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BATAILLE Alexandre
à Paris

1853

"Pianos droits perfectionnés. - ALEXANDRE BATAILLE, rue St-Louis, 89, au Marais.

Nous signalons avec avantage, aux amateurs et artistes, les excellents pianos droits perfectionnés d'A. Bataille.

Ce facteur artiste, enthousiaste de son art, ayant occupé des places importantes dans les premières maisons de Paris, vient de fonder des ateliers pour la fabrication spéciale des pianos droits.

Bonne et solide construction, belles qualités de sons, forme élégante et gracieuse, font de ces pianos ce que l'on peut désirer de mieux.

Grand choix de pianos en bois de palisssandre, de 600 à 700 francs, vendus à garantie trois années. Echanges, locations, réparations et accords." Le Causeur : littérature, théâtre, beaux-arts, modes, voyages, industrie, 08/1853, p. 19 (gallica.bnf.fr)

1855

"BATAILLE (Alexandre), pianos droits perfectionnés, pianos en vieux chêne avec ornements en zinc estampe. - Inventeur du Tourne-page mécanique. Rue Saint-Louis, au Marais, 89." Nouveau dictionnaire de musique illustré, Charles Soulier, 1855

1856

"Pianos ALEXANDRE BATAILLE et Cie. facteurs de Pianos droits perfectionnés. 89, rue Saint-Louis (au Marais,) — Exportation. " Le Mercure Parisien, 1856, p. 4 (gallica.bnf.fr)

"MANUFACTURE DE PIANOS DROITS - PERFECTIONNÉS, ALEXANDRE BATAILLE et Cie., fabrique chaussée Ménilmontant, 141 et 143, à Belleville.

— Magasins de ventes et locations à Paris, rue Meslay, 28, et boulevard Saint-Martin, 37.

— Spécialité d'excellents pianos droits perfectionnés pour l'exportation.

— Pianos tous les genres des prix modérés.

— Garantie de dix années contre tout défaut de fabrication." Le Luth français. Journal de la facture instrumentale, 1856, p. 8 (gallica.bnf.fr)

1858

Piano droit d'Alexandre BATAILLE, Revue des races latines : française, espagnole, italienne, portugaise, belge, ..., 10/11/1858, p. 685 (gallica.bnf.fr)

"MANUFACTURE DE PIANOS DROITS ET ORGUES, HARMONIUMS
ALEXANDRE BATAILLE ET CIE:
ÉLÈVE DES MAISONS ÉRARD ET PAPE.

COMMISSION. — EXPORTATION. - PARIS, Boulevard Saint-Martin, 37 ET RUE MESLAY, 28
Pianos ordinaires, de 650 à 1,000 fr. — Pianos de commande, genre Boule, bois rose, chêne, sculpture, gravure, de 1,200 f. à 2,000 fr.

ORGUES DEPUIS 100 F. JUSQU'A 2,000 F.

Maison de commission pour tous les Instruments de musique en général." Revue des races latines : française, espagnole, italienne, portugaise, belge, ..., 10/11/1858, p. 685 (gallica.bnf.fr) -  Courrier des chemins de fer et la gazette des étrangers : contenant : les départs, arrivées, prix de tous les chemins de fer..., 11/12/1858, p. 8 (gallica.bnf.fr)

"MANUFACTURE DE PIANOS DROITS PERFECTIONNÉS & D'0R6UES-HARM0NIUM DE ALEXANDRE BATAILLE ET Cie. - COMMISSION - Fabrique, chaussée Ménilmontant, 60, à Belleville. - EXPORTATION - Magasins, RUE MESLAY, 28, et BOULEVARD SAINT-MARTIN, 37, à Paris.
 

N. 1. - Pianos à cordes droites,
 modèle ordinaire. - 700 fr.

N. 2. - Pianos demi-obliques,
 grand format de concert, beau modèle.
 - 900 fr.

 

 

N. 3. - Pianos avec sculptures,
en bois ou bronzes dorés, modèle riche.
 - 1,500 fr.
N. 4. - Pianos genre boule,
 modèle extra riche. - 2,000 fr.

