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Facteurs de pianos en France
HATZENBUHLER Jean Baptiste
à Paris (°1832)
1839 - 1855
PARIS - "MM. Hatzenbuhler et Faure, à Paris, faubourg Saint-Antoine, 63, - Ils exposent un piano carré, un piano à queue, deux pianinos et un piano droit. L'un des pianinos que ces fabricants avaient mis au concours a mérité d'être placé le deuxième, et, en conséquence, le jury décerne une médaille de bronze à MM. Hatzenbuhler et Faure." Rapport du Jury Central, Exposition, des produits de l'Industrie Française en 1839, M. Savart, rapporteur, 1839, p. 343
PARIS - "MM. Hatzenbûhler et Faure, dont les produits ont été mis au premier rang à la dernière exposition, viennent de recevoir du roi le titre de Facteurs de pianos de S. M. (Moniteur parisien.)" La Presse, 15/12/1839, p. 3 (gallica.bnf.fr) -
PARIS - "On lit dans le Moniteur parisien : Le Roi, sur la proposition de M. l’intendant-général de la liste civile', vient d'accorder le titre de facteurs de pianos de S. M. à MM. Hatzenbühler et Faure dont les instruments ont été mis au premier rang à la dernière exposition (*). Cette rare distinction est pleinement justifiée par des mérités qui s’excluent d’ordinaire dans cette sorte de produits, c’est-à-dire , l'économie du prix, la qualité du son et la solidité de'la construction. " Journal de la Meurthe et des Vosges, 19/02/1840, p. 3 (kiosque.limedia.fr)
PARIS - "HATZENBUHLER (BAPTISTE), à Paris, 63, faubourg Saint-Antoine. - Pianos de formes diverses. — M. Baptiste Hatzenbuhler avait exposé cinq pianos de différentes formes et tous fort remarquables. Un piano carré, un piano droit cordes obliques, un piano vertical grande dimension, un piano vertical (nouveau système), un piano unicorde d'ébène, dit du premier âge, dont M. Baptiste Hatzenbuhler est l'inventeur, et combiné de manière que la main d'un enfant de cinq ans en peut embrasser l'octave. Ce nouveau facteur, dont la fabrique a pris en peu de temps une grande extension, a réalisé les espérances que ses premiers produits avaient fait concevoir, beauté simple, forme riche, solidité de construction, mécanisme aisé, douceur de touche ; tels sont les avantages qu'offrent ses pianos, en outre de l'agrément de leurs sons. M. Baptiste Hatzenbulher [sic], fabriquant de ses propres mains, peut nécessairement livrer ses produits à des prix très-modérés." Lucas Al. Panorama de l'industrie française publié par une société d'artistes et d'industriels sous la direction de M. Al. Lucas, 1839, p. 107 et
PARIS - "Pianos de l'Exposition. Ce qu'il importe aujourd'hui et ce qui peut vraiment être utile aux arts, c'est de signaler les nouveaux facteurs qui produisent bien et n'ont pas de réputation. Parmi ces nouveaux facteurs exposans de cette année, le public a surtout porlé son attention sur les pianos sortant de l'immense manufacture de M. Baptiste Hatzenbuhler, rue du faubourg-Saint-Antoine, 63. Cette manufacture naissante compte déjà cent ouvriers. Cinq pianos de différentes formes ont été exposés par ce facteur l'un, uni-cordes, pour les jeunes enfants, - a surtout excité l'intérêt; celui à queue a étonné par le brillant et le parfait du jeu. Quant aux pianos droits et carrés, M. Bapliste Hatzenbuhler ei; a déjà placé une si-grande quantité dans le public fashionable de Paris, qu'il devient inutile d'en faire l'éloge.
Au résumé, M. Baptiste Halzenbuhler s'est placé au rang des premiers
facteurs de Paris, et nous aurions lieu d'être étonnés si le jury
manquait à encourager de si brillants débuts."
