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Facteurs de pianos en France
SCHOLTUS
à Paris (°1848)
1850
Ce système donnant une entière solidité à l'
instrument, maintenant l'accord, a mérité l'approbation de MM. les
Membres du Jury de l'exposition de 1849. M. SCHOLTUS invite les
personnes qui désireraient voir ses pianos à vouloir bien l'honorer de
leur visite."
Journal du Loiret, 13/06/1850, p. 4 (Aurelia.Orléans.fr)
1851
1852
Nos renseignements pris, nous avons été visiter les ateliers de M.
Scholtus, 1, rue Bleue, qui s'est empressé de satisfaire notre curiosité
avec la plus grande complaisance.
Des pianos de tous les modèles ont été
mis sous nos yeux, entr'autres des pianos d'ébène et de bois de rose,
genre boule, magnifiquement ornés. Nous ne croyons pas qu'on puisse
parvenir à en fabriquer de plus élégants et réunissant autant de
qualités à des prix aussi réduits que les siens.
Ce qui nous a frappé surtout, ce sont ses pianos à
crampons en fer, dont l'invention lui est particulière, et qui lui ont
valu une médaille à l'exposition de 1849 et à l'exposition universelle
de Londres.
Au moyen de ce nouveau système, qui ne nuit en rien
à leur sonorité, ses pianos acquièrent une solidité qui rend le deo1Iage
impossible. On peut, dès lois, les faire vo'ager sans aucune espèce
d'inconvépient, qualité précieuse pour les personnes olligées de se
déplacer souvent, et encore plus pour les étrangerS, qui ont les
transporter dans des pays lointains.
Aussi les pianos de M. Scholtus
jouissent-ils d'une juste réputation, et dans les salons de Paris, et clans la
province, et à l'étranger."
Journal de Toulouse, 22/04/1852, p. 3-4 (Rosalis)
1854
Elle expédie plus de cinquante pianos par mois qui se
recommandent tous aux amateurs, par l'rgalité agréable et parfaite du
toucher, et par leur solidité éprouvée. Dans les sons il n'y a aucune
transition dans le passage des basses au médium et du médium au dessus.
Les artistes reconnaissent généralement que la vogue croissante de cette
maison est pleinement justifiée, et que l'élégance de ses produits est
irréprochable."
Le Nouvelliste, 31/05/1854, p. 3 (gallica.bnf.fr)
1856
1859
1866
1868
1870
Ses pianos
de 800 à 1,200 francs peuvent rivaliser avantageusement avec ceux de
certaines maisons vendus aux prix de 1,200, 1,500 et 2,000 francs. On
trouve dans ses vastes magasins les modèles les plus riches en bois
noir, tuya, bois de rose, marqueterie, etc., etc.
La maison Scholtus
livre d' excellents pianos d'étude au prix de 675 fr. On se tera une
juste idée de l'importance de cette honorable maison, quand on saura
qu'elle a toujours 400 pianos en location. Adresser toutes les demandes
M. Scholtus, 9, rue Cadet, à Paris."
Journal du Loiret, 28/03/1870, p. 3 (Aurelia.Orleans.fr)
1878
SCHOLTUS
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