NOTICE SUR LA FABRICATION DES PIANOS DROITS PERFECTIONNÉS DE ALEXANDRE BATAILLE & Cie, ÉLÈVE D’ÉRARD & DE PAPE.

Le piano, instrument aujourd’hui si usité et si cultivé, fut inventé en 1717, par Schroder, en Allemagne, agrès des essais tentés en 1711. à Padoue, par Cristofali, et, en 1716, par Marius, facteur français.

Il le nomma Piano Forte, en raison de la faculté qu’on a de le jouer doux et fort, par le plus ou moins de pression sur les touches, ce qu on ne pouvait obtenir gne introduisirent successivement diverses améliorations dans la fabrication de cet instrument, et il fut enfin perfectionné en Angleterre, où John Broadwood forma, en 1772, une fabrique de pianos, qui, par les soins, le talent et la persévérance de cet habile facteur et de ses successeurs, est devenue la plus importance du monde.

Quoique Sébastien lézard eût fondé à Paris, en 1776, la première fabrique de pianos qui y fût établie et y obtînt de très-grands succès, pendant cinquante ans l'Allemagne et l’Angleterre conservèrent le monopole de la vente des pianos dans les pays étrangers.

Cette fabrication, peu importante en France au commencement de ce siècle, puisqu’on n’y comptait alors que cinq ou six facteurs produisant ensemble 500 pianos par an, a pris un développement considérable, et aujourd'hui hui ou compte plus de 300 facteurs, qui mettent en circulation, chaque année, de 10,000 à 12,000 pianos de toutes formes et de tous les prix, depuis 500 fr jusqu’à 5,000 et plus; sur ce nombre, un douzième seulement est exporté. Nous devons dire que la construction des instruments de musique a fait, dans ces derniers temps, des progrès immense - ; mais le piano est, sans contredit, celui de tous les instruments qui a éié objet des recherches les plus nombreuses et îles travaux les plus importants.

L’usage du piano est devenu général, et il a puissamment contribué à répandre et à populariser parmi nous le goût de la musique, grâce aux ressources si variées qu’il présente. Cet instrument a mis à la portée de tous les trésors du génie des grands maîtres, ef l'étude des chefs-d’oeuvre de l’art musical nous est devenue familière.

L’étude du chant, rendue facile et populaire avec le secousu piano, est un puissant moyen de civilisation. Le goût de la musique, en se répandant dans les masses, adoucit les moeurs; les leçons prises en commun sous la direction d'un maître habile, les réunions de musique d’ensemble substituent à des loisirs, souvent funestes pour l'homme et pour la société, des recréations utiles autant qu'agréables, où l'esprit se tourne vers un but noble et moral, et où le coeur s'habitue aux plus douces émotions.

La gouvernement, toujours prèt à devancer l'opinion publique dans les tendances vers le bien, a compris tout le parti qu il pouvait tirer de ce grand moyen d'éducation publique ; grâce à son initiative, l'enseignement du chant sera mis à la portée de tous, et il prendra chaque jour une extension plus considérable.

Le goût de la musique n’exerce pas une influence moins heureuse dans la famille, et là encore nous retrouvons ons le piano comme un des auxiliaires les plus puissants.

Quoi de plus utile, en effet, que cette occupation douce et attachante pour contenter l’activité de la jeunesse, eu concentrant son ardeur sur un art qui lui offrira dans la suite de précieuses ressources ou d'agréables distractions ?

C'est surtout comme moyen de réunion que cette dano doit être appréciée des familles. C’est grâce à lui que s'organisent tous les jours ces soirées qui, dans toutes les classes de la société, contribuent à former des liens nouveaux, a perpétuer l'amour des beaux-arts, et a propager cette exquise politesse, celle affabilité dont notre pays se glorifie a si juste titre.

