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Facteurs de pianos en France
Nous signalons avec avantage, aux amateurs et artistes, les excellents pianos droits perfectionnés d'A. Bataille. Ce facteur artiste, enthousiaste de son art, ayant occupé des places importantes dans les premières maisons de Paris, vient de fonder des ateliers pour la fabrication spéciale des pianos droits. Bonne et solide construction, belles qualités de sons, forme élégante et gracieuse, font de ces pianos ce que l'on peut désirer de mieux. Grand choix de pianos en bois de palisssandre, de 600 à 700 francs, vendus à garantie trois années. Echanges, locations, réparations et accords." Le Causeur : littérature, théâtre, beaux-arts, modes, voyages, industrie, 08/1853, p. 19 (gallica.bnf.fr)
— Magasins de ventes et locations à Paris, rue Meslay, 28, et boulevard Saint-Martin, 37. — Spécialité d'excellents pianos droits perfectionnés pour l'exportation. — Pianos tous les genres des prix modérés. — Garantie de dix années contre tout défaut de fabrication." Le Luth français. Journal de la facture instrumentale, 1856, p. 8 (gallica.bnf.fr)
NOTICE SUR LA FABRICATION DES PIANOS DROITS PERFECTIONNÉS DE ALEXANDRE BATAILLE & Cie, ÉLÈVE D’ÉRARD & DE PAPE. Le piano, instrument aujourd’hui si usité et si cultivé, fut inventé en 1717, par Schroder, en Allemagne, agrès des essais tentés en 1711. à Padoue, par Cristofali, et, en 1716, par Marius, facteur français.
Il le nomma Piano Forte, en raison de la faculté qu’on a de le jouer doux et
fort, par le plus ou moins de pression sur les touches, ce qu on ne pouvait
obtenir gne introduisirent successivement diverses améliorations dans la
fabrication de cet instrument, et il fut enfin perfectionné en Angleterre,
où John Broadwood forma, en 1772, une fabrique de pianos, qui, par les
soins, le talent et la persévérance de cet habile facteur et de ses
successeurs, est devenue la plus importance du monde.
A la ville, à la campagne, surtout, que de soirées dérobées à l'ennui pour
être embellies parles charmes de la musique ! On chercherait vainement à
réunir un quatuor, le piano est là, c’est le point de ralliement. Deux ou
trois fois exercées, une partition de Gluck ou de Cimarosa, de Mozart ou de
Rossini, voilà de suite un concert des plus délicieux.
- ORGUES HARMONIUMS depuis 100 fr. jusqu'à 2,000 - LOCATION DE PIANOS - EXPORTATION - Maison de Commission pour tous les instruments de musique en général." Paris industriel. Guide illustré , 1859, p. 60 (gallica.bnf.fr)
Revue européenne : lettres, sciences, arts, voyages, politique, 1860, p. 909 (gallica.bnf.fr)
Mais ce qu'il y de plus extraordinaire, c'est que la billard et le piano réunie, quoique l'un et l'autre d'une irréprochable fabrication, coûtent moins cher qu'un piano à queue tout seul d'Erard ou de Pleyel. Les châteaux vont s'emparer de ce meuble précieux, pour lequel l'habile inventeur a pris un brevet, que les curieux vont visiter avec le plus vif intérêt dans ses ateliers de la rue Meslay." La France Musicale, 1860, p. 142 (gallica.bnf.fr)
Nous recommandons vivement à nos lecteurs la nouvelle invention dont M. Alexandre BATAILLE vient de doter l'industrie française, le PianoBiilard. Ce superbe instrument, qu'au premier abord on pourrait prendre pour un simple billarl, fait bientôt place, par un mécanisme ingéuieux, au plus beau piano que l'on puisse rêver. L'espace nous manque pour donner une explication détaillée du Piano-Billard, et, pour compléter cette explication, nous invitons nos lecteurs, et nos lectrices surtout, à se rendre dans les ateliers de M. Alexandre BATAILLE, Boulevard Saint-Martin, 37, d'où, nous en sommes certain d'avance, elles ne sortiront qu'en pésirant avoir un de ces instruments splendides dans leurs appartements." Revue des races latines : française, espagnole, italienne, portugaise, belge, autrichienne, brésilienne et hispano-américaine : religion, histoire, littérature, sciences, arts, industrie, finances, commerce, 07/1860, p. 686 (gallica.bnf.fr)
La dame était une fort jolie brune aux grands yeux noirs et à l'âme poétique. Le mari un grand blond qui passe des heures entières au cercle; je ne dirai pas qu'il s'y ruine, mais il fait des carambolages et des effets rétroactifs qui donneraient le frisson à Barthélémy et à Berger. Le hasard fit que ce jeune couple gagna à une des dernières loteries une certaine somme d'argent. Madame désire un piano, un beau piano et affirme que c'est la chose la plus utile; le mari veut un billard; plus de sortie promet-il, il me faut un billard et je n'irai plus au cercle, je te le promets. — Non, un piano. — Non, un billard. On commençait à se bouder et cette jolie lune de miel allait passer, mais je me trouvais là et je promis de tout concilier. J'en fis part à mon ami Bataille. Qu'est-ce que cela peut faire à M. Alexandre Bataille qui est un des meilleurs facteurs de pianos, d'orgues-harmonium et qui a inventé le piano orchestre, qui étant joué par une seule personne remplace un orchestre de trente musiciens. — Qu'est-ce que cela peut lui faire à ce bon gros Bataille que ce jeune ménage en arrive en si peu de temps à la lune rousse. Cela fait, que pour réunir ces deux amoureux, satisfaire la passion de Monsieur et le caprice de Madame, Alexandre Bataille a inventé le billard breveté qui est un magnifique billard de salon renfermant un délicieux piano à queue dont les qualités harmoniques ne laissent rien à désirer. Bataille fit donc prévenir M. de Rennepont qui fît l'acquisition d'un de ces instruments, et le ménage fut heureux et eut... beaucoup d'agrément. On peut voir fonctionner les instruments de M. Bataille tous les jours, dans ces magasins qui sont sans cesse fréquentés par les premiers artistes de Paris, qui viennent y étudier; de cette façon l'on peut se rendre parfaitement compte de l'effet que peut produire un instrument. Les ateliers de M. Alexandre Bataille, sont 28, rue Meslay, et ses magasins Boulevart Saint-Martin, 37." La Dame blanche. Journal du commerce et de l'industrie, 23/06/1863 (gallica.bnf.fr)
Location d'orgues, harmoniums et de pianos, rue Meslay, 28, et boulevard Saint-Martin, 37." Annuaire spécial des artistes musiciens, 1863, p. 115 (gallica.bnf.fr)
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