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Facteurs de pianos en France
Chaque fourche était munie d'une vis rivée en dessous, de manière à lui permettre de tourner pour ouvrir ou fermer la pince, c'est-à-dire la fente de ces fourches, afin de serrer ou de déserrer les deux tourillons d'un même marteau. Mais cette vis ainsi montée ne permettait qu'une très-petite ouverture de la pièce et souvent le filet de la vis s'usait: pour obvier à ce grave inconvénient, après avoir fendu la fourche suivant son épaisseur, on ovalise le trou pratiqué dans la partie inférieure." Organographie : La facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe Le Doulcet Pontécoulant, 1861
Le clavier de pédales avec sa caisse sonore, ses cordes et son mécanisme se trouvaient alors séparés du corps de l'instrument. J'ai entendu M. Quidant, compositeur distingué et instrumentiste très habile, exécuter sur ce piano des fugues de Bach, inexécutables sur les pianos ordinaires. ...
La Maison Erard présenta
un nouveau piano pédalier, mais on pouvait reprocher à ce magnifique
instrument de ne plus offrir qu'une sorte de tirasse appliquée au clavier de
mains."
Organographie : La
facture instrumentale depuis 1789 jusqu'en 1857 inclusivement, Adolphe
Le Doulcet Pontécoulant, 1861
1862
1865
Système de pédale douce pour pianos à queue agissant par le rapprochement du marteau vers la corde et supprimant la transposition." Bulletin des lois de la République française, 01/1901, p. 846
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