A la ville, à la campagne, surtout, que de soirées dérobées à l'ennui pour être embellies parles charmes de la musique ! On chercherait vainement à réunir un quatuor, le piano est là, c’est le point de ralliement. Deux ou trois fois exercées, une partition de Gluck ou de Cimarosa, de Mozart ou de Rossini, voilà de suite un concert des plus délicieux.

Cependant, il faut le dire, il arrive souvent que les soirées les plus attrayantes sont interrompues d’une maniéré fâcheuse par des accidents qui n'ont d'autre cause que l'infériorité ou la mauvaise confection de l’instrument dont on se sert ; quelquefois même un bon instrument peut, parla place qu'il occupe, gêner ou empêcher cette réunion dont il devait être l’âme et le mobile. Il est clone nécessaire et même indispensable d’avoir un instrument bon, solide et qui tienne peu de place.

Et quel autre remplirait mieux le but que le piano droit ? Cette espèce d’instrument a été, dans ces derniers temps, l’objet des efforts constants d’un grand nombre de facteurs, et on ne peut refuser à M. Alexandre Bataille d'être un de ceux qui s'en sont occupées avec le plus de succes.
Après s'être livré longtemps à la fabrucation de tous les genres de pianos, M. A. Bataille s'est attaché depuis quelques années, d'une manière toute spéciale, à perfectionner les pianos droits, les seuls aujourd'hui qui soient appelés à devenir d'un usgae général.

Personne n'ignore que les qualités indispensables d'un piano peuvent se réduire à trois principales : la solidité, la force et la bonne qualité du son, la petitesse du volume. Les efforts de M. A. Bataille se sont portés sur ces trois points à la fois, et il est arrivé à des résultats qui motivent, à juste titre, la confiance que le public accorde à ses produits.

La manufacture de pianos de M. A. Bataille et Comp. est divisée en deux parties. Les gros ouvrages, c'est-à-dire le barrage et toute l'ébénisterie se fait dans de vastes ateliers situés, 60, Chaussée Ménilmontant, à Belleville, construits exprès pour ce genre d'industrie, et confiés à l’habile direction de M. Bataille père, ex-chef d'atelier de la maison Pleyel et Compagnie pendant quinze années. Cet établissement remarquable est peut-être le plus complet pour la fabrication des pianos, surtout pour la partie qui tient à la préparation des pianos, surtout pour la partie qui tient à la preparation des bois. L'installation des ces ateliers a produit les plus heureux résultats et procure à cette maison un avantage immense pour leur fabrication.

L'instrument construit, mais brut encore, est transporté dans les ateliers et magasins de la rue Meslay, 28, et boulevard Saint-Martin, 37, où on lui donne ce fini qui distingue si particulièrement les instruments qui sortent de cette manufacture.

Les pianos de M. A. Bataille et Comp., que l’exportation répand sur tous les points du globe, sont construits dans des conditions de solidité et de dure qui offrent les meilleures garanties dans les climats les plus extrêmes. Indépendamment de la perfection du travail, qu'un acquéreur sensé doit rechercher avant tout, les prix de la maison Bataille d Comp. sont des plus avantageux.

Les acheteurs de la province et de l’étranger sont certains de trouver à toutes les époques de l’aimée, dans les magasins, 37, Boulevard Saint-Martin, un excellent et magnifique choix de bons et beaux pianos, qui varient de prix suivant leur forme leur genre." Messager des théâtres et des arts, 20/06/1858, p. 4 (retronews.fr)

1859

Le Figaro, 18/06/1859

"Les pianos et les orgues-harmoniums qui sortent des ateliers de MM. Alexandre Bataille et Cie, 37, boulevard Saint-Martin, jouissent toujours d'une vogue aussi grande que légitime.