Le Ménestrel : journal de musique, 21/07/1839,
p. 4 (gallica.bnf.fr)
Un piano
carré; un piano droit à cordes obliques; un piano vertical a grande
dimension; un piano vertical (nouveau système) ; un piano unicorde
d'ébène, dit du premier âge, dont il est l'inventeur et combiné de
manière que la main d'un enfant de cinq ans peut embrasser l'octave.
On admire dans ces pianos des formes variées, la solidité de
construction, mécanisme aisé, douceur de touche joints a l'agrément
de leurs sons."
Dictionnaire universel du commerce, de la
banque et des manufactures, 1838-1841, p. 600
LES PIANOS DROITS.
Ce genre de pianos est
maintenant réhabilité, et c'est pour nous un plaisir autant qu'un devoir, de
constater le triomphe honorable de la difficulté vaincue.
MM. Hatzenbuhler,
Faure et Cie avaient pensé qu'il était possible, en conservant à
l'instrument ce format si commode, qui permet de placer un piano dans le
plus petit salon, et même dans un boudoir, d'atteindre, par d'autres
combinaisons, à la puissance de sons que donnent les tables les plus
étendues.
Dans un tablage qui leur est particulier et dont feu Savart avait
apprécié les dispositions, ils ont su découvrir des éléments de sonorité qui
suppléent admirablement au défaut de longueur des cordes, et une expérience
de trois années a démontré jusqu'à l'évidence que les pianos droits de cette
maison rivalisent, pour la puissance et la rondeur des sons, avec les pianos
carrés des fabriques les plus renommées.
On reprochait encore au piano droit
à cordes verticales de conserver l'accord moins longtemps que les grands
pianos : hâtons-nous d'ajouter que MM. Hatzenbuhler et Faure ont remédié à
cet inconvénient par la solidité de construction de leurs barrages, et qu'un
piano droit de leur fabrique n'a pas plus souvent besoin de l'accordeur que
le meilleur piano carré.
Ces divers avantages ont valu à MM. Hatzenbuhler et
Faure, lors du concours national de 1839, la première médaille accordée au
genre perfectionné par eux; en décembre de la même année, le roi, sur un
rapport de juges éclairés, a bien voulu leur accorder le brevet de facteurs
de sa maison.
Encouragés par les conseils et l'approbation bienveillante de
M. Auber, chargé par Mme la duchesse d'Orléans de choisir un piano droit
dans leurs magasins, MM. Hatzenbuhler et Faure ont apporté de nouveaux
perfectionnements au genre de pianos dont ils se sont fait une spécialité,
et ils recueillent aujourd'hui le fruit de leurs sacrifices et de leurs
efforts, puisqu'il est avéré qu'ils livrent au monde musical trois cents
pianos par année.
Le goût de cette forme particulière de pianos, si
gracieuse, si élégante, se répand de plus en plus, et nous trouvons
naturelle la préférence que vient de leur accorder la reine d'Espagne, qui a
complété le mobilier de sa résidence de la rue de Courcelles par deux pianos
de la fabrique de MM. Hatzenbuhler, Faure et Cie : un piano droit et un
magnifique piano à queue.
Ainsi, dans notre époque éclairée, le succès ne
manque jamais de se ranger du côté des découvertes profitables ou des
perfectionnements utiles."
La
Sylphide, 1841, p. 275
1840
Un développement aussi considérable en si peu de temps a eu pour cause
le perfectionnement apporté par le sieur Hatzenbuhler à la confection du
piano droit à cordes verticales; ses instruments, déjà recherchés des
artistes, et dont il avait placé un nombre considérable, quoique son nom
ne fût pas encore populaire, ont vu leur supériorité constatée par le
jugement du jury central de l'exposition, qui a décerné à MM. B.
Hatzenbiïhler et Faure la seule médaille accordée à ce genre de pianos.
Les instruments de cette fabrique se recommandent en général par une
grande solidité de construction, la puissance et la rondeur des sons.
Enfin ce qui surtout recommande la
fabrique de MM. B. Hatzenbiihler et Faure et leur a valu au mois de
décembre dernier le titre et le brevet de facteurs de pianos de Sa
Majesté, c'est la modération de leurs prix relativement à l'excellence
de leurs instruments."
4e exposition des produits des membres de
l'Académie de l'Industrie, à l'Orangerie des Tuileries en 1840,
p. 51 (gallica.bnf.fr)
PARIS -
"On
ne saurait en effet se le dissimuler, les arts sont maintenant l’objet
d’une prédilection générale, et c’est à qui leur fera subir toutes les
améliorations, tous les progrès dont ils sont susceptibles.
C’est ainsi, par exemple
que MM. Hatzenbulher [sic], Fauré et compagnie viennent de nous rendre
un service en quelque sorte incalculable, en relevant les pianos droits,
dédaigneusement nommés pianinos de la déchéance dans laquelle
l'impéritie des facteurs l’aüraraieut
[sic]
laissé tomber.
Par un tablage qui leur
est particulier, ils ont su découvrir les éléments de sonorité qui
suppléent admirablement au défaut de longueur des cordes, et une
expérience de trois années a démontré jusqu'à l’évidence que les pianos
droits de cette maison rivalisent pour la puissance et la rondeur des
sons avec les pianos carrés des fabriques les plus renommèes.
On a reproche encore au
piano droit à cordes verticales, de conserver l’accord moins longtemps
que les grands pianos.
Hâtons-nous d’ajouter que
MM. Hatzenbûlher et Faure ont remédié à cet inconvénient par la solidité
de construction de leurs ouvrages, et qu’un piano droit de leur fabrique
n’a pas plus souvent besoin de l’accordeur que le piano carré.
Ces divers avantages ont
valu à MM. Hatzenbulher [sic] et Faure, lors du concours national de
1839, la première médaille au genre perfectionné par eux. En décembre de
la même année, le Roi, par un rapport de juges éclairés leur a accordé
le brevet de facteurs de sa maison, et leurs magasins ont été honorés
des achats de la duchesse d’Orléans et de la reine d’Espagne.
L’infiuence directe,
nécessaire du perfectionnement de MM. Hatzenbulher [sic], Faure et
compagnie, en multipliant les pianos droits dans nos salons, se fait
sentir jusque dans le commerce de la musique, qu’il encourage, qu’il
développe et qu’il fait prospérer."
L'Indépendant de la Moselle, 29/10/1841, p. 1 (kiosque.limedia.fr)
1844
A l'Expostion de 1839, son piano droit à cordes
verticales, à deux cordes, remarqué comme il devait l'être, avait été honore
d'une médaille, et le jury lui avait décerné la deuxième place au concours.
Le nombre des ouvriers de M. Hatzenbulher
[sic] ne s'élevait guère alors au delà
d'une trentaine ; il est à présent de quatre-vingts, et son établissement
qu'il dirige seul, sans aucun contre-maitre, se livre à tous les genres de
fabrication et construit année commune, environ 350 instrumens de toute
espêce.
Les éloges accordés à ce facteur par un praticien distingué, M.
Savard ne permettent pas de douter que d'importans résultats et de grands
triompher l'attendent dans l'avenir.
La perspicacité excellente que M.
Hatzenbulher [sic] apporte dans tous ses travaux, l'éloigne soigneusement des
améliorations oiseuses; il ne court pas sans cesse après des découvertes qui
ne survivent pas à l'éprouve; il imite, il perfectionne sans retâche les
quotités dont on dote au fur et à mesure l'immense domaine de ses instrumens
ainsi, pas des vis de pression qui resserrent les cordes à volonté : il a
rendu mobiles les étouffoirs qui naguère étaient a demeures fixes et
invariable de telle sorte qu'une fois usés [illisible]sés il fallait les
regarnir.
Grâce à lui encore la garniture des clavientes a été rendue plus
complète au moyen de l'application d'un ingénieux mécanisme qui les régle.
Sans nous étendre davantage sur la valeur des pianos que M.
Hatzenbulher [sic]
expose sous le numéro 1745, nous ne saurions passer sous silence le piano à
queue qui est dans ses ateliers et qu'il destine au concours.
La puissance
de son de cet instrument est vraiment extraordinaire. N'oublions pas non
plus de dire que cet habile facteur, dans tous les pianos qui sortent de sa
maison, supprimé les pointes dans le dessus et les a remplacées par un
barrage en cuivre qui maintient mieux les cordes et rend les cordes moins
sensibles.
Les pianos carrés sont également dignes d'éloges; toutefois, il
nous a paru que la supériorité de M. Hatzenbulher [sic] était surtout
incontestable dans les pianos droits, auxquels il a donné un mordant, une
portée et une ampleur de son capable de soutenir la comparaison avec les
modèles de grand format; ce qui prouve, comme l'ont très bien observé les
publicistes experts en la matière, que le son n'est pas proportionné à la
dimension des tables d'harmonie, mais à l'espace mis en vibration.
L'Exposition de 1839 avait fait connaître M.
Hatzenbulher [sic]; l'Exposition de
1844 complétera sa renommée ses succes."
Journal
des débats politiques et littéraires, 28/06/1844, p. 3
A cette époque, M. Hatzenbuhler occupait trente
ouvriers, ujourd'hui il en fait travailler quatre-vingts qu'il dirige M.
Savart avait compris et approuvé l'intelligente activité de ce facteur, et
il nous répétait souvent.
Cet homme n'est qu'un ouvrier, mais son amour du
travail, sa ténacité, son ardeur a provoquer les conseils, sa persévérance à
les suivre, le mèneront très loin. M. Hatzenbuhler n'invente pas, il a le
bon esprit d'imiter ce qui est bon et de corriger ce qui lui parait
défectueux.
Ainsi, jadis les étouffoirs étalent a demeures fixes,
invariables; une fois usés on affaissés, il fallait les regarnir M.
Hatzenbuhler les a rendus mobiles, et par des ils de pression, il les
resserre contre les cordes a volonté. Il a également amélioré la garniture
dus claviers et il y a fait l'application d'un ingénieux mécanisme pour les
régler.
M. Hatzenbuhler construit des pianos dans tous les genres; nous
avons remarqué, dans ses ateliers, le piano à queue destiné au concours; il
nous a paru d'une grande puissance de son.
Dans ses instrument, il a
supprimé les pointes dans les dessus et les a remplacées par un barrage en
cuivre qui maintient mieux les cordes et rend les cordes moins sensibles.
Les pianos carrés sont également d'une belle facture; mais ce que je préfère,
ce sont ses pianos droits on est surpris par l'ampleur, la ponce et le
mordant de leur son qui est comparable à celui d'un instrument de grand
format ce qui prouve encore que le son n'est pas proportionnel à la
dimension de la table d'harmonie, mais bien à l'espace mis en vibration.
La
facture de M. Hatzenbuhler fait chaque jour de grands progrès."
La France
Musicale, 1844, p. 188
Dans ses instruments, il a supprimé les
pointes dans les dessus et les a remplacées par un barrage en cuivre qui
maintient mieux les cordes et rend les cordes moins sensibles.
Les pianos
carrés sont également d'une belle facture; mais ce que je préfère, ce sont
ses pianos droits on est surpris par l'ampleur, la ponce et le mordant de
leur son qui est comparable à celui d'un Instrument de grand format ce qui
prouve encore que le son n'est pas proportionnel à la dimension de la table
d'harmonie, mais bien à l'espace mis en vibration. La facture de M.
Hatzenbuhler fait chaque jour de grands progrès. [...]
A peine entré dans la
carrière, M. Hatzenbuhler qui expose cinq instrumens de divers genres, s'est
placé aussitôt au rang des meilleurs facteurs en 1839, la première année de
sa facture, il obtint, à l'exposition, la médaille pour un piano droit, à
cordes verticales, a deux cordes; au concours, son instrument eut la seconde
place.
A cette époque, M. Hatzenbûhler occupait trente ouvriers, aujourd'hui
il en fait travailler quatre-vingts qu'il dirige seul, sans aucun
contre-maitre, et il construit, par an, environ 350 instrumens de toute
espèce."
La
France Musicale
Il a compris que, dans nos
habitations resserrées, le lourd piano carré et l'immense piano à queue
devenaient des hôtes commodes, souvent même inadmissibles.
Il a vu
l'avenir des pianos droits, si heureusement importés chez nous par MM.
Roller et Blanchet; il s'est consacré à cette fabrication, et s'il y
rencontre encore des rivaux, il n'y trouve plus de maître. Un homme qui
s'y connaît, et qu'il suffit de nommer pour faire accepter son autorité,
M. Auber, directeur du Conservatoire, donne toutes ses préférences aux
pianos droits de M. Hatzenbühler; aussi les plus brillantes demandes
arrivent-elles aux beaux magasins de la rue Laffitte, 1.
Vous pouvez y
voir un charmant et délicieux piano destiné à Mme la duchesse de Nemours;
c'est là que c'était déjà pourvue Mme la duchesse d'Orléans là que
s'adresse l'aristocratie de position, de fortune et de talent.
M.
Hatzenbùller s'est fait une clientèle de grands noms, privilége
honorable et rare dans notre époque de concurrence. Il a reçu du jury la
récompense d'une médaille; c'est un témoignage, une garantie de succès.
Le public fera le resté; car le public est juste, et il ne va longtemps
que là où est le bon et le beau."
Le
Mercure des théâtres : modes, littérature, beaux-arts, 22-08-1844
Déjà en 1839, les pianos de M. Hatzenbuller lui avaient mérité une
récompense; à l'esamen comparé fait par le jury de l'avant-dernière
exposition, ils avaient obtenu la seconde place. M. Hatzenbuller n'a
cessé depuis d'améliorer l'ensemble et les détails de sa fabrication.
1847
M. le président l'invite à faire toucher cet instrument; après cette
audition, il adresse les remerciments de la Société a M. Hatzenbühler,
et lui demande de déposer un mémoire descriptif du mécanisme qu'il a
imaginé, afin que la commission puisse l'examiner et en rendre compte.
M. Combes ajoute que l'auteur lui a particulièrement signalé l'emploi de
matériaux indigènes tels que cordes, bois des Vosges, etc."
Bulletin
de la Société d'encouragement pour l'industrie nationale,
Volume 46, 1847
1851
On
admire dans ces pianos des formes variées, la solidité de construction,
mécanisme aisé, douceur de touche joints à l'agrément de leurs sons"
Dictionnaire
universel du commerce de la Banque et des Manufactures, Joseph Chérade
Montbrion (Comte), 1851, p. 601
1855
PARIS - "M. HATZENBÜHLER, à Paris, rue
Fontaine Saint-Georges, 8. - Parmi les pianos de genres divers présentés
au concours par M. Hatzenbùhler, un grand piano à queue a obtenu le
quatrième rang, et un piano droit à cordes verticales a été mis au
dixième rang.
Ce facteur occupe de soixante à soixante dix ouvriers.
Le
jury décerne une médaille d'argent à M. Hatzenbuhler." Rapport
du Jury central, Paris Jury central, Imprimerie de Fain
et Thunot, 1844, p. 540
Ils ont enrichi leur industrie de perfectionnements
remarquables, et la solidité de leurs instruments est devenue
proverbiale."
Histoire illustrée de l'exposition universelle, Robin, 1855, p. 107
HATZENBÜHLER
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