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Facteurs de pianos en France
Brevet de 1833 : "Kriegelstein adapta au piano carré le mécanisme de
frappement du marteau en dessus des cordes parce que, disait le facteur,
la corde se trouvant frappée par dessus, est attaquée contre le point
d'appui, le son est plus fort et plus pur que dans les pianos ordinaires
où la corde est frappée en dessous. (B. F.)"
Organographie : La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
1839 Brevet de 1839 : KRIEGELSTEIN construit un remarquable piano à queue à sillet, contre-sommier et marteau, frappant les cordes contre le point d'appui -
"Kriegelstein, construisit un remarquable piano à queue à sillet,
contre sommier et marteaux frappant les cordes contre le point
d'appui avec étouffoirs perfectionnés."
Organographie : La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
1841 Brevet de 1841 : "Piano Avec Nouveau Système D'accord : — Kriegelstein, présenta un moyen propre à accorder les pianos et à consolider l'accord dont le mécanisme consistait en une agrafe appellée de précision, laquelle était en cuivre, et composée d'une tige ronde, surmontée d'une platine fixe, formant équerre avec elle.
La platine était traversée par une vis en fer,
disposée de manière à entrer dans le sommier parallèlement avec la tige. La
corde passant entre cette tige et la vis, était appuyée par la platine vers
le sillet; ainsi, en augmentant où en diminuant la pression par le mouvement
de la vis, on faisait monter ou descendre le son, et l'on obtenait le point
de justesse le plus parfait en assurant la solidité de l'accord. (B. F.)"
Organographie : La facture instrumentale depuis
1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet
Pontécoulant, 1861
1844 Brevet de 1844 : KRIEGELSTEIN imagine son double échappement. - "Kriegelstein imagina son double échappement. Avec l'échappement simple ou ordinaire on éprouvait l'inconvénient d'être obligé de laisser relever entièrement la touche avant de reproduire le son, afin que l'échappement rentrât sous le nez de la noix; de sorte qu'il fallait laisser parcourir à la touche la même distance pour jouer fort ou piano. Dans l'origine de cet instrument, le marteau était poussé vers la corde par un seul pilote fixé sur la touche, et ce pilote était toujours placé sous le marteau; en sorte que celui-ci ne cessant de répondre directement ou au doigt ou à la touche, le lançait fort ou faible, suivant qu'on le laissait plus ou moins se relever. Il en résultait aussi que la répétition rapide de la même note s'effectuait avec facilité; mais cette mécanique manquait de force et d'énergie. Stein, facteur allemand, remédia à ce manque de force eu imaginant l'échappement dont la propriété était d'abandonner le marteau dans sa course en augmentant considérablement son impulsion : c'est l'échappement dit Allemand. Érard prit les choses en cet état vers 1808, et ce ne fut qu'en 1823 qu'il produisit son double échappement; mais les moyens émis par Érard ne sont pas les seuls qui conduisent à la solution du problême, et Kriegelstein est parvenu à la même solution par des moyens fort ingénieux, et même moins compliqués que dans l'échappement d'Érard." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861
Brevet de 1844 :
"Kriegelstein and Plantade, of Paris, for a means of tuning pianos,
and making them keep in tune."
The London journal of
arts and sciences, 1844, p. 226
1845
1846
1849
Brevet de 1849 : "346° Le certificat d'addition dont la demande a été
déposée, le 1er mars 1849, au secrétariat de la préfecture du
département de la Seine, par le sieur Kriegelstein (Jean-Georges), à
Paris, rue Laffitte, n° 53, et se rattachant au brevet d'intention de
quinze ans pris, le 31 octobre 1846, pour un mécanisme de piano droit
avec échappement à effet continu; addition consistant en
perfectionnements généraux."
Bulletin des lois de la République française, 07/1850, p. 357 (gallica.bnf.fr)
1855
1877
Brevet de 1877 : "117,493. Brevet de
quinze ans, 13 mars 1877; Kriegelstein et Pellin, à Paris, boulevard
Haussmann, n° 23. Perfectionnements à la construction des pianos,
consistant dans un barrage à barres indépendantes en métal, fer ou fonte,
compensateur des efforts des cordes et des variations de température."
Bulletin des lois de la République française, 01/1878, p. 769 (gallica.bnf.fr)
1878
Brevet de 1878 : "122,660,. Brevet de quinze ans, 2 février 1878;
Kriegelstein et Pellin, à Paris, rue Meyerbeer, n° 3. Perfectionnements
à la fabrication des pianos, consistant dans une pédale pianissimo
naturelle dite pédale Kriegelstein et compagnie."
Bulletin des lois de la République française, 01/1879, p.
965 (gallica.bnf.fr)
KRIEGELSTEIN
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