Les salons de leur vaste établissement sont sans cesse encombrés de gens du monde et d'artistes. Les charmantes compositions musicales de Mme Alexandre Bataille, jouées par cette habile artiste sur ces pianos-modèles, ajoutent un attrait de plus au plaisir des visiteurs et des acheteurs."
L'Ami de la religion, 1859, p. 179

"Bataille (Alex.) et Cie, ® О 1858; élève d'Erard et de Pape, pianos de commerce, fab. consciencieuse de 650 à 1,000 fг., pianos d'art, genre 'Boule, bois de rose, ébène, sculpture, marqueterie, gravure, etc.; de 1,000 à 2,000 fr.; grande location de pianos et d'orgues harmoniums, Piano Billard, brev. a. g. d - g., joli billard de salon, contenant un délicieux piano à queue, maison de commission pour tous les instruments de musique en général; magasin de vente, Meslay, 28, et boul. St-Martin. 37; fabrique : Chaussée - Ménilmontant, 60. (Voir la Revue industrielle.)" Annuaire et almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l ..., 1859

"MANUFACTURE DE PIANOS DROITS ET ORGUES HARMONIUMS - D'ALEXANDRE BATAILLE ET CIE - Elève des Maisons Erard et Pape - PARIS - Boulevard Saint-Martin, 37 ET Rue Meslay, 28

PIANOS DE COMMERCE - DE 650 A 1,000 FR.

PIANOS D'ART, genre Boule, Bois de rose, Ébène, Sculpture, Gravure sur bois, Bronzes dorés, etc. de 1,000 â 2,000 fr.

- ORGUES HARMONIUMS depuis 100 fr. jusqu'à 2,000 - LOCATION DE PIANOS - EXPORTATION - Maison de Commission pour tous les instruments de musique en général." Paris industriel. Guide illustré , 1859, p. 60 (gallica.bnf.fr)

1860

Revue européenne : lettres, sciences, arts, voyages, politique, 1860, p. 909 (gallica.bnf.fr)

"M. Bataille est un de nos facteurs de pianos les plus ingénieux. Il vient de trouver le moyen de loger d'excellents pianos dans leks tables dei billard de telle sorte que ce meuble de jeu peut se convertir instantanément en un instrument d'étude et d'utile distraction.

Mais ce qu'il y de plus extraordinaire, c'est que la billard et le piano réunie, quoique l'un et l'autre d'une irréprochable fabrication, coûtent moins cher qu'un piano à queue tout seul d'Erard ou de Pleyel. Les châteaux vont s'emparer de ce meuble précieux, pour lequel l'habile inventeur a pris un brevet, que les curieux vont visiter avec le plus vif intérêt dans ses ateliers de la rue Meslay." La France Musicale, 1860, p. 142 (gallica.bnf.fr)

"Maison ALEXANDRE BATAILLE et Cie - 37, BOULEVARD SAINT-MARTIN - PIANO-BILLARD.

Nous recommandons vivement à nos lecteurs la nouvelle invention dont M. Alexandre BATAILLE vient de doter l'industrie française, le PianoBiilard.

Ce superbe instrument, qu'au premier abord on pourrait prendre pour un simple billarl, fait bientôt place, par un mécanisme ingéuieux, au plus beau piano que l'on puisse rêver.

L'espace nous manque pour donner une explication détaillée du Piano-Billard, et, pour compléter cette explication, nous invitons nos lecteurs, et nos lectrices surtout, à se rendre dans les ateliers de M. Alexandre BATAILLE, Boulevard Saint-Martin, 37, d'où, nous en sommes certain d'avance, elles ne sortiront qu'en pésirant avoir un de ces instruments splendides dans leurs appartements." Revue des races latines : française, espagnole, italienne, portugaise, belge, autrichienne, brésilienne et hispano-américaine : religion, histoire, littérature, sciences, arts, industrie, finances, commerce, 07/1860, p. 686 (gallica.bnf.fr)

1861

Pub. dans 'Almanach du Voleur illustré : 4ème année 1861'

"For the Vice-King of Egypt a Piano-Billiard has been manufactured in Paris, wich serves as a Billiard-Table as well as a Piano. The best item in this news is, that the new instrument is not more expensive then an ordinary Grand. A splendid opportunity for our young men of fashion to play on a musical instrument without being musical." The Musical review and musical world, Volume 12; Volume 1861, Theodor Hagen, 1861, p. 209

1862

 

Almanach du voleur illustré, 1862, p. 47

"MAISON ALEXANDRE BATAILLE ET C', ÉLÈVE D'ÉRARD ET DE PAPE, MÉDAILLES EN BRONZE, ARGENT ET OR, 37, boulevard Saint-Martin et rue Meslay, 28, PIANOS ORDINAIRES de 650 à 1,000 fr. — PIANOS DE COMMANDE de 1.000 à 2.000 fr. — ORGUES HARMONIUMS de 100 fr. à 2,000 fr. — Inventeur du PIANO-BILLARD (s.g.d.g.). — Exploitation unique du PIANO-ORCHÊSTRE, à clavier, de J.-B. SCHALKENBACK, de Trêves, breveté en France et à l'Etranger, perfectionné par ALEXANDRE BATAILLE. — Location de pianos et orgues; commissionel exportation de tous instruments de musique en général." L'Echo Saumurois, 07/08/1862, p. 4 (archives.ville-saumur.fr)

1863

"ALEXANDRE BATAILLE ET LUNE DE MIEL - Il y a de cela deux ans, un prêtre bénissait l'union de M. et madame de Rennepont.

La dame était une fort jolie brune aux grands yeux noirs et à l'âme poétique. Le mari un grand blond qui passe des heures entières au cercle; je ne dirai pas qu'il s'y ruine, mais il fait des carambolages et des effets rétroactifs qui donneraient le frisson à Barthélémy et à Berger.

Le hasard fit que ce jeune couple gagna à une des dernières loteries une certaine somme d'argent. Madame désire un piano, un beau piano et affirme que c'est la chose la plus utile; le mari veut un billard; plus de sortie promet-il, il me faut un billard et je n'irai plus au cercle, je te le promets. — Non, un piano.

— Non, un billard. On commençait à se bouder et cette jolie lune de miel allait passer, mais je me trouvais là et je promis de tout concilier. J'en fis part à mon ami Bataille.

Qu'est-ce que cela peut faire à M. Alexandre Bataille qui est un des meilleurs facteurs de pianos, d'orgues-harmonium et qui a inventé le piano orchestre, qui étant joué par une seule personne remplace un orchestre de trente musiciens.

— Qu'est-ce que cela peut lui faire à ce bon gros Bataille que ce jeune ménage en arrive en si peu de temps à la lune rousse.

Cela fait, que pour réunir ces deux amoureux, satisfaire la passion de Monsieur et le caprice de Madame, Alexandre Bataille a inventé le billard breveté qui est un magnifique billard de salon renfermant un délicieux piano à queue dont les qualités harmoniques ne laissent rien à désirer. Bataille fit donc prévenir M. de Rennepont qui fît l'acquisition d'un de ces instruments, et le ménage fut heureux et eut... beaucoup d'agrément.

On peut voir fonctionner les instruments de M. Bataille tous les jours, dans ces magasins qui sont sans cesse fréquentés par les premiers artistes de Paris, qui viennent y étudier; de cette façon l'on peut se rendre parfaitement compte de l'effet que peut produire un instrument.

Les ateliers de M. Alexandre Bataille, sont 28, rue Meslay, et ses magasins Boulevart Saint-Martin, 37." La Dame blanche. Journal du commerce et de l'industrie, 23/06/1863 (gallica.bnf.fr)

"Bataille (Alexandre) et Cie, pianos d'art et de commerce, en bois précieux, de 650 à 1,000 fr., et de 1,000 à 2,000. Piano-billard.

Location d'orgues, harmoniums et de pianos, rue Meslay, 28, et boulevard Saint-Martin, 37." Annuaire spécial des artistes musiciens, 1863, p. 115 (gallica.bnf.fr)

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