialement exercée au travail du bois les ont mises à même de fournir en grandes quantités, durant la guerre, les plans supérieurs, les stabilisateurs, les empennages, les gouvernails, les dérives, bref, tout ce qui constitue les voilures de rechange des avions types Spad VII et XIII pour les armées française et américaine." Paru dans 1914-1918 L'aéronautique pendant la Guerre Mondiale, Maurice de Brunoff, 1919 "M. Gaveau quitte l'Odéon pour se consacrer entièrement à sa maison de pianos qu'il avait quelque peu négligée depuis quelques années." Le journal amusant, 01/05/1920 (gallica.bnf.fr) "Gaveau et Cie. - On a introduit au mois d'avril 1922 les actions Gaveau au comptant au Parquet : elles cotaient alors 360: elles se traitent actuellement à 485. La Société des Etablissements Gaveau a été constituée en 1921 scais la forme de Société anonyme: elle a été transformée en société en commandite sous la raison sociale Gaveau et de au mois de mai 1920. Ce remaniement- qu'il est assez rare de constater dans le sens ci-dessus, s'est opéré à l'occasion de l'absorption de la Société Immobilière Gaveau propriétaire de la manufacture de Fontenay-sous-Bois el de l'immeuble de la rue de la Boétie, absorption destinée vraisemblablement à mettre fin à certaines dissensions qui s'étaient produites entre les administrations des deux entreprises. Le capital de la Société Gaveau et Cie est depuis cette époque de 12.000.000 représenté par 24.000 actions de 500 fr.; les parts de fondateur qui existaient antérieurement ont disparu : la dette obligataire est très modeste. Les résultais financiers se sont traduits, pour 1921-22 (l'exercice se termine le 31 mars) par un bénéfice brut de 1.913.002 francs contre 2 millions 395.460 francs pour 1920-21 et par un bénéfice net de 984.171 fr. contre 1.415.353 fr.; les dotations aux amortissements ayant été ramenées de 527.171 fr. à 239.551 fr. le dividende n'a été réduit que de 40 à 30 fr. bien que pour le dernier exercice, les 24.000 actions aient eu également droit à l'intégralité de la répartition. La diminution des bénéfices pour 1920-21 était attribuable au notable fléchissement de la venle des pianos consécutif à la crise générale. La situation tendrai! à s'améliorer notablement depuis le début de l'exercice qui va se terminer à la fin du mois prochain. D'après certains renseignements actuellement mis en circulation, la fabrication porterait sur 300 pianos par mois et les commandes en carnet assureraient l'activité des ateliers jusqu'à fin avril ; on pourrait dans ces conditions envisager un relèvement des bénéfices et sans doute du dividende qui pourrait être reporté à 40 fr. Bien que quelques groupes paraissent avoir intérêt, en ce moment, à galvaniser le marché de l'action Gaveau, celle-ci à son niveau présent, au-dessous du pair peut paraître présenter quelque attrait comme valeur d'appoint dans les portefeuilles. Les Affréteurs Réunis." Journal des finances : cote universelle et correspondance des capitalistes, 02/02/1923, p. 9 (gallica.bnf.fr) "La Maison Gaveau, 45 et 47, rue La Boétie, vient d'ouvrir un nouveau département spécial de pianos à queue et de pianos droits munis d'appareils automatiques. Ces appareils, qui représentent le résultat de plusieurs années d'expérience et de mise au point, sont ce que l'on peut trouver aujourd'hui de plus voisin de la perfection. A ce département est adjoint un rayon de vente de musique perforée." Le Figaro, 08/05/1927, p. 3 (gallica.bnf.fr) "Des malfaiteurs se sont introduits, la nuit dernière, dans les bureaux de la fabrique de pianos Gaveau, rue Castel, à Fontenay-sous-Bois. Mais, dérangés par l'arrivée d'un chauffeur, ils se sont enfuis." Le Petit Parisien, 01/07/1931 , p. 7 (gallica.bnf.fr)
GAVEAU
Cliquer sur les liens ci-dessus.
Pour les références voir les pages : Pianos français 1840 - 1849 (°1847) Pianos français 1875 - 1899 (°1893) Pianos français 1900 à maintenant (°1909)
|
|